الأحد، نوفمبر 1

الاخبار العاجلة لاحتفال الجزائر بعيد الارهابي الجزائري المصادف لدكري اول نوغمبر 1954حيث اغتيل معلم ومعلمة في طريق بسكرة يدكر ان الجزائر تقدس المجرم والارهابي وتحتقر المغكر والعالم وهكدا اصبح اغتيال المعلمين شعار ثورة الارهابين الجزائريين وشر البلية مايبكي

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 الاخبار  العاجلة  لاحتفال  الجزائر  بعيد  الارهابي الجزائري المصادف لدكري اول نوغمبر 1954حيث اغتيل  معلم ومعلمة في  طريق بسكرة يدكر ان  الجزائر تقدس المجرم والارهابي وتحتقر المغكر والعالم وهكدا اصبح اغتيال المعلمين  شعار ثورة الارهابين الجزائريين وشر البلية مايبكي
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الاخبار العاجلة لمطالبة الصحافية ازدهار فصيح من سكانقسنطينة اخلاء الطرقات  لخروج الضيوف الوزراء من ملعب الارهابي حملاوي  الى ديوان الوالي  وسكان قسنطينة يكتشفون ان برامج اداعة قسنطينة كيفت وفق اهواء الوزراء القادمين الى قسنطينة من اجل التسلية الرياضية والترويح النفسي عبر اغاني الحمار خالد يدكر انه وزعت 2500تدكرة بسعر 1500دج وقدروا اموال حفلة غنائية علما ان الشاب خالد الصديق الشخصي للزوعيم السعيد بوتفليقة وشر البلية مايبكي



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Laurent François
Héros malgré lui.
Par Yves Henry
Echo d'Oranie N° 283 - Novembre 2002

            1er Novembre 1954 !... 1er Novembre 2002 ! : Presque un demi-siècle déjà ! II y a quarante huit années, un jeune civil de 22 ans, Laurent François, natif de Picard, trouvait la mort, dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954, à 1 heure du matin, devant le portail de la gendarmerie de Cassaigne, à l'instant même où, avec son ami d'enfance, Jean François Mendez, 20 ans, de Picard également, ils accomplissaient ensemble, le premier acte de courage, de civisme, et de dévouement, dans cette nuit de déclenchement d'une rébellion qui annonçait les huit années de la guerre d'Algérie.
            On peut parler d'un acte d'héroïsme de la part de ces deux jeunes oraniens parce qu'ils avaient déjà échappé, tous deux, miraculeusement, à la mort, en essuyant des coups de fusil de chasse. Ils avaient répondu aux appels à l'aide d'un fermier de Ouillis dont la ferme était attaquée par des hommes armés. A ce moment-là, Laurent François avait déjà été blessé au front par une chevrotine : Tous deux, sans armes, auraient pu alors prendre la fuite. Courageusement! Ils avaient préféré venir donner l'alarme auprès des gendarmes de Cassaigne. Devant la lourde porte du casernement, trois coups de feu furent tirés sur eux, par un groupe de hors-la-loi, tapi en embuscade qui préparait l'attaque de cette gendarmerie. L'un d'eux atteignit mortellement Laurent François, alors que son compagnon Jean François Mendez, sortira miraculeusement indemne de ces deux fusillades. Quarante huit années après, combien de nos compatriotes oraniens se souviennent-ils de cette intervention courageuse de Laurent François et de Jean François Mendez, la nuit du 1er novembre 1954 à Cassaigne. Action pleine d'audace qui a, en outre, déjoué les plans des agresseurs et certainement sauvé d'un massacre, les familles logées dans la gendarmerie et d'un désastre, les populations des villages voisins. Aujourd'hui Jean François Mendez, le copain rescapé de Laurent François, se bat pour sortir de l'oubli, cette tragédie de la nuit du 1er novembre 1954 à Cassaigne. Il veut réveiller la mémoire courte des Français en vue d'obtenir la reconnaissance de l'héroïsme de Laurent François, due par sa patrie à cet enfant de Picard, en le replaçant dans l'Histoire de France, à la place qui lui est due : Celle de première victime civile de la guerre d'Algérie. La supplique de Jean François Mendez est appuyée par deux de nos compatriotes de cette région du Dahra : André Spitéri, à l'époque, ingénieur des Ponts et Chaussées à Cassaigne et Jean Pierre Peybernes, ingénieur des travaux publics à Mostaganem, dont les parents viticulteurs à Bosquet entre Ouillis et Cassaigne et qui a longuement évoqué ces évènements dans la monographie de son village "Bosquet en Algérie" étaient liés à la famille de son copain d'enfance "Lolo" François.







http://www.herodote.net/1er_novembre_1954-evenement-19541101.php

1er novembre 1954

«Toussaint rouge» en Algérie


Le 1er novembre 1954, en Algérie, des indépendantistes commettent plusieurs dizaines d'attentats, dont certains meurtriers. C'est la « Toussaint rouge ».
Ces événements surviennent dans une Algérie française découpée en plusieurs départements mais profondément divisée entre :
– 8 millions de musulmans qui ont un statut d'indigène et relèvent du droit coranique coutumier,
– près d'un million de citoyens français : immigrants de la métropole et du bassin méditerranéen, juifs locaux naturalisés en 1870, musulmans en très petit nombre ayant renoncé à leur statut coranique.
Un soulèvement peu médiatique
Quelques mois plus tôt, en Indochine, les Français ont été défaits par le Vietminh. Les indépendantistes algériens y voient un encouragement à se lancer à leur tour dans la lutte armée contre la puissance coloniale, bien qu'ils soient en très petit nombre (quelques centaines au plus) et presque totalement dépourvus d'armes.
Divisés en plusieurs partis, dont le MTLD de Messali Hadj et l'UDMA de Ferhat Abbas, ils forment au printemps 1954 un Comité révolutionnaire d'union et d'action (CRUA). Celui-ci choisit la date du 1er novembre pour déclencher l'insurrection. Une trentaine d'attentats plus ou moins désordonnés ont lieu en ce jour de la Toussaint : récoltes incendiées, gendarmerie bombardée...
On compte au total dix morts (*). Les deux premières victimes, assassinées la veille de la Toussaint, sont deux Français d'Algérie : un chauffeur de taxi de confession juive, Georges-Samuel Azoulay et Laurent François, libéré depuis 6 mois du service militaire. Les autres victimes sont l'agent forestier François Braun, l'agent de police Haroun Ahmed Ben Amar et quatre appelés : le soldat Pierre Audat et le brigadier-chef Eugène Cochet, tués en pleine nuit dans le poste de Batna, dans le massif des Aurès, ainsi qu'André Marquet et le lieutenant Darneaud. Sont également tués le caïd Ben Hadj Sadok et Guy Monnerot, qui voyageaient ensemble.
L'instituteur Guy Monnerot et sa femmeLa mort de ce dernier émeut plus particulièrement l'opinion. Ce jeune instituteur est venu de la métropole avec son épouse pour instruire les enfants du bled. Leur autocar est attaqué dans les gorges de Tighanimine. Ils sont extraits du véhicule ainsi que les autres passagers et touchés par une rafale de mitrailleuse destinée au caïd Hadj Sadok.
Guy Monnerot succombe sur le champ mais sa femme Jeanine survivra à ses blessures. Les meurtriers des deux Français auraient enfreint l'ordre de ne tuer que le caïd, membre de l'élite musulmane francophile. Ils auraient été plus tard sanctionnés par leurs chefs.
En définitive, les attentats de la« Toussaint rouge » ont très peu de retentissement dans l'opinion française et la presse métropolitaine en fait à peine écho. Ils n'en marquent pas moins le début de la guerre d'Algérie, huit années de tourments qui ont marqué durablement les esprits et les coeurs des deux côtés de la Méditerranée.

Échec de la pacification

Le 25 janvier 1955, le président du Conseil Pierre Mendès France nomme au gouvernement général de l'Algérie l'ethnologue Jacques Soustelle (44 ans), homme de gauche, pacifiste, résistant et gaulliste de la première heure. Il est accueilli fraîchement par les Européens mais très vite se rallie à la thèse radicale de l'intégration.
Contre les colons et les indépendantistes musulmans, il prône l'octroi de la nationalité française pleine et entière à tous les habitants des trois départements... Son échec va entraîner la relance des tueries.







http://chaouia130.skyrock.com/1318387534-1-er-novembre-1954.html


 er novembre 1954

1er novembre 1954, l'attaque meurtrière du bus reliant Biskra à Arris marque le début de la guerre et fait des Aurès le « berceau de la révolution ». 
Aujourd'hui, le mythe de la Toussaint rouge reste vivace, 
même si l'Algérie indépendante n'a pas sorti cette région déshéritée de la misère.

Un gendarme, sa mitraillette en bandoulière, escalade les rochers. 
Un autre surveille le fond du ravin. 
Un troisième se poste au virage. 
A l'issue d'une décennie sanglante, 
les autorités algériennes ne cessent de répéter que « maintenant tout va très bien ». 
Mais dans le massif des Aurès, un journaliste étranger ne se 
déplace toujours pas sans une solide escorte. 
Prudence ou force de l'habitude ? 
Pas moins de huit hommes en uniforme ont pris position
autour du petit chantier établi en retrait de la route, dans un repli de montagne.
C'est le lieu parfait pour un guet-apens. 
Les gorges de Tighanimine n'offrent aucune échappatoire. 
La RN 31 serpente à travers les éboulis et les saillies de la falaise. 
L'oued el-Abiad coule une trentaine de mètres plus bas. 
La terre est rouge sang, comme pour donner le ton, 
mouchetée ici et là par des touffes de thym et de lauriers-roses.
Les sommets se hérissent de crêtes affûtées comme des couteaux.
Même les chênes sauvages, accrochés à la muraille,
paraissent hostiles avec leurs troncs noirs, presque carbonisés.
Le 1er novembre 1954, à 7 heures du matin, les maquisards n'ont eu besoin que de quelques cailloux pour stopper l'autocar Citroën.
Ils ont fait descendre ses deux passagers français
, un couple d'instituteurs, les Monnerot, et le caïd d'une localité voisine, Hadj Sadok.
Ce dernier, ancien officier de l'armée française,
a été abattu lorsqu'il a voulu sortir un pistolet de sa gandoura. 
La rafale a tué Guy Monnerot qui se tenait à ses côtés. 
Sa femme a été grièvement blessée.
Un demi-siècle plus tard, un coffrage rempli de béton 
et un tas de sable marquent le lieu de l'embuscade. 
La stèle, une fois achevée, s'ajoutera à toutes 
celles qui commémorent déjà le début du soulèvement algérien. 
Près de 70 attentats ont été commis cette nuit-là par le FLN.
Des bombes contre des usines, des coups de feu contre des casernes, 
parfois des pétards mouillés. 
Huit morts au total. 
C'est l'attaque contre le bus reliant Biskra à Arris qui a le plus frappé les esprits.
Ici, sont tombées les deux premières victimes civiles d'une guerre 
qui a surtout touché les populations. 
Voyant des gendarmes, un automobiliste croit qu'il s'agit d'un barrage et s'arrête.
Comme pour parachever cette reconstitution involontaire du drame,
l'un des nombreux services de transport qui assurent la liaison Biskra-Arris 
déboule dans un bruit de Klaxon. 
Un autre bus repose, calciné, dans le ravin un kilomètre plus loin.
« Il a été brûlé en 1994 par les terroristes », explique un responsable régional. 
En Algérie, l'histoire ne cesse de bégayer.
Un tabou autour de Messali Hadj 
A la veille de ce cinquantième anniversaire, les anciens combattants, les moudjahidin de la première heure, s'excuseraient presque pour la mort de Guy Monnerot. « Nous n'avions rien contre les Français », répètent-ils. Malgré toutes les horreurs qui vont suivre, les représailles contre leurs familles, le napalm, la torture, les mutilations, les massacres, ils veulent préserver la pureté de cet acte fondateur. « C'était une erreur. Nous avions reçu l'ordre de ne pas tuer de civils. Le caïd croyait qu'il avait affaire à des bandits. Il les a traités de voyous. L'instituteur s'était réfugié derrière lui. » Mohammed Biyouch, 80 ans, dit tenir ces détails du « chef du commando en personne Au siège des moudjahidin, à Batna, une centaine de kilomètres plus au nord, sa voix caverneuse et sa forte carrure imposent aussitôt le silence.
Le 1er novembre, il faisait partie du groupe chargé d'attaquer la caserne de la ville. Le premier coup de feu ? Il était « joyeux ». Il attendait ça « avec impatience ». 
Jeune fellah, il militait dans les cellules clandestines du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques de Messali Hadj. 
Depuis la fin des années 40, il s'entraînait la nuit au combat sous le commandement de Mustafa ben Boulaïd le futur chef de la zone des Aurès.
Dans la salle ornée de photos de « martyrs », tout ce qui s'écarte d'une saga nationale magnifiée déchaîne l'ire des vétérans. 
Mohammed Biyouch suscite un tollé lorsqu'il évoque des « divergences » sur la date du déclenchement de l'insurrection. 
Il accuse son voisin d'inexactitude et le somme de parler en arabe « pour que tout le monde puisse comprendre ». 
Sous le contrôle des autres, ces hommes aux cheveux blancs racontent leurs faits d'armes avec humilité, sans triomphalisme. 
Ammar Laggoun pleure au souvenir de son père, exécuté en représailles, 
qui lui avait lancé le premier jour : « Vous faites la révolution, mais c'est nous qui mourrons par milliers. » Les mythes se lézardent.
A Arris, dans un petit musée dédié au 1er novembre, un vieux moudjahid, Salah Azouï, reconnaît qu'il a été « goumier », soldat supplétif, avant de rejoindre le maquis. « L'armée française nous a enrôlés de force. 
C'était la seule façon de pouvoir regagner notre douar (1). » 
Un aveu qui frappe l'assistance de stupeur. « Tout le monde n'a pas été harki de son plein gré », plaide-t-il. Le représentant de la wilaya (préfecture) désavoue aussitôt le blasphème : « Un harki reste un harki ! » 
Quand le Dr Rabah Belaïd a voulu organiser à l'université de Batna un colloque sur Messali Hadj, le pionnier de l'idée d'indépendance, des moudjahidin lui ont intenté un procès. Depuis trente ans, cet historien se bat pour réhabiliter un homme longtemps dépeint par le FLN comme un traître. 
Dans les Aurès, les plaies sont encore vives. 
A l'indépendance, 700 combattants du Mouvement national algérien de Messali Hadj ont été égorgés par leurs rivaux du FLN près de Biskra.
« Si vous ne connaissez pas votre passé, vous ne pouvez pas bâtir l'avenir », souligne le Dr Belaïd.
D'un bout à l'autre du djebel, époques et tragédies s'entremêlent. 
Les mêmes lieux président aux mêmes fonctions. 
La prison de Lambèse, où Messali Hadj et bien d'autres nationalistes ont été incarcérés, a conservé sa sinistre réputation. 
La caserne de Batna abrite toujours des militaires.
Les guérites en pierres construites par les Français au sommet des montagnes servaient encore récemment à épier les mouvements des « terroristes ». 
« Il y a moins d'attentats, mais on ne s'aventure pas dans les forêts 
car il y a ce problème des mines antipersonnel.
Heureusement, des sangliers les font sauter de temps en temps », 
explique l'avocat Salah Benhabrou.
Durant la guerre civile de la décennie 90, beaucoup de ruraux se sont repliés sur Batna. Dans cette préfecture digne du sud de la France avec ses rangées de platanes et ses édifices très IIIe République, la population a presque doublé.
Aujourd'hui encore, un taxi refuse de prendre la route de nuit. 
Dans sa lutte contre les islamistes, le pouvoir a mobilisé ses anciens vétérans. 
Ici comme ailleurs, ces moudjahidin ont formé des milices de « patriotes ».
« Nous avons pris les armes pour la seconde fois parce que nous sommes les protecteurs de la nation. 
Nous avons plus combattu les terroristes que la police »,
proclame avec fierté Mansouri Bilghassen.
Représentant à Arris de l'Organisation nationale des moudjahidin, 
il a pris le maquis à 16 ans et rejoint l'armée après l'indépendance.
Les habitants des Aurès, les Chaouis, ont toujours été des guerriers.
« Ça, c'est vrai, nous sommes des bagarreurs ! », s'exclame Ammar Laggoun. 
Ils affirment s'être révoltés à 250 reprises depuis le commencement des temps.
La résistance de la reine berbère Kahina 
l'historien Ibn Khaldoun (1332-1406). 
Quelques siècles plus tard, « le bey turc de Constantine devait se faire accompagner d'un canon quand il venait lever l'impôt »
raconte l'ethnologue Germaine Tillons Comme dans d'autres parties du pays, 
des émeutes ont encore éclaté en 2001, à Khenchela et au printemps à T'Kout. 
« Elles ont été provoquées par des jeunes qui ne trouvent pas de cadre pour s'exprimer », 
indique Dahmane Nedjar, correspondant local de l'agence de presse APS.
Le Chaouï est l'un des 1 200 parlers berbères. 
Le mot signifie « gardien de petit bétail ». 
Au panthéon des Aurès figurent des bandits d'honneur qui 
« volent aux riches pour donner aux pauvres » et des militaires. 
Dans cette région déshéritée, l'armée a longtemps été l'unique débouché. 
« Mabrouk (félicitations) sergent-chef ! », 
blague-t-on à la naissance d'un garçon. 
On a même pu dire que les Chaouïs gouvernaient le pays en raison 
de leur présence massive à la tête de l'armée. 
D'où ces mots d'une femme d'officier : 
« Tant que le soleil se lèvera à l'est, l'est aura













http://jcn54.unblog.fr/2012/11/01/ca-sest-passe-un-1er-novembre-3/

CA S’EST PASSE UN 1ER NOVEMBRE 1 novembre, 2012

Classé dans : JOUR ANNIVERSAIRE — jcn54 @ 6:05
CA S'EST PASSE UN 1ER NOVEMBRE dans JOUR ANNIVERSAIRE algerie
« Toussaint rouge » en Algérie, c’est en 1954.
Le 1er novembre 1954 marque le début de l’insurrection algérienne. Les indépendantistes du FLN (Front de Libération Nationale) d’Ahmed Ben Bella commettent de nombreux attentats causant une dizaine de victimes musulmanes aussi bien qu’européennes. Parmi celles-ci, un jeune instituteur européen, Guy Monnerot.
Surnommés « fellagha » (en arabe coupeurs de route ou bandits de grand chemin), les indépendantistes souffrent d’être encore très minoritaires et sans soutien consistant dans la population musulmane…








http://rai2007.skyrock.com/2116632537-1er-novembre-1954.html





La Dépèche Quotidienne 
du 2 Novembre 1954






http://www.setif-dz.org/t20615-speciale-60eme-aniversaire-du-1er-novembre-1954#67512



http://www.royalhoteloran.com/home/presse.php?id=20









le Général CHERRIERES
Commandant de l'Armée Française
en Algérie au 1er Novembre 1954



le Général CHERRIERES
Commandant de l'Armée Française
en Algérie au 1er Novembre 1954




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evacuation de mme Monnerot





assassinat couple Monnerot




le couple monnerot




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