الجمعة، نوفمبر 13

الاخبار العاجلة لاكتشاف سكان قسنطينةشعار الماسونية في نزل ماريوت الامريكي عبر القباب الخمسة لمداخل النزل يدكر ان شعار الماسونية موجود في المباني اليهودية بقسنطينة خاصة نزل سيرتا والمدرسةامام مقهي النجمة وللعلم فان الزائر لجسر سيدي راشد يكتشف شعار الماسونية يزين الاوتاد الحديديةلجسر سيديراشد فهل ادرك سكان قسنطينةانهم يعيشون مع الثقافة الماسونية تحت غطاء الثقافة العربية الاندلسية بدل الثقافة الاسرائيلية ويدكر ان اغاني المالوف القسنطيني تصنف ضمن ثقافة الروتاري والماسونية ومن يتجاوز حدود اغنية المالوف اليهودية يغتال ويطرد من المشايخة الثقافية وشر البلية مايبكي










Cheikh Raymond Leyris


Voici la musique de notre bien aimé Raymond:
Raymond Leyris 
Cheikh Raymond Leyris (27 juillet 1912 - 22 juin 1961 à Constantine) un musicien juif de musique Malouf (ou arabo-andalouse).
Il œuvra pour la paix entre les communautés musulmanes et juive de Constantine. 

Il est assassiné le 22 juin 1961 sur la Place Négrier de Constantine au milieu du marché juif.


Mal hbibi malou
Partie 1

Hokm El Bey Soirée
1954 Partie1

Reportage 

Tâl 'Adâb Bia -
"Ma souffrance a trop duré
 
Mal hbibi malou
Partie 2

Hokm El Bey Soirée
1954 Partie2

Ghezzali Hafi

Insiraf mahboubati
+ Farakouni
 
Djessa
Errahaoui

Dhalma -
L'injuste

El-brague

Poète
Amazight






http://lesjuifsdeconstantine.com/index.php/les-rues-de-constantine/10-les-rues-de-constantine/39-rue-thiers


Rue Thiers

Rue Thiers Constantine

La Rue Thiers était perpendiculaire à la rue grand en son début, en face de la Maison de Sidi Fredj Halimi et aboutit perpendiculairement à la rue de France.
En montant, sur la droite, se trouve le Crédit Municipal dont le caissier principal été David Nakache (zal), père du grand champion Alfred Nakache (zal).


  • Rue Thiers maison Atlan
  • Rue Thiers
  • Thiers
  • la rue thiers
  • photo du petit pont de la rue Thiers
  • rue constantin-rue thiers dit maison atlan
  • rue constantin-rue thiers dit maison atlan1








VILLE DE NETANYA 1
Netanya et la thora :

Cliquez ici pour accéder au site du RAV HAI DESIRE ELBEZE (זצייל)







La saga des Elbez

Elbez de Batna à Aix-en-Provence par Joel Guedj

25/08/2014 09:51:00
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Dimanche 12 Mai 2013, 14 heures, un groupe imposant et joyeux est en train de pique-niquer dans un jardin privé du Tholonet chez Gérard et Jeanine  H. A l’initiative de nos cousins, Guy et Gilles Elbez, les membres de la glorieuse famille Elbez ont été conviés à se retrouver. Comment s’explique la pérennité de la famille Elbez ? D’où viennent  les Elbez, pourquoi ont-ils choisi en grand nombre de s’installer à Aix-en-Provence après leur exil algérien ?
Elbez est un patronyme porté par des Juifs d'Afrique du Nord. Le nom signifie faucon en arabe ('al-bâz) et semble faire référence à Josué, dont un des surnoms dans la Bible est le Faucon. Selon les historiens, Richard Ayoun et Bernard Cohen, l'Algérie comptait des Juifs dès le temps des Carthaginois, mais surtout depuis les époques de Strabon et de la Kahena.
Leur effectif fut par la suite renforcé, comme celui des musulmans, d'abord suite aux persécutions de 1391, à la suite de la Reconquista espagnole, en 1492-1493, par l'afflux de juifs et de musulmans. Les uns et les autres, chassés par les rois catholiques, se réfugièrent en partie en Afrique du Nord.
Une étude d'onomastique statistique, réalisée en 1936 par le rabbin Eisenbeth, indique que 50 % des Juifs d'Afrique du Nord ont un nom d'origine arabo-berbère, 18 % d'origine hébraïque et 12,5 % d'origine latine (espagnole, italienne, portugaise). Les Juifs d'Algérie ont  constitué un groupe assez complexe.
Les Elbez(e) viennent de Batna en Algérie, « capitale » des Aurès, perchée à près de 1000 m, dans l’est algérien, à 113 km au SE de Constantine. En hiver, la température descend en dessous de zéro la nuit, avec de fréquentes gelées. En été, la température peut atteindre les 45 °C à l’ombre. Un dossier assez complet de de photos est à consulter dans Ouriel-Post 53.
Les Balcons de Ghoufi
Les hauteurs de Batna
En 1904, notre grand-père Messaoud Elbez, Z ‘’l  né en 1872 a épousé Messaouda Louisa Guedj Z’’l qui lui donna 11 enfants : six fils et 5 filles. La famille a grandi dans un cadre matériel simple, frugal mais dans une  vie spirituelle intense et conviviale. Les progrès importants de la francisation introduits depuis la promulgation de Décret Crémieux (1870), n’avaient pas refroidi les ardeurs de la foi juive.

1 Aperçu de l'arbre de Messaoud ELBEZ
Messaoud Elbeze 1825-1863         Sara (Zaphran) Zafran 1831-1857
Saul "Chaoul" Elbaze 1834-1896
Hadjila Elbaze 1835-1901/
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Joseph Elbez 1852-                 Ouraida Elbaze 1857-1897   
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Messaoudd
Elbez 1882-   


2. Aperçu de l'arbre Louise Messaouda GUEDJ
Abraham Guedj ca 1823-1881         Nouna "Louna" Attali ca 1829-1892
Eliaou Allouch 1835-1885         Mariouma Adda 1841-
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Hai Guedj 1855-                 Hafsa Allouch 1864-   
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Louise Messaouda Guedj 1886-   


-Joseph Elbez (1905-1993)
-Pierre  Elbez
-Lucie Elbez (1925-2001)
-Haï  Elbez
-Elie Elbez (1920-2004)
-Samson Elbez 1927--
Raymond  Elbez 1916-
-Mamath Elbez (1914-2005)
-Berthe  Elbez (1909-1976)
-Rose Elbez  (1912-2004)
-Lucie Elbez (1925-2001) .
- Michèle Elbez-

Une des branches de l’immense famille des ELBEZ(E)

Dès sa création (1848), grâce à une position de carrefour incontournable, la ville de Batna se développa rapidement et des commerçants sont venus de partout pour y investir et y travailler, des soldats restèrent après leur service pour construire leur vie sur place. Des concessions leurs étaient attribuées. Vers 1860, Batna compte environ 5 990 habitants.
Le marché aux légumes
Sa population augmente considérablement grâce à l'arrivée massive des Européens et des tribus des Aurès qui vivaient dans les villages et petites villes des alentours. À la veille de la de guerre d’Algérie, Batna a près de 26 400 habitants.  La ville était cosmopolite, il y avait des personnes d'origines et de confessions extrêmement diverses : Chaouis, Kabyles, Mozabites, Soufis, Arabes (originaires de diverses régions d'Algérie et d'autres pays, notamment du Maroc et de Tunisie,  et toutes sortes de métissages entre ces différentes origines ethniques. Ils étaient musulmans pour la plupart, mais il y avait également, avant la guerre d'indépendance, des Juifs d'Algérie et de nombreux Chrétiens originaires de France (de Corse notamment), de Malte, d'Italie, de Sicile, d'Allemagne, et même de Russie. À ce sujet, un proverbe contemporain dit : « Batna réussit à ses étrangers ». Plusieurs confédérations d'autochtones étaient concentrées dans le vieux Quartier du Camp de la ville et de la Zmela alors que beaucoup d'Européens habitaient le quartier du Stand où vivaient aussi des Musulmans algériens de classes plus ou moins aisées, ainsi que de nombreuses familles de Juifs d'Algérie.
Le centre-ville de Batna
Vue générale
Avenue de la gare et des finances


Le square

Avenue de la République
La population juive a été beaucoup plus perméable aux influences françaises que les musulmans. À partir de 1860-70, la jeunesse s'habille majoritairement à l'européenne, les prénoms aussi évoluent: les prénoms français remplacent les prénoms hébraïques ou arabes qui sont désormais portés en deuxième position. L'usage du français remplace celui de l'arabe comme langue courante chez les Juifs

La gare
Cette assimilation au modèle français, bien que plus marquée qu'en Tunisie ou au Maroc, n'est cependant pas aussi poussée que celle s'opérant chez les Juifs de métropole. Ainsi, très peu de mariages mixtes sont contractés, et les Juifs restent un groupe distinct au sein de la population bénéficiant de la citoyenneté française en Algérie. De même, la pratique religieuse des Juifs algériens est restée globalement plus importante que celle des Juifs de l'hexagone de la même époque.
Les écoles, le théâtre, l'hôpital, les cinémas, les jardins, les routes, les installations sportives, les immeubles d'habitation et d'administration, la gare, etc., s'y sont développés et ont été bâtis pendant cette période et restent fonctionnels à ce jour. Il y avait aussi un aéroport de l'armée à Batna qui devenait de plus en plus stratégique du point de vue économique et militaire. L'hôtel d'Orient et d'Angleterre sera construit pour accueillir les touristes avant la Première Guerre mondiale, vers 1885. Quelques célébrités mondiales y ont séjourné comme John Wayne et Mohamed Abdelwahab.
La décision d'abroger le décret Crémieux est prise le 7 octobre 1940 par Vichy. Le 30, les lois sur le statut des Juifs d'essence antisémite s'appliquent en métropole comme en Algérie. Les Juifs d'Afrique du Nord ne subissent pas l'action génocidaire des nazis qui dévaste les communautés juives d'Europe mais ils sont cependant mis au ban de la société française d'Algérie pendant la durée des hostilités et certains d'entre eux sont internés dans des camp de travail dans le sud algérien.
Le philosophe Jacques Derrida a témoigné de cette période difficile pour les Juifs et leurs enfants:
« Les enfants juifs sont expulsés de l'école. Bureau du surveillant général: tu vas rentrer chez toi, tes parents t'expliqueront. Puis les alliés débarquent, c'est la période du gouvernement général (de Gaulle-Giraud) : les lois raciales maintenues près de six mois sous un gouvernement "libre".[45]. »
Agression contre le rabbin de Batna en 1955. Incendie dans une synagogue à Oran en 1956. Meurtre du rabbin Nedomah en 1956. Meurtre du rabbin de Médéa 1957 Projection d'une grenade dans une synagogue de Boghari, Bousaada. Saccage de la synagogue de la Kasba à Alger en 1961. Attentat dans les quartiers juifs en 1957, 1961 et 1962. : Oran, Constantine. Mort de deux enfants en 1962.
Batna devient en 1957, le chef-lieu d'un département qui porte son nom.
La mort de Cheikh Raymond Leyris (beau-père d'Enrico Macias), musicien de Maalouf et apprécié tant des juifs que des musulmans, assassiné par un algérien français le 22 juin 1961, constitua un tournant symbolique pour nombre de Juifs d'Algérie. Videéo Raymond Leyris et les juifs de Constantine
Hommage à ma chère Maman
Ce matin, dimanche 28 janvier 2007, je suis allé au cimetière des Milles où reposent mes parents, de Mémoires bénies. Face à l’entrée se trouve le wagon souvenir du camp  d’internement des Milles, dans lequel en ce jour, on commémore la journée internationale de la Shoah : tous ces faits ont-ils un lien ?
En souvenir de Mes Parents je me suis mis à chanter des mélodies dont ma Mère était tellement assoiffée, elle qui a été une femme bercée par les voix magnifiques de chantres d’Algérie, elle qui a vécu un Judaïsme plein de chaleur, de joie et solidarité. Je me suis mis à chanter une prière de chabbat qu’elle aimait tant : j’ai fondu en larmes parce ce que je réalisais un peu de l’immense perte.
.  En me recueillant sur leur tombe j’ai vu défiler des scènes d’un passé lointain et si proche pourtant dans lequel je voyais  mes parents parler,  rire,  tenter toujours de réchauffer l’atmosphère du milieu où ils évoluaient. Les scènes du film de notre famille ont défilé rapidement : l’image floue de ma sœur Michelle penchée sur mon berceau, la vie joyeuse et chaleureuse dans notre pays natal, les odeurs, les scènes de violences liées à la guerre d’Algérie, l’intrépidité de mon père qui bravait les couvre-feux pour aller chercher mon frère James, le départ en catastrophe de 1962 vers la métropole. De tous ces événements Notre Mère ne voulait retenir qu’une leçon : la famille était revenue entière et c’était ça l’essentiel. Cette manière de penser était extraordinaire : elle savait toujours donner une interprétation juste à des évènements difficiles. Grâce à cette hauteur de vue elle voulait afficher la victoire du courage et de la lucidité.
Malgré le déracinement et la froideur du climat parisien Mes Parents ont pris le dessus grâce à leur enthousiasme extraordinaire : à Sarcelles ils ont participé à la construction de cette magnifique communauté qui est devenue l’une des plus importantes de France. En particulier Mon Père s’occupait de pratiquer la Mitsva la plus ardue, le service du dernier devoir, en même temps il consolait les familles endeuillées grâce aux prières qu’il savait si bien chanter.
Quant à ma Mère, elle vivait  pleinement dans un univers mental où les êtres vivants et les êtres disparus cohabitaient, son discours était rempli de nostalgie brisé régulièrement par des notes d’humour qui créaient une atmosphère extraordinaire et pleine de sensibilité. Quand on avait le privilège de la rencontrer et de lui parler elle nous transmettait ce parfum d’éternité :   

Je ne la remercierai jamais assez de nous avoir délivré ce message ! En 1972, après une vie de travail bien remplie, mon Père et ma Mère ont pris la décision de s’installer dans la ville de leurs rêves : Aix en Provence où se trouvait la plus grande partie de leur famille, ils espéraient ainsi renouer les fils rompus par l’exil algérien. Pendant 18 mois ils ont ainsi  contribué au relèvement de la communauté juive aixoise en ouvrant le restaurant, le mikvé. En cas de besoin Mon Père pouvait remplacer le rabbin Haï Elbeze Z’’l.
Je me rappellerai toujours de la manière avec laquelle ils s’occupaient d’organiser les repas chabbatiques pour les étudiants qui étaient sans famille (mon ami Pierre Azoulay était leur interlocuteur) : on comptait parfois jusqu’à 80 personnes.
Et puis il y a eu la tragédie : l’accident terrible de mon Père en revenant de la synagogue, il portait ainsi une sacoche contenant les reçus des dons que les fidèles devaient régler. Le choc de la disparition a été très éprouvant, presque insurmontable, mais la famille aixoise encore solide, nous a entouré de tous les égards. Pourtant Ma Mère est alors entrée dans une profonde dépression réactionnelle mais grâce à son courage et sa force morale elle avait décidé de continuer à se battre pour ses fils qu’elle chérissait tant. Dans cette nouvelle vie, elle a alors assumé toutes les responsabilités sans jamais faillir : aides aux études, organisations de mariages magnifiques, cadeaux fréquents à ses enfants et à ses petits enfants. Hachem l’a comblé de ressources ce qui lui permettait de satisfaire les siens : c’était son plus grand bonheur.
Ce qui était marquant chez notre Mère c’était sa beauté naturelle avec un visage fin toujours souriant, plein de douceur et de lumière : sa présence illuminait son entourage ou les simples personnes rencontrées dont elle voulait toujours  remonter le moral. De sa bouche ne sortaient que des paroles d’encouragements et de bénédictions : La voir, Lui parler nous donnait un tonus extraordinaire et stimulait nos meilleurs sentiments.
Je me suis souvent demandé d’où lui provenaient cette lucidité et cette intelligence ? En fait elle était profondément attachée à la foi en Hachem, comme pour remercier Hachem de ce don magnifique qu’est la vie, elle avait décidé de ne jamais capituler quelque soient les difficultés et les défis à surmonter, elle gardait son sang-froid et sa ligne de conduite : ne pas céder devant les forces de la nature et de l’histoire. Cette force de caractère, cette joie de vivre malgré toutes les épreuves nous servent à jamais de repères pour notre existence. Elle avait un humour plein de finesse et elle inventait plein d’expressions nouvelles. Elle avait fini par transformer les  contraintes de la vie en atouts en  mettant son existence au service des autres. Pour moi elle incarne totalement la force et la beauté du Judaïsme : on pratiquait d’abord pour l’honorer puis on en percevait ensuite le fruit personnel. Chaque année elle se souciait de savoir si j’allais obtenir le samedi comme jour de repos dans mon travail, comme je savais l’importance qu’elle y attachait je déployais tous mes efforts pour l’obtenir et finalement c’est avec une immense fierté qu’elle recevait la bonne nouvelle.
Dans la prière du matin on lit ce poème qui reflète tout à fait des sentiments ressentis au moment de la disparition de notre chère Mère et Grand-mère, de Mémoire bénie :
« Les hommes de foi ont disparu. Ceux qui se présentaient par la force de leurs actes héroïques quand il fallait colmater la brèche, Ecartant les mauvais décrets ils étaient pour nous comme une muraille, Comme un abri le jour de la tempête Calmant la colère par leur prière ? Empêchant le courroux par leur plainte. Avant même qu’ils ne t’invoquaient tu leur répondais. Ils savaient supplier et apaiser Tel un père, tu avais pitié en leur faveur. Tu ne les laissais pas revenir les mains vides ; Nous les avons perdu à cause du nombre de nos fautes. Ils nous ont quitté à cause de nos péchés. Ils s’en sont allés vers le repos éternel Ils nous ont abandonné aux gémissements ! Ils ne sont plus, ceux qui dressaient des barrages. Ils sont morts, ceux qui apaisaient la colère. Ceux qui se dressaient contre la brèche n’existent plus ! Ceux qui savaient te fléchir ont disparu ! Nous errons aux quatre coins de la terre Nous ne trouvons aucun remède Nous revenons vers toi, la honte au visage, afin de te trouver, ô Eternel, au moment de notre malheur. »          
Je te prie, chère Maman, de continuer à nous couvrir toujours de tes ailes protectrices, de nous dispenser de tes bénédictions. Merci pour tout et
pardon de t’avoir trop délaissée.
Ton image est ancrée à jamais dans notre cœur.                                                      

Joël.


Il y avait une synagogue à Batna jusqu'au 2 juillet 1968 quand elle fut déclarée bien de l'État, elle se trouve sur la rue Grine Belkacem et sert de centre de documentation et de diffusion pédagogique. Le cimetière juif, d’une superficie, d’environ 2,500 m2, est séparé de la partie chrétienne par un mur d’enceinte
(A suivre..).
L’ancienne synagogue                                                        










La nouvelle synagogue transformée en bibliothèque




Etat actuel du cimetière juif de Batna
Le cimetière de Batna DE PASSAGE À BATNA  Les 6 et 7 avril derniers, j’ai eu l’occasion avec mon épouse de passer deux jours à Batna, ville de 250 000 habitants, située entre Constantine et Sétif, dans l’est algérien. Mon hôte me parle de la communauté juive de Batna qui a totalement disparu aujourd’hui. Lors de notre parcours en voiture dans la ville, il me permet, sans nous arrêter, de photographier les deux synagogues, proches l’une de l’autre. La première est la plus ancienne et aujourd’hui inhabitée, la seconde, jamais utilisée, a été construite en 1960, peu de temps avant l’indépendance algérienne et le départ de la communauté ; elle est aujourd’hui devenue une bibliothèque « fermée » où l’on stocke des livres. Le cimetière juif, protégé par des barbelés au dessus des murs, jouxte le cimetière chrétien. Un muret les sépare. Alors que le cimetière chrétien, dont l’entrée est gardée par une gardienne, est dans un état acceptable et comprend l’ancien monument aux morts de Batna, le cimetière juif est visiblement à l’abandon, envahi par les herbes folles. J’ai pris quelques photos du cimetière juif.
Je ne connaissais pas Batna durant ma vie en Algérie. J’ai découvert cette ancienne garnison militaire, et je tenais, en allant sur les traces de cette communauté, à avoir une pensée pour ceux qui ont habité cette ville et qui l’ont aimée. Fabien Squinazi        12/04/2013
Dernière nouvelle notre cousin Gérard Haioun âgé de 61 ans vient de nous quitter brutalement  le 13 Hechvan 5775..Nous assurons son épouse et ses enfants de toute notre sincère compassion. Les prières du mois auront lieu à Nice le samedi 6 Décembre 2014.... Vidéo du Hazguir 7 jours




http://www.djelfa.info/vb/showthread.php?t=708266


SUPER écrit avec soin et sentiment d'un fils de chez nous vis à vis de ces parents
guedjourielPosté le 28/11/2014 16:16:14
émouvant et instructif ce récit sur les origines et le parcours de cette grande famille et sa lignée qui ont su retrouver leurs racines et par ce biais rappeler les lieux et le vécu  de ces juifs d'Algérie qui ont sauter à pieds joints dans l'émancipation tout en restant fidèles à la tradition et aux valeurs qui nous fondent. Alice B.
A.benchimolPosté le 13/11/2014 20:38:17
Bonjour pour plus de détails il faut chercher en archives le numero 53 du magazine ouriel-post qui est sur le site
Guedjwww.ourielpost.comPosté le 29/10/2014 07:15:40
Merci pour ce recit, je suis tres interesse si vous avez des photos ou des documents de Batna, ville d'ou provient ma mere za'l et sa famille.
SamuelPosté le 26/10/2014 19:17:55





http://benbadis.org/vb/showthread.php?t=9487







الماسونية لمن لا يعرفها








Lorsqu’on retrace l’historique du Lionisme en Algérie, on peut être agréablement surpris et ressentir parfois quelques amertumes.

Agréablement surpris lorsqu’on découvre une existence ancienne de clubs dans certaines villes , dès l’installation de cette association en Algérie.


 Ressentir de l’amertume quand  on constate la disparition de certains d’entre eux, effaçant ainsi toute représentation du lionnisme dans ces villes.

Cinq années après son introduction en Europe notamment en Suède, en France et en Suisse,, le Lionnisme  fait son entrée en Afrique en février 1953, et c’est bien le Club Alger Doyen qui en fut le précurseur le 23 Février de cette même année, parrainé par le Club de Vichy. Arrivés à Alger nos amis du Lions Club Vichy Doyen emmenés par leur président fondateur Roger Dilon et accompagnés du Délégué international l’américain Tony Delage créèrent ‘’Algiers Club’’ puis se rendirent par train à Oran ou fut crée Oran Doyen enfin ils se rendirent à Casablanca et Rabat ou les clubs de ces deux villes furent crées.

Il faut rendre hommage aux trois leaders initiateurs du Lions Clubs en Afrique, Fernand AMODĖ d’Alger Doyen, Gaston ANDUZE-ACHER d’Oran Doyen et Pierre MOUILLEFARINE de Casablanca Doyen ainsi qu’à Roger DILON fondateur du lions clubs Vichy Doyen parrain d’Alger Doyen et au Délégué international l’américain Tony DELAGE initiateur du Lions Clubs en Europe et en Afrique.
Le Délégué International Tony Delage (à gauche) et le premier Président fondateur du Club Alger Doyen  Fernand Asmodé
Après avoir lancé le LIONSCLUBS en Europe dès 1948,Tony Delage vint à Alger en février 1953 pour lancer
le premier lions club d’Algérie et d’Afrique
ALGER DOYEN
Alger Doyen eut sa charte approuvée par le siège international le 27 mars 1953 et se trouve donc le doyen des clubs africains ;il sera suivi d’Oran Doyen,de Rabat Doyen de Casablanca Doyen en avril et mai 1953 puis de Brazaville en 1954,Bangui ,Dakar, Yaoundé et Abidjan en 1955 , de Conakri, N’Djamena en 1956 et de Madagascar en 1957 .
La CHARTE d’Alger Doyen
en date du 27 Mars 1953
La dernière visite d’un Président International eut lieu en mars 2003

En mars 2003 le Président de la République Abdelaziz BOUTEFLEKA reçoit le Président International K.Kay Fukushima et le gouverneur Mohamed Mokrani
 ETRE LION

L'humanisme, cette propension de tout être humain à se préoccuper  naturellement de son prochain est en fait un comportement aussi vieux que l'humanité  elle même.
Simple comportement de solidarité grégaire des peuples primitifs, c'est devenu un idéal, une philosophie et une doctrine, l'Humanitarisme, que pratiquent ceux qui se soucient du bien être de leurs semblables où qu'ils se trouvent, sans distinction de race, ni de culture, ni de religion.

Melvin Jones, un jeune assureur de Chicago aux Etats Unis  en a consacré le concept à travers le principe que:

"L'on n'a rien fait dans sa vie tant que l'on n'a pas fait quelque chose pour autrui"


et en a concrétisé l'action en constituant ce qui devait- en   quelque décennies  seulement - devenir la plus formidable organisation de Clubs Service à l'échelle planétaire, avec
·      quelques 1 500 000 membre,
·     dans près de 45 000 clubs,
·     à travers 208 pays et territoires  de par le monde,
·     et ayant un statut d' Observateur à l'ONU :

" L'Association Internationale des Lions Clubs "
plus connue sous son appellation anglo-saxonne de
" Lions Clubs International "

Constituée aux Etats Unis en 1917, l'Association prenait une dimension internationale dès 1920 avec la création de clubs hors des Etats Unis, dans de nombreux pays et contrée dont l'Afrique

Un Club Service n'est pas, par définition, une association caritative. C'est la réunion de femmes et d'hommes animés d'un esprit de service et par la volonté d'aider leurs prochains, en consacrant un peu de leur temps et de leurs capacités, financière, professionnelle et relationnelle, pour porter une assistance multiforme à ceux qui œuvrent plus directement à la réalisation d'actions humanitaires.


 Le Nom

Le nom officiel de l'Association est: "Association Internationale des Lions Clubs "ou " Lions Clubs International "

L' Emblème

L'emblème officiel de l'Association a été adopté lors de la convention de 1919 et sert de moyen de reconnaissance de tous les Lions à travers le monde.
Il comprend un "L " de couleur OR sur un fond circulaire de couleur POURPRE ou BLEUE , bordé d'OR et portant
* sur chacun des cotés gauche et droit, un profil de LION tourné vers   l'extérieur,
* en haut l'inscription " LIONS ",
* et en bas l'inscription " INTERNATIONAL
La Devise

La devise de l'Association , symbolisant on ne peut mieux la mission de ses membres, est " NOUS SERVONS " en anglais " WE SERVE ".

Le Slogan
Son slogan est:"LIBERTY, INTELLIGENCE,OUR NATION'S SAFETY " signifiant  : "Liberté, Compréhension, Sauvegarde de nos Nations".

Les Couleurs officielles

Lors de la fondation de l'Association en 1917, les couleurs POURPRE et OR ont été choisie comme couleurs officielles; le pourpre symbolisant la loyauté envers ses amis , l'intégrité de cœur et d'esprit, et l'or, la sincérité des motifs, la tolérance, la pureté de la vie et la générosité matérielle et spirituelle envers les nécessiteux.

La raison d'être

Lorsque, plus de 400 ans avant l'ère chrétienne, les Athéniens, partant de l'observation du mode de vie de peuplades asiatiques apparemment moins développées qu'eux, créèrent le concept de Démocratie, ils fondèrent ce nouveau mode de fonctionnement social sur trois principes cardinaux:
- La liberté de chacun qui ne se conçoit que dans le respect très rigoureux des règles communautaires,
- La concorde, à savoir, l'harmonie résultant de la compréhension et de la bonne entente entre les membres de la communauté,
- Le civisme, qu'ils définirent comme l'engagement, voire l'obligation faite à chacun, de faire passer les intérêts de la Cité, autrement dit la  communauté, avant les siens propres.

Ce n'est donc pas sans raisons que nombre des dictionnaires de la langue française définissent de nos jours le CIVISME comme
               " le dévouement d'un citoyen pour sa patrie"
                 (Larousse édition 1972 et 1977, Robert édition1986 )

Et ce sont ces  mêmes principes cardinaux qui fondent la raison d'être et l'action de l'Association à savoir:
- La liberté de chacun qui garantit celle de tous,
- La compréhension des autres pour vivre avec eux en harmonie,
 - Le service de sa patrie, pour en assurer la sauvegarde
qui se résument dans son slogan

    "Liberté,Compréhension,Sauvegarde de nos Nations"
                

LIONS = Liberty,Intelligence,Our Nation's Safety

L'action d'un Lion s'inscrit d'abord dans son propre environnement immédiat; sa famille, son cercle d'amis, ses relations sociales et professionnelles, puis plus largement sa communauté, sa ville, son pays; en un mot sa Patrie.
Et, partant, l'action de l'Association vise donc à promouvoir le CIVISME, en encouragent l'Homme quel qu'il soit et dans quelque communauté où il vive sur terre
-       à inscrire tous les actes de sa vie privé ou publique, civile ou professionnelle dans une recherche permanente de la qualité et de la compétence, et dans la  pratique de principes moraux les plus élevés,

-       à œuvrer pour l'élévation du bien être moral, social, culturel et civique de sa communauté sans chercher d'autre récompense pour cela que la satisfaction d'avoir été utile aux autres,

-       -à servir loyalement et avec abnégation d'abord et avant tout sa propre patrie dans le respect des règles communautaires et des principes fondateurs historiques, socioculturels et identitaires de celle-ci.


Ces principes étant universels, l'Association n'est donc pas, comme elle pourrait l'apparaître, une organisation supranationale mais bien au contraire un mouvement civique universel qui se développe dans le respect et  la promotion des valeurs propres à chaque communauté, et grâce à la compréhension intercommunautaire.
Elle se veut le creuset où peuvent être débattus, dans le respect de l'autre, tous les sujets d'intérêt public sauf ceux de politique partisane et de religion.
La pratique de ces principes est résumée dans la charte des Règles de Conduite des Lions.

Le Lionisme n'est pas un cercle réservé à des initiés; il est, bien au contraire, ouvert à tous les femmes et hommes de bonne volonté qui souhaitent être utiles à leurs semblables.

Le but de l'Association étant de promouvoir le Civisme, tout bon Lion se fait un point d'honneur d'en parler autour de lui et de chercher à recueillir l'adhésion de personnes dans lesquelles il estime reconnaître d'évidentes qualité de cœur et d'esprit, et dont il parrainera l'adhésion au sein de son club.


Ci contre après une action d’aide ophtalmologique pratiquée par le past gouverneur Mohamed Mokrani,        nous reconnaissons à gauche le regretté Ahmed Marouf qui fut le doyen des lions d’Algérie ainsi qu’à l’extrême droite le past gouverneur Hadj Ghozali qui contribua au renouveau du Lions Clubs d’ Algerie au cours des années 1990

Les développements du Lions Clubs en Algérie

Succédant à Alger Doyen, plusieurs autres clubs ont vu le jour à travers le territoire national.

  • Oran Doyen                           le 24.04.1953.
  • Oran Mediterranée                  le 03.12.01955.
  • Mostaganem                          le 05.05.1957
  • Annaba ou ex Bône        le 18.05.1957
  • Tlemcen                       le 10.05.1958
  • Béjaia ou ex Bougie                 le 20.06.1959
  • Ghardaia                        le 03.02.1962
  • Ain Temouchent            le 23.02.1963
  • Constantine                   le 23.06.1968.

On enregistrait ainsi pas moins de 10 clubs à la fin des années 60.

A fin 1973, seuls 07 clubs demeuraient en activité : Alger Doyen, Oran Doyen, Oran Méditerranée, Mostaganem, Tlemcen, Annaba et Constantine.


Ces 07 clubs qui constituaient alors le sous district Algérie, comptaient à la fin décembre 1973, un effectif de 119 membres sur un effectif global du district Maghreb de 888 membres.

Rattaché au District 401 Maghreb, constitué également des sous districts Maroc et Tunisie, le sous district Algérie relevait alors de la tutelle d’un Vice Gouverneur.


Après quelques années difficiles dues aux restrictions imposées au mouvement associatif par le régime du parti unique, l’Association des Lions Clubs d’Algérie sut préserver ses activités puis au bout de huit années de difficultés , et dès l’avènement de la loi consacrant la liberté et le droit d’association, et grâce à la volonté résolue des clubs encore actifs, elle connut un nouvel essor.


Ainsi, en 1989 naissait le Club Oran El Bahia  puis l’année suivante à Alger, le Club Alger Ryadh, venant s’ajouter à la famille lionnistique.

En 1991, ce fut  au tour des Clubs Sidi Bel Abbes Doyen et Oran l’Emir.

En 1992, Alger s’enrichissant d’un nouveau club, Alger Yasmine.

En 1994 et 1995, naissaient Sidi Bel Abbes Espoir et Tlemcen.

Cette progression intense se poursuivit en 1996 et 1997, qui virent se créer pas moins de 11 clubs :
-       1996 : Alger –Méditerranée, Oran-Murdjadjo, Tizi Ouzou –Doyen et Ain Temouchent.
-       1997 : Annaba, Sidi Bel Abbes-Soleil, Oran-Bel-Air, Adrar-Touat, Beni Saf- Sur Mer,Alger-Casbah et enfin Oran-Andaloussia.

En 1995 naissait le district 415 Algérie suite à la restructuration du District 401 Maghreb.

A cette date , 11 clubs Lions activaient en Algérie. A la fin du mandat de notre ami, past Gouverneur, Salah Mohamed Lahbib, en 1996, le mouvement Lionnistique en Algérie comptait pas de moins de 26 clubs dont 4 clubs Leos (jeunes Lions).

1997-1998 a vu la famille Lionistique se renforcer de 05 nouveaux clubs : Sidi Bel Abbes Iris, Alger Citadelle, Béjaia Gouraya, Oran La Colombe et Oran Phoenix.

La création de pas moins de 09 clubs Leos , prouve combien notre mouvement a pu susciter l’intérêt et l’engouement de notre jeunesse.

A la fin de l’année 1999, la famille lionistique en Algérie était constituée de 34 clubs dont 11 clubs féminins, 15 clubs masculins et 08 clubs mixtes ainsi que de 09 clubs Leos.
En janvier 2013 la famille lionistique comprend les 34 clubs suivants dont 15 clubs mixtes,9clubs féminin et dix clubs masculins.
ALGER CASBAH,ALGER DOYEN,ALGER EL GHALIA,ALGER EL KETTANI,ALGER GAYA UNIVERSITAIRE,ALGER ICOSIUM,ALGER LA CITADELLE,ALGER LIBERTE
ALGER LUMIERE,ALGER MEDITERRANEE,ALGER THANINA,ALGER ZHIRA,ALGER ZIRI,BEJAIA GOURAYA UNIVERSITAIRE,BLIDA LA ROSE,BLIDA LA SOURCE, CONSTANTINE DOYEN,MOSTAGANEM LA SALAMANDRE,MOSTAGANEM MAZAGRAN,MOSTAGANEM……., ORAN AMEL,ORAN BEL AIR,ORAN BEL HORIZON
ORAN DOYEN,ORAN EL BAHYA,ORAN EL BESMA,ORAN EL MURDJADJO
ORAN MEDITERRANEE,ORAN PHOENIX,SETIF DOYEN,SETIF SITIFIS UNIVERSITAIRE,SIDIBEL ABBES IRIS ETERNEL,SIDIBEL ABBES SOLEIL ET ANNABA,

Le District 415 ALGERIE comprend aussi 10 LEO CLUBS

De nouveaux Lions Clubs sont en cours de création à Batna,Tiaret,Chleff,Relizane et Skikda.

On enregistre un turnover dans la constitution de notre District que seules, la stabilité et la pérennité, peuvent assurer le développement. Il est n’est pas opportun de signaler tous les clubs crées et dissous, l’essentiel est d’arriver à constituer une grande famille, répartie à travers le territoire national et que chacun de ces membres constitue un maillon de la chaîne de solidarité, au service des plus démunis, là où ils se trouvent.
Il est à signaler qu’en 2010 lors du bilan de l’opération ‘’SIGHT FIRST 2’’
les membres du Lions Clubs d’ALGERIE ont été classés à la treizième place en terme de contribution moyenne par Lion par rapport aux Lions de plus de 200 pays et territoire ayant contribué à l’opération ‘’SIGHT FIRST 2’’.

Le district atteindra et dépassera dès cette année le nombre minimum de 35 clubs ;l’objectif à poursuivre est d’atteindre et dépasser le niombe de 1250 membres afin de sortir du statut de District provisoire.






REDA AMRANI PAST GOUVERNEUR

http://lionsclubs-algerie.org/
http://www.tsa-algerie.com/20151112/razika-cherif/









http://onpartquand.fr/constantine-bilan/


http://www.easyvoyage.com/israel/culture

onstantine : Bilan de la semaine

Un peu d’histoire

Constantine est située au Nord-Est de l’Algérie, à environ  200 km de la frontière tunisienne et 200 km de la Kabylie plus au sud.  Avec ses presque 500 000 habitants, Constantine fait partie des villes les plus importantes d’Algérie aux côtés d’Alger et Oran, elle est d’ailleurs capitale régionale de l’Est du pays. Surnommée « la ville aux 7 ponts », « la ville aux ponts suspendus » ou encore « la ville du vieux rocher », Constantine (de son ancien nom Cirta) est l’une des plus anciennes cités du monde.
Après la colonisation française et les « années noires » l’Algérie ne semble pas avoir su se relever correctement. Le gouvernement corrompu plonge le pays dans un status quo dont le peuple semble avoir du mal à se dépatouiller. Les maisons ne sont pas finies, il y a de nombreux chantiers dans toute la ville, les immeubles finis sont en mauvais état, rien ne semble avoir bougé depuis le départ des français. Seules quelques infrastructures comme le tramway, la mosquée, et d’autres bâtiments en plein cœur du centre-ville sont en bon état.

Constantine traditionnelle

Constantine est une ville traditionnelle. Un regard jeté sur moi à travers la fenêtre de la voiture, alors que j’étais en simple débardeur, m’a rappelé à l’ordre : en tant que femme, il faut couvrir les épaules et le décolleté. Donc mesdames, le T-shirt est de rigueur, sinon le foulard posé sur vos épaules fera l’affaire.
Toutefois, la religion  n’est pas intrusive. Bien que quasiment toutes les femmes portent les robes traditionnelles et un foulard sur leurs cheveux, jamais je ne me suis sentie mal en ne couvrant pas les miens. Exception faite à la mosquée où, comme dans de nombreux autres lieux religieux dans le monde, il faut enlever nos chaussures et se couvrir la tête si on est une femme.
En revanche, quand nous avons passé la journée en bord de mer près d’Alger, je n’ai pas couvert mes épaules et personne ne m’a rien dit. J’imagine que plus on est proche de la capitale, moins les traditions sont fortes.
Centre ville de Constantine
Centre ville de Constantine

Le tourisme à Constantine

L’Algérie n’est pas un pays touristique. Alger semble malgré tout plus cosmopolite et plus ouvert mais quand même, on a croisé très peu d’européens. A Constantine, Arnaud ressentait les regards curieux qu’on lui jetait, a priori, je devais mieux me fondre dans le paysage 😉
Etant donné qu’il n’y a pas de tourisme, si on veut acheter quelque chose il est inutile de marchander et, comme vous pouvez vous en douter, il y a finalement peu de choses à faire et à voir. La ville est originale et intéressante, néanmoins, seulement quelques jours vous suffiront pour en faire le tour.
Autour de Constantine, il n’y a rien, c’est la campagne à perte de vue. Toutefois, s’il y a bien quelque chose qui doit valoir le coup d’œil ce sont les vestiges de la civilisations romaines que l’on peut trouver aux alentours!
"Timgad Trajan" by PhR61 - originally posted to Flickr as IMG_0882.
« Timgad Trajan » by PhR61 – originally posted to Flickr as IMG_0882.
Les romains se sont implantés dans le nord de l’Algérie et y ont érigé des cités entières. Nous devions aller à Timgad, l’un des sites les mieux préservés et les plus grands du pays mais malheureusement le sort en a décidé autrement (voir notre article précédent). Il y aussi le site de Tipaza, près d’Alger qui a l’air de valoir le détour mais là encore, faute de temps, nous n’avons pas pu nous y rendre.
Dommage, c’est légèrement frustrés, je dois l’avouer, que nous rentrerons en France sans avoir vu ces vieilles pierres. Les photos de ruines de cet article (merci Google Images)  sont les cités en questions. Vous voyez ce qu’on a loupé?
Bref, tout ça pour dire que si un jour vous vous rendez en Algérie, il faut que vous alliez voir ces vestiges si la sécurité l’autorise.
La sécurité. Voici un point important que je souhaite aborder.

La sécurité en Algérie

Soyons francs, à aucun moment en nous baladant nous ne nous sommes sentis en danger ou quoi que ce soit. Jamais nous n’avons eu peur, jamais nous ne nous sommes inquiétés pour notre sécurité. En tant qu’expatrié, mon père doit suivre les recommandations de l’ambassade à la lettre : interdiction de sortir de la wilaya (préfecture) de Constantine autrement que par avion, toute balade dans la ville et la wilaya doit se faire en voiture et sinon, les seules villes accessibles sont Alger, Oran et Bejaïa en Kabylie.
Du coup, nous devions respecter nous aussi ces conditions. Nous rendre à Timgad, à 50km de Constantine, n’aurait donc pas été possible sans une escorte policière et un chauffeur. Seulement, à cause des attentats, l’escorte n’était plus en mesure de nous accompagner, nous n’avons donc pas pu nous y rendre.
Timgad - Wikipédia Creative Commons
Timgad – Wikipédia Creative Commons
Cette situation est particulière et ne sera certainement pas la réalité à laquelle vous serez confronté si vous décidez de venir dans le pays en tant que touriste « normal ». Je vous recommanderais cependant d’avoir un contact sur place pour venir car mis à part les grandes chaines hôtelières telles que Novotel ou Marriot, la ville ne possède pas vraiment de lieux adaptés à un séjour touristique. Alger semble y être plus propice. Sachez quand même qu’aujourd’hui, l’ambassade ne recommande pas de venir dans le pays sans avoir de raisons particulières.
Nous avons apprécié passer cette semaine dans cette ville et ce pays que nous ne connaissions pas. Ce fut dépaysant et en même temps nous nous sentions bien et regrettons simplement de ne pas avoir pu découvrir Alger comme nous avons pu visiter Constantine. J’aurais aussi aimé voir les sites romains. Malgré ça, ça fait du bien de se rendre dans ce pays et d’en voir la réalité. Ça aide aussi à comprendre certaines choses qui se passent en France, et ça, c’est bien!
Le Petit Coin Pratique
Pour vous rendre en Algérie il vous faudra obligatoirement un visa. Cliquez pour savoir comment l’obtenir.
Il y a des vols au départ de Paris et de Marseille directs pour Alger et pour Constantine. Le vol Marseille – Constantine dure 1h30 et vous coûtera aux alentours de 150€.
En Algérie on paye en Dinars. 1 € = environ 100 dinars
Certains comportements sont à éviter dans le pays :
En couple on ne se tient pas la main dans la rue.
  • On ne s’embrasse pas non plus (c’est d’ailleurs puni par la loi)
  • On ne peut pas prendre les administrations et leurs personnels (mairie, commissariat, agents, …) en photo.
  • On évite de prendre les gens en photo


http://onpartquand.fr/constantine-la-ville-aux-7-ponts-premiere-decouverte/



Constantine, la ville aux 7 ponts : première découverte

En cette fin de mois de juillet, nous nous sommes octroyés une semaine de repos. L’occasion pour moi de reposer mon esprit avant de reprendre, en Août, le travail sur mon mémoire et l’occasion pour Arnaud de simplement inaugurer le début de ses vacances.
Mon père est, depuis quelques années maintenant, expatrié à l’étranger. Après un passage en Inde, c’est en Algérie que le travail l’a mené. L’occasion pour nous de lui rendre visite et de découvrir une (petite) partie de ce pays que nous ne connaissons pas.

« Bienvenue à Constantine, la température extérieure est de 35°, toute la compagnie Air Algérie vous souhaite un agréable séjour »

Ce 23 juillet, à 19h, après un atterrissage sportif, nous sortons de l’avion qui nous à emmené de Marseille à Constantine, notre ville d’attache pour la semaine à venir. Déjà, dans le bus qui nous conduit à l’aéroport, en longeant les pistes, on voit une cigogne, derrière elle, les montagnes aux tonalités vertes et jaunes se dressent. Pas de doute, nous sommes ailleurs. Dans la voiture pour rejoindre le centre-ville et aller dîner, nous voyons la ville, perchée, face à nous. Ça à l’air grand. Depuis la terrasse du restaurant, nous aurons une vue imprenable sur les montagnes, la ville en contrebas et le soleil couchant. L’entrée en matière est plutôt agréable.
constantine pano
Le vendredi et le samedi sont les deux jours de week-end en Algérie et le vendredi est consacré à la prière. Comprenez que rien n’est ouvert. Nous profiterons donc de ces deux jours pour nous reposer, nous retrouver et discuter de…voyages !

Constantine : sept ponts, un tramway, un palais.

Dimanche est notre premier « vrai » jour de découverte. Accompagnés de Lina, la femme d’un collègue expat’, nous sillonnons la ville à la découverte de ses différents points d’intérêts. Notre premier arrêt se fera non loin de la maison, à vrai dire seulement à quelques mètres de là : à la pharmacie ! En effet, Arnaud et moi, avons fait l’erreur de manger, comme mon père le fait si naturellement, le raisin nettoyé à l’eau du robinet… erreur de débutant, nous tombons très vite malade. Pas accablés pour autant, nos médicaments avalés, nous filons vers le tramway pour rejoindre le centre-ville.
Constantine est dotée d’un tramway depuis deux ans maintenant. Il est beau, il est propre, il ressemble de près au tramway parisien : et pour cause, il est français ! Je dois avouer que d’ailleurs, cette infrastructure urbaine dénote un peu du reste de la ville : à l’instar du viaduc transrhumel (dont je parlerais un peu plus tard) le tramway a l’apanage de la modernité, contrairement au reste de la ville!
Viaduc Transrhumel
Une fois dans le centre, nous sillonnons les rues et nous arrêtons au Palais d’Ahmed Bey. Ahmed Bey, le « dernier Bey de Constantine », fit construire ce palais en 1826. La construction fut terminée peu de temps avant l’arrivée de Napoléon III à Constantine, puisqu’elle est inaugurée par l’empereur en 1835. Le Bey est alors déchu de ses droits et de son autorité, dès lors, les français seront les régents de la province algérienne. Le palais est grand (plus de 5000 m2) malheureusement, nous n’en verrons que la moitié. Cette année, Constantine a été élue Capitale de la Culture Arabe, de nombreux travaux de rénovation sont donc entrepris aux quatre coins de la ville et une grande partie du palais (en fait tout l’étage) est inaccessible. Nous avons donc fait une visite « éclair » du palais, accompagnés d’une guide un peu trop nonchalante à mon goût. En gros, la visite s’est résumée à un tour du « jardin des palmiers », un tour du « jardin des orangers » et un passage devant le patio du harem.
Forcément, l’architecture du palais nous a rappelé la magnifique Alhambra de Grenade et le Real Alcazar de Séville cependant, le bâtiment est bien moins entretenu. Tout y est d’origine, mais, après ces nombreuses années, les peintures sont usées, les mosaïques cassées… dommage. La visite aurait pu être plus intéressante si nous avions pu visiter l’ensemble du palais et si les informations historiques avaient été plus fournies… pour être honnête, nous avons été un peu déçus.

Constantine : Les gorges de Rhumel, l’Oued et son monument aux morts

Après la visite, petite pause au café avant de reprendre la marche. Nous traversons le souk, dans l’ancien quartier juif. Tant de monde et de couleurs ! Je suis faible et nauséeuse, du coup je me sentais vite mal au milieu de cette cohue mais en y repensant, c’était tellement dépaysant ! Les gens s’arrêtent, se bousculent, se parlent au milieu de la rue étroite, des vendeurs ambulants présentent leurs tissus et leurs objets au milieu des gens qui s’attroupent à ses côtés. Les ruelles grimpantes sont denses et s’entremêlent, on n’en voit pas le bout. J’aimerais sortir mon appareil photo et capter l’ambiance qui se dégage de ce quartier, saisir l’instant et les couleurs de tous les voiles, foulards et robes que portent les femmes.
Malheureusement, je n’ose pas, donc je vous laisse imaginer ce que ça donnait.
Finalement, nous quittons la fourmilière, retrouvons des rues plus grandes, plus aérées et atteignons le pont Sidi M’Cid, celui qui nous permet de rejoindre le monument aux morts, perché en haut de la falaise. Sur le pont, nous profitons de la vue superbe sur les gorges et l’Oued qui passe au milieu.
Pont des chutes
Il est presque midi quand nous commençons la montée vers le monument aux morts. Il fait très chaud, le soleil cogne et nous n’avons pas de chapeau… deuxième erreur de débutant ! On arrive en haut essoufflés, contents de sentir le courant d’air et de trouver un peu d’ombre. A ce moment-là, je pense aux futurs treks qui nous attendent aux quatre coins du monde… on a vraiment besoin d’entraînement !
Le monument aux morts, ressemble aux édifices français tels que l’arc de triomphe. Les plaques à l’intérieur sont en partie cassées mais nous comprenons qu’elles rendent hommage aux morts français et algériens de la Grande Guerre. Depuis les marches du monument, on jouit encore une fois d’une vue panoramique sur la campagne algérienne.

Pause à la Grande Mosquée

Nous redescendons, retraversons le souk, reprenons le tramway et nous rendons à la Grande Mosquée Emir Abdelkader devant laquelle nous sommes passés plusieurs fois et qui est incontournable dans le paysage urbain. Nous resterons plus d’une heure dans la mosquée. Nous y sommes au frais, au calme. L’endroit nous apparaît comme un lieu de vie, dans lequel les gens viennent bien sûr pour prier, mais aussi pour se reposer, dormir, se balader avec leurs enfants. Nous y étions hors des heures de prières, nous nous sommes assis près d’un des nombreux poteaux de marbre qui traverse la grande salle pour discuter et nous reposer nous aussi. On a même fait des petites siestes entre deux discussions. Toutes les personnes qui passaient près de nous nous saluaient et nous souhaitaient la bienvenue à Constantine. Nous nous sentions bien.
Mosquée Emir Abdelkader
Vers 15h30, nous sommes allés faire un tour sur l’immense terrasse (dommage, le jardin était tout sec et en travaux), et nous avons rejoint tranquillement la maison pour passer le reste de l’après-midi au frais.
Malgré le rythme soutenu de cette matinée, qui ne nous aura pas vraiment laissé la possibilité de « sentir » les lieux, nous avons apprécié découvrir la ville pour la première fois mais attendons avec impatience de pouvoir y retourner en prenant un peu plus notre temps, en allant un peu plus à notre rythme.
Dans le prochain article on vous parle de notre deuxième visite, plus authentique. En attendant, allez jeter un coup d’œil à la galerie photo! C’est par ici que ça se passe ==> Photo de voyage – Constantine
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ISRAËL : INFORMEZ-VOUS SUR LES FÊTES ET LES MANIFESTATIONS DU PAYS

Fêtes et manifestations

Fêtes juives (elles suivent le calendrier lunaire).
Rosh Hashana (Nouvel An). 
Jour anniversaire de la Création du monde et jour du Jugement. Les hommes font leur examen de conscience. Rosh Hashana est suivi de dix jours de ''Repentir'' (Téchouva, le retour à Dieu).
Yom Kippour (le "Grand Pardon"). 
Après le repentir, vient le pardon : Yom Kippour conclut le Téchouva par un jeûne de 24 heures, consacrées à la prière et à l'absolution.
Soukkoth (la fête des tentes). 
A l'occasion de la fête des récoltes, les juifs commémorent les temps de l'Exode où le peuple d'Israël, durant sa fuite d'Egypte, campait dans le désert sous des tentes précaires.
Simhat Torah (la "joie de la Torah"). 
A la fin de la semaine de Soukkoth, le jour de Simhat Torah marque la fin du cycle annuel de lecture de la Torah.
Hanoukkah (la fête des lumières). Célébration de la "lumière spirituelle", symbole du triomphe de la sainteté sur la force brutale.
Pourim (la fête des sorts). 
Grand carnaval qui commémore la victoire d'Esther et de Mardochée, sur le roi de Perse.
Pessah, la Pâque juive. 
Cette fête de sept jours rappelle la sortie d'Egypte. Le pain levé est banni, remplacé par le matzot, du pain azyme sans levain, souvenir de la manne, que Dieu offra à son peuple dans le désert.
Chavouoth (la Pentecôte). 
Sept semaines après la Pessah, cette fête commémore l'épisode où Moïse reçut les Tables de la Loi sur le mont Sinaï.
Commémorations :Yom Ha Shoah (début mai). 
Commémoration de la Shoah. Deux minutes de silence, à la mémoire des six millions de Juifs exterminés par les nazis.
Yom Ha Atzmaout (mi-mai). 
Célébration de la naissance de l'Etat d'Israël (le 14 mai 1948).
Fêtes musulmanes (elles suivent le calendrier lunaire de l'Hégire)
Ras es-Sana (avril). 
Le Nouvel An hégirien.
Mouloud (juillet). 
Commémoration de la naissance de Mahomet.
Lailatul Miraj (novembre). 
Rappelle l'ascension du Prohète vers le Paradis.
Le ramadan. 
Un mois de jeûne entre le lever et le coucher du soleil.
Aït el-Fitr. 
Fête la fin du ramadan.
Aït el-Kébir. 
Chaque famille musulmane égorge un mouton, en souvenir du sacrifice d'Abraham.
Fêtes chrétiennes
Noël. 
Les catholiques célèbrent Noël le 25 décembre, les orthodoxes le 7 janvier et les Arméniens le 19 janvier.
Pâques (mars-avril). 
La Semaine sainte, qui se termine par le dimanche de Pâques, est programmée en fonction de la Pâque juive. Ainsi pour les catholiques, la fête a lieu, trois semaines avant Pessah. Pour les orthodoxes et les Arméniens, elle a lieu deux semaines avant. 
Le Vendredi saint catholique, procession sur le chemin de croix de la Via Dolorosa, à Jérusalem.
Ascension. 
Quarante jours après Pâques, les franciscains prient sur le mont des Oliviers à Jérusalem.
Pentecôte. 
Cinquante jours après Pâques, les catholiques célèbrent la messe en l'église de la Dormition à Jérusalem.



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