الخميس، أبريل 7

الاخبار العاجلة لتظاهر عاهرات العالم ضد فضائح الفساد الضريبي في بلدان العالم وعاهرات العهالم ينظمن مسيرات سليمة تضامنا مع الشخصيات العالمية المتورطة في فضائح التهرب الضريبي ومنهم شخصية بوشوارب وشر البلية مايبكي

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صورة من مظاهرة  احتجاجية  لعاهرات  العالم وقائدات بيوت الدعارة  العالمية ضد نشر وثيقة بناما حول الفضائح المالية والفساد الضريبي في العالم يدكر ان  الدعارة  من مظاهر الفساد  الضريبي عالميا  


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Des travailleuses et des travailleurs du sexe défilent non loin de l'Assemblée, alors que la loi prostitution est sur le point d'être adoptée, le 6 avril, à Paris. AFP / Thomas Samson 

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الاخبار  العاجلة   لمطالبة   سكان قسنطينة من  منظمي   قاعة زينات    بالانسحاب من مدينة  قسنطينة رسميا وصحيفة الشروق تشتم سكان قسنطينةعبر  المافيا بن تركي يدكر ان  مافيا بن تركي تسيرها  صحيفة الشروق والاسباب مجهولة


http://www.liberation.fr/france/2016/04/06/prostitution-panama-papers-et-loi-travail-le-point-sur-l-actualite_1444435

écap'

Prostitution, «Panama Papers» et loi travail : le point sur l'actualité 

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Des travailleuses et des travailleurs du sexe défilent non loin de l'Assemblée, alors que la loi prostitution est sur le point d'être adoptée, le 6 avril, à Paris. AFP / Thomas Samson



Des travailleuses et des travailleurs du sexe défilent non loin de l'Assemblée, alors que la loi prostitution est sur le point d'être adoptée, le 6 avril, à Paris. AFP / Thomas Samson

Vous n'avez pas suivi les infos ce mercredi ? Pas de problème, on vous résume l'essentiel ici.

«Panama Papers». La société d’investissement luxembourgeoise LSK, présidée par l’ex-patron du FMI Dominique Strauss-Kahn jusqu’en octobre 2014, a créé 31 sociétés dans des paradis fiscaux, affirme Le Monde. Chahuté par la rue, le premier ministre islandais a lui démissionné après la révélation de l’existence de ses sociétés offshore. Le directeur général de Société Générale se défend après la mise en cause de la banque française dans cette vaste enquête. Les dirigeants du FN affirment que les faits reprochés à leur prestataire Frédéric Chatillon (qui aurait goûté aux joies de la finance offshore) ont déjà fait l’objet d’une enquête, sans aucun résultat mais tout est faux. Enfin la police suisse a perquisitionné le siège de l’UEFA, soupçonnée de «gestion déloyale» lors de l’attribution de droits TV en Equateur à la société Cross Trading, citée dans le scandale des «Panama Papers» et  Juan Pedro Damiani a démissionné du comité d’éthique de la Fifa.
 
Prostitution. La France vient de devenir le quatrième pays européen à pénaliser les clients des prostitués après la Suède, la Norvège et l’Islande, marquant la fin d’une longue série d’allers-retours entre l’Assemblée nationale et le Sénat. Retour sur presque deux ans et demi de débat parlementaire.
Loi travail. «Le désaccord persiste» avec le gouvernement sur le projet de loi travail (amendée au Parlement) a affirmé le président de la principale organisation étudiante, l’Unef, William Martinet, en appelant les jeunes «à rester mobilisés» notamment pour la manifestation «déterminante» prévue samedi.
Chantiers de Saint-Nazaire. Quatre nouveaux paquebots ont été commandés par le croisiériste MSC au même chantier de Saint-Nazaire, STX, dopant de près de 4 milliards d’euros son carnet de commande, déjà bien rempli.
NDDL. Si un aéroport est construit à Notre-Dame-des-Landes, il n’aura qu’une seule piste, au lieu des deux actuellement prévues, a prévenu mercredi la ministre de l’Environnement Ségolène Royal, au lendemain de la publication d’un rapport d’experts estimant que le projet actuel est «surdimensionné».
Justice. L’ancien président du Front national Jean-Marie Le Pen a été condamné mercredi à 30 000 euros d’amende pour avoir de nouveau qualifié, il y a un an, les chambres à gaz de «détail» de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale.
Défense. François Hollande a décidé d’annuler 10 000 suppressions de postes dans les armées et d’en créer même 800 supplémentaires au cours des trois prochaines années pour faire face à la menace terroriste.
Pub. Comme prévu, la publicité commerciale, aujourd’hui interdite sur Radio France, va faire son apparition sur les antennes du service public. Le décret attendu a été publié ce mercredi au Journal officiel et impose une limite de dix-sept minutes par jour en moyenne trimestrielle.
Nominations. La médiatrice du livre Laurence Engel a été nommée à la tête de la Bibliothèque nationale de France. Elle sera la première femme à diriger la BnF. L’auteur, metteur en scène et comédien libano-canadien Wajdi Mouawad a été nommé par François Hollande à la direction du Théâtre national de la Colline, l’une des plus grandes scènes françaises. Et enfin Laurent Stefanini a été nommé ambassadeur à l’Unesco. Le chef du protocole de l’Elysée, homosexuel, ne sera pas donc pas ambassadeur de France auprès du Saint-Siège comme nous vous l’avions annoncé.
Ligue des champions. Le PSG reçoit ce mercredi à 20h45 Manchester City, en quart de finale aller de Ligue des champions.
LIBERATION

Prostitution

Après deux ans et demi de débats, la pénalisation des clients votée

Par
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Des personnes manifestent aux abords de l'Assemblée nationale alors que la loi sur la prostitution est sur le point d'être adoptée, le 6 avril. AFP / Thomas Samson


 
Des personnes manifestent aux abords de l'Assemblée nationale alors que la loi sur la prostitution est sur le point d'être adoptée, le 6 avril. AFP / Thomas Samson

Abrogation du délit de racolage passif, pénalisation du client... Après de nombreux aller-retours entre Assemblée nationale et Sénat depuis 2013, la proposition de loi visant à renforcer la «lutte contre le système prostitutionnel» vient d'être adoptée.

La France devient le quatrième pays européen à pénaliser les clients des prostituées après la Suède, la Norvège et l’Islande, marquant la fin d’une longue série d'aller-retours entre l’Assemblée nationale et le Sénat. L'Assemblée a en effet entériné le vote définitif de la proposition de loi sur la prostitution, malgré l'opposition du Sénat.
Ses mesures phares : la pénalisation du client et l'abrogation du délit de racolage passif, ce dernier ayant été institué en 2003 par le ministre de l’Intérieur d’alors, Nicolas Sarkozy, et dénoncé par toutes les associations sur le terrain. En outre, si certaines prostituées souhaitent arrêter leur activité, un accompagnement social ainsi que des aides financières leur seront proposés, sans oublier un titre de séjour temporaire pour celles qui sont étrangères. Retour sur presque deux ans et demi de débat parlementaire.
Ce dossier, jugé trop polémique au sommet de l’Etat, a été porté par les députées socialistes Maud Olivier et Catherine Coutelle. Maud Olivier justifie l'importance de cette loi par la nécessité d'«inverser le regard, en responsabilisant le client et en faisant de la prostituée non plus une délinquante mais une victime qu’il faut aider», avec pour corollaire «le refus de toute marchandisation des corps». 

La pénalisation des clients régulièrement rejetée par le Sénat

L'achat d’actes sexuels sera désormais interdit et sanctionné par une contravention de 1 500 euros pour flagrant délit et jusqu’à 3 500 euros en cas de récidive.
Jusque là le Sénat opposait régulièrement son veto depuis le premier examen de cette proposition de loi PS en décembre 2013. Mais il n'est de fait plus décisionnaire à ce stade puisque c'est à l'Assemblée nationale de statuer sur la pénalisation du client.
Début juillet 2014, le Sénat a retiré en première lecture la pénalisation des clients de la proposition de loi de «lutte contre le système prostitutionnel» votée par l’Assemblée nationale fin novembre 2013.
La chambre haute a récidivé en octobre 2015, en deuxième lecture, en s’opposant à la pénalisation des clients des prostituées. Si ce même Sénat a fini par adopter en mars 2016 la proposition de loi socialiste renforçant la lutte contre la prostitution, il a tout de même rejeté la pénalisation des clients prévue par le texte et ce, contre l'avis du gouvernement.

Et après ?

Le sujet, clivant, a fait l’objet de vifs débats, avec notamment la publication d’un «manifeste des 343 salauds», où des personnalités, pour la plupart plutôt tendance «néoréacs de droite» (Ivan Rioufol, Eric Zemmour...) ont défendu leur droit à recourir à une prostituée.
Avant tout morale, cette loi pourrait se révéler inutile et difficilement applicable. Bien avant son examen par l’Assemblée, les critiques déferlaient sur un texte jugé tantôt moral, tantôt inutile, tantôt dangereux. Pour les opposants à la loi, pénaliser le client pourrait aussi pousser les prostituées à prendre plus de risques pour exercer leur métier.
Lire aussi notre décryptage : Prostitution : les clients mis à l’amende
Peu avant la lecture définitive du texte à l’Assemblée, une manifestation a vu des travailleuses et des travailleurs du sexe protester contre la loi, non loin du Palais-Bourbon. Selon eux, la pénalisation du client «va accroître la répression policière» et «précariser les conditions de travail», comme le raconte Cadyne, du syndicat du Travail sexuel (STRASS). Par ailleurs, Morgane Merteuil, la porte-parole du STRASS a réagi ce mercredi matin sur Facebook. Elle dénonce notamment «le contexte qu’elle va produire (...) qui va favoriser notre précarité et nos viols».

Du côté de l'Allemagne

Pendant ce temps, un débat sévit en Allemagne autour de la prostitution. Si en France, les maisons closes ont tiré leurs rideaux en 1946 avec la loi Marthe Richard, la prostitution est toujours légale outre-Rhin. Cela dit, le conseil des ministres allemand a validé le 24 mars un projet de réforme pour la protection des travailleuses du sexe face à l’exploitation par des tiers et face aux maladies sexuellement transmissibles, comme le relève Slate qui cite le quotidien allemand Rheinische Post.
Dounia Hadni

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