الاثنين، نوفمبر 30

الاخبار العاجلة لاحتجاج اساتدة الجامعة الاسلامية امام ديوان دائرة قسنطينة بسانجان من اجل المطالبة بالسكن الاجتماعي الاسلامي المجاني وقوات الشرطة تسيطر على منطقة سان جان والاسباب مجهولة

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http://www.gaumontpathearchives.com/makeVignette.php?image=0001/f0003_A701.GIF&type=doc_acc
Algiers.

Documentation on file.

MS. Crowd carrying pro-Ben Bella (Prime Minister of Algeria) placards. VS. Large crowd of Algerians and Moslems gather outside Government House in Algeria. LS. Night with lights picking out Ben Bella on balcony. GV. Massed crowd at night. MLS. Ben Bella speaking from packed balcony. GV. Massed crowd at night applauding in Algiers.

(F.G.)

Ben Bella Nationalising French Land 1963


http://www.gaumontpathearchives.com/index.php?urlaction=doc&id_doc=59230&rang=179&id_panier=63093
Référence
1958 41 2 CH1
Titre
LE VOYAGE DU GENERAL DE GAULLE
Dates
Prise de vue : 04/10/1958
Mots clés
ALGERIE; CONSTANTINE; Lyon; GUERRE D'ALGERIE; DISCOURS; CEREMONIE; MUSULMAN; sonore; AUTOMOBILE; CORTEGE; FRATERNITE; GUERRE; Monument; Octobre; OUI; PANCARTE; PAVOISE; PORT; REFERENDUM; SIGNE; VICTOIRE; VILLE; 1958; 1958 41 2 CH1; CORSE; DE GAULLE; Lattre de Tassigny; FRANCE; Gaulle; MARSEILLE
 

Algerians Parade For Ben Bella On National… 1962

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  • Description

    Unissued / Unused material -

    Algiers, Algeria.

    Elevated LS Algiers. Various shots crowds lining streets in Algiers. Various shots parade through "Square of the Martyrs" of Algerian Military equipment and troops. Also public service organisations e.g. nurses. The parade on the Algerian national Day is to celebrate Prime Minister of Algeria Ahmed Ben Bella.

    (Orig.Neg.) Old record suggests material dates from around 05/11/1962.
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  • Data

    Archive
    British Pathé
    Issue Date:
    1962
    Sound:
    Mute
    Media URN:
    87152
    HD Format:
    Available on request
    Film ID:
    3072.05
    Stock:
    Black & White
    Duration
    00:01:33:00
    Time in/Out:
    01:05:10:00 / 01:06:43:00
    Canister:
    UN 3677 E
    Sort Number:
    UN 3677 E




poster

http://www.gaumontpathearchives.com/index.php?urlaction=doc&id_doc=183011&rang=1&id_panier=63098

Référence
6200ENU59586
Titre
BEN BELLA DANS LE SUD ALGERIEN ET A CONSTANTINE, VUES GENERALES
Dates
Prise de vue : 11/1962
Résumé catalogue
BEN BELLA dans le sud algérien et à CONSTANTINE, vues générales. ALGERIE. Monsieur BEN BELLA dans la tribune.
Mots clés
ALGERIE; CONSTANTINE; BEN BELLA; HOMME POLITIQUE; POLITIQUE; INDEPENDANCE ALGERIENNE; FOULE; DISCOURS; DRAPEAU; ALGERIEN



http://www.jechantemagazine.com/Dossier_Enrico_Macias/Dossier_Enrico_Macias/Entrees/2010/1/4_rendez-vous_au_cafe.html



Enrico Macias
 
 
    Gaston Ghrenassia est né le 11 décembre 1938, au 6, rue Paul Biskara, à Constantine, au foyer de Suzanne et Sylvain. Comptable, Sylvain est surtout passionné de musique et joue de la guitare et du violon. En 1942, il gagne un nouveau fils, Jean-Claude, mais perd son emploi de comptable.
Devenu musicien professionnel, Sylvain intègre comme violoniste l’orchestre de Raymond Leyris. Ami de la famille, Raphaël Drai se souvient : « Sylvain Ghrenassia accompagnait Raymond Leyris dans le plein sens du terme, son violon dialoguant avec le oud du "maître" dans des échanges inoubliables et appelant le flûtiste qui alors improvisait, dans le silence de la nuit, des arabesques sonores somptueuses, en nous laissant comblés d’admiration et de bonheur. Et puis intervenaient les percussions, derboukas et tambourins qui modulaient des rythmes à arracher les pyramides d’Egypte. Ces concerts duraient plus de dix heures, du crépuscule au petit matin, véritables synthèses de chant populaire et de prières. » À la fin des années 40, Raymond et Sylvain s’associent pour fonder un label de musique arabe, Raysylophone (formé sur la première syllabe de leurs prénoms).
    En 1945, Enrico va à l’école Montesquieu. À dix ans, le jeune Gaston s’intéresse de plus en plus à la musique et ne néglige aucune occasion pour jouer de la flûte ou de la guitare. Il connaît bien le répertoire du folklore espagnol et pour ses quinze ans, sa grand-mère lui offre une guitare. Adolescent, Enrico joue dans l’orchestre de Raymond Leyris et parfois chante au Casino de Constantine.

« le petit Enrico »
    En juin 1954, il a seize ans et commence à jouer en public. Un de ses camarades de classe, Lucien Halimi, trousse de jolis poèmes. Enrico, qui se perfectionne à la guitare, les met en musique. Parmi ces chansons connues par la suite, il y a Chiquita et Par ton premier baiser, qui sera un petit « tube » local avant d’être éditée en petit format. À la même époque, Enrico fréquente des musiciens gitans qui font la manche aux terrasses des cafés et finit par s’intégrer au groupe. Comme le chef est surnommé « le grand Enrico », le jeune Gaston devient « le petit Enrico » ! Surnom qui va lui rester.
    Décidée secrètement par un Comité Révolutionnaire d’unité et d’action le 10 juillet 1954, la première insurrection contre la présence française en Algérie est déclenchée le 1er novembre 1954. Dans les Aurès, un couple d’instituteurs, les Monnerot, est tué dans une embuscade. Ce sont les premiers Français tués. Ces « événements » de la Toussaint 1954 seront le point de départ de la guerre d’Algérie. À durée égale avec la guerre d’Indochine — 8 ans —, mais beaucoup plus meurtrière, elle va diviser plus profondément les Français.
    La France, Enrico Macias y a déjà vécu avant 1962. Son premier voyage remonte à 1956, au moment où la guerre s’installe. « Dès le début du conflit (...), mon père décide de m’envoyer en métropole. J’allais vers mes 18 ans. » À Paris, il habite chez sa tante et son oncle rue de Picpus et va au lycée François Ier de Fontainebleau. « Ma peau bronzée, mes cheveux frisés, mon accent déroutant me firent perdre plusieurs mois avant de nouer de vrais liens amicaux avec mes condisciples », écrit-il dans son livre de souvenirs paru en 1982.

L’année du bac
    Deuxième voyage en France à l’automne 1957. « Paris était sous la pluie, il faisait déjà froid en septembre, les frimas de l’automne étaient en avance. Désenchanté, la tête basse, le moral à zéro, je retrouvai ma tante et mon oncle aussi souriants que d’habitude. »
    Rue de Picpus, il mène une vie studieuse. Plutôt casanier, il passe ses soirées à écouter de la musique ou à chanter pour des amis.
    Suzy Leyris, la fille de Raymond, malade, vient se faire opérer d’urgence en France. L’opération se passe bien et en mai 1958, elle regagne Constantine. Enrico passe la première partie du bac et retourne en vacances en Algérie. Suzy s’est rétablie. Ils envisagent de se marier. « De nouveau dans l’orchestre de Raymond, je passais mon temps à jouer, à répéter, à vivre pour la musique. Mon père, compte tenu de mes résultats scolaires, ne m’aiguillonnait plus. Il me faisait confiance, non sans faire valoir alentour que grâce à son entêtement je pouvais envisager l’avenir avec sérénité. »
    Fin de l’été 58. Nouveau voyage en France pour la deuxième partie du baccalauréat. « Fin juin 1959, je quittais la capitale, nanti de mes diplômes, décidé à ne plus remettre les pieds dans cette ville hostile à mes convictions. »

« Ce jeune instituteur... »
En septembre 1959, Enrico accepte un poste de surveillant au lycée d’Aumale, « fonction pour laquelle je n’avais aucune aptitude, sinon que, grâce à mes émoluments, je pouvais emmener Suzy tous les jeudis au cinéma, ce qui était un luxe pour nous. » Puis, il trouve, grâce à son père, une place d’instituteur à l’école communale de Châteaudun-du-Rumel, petite ville située à 80 kilomètres de Constantine.
    « Nous avions l’interdiction de parler en arabe aux enfants, rappelle-t-il, notre compréhension de la langue ne devant nous servir que pour savoir ce que disaient entre eux ces postulants à la connaissance. Bien que surpris, je me pliai à la règle. » Souvent, en fin de cours, il gratifie ses jeunes élèves, en majorité arabes, d’un « mini tour de chant », succès du moment ou airs du folklore. Loin de le desservir auprès de l’administration, cette attitude est jugée avec bienveillance : « Après tout, ce jeune instituteur fait plus pour le français avec sa guitare que ses collègues avec leurs livres... », notera un inspecteur débarqué à l’improviste...
    À Constantine, malgré les « événements », la vie suit son cours. Dans le journal local, Enrico apprend qu’on y organise un important radio-crochet. Il est choisi et finit par se retrouver finaliste. « La salle est noire de monde, le public chauffé à blanc, mes concurrents dangereux, mais je gardais confiance. Une fois sur scène, le trac disparut, je compris que je tenai le bon bout. » Ce soir-là, au Casino de Constantine, Enrico obtient le premier prix. Dans la salle, il y a aussi Régis Talar, alors militaire. Le futur directeur artistique et co-fondateur des disques Tréma l’encourage : « C’est à Paris qu’il faut venir, c’est là que se font les carrières, et vous en avez l’étoffe. Si vous vous décidez un jour, prenez contact avec moi. »
    À la suite de ce radio-crochet, Enrico participe à l’une des plus importantes émissions de télévision en Algérie, 6-4-2, animée par Jacques Bedos (oncle de Guy et lui-même futur directeur artistique de renom dans les années 60 et 70).

« Cheikh Raymond »
    Au printemps 61, la famille envisage de « partir ». Raymond et sa fille Suzy arrivent en France les premiers, avec Sylvain, le père d’Enrico, sa mère et son frère Jean-Claude. Peu avant l’été, Raymond prend la décision de retourner en Algérie : « Quelque chose me dit que je dois rentrer », insiste-t-il auprès des siens...
    Constantine, jeudi 22 juin 1961, midi. Sur la place du marché, le soleil de ce premier jour d’été a rendez-vous avec la foule.

    « Les rues les jours de marché
    Piquantes et bariolées
    Parfumées d’orange et de piment... »

    Soudain, trois coups de feu claquent. Un homme vêtu de blanc s’écroule. C’est Raymond Leyris, 48 ans, plus connu sous le nom de « Cheikh Raymond » parmi la communauté juive et musulmane de la ville, grande figure de la musique arabo-andalouse. « Constantine prit le deuil de cette mort injuste, condamnée par toutes les communautés, couvrant son catafalque d’une montagne de fleurs. » L’assassinat de son « père spirituel » marque profondément Enrico et sonne le départ de la communauté juive.

À contre-courant
    Parti en catastrophe après l’assassinat de son oncle Raymond, Enrico demeure quelque temps à Nice où un autre de ses oncles tient un restaurant. À Constantine, l’oncle Gilbert dirigeait Le Grillon, un cabaret où se sont produits de nombreux artistes français. Enrico lui demande d’utiliser ses relations pour l’aider à mettre un pied dans le monde du spectacle. Peu après, il passe une audition auprès de « Cousin Bibi », un animateur à Radio-Monte-Carlo qui a créé à Nice une sorte de « Petit Conservatoire de la Chanson ». Il interprète ce qu’il estime être ses deux meilleures compositions : Par ton premier baiser et Chiquita. L’essai est plutôt concluant : Enrico passera en lever de torchon du tour de chant de Gilbert Bécaud, au Théâtre de Verdure de Saint-Raphaël !
    Mais le public est venu pour « Monsieur 100 000 volts » et Macias devra écourter sa prestation... « J’en aurais pleuré, se souvient-il. J’entendais les rires, saluant mon départ, résonner dans ma tête comme autant d’insultes faites à mon passé. C’est dur à encaisser d’être ainsi rejeté alors que l’on donne le meilleur de soi-même. » À toute chose, malheur est bon, et ce soir-là, Enrico rencontre en coulisses le pianiste de Bécaud, Raymond Bernard, qui lui remonte le moral et lui demande de persévérer. « Venez me voir à Paris, voici mon téléphone, je vous présenterai au directeur de la maison de disques de Gilbert. Vous êtes à contre-courant, c’est bon signe. Il n’y a que l’originalité qui paie, il faut être "tête de file" pour se faire une place au soleil, pas un imitateur. Je crois en votre personnalité. »
    Réconforté, Enrico le sera encore plus le lendemain, lorsqu’il découvre dans la page spectacles du Patriote, le quotidien local, un compte-rendu élogieux de sa prestation. « Retenez son nom, on en reparlera », écrit en substance Louis Nucéra (disparu en août 2000). « J’étais si fier de cet article que j’achetai plein de journaux pour les faire lire à tous ceux que je rencontrerais » !

Un personnage
    Septembre 1961. La rentrée approche, Enrico regagne l’Algérie où il est toujours enseignant. En cette période trouble, les écoles sont souvent désertées mais il tient bon. « C’était par devoir, car je ne me faisais plus d’illusions quant à l’issue du conflit. J’avais accepté ce poste d’enseignant, je devais m’y tenir, coûte que coûte, ce que je fis la mort dans l’âme. »
    Noël 61, Paris. Enrico veut mettre à profit ses trois semaines de congé pour y arriver, à cette vie d’artiste dont il rêve. Fidèle à sa promesse, Raymond Bernard le présente à Gérard Côte, un des directeurs artistiques de Pathé-Marconi. « Ce qui m’intéresse, c’est vous, votre personnage, votre voix, reconnaît ce dernier... Je n’ai aucune affinité avec votre folklore, je l’avoue, mais je sais par contre que vous pouvez surprendre au milieu des guitares électriques dont on commence à être saturé, c’est là-dessus que je compte. »

Le chant du départ
    Janvier 1962. Nouveau va-et-vient. Enrico repart en Algérie puis revient en France pour épouser Suzy avant de retourner une dernière fois à Constantine. Sur place, les choses s’enveniment. Entre les attentats du FLN et la politique de la « terre brûlée » menée par l’OAS, la situation est devenue intenable. « La valise ou le cercueil » demeure la seule alternative. Beaucoup, la plupart, choisissent « la valise »... « Le démantèlement commençait, il y avait plus de valises dans les rues que dans les armoires. » Cette fois, l’heure du départ a sonné. Le 18 mars seront signés les accords d’Evian qui préfigurent l’indépendance de l’Algérie.
    Sur le « Ville d’Alger », Enrico, comme ses compatriotes, voit s’éloigner les côtes algériennes... Sur le pont du bateau, il gratte sa guitare et laisse aller sa mélancolie... Il y a là une grande partie de son futur public.

    « Soleil, soleil de mon pays perdu
    Des villes blanches que j’aimais
    Des filles que j’ai jadis connues... »

    Bientôt, les côtes françaises apparaissent. Pour la plupart des passagers, une page est définitivement tournée.

    « On s’en allait, chassés par le cyclône
    Et sur la route on nous avait jetés
    Mais quand on fut près de l’Île du Rhône
    On a compris qu’on était arrivés... »

« Soleil de mon pays perdu »
    Pour beaucoup, le « rapatriement » sera une étape douloureuse. Sans argent ou presque, ils sont comme des gens réveillés en sursaut... L’accueil, souvent inamical, des Français de la « métropole » accentue leur sentiment d’avoir été abandonnés, voire trahis par le gouvernement français qui ne les a pas « compris »... « Le bleu qui manque à leur décor », ils vont le retrouver à travers les chansons d’Enrico Macias.

    « C’est peut-être aujourd’hui que tout finit
    Oui mais aussi tout commence
    Et devant l’inconnu on est ému
    Plus que rempli d’arrogance... »

    À Paris, Enrico Macias connaît le lot de tout postulant artiste. Il chante aux terrasses des cafés des grands boulevards, auditionne dans quelques cabarets de la Butte Montmartre, au Caveau de la République (comme « chanteur espagnol »), dans des salles de banlieue... Sans succès. Découragé, il va se « retremper » dans l’ambiance du Savoie, une brasserie de la République, point de chute des Pieds-Noirs qui devient son QG, où il retrouve quelque chose de « là-bas ».
    Il décide de changer de tactique, estimant qu’il vaut mieux se faire connaître par le disque. Comme le père d’Adamo, celui d’Enrico, Sylvain, va être d’un grand soutien. Il reprend contact avec son vieil ami, Ahmed Hachelaf, responsable du catalogue oriental chez Pathé-Marconi (et fondateur du Club du Disque Arabe en 1972). Aux studios de Boulogne, Enrico auditionne et enregistre une maquette. « Tes chansons ont besoin d’être remaniées par un professionnel, surtout en ce qui concerne les textes. » Deux jours plus tard, Enrico est présenté à Anne Huruguen, auteur-compositeur et aussi arrangeur. C’est à elle, avec parfois Eddy Marouani, que l’on doit les textes des chansons « identitaires » des débuts (Ma patrie) et la couleur particulière des premiers 45 tours de Macias. « Plus collaboratrice que censeur, elle fut pour moi d’un grand secours, me débarassant de certains défauts d’amateur, m’éveillant à l’harmonisation, me donnant plus d’assurance, plus de crédibilité pour affronter le grand public », reconnaît Macias. Ensemble, ils travaillent à son futur répertoire.

Cinq colonnes à la une
    Le directeur artistique Gérard Côte décide de l’enregistrer et lui suggère de changer de nom. Gaston se souvient de son surnom Enrico et coupe son nom (Ghrenassia devient Nassia). Mais une erreur de transmission le transforme en Macias... Les pochettes sont imprimées. Trop tard ! Le disque sort en avril 1962. Sur cette première pochette rouge (la seconde, la plus connue, est éditée en février 1963), Macias est présenté comme « la grande révélation du Festival de Cadix »... Entre septembre et décembre 1962, ce premier 45 tours se vend à 10 000 exemplaires. Après un passage mémorable, le 5 octobre 1962, à Cinq colonnes à la Une, l’émission télévisée d’Igor Barrère, 50 000 disques sont vendus dans la semaine ! Sur ce même 45 tours « historique », il y a Ma maison, ma maison, Oh, guitare, guitare et Par ton premier baiser, une « vieille » chanson créée huit ans plus tôt en Algérie. Puis Enrico passe à l’ABC, en vedette américaine de Dario Moreno. La même année, il enregistre L’Oriental, Constantine, Chiquita...

« Paris, tu m’as pris dans tes bras »
    En janvier 1963, Enrico chante à Bobino. Sa fille Jocya voit le jour. Il part en tournée avec Paola et Billy Bridge (« M. Madison »). Cette même année, il chante à Beyrouth, au cabaret l’Epi Club. Il en ramène une chanson : Beyrouth, un langoureux boléro qui évoque un Liban des Mille et une nuits.
Il passe à la télévision française : Discorama, Âge tendre, Rendez-vous avec... Radio Monte-Carlo lui décerne à l’Oscar de la Chanson.
    En 1963, dans les loges de Bobino, il fait la connaissance de Jacques Demarny venu lui proposer un texte de chanson, co-écrit avec Pascal-René Blanc. Enfants de tous pays devient un hymne à la fraternité, enregistré dans toutes les langues. Demarny devient son parolier attitré (La femme de mon ami), avec Pascal-René Blanc. Le répertoire de Macias à cette époque oscille entre chanson méditerranéenne (L’Oriental, de Blond-Blond, El Porompompero), adaptations de succès américains (Un soir d’été) ou espagnols (Dans la nuit mexicaine) et chansons populaires dans la grande tradition française : L’amour c’est pour rien, Vous les femmes, Sans voir le jour, Mon cœur d’attache... Occasionnellement, Macias prend des chansons à Bernard Dimey (Un air de fête), Alain Barrière (S’il fallait tout donner), Charles Trenet (Ma raison de vivre)...
    Le 19 mars 1964, Macias chante à l’Olympia en première partie des Compagnons de la Chanson qui fêtent leur vingt ans de carrière. Christophe Izard dans France-Soir écrit : « Ce remarquable guitariste a mis l’Espagne et l’Afrique du Nord au goût du jour. Il semble avoir devant lui une longue et brillante carrière. » Enregistré le soir de la première, ce 30 cm live donne la mesure de la relation de Macias avec son public. S’il chante toujours le « pays perdu » (Ma patrie... « où le ciel et la mer se ressemblent », Les filles de mon pays), Enrico aborde cette année la phase d’intégration de la communauté pied-noire. Une de ses nouvelles chansons, écrite par Jean Peigné — une valse ! — obtient un énorme retentissement et devient un standard : Paris, tu m’as pris dans tes bras
    En 1964, Macias, récompensé notamment par le Prix Vincent Scotto, est la deuxième vente de disques de Pathé-Marconi, après Richard Anthony.
    5 mars 1965 : sortie sur les écrans de Déclic et... des claques, film « pied-noir » de Philippe Clair, où Enrico Macias fait une apparition (dans un restaurant à couscous, il chante Paris, tu m’as pris dans tes bras). Un mois plus tard, le 22 avril, il repasse à Olympia (deuxième 30 cm en public). L’été 65 est endeuillé par la mort de son frère Jean-Claude, dans l’accident de voiture de Serge Lama, à la sortie d’Aix-en-Provence.
    Nouvel abum en 1966 : « 12 nouvelles chansons », dont Je t’aimerai pour deux, Solenzara, adaptation d’un standard de la chanson corse, et surtout Non, je n’ai pas oublié, réponse à ceux qui lui reprochent son intégration :

    « Non, je n’ai pas oublié
    Bien que ma vie ait changé
    Mais le silence est souvent
    Une façon d’aimer... »

    L’année 1967 marque un tournant dans l’image de Macias. En avril paraît le 45 tours qui comprend notamment Les gens du Nord et Les millionnaires du dimanche (encore une valse musette), deux énormes succès populaires qui renouvellent le répertoire d’Enrico Macias.
    Le 7 mars 1968, il passe une nouvelle fois à l’Olympia (et troisième 30 cm en public). Fin des années Pathé. 1962-1967, ce sont plus de 60 chansons, pour la première fois rééditées intégralement en 2000.

Raoul Bellaïche
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Sources :
• Martin Monestier : Enrico Macias, l'enfant de tous pays (Encre, 1980).
• Enrico Macias et Jacques Demarny : Non, je n'ai rien oublié (Robert Laffont, 1982).
• Enrico Macias : Mon Algérie (Plon, 2001).
lundi 4 janvier 2010
Enrico Macias : les années Pathé Marconi
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بوتفليقة يجري حركة جزئية في سلك القضاة والوكلاء العسكريين

نادية زعيط
السبت 28 نوفمبر 2015 549 0
48
أصدر رئيس الجمهورية، عبد العزيز بوتفليقة، بصفته وزير الدفاع الوطني والقائد الأعلى للقوات المسلحة، مرسومين رئاسيين يتضمنان إنهاء مهام قضاة، فيما تم تحويل اثنين من نائبي الوكيل العسكري إلى مهام أخرى.
وجاء في العدد الأخير من الجريدة الرسمية، إنهاء مهام قضاة عسكريين، حيث أنهى الرئيس بوتفليقة مهام كل من المقدم متواعدين بوشيبان بصفته نائبا للوكيل العسكري للجمهورية بالمحكمة العسكرية الدائمة بالبليدة، وتعيينه مكان الرائد عزوز بوطبالة الذي أنهيت مهامه بصفته قاضي تحقيق عسكري بذات الناحية العسكرية، كما أنهى مهام العقيد محمد شوقي هني بصفته وكيلا عسكريا للجمهورية بالمحكمة العسكرية الدائمة بوهران، ومهام المقدم فوضيل حقاني بصفته قاضي تحقيق عسكري بذات المحكمة.
وأنهى الرئيس وفقا للقرار المؤرخ في 20 أكتوبر سنة 2015، مهام العقيد محمد عاشور بصفته وكيلا عسكريا للجمهورية لدى المحكمة العسكرية الدائمة ببشار، ومهام العقيد رابح قالي بصفته وكيلا عسكريا للجمهورية لدى المحكمة العسكرية الدائمة بقسنطينة، ومهام المقدم محمد شريبط درويش بصفته نائبا للوكيل العسكري للجمهورية لدى نفس المحكمة، وتعيينه وكيلا عسكريا للجمهورية لدى المحكمة العسكرية الدائمة ببشار، مكان العقيد محمد عاشور الذي أنهيت مهامه.
أما القرار الثاني الذي جاء في الجريدة الرسمية فتضمن تعيين قضاة عسكريين، إذ تم تعيين المقدم حسين عياط نائبا للوكيل العسكري للجمهورية لدى المحكمة العسكرية الدائمة بالبليدة بالناحية العسكرية الأولى ابتداء من 30 سبتمبر، كما عين المقدم عبد القدوس حلايمية وكيلا عسكريا للجمهورية لدى المحكمة العسكرية الدائمة بوهران بالناحية العسكرية الثانية، كما عين المقدم محمد بن هني الباي وكيلا عسكريا للجمهورية لدى المحكمة العسكرية الدائمة بقسنطينة، وعين الملازم الأول عبد الرحمان قندوز نائبا للوكيل العسكري للجمهورية لدى المحكمة العسكرية الدائمة بقسنطينة

جاء في العدد الأخير للجريدة الرسمية

حركة تغيير في سلك رؤساء أمن الولايات

نادية زعيط
الأحد 29 نوفمبر 2015 325 0
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أجرى الرئيس بوتفليقة حركة تغيير في سلك رؤساء أمن الولايات، أنهى بموجبها مهام رؤساء أمن أربع ولايات لتكليفهم بوظائف آخري، كما أنهى مهام تسعة رؤساء أمن لإعادة إدماجهم في مناصبهم الأصلية.
وشملت القرارات، وفقا لما جاء في العدد الأخير من الجريدة الرسمية، إنهاء مهام رؤساء أمن كل من ولايات سكيكدة، مستغانم، برج بوعريريج، تندوف، وحسب ما جاء في المرسوم " بموجب مرسوم رئاسي مؤرخ في 11 محرم عام 1437 الموافق 25 أكتوبر سنة 2015 تنهي مهام السادة الآتية أسماؤهم بصفتهم رؤساء أمن الولايات الآتية، لتكليفهم بوظائف أخرى، وهم محمد أكنوش في ولاية سكيكدة، عبد السلام بوصوف في ولاية مستغانم، أمحمد بورالية في ولاية برج بوعريج، صالح مخلوف في ولاية تندوف"، وتم تعيينهم بالترتيب في كل من ولاية، أم البواقي، تبسة، تلمسان، تيسمسيلت.
وتضمن المرسوم الثاني أيضا إنهاء مهام رؤساء ثمانية ولايات وذلك لإعادة إدماجهم في رتبهم الأصلية، وهم على التوالي " الحاج كرازدي في ولاية أم البواقي، كمال لعور في ولاية بشار، كمال طويجين في ولاية تبسة، كريم حدادو في ولاية الجلفة، عبد العزيز رمضاني في ولاية المدية، محمد بوباطة في ولاية المسيلة، جمال الدين بسلطان في ولاية تيسمسيلت، يوسف خمليش في ولاية عين تموشنت"، كما جاء في مرسوم آخر إنهاء مهام محمد زمور بصفته رئيس أمن ولاية تلمسان لإعادة إدماجه في رتبته الأصلية.

حذرت من خطر قانون المالية لعام 2016

رابطة حقوق الإنسان تندد بتصريحات سعداني

ب فيسة
الأحد 29 نوفمبر 2015 48 0
نددت الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق الإنسان جناح ضياء الدين بن شيخ الحسين بتصريحات بعض السياسيين التي وصفتها بـ"غير المسؤولة" بدون ذكر أصحابها الذين حول ملفات "حسم الشعب الجزائري فيها ، منها قضية الصحراء الغربية " في إشارة الى تصريحات منسوبة للأمين العام للأفلان عمار سعداني .
كما حذرت الرابطة في بيانها الصادر امس والذي تحصلت "الحياة" على نسخة منه من أطراف : "تريد أن تعيد للمستعمرين الفرنسيين الأملاك التي استرجعتها الجزائر" ، وكشف بيان الرابطة على أن الهيئات التي تنشط من اجل الدفاع عن مصالح الإقدام السوداء ،قد قدمت أكثر 600 ملف للجنة حقوق الإنسان المنبثقة عن المحافظة السامية لحقوق الإنسان لدى هيئة الأمم المتحدة، بهدف إرغام الجزائر على دفع تعويضات عن ممتلكاتهم المتروكة بها بعد إعلان الاستقلال،
كما حمل بيان الرابطة الحكومة و البرلمانيين أي انزلاق اجتماعي سيخلفه قانون المالية لسنة 2016، وقالت في ذلك "عوض أن تسعى الدولة تحصين السلم الأهلي و الاستقرار البلاد هي الآن تتجه نحو هذا القانون يعد أكثر سوداوية وأكثر شراسة في تهديد السلم والاستقرار الاجتماعي، بسبب مختلف الضرائب والرسوم التي يراد للمواطن أن يتحملها عوض اللوبيات الفساد و الإقطاعيون الجدد في استنزاف الأموال الخزينة العمومية" .

لخضر رزاوي يستقيل من جريدة الشروق


الأحد 29 نوفمبر 2015 65 0
استقال الصحفي المتألق لخضر رزاوي من جريدة الشروق بعدما عمل فيها لمدة سبع سنوات، وكتب رزاوي على صفحته الرسمية فايسبوك بأنه جد متحسر على مفارقته لزملائه الصحفيين، رافضا الكشف عن الأسباب التي أدت الى استقالته ..



Relizane
Une manifestation artistique pour commémorer le 30ème anniversaire de la mort de M’hamed Issiakhem
La direction de la Culture de la wilaya de Relizane organise, à partir de demain, une manifestation artistique en hommage à l’artiste peintre M’hamed Issiakhem, à l’occasion de la commémoration du 30ème anniversaire de sa mort, a-t-on appris du directeur du secteur. Cette manifestation comporte plusieurs activités dont un Salon d’arts plastiques avec la participation d’une cinquantaine d’artistes algériens et élèves des instituts des Beaux-arts d’Alger, de Mostaganem, de Sidi Bel-Abbès, d’Oran, de Tlemcen, de Tizi Ouzou et de Batna, a indiqué M. Hadj Meshoub.
Des tableaux de l’artiste Issiakhem et autres copies de ses œuvres, de même que des esquisses qu’il a réalisées à l’occasion du premier anniversaire de la fête de l’indépendance et des essais de critique conçus par l’artiste, seront exposés à l’occasion.
Le salon regroupera, à la maison de la Culture de la ville, des artistes nationaux de renom dont Azzaoua Maâmeri, Necib Rachid, Djeffal Adnane, Valentina Ghanem, Larbi Arezki, Zohra Sellal, Hachemi Ameur, Chandar Saïd, Hakar Lazhar et Hellal Zoubir. Au programme de cette manifestation de trois jours, une conférence sur le parcours artistique d’Issiakhem sera animée par des enseignants d’arts plastiques et une fresque sera réalisée à l’ancienne gare ferroviaire de la ville de Relizane par des élèves des écoles des Beaux-arts et des artistes du pays. La commémoration du 30ème anniversaire de la mort de M’hamed Issiakhem sera une occasion pour les hôtes de Relizane de visiter l’école primaire «La mosquée» de Relizane où a étudié l’artiste et des sites archéologiques que recèle la wilaya. Né en 1928 à Azzefoune (Tizi-Ouzou), M’hamed Issiakhem s’est installé à Relizane avec ses parents à l’âge de trois ans et y a étudié avant de rejoindre, en 1947, l’école des Beaux-arts d’Alger puis l’école des Beaux-arts de Paris de 1953 à 1958. Après l’indépendance du pays, il a enseigné les arts plastiques à Alger et a participé à plusieurs expositions en Algérie et à l’étranger, remportant plusieurs prix. L’artiste est décédé le 1er décembre 1985.

Aïn Defla
Une vingtaine de participants au salon régional de l’apiculture
Une vingtaine d’apiculteurs venus de neuf wilayas dans le centre et dans l’ouest du pays prennent part au salon régional de l’apiculture ouvert samedi à Aïn Defla en présence de nombreux visiteurs. Cette manifestation économique qui se poursuivra jusqu’au 5 décembre prochain est abritée par de l’Office des entreprises de jeunes (ODEJ) située au chef-lieu de wilaya. «Le salon constitue une opportunité pour encourager l’apiculture et permettre aux professionnels de la filière d’échanger leurs expériences aux fins d’accroître la production aussi bien sur le plan quantitatif que qualitatif», a indiqué le président de l’association des apiculteurs de la wilaya d’Aïn Defla, l’organisatrice de cet évènement. Faisant état de quelques difficultés dans la commercialisation du miel, Maâmeri, un apiculteur venu de Mouzaïa (Blida), a noté l’importance de la tenue de pareilles manifestations qui permettent de nouer des contacts avec de potentiels acheteurs. De son côté, Amrani, un exposant venu de Djellida (Aïn Defla), a mis l’accent sur le rôle joué par ce genre de rencontre dans l’ancrage d’une culture se rapportant au miel, ses diverses qualités ainsi que ses bienfaits.
Pour leur part, des visiteurs du salon ont émis le souhait de voir ce genre de manifestations se dérouler plusieurs fois par an, estimant qu’elle constitue un trait d’union entre le producteur et le client, sans aucun intermédiaire. Attestant, à ce propos, que le miel de la variété jujubier se vend à un prix «nettement inférieur» à celui pratiqué ailleurs.

Le malade est un ressortissant Malien
Un cas de paludisme confirmé au CHU Oran
Un cas de paludisme a été diagnostiqué et confirmé au centre hospitalo- universitaire (CHU) d’Oran touchant un ressortissant malien, a indiqué dimanche à Oran le directeur général de cette structure sanitaire.
«Ce ressortissant malien est arrivé jeudi aux urgences du CHUO, dans un état critique. Le malade a développé une forme très sévère de paludisme.
Actuellement, il est dans un état comateux et se trouve en réanimation», a expliqué à l’APS Benali Bouhadjar, en marge d’une rencontre régionale d’évaluation du secteur de la santé. Pour le responsable, «ce cas est importé et non développé en Algérie. Il est pris en charge au niveau des l’unité des maladies au risque infectieux». «Cette unité a été créée pour prendre en charge les maladies au risque infectieux élevé, principalement des éventuels cas d’Ebola ou autres virus. Le ressortissant malien est pris en charge dans le cadre de ce circuit avec des procédures et des normes des maladies infectieuses complètement sécurisées», a-t-on encore souligné. Un staff spécialisé a été formé au niveau de l’unité des maladies infectieuses de l’Hôpital de Marseille (France) spécialement pour faire face aux cas de maladies à risque infectieux comme le paludisme, a-t-on assuré de même source. Des dizaines de cas de paludisme «importés» ont été enregistrés depuis le début de l’année, notamment dans des wilayas du Sud du pays, dont neuf cas découverts début novembre à Ouargla. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, avait affirmé que les cas de paludisme enregistrés à travers le pays sont «importés». «L’ensemble des cas de paludisme enregistrés à travers le pays sont importés, et aucun n’est autochtone», avait-t-il indiqué, lors de son inspection de structures hospitalières à Tamanrasset.

Une vingtaine de cas par établissement sont enregistrés chaque année
La déperdition scolaire prend une ampleur inquiétante
La déperdition scolaire demeure l’une des préoccupations majeu
res des responsables du secteur de l’Education. Au niveau de la wilaya d’Oran, les zones rurales sont les plus touchées par ce phénomène qui prend chaque année de l’ampleur en dépit des mesures prises pour y faire face. Pour la tutelle, la déperdition scolaire afficherait un taux de 30% et que de nouvelles mesures seront prochainement introduites pour baisser ce taux. Dans le but d’endiguer ce fléau, des circulaires ont été adressées aux chefs des établissements scolaires, notamment les lycées, qui enregistrent à Oran la plus grande moyenne avec une vingtaine de cas par établissement recensés chaque année. Du pain sur la planche pour les enseignants et des éducateurs au sein des écoles, CEM et lycées qui sont appelés à faire preuve de plus de rigueur et d’attention pour atténuer la déperdition scolaire, tout en restant proche et à l’écoute des élèves qui sont parfois délaissés par des parents insouciants et même pas pris en charge par leur établissement, du coup, la rue sera pour eux une évasion de ce quotidien. Une réalité amère qui est malheureusement toujours très vivace dans notre société. Sur cette photo prise il y a quelques jours au niveau de la rue Mouloud Feraoun, nous avons rencontré deux enfants sur leur charrette qui collectent les déchets métalliques et en plastique, habitant à Hai En-Nedjma (ex-Chteïbo). Selon, eux l’école ne rapporte rien.
C’est pour cela que leurs parents les ont incités à quitter l’école et aller travailler. Ces mêmes parents ne savaient pas qu’ils ont mis leurs protégés sur la première marche de la délinquance. La preuve, au moment où nous parlions, l’un d’eux, le plus aîné a allumé une cigarette comme le fait n’importe quel adulte. C’est un cas parmi plusieurs d’autres qui reflète la démission de ces parents qui poussent leurs enfants vers la rue, en sachant pourtant tous les dangers qu’elle peut engendrer. D’aucuns estiment que dans pareils cas, l’établissement scolaire n’a aucune responsabilité, puisque l’Etat a mis en place une alternative pour ceux qui ont l’âge d’accéder au centre de formation professionnelle (CFPA), mais le drame ce sont ces enfants qui n’ont pas encore l’âge pour y accéder, c’est eux les plus grands perdants, c’est pour cela que la direction de l’Education se concentre plutôt sur les écoles et les CEM, dont les élèves sont menacés de se retrouver à la rue sans la possibilité de bénéficier d’une formation.
Jalil Mehnane

El Menzah
La commune d’Oran identifie et signale par des plaques son patrimoine
Echec à la mafia du foncier ?
Enfin des plaques indiquant qu’il s’agit d’un bien communal ont été installées ces derniers jours dans plusieurs lots de terrain qui étaient convoités par certains vautours du foncier. Des vautours qui se sont enrichis sur le dos des biens de l’Etat. En effet, C4EST grâce au wali qui a donné des instructions fermes aux responsables concernés, avons-nous appris, que des plaques ont été installées sur une quinzaine de terrains, indiquant que ces derniers font partie du patrimoine de la commune et qu’ils étaient destinés à des équipements publics. Ces terrains, faut-il, le signaler étaient convoités par certaines personnes bien connues dans les affaires louches de tout genre. Le transfert de ces terrains a même été inscrit à l’ordre du jour de l’assemblée extraordinaire des élus de la commune d’Oran qui devait se tenir le 9 novembre et qui a été annulée ensuite. Tenue le 26 novembre, la proposition de transfert de ces terrains ne figurait plus à l’ordre du jour de l’assemblée extraordinaire sans qu’aucun élu n’ait posé la question du pourquoi de la chose, ni la question de qui a décidé ce transfert et au profit de qui ou de quel organisme.
Lors de cette assemblée, aucun élu n’a posé la question sur certains terrains qui ont été clôturés avec des murs en parpaing et fermés avec des portails, dont l’indu-occupant de l’un d’eux vient de faire l’objet de trois mises en demeure et dont l’arrêté de démolition n’a pas encore été signé par le directeur du secteur urbain, avons-nous appris. Jusqu’à quand tolérer la dilapidation des biens publics et pourquoi faut-il que ce soit toujours le wali qui intervient pour mettre de l’ordre.
Que font les responsables directs qui ont la charge de ces affaires? Toutes ces questions restent posées par de nombreux citoyens qui, au vu de ce qui se passe dans leur ville pensent que de tels responsables ne sont pas à leur place.
A.Bekhaitia


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