السبت، مارس 19

الاخبار العاجلة لعودة الابن الضال الامريكي الجنسية والجزائري الانتماء شكيب خليل الى الجزائر بعد اكتشاف السلطة الجزائرية ان المنقد الاقتصادي الوحيد لازمة النفط الجزائري الوحيد يدكر ان عودة شكيب خليل كشفت عن نهب جماعة قسنطينة لخزينة السوناطراك وليس جماعة وهران يدكر ان شكيب خليل اكبر رجل اعمال عالمي ويملك ابار للبترول وامواله نظيفة من منطظمة الاوبك وليس من منصب وزيراة الطاقة الجزائرية وشر البلية مايبكي

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الاخبار  العاجلة  لعودة   الابن الضال   الامريكي الجنسية والجزائري الانتماء  شكيب خليل  الى الجزائر   بعد اكتشاف  السلطة الجزائرية  ان المنقد  الاقتصادي  الوحيد لازمة  النفط الجزائري  الوحيد يدكر ان  عودة شكيب خليل كشفت  عن نهب جماعة  قسنطينة لخزينة  السوناطراك  وليس جماعة وهران يدكر ان  شكيب خليل اكبر رجل اعمال  عالمي  ويملك ابار للبترول وامواله نظيفة من  منطظمة الاوبك وليس من منصب وزيراة الطاقة الجزائرية وشر البلية مايبكي

Khelil

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الاخبار  العاجلة لغلق موقع  صحيفة  الوصل الجزتائريةبحجة الاختراق الالكترونيمن طرف مواطن جزائري والاسباب مجهولة
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تم الأختراق من قبل قوات الردع الجزائرية

الإلكترونية

Hacked By Aymane Mino





أنتم من دفعنا لهذا

لن نصمت

الى متى ستسمر الحروب في سوريا و فلسطين و العراق

الى متى ستستمر سياسة قتل المسلمين في بورما

الى متى سنظل خانعين رؤسنا و صامتين أتجاه ما يحدث

يوما ما سينقلب كل شيئ

يوما ما سننتصر !

ليست غايتنا التخريب

بل ايصال رسالتنا وصوتنا للعالم 


You led us for this

We will not be silent

How long will the war continue in Syria, Palestine and Iraq

How long to continue the killing of Muslims in Burma Policy

How long we will continue our heads subservient and silent about what is happening

Someday turn

Someday we will prevail !

Our goal is not vandalism

But get your message across and we voted to the world

Arab Muslim Was Here !

We are : Anonymous Algeria
Call Me
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Plusieurs sites ont été récupérés après le relogement
des habitants d’Ed-Derb et de Sidi El Houari 
Préservation du patrimoine historique, un défi à releverLe relogement des familles occupant des immeubles vétuste et le classement de Sidi El Houari en tant que site à sauvegarder, sont les deux principaux axes de l’initiative visant à rendre à El Bahia son lustre d’antan, parallèlement au vaste programme visant la restauration des immeubles, lancée il y a quelques années par l’Etat.
Oran est un musée à ciel ouvert, elle recèle des immeubles plus beaux les uns que les autres, du style espagnol au français en passant par le haussmannien et l’andalous, on y trouve même la touche scandinave au niveau de la rue Khemisti. Une mosaïque de styles qui signe la richesse d’Oran, avec la fusion des civilisations observée à chaque coin de la ville, notamment les quartiers mythiques à l’instar de Sidi El Houari qui, à lui seul, symbolise l’histoire de la capitale de l’Ouest, dont les responsables veulent rattraper le temps perdu et restaurer ce qu’il reste à sauver.
Selon plusieurs associations actives dans le domaine: «La grande crainte est que ce quartier endure le même marasme de la vieille Casbah d’Alger, qui en dépit de son classement comme étant un patrimoine de l’UNESCO, est complètement délaissée et s’effrite petit à petit. Pour Sidi El Houari, l’histoire risque de se répéter si le plan d’action n’est pas concrétisé sur le terrain, du moins la restauration à l’image de ce qu’a été déjà réalisé au centre-ville».
Justement, en déambulant à travers le boulevard de la Soummam, la rue Larbi Ben M’hidi, la rue Khemisti ou encore le boulevard Maâta… impossible de ne pas lever la tête pour admirer l’éclat retrouvé des immeubles restaurés, une seconde jeunesse pour la ville et un nouveau regard surtout pour la nouvelle génération qui a toujours observé ces lieux comme étant des endroits délabrés et synonymes de laisser-aller. Aujourd’hui, les pouvoirs publics locaux tentent de rattraper le retard, et c’est tant mieux pour l’aspect esthétique d’une ville en pleine mutation.
Quel sort pour les assiettes récupérées ?
Il n’est un secret pour personne, la superficie des assiettes récupérées après le relogement des résidents du vieux bâti, est considérable, de quoi attiser les convoitises des richissimes promoteurs qui veulent y bâtir des résidences et des villas luxueuses. Le quartier le plus proche du centre-ville est bien évidemment Ed-Derb qui jouit d’un emplacement stratégique avec une vue sur la célèbre place d’Armes, un projet qui, de transformation des lieux en un quartier chic au cœur de la ville a fait le tour avant d’être démenti par une source de la wilaya, sous pression de la société civile.
Mais cela n’empêche pas pour autant que plusieurs immeubles de ce quartier en plus de celui de Sidi El Houari, seront exploités en tant qu’antennes et bureaux administratifs, selon nos sources.
Plusieurs projets d’utilité publique sont en perspective, afin de ne pas laisser ces vieux bâtis continuer d’altérer l’image de la ville. Les espaces récupérés serviront également à des espaces verts et des parkings qui se font désirer dans le tissu urbain d’une ville où le parc automobile à littéralement explosé en l’espace d’une décennie. L’essentiel est de sauvegarder l’identité et le patrimoine historique de cette vieille cité andalouse qu’est El Bahia.
Les immeubles vacants, l’autre casse-tête
Une fois les occupants relogés, les services de la wilaya rencontrent un autre obstacle, la copropriété des immeubles vacants qui constitue l’autre casse-tête pour les responsables qui veulent en finir avec ces immeubles avant qu’ils se transforment en lieux de débauche et refuge pour les alcooliques et autres délinquant de tous bords.
Le litige entre copropriétés des immeubles privés, ceux situés au cœur du tissu urbain, ainsi que les carcasses, est à l’origine du refus de certains propriétaires de céder le passage aux bulldozers, puisque le bien ne leur appartient qu’à moitié. Par ailleurs, cet écueil juridique se pose pour de nombreuses habitations à Oran et le législateur devrait donner aux pouvoirs publics le moyen d’agir dans la légalité, à travers un texte de loi. Même si les pouvoirs publics ont entamé les démolitions de certains immeubles à Derb, Sid El-Houari et Plateau, mais vu le nombre des bâtisses évacuées durant les dernières années, on peut dire que l’opération est remise aux calendes grecques.
Ces espaces dégagés vont être cédés à des promoteurs immobiliers et autres investisseurs spécialisés dans les affaires, d’où le souhait des responsables de se débarrasser de ces obstacles pour voir plus clair. Mais cela risque de prendre beaucoup de temps, à cause des entraves administratives.
En attendant, le sort des assiettes récupérées reste énigmatiquement inconnu, elles qui font rêver les investisseurs privés, qui se sont déjà lancés à la recherche des emplacements stratégiques pour enrôler la bonne affaire, sans passer par l’aide du comité d’assistance à la localisation et à la promotion des investissements et de la régularisation foncière (CALPIREF). Des sources affirment que les responsables locaux vont à travers ces assiettes, moderniser les lieux, avec des projets qui manquent cruellement dans ces endroits exigus, notamment dans des sites près du centre-ville qui sont les plus attractifs.
Jalil Mehnane

موازاة مع تطهير قوائم الفلاحين غير مستغلي الأراضي 
الشروع في إحصاء الأراضي المعنية بعملية الإستصلاح
كشفت مصادر من مديرية المصالح الفلاحية أن عملية تطهير قوائم المستفيدين من عقود الامتياز التي شنتها المصالح الفلاحية على مستوى بلدية مرسى الحجاج القاضية بمراقبة ومعاينة المشاريع الاستثمارية في قطاع الفلاحة ومدى استغلال الأراضي الفلاحية الممنوحة للفلاحين من طرف الدولة أسفرت عن معاينة 56 فلاحا مستفيدا، كما أن ذات المصالح قامت بإيداع ملفات المعنيين الخاصة بعملية استصلاح الأراضي الفلاحية لدى مصالح الولاية من أجل استفادتهم من حق الامتياز، وحسب ذات المصدر لم يتم تسجيل أية تجاوزات على مستوى بلدية مرسى الحجاج. 

وفي سياق الموضوع تلقت مديرية المصالح الفلاحية ارسالية من وزارة الفلاحة للشروع في نفس العملية الخاصة باستصلاح الأراضي لإحصاء مدى استغلال هذه الأراضي على مستوى كافة المناطق الفلاحية حسب ما تنص عليه الشروط الخاصة بمنحهم حق الامتياز التي سيستفيد منها 27 فلاحا من بلدية مرسى الحجاج. على صعيد آخر تم إحصاء 11 محيطا فلاحيا على مستوى ولاية وهران ينتظر أصحابه تسوية وضعيتهم العقارية لجعله في مسعى تنويع الاقتصاد الوطني، نشير في الأخير الى أن العملية التي تم شنها في مختلف المشاريع الاستثمارية الفلاحية شارك فيها أعضاء من بلدية مرسى الحجاج وأعضاء الدائرة وكذا التقنيين الفلاحة، حيث قاموا بمعاينة المشاريع الاستثمارية في القطاع الفلاحي في محيط "بيافأ" في إطار قانون 38 ـ 18الذي كان مجمدا منذ 25 سنة القاضي بعملية تطهير القوائم المقررة في المنشور الوزاري. خنسوس






Chakib Khelil, de retour en Algérie : une réhabilitation de facto ?

L’ancien ministre de l’Énergie est rentré avant-hier au pays. Un retour d’autant plus inattendu que rien ne l’annonçait. À moins de considérer les dernières déclarations du secrétaire général du FLN sur «la nécessaire réhabilitation des 4 500 cadres de l’État injustement sanctionnés», parmi lesquels il a nommément cité Chakib Khelil, comme des annonces déguisées, dont l’objectif était de préparer l’opinion publique nationale à ce qui vient de se produire. Si nombre de personnalités politiques nationales, de l’opposition, surtout, en sont, à voir leurs premières réactions, pleinement convaincues, d’autres, en revanche, préfèrent prendre le temps de voir pour se prononcer. Une attitude qui se justifie par le fait, indéniable, que ce retour soulève plus d’interrogations qu’il n’apporte de réponses aux véritables raisons du départ précipité, il y a trois années de cela, de l’ancien ministre de l’énergie; en mars 2013, pour être plus précis. Surtout que ce départ avait coïncidé avec le déballage au grand jour de deux grandes affaires qui touchaient, à travers la SONATRACH, au secteur dont il avait la charge : SONATRACH 1 où, pour rappel, étaient impliqués nombre de ses hauts-cadres, dont Mohamed Meziane, son P-DG d’alors,pour des chefs d’accusation liés, surtout, à des passations douteuses de marchés ; et SONATRACH 2, où il est question d’attribution d’un marché à l’entreprise italienne SAIPEM, une filiale de l’ENI, contre perception de pots-de-vin consistants. Des affaires dans lesquelles, il faut le rappeler, le nom de l’ancien ministre de l’énergie n’a pas été cité, par certains des inculpés et par une bonne partie de la presse nationale,uniquement pour sa responsabilité en tant que premier responsable du secteur mais pour son implication supposée dans les faits qui en font la trame. Une implication qui aurait été, selon différentes parties, plus nette dans la deuxième affaire : celles-ci ayant clairement accusé Chakib Khelil d’avoir perçu, par l’entremise de Farid Bedjaoui, un intermédiaire algérien établi à l’étranger et bien introduit dans les milieux des affaires, une part, non négligeable, dit-on, des pots-de-vin qu’aurait versés SAIPEM. Faut-il dire que le départ précipité de l’ancien ministre a apporté de l’eau au moulin accusateur de ces parties et, par la même occasion, jeté dans le trouble le plus profond la partie de l’opinion publique nationale qui ne voyait dans ces accusations que des manœuvres visant à discréditer, en dernier ressort, le président de la République dont les relations, anciennes et particulières, qu’il entretenait avec Chakib Khelil n’étaient un secret pour personne. Et surtout pas pour ses adversaires politiques ; ceux du Président, s’entend. Une lecture des faits qui se tient quand on sait que les « attaques » contre l’ancien ministre de l’énergie sont montées en puissance dans les mois qui ont précédé l’élection présidentielle d’avril 2014 à laquelle il était patent, alors, que le président Bouteflika allait se présenter. Comme pour aggraver ce trouble manifeste d’une partie de l’opinion publique, un mandat d’arrêt international a été lancé contre lui et les membres de sa famille, en août 2013, par le procureur de la République près la Cour d’Alger. Et que la justice italienne, à travers le parquet de Milan, s’est immiscée dans l’affaire. Et ce, en ordonnant l’ouverture d’une instruction judiciaire sur « les pots-de-vin de SAIPEM ». Une « immixtion » qui a été positivement saluée par toutes les parties accusatrices de l’ancien ministre de l’énergie. Surtout que la presse italienne qui avait rapporté l’affaire, n’avait pas écarté la possibilité que ce dernier y soit impliqué et, par conséquent, qu’il risquait d’être condamné par la justice italienne. Sauf que, dans les deux cas, ces parties allaient finir par déchanter. Une première fois, assez rapidement, quand, selon de nombreuses sources, politiques et médiatiques, la procédure engagée à l’encontre de Chakib Khelil par le procureur de la République près la Cour d’Alger a été interrompue ; après intervention expresse du président de la République en personne, a-t-on dit. à l’appui de leurs supputations, les partisans de cette « thèse » avancent le limogeage du magistrat en question. Une thèse qui est, toutefois, rejetée par d’autres parties. Se voulant plus objectives dans l’appréciation des faits, celles-ci considèrent, en effet, que son limogeage est motivé par son non-respect de la procédure en vigueur, en pareilles circonstances. Et ce, telle que précisée dans les articles 573 et 574 du Code de procédure pénale. Lesquels imposent, soutiennent-elles, à tout magistrat, dans le cas où le mis en cause est un commis de l’état – en clair, « un membre du gouvernement, un magistrat de la Cour suprême, un wali, un président de cour ou un procureur général près une cour » – de transmettre « le dossier, par voie hiérarchique, au procureur général près la Cour suprême». Et une seconde fois, en novembre 2015, quand le parquet de Milan qui, pour rappel n’avait même pas cité Chakib Khelil parmi les témoins dans cette affaire, avait disculpé les responsables de SAIPEM des accusations dont ils faisaient l’objet. Est-ce à dire que l’affaire Chakib Khelil est terminée avec son retour au pays? Rien n’est moins sûr. Et ce, même si tout indique qu’elle n’aura pas de suites judiciaires. Du moins, dans l’immédiat. Ce qui est sûr, en revanche, c’est qu’elle aura des prolongements politiques certains ; des prolongements qu’annoncent, on ne peut plus clairement, les réactions de nombre de responsables de partis de l’opposition et de certains ténors du barreau. Aussi bien les présidents du RCD et du HMS, pour les premiers, que Maîtres Khaled Bourayou et Ali Yahia Abdenour, pour les seconds, ont, en effet, choisi, et résolument, de s’inscrire sur ce terrain. Tous, ont déclaré que le retour de l’ancien ministre de l’énergie est la preuve patente de l’inféodation, qui continue, de l’appareil judiciaire au pouvoir politique. Une affaire vraiment à suivre…
Mourad Bendris


بلدية وادي أرهيو
البناء الفوضوي ينخر الوعاء العقاري
أثارت ظاهرة البناء الفوضوي بعديد مناطق بلدية وادي ارهيو بغليزان لاسيما الجهة الجنوبية منها، على غرار احياء الشارى العوامري وخرماشة استياء وتذمرا وقلقا في اوساط سكان الاحياء المذكورة كون الظاهرة أخذت ابعادا اخرى والتهمت الوعاء العقاري. وحسب الارقام المشار اليها ان ما يزيد عن 200 وحدة سكنية انجزت في وقت وجيز، فضلا عن القطع الارضية المهيأة للبيع قصد إنجاز سكنات اجتماعية او بنايات . 

والغريب في الامر ان السكنات الفوضوية انجزت بالوعاء العقاري التابع للبلدية مصنف ضمن مخطط شغل الاراضي، حيث تم ادراج ازيد من 350 هكتار بالمناطق الجنوبية الى مخطط شغل الأراضي لإنجاز مشاريع انمائية او برامج سكنية مختلفة وتحولت الى قبلة لسماسرة العقار الذين قاموا بتسييج عشرات القطع الارضية بداعي انه ملكيته وعرضها للبيع حتى ولو كان بأبخس الأثمان. وفي ظل ارتفاع وتزايد عدد البنايات الفوضوية خصوصا بأعالي خرماشة وامام مرأى بعض المنتخبين المحليين يناشد عشرات السكان على لسان الجريدة المسؤول الاول على رأس الجهاز التنفيذي التدخل وفتح تحقيق في تفشي ظاهر البناء الفوضوي التي نخرت الوعاء العقاري ملك للبلدية. وفي حال استمرار الأوضاع على ما هي عليه فإن المصالح المحلية ستكون في يوم من الايام في حيرة من امرها وعاجزة عن محاربة الظاهرة وعدم قدرتها على هدم عشرات البنايات والعدد في ارتفاع من يوم لآخر، مما يستدعي التفاتة جادة لمحاربة هذه الظاهرة المشينة التي أخذت أبعادا أخرى. غيلام محمد


بسبب إفرازاتها السامة 
نفايات مصانع وادي تليلات تتسبب في نفوق الأسماك وطيور نادرة ببحيرة أم غلاس
لايزال مشكل النفايات الصناعية و الافرازات السامة الصادرة عن مصانع منطقة وادي تليلات التي تصب بالوادي مطروحا بشدة، بل يتفاقم سنة عن الاخرى لاسيما امام تزايد عدد المصانع وفشل الجهات الوصية في السيطرة على الوضع بالمنطقة ، المشكل الذي يؤدي الى نفوق السمك الذي يعيش في بحيرة أم غلاس المحمية ، حيث تؤثر الافرازات السامة على انواع نادرة من الاسماك والطيور المهاجرة التي تتواجد بالبحيرة المصنفة عالميا و التي تعد نقطة للزيارة و الابحاث من قبل المتخصصين في المجال .
مشكل النفايات الصناعية لم يجد حلا بعد رغم ما يطرحه من متاعب حتى على الصحة الذين اشتكوا خاصة بعد ان تحولت مساحات شاسعة من وادي تليلات الى منطقة صناعية تتسبب افرازاتها في تلوث البيئة و الغطاء النباتي على وجه الخصوص . 


تجدر الاشارة ان مشكل نفايات المصانع لا تعاني منه المنطقة سالفة الذكر وحدها حيث تسبب المنطقة الصناعية لحاسي عامر ببلدية حاسي بونيف متاعب كبيرة للسكان من خلال ما تطرحه المركبات الصناعية الواقعة فيها من نفايات صلبة في الطبيعة امام ما تفرزه من نفايات سامة، فضلا عن كون معظمها تتوسط المجمعات السكنية التي يعاني سكانها امراضا خطيرة نتيجة التلوث�التدهور البيئي الخطير الناتج عنها. 

خير الدين




في غياب الرقابة 
تجمعات سكنية وطرقات تتحول إلى زرائب بالبلديات النائية
يقوم مربو المواشي بإنشاء زرائب على الهواء الطلق بالبلديات النائية مستغلين سكوت الجهات المعنية على رأسها السلطات المحلية وغياب الرقابة رغم خطورة الوضع خاصة وأن هذه الزرائب تنشأ بمحاذاة الطرق وقرب محطات النقل، إذ طالب سكان البلديات النائية بتدخل المصالح المعنية والسلطات المحلية لوقف تربية المواشي داخل التجمعات السكنية التي تعاني من انعكاسات كبيرة ناتجة عن هذه الظاهرة، فقد تحولت سكنات ومستودعات لتربية المواشي، خاصة وأن أغلب هؤلاء الموالة يمتهنون الذبح غير الشرعي بنقاط فوضوية تفتقر للرقابة الطبية، حيث تعرف أغلب أحياء هذه البلديات التي تنتشر بها تربية المواشي مشاكل كثيرة نتيجة انتشار المفارغ والمزابل 

التي تؤرق المواطنين، فالشوارع، الساحات العمومية، الأرصفة والمحطات أصبحت مفارغ عشوائية تتوسع رقعتها يوما بعد آخر للفضلات. كما أن مربي هذه المواشي يتعمدون تمريرها وسط المرافق العمومية والشوارع، متسببين في نشر الفضلات في كل مكان بغض النظر عن انتشار أمراض خطيرة وسط السكان بسبب الروائح الكريهة والمزابل التي ترمى بها فضلات المواشي، إضافة إلى تكاثر حشرات وبكتيريا خطيرة بهذه المستودعات. تساهم المزابل الناتجة عن فضلات المواشي في انتشار الليشمانيوز الجلدي، حيث تستوطن الطفيليات الناقلة للمرض في المزابل الفوضوية خاصة التبن المتعفن، النفايات، الزريبة، الكلاب المتشردة، الجرذان إضافة إلى انتشار المداجن والأحياء الفوضوية. وتربى أغلب المواشي التي تذبح في الهواء الطلق في البلديات المجاورة على رأسها حي الأمير خالد ببلدية حاسي بونيف، حيث حول موالو هذا الحي المنطقة الصناعية بحاسي عامر إلى مذبح كبير على الهواء الطلق دون رقابة طبية وغياب مصالح النظافة وما زاد الطين بلة أنه يستقطب آلاف المواطنين الذين يتوافدون من كل حدب وصوب لشراء اللحوم الحمراء التي تباع بأثمان منخفضة نوعا من عن أسعارها في القصابات. عقيبة.خ

مكتتبو عدل بمعسكر نحو مصير مجهول
سؤال وطلب لوزير السكن من أجل التدخل
استفسر النائب البرلماني عن ولاية معسكر محمد سي فضيل وزير السكن والعمران والمدينة، وطلب منه التدخل بخصوص وضعية برنامج سكنات عدل وبعض الصيغ السكنية الأخرى في ولاية معسكر. وقال البرلماني إن الولاية تعرف نقصا كبيرا في هذه البرامج مقارنة بحجم الطلبات على غرار ما هو حاصل مع صيغة الترقوي المدعم بكثير من بلديات ودوائر الولاية وكذا سكنات "عدل" التي لم تر النور بعد �حسبه- مضيفا بأن الأشغال لم تنطلق و المواطنون يجهلون لحد اليوم العدد الممنوح لولاية معسكر، وطريقة توزيعها على البلديات 47 خاصة، وأنه لا يوجد عبر إقليم الولاية فرع أو مكتب خاص بوكالة عدل. 

وأضاف النائب بأنه خلال سنة 2014 تم استدعاء أكثر من ثلاثة آلاف مواطن لدفع الشطر الأول ولكن لم يتلق أيٌ منهم ولا معلومة عن هذا النوع من السكن. واختصر النائب سؤاله في الإستفسار عن توقيت انطلاق الأشغال وتوقيت الإفراج عنها لفائدة أصحابها ومواقعها، يشار أن ولاية معسكر استفادت من حصة ألفي وحدة سكنية في إطار عدل وتعرف أشغالها تأخرا كبيرا . اسماعيل خلادي




Édition du jour



Tiaret
Au grand bonheur des fonctionnaires de la sûreté nationale
Remise d’affectations de 303 logements Des affectations de 303 logements ont été remises, mercredi à Tiaret, à des fonctionnaires de la sûreté nationale, lors d’une cérémonie.
Elles concernent des logements sociaux participatifs LSP, de location-vente et de cession de logements de fonction.
La cérémonie de remise des décisions a été présidée par les directeurs de l’administration générale de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) le contrôleur de police Mohamed Naoui Sifi, de la santé et des activités sociales et sportives à la DGSN, le contrôleur Ahmed Aboubekr et l’inspecteur régional de police le commissaire Mohamed Ouahrani. Cette opération a porté sur la remise de 150 ordres de versement de la première tranche du programme de l’Agence nationale d’amélioration et de développement du logement (AADL), des décisions de transfert de crédits de 250.000
DA aux comptes de bénéficiaires, octroyés par le fonds de solidarité des œuvres sociales de ce corps, pour verser la tranche de ces logements en cours de réalisation à Zemala. La cérémonie a été également marquée par la remise d’affectations et des clés de 100 logements sociaux participatifs (LSP) en cours de réalisation à hai Kermane. Les actes de cession de logements de fonction ont concerné 53 sur 111 prévus au profit de fonctionnaires de police, assimilés, retraités et ayants droit.
Intervenant lors de cette cérémonie, le directeur de la santé et des activités sociales et sportives à la DGSN a affirmé que la situation sociale des agents de police est prise en considération à travers le logement et la prise en charge sociale, ce qui se répercutera positivement sur leur rendement en matière de sécurité du citoyen et de protection de ses biens. Sur un autre plan, les structures de la sûreté nationale à Tiaret seront renforcées par la réception dans deux mois du projet d’un centre sanitaire de la sûreté de wilaya dont le taux d’avancement des travaux a dépassé 90 pour cent. Ce centre sera doté de services de médecine du travail, de contrôle médical, de médecine générale et psychologique, de chirurgie dentaire et de radiologie au profit du personnel de la sûreté.
En outre, le siège de la sûreté de daira de Meghila dont les travaux tirent à leur fin sera bientôt réceptionné, a-t-on appris des responsables de la sûreté de wilaya.
Relizane 
Relogement de 24 familles à Ammi Moussa
Vingt quatre (24) familles résidant dans des habitations à Ammi Moussa (75 km au sud-est de Relizane) ont été relogées jeudi dans de nouveaux logements, a-t-on constaté.
Ces familles vivaient dans des conditions difficiles dans des maisons précaires construites à proximité de l’oued Oued Rhiou après avoir quitte dans la décennie noire la commune de Ramka distante d’une vingtaine de kilomètres d’Ammi Moussa, qui fut le théâtre d’un massacre terroriste en janvier 1998, ont indiqué les bénéficiaires de ces logements. La commune d’Ammi Moussa a bénéficié de 1.050 logements sociaux locatifs dans le cadre du quinquennat 2010-2014 où plus de la moitié a été attribuée, selon le président d’APC, Mohamed Attar.
Quelque 1.100 logements sociaux locatifs ont été distribués depuis le début d’année en cours dans les communes de Oued Rhiou, Relizane, Bendaoud et Dar Benabdellah.

Les responsables locaux du secteur sommés par le ministre pour maintenir la cadence du chantier de la pénétrante
port d’Oran -autoroute Est-Ouest 
Tout pour livrer le projet dans les délais Le ministre des Travaux publics, Abdelkader Ouali a instruit jeudi à Oran, de maintenir la cadence des travaux de la pénétrante reliant le port d’Oran à l’autoroute Est-Ouest. «La cadence des travaux doit être maintenue et pourquoi pas améliorée», a déclaré le ministre au chantier de réalisation de cette liaison autoroutière
reliant le port d’Oran à l’autoroute Est-Ouest sur 26 kilomètres dont la première tranche sur 8 kilomètres est en cours de réalisation en 2X3 voies. «Nous avons l’ambition de réaliser ce projet d’importance dans les délais prévus, soit mai 2017", a souligné le ministre qui a exhorté le chef de ce projet confié à un groupement d’entreprises algéro-turques de renforcer le chantier par trois équipes (3X8), notamment avec l’approche de l’été.
Ce projet a pour objectif la création d’emplois, a-t-il déclaré en insistant sur l’augmentation des effectifs, notamment en spécialistes pour assurer convenablement le contrôle de la conduite des travaux sur tous les ouvrages. Le projet complexe sur le plan technique ayant enregistré un taux d’avancement global des travaux de 38 pour cent, selon les explications fournies par les techniciens. Un des points forts de ce projet, selon le planning des travaux, est la digue sur mer, réalisée en 2x3 voies sur plus d’un kilomètre à taux d’avancement de 36 pc, a expliqué un gestionnaire de ce projet qui a fait observer que le taux des travaux de la «tranchée couverte» est appréciable (68 pc), alors que celui du tunnel est de 22 pc.
En ce qui concerne le viaduc (1,5 kilomètre), le ministre a sommé l’entreprise ENGOA (Algérie) de confier le reste des travaux de ce projet à l’entreprise turque Myakyd, en tant que partenaire pour activer les travaux.
«Je ne peux pas mettre en péril un tel projet (viaduc)», a souligné le ministre, invitant l’entreprise turque à se préparer et à doter le partenaire algérien en équipements spécifiques. 
Une cérémonie officielle est prévue aujourd’hui
à l’occasion de la fête de la Victoire 

Le pôle urbain de Belgaïd baptisé du nom du Général-Major Djemaï AliLe nouveau pôle urbain de Belgaïd portera, désormais, le nom du moudjahid et ancien commandant de La Garde républicaine, le défunt Général-Major Djemaï Ali, dit Khaled. Une cérémonie officielle de baptisation de ce nouvel ensemble immobilier sera organisée, aujourd’hui, à l’occasion des festivités marquant le 54e anniversaire de la fête de La Victoire, coïncidant avec le 19 mars de chaque année, apprend-on du cabinet de la wilaya. Le Général-Major Ali Djemaï dit Khaled, ancien commandant de La Garde républicaine, est décédé au mois de juillet 2010 à l’âge de 72 ans. Né en 1938 à Mecheria dans la wilaya de Naâma, le défunt avait choisi, après sa scolarité de rejoindre les rangs de l’Armée de libération nationale en février 1958. Après l’indépendance, il avait poursuivi ses études dans les facultés et écoles militaires, il avait, en outre, assumé plusieurs fonctions, dont celle de procureur de la République près la cour de Constantine avec le grade de capitaine, commandant de bataillon en 1979 avec le grade de commandant, puis chef d’Etat-major de la 6e région militaire à Tamanrasset en 1998 avec le grade de Lieutenant-colonel, rappelle-t-on. Par ailleurs, il sera procédé à l’occasion du 54e anniversaire de la fête de la Victoire, au lancement de la mise à feu du gaz de ville dans la localité de Benmlouka, une agglomération secondaire dépendant de la tutelle administrative de la commune de Gdyel, qui a été retenue, aux côtés de Bir El Djir, d’abriter ces cérémonies officielles, a-t-on fait savoir de même source.Belhouari Salim


Plusieurs sites ont été récupérés après le relogement
des habitants d’Ed-Derb et de Sidi El Houari 
Préservation du patrimoine historique, un défi à releverLe relogement des familles occupant des immeubles vétuste et le classement de Sidi El Houari en tant que site à sauvegarder, sont les deux principaux axes de l’initiative visant à rendre à El Bahia son lustre d’antan, parallèlement au vaste programme visant la restauration des immeubles, lancée il y a quelques années par l’Etat.
Oran est un musée à ciel ouvert, elle recèle des immeubles plus beaux les uns que les autres, du style espagnol au français en passant par le haussmannien et l’andalous, on y trouve même la touche scandinave au niveau de la rue Khemisti. Une mosaïque de styles qui signe la richesse d’Oran, avec la fusion des civilisations observée à chaque coin de la ville, notamment les quartiers mythiques à l’instar de Sidi El Houari qui, à lui seul, symbolise l’histoire de la capitale de l’Ouest, dont les responsables veulent rattraper le temps perdu et restaurer ce qu’il reste à sauver.
Selon plusieurs associations actives dans le domaine: «La grande crainte est que ce quartier endure le même marasme de la vieille Casbah d’Alger, qui en dépit de son classement comme étant un patrimoine de l’UNESCO, est complètement délaissée et s’effrite petit à petit. Pour Sidi El Houari, l’histoire risque de se répéter si le plan d’action n’est pas concrétisé sur le terrain, du moins la restauration à l’image de ce qu’a été déjà réalisé au centre-ville».
Justement, en déambulant à travers le boulevard de la Soummam, la rue Larbi Ben M’hidi, la rue Khemisti ou encore le boulevard Maâta… impossible de ne pas lever la tête pour admirer l’éclat retrouvé des immeubles restaurés, une seconde jeunesse pour la ville et un nouveau regard surtout pour la nouvelle génération qui a toujours observé ces lieux comme étant des endroits délabrés et synonymes de laisser-aller. Aujourd’hui, les pouvoirs publics locaux tentent de rattraper le retard, et c’est tant mieux pour l’aspect esthétique d’une ville en pleine mutation.
Quel sort pour les assiettes récupérées ?
Il n’est un secret pour personne, la superficie des assiettes récupérées après le relogement des résidents du vieux bâti, est considérable, de quoi attiser les convoitises des richissimes promoteurs qui veulent y bâtir des résidences et des villas luxueuses. Le quartier le plus proche du centre-ville est bien évidemment Ed-Derb qui jouit d’un emplacement stratégique avec une vue sur la célèbre place d’Armes, un projet qui, de transformation des lieux en un quartier chic au cœur de la ville a fait le tour avant d’être démenti par une source de la wilaya, sous pression de la société civile.
Mais cela n’empêche pas pour autant que plusieurs immeubles de ce quartier en plus de celui de Sidi El Houari, seront exploités en tant qu’antennes et bureaux administratifs, selon nos sources.
Plusieurs projets d’utilité publique sont en perspective, afin de ne pas laisser ces vieux bâtis continuer d’altérer l’image de la ville. Les espaces récupérés serviront également à des espaces verts et des parkings qui se font désirer dans le tissu urbain d’une ville où le parc automobile à littéralement explosé en l’espace d’une décennie. L’essentiel est de sauvegarder l’identité et le patrimoine historique de cette vieille cité andalouse qu’est El Bahia.
Les immeubles vacants, l’autre casse-tête
Une fois les occupants relogés, les services de la wilaya rencontrent un autre obstacle, la copropriété des immeubles vacants qui constitue l’autre casse-tête pour les responsables qui veulent en finir avec ces immeubles avant qu’ils se transforment en lieux de débauche et refuge pour les alcooliques et autres délinquant de tous bords.
Le litige entre copropriétés des immeubles privés, ceux situés au cœur du tissu urbain, ainsi que les carcasses, est à l’origine du refus de certains propriétaires de céder le passage aux bulldozers, puisque le bien ne leur appartient qu’à moitié. Par ailleurs, cet écueil juridique se pose pour de nombreuses habitations à Oran et le législateur devrait donner aux pouvoirs publics le moyen d’agir dans la légalité, à travers un texte de loi. Même si les pouvoirs publics ont entamé les démolitions de certains immeubles à Derb, Sid El-Houari et Plateau, mais vu le nombre des bâtisses évacuées durant les dernières années, on peut dire que l’opération est remise aux calendes grecques.
Ces espaces dégagés vont être cédés à des promoteurs immobiliers et autres investisseurs spécialisés dans les affaires, d’où le souhait des responsables de se débarrasser de ces obstacles pour voir plus clair. Mais cela risque de prendre beaucoup de temps, à cause des entraves administratives.
En attendant, le sort des assiettes récupérées reste énigmatiquement inconnu, elles qui font rêver les investisseurs privés, qui se sont déjà lancés à la recherche des emplacements stratégiques pour enrôler la bonne affaire, sans passer par l’aide du comité d’assistance à la localisation et à la promotion des investissements et de la régularisation foncière (CALPIREF). Des sources affirment que les responsables locaux vont à travers ces assiettes, moderniser les lieux, avec des projets qui manquent cruellement dans ces endroits exigus, notamment dans des sites près du centre-ville qui sont les plus attractifs.
Jalil Mehnane
 








ايفيان” وعمى الألوان

    هل توجد بنود سرية في اتفاقيات ايفيان كما تروج مجموعات فرنسية مهمتها إعادة ترميم صورة بلدها بعد السقوط في الجزائر؟ هل صدّق الجزائريون هذه المقولة ودحضوا بها ما قاله رضا مالك المشارك في تلك المفاوضات وقبله محمد الصديق بن يحيى والطيب بولحروف واحمد فرانسيس ولخضر بن طوبال وقبلهم جميعا كريم بلقاسم ؟
    بالنسبة للسؤال الأول، الجواب لا لم تكن ثمة بنود سرية تخص الجانب الجزائري ولا أحد يعلم إن كان الوفد الفرنسي قد أعلم الفرنسيين بكل ما تضمنت المفاوضات من تفاصيل أ ظل بعضها سريا. كريم بلقاسم ورفاقه صاغوا تقريرهم بكل التفاصيل ولا يشكك في صدقه إلا من أصيب بعمى الألوان. والفرنسيون اضطربوا ويمكن الرجوع إلى العدد الذي نشر فيه وقف إطلاق النار في الجريدة الرسمية الفرنسية وهي أعلى وثائق فرنسا وإلى تصريحات وخطابات مسؤولي هذا البلد وقتها، التي أتت كلها مضطربة مشوشة تحت تأثير المجموعات اليمينية المتطرفة الرافضة لاستقلال الجزائر. لا يهمنا الاضطراب في جانب الفرنسيين الذين سموا يوم 19 مارس ”يوم النكبة”، الذي كان مهما أكثر هو هذا الوضوح في الجانب الجزائري الذي سماه ”يوم النصر”. 
    لا توجد إذن بنود سرية في اتفاقيات ايفيان من الجانب الجزائري. الاتفاقيات بالنسبة للوفد المفاوض وللحكومة المؤقتة وقيادة جبهة التحرير وجيش التحرير أنهت الحرب وفسحت المجال لقيام الدولة الجزائرية وفي نفس الوقت هي بالنسبة للوفد الفرنسي وللحكومة الفرنسية انتشلت دولتهم  من السقوط وأوقفت طريق انهيارها. المفاوض الجزائري كانت مرجعيته بيان أول نوفمبر 1954. ولما تحققت بنوده وقّع الاتفاقيات بلا تردد وهو ما كان يجب أن يقوم به أي مفاوض جدي يخوض حربا واضحة الأهداف ويريد إنهاءها بتحقيق تلك الأهداف.
    المصالح الفرنسية التي ظلت موجودة بعد الاتفاق وبعد الاستقلال انتهت تماما عام 1971 مع تأميم المحروقات وقرار التعريب وقبلها كان تأميم البنوك وشركات التأمين والمناجم وتم توقيف التجارب النووية في الصحراء عام 1966 وخرج الفرنسيون في 1967 من قاعدتي رڤان وبشار وأوقف البرنامج الفضائي الفرنسي الذي كان قائما في بشار باسم ”حماغير” وهو لفظ مركب من ”حمادة” الصحراء و”غير” وهو اسم وادي في المنطقة، وكان مقررا أن يقوم محله مشروعا فضائيا جزائريا. وأممت كل الشركات الاقتصادية والخدمية وعلى أنقاضها أقيم القطاع الاقتصادي الجزائري. وفي 1968 خرج آخر عسكري فرنسي من قاعدة المرسى الكبير، أكبر قاعدة عسكرية على البحر المتوسط وقتها. وبعد تصفية كل تلك المصالح جاء رئيس فرنسا جيسكار ديستان إلى الجزائر عام 1975 يطلب التعاون ولم يرد الرئيس بومدين الزيارة لاأنا لم نكن بحاجة لفرنسا بقدر ما هي بحاجة إلينا.
    في السبعينات كان الجزائريون يركبون حافلاتهم وشاحناتهم ودراجاتهم النارية ودراجاتهم الهوائية ويحرثون الأرض بجراراتهم ويحصدون بحاصداتهم ودشن مركب 5 جويلية الرياضي في الذكرى العاشرة للاستقلال (1972) وكان وقتها الأكبر والأجمل والأفضل في إفريقيا والشرق الأوسط ولا يوجد ما يماثله حتى في فرنسا، الدولة التي استعمرت الجزائر 132 عام. وكان تدعيم الثقافة مطلقا حتى أن الجزائر هي البلد الوحيد، بين البلدان التي تسمى عادة العالم العربي، التي كسبت السعفة الذهبية لمهرجان ”كان” السينمائي عام 1976. وأكبر الجامعات حتى الآن هي التي بنيت في السبعينات وأكبر المصانع بما فيها التي يصدر منها الغاز الآن بنيت في ذلك الوقت. فعلت الجزائر كل هذا ولم تتسبب ”ايفيان” في تعطيلها. 
    قبل 35 عاما توقف مسار ”مشروع الجزائر الكبيرة” ودخلنا في متاهات جعلت الدوائر الأكثر تخلفا وانغلاقا في فرنسا تكتب تاريخ الجزائر على هواها فتشوه أهم حلقات مسار الثورة وما بعد الثورة والشخصيات ذات الوزن الكبير في الثورة وما بعد الثورة. ومن المصادر الفرنسية المستندة إلى المخابرات تغرف صحف جزائرية ـ تبحث عن الإثارة والظهور دون بذل الجهد ـ أمورا كثيرة تنشرها وتبثها ويستوعبها جيل لا تعطيه المدرسة ولا الجامعة ما يكفي من أدوات التحليل لتبيان الخطأ من الصواب الحق من الباطل.
    البلد ربما احتاج الآن إلى روح نوفمبر جديد دون الخشية من اتفاقيات ايفيان جديدة مع الذات هذه المرة، وليس مع عدو خارجي كسبناه في المنازلة الميدانية. الذين يقولون أن الجزائر كانت فاشلة منذ الاستقلال هم في الواقع يبررون الوضع الراهن عن وعي وكثير منهم عن غير وعي وعن جهل للمعطيات التاريخية.
    كانت الجزائر على سكة القوة ففي عام 1980 كانت أفضل من إسبانيا وكوريا الجنوبية ناهيك عن البرتغال وعن تركيا واليونان الغارقتان في التخلف والانقلابات. واليوم صار الناتج الداخلي الخام لإسبانيا 1600 مليار دولار بلا بترول ولا غاز ولا مناجم ولا أورانيوم ولا ذهب وووو... كل ما عندنا، والناتج الداخلي الخام للجزائر أقل بكثير من ربع هذا الرقم.
    ناصر الدين السعدي 

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