الأحد، نوفمبر 1

الاخبار العاجلة لاحتفال الجزائر بعيد الارهابي الجزائري المصادف لدكري اول نوغمبر 1954حيث اغتيل معلم ومعلمة في طريق بسكرة يدكر ان الجزائر تقدس المجرم والارهابي وتحتقر المغكر والعالم وهكدا اصبح اغتيال المعلمين شعار ثورة الارهابين الجزائريين وشر البلية مايبكي

e e

اخر خبر


الاخبار  العاجلة  لاحتفال  الجزائر  بعيد  الارهابي الجزائري المصادف لدكري اول نوغمبر 1954حيث اغتيل  معلم ومعلمة في  طريق بسكرة يدكر ان  الجزائر تقدس المجرم والارهابي وتحتقر المغكر والعالم وهكدا اصبح اغتيال المعلمين  شعار ثورة الارهابين الجزائريين وشر البلية مايبكي



http://www.histoire-en-questions.fr/guerre%20algerie/terreur-toussaint-monnerot.html

l'Assassinat 
du couple MONNEROT
et du Caïd de M'CHOUNECHE
Hadj SADOK
par Bachir CHIHANI


 l'Assassinat  
du couple MONNEROT
et du Caïd de M'CHOUNECHE
Hadj SADOK
par Bachir CHIHANI




http://algerie021.skyrock.com/2677889008-1er-Novembre-1954.html





l'Echo d'Alger 
du 2 Novembre 1954



SPECIAL DOSSIER 1er Novembre 1954 : LE LITIGE ALGERO-FRANÇAIS SUR LES ARCHIVES NATIONALES.

Le refus de la France



SPECIAL DOSSIER 1er Novembre 1954 : LE  LITIGE  ALGERO-FRANÇAIS SUR LES  ARCHIVES  NATIONALES.
Le litige entre l’Algérie et la France, sur le rapatriement des archives nationales, demeure toujours et persiste depuis le 3 Juillet 1962. Le gouvernement français, fait à chaque fois la sourde oreille et continu à ne pas répondre favorablement aux revendications légitimes de l’Algérie. Les responsables Algériens ont toujours cherché un terrain d’entente pour régler ce problème de confiscation de documents et archives de notre pays, tout en prenant en considération l’intérêt général des deux pays dans le respect des positions adoptées dans le domaine des archives. Ainsi dire, la France emporta de l’Algérie durant la période 1961-1962, des conteneurs entiers d’archives appartenant à l’Algérie. Les conservateurs en poste à cette époque avaient reçu des instructions et ordres pour photographier en miniature toutes les archives. Le premier chargement et départ des archives d’Alger s’est effectué sur ordre direct de la Direction générale des archives en France le 6 Mars 1961. Au début de l’année 1962, la décision de déménagement vers le territoire français tous les documents, manuscrits ou imprimés, a été prise au niveau local par la direction de l’administration générale dépendant de délégation générale accréditée en Algérie, précisément par circulaire n*2.AG.A534 DGAG, datée du 6 Mars 1962. Selon le rapport préliminaire des directions de l’archive des wilayas d’Alger, Oran et Constantine, toutes les archives, sans exception aucune, ont été sans le moindre préjugé emportées en France, qu’elles soient administratives, politiques, culturelles, économiques et sociales de l’Algérie. Notamment : En série Z : Les archives historiques de l’Etat Algérien, datant de la période entre le quinzième et le dix-neuvième siècle, avant l’occupation française. Après l’indépendance le Gouvernement Algérien avait sollicité, avec insistance, de la France, le rapatriement de ces archives, mais quelques lots seulement ont été rendus, les périodes suivantes : 
1967 : Un lot de 450 registres 1975 : Un lot de 153 registres 
1981 : Un lot de 183 registres 
Depuis 1981, aucune autre récupération des restes d’archives de notre pays n’a été relevée, c'est-à-dire depuis l’accession du Président Français François Mitterrand, l’opération des rapatriements des archives est gelée. Le litige existe à ce jour. La grande partie des archives se trouve à Aix-en-Provence et dans d’autres lieux. Ces documents qui concernent la période coloniale de l’Algérie sont déterminés par série : 
ARCHIVES NATIONALES 
Série A : archives d’avant 1835 * Série B : les avantages en Afrique * Série C : archives espagnoles en 12ème et le 18ème siècle * Série D : divers documents * Série E : courrier général * Série F : décrets et décisions * Série G : Les fonctionnaires et l’administration générale * Série H : Affaires des Musulmans et du Sahara * Série : I.J.K Affaires des Arabes d’Alger, Oran et constantine * Série L : Le colonialisme * Série M : Les biens des Algériens * Série N : Les travaux publics * Série R : Les Affaires Militaires * Série T : La justice * Série W : Les cartes et plans * Série X : Les dons et réceptions * Série Z : Archives des Arabes et des Turc. Ces documents étaient conservés auprès des services des archives officielles, Gouvernement Général de l’Algérie et sièges des préfectures et des mairies. 
ARCHIVES LOCALES 
*Série B : Archives du cabinet * Série C : Les fonctionnaires * Série D : Médailles d’honneur * Série E : Les élections * Série F : La police et la sécurité générale * Série G : La population et l’état civil * Série H : L’agriculture, le commerce, l’industrie et l’approvisionnement * Série I : Les affaires musulmanes * Série K : L’administration et la comptabilité dans les départements * Série L : L’administration et la comptabilité dans les communes * Série M : Le colonialisme * Série N : Les biens des Algériens * Série P : Les biens * Série Q : Les affaires militaires * Série S : L’enseignement général, des arts et la science * Série T : La justice * Série U : La religion * Série X : Les prisons et les centres de rééducation. 
ARCHIVES ADMINISTRATIVES NON CLASSEES NI DATEES 
PERIODE DU COLONIALISME 
Il existe des documents d’une très grande importance de la première et seconde générations, qui étaient conservés dans les bureaux entre 1961 et 1962, réunissant dans leur totalité des différentes structures de l’administration coloniale, à savoir le Gouvernement général, la préfecture, les mairies et communes mixtes, les prisons, les banques et les entreprises diverses. 
Ces documents à caractère administratif concernant la gestion des établissements dans le cadre quotidien, apolitique, touchent uniquement la situation économique,sociale,culturelle et technique D’autres documents importés par la France se trouvent à Aix-en-Provence, à l’exemple des livres, brochures, journaux, plans et autres ; ils sont estimés à 200 000 caisses, plus de 600 tonnes de documents. 
LES REVENDICATIONS ALGERIENNES ET LA POSITION FRANCAISE 
Depuis l’aube de l’indépendance, l’Algérie n’a pas cessé de revendiquer ses droits de récupérer ses archives . En 1967, les responsables algériens ont demandé à la France l’application des mesures adoptées lors de la table ronde sur les archives tenues à Varsovie en 1963, sans que la France réponde favorablement ? Car il est de ses habitudes de violer les accords depuis les accords entre le sinistre desmichel et l’Emir Abdelkader. 
En 1980, un groupe de travail commun entre algériens et français s’est réuni quatre fois, le 9 janvier, le 10 juin, les 3 et 4 décembre, puis en double reprise les 27 et 28 octobre 1981, sans résultat positif. Le 16 juin 1982, Le Président François Mitterrand, dans une lettre, a formellement interdit toute discussion au sujet des archives de l’Algérie. On sait très bien que ce haut responsable n’avait jamais accepté l’indépendance de l’Algérie, et à travers son Plan terroriste, il avait planifié la déstabilisation de l’Algérie, en activant certain réseau d’anciens traîtres et harkis demeuraient en Algérie d’exécuter ses instructions machiavéliques. Toutes en facilitant l’obtention de la nationalité française aux fils des traîtres abattus par la révolution (constatation faite et confirmée). L’Algérie continue sans cesse de revendiquer ses droits légitimes pour le rapatriement de ses archives détournés par la France, Parmi nous, certaines familles, il ne serait pas de leur intérêt, que l’Algérie récupère ses archives, cela ne peut s’expliquer que par le fait que certaines archives pourraient plaider en leur défaveur à travers l’archivage photo qui existe et qui pourrait peut être dévoiler certaines vérités sur les tristes personnages de naguère largement dévoués à la cause française en Algérie. 
55 années après le déclanchement de la révolution, et 47 ans après le recouvrement de notre souveraineté La France continue à coloniser nos archives. Faut t il une seconde révolution pour libérer nos biens ? 


http://www.reflexiondz.net/SPECIAL-DOSSIER-1er-Novembre-1954-LE-LITIGE-ALGERO-FRANCAIS-SUR-LES-ARCHIVES-NATIONALES_a3069.html

http://www.planetenonviolence.org/1er-nov-1954-debut-de-la-Guerre-d-Algerie-1830-1er-novembre-1954-l-histoire-d-une-colonisation_a288.html



10 Novembre 1954
KENCHELA






La presse française et le 1er Novembre 1954
http://www.memoria.dz/galerie/209

La presse française et le 1er Novembre 1954

La presse française et le 1er Novembre 1954


La presse française et le 1er Novembre 1954







http://bone.piednoir.net/titre_rubrique/listes%20de%20victimes/liste_instits_tues.html


les 4 premiers militaires
morts pour la FRANCE en ALGERIE
----
Pierre AUDAT, 20 ans
chasseur au 9ème RCA
stationné à BATNA

Eugène COCHAT, 21 ans
Brigadier Chef au 4ème RA
Stationné à BATNA

André MARQUET, 4ème RA

Lieutenant DARNAULT
Commandant les Spahis de KENCHELA
les 4 premiers militaires
morts pour la FRANCE en ALGERIE
----
Pierre AUDAT, 20 ans
chasseur au 9ème RCA
stationné à BATNA

Eugène COCHAT, 21 ans
Brigadier Chef au 4ème RA
Stationné à BATNA

André MARQUET, 4ème RA

Lieutenant DARNAULT
Commandant les Spahis de KENCHELA

les MONNEROT
un couple pacifique

les MONNEROT
un couple pacifique




BATNA
Enterrement des 4 militaires
tués le 1er Novembre 1954
----
Pierre AUDAT
BATNA
Enterrement des 4 militaires
tués le 1er Novembre 1954
----
Pierre AUDAT
Eugène COCHET
André MARQUET
Lieutenant DARNAULT

Guy MONNEROT et sa femme
instituteurs à TIFFELFEL
entre ARRIS et BISKRA
en plein coeur des Aurès

Guy MONNEROT et sa femme
instituteurs à TIFFELFEL
entre ARRIS et BISKRA
en plein coeur des Aurès

Guy et Jacqueline MONNEROT
pendant leur mariage en 1954


Guy et Jacqueline MONNEROT
pendant leur mariage en 1954




GUERRE D'ALGERIE :
Chronologie des attentats F.L.N. 
Par Jean Pierre Ferrer et l'ex équipe du CRI
- 1956-1962 -


ALGERIE 06/02/56 : Une bombe est jetée dans un bar à Sainte Amélie dans le Sahel.
ALGERIE 16/02/56 : Vallée de Boudouaou :Ferme Cruet . Monsieur, Madame Cruet et leur nièce assassinés, bâtiments incendiés.
ALGERIE 23/02/56 : Vallée de Boudouaou : Ferme Robles Incendiée
ALGERIE 23/02/56 :(23/2/56, 29/4/56, 5/5/56, 18/5/56, 2/7/56). Vallée de Boudouaou : -Ferme Bouchet . Plusieurs fois harcelée - séchoir à tabac, hangar à paille, fourrage et matériel incendiés - 8 hectares de vigne saccagés, 9 meules de fourrage incendiées en plein champ.
et Ferme Rocheto. Harcelée
Vallée de Boudouaou Ferme Coll- Partiellement incendiée.
ALGERIE 24/02/56 : Les rebelles assassinent 7 européens dont une fillette de 7 ans et demi et 2 musulmans dans l'embuscade du bus Bou-Saada Alger.
ALGERIE 24/02/56 : Le FLN attaque 3 fermes à St-Pierre-St-Paul.
ALGERIE 26/02/56 : Horrible tuerie aux Deux-Bassins par les rebelles.
ALGERIE 25/02/56 : 500 rebelles tentent de prendre d'assaut un dépôt d'armes de la Police. 1 mort, 3 blessés.
ALGERIE 08/03/56 : Palestro. Le F.L.N. assassine la famille Benejean et Servat, en se faisant passer pour des soldats français.
ALGERIE 08/03/56 : Souk-Arras. Des tirailleurs Algériens rebelles assassinent 8 militaires Français.
ALGERIE 10/03/56 : Ferme Bourlier Vallée de Boudouaou. Par trois fois le commis a essuyé des coups de fusil sans être atteint.
ALGERIE 17/03/56 : Vallée de Boudouaou Ferme Pierre Bourlier :hangars à paille, fourrage et matériel incendiés.
Vallée de Boudouaou Domaine la Raisinette : Gérant assassiné - Plantation d'orangers et de citronniers entièrement sciée. Hangar à paille brûlé.
ALGERIE 22/03/56 : Mustafa Ben Boulai, responsable de la guérilla F.L.N. dans les Aurès, est tué par l'explosion d'un poste de radio piégé par les services spéciaux français.
ALGERIE 26/03/56 : Vallée de Boudouaou : Ferme Grosrenaud - Occupée par un détache ment militaire, attaquée - 1 soldat tué.
ALGERIE 30/03/56 : Texena. Trois soldats français sont enlevés par le F.L.N.
ALGERIE 31/03/56 : Ferme Serra : Assassinat des deux proprié taires - le surlendemain, les assassins reviennent et emportent les volailles.
ALGERIE 05/04/56 : Henri Maillot, comptable à Alger-Républicain, livre un chargement d'armes aux rebelles. 97 fusils, 85 mitraillettes, 90 pistolets, 12 caisses de grenades et munitions passent ainsi aux mains des hors-la-loi.
ALGERIE 10/04/56 : Embuscade de la guérilla F.L.N. et contre-attaque de l'armée française avec d'importants moyens. Cent et vingt rebelles et vingt soldats français sont tués dans l'engagement.
ALGERIE 14/04/56 : Azzazga. Au douar Idjeur, CHEIKH HADJ MOUHAB, personnage religieux vénéré dans toute la HAUTE-KABYLIE et chef de Zaouîa, est torturé, puis égorgé, avec cinq membres de sa famille, malgré une forte résistance,sous les yeux des habitants du village de Tifrit N'ait Ou Malek. Parmi les victimes figurait le BACHAGA MOUHEB, père du Cheik, chevalier de la Légion d'Honneur. Le Bachaga avait été sollicité pour mettre sur pied des groupes mobiles de protection rurale aussitôt que la guerre a commencé.
ALGERIE 22/04/56 : Vallée de Boudouaou :Assassinats de Musulmans fidèles- Caïds, gardes champêtres sommés de démissionner.
ALGERIE 28/04/56 : 9 attentats F.L.N. à Alger en 48 heures' Casbah, Belcourt, Hussein Dey, Bd St-Saens, Maiso-Carrée, Rue Randon. Plusieurs morts et de nombreux blessés.
ALGERIE 28/04/56 : Un ouvrier agricole assassiné à Fort-de-l'Eau, un commerçant assassiné à Laverda ; un fauteuil piégé fait 4 blessés à Batna. Une grenade dans un café de Saint-Ferdinand fait deux blessés.
ALGERIE 04/05/56 : La guérilla du F.L.N. attaque un convoi militaire français, près de Tlemcen, tuant douze soldats.
ALGERIE 04/05/56 : 3 jeunes garçons enlevés par les rebelles à Aïn Beïda alors qu'ils faisaient une promenade à bicyclette.
ALGERIE 04/05/56 : Un car de la SATAC en stationnement incendié en plein jour, Avenue Malakoff.
ALGERIE 04/05/56 : Deux aviateurs enlevés après un atterrissage forcé à Guercif.
ALGERIE 04/05/56 : Trois personnes assassinés à Michelet, et Tizi-Ouzou.
FRANCE 04/05/56 : La grève organisé par le F.L.N. et le M.N.A. largement suivie en France par les ouvriers français-musulmans, la CGT et le P.C.
ALGERIE 05/05/56 : Vallée de Boudaou : Mine de baryte de Keddara saccagée.
ALGERIE 06/05/56 : 17/6/56. Deux fermes en aval de Keddara incendiées. Dégâts dans les bâtiments.
ALGERIE 07/05/56 : 16 tirailleurs massacrés au nord de Taza après avoir épuisé leurs dernières cartouches.
ALGERIE 07/05/56 : Près de Mekla 8 Goumiers de la SAS et le sergent Leblond égorgés après être tombés dans une embuscade, à Saint-Pierre- Saint-Paul.
ALGERIE 07/05/56 : Boufarik, un policier assassiné. Maison Carrée, 2 soldats assassinés.
ALGERIE 07/05/56 : UN leader du M.N.A , Ouhad Larid assassiné rue Porte6-euve à Alger par le F.L.N.
ALGERIE 09/05/56 : Vallée de Boudaou : Attentat contre trois reporters du Journal d'Alger escortés par les gendarmes de Saint-Pierre-Saint-Paul. - Le brigadier de gendarmerie est tué. El Hadj Achelaf Si Teyeb assassiné
ALGERIE 09/05/56 : 3 militaires Français tombent dans une embuscade à Kedara.
ALGERIE 09/05/56 : 4 fermes attaquées en ORANIE près de Lourmel, où un président de djemaa est abattu dans une mosquée.
ALGERIE 12/05/56 : Ferme Taous - Maison d'habitation incendiée, cheptel vif volé.
ALGERIE 15/05/56 : Ferme d'Arras incendiée
ALGERIE 18/05/56 : Palestro. Dix-neuf soldats français sont massacrés dans une embuscade tendue par le F.L.N. avec les armes volées par Henri Maillot.
ALGERIE 18/05/56 : Massacre dans un chantier de Biskra : 12 français égorgés par le F.L.N.
ALGERIE 18/05/56 : 10 goumiers enlevés par le FLN et égorgés au Sud de Lamoricière
ALGERIE 26/05/56 : Une attaque du F.L.N. coûte la vie à treize Français.
ALGERIE 18/06/56 : Fermes Sometal et Krauth incendiée
Ferme Goyard harcelée . Plusieurs meules et gerbiers incendiés - vignes saccagées.
ALGERIE 19/06/56 : Village Alma. - Un chef de bataillon en retraite, secrétaire de la section des anciens combattants de la région, assassiné en plein jour.
Ferme Guerrier. - 6 hectares de vigne saccagés.
Ferme La Valette- incendiée.
ALGERIE 23/06/56 : Ferme Coll Définitivement incendiée.
ALGERIE 29/06/56 : Fermes de Marc Salom et Fuch incendiées
ALGERIE 21/06/56 : Alger. Explosions de bombes posées par le F.L.N.
ALGERIE 02/07/56 : Huilerie Guy Bourlier - Incendie d'un hangar.
ALGERIE 07/05/56 : En Oranie, dans la plaine d'Aïn-Témouchent , dont à Lavayssière, attaquent et brûlent une cinquantaine de fermes et massacrent, égorgent et brûlent plus de soixante personnes en majorité musulmans.
ALGERIE 09/07/56 : Ferme Joseph Salom . Harcelée.
ALGERIE 09/07/56 : Saint-Pierre-Saint-Paul. - Garde champêtre indigène assassiné. Village plusieurs fois harcelé.
ALGERIE 09/07/56 : Vallée du Corso. Ferme Puget. En fin d'après-midi M. Puget, âgé de 90 ans, égorgé ainsi que sa gouvernante qui est éventrée.
ALGERIE 11/07/56 : Plusieurs grenades et coctails molotovs lancés à Alger ( Belcourt, El-Biar, au Ruisseau et derrière l'Opéra, par des terroristes en scooters ou en voitures.
ALGERIE 11/07/56 : Deux fermes encore attaquées à St-Pierre-St-Paul, par une forte bande rebelle.
ALGERIE 11/07/56 : Un gendarme assassiné en pleine journée dans le centre de Michelet.
ALGERIE 11/07/56 : Bombe dans le bain maure de la Casbah d'Alger.
ALGERIE 17/7/56 : Carrière de pierre Marti à Keddara- Bureau incendié.
ALGERIE 17/7/56 : Région de Keddara.
-incendie de la ferme Serra dont les propriétaires avaient été assassinés le 31/3/56
-Incendie de l'huilerie Guy Bourlier, de la maison d'habitation de la ferme Pierre Bourlier dont le cheptel vif, 3 mulets et 2 chevaux, est volé. Il reste à brûler l'écurie et la cave. Ce sera pour la prochaine fois.
-Ferme Guerrier, meules de paille et de fourrage incendiées. 6 hectares de vigne saccagés, soit en deux fois 12 hectares détruits - Superficie du vignoble réduite de moitié.
ALGERIE 17/7/56 : Maréchal-Foch. Ferme Ughetto : 4 300 pieds de vigne saccagés.
ALGERIE 19/7/56 : Sté du Djebel Aomar (vallée du Hamiz) 1 400 orangers - 17 000 pieds de vigne coupés, 20 000 pieds de tomates coupés.
ALGERIE 21/7/56 : au 24/7/56 : Vallée du Corso
-Ferme Lamy- 7 séchoirs à tabac incendiés - 2 hectares de vignes saccagés - 130 orangers coupés - 10 hectares de tabac arrachés.
-Ferme Ettighofîer - Meule de paille,hangars incendiés - plusieurs hectares de vigne saccagés.
ALGERIE 23/7/56 : Vallée de Boudouaou et du Hamiz.
Ferme Grosrenaud - incendiée.
Ferme Femenia - incendiée.
Ces fermes sont à 1 kilomètre de Maréchal-Foch.
ALGERIE 24/07/56 : Ferme Perello - incendiée.
ALGERIE 25/07/56 : Vallée du Corso. Assassinat de M. Garcia poignardé.
ALGERIE 28/07/56 : 28/7/56 : ferme Adrover incendiée.
ALGERIE 09/05/56 : 46 villages attaqués par le F.L.N. dans le Nord Constantinois( Rouached, Didjelli). De nombreux musulmans égorgés. Battaille de rue dans Rouached en feu.
ALGERIE 29/09/56 : Deux français en panne au Fondouk assassinés.
A Miliana un autre européen tué d'une balle en pleine tête.
ALGERIE 30/09/56 : Bombes au Milk-Bar, à l'Otomatic et à la Cafétéria à Alger. Plus de 3 morts et 60 blessés dont 12 amputés des membres.
ALGERIE 06/10/56 : La ferme de Roger "Cruchet" producteur laitier, à Hussein-Dey, en face du tennis de Bachdjarah, a été incendié par les rebelles le 6 octobre 1956 aux alentours de 23 heures. Une centaine de bêtes ont péris dans cet incendie.
MEDITERRANEE 22/10/56 : L'aviation militaire française détourne un avion d'Air Maroc qui effectue la ligne Rabat/Tunis avec, à son bord, plusieurs chefs du F.L.N. algérien (Ahmed Ben Bella, Ait Ahmed, Mohamed Boudiaf, Khider et Lacheraf).
MEDITERRANEE 23/10/56 : Violentes réactions en Tunisie et au Maroc où 8 français ont été assassinés et plusieurs blessés. Grève générale dans ces 2 anciennes colonies françaises. De nombreux magasins français lapidés et plusieurs véhicules incendiés.
ALGERIE 01/11/56 : Le garde champêtre indigène de Bou Zegza blessé
ALGERIE 12/11/56 : 3 bombes placées par le F.L.N. et le Parti Communiste explosent dans la gare d' Hussein-Dey, au Monoprix de Maison Carrée, et dans un autocar des TA à Alger : 36 personnes blessées, dont 11 femmes et dix enfants.
Pour suppléer l'Egypte, engluée dans le problème du Canal de Suez, le Parti Communiste Français vole au secours des rebelles pour les relancer, malgré l'exécution de Maillot.
ALGERIE 12/11/56 : Seddouk, 9 musulmans tués à Laperrine et El Marsa par le F.L.N. 10 Musulmans blessés par la bombe d'un terroriste. 7 Européens blessés par une grenade à Zemour.
Des hangars à tabac incendiés à Almeur-El-Aïn. Deux fermes encore attaquées à Saint-Pierre-Saint-Paul.
Bombe dans le train Inox Oujda-Oran : 8 Blessés.
Grenades dans deux cafés à Mascara et Bougie : 1 femme tuée, 10 blessés.
ALGERIE 15/12/56 : Grenade dans le hall d'un cinéma à Boufarik, un enfant tué, 18 blessés. Le terroriste lynché par la foule.
Blida. Attentat fait 2 morts et 2 blessés.
2 gendarmes tués devant Notre Dame d'Afrique, 3 blessés.
Trois élèves de l'Ecole Normale de Bouzaréah mitraillés dans un bar : 1 mort, 2 blessés.
Allée des muriers : 1 mort, 1 blessés.
Diar el mahçoul : 1 blessé.
1 grenade est lancée dans le café " Liond'Or "
1 tué, un blessé au " Rendez-vous des Amis "
Un manœuvre attaqué " Cité des Eucalyptus "
ALGERIE 16/12/56 : Vallée de Bouadouaou. Mine de baryte de Keddara abandonnée après plusieurs saccages
ALGERIE 23/12/56 : Attentat contre le garde forestier de Keddara et sa femme.
ALGERIE 28/12/56 : Amédée Froger, Maire de Boufarik, est assassiné par Ali la Pointe
ALGERIE 28/12/56 : 4 bombes placées par les Communistes explosent dans des Eglises (la Cathédrale d'Alger, Saint Vincent de Paul à Bab-el-Oued, Ste Marie de Mustapha et au Sacré-Cœur.
ALGERIE 28/12/56 : 7 bombes explosent à Bab-El-Oued et dans le quartier Michelet : 3 passants blessés.
ALGERIE 28/12/56 : 3 habitants de Camp-des-Chênes (Blida) enlevés et assassinés
Plusieurs joueurs de boules blessés par l'explosion d'une grenade à l'Arba.
ALGERIE 16/01/57 : A Vauban, les fellaghas incendient l'Eglise.
ALGERIE 16/01/57 : Des activistes "Algérie française" mènent une attaque au bazooka contre le général Salan. Ils manquent leur cible mais tuent le commandant Rodier, chef d'état-major.
ALGERIE 26/01/57 : 2 bombes à Bab-el-Oued 2 policiers blessés.
9 grenades à Alger : 1 seul blessé.
17h30 : 3 bombes toujours à Alger à la Cafétéria, à l'Otomatic, et au Coq Hardi : morts, 40 blessés.
Tentative d'évasion collective à la prison de Barberousse.
ALGERIE 10/02/57 : Le F.L.N. fait exploser plusieurs bombes dans les tribunes du stade municipal d'Alger (Belcourt) et au stade d'El-Biar : 10 morts et des centaines de blessés.
ALGERIE 04/03/57 : Exécution par la justice française de Mohamed Larbi Ben M'hidi, responsable de la guérilla du F.L.N. en Oranie.
FRANCE 26/05/57 : Paris. Le F.L.N. assassine l'ancien Président de l'Assemblée algérienne. Le meurtrier, Mohamed Ben Sadok, est arrêté et condamné aux travaux forcés à perpétuité.
ALGERIE 28/05/57 : Le F.L.N. attaque la cité de Melouza, considérée comme étant le fief du M.N.A. pendant ce raid: 338 français-musulmans assassinés, massacrés, égorgés et émasculés par le F.L.N. à Melouza et Wagram.
FRANCE 29/05/57 : Marseille. Mohamed Mahiddine, responsable du F.L.N. algérien pour le sud de la France, est assassiné.
ALGERIE 03/06/57 : Alger, Le F.L.N. fait exploser plusieurs bombes dissimulées dans des lampadaires, aux arrêts d'autobus, à la sortie des bureaux : 8 morts, plus de cents blessés.
ALGERIE 03/06/57 : Alger Saint-Eugène, un garde territorial et un voyageur musulman blessés
ALGERIE 04/06/57 : Tlemcen. Le F.L.N. attaque un poste militaire français, tenu par des tirailleurs sénégalais. Il y a trois morts et onze blessés.
ALGERIE 10/06/57 : Beni-Illemane, massacre à Kasbah-Mechta. 250 musulmans massacrés.
ALGERIE 10/06/57 : Alger. Casino de la Corniche. Le F.L.N. fait exploser une bombe dans le dancing du Casino de la Corniche : 11 morts dont Lucky Starway, plus de cent blessés.
ALGERIE 10/06/57 : La ferme " Clos de l'Oasis ", après avoir été déjà pillée est ravagée par un incendie.
FRANCE 02/08/57 : Paris. Un attentat, mené par le F.L.N. algérien et visant des musulmans, fait six morts et quatre blessés.
ALGERIE 13/08/57 : Mascara. Un fermier et sa famille tombent dans une embuscade: 1 mort, M. Antoine FUSTER, 3 blessés graves
Bône, le Militaire UT Aimé-Louis BONNEFOUX (employé à la caisse d'allocations familiales), 39 ans, originaire de Bône, est victime d'un attentat. Il décédera chez lui. Reconnu "MORT POUR LA FRANCE" le 19/12/1957.
Bône le Militaire UT Joachim, Henri IMPERATO (entrepreneur de travaux publics), 40 ans, originaire de Bône, est victime d'un attentat. Il décédera chez lui. Reconnu "MORT POUR LA FRANCE" le 28/01/1958.
ALGERIE 26/08/57 : Courbet, 7 ouvriers agricoles français dont 3 femmes et un enfant massacrés par 30 fellaghas.
FRANCE 26/08/57 : A Lille, 3 musulmans périssent carbonisés dans l'attaque et l'incendie d'une brasserie
ALGERIE 26/08/57 : Orléansville. La Synagogue incendiée.
ALGERIE 24/09/57 : Yacef Saadi, chef du réseau terroriste F.L.N. d'Alger, est arrêté par des parachutistes français.
FRANCE 28/10/57 : Paris. Le F.L.N. assassine le Député algérien Hocine Cherchalli, ainsi que Ahmed Bekhat, secrétaire de l'Union des Travailleurs Algériens.
FRANCE 27/11/57 : Paris. Le F.L.N. tente d'assassiner Abdelkader, Secrétaire d'Etat algérien.
MAROC DECEMBRE 1957 : Abane Ramdame, dirigeant du F.L.N. algérien, est assassiné.
FRANCE 19/12/57 : Une bombe, probablement posée par le F.L.N., explose à bord d'un avion d'Air France. L'appareil parvient à atterrir à Lyon sans dommage grave ni victime.
TUNISIE 08/02/58 : L'aviation française bombarde le village tunisien de Sakhiet-Sidi-Youssef, par "représailles" contre le F.L.N. algérien qui se repliait en Tunisie après ces attaques contre les français d'Algérie. Il y a soixante-dix morts, dont un certain nombre de femmes et d'enfants.
ALGERIE 09/05/58 : Le F.L.N. assassine, en Tunisie, trois militaires français, capturés peu avant.
ALGERIE 29/05/58 : Bône, Guy Armand KOLSCH, 21 ans, militaire originaire de Toulon est tué.
ALGERIE 17/08/58 : Ouadhias. Le F.L.N. enlève le missionnaire méthodiste américain Lester Griffith. Celui-ci sera libéré le 27 septembre.
FRANCE 20/08/58 : Rouen. Le F.L.N. fait sauter quatre cuves de stockage d'essence. Pas de victime.
FRANCE 25/08/58 : Notre-Dame-de-Gravenchon. Un Algérien est tué par sa bombe, alors qu'il se préparait à commettre un attentat contre une raffinerie de la compagnie Esso. Il est probable que cet homme était un membre du F.L.N. algérien.
FRANCE 25/08/58 : Paris. Un commando du F.L.N. attaque une fabrique de munitions dans les faubourgs de la ville, tuant quatre policiers. Les terroristes perdent, quant à eux, deux des leurs.
FRANCE 25/08/58 : Un commando du F.L.N. algérien attaque une raffinerie, près de Marseille. Il y a incendie, à la suite duquel dix-sept pompiers sont blessés.
FRANCE 26/08/58 : L'attaque d'un commando du F.L.N., contre des policiers, fait huit blessés.
FRANCE 28/08/58 : Paris. Le F.L.N. assassine un soldat français.
FRANCE 30/08/58 : Le F.L.N. assassine un soldat français, dans le métro de Paris.
FRANCE 15/09/58 : Paris. Un commando du F.L.N. ouvre le feu contre la voiture du Ministre de l'Information, Jacques Soustelle. La police intervient et une fusillade s'ensuit, occasionnant un mort et deux blessés. Deux terroristes sont arrêtés et condamnés à la prison à perpétuité.
FRANCE 28/09/58 : Paris. Une bombe, posée par le F.L.N. algérien, est découverte sur la Tour Eiffel.
ALGERIE 04/03/59 : Sur la route menant du Maroc à Oran, près du Col du Juif, le F.L.N. tend une embuscade contre une voiture conduite par des journalistes. Le photographe de presse américain Flint Kellens est tué, ainsi que Raymond Aircle, un Allemand servant d'interprète. Un autre photographe est quant à lui grièvement blessé.
ALGERIE 28/03/59 : Les colonels rebelles Aït Hamouda Amirouche (Zone III) et el-Haouès Ben Abdelkader (Zone IV) sont abattus par l'armée française.
ALGERIE 23/04/59 : Azazga. Des véhicules militaires français passent sur des mines, au cours d'un défilé du 13ème Régiment de cavalerie. Un officier est tué et cinq soldats sont blessés suite à cet attentat organisé par le F.L.N.
PAYS-BAS 13/09/59 : Une bombe explose, au large des côtes hollandaises, à bord du navire allemand Brussard. Ce cargo transportait des armes pour le F.L.N. algérien, aussi les services spéciaux français sont-ils particulièrement soupçonnés. Aucune victime n'est rapportée.
FRANCE 17/09/59 : Chantilly. Un commando de cinq membres du F.L.N. algérien tente d'assassine Messali Hadj, dirigeant du Mouvement National Algérien. La police tue deux des terroristes.
ALGERIE 24/09/59 : Explosions de plusieurs bombes, posées ou lancées par le F.L.N., Neuf Français sont tués et douze autres blessés.
ALGERIE 27/09/59 : Blida. M. Louis MALANDIN, C. R. S., et son épouse, née Noella BROQUISSE, ont sauté sur une mine, en se promenant sur un chemin de campagne Hospitalisés très grièvement blessés aux jambes. Madame MALANDIN est décédée le lendemain de l'attentat (28/09/1959, et Monsieur MALANDIN quelque jours après, le 12/10/1959.
Bône. MM. DIAF Khalef, adjoint au maire de RANDON, et son frère, DIAF Said, juge au Tribunal pour enfants, assassinés devant leur ferme.
ALGERIE 15/01/60 : LE CHENOUA : Deux véhicules de la SAS tombent dans une embuscade : 4 soldats tués
ALGERIE 24/01/60 : Des membres de l'extrême droite ouvrent le feu sur des gendarmes à Alger. Il y a quatorze morts et cent vingt-trois blessés.
FRANCE 04/05/60 : Paris. Un membre du F.L.N. ouvre le feu à cinq reprises sur Robert Abdesselam, membre de l'Assemblée nationale, qui est blessé.
ALGERIE 31/07/60 : Le F.L.N. assassine treize Français sur la plage Carobier( ?), entre Alger et Cherchell. Six autres Français sont blessés.
ALGERIE 21/09/60 : Une mine placée par la guérilla F.L.N. explose à Biskra et tue trois officiers français.
ALGERIE 08/10/60 : Un membre du F.L.N. lance une grenade à l'intérieur d'un café de Bône, tuant une personne et en blessant douze autres. Les victimes étaient des marins français et britanniques.
ALGERIE 03/12/60 : Mme Salles, 27 ans, et de sa fillette Marie Pierre âgée de 3ans, victimes d'un attentat terroriste à Blida. M. Fernand SALLES, grièvement blessé au cours de l'attentat.
ALGERIE 12/12/60 : Bône, l'armée tirent sur les manifestants et tuent 8 personnes, 2 européens et 6 musulmans. Parmi les victimes le jeune KANDEL,16 ans
Fernand Jean Désiré GUIOL, 39 ans, officier de renseignement, est tué par des fellaghas cachés dans une maison à la périphérie de la ville.


ALGERIE MAI 1961 : Pour tout le mois, le F.L.N. commet cent et treize attentats qui font quatre-vingt-cinq morts et cent vingt et un blessés.
ALGERIE 08-13/06/61 : Le F.L.N. commet trente-trois attentats à Alger.
ALGERIE 09/06/61 : Le F.L.N. commet plusieurs attentats à Alger, qui font quatre morts et cinquante-quatre blessés.
ALGERIE SEPTEMBRE 1961 : Pour tout le mois, le F.L.N. ET EN R2ACTION LE F.L.N. commettent sept cents soixante-trois plasticages et tuent neuf personnes à Alger. ( 1 pour l'O.A.S., 8 le F.L.N.)
ALGERIE 02/10/61 : Bône : Sauveur Portelli, 40 ans, de Juanola, négociant mandataire à Bône, tué à coups de poignard en ville.
ALGERIE 20/10/61 : A vingt heures dix, le F.L.N. fait exploser une grenade dans le café Château-Neuf d'El Biar, faisant un mort et sept blessés.
A vingt heures quinze, une autre grenade explose dans le Café du Progrès, blessant gravement trois personnes.
Enfin, à vingt heures dix-sept, les nationalistes du F.L.N. font sauter une troisième grenade contre un café de Saint-Raphaël, où encore plusieurs personnes sont blessées.
D'autres attentats du F.L.N. ont également eut lieu dans la journée. Le total des victimes de ce 20 octobre est de dix-neuf morts et plusieurs blessés.
ALGERIE 01/11/61 : Les manifestations du GPRA et de l'ALN font 25 morts et 100 blessés.
ALGERIE NOVEMBRE 1961 : Explosions de bombes contre l'Otomatic, le Tantonville, le Cheval Blanc, le Joinville, le Coq Hardi et le Viaduc, établissements fréquentés par des étudiants, sportifs à Alger. Ces attentats sont dus au M.P.C. (Mouvement Pour la Coopération) et n'ont pas occasionné de victime.
Dans le courant du même mois, Zaoui Mohamed, membre du F.L.N., tente d'assassiner un officier français qui est seulement blessé. Le terroriste s'enfuit mais, plus tard, il sera retrouvé par ce même officier qui l'abattra en pleine rue.
ALGERIE 27/11/61 : Gueboub Boualen, membre du F.L.N., assassine Roger Falip, soupçonné d'appartenir à l'O.A.S.
ALGERIE 26/03/62 : L'armée française, aidée par l'A.L.N. , a tiré sur une foule qui manifeste pacifiquement pour la libération de Bab-el-Oued encerclé depuis presque une semaine, rue d'Isly, à Alger. Il y a 56 morts et plus de deux cents blessés.
ALGERIE AVRIL 1962 : malgré les accords de cessez-le-feu, on dénombre trente-deux attentats F.L.N. pour tout le mois.
ALGERIE MAI 1962 : Quatre-vingts attentats F.N.L. pour tout le mois de mai.
ALGERIE 02/05/62 : Une voiture piégée par le F.L.N.explose à Alger, tuant soixante-deux personnes et en blessant cent et dix autres.
ALGERIE 14/05/62 : Attaques à Alger, en dix-sept endroits différents, par des commandos du F.L.N. se déplaçant en voiture. Ces raids font dix-sept morts et trente-cinq blessés.
ALGERIE 26/05/62 : Jean-Pierre Ferrer et sa sœur Marie-Françoise, 17 et 16 ans, embarquent en clandestins sur un Constellation d'Air-France pour Marseille ; Direction Voiron(38) )
ALGERIE 17/06/62 : Accords de cessez-le-feu à Alger entre l'O.A.S. et l'O.A.S.
ALGERIE 05/07/62 : Malgré le cessez-le-feu, le F.L.N. assassine plus de 5000 civils Européens à Oran. L'armée française n'intervient pas.

FIN DE L'ALGERIE FRANCAISE .

MALGRE TOUS CES MASSACRES LA FRANCE
N'A AUCUNE CONSIDERATION POUR LES DEPATRIES D'ALGERIE.

Dernière mise à Jour : 26 septembre 2014
AVIS IMPORTANT

Cette Liste n'est Malheureusement pas Complète. Que Tous Ceux qui ont des Dates Précises, des Coupures de Journaux ou Autres Documents Faisant Etat d'Autres Attentats, nous les Fassent Parvenir. Nous Inscriront Cela dans Cette Liste pour Faire Comprendre à Tous Ceux qui Veulent Cacher la Terrible Vérité de Cette Guerre Civile, la Réalité de la Vie Quotidienne de Tous Ceux qui Voulaient Rester Français et Vivre en Paix Entre Toutes les Communautés.



http://bone.piednoir.net/titre_rubrique/listes%20de%20victimes/annee54.html

Chronologie des attentats F.L.N. 
Par Jean Pierre Ferrer et l'équipe du CRI
- ANNEE 1954 -



ALGERIE 14/05/52 : Messali Hadj, Président du mouvement nationaliste M.T.L.D., est arrêté et transféré à Niort, en France, où il est placé en résidence surveillée.ALGERIE AOUT 1954 : Le C.R.U.A. fixe au 1er novembre 1954 le début des actions de guérilla pour la lutte vers l'indépendance.
ALGERIE 01/11/54 : Le F.L.N. déclenche la guerre d'indépendance en commettant soixante-dix attentats sur tout le territoire. Huit personnes, dont plusieurs Français, sont tuées. On dénombre aussi plusieurs sabotages comme les dépots de carburant Mory ou Radio-Alger.
Les premières victimes sont: MM. François LAURENT, à LAPASSET en ORANIE, Hamed HAROUK, agent de police à DRA-EL-MIZAN; Ben Hadj SADDOK, caïd de M'CHOUNECHE; Guy MONNEROT, instituteur à TIFELFEL, originaire du LIMOUSIN; et le lieutenant DARNAULT et deux canonniers au poste de KHENCHELA, dans l'AURES.
Mme. MONNEROT est grièvement blessée aux côtés de son mari.
ALGERIE 6/11/54 :-M. Roger HYZER, chauffeur, tué au cours de l'attaque d'une voiture.
-Deux cargos, soupçonnés de se livrer à la contrebande des armes sont arraisonnés à ALGER et à PHILIPPEVILLE.
ALGERIE 9/11/54 :: Des armes achetées à TOULON et à MARSEILLE saisies à bord du paquebot "Gouverneur Général CHANZY".
ALGERIE 16/11/54 : Le F.L.N. attaque le village de Pasteur et de Makouba. Plusieurs morts.
ALGERIE 14/12/54 :: Les rebelles assassinent 15 musulmans francophiles de l'AURES.
ALGERIE 24/12/54 :: RANDON. L'église de DAHROUSSA est saccagée sur l'ordre de ZEDAM Mohamed, chef terroriste.


MALGRE TOUS CES MASSACRES LA FRANCE
CAUTIONNE, AIDE ET FINANCE LES DIRIGEANTS DU
F.L.N. EN ALGERIE DEPUIS 1962.

AVIS IMPORTANT

Cette Liste n'est Malheureusement pas Complète. Que Tous Ceux qui ont des Dates Précises, des Coupures de Journaux ou Autres Documents Faisant Etat d'Autres Attentats, nous les Fassent Parvenir. Nous Inscriront Cela dans Cette Liste pour Faire Comprendre à Tous Ceux qui Veulent Cacher la Terrible Vérité de Cette Guerre Civile, la Réalité de la Vie Quotidienne de Tous Ceux qui Voulaient Rester Français et Vivre en Paix Entre Toutes les Communautés.



TIGHANIMINE
C'est ici qu l'instituteur MONNEROT
et le caîd de M'Chouneche ont été tués
le 1er Novembre 1954
TIGHANIMINE
C'est ici qu l'instituteur MONNEROT
et le caîd de M'Chouneche ont été tués
le 1er Novembre 1954

http://destins.notrejournal.info/CASSAIGNE-le-1er-Novembre-1954?var_recherche=laurent%2520fran%25E7ois




cassaigne, le 1er novembre 1954

mercredi 24 août 2005par mansion
L’Histoire a retenu que la première victime de l’insurrection Algérienne a été Guy MONNEROT. En réalité, c’est LAURENT FRANCOIS qui fut le premier tué de cette guerre.
LAURENT FRANCOIS est né le 6 février 1939, il a 22 ans quand il sera assassiné le 1er Novembre 1954 vers 1 h 30.
Grace à son courage (il aurait pu s’enfuir et rentrer chez lui), il évita une effusion de sang plus importante sur le 
village de CASSAIGNE et en particulier à la gendarmerie.
image: http://destins.notrejournal.info/local/cache-vignettes/L468xH324/cassaigne-2581a.jpg

Dans la nuit du 31 Octobre au 1er Novembre 1954, un groupe de fellaghas sous les ordres de Sahraoui et Belhamiti 
s’apprètent à attaquer la gendarmerie de CASSAIGNE. Ils disposent d’armes de guerre (3 carabines italiennes et un fusil mauser).
De leur coté LAURENT FRANCOIS et MENDEZ JEAN FRANCOIS reviennent d’un bal à Mostaganem et rentrent chez eux à PICARD en 4cv.
A la sortie de OUILLIS en direction de CASSAIGNE, ils aperçoivent un homme en sous-vêtements, au bord d’une rangée de vignes.
L’homme ne bouge pas mais leur fait de grands signes. Ils s’arrêtent à sa hauteur et ouvrent une portière. Ils ont juste le temps d’entendre l’homme leur crier d’aller chercher du secours que des coups de feu résonnent dans la nuit. Il s’agit de Mr MIRA, gérant de la ferme MONSONEGO.
Le pare-brise de la 4 CV vole en éclats ainsi que la vitre de la portière du côté de LAURENT qui re-démarre en trombe. Ils étaient complètement hébétés et ne réalisaient pas ce qui arrivait. LAURENT a du sang sur le côté gauche du front. Il s’éponge le front avec un mouchoir. Ils décident d’aller avertir la gendarmerie de CASSAIGNE. Ils arrivent en trombe sur la petite place devant la gendarmerie. Ils ne prennent pas le temps de refermer les portières ni d’éteindre les phares.
Ils sonnent désespéremment au portail d’entrée et attendent qu’on leur ouvre. Ils sont éclairés par l’ampoule électrique allumée au-dessus du portail qui faisait d’eux une excellente cible pour les tireurs embusqués. Belkoniène et Tehar, en position à une vingtaine de mètres tirent chacun un coup de feu. LAURENT FRANCOIS s’écroule, mortellement atteint d’une balle à la nuque, MENDEZ Jean-François est frolé par la balle, il s’affaisse mais n’est pas atteint. Le troisième coup de feu n’atteint personne. Les terroristes s’enfuirent.
Dans la rue, des lumières s’allument dans un grand bâtiment qui se trouve être la prison. MENDEZ voit LAURENT qui ne bouge pas. Il appelle au secours mais personne ne répond. Il décide de s’enfuir, dévale une pelouse et tombe nez à nez sur un gardien de nuit qui dirige son fusil dans sa direction. Il parvient à lui expliquer ce qui se passe. Un second garde de nuit arrive en titubant et leur dit qu’il vient de se faire attaquer. Ses agresseurs lui ont volé son fusil. Une autre personne, qui apparaît en haut du talus avec une lampe torche à la main demande ce qui se passe. MENDEZ répond qu’ils ont besoin d’un docteur pour le copain qui est blessé et qui gît devant la porte de la gendarmerie.
Ils courent chez le docteur GUILBERT qui a été réveillé par tout le bruit. Il se rend immédiatement au chevet de LAURENT.
MENDEZ retourne devant la gendarmerie, recogne à la porte d’entrée et actionne les klaxons des voitures.
Enfin la porte s’ouvre et deux gendarmes apparaissent. Le docteur qui est en train d’examiner Laurent demande aux gendarmes d’appeler du secours.
Le docteur fait un premier diagnostic qui n’est pas rassurant et demande aux gendarmes d’avertir les autorités.
Les gendarmes se mettent au travail mais il n’y a plus de téléphone. Toutes les lignes téléphoniques ont été coupées. Le seul contact reste la radio ; il est presque 2 heures du matin. Il faudra attendra l’heure de vacation avec la gendarmerie de MOSTAGANEM.
Le chauffeur de l’Administrateur arrive avec un fourgon qui servira d’ambulance au transport de LAURENT, toujours inanimé, à l’hôpital de MOSTAGANEM. LAURENT succombera avant son arrivée à l’hôpital.
MENDEZ reste à la gendarmerie afin d’y être interrogé. Les gendarmes ont enfin la vacation avec MOSTAGANEM qui met 
alerte toute la région.
Les gendarmes s’apercevront que les chiens avaient été endormis et que les terroristes étaient déjà parvenus sur le toit. La mort de LAURENT avait sauvé la gendarmerie d’un drame sanglant.
Le gérant de la ferme MONSONEGO, Mr MIRA, en était quitte pour une grosse peur. Les terroristes avaient tenté de faire sauter le transformateur électrique de OUILLIS qui alimentait tout le Dahra.
Les obsèques de Laurent François eurent lieu le 3 ou 4 novembre. Tout Picard était là, les villages voisins également étaient venus rendre un dernier hommage à cet enfant du pays de 22 ans. Beaucoup de monde mais pas un seul officiel, pas une seule autorité n’assista à ses obsèques.
Le lundi 8 novembre MENDEZ Jean François est appelé pour une reconstitution des évènements à CASSAIGNE. Il demande une escorte qui lui est refusée et n’assista pas à cette reconstitution. Les terroristes avaient été arrêtés quelques jours plus tôt et leur chef abattu.
Lors de cette reconstitution, un gendarme dit qu’il était inadmissible que le témoin principal ne soit pas présent et l’on se rendit compte qu’il y avait encore sur le portail de la gendarmerie des petits morceaux de cuir chevelu et des mèches de cheveux de LAURENT.
Dans le mois qui a suivi, presque tous les gendarmes ont été déplacés. Aucun motif n’a été communiqué.
On n’a plus entendu parler de l’attentat de CASSAIGNE jusqu’au jour du jugement des terroristes, le 23 juillet 1955, où la sentence a été prononcée :
Condamnés à la peine capitale : Belkoniène Taïeb, Tehar Ahmed et Saharoui Abdelkader ;
Travaux forcés à perpétuité : Belhamiti ;
20 ans de travaux forcés : Chouarfia, Belkoniène Mohamed.
MENDEZ assista au jugement. Il fut dédommagé d’un remboursement de son déplacement de la journée, il bénéficia d’un "acte de courage et de dévouement" signé du Ministre de l’Intérieur, François MITTERAND en 1956 et d’une carte de félicitations de Roger Le BARON de SAIVRE, député d’Oran et de l’Assemblée Nationale.
LAURENT François n’eut pas les honneurs de sa Patrie.

En savoir plus sur http://destins.notrejournal.info/CASSAIGNE-le-1er-Novembre-1954#iMhBJLXD8rfDCr5V.99

http://tenes.info/galerie/1NOVEMBRE1954/LE_CAR
e car qui transportait
le couple MONNEROT.
l'embuscade était dans les gorges
de Tighanimine
Nationale 31, kilomètre 80
entre ARRIS et BISKRA.
Le chauffeur du Car, Djemal HACHEMI
est complice des tueurs. 
Il arrètera le car en voyant 
quelques pierres sur la route
au lieu de foncer

le car qui transportait
le couple MONNEROT.
l'embuscade était dans les gorges
de Tighanimine
Nationale 31, kilomètre 80
entre ARRIS et BISKRA.
Le chauffeur du Car, Djemal HACHEMI
est complice des tueurs. 
Il arrètera le car en voyant 
quelques pierres sur la route
au lieu de foncer


http://bone.piednoir.net/titre_rubrique/listes%20de%20victimes/liste_instits_tues.html

http://tenes.info/galerie/albums/1NOVEMBRE1954/1954_11_16.jpg

nstituteurs et instructeurs des départements d'Algérie
"Assassinés pour la France 1954 - 1962"
Paru sur la revue "Trait d'Union N° 48, décembre 2000
Envoyé par M. Gabriel Chaudet

1954
MONNEROT Guy, assassiné à Tifefel (Aurès) le 11, novembre 1954

1956
DUPUY Paul, de Montpellier est porté disparu le 7 janvier 1956 en Kabylie
NICOLAÎ Jean-François, assassiné le 11 avril 1956 à Vieux Mila
Mme PICHELIN du collège de Blida assassinée à la Chiffa en mai 1956.
NAUDONT Norbert, assassiné à Sidi Bel Abbés le 9 octobre 1956
PONCELET Pierre-André, professeur de musique, grièvement blessé à ALGER le 27 octobre 1956
PEREZ Vincent, assassiné à Alger (20 ans) en novembre 1956
CHAROLLES, instituteur à Messad (Djelfa) assassiné avec sa femme et leur bébé en 56.
ADDED Jacques, un jeune normalien, tué à Constantine, le 15 décembre 1956

1957
HADDID Jacky, 20 ans, assassiné à Constantine en 1957
Mlle ALCARAZ Lydie, égorgée à Mazouna le 8 mai 1957


1958
ARCAMONE Antoine assassiné le 8 février 1958 près de Guelma
CURTIL Jean, un jeune instituteur de Constantine disparaît en allant visiter les ruines romaines à proximité de la ville le 1 mai 1958
Mlle SCHNEIDER Nelly, égorgée à Mazouna le 8 mai 1958
SIROUR, instituteur, est enlevé près de Colomb-Bechar le 30 juin 1956
Mlle MORAND France, assassinée près de Boufarik le 16 octobre 1958
TOUX Pierre, directeur, assassiné à Bugeaud le 9 novembre 1958
BIRAC Bertrand, directeur, assassiné à Blida le 10 novembre 1958
BARBERIS Bernard, 20 ans, assassiné à Mechtras en 1958
ADDED Jacques assassiné à Constantine en 1958 (4ème année d'E.N.)


1959
Mlle VALLE Antoinette, institutrice à St Cyprien les Attafs assassinée en octobre 1959
BACRIE Robert, instituteur assassiné en 1959 sur la route d'Aïn-Mokra (Bône)
Mme FLAMENT, institutrice enlevée à Mirabeau le 1er décembre 1959
FLAMENT André, assassiné à Bouberak le 1er décembre 1959
CECCALDI Antoine, assassiné à Blida le 2 décembre 1959
GAUTIER Francis, directeur, assassiné à Souma le 2 décembre 1959


1960
Mme SENU, directrice assassinée à Rochnia le 30 janvier 1960
DAMPROBE, professeur au C.C. de Mac Mahon, assassiné le 16 juin 1960
CHOUKROUN Akli, directeur, assassiné à Sidi-Aïch en 1960

1961
PIACENTILE Georges, assassiné à Oran le 25 juin 1961
GROUART DE TOCQUEVILLE Arnaud, instituteur à Kenchela, assassiné le 14/7/61
BON Pierre, instituteur à Aïn Dakar (Sétif) assassiné le 7 octobre 1961
BENECH jean, assassiné le 21 octobre 1961 à Oran
LUCCHINI Antoine, assassiné rue Darwin à Alger le 17 novembre 1961
TOUX Pierre, directeur, assassiné à Bugeaud en 1961
VAISSADE, instituteur, Cité Ameziane (Constantine) assassiné en 1961
CANILLAC Gérard Danielle assassiné à Kherba près d’Affreville en 1961.
ALEMANY-FERNANDEZ Danielle assassiné à Kherba près d’Affreville en 1961.


1962
COURVOISIER, "disparu" à Tlemcen début 1962
TOUBAL Mahieddine, assassiné à Maison Carrée début 1962
PALISSIER Armand, instituteur (20 ans) école Gambetta, assassiné le 10/01/62 à Alger
DIAFFER Mohamed, directeur, assassiné à Birmandréis le 26 janvier 1962
BEYTOUT Jean-Pierre, assassiné le 3 février 1962 à Kouba
VIALA Marius, assassiné à Affreville le 19 février 1962
SEMBACH Marc, instituteur à Constantine, assassiné le 28 février 1962
ROUSSEAU Jean-Claude, 19 ans, assassiné à Maison Carrée en février 1962
FALZON Bernard, instructeur assassiné le 11 mars 1962 à Aïn Kerma
Mme Vve HUGUES René, tuée rue d'Isly à Alger le 26 mars 1962
LAMENDOUR Gilbert, tué rue d'Isly à Alger le 26 mars 1962
LURATI Henri, tué rue d’Isly à Alger, le 26 mars 1962
Mme MESQUIDA Alfred, tuée rue d'Isly Alger le 26 mars 1962
FIORE Gérard, 18 ans, "disparu" à Jemmapes le 26 avril 1962
BORDES Lucien, 22 ans, assassiné en mars 1962 à Alger
EMOURGEON Jean-Pierre, directeur, assassiné à Constantine en mars 1962
LLINARES Noël, directeur, assassiné à Alger en mars 1962
GARCIA André, 23 ans, disparu, le 28 avril 1962
Mme PEREZ Claude, disparue à Inkerman le 4 mai 1962
RUBIO José, "enlevé" à l'Arba le 17 mai 1962
GRIMALT jean Claude, "enlevé" à Belcourt Alger, mai 1962
COURIOL Jean, "disparu" à Rocher Noir le 11 juin 1962
SINTES Roger, "disparu" à Alger le 23 juin 1962
Mlle KOHLER Eliane, disparue Clos Salembier Alger, juin 1962
CINESTE Daniel, "disparu" (!) à Aîn el Turck le 5 juillet 1962, instructeur, 19 ans.
GARCIA Marcel, "disparu" à Oran le 5 juillet 1962
PARDO Raymond, "enlevé" à Oran le 5 juillet 1962
RUBIO Antoine, assassiné à Ain Témouchent le 5 juillet 1962
ULPAT Marcel de Vialar, assassiné à Oran le 5 juillet 1962
LESCALIER Guy, "disparu" à Misserghin (Oran) le 6 juillet 1962
CHILLAUD Claude, "disparu" à Boufarik le 30 juillet 1962
WOLF Henri, directeur, assassiné à Oued-Fodda en juillet 1962
BONAMY Gérard, "disparu" à Birkadem le 2 août 1962
Mme ROBERT, institutrice assassinée à Montgolfier avec ses 2 enfants de 3 et 5 ans le 6 septembre 1962
PISSIS Henri, "disparu" à Hassi-Messaoud le 11 septembre 1962







DATES inconnues ?
BOSSERT, directeur, assassiné à Abbo
PASQUALINI Marius, assassiné à Maison Carrée
JOUGOUGNOUX, égorgé près de Bougie

A cette liste, que notre Amicale a déjà publiée dans son Trait d'Union, il convient d'ajouter tous ceux, tragiquement assassinés et odieusement oubliés par : les pouvoirs publics, les journalistes, les télés si empressés aujourd'hui, s'il s'agit d'une princesse britannique, d'un ministre israélien voire d'un agitateur sud américain ! Ainsi va la France ...
Nos morts n'ont que nous pour nous souvenir, alors, j'ajouterai les noms glanés dans vos lettres :

Et pourquoi ne pas ajouter, à titre d'exemple, les noms de quelques membres de nos Familles ; la grande Famille enseignante et ceux des nôtres tombés sous l'uniforme, en Algérie tel :

M.LEYRIT Jean-Pierre sous lieutenant, instituteur à Birmandréis, rappelé, tué le 6/09/58 (major de sa promotion à l'E.N. Bouza)
M.TORDO Gérard, instituteur à Ténès, lieutenant rappelé, tué en mai 1960.
M. FRAPPA Joseph époux de notre collègue, assassiné à Gouraya le 5 janvier 1960.
M. PEYRON père de notre amie Andrée (devenue Mme MIR) abattu près de Cherchell le 3 juin 1959.
Toute la famille de notre collègue Mlle PRUVOST d’Hydra assassinée en mars 1960 à Tizi-Ouzou.
Le mari de notre collègue Mme DI MARTINO, lieutenant tué en opérations près de Bou Saada.
Mme CATALA institutrice à Bérrouaghia dont le mari fut assassiné en octobre 60.
Et, puisqu'il faut bien clore cette liste tragique - encore que très incomplète ! citons Mme SIX institutrice à El Biar qui a vu son fils assassiné en novembre 60 alors qu'elle avait perdu son mari durant la campagne de France

D'autre part, nous annoncions M. HASSEN Alfred, égorgé école Jeanmaire à Tizi-Ouzou.
NOUS avons reçu le témoignage suivant:
J'ai habité deux ans à Tizi-Ouzou de 65 à 67 et j'ai connu la famille Hassen, dont le fille était interne en même temps que moi au lycée d'Alger. C'est après en 68 ou 69 , je ne me souviens plus de la date exacte, que M. Hassen fut tué à coups de hache par un autre instituteur qui était devenu fou et essayait de tuer sa propre famille.
Le meurtre avait choqué profondément les habitants de Tizi-Ouzou. Le meurtrier a été interné, selon un article du code pénal algérien analogue à l'article 64 en France.
Lier ce meurtre à la guerre d'Algérie me semble difficile.
Voilà, je voulais vous amener ces précisions. Si vous voulez une date exacte, je me souviens que Le Monde en avait parlé à l'époque.
Jean Alain THOMAS (né en 52 à Rabat, de 56 à 67 en Algérie : Molière, Orléansville, Djelfa, Mostaganem, Batna, Tizi-Ouzou)
Souvenons-nous !



ليست هناك تعليقات: