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Saida
L’expérience de plantation de l’alfa sera étendue
dans les zones steppiques
L’expérience de plantation de l’alfa sera étendue dans les zones steppiques partant des résultats probants enregistrés,a-t-on appris lundi du commissaire régional de développement de la steppe.
En marge d’une journée consacrée à la promotion de l’investissement agricole local, Abdelwahab Maachou a souligné que cette expérience, lancée en février 2013, a atteint un taux de réussite 70 %. Elle sera élargie avec la création de nouvelles pépinières et l’ouverture du champ devant les investisseurs privés et leur accompagnement, a-t-il ajouté.
Cette expérience, la première du genre dans l’ouest du pays couronnée de succès, a-t-il indiqué, a ciblé un hectare de terres pastorales dans la région d’El Guenatis, dans la commune d’Ain Skhouna, avec la mise en terre de 900 plants acquis de la wilaya de Djelfa.
Le wali, qui a suivi un exposé présenté par le commissaire régional sur cette expérience, a insisté sur l’intensification de la production de l’alfa dans les zones steppiques en vue de lutter contre la désertification et la préservation du couvert végétal.
La wilaya de Saida dispose d’une superficie steppique estimée à 214.455 ha répartis sur les communes d’Ain Skhouna,Maamoura, Sidi Ahmed et Moulay Larbi.
Cette journée de vulgarisation, à laquelle ont pris part des représentants de différents secteurs dont la direction des services agricoles, la direction des ressources en eau, l’entreprise de production du lait «Giplait», l’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes (ANSEJ), la chambre d’agriculture de la wilaya et des associations activant dans le domaine de l’agriculture, a été marquée par la présentation d’un exposé sur la situation du secteur agricole dans la wilaya.
A cette occasion, trois investisseurs privés ont bénéficié de terrains totalisant une superficie de 1.400 ha pour l’élevage du bétail dans le cadre de la concession agricole.
Elles ont investi la rue pendant 3 jours après le relogement de leurs voisins
Des familles d’El Mokrani protestent devant le secteur urbain
Après avoir occupé la rue pendant trois jours, les exclus des listes de l’opération de relogement qui s’est effectuée dimanche passé, laquelle a touché près de 1125 familles habitant dans de vieux
immeubles menaçant ruine à haï El Mokrani et à haï El Makkari, des dizaines de personnes mécontentes se sont rassemblées hier à partir de 7 heures du matin dans la cour de l’antenne administrative du secteur urbain El Mokrani, afin de déposer des demandes de recours.
Tous parlaient d’injustice et d’attribution de logement à des familles ne résidant pas dans ces quartiers. Certains pères de famille détenant des actes de propriété, qui vivaient avec leurs
parents, se retrouvent à la rue du fait qu’ils n’ont pas bénéficié d’une attribution de logement comme leurs parents et du fait que le bâtiment a été rasé. Certains protestataires parlent de voisins qui auraient bénéficié par le passé de logement qu’ils ont vendu et qui viennent de bénéficier cette fois-ci aussi de cette attribution. Pour en savoir plus sur la question, nous avons tenté de rencontrer la directrice de ce secteur urbain, mais en vain. Cette dernière était en réunion, nous a expliqué un policier.
A.Bekhaitia
Selon les prévisions optimistes de l’OPGI
21.000 logements sociaux seront livrés en 2017
Près de 18.000 logements sociaux en cours de réalisation seront réceptionnés cette année, ce qui va contribuer à lutter contre la précarité, selon le directeur de l’OPGI. L’année 2017 sera marquée par la réception de 21.000 logements sociaux selon le même responsable, qui a déclaré qu’une opération de relogement de 2.500 familles du quartier Les Planteurs est prévue le mois d’octobre. Le quartier des Planteurs a bénéficié d’un programme spécial. Les services de wilaya ont rassuré la population de ce quartier que les opérations de relogement se poursuivront en fonction de la disponibilité des logements et des programmes en cours de réalisation pour cette zone d’Oran. Il s’agit d’un deuxième quota réservé aux familles de ce site. Une première opération de relogement de 500 familles résidant au quartier Les Planteurs a été effectuée le mois d’octobre 2014. Le directeur de l’Office de promotion et de gestion immobilière d’Oran (OPGI) a annoncé que «Les logements consacrés à ces familles ont été achevés et les travaux de VRD (voirie et réseaux divers) ont été lancés». Durant le premier semestre de cette année, pas moins de 6.400 familles sont concernées par le relogement. Ces familles ont été répertoriées suite au dernier recensement lancé le mois de novembre dernier à travers les secteurs urbains de la commune d’Oran. Il s’agit des familles habitant des immeubles menaçant ruine dans la ville d’Oran. Ces familles qui n’avaient pas bénéficié de décision de pré-affectation dans le passé occupent des immeubles menaçant ruine classés en rouge.
Mehdi A.
Hier matin, les citoyens de la ville de Zighoud-Youcef ont manifesté en masse leur ras-le-bol
devant le siège de la daïra, exigeant la venue du wali en personne pour lui
exposer de vive voix leurs préoccupations et leurs revendications. Selon des
participants à la manifestation que nous avons réussi à joindre par téléphone
et d'autres qui nous ont contactés directement, ils étaient environ 2000 à se
diriger dès 8h du matin, banderoles au-dessus des têtes, vers le siège de la
daïra après avoir procédé à la fermeture de toutes les boutiques et les commerces
de la ville. Nous avons écouté longuement les manifestants nous expliquer les
raisons qui les ont poussés à sortir dans la rue. «Le dimanche dernier 15 mai,
ont-ils commencé, lorsque nous avons remis au wali la copie de la lettre
ouverte adressée à M. le Président de la République ; nous avions convenu d'un
délai de 48h pour avoir une réponse de sa part, surtout quant à la question du
centre d'enfouissement technique (CET) de Doghra.
Malheureusement, en guise de réponse, nous avons constaté hier que ce centre
avait commencé à fonctionner en recevant les deux premiers camions qui ont
déchargé les déchets provenant des agglomérations avoisinantes. C'est pourquoi
nous avons convenu de sortir dans la rue pour protester en campant devant la
daïra et en exigeant la venue du wali pour lui demander des explications.»
Les manifestants brandissaient des banderoles contenant leurs nombreuses revendications de nature socio-économique et administrative et, surtout, les banderoles clamant leur rejet du CET situé à la sortie nord de la ville, en direction de Skikda. Nos correspondants au téléphone nous ont expliqué clairement que le facteur déclenchant de cette manifestations qui se présente comme un véritable bras de fer qui vient d'être engagé entre les citoyens de cette daira et les autorités de la wilaya, est le fait de voir le CET ouvrir en recevant les deux premiers camions qui ont déchargé leurs cargaisons de déchets. Les suivants n'ont pu le faire parce que les citoyens, en colère, les en ont empêché. «En dépit des avis contraires des experts et des citoyens, des réserves émises par la commission dépêchée par la direction de l'environnement, le wali a tenu à l'ouverture de ce CET à Doghra, un endroit constituant le couloir par lequel les citoyens de Zighoud-Youcef respirent l'air pur provenant de la mer. Maintenant, à plus de deux kilomètres de distance, nous sentons l'odeur des déchets ménagers. Que devons-nous comprendre de cette attitude des autorités ? De l'attitude du wali qui préfère utiliser la méthode autoritaire au dialogue avec les habitants qui sont les premiers concernés ?», se sont demandé les manifestants. Au sujet des autres revendications, les manifestants ont brandi des banderoles sur lesquelles il y était écrit : «Nous voulons du développement et non une déchetterie». «Zighoud-Youcef : une commune marginalisée, oubliée», dit une autre. Et une troisième clame : «Non au transfert de l'administration». Et nos interlocuteurs d'expliquer ces slogans en disant : «La recette des contributions diverses et l'agence Cnep de Zighoud-Youcef viennent d'être délocalisées dans les villes de Didouche-Mourad et Hamma Bouziane. Et prochainement, l'antenne de l'OPGI, la BADR et l'agence de la CNAS vont suivre. Et le vide aura été fait dans notre chef-lieu de daira. Ce qui fait qu'à l'avenir, pour se procurer un timbre fiscal, le citoyen de notre ville devra se déplacer jusqu'à Didouche-Mourad. Et ce qui est plus grave, ajoutent les manifestants, nous avons appris que le programme des 900 logements sociaux dont a bénéficié la ville, va être réduit à 500 unités, le reste ayant été réorienté vers la nouvelle ville Ali-Mendjeli. On chercherait à vider la ville de Zighoud-Youcef de toute sa substance socio-économique et administrative, de ses équipements qu'on ne s'y prendrait pas autrement», ont dit nos interlocuteurs. Et de terminer en signalant que les associations de la société civile ainsi que les citoyens qui ont initié cette manifestation n'ont cessé de faire des requêtes au wali, au ministre de l'Intérieur et à plusieurs autres secteurs. Mais leurs doléances n'ont obtenu aucun écho.
Reste à dire qu'aucun incident ne s'est produit durant cette manifestation qui s'est déroulée pacifiquement et qui se poursuivait encore au-delà de 14h, au moment où nous avons eu notre dernier contact avec les manifestants.
Nombreux étaient ces derniers qui n'ont pas voulu répondre aux appels des sirènes qui voulaient les conduire à couper la RN 3 qui passe par la ville. «Si une majorité des manifestants venait à l'emporter pour couper la RN 3 nous nous retirerions de la manifestation», nous ont-ils promis.
Projet de réhabilitation de VRD à Phœnix (Ain El Bia)
Retour à la case départ
Avec ou sans averse, la situation du quartier Es-Salem (ex-Phoenix) qui est un camp Sonatrach relevant de la commune d’Ain El Bia, est dans un état catastrophique, après l’arrêt du projet de réhabilitation des réseaux divers. Cette situation fait grincer des dents aux habitants qui ont été si heureux de voir enfin le démarrage des travaux de réhabilitation des réseaux d’assainissement et d’eau potable, ainsi que l’installation du réseau de gaz de ville après deux décennies d’attente.
Mais cette joie a vite viré au cauchemar, puisque les travaux se sont arrêtés après les mises en demeure adressées par la SEOR qui mène le projet, la suite est amère, avec un chantier entamé et aussitôt déserté, puisque aucune nouvelle entreprise n’a été désignée. L’état de cette commune dont les projets inscrits sont ,soit à l’arrêt à cause du manque de budget, soit refusés par la Sonatrach à cause du conflit du terrain qui oppose toujours la société pétrolière à la mairie.
Justement, la Sonatrach qui s’était engagée à débloquer une grande somme pour la réhabilitation du groupement de ces anciens camps, en l’occurrence Phoenix, Camp 7, 8 et 9, n’a pas honoré sa promesse, laissant ainsi les responsables locaux livrés à eux-mêmes. La situation est donc urgente et attend une vraie intervention de la part du wali d’Oran, pas seulement pour hai Es-Salem mais toute une commune qui souffre d’un programme PCD insuffisant pour achever le programme tracé, et vit toujours dans l’ombre de la sa voisine Béthioua. Avant ce projet tant attendu, le quartier n’avait pas subi la moindre opération de développement depuis sa réalisation en 1989, sous la houlette de la société étatique Sonatrach. Les habitants grincent des dents en voyant l’état de ce quartier et la qualité des travaux entrepris, qui reste selon eux, au deçà des espérances. Cet arrêt qui risque de perdurer n’arrange pas les choses, pire, il a rendu les lieux plus catastrophiques que jamais.
Jalil Mehnane
Hier matin, les citoyens de la ville de Zighoud-Youcef ont manifesté en masse leur ras-le-bol
devant le siège de la daïra, exigeant la venue du wali en personne pour lui
exposer de vive voix leurs préoccupations et leurs revendications. Selon des
participants à la manifestation que nous avons réussi à joindre par téléphone
et d'autres qui nous ont contactés directement, ils étaient environ 2000 à se
diriger dès 8h du matin, banderoles au-dessus des têtes, vers le siège de la
daïra après avoir procédé à la fermeture de toutes les boutiques et les commerces
de la ville. Nous avons écouté longuement les manifestants nous expliquer les
raisons qui les ont poussés à sortir dans la rue. «Le dimanche dernier 15 mai,
ont-ils commencé, lorsque nous avons remis au wali la copie de la lettre
ouverte adressée à M. le Président de la République ; nous avions convenu d'un
délai de 48h pour avoir une réponse de sa part, surtout quant à la question du
centre d'enfouissement technique (CET) de Doghra.
Malheureusement, en guise de réponse, nous avons constaté hier que ce centre
avait commencé à fonctionner en recevant les deux premiers camions qui ont
déchargé les déchets provenant des agglomérations avoisinantes. C'est pourquoi
nous avons convenu de sortir dans la rue pour protester en campant devant la
daïra et en exigeant la venue du wali pour lui demander des explications.»
Les manifestants brandissaient des banderoles contenant leurs nombreuses revendications de nature socio-économique et administrative et, surtout, les banderoles clamant leur rejet du CET situé à la sortie nord de la ville, en direction de Skikda. Nos correspondants au téléphone nous ont expliqué clairement que le facteur déclenchant de cette manifestations qui se présente comme un véritable bras de fer qui vient d'être engagé entre les citoyens de cette daira et les autorités de la wilaya, est le fait de voir le CET ouvrir en recevant les deux premiers camions qui ont déchargé leurs cargaisons de déchets. Les suivants n'ont pu le faire parce que les citoyens, en colère, les en ont empêché. «En dépit des avis contraires des experts et des citoyens, des réserves émises par la commission dépêchée par la direction de l'environnement, le wali a tenu à l'ouverture de ce CET à Doghra, un endroit constituant le couloir par lequel les citoyens de Zighoud-Youcef respirent l'air pur provenant de la mer. Maintenant, à plus de deux kilomètres de distance, nous sentons l'odeur des déchets ménagers. Que devons-nous comprendre de cette attitude des autorités ? De l'attitude du wali qui préfère utiliser la méthode autoritaire au dialogue avec les habitants qui sont les premiers concernés ?», se sont demandé les manifestants. Au sujet des autres revendications, les manifestants ont brandi des banderoles sur lesquelles il y était écrit : «Nous voulons du développement et non une déchetterie». «Zighoud-Youcef : une commune marginalisée, oubliée», dit une autre. Et une troisième clame : «Non au transfert de l'administration». Et nos interlocuteurs d'expliquer ces slogans en disant : «La recette des contributions diverses et l'agence Cnep de Zighoud-Youcef viennent d'être délocalisées dans les villes de Didouche-Mourad et Hamma Bouziane. Et prochainement, l'antenne de l'OPGI, la BADR et l'agence de la CNAS vont suivre. Et le vide aura été fait dans notre chef-lieu de daira. Ce qui fait qu'à l'avenir, pour se procurer un timbre fiscal, le citoyen de notre ville devra se déplacer jusqu'à Didouche-Mourad. Et ce qui est plus grave, ajoutent les manifestants, nous avons appris que le programme des 900 logements sociaux dont a bénéficié la ville, va être réduit à 500 unités, le reste ayant été réorienté vers la nouvelle ville Ali-Mendjeli. On chercherait à vider la ville de Zighoud-Youcef de toute sa substance socio-économique et administrative, de ses équipements qu'on ne s'y prendrait pas autrement», ont dit nos interlocuteurs. Et de terminer en signalant que les associations de la société civile ainsi que les citoyens qui ont initié cette manifestation n'ont cessé de faire des requêtes au wali, au ministre de l'Intérieur et à plusieurs autres secteurs. Mais leurs doléances n'ont obtenu aucun écho.
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Saida
L’expérience de plantation de l’alfa sera étendue
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L’expérience de plantation de l’alfa sera étendue dans les zones steppiques partant des résultats probants enregistrés,a-t-on appris lundi du commissaire régional de développement de la steppe.
En marge d’une journée consacrée à la promotion de l’investissement agricole local, Abdelwahab Maachou a souligné que cette expérience, lancée en février 2013, a atteint un taux de réussite 70 %. Elle sera élargie avec la création de nouvelles pépinières et l’ouverture du champ devant les investisseurs privés et leur accompagnement, a-t-il ajouté.
Cette expérience, la première du genre dans l’ouest du pays couronnée de succès, a-t-il indiqué, a ciblé un hectare de terres pastorales dans la région d’El Guenatis, dans la commune d’Ain Skhouna, avec la mise en terre de 900 plants acquis de la wilaya de Djelfa.
Le wali, qui a suivi un exposé présenté par le commissaire régional sur cette expérience, a insisté sur l’intensification de la production de l’alfa dans les zones steppiques en vue de lutter contre la désertification et la préservation du couvert végétal.
La wilaya de Saida dispose d’une superficie steppique estimée à 214.455 ha répartis sur les communes d’Ain Skhouna,Maamoura, Sidi Ahmed et Moulay Larbi.
Cette journée de vulgarisation, à laquelle ont pris part des représentants de différents secteurs dont la direction des services agricoles, la direction des ressources en eau, l’entreprise de production du lait «Giplait», l’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes (ANSEJ), la chambre d’agriculture de la wilaya et des associations activant dans le domaine de l’agriculture, a été marquée par la présentation d’un exposé sur la situation du secteur agricole dans la wilaya.
A cette occasion, trois investisseurs privés ont bénéficié de terrains totalisant une superficie de 1.400 ha pour l’élevage du bétail dans le cadre de la concession agricole.
Sidi Bel Abbès
Pour la préparation de la nouvelle rentrée universitaire
Réunion de 19 directeurs de wilaya des œuvres universitaires à la cité 19-Mai
La cité universitaire 19- Mai de Djilali Liabès a abrité le mardi, le regroupement régional des directeurs des œuvres universitaires, dont l’objectif est la préparation de la nouvelle rentrée universitaire 2016/2017. Présidée par Abdelhak Boudraâ, le directeur général de l’Office national des œuvres universitaires, la rencontre a réuni 19 directeurs des œuvres universitaires issus de 15 wilayas de l’Ouest et Sud-ouest du pays, où ils ont débattu les orientations de la tutelle pour la réussite de la nouvelle rentrée universitaire et les préparatifs qui doivent la précéder et la mise en exécution d’une bonne prise en charge de l’étudiant résident. Les préparations pour offrir aux étudiants les meilleures conditions d’accueil, d’hébergement, de transport, de restauration, de sécurité et de loisirs, suivant les orientations du directeur général de l’ONOU. L’évaluation de l’année universitaire 2015/2016, et les diverses activités animées au cours de l’année, était au menu de la rencontre régionale, dont l’intérêt indique-t-on, est de connaitre les défaillances et tirer des solutions aux problèmes. Dans la même optique, le directeur général de l’ONOU a sollicité les représentants des wilayas à prendre toutes les dispositions nécessaires et à mettre à disposition des étudiants tous les moyens pour leur bien-être, leur indiquant que le nombre d’élèves candidats au baccalauréat pour cette session a augmenté à travers le territoire du pays.
L’élaboration de programmes pour les activités culturelles était l’une des recommandations du responsable de l’ONOU, ce qui permettrait de créer une dynamique au niveau des cités universitaires et permettrait également aux étudiants résidents d’évoluer et s’épanouir. De leur côté, les directeurs présents ont présenté chacun un rapport détaillé sur la structure, dont ils se chargent et ont évoqué les difficultés rencontrées au cours de l’année universitaire.
Fatima A.
Pour la préparation de la nouvelle rentrée universitaire
Réunion de 19 directeurs de wilaya des œuvres universitaires à la cité 19-Mai
La cité universitaire 19- Mai de Djilali Liabès a abrité le mardi, le regroupement régional des directeurs des œuvres universitaires, dont l’objectif est la préparation de la nouvelle rentrée universitaire 2016/2017. Présidée par Abdelhak Boudraâ, le directeur général de l’Office national des œuvres universitaires, la rencontre a réuni 19 directeurs des œuvres universitaires issus de 15 wilayas de l’Ouest et Sud-ouest du pays, où ils ont débattu les orientations de la tutelle pour la réussite de la nouvelle rentrée universitaire et les préparatifs qui doivent la précéder et la mise en exécution d’une bonne prise en charge de l’étudiant résident. Les préparations pour offrir aux étudiants les meilleures conditions d’accueil, d’hébergement, de transport, de restauration, de sécurité et de loisirs, suivant les orientations du directeur général de l’ONOU. L’évaluation de l’année universitaire 2015/2016, et les diverses activités animées au cours de l’année, était au menu de la rencontre régionale, dont l’intérêt indique-t-on, est de connaitre les défaillances et tirer des solutions aux problèmes. Dans la même optique, le directeur général de l’ONOU a sollicité les représentants des wilayas à prendre toutes les dispositions nécessaires et à mettre à disposition des étudiants tous les moyens pour leur bien-être, leur indiquant que le nombre d’élèves candidats au baccalauréat pour cette session a augmenté à travers le territoire du pays.
L’élaboration de programmes pour les activités culturelles était l’une des recommandations du responsable de l’ONOU, ce qui permettrait de créer une dynamique au niveau des cités universitaires et permettrait également aux étudiants résidents d’évoluer et s’épanouir. De leur côté, les directeurs présents ont présenté chacun un rapport détaillé sur la structure, dont ils se chargent et ont évoqué les difficultés rencontrées au cours de l’année universitaire.
Fatima A.
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Des familles d’El Mokrani protestent devant le secteur urbain
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Tous parlaient d’injustice et d’attribution de logement à des familles ne résidant pas dans ces quartiers. Certains pères de famille détenant des actes de propriété, qui vivaient avec leurs
parents, se retrouvent à la rue du fait qu’ils n’ont pas bénéficié d’une attribution de logement comme leurs parents et du fait que le bâtiment a été rasé. Certains protestataires parlent de voisins qui auraient bénéficié par le passé de logement qu’ils ont vendu et qui viennent de bénéficier cette fois-ci aussi de cette attribution. Pour en savoir plus sur la question, nous avons tenté de rencontrer la directrice de ce secteur urbain, mais en vain. Cette dernière était en réunion, nous a expliqué un policier.
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Mehdi A.
Constantine - Zighoud-Youcef: Colère des habitants contre l'ouverture du CET
par A. Mallem
Hier matin, les citoyens de la ville de Zighoud-Youcef ont manifesté en masse leur ras-le-bol
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exposer de vive voix leurs préoccupations et leurs revendications. Selon des
participants à la manifestation que nous avons réussi à joindre par téléphone
et d'autres qui nous ont contactés directement, ils étaient environ 2000 à se
diriger dès 8h du matin, banderoles au-dessus des têtes, vers le siège de la
daïra après avoir procédé à la fermeture de toutes les boutiques et les commerces
de la ville. Nous avons écouté longuement les manifestants nous expliquer les
raisons qui les ont poussés à sortir dans la rue. «Le dimanche dernier 15 mai,
ont-ils commencé, lorsque nous avons remis au wali la copie de la lettre
ouverte adressée à M. le Président de la République ; nous avions convenu d'un
délai de 48h pour avoir une réponse de sa part, surtout quant à la question du
centre d'enfouissement technique (CET) de Doghra.
Malheureusement, en guise de réponse, nous avons constaté hier que ce centre
avait commencé à fonctionner en recevant les deux premiers camions qui ont
déchargé les déchets provenant des agglomérations avoisinantes. C'est pourquoi
nous avons convenu de sortir dans la rue pour protester en campant devant la
daïra et en exigeant la venue du wali pour lui demander des explications.»
Les manifestants brandissaient des banderoles contenant leurs nombreuses revendications de nature socio-économique et administrative et, surtout, les banderoles clamant leur rejet du CET situé à la sortie nord de la ville, en direction de Skikda. Nos correspondants au téléphone nous ont expliqué clairement que le facteur déclenchant de cette manifestations qui se présente comme un véritable bras de fer qui vient d'être engagé entre les citoyens de cette daira et les autorités de la wilaya, est le fait de voir le CET ouvrir en recevant les deux premiers camions qui ont déchargé leurs cargaisons de déchets. Les suivants n'ont pu le faire parce que les citoyens, en colère, les en ont empêché. «En dépit des avis contraires des experts et des citoyens, des réserves émises par la commission dépêchée par la direction de l'environnement, le wali a tenu à l'ouverture de ce CET à Doghra, un endroit constituant le couloir par lequel les citoyens de Zighoud-Youcef respirent l'air pur provenant de la mer. Maintenant, à plus de deux kilomètres de distance, nous sentons l'odeur des déchets ménagers. Que devons-nous comprendre de cette attitude des autorités ? De l'attitude du wali qui préfère utiliser la méthode autoritaire au dialogue avec les habitants qui sont les premiers concernés ?», se sont demandé les manifestants. Au sujet des autres revendications, les manifestants ont brandi des banderoles sur lesquelles il y était écrit : «Nous voulons du développement et non une déchetterie». «Zighoud-Youcef : une commune marginalisée, oubliée», dit une autre. Et une troisième clame : «Non au transfert de l'administration». Et nos interlocuteurs d'expliquer ces slogans en disant : «La recette des contributions diverses et l'agence Cnep de Zighoud-Youcef viennent d'être délocalisées dans les villes de Didouche-Mourad et Hamma Bouziane. Et prochainement, l'antenne de l'OPGI, la BADR et l'agence de la CNAS vont suivre. Et le vide aura été fait dans notre chef-lieu de daira. Ce qui fait qu'à l'avenir, pour se procurer un timbre fiscal, le citoyen de notre ville devra se déplacer jusqu'à Didouche-Mourad. Et ce qui est plus grave, ajoutent les manifestants, nous avons appris que le programme des 900 logements sociaux dont a bénéficié la ville, va être réduit à 500 unités, le reste ayant été réorienté vers la nouvelle ville Ali-Mendjeli. On chercherait à vider la ville de Zighoud-Youcef de toute sa substance socio-économique et administrative, de ses équipements qu'on ne s'y prendrait pas autrement», ont dit nos interlocuteurs. Et de terminer en signalant que les associations de la société civile ainsi que les citoyens qui ont initié cette manifestation n'ont cessé de faire des requêtes au wali, au ministre de l'Intérieur et à plusieurs autres secteurs. Mais leurs doléances n'ont obtenu aucun écho.
Reste à dire qu'aucun incident ne s'est produit durant cette manifestation qui s'est déroulée pacifiquement et qui se poursuivait encore au-delà de 14h, au moment où nous avons eu notre dernier contact avec les manifestants.
Nombreux étaient ces derniers qui n'ont pas voulu répondre aux appels des sirènes qui voulaient les conduire à couper la RN 3 qui passe par la ville. «Si une majorité des manifestants venait à l'emporter pour couper la RN 3 nous nous retirerions de la manifestation», nous ont-ils promis.
Projet de réhabilitation de VRD à Phœnix (Ain El Bia)
Retour à la case départ
Avec ou sans averse, la situation du quartier Es-Salem (ex-Phoenix) qui est un camp Sonatrach relevant de la commune d’Ain El Bia, est dans un état catastrophique, après l’arrêt du projet de réhabilitation des réseaux divers. Cette situation fait grincer des dents aux habitants qui ont été si heureux de voir enfin le démarrage des travaux de réhabilitation des réseaux d’assainissement et d’eau potable, ainsi que l’installation du réseau de gaz de ville après deux décennies d’attente.
Mais cette joie a vite viré au cauchemar, puisque les travaux se sont arrêtés après les mises en demeure adressées par la SEOR qui mène le projet, la suite est amère, avec un chantier entamé et aussitôt déserté, puisque aucune nouvelle entreprise n’a été désignée. L’état de cette commune dont les projets inscrits sont ,soit à l’arrêt à cause du manque de budget, soit refusés par la Sonatrach à cause du conflit du terrain qui oppose toujours la société pétrolière à la mairie.
Justement, la Sonatrach qui s’était engagée à débloquer une grande somme pour la réhabilitation du groupement de ces anciens camps, en l’occurrence Phoenix, Camp 7, 8 et 9, n’a pas honoré sa promesse, laissant ainsi les responsables locaux livrés à eux-mêmes. La situation est donc urgente et attend une vraie intervention de la part du wali d’Oran, pas seulement pour hai Es-Salem mais toute une commune qui souffre d’un programme PCD insuffisant pour achever le programme tracé, et vit toujours dans l’ombre de la sa voisine Béthioua. Avant ce projet tant attendu, le quartier n’avait pas subi la moindre opération de développement depuis sa réalisation en 1989, sous la houlette de la société étatique Sonatrach. Les habitants grincent des dents en voyant l’état de ce quartier et la qualité des travaux entrepris, qui reste selon eux, au deçà des espérances. Cet arrêt qui risque de perdurer n’arrange pas les choses, pire, il a rendu les lieux plus catastrophiques que jamais.
Jalil Mehnane
Constantine - Zighoud-Youcef: Colère des habitants contre l'ouverture du CET
par A. Mallem
Hier matin, les citoyens de la ville de Zighoud-Youcef ont manifesté en masse leur ras-le-bol
devant le siège de la daïra, exigeant la venue du wali en personne pour lui
exposer de vive voix leurs préoccupations et leurs revendications. Selon des
participants à la manifestation que nous avons réussi à joindre par téléphone
et d'autres qui nous ont contactés directement, ils étaient environ 2000 à se
diriger dès 8h du matin, banderoles au-dessus des têtes, vers le siège de la
daïra après avoir procédé à la fermeture de toutes les boutiques et les commerces
de la ville. Nous avons écouté longuement les manifestants nous expliquer les
raisons qui les ont poussés à sortir dans la rue. «Le dimanche dernier 15 mai,
ont-ils commencé, lorsque nous avons remis au wali la copie de la lettre
ouverte adressée à M. le Président de la République ; nous avions convenu d'un
délai de 48h pour avoir une réponse de sa part, surtout quant à la question du
centre d'enfouissement technique (CET) de Doghra.
Malheureusement, en guise de réponse, nous avons constaté hier que ce centre
avait commencé à fonctionner en recevant les deux premiers camions qui ont
déchargé les déchets provenant des agglomérations avoisinantes. C'est pourquoi
nous avons convenu de sortir dans la rue pour protester en campant devant la
daïra et en exigeant la venue du wali pour lui demander des explications.»
Les manifestants brandissaient des banderoles contenant leurs nombreuses revendications de nature socio-économique et administrative et, surtout, les banderoles clamant leur rejet du CET situé à la sortie nord de la ville, en direction de Skikda. Nos correspondants au téléphone nous ont expliqué clairement que le facteur déclenchant de cette manifestations qui se présente comme un véritable bras de fer qui vient d'être engagé entre les citoyens de cette daira et les autorités de la wilaya, est le fait de voir le CET ouvrir en recevant les deux premiers camions qui ont déchargé leurs cargaisons de déchets. Les suivants n'ont pu le faire parce que les citoyens, en colère, les en ont empêché. «En dépit des avis contraires des experts et des citoyens, des réserves émises par la commission dépêchée par la direction de l'environnement, le wali a tenu à l'ouverture de ce CET à Doghra, un endroit constituant le couloir par lequel les citoyens de Zighoud-Youcef respirent l'air pur provenant de la mer. Maintenant, à plus de deux kilomètres de distance, nous sentons l'odeur des déchets ménagers. Que devons-nous comprendre de cette attitude des autorités ? De l'attitude du wali qui préfère utiliser la méthode autoritaire au dialogue avec les habitants qui sont les premiers concernés ?», se sont demandé les manifestants. Au sujet des autres revendications, les manifestants ont brandi des banderoles sur lesquelles il y était écrit : «Nous voulons du développement et non une déchetterie». «Zighoud-Youcef : une commune marginalisée, oubliée», dit une autre. Et une troisième clame : «Non au transfert de l'administration». Et nos interlocuteurs d'expliquer ces slogans en disant : «La recette des contributions diverses et l'agence Cnep de Zighoud-Youcef viennent d'être délocalisées dans les villes de Didouche-Mourad et Hamma Bouziane. Et prochainement, l'antenne de l'OPGI, la BADR et l'agence de la CNAS vont suivre. Et le vide aura été fait dans notre chef-lieu de daira. Ce qui fait qu'à l'avenir, pour se procurer un timbre fiscal, le citoyen de notre ville devra se déplacer jusqu'à Didouche-Mourad. Et ce qui est plus grave, ajoutent les manifestants, nous avons appris que le programme des 900 logements sociaux dont a bénéficié la ville, va être réduit à 500 unités, le reste ayant été réorienté vers la nouvelle ville Ali-Mendjeli. On chercherait à vider la ville de Zighoud-Youcef de toute sa substance socio-économique et administrative, de ses équipements qu'on ne s'y prendrait pas autrement», ont dit nos interlocuteurs. Et de terminer en signalant que les associations de la société civile ainsi que les citoyens qui ont initié cette manifestation n'ont cessé de faire des requêtes au wali, au ministre de l'Intérieur et à plusieurs autres secteurs. Mais leurs doléances n'ont obtenu aucun écho.
Reste à dire qu'aucun incident ne s'est produit durant cette manifestation qui s'est déroulée pacifiquement et qui se poursuivait encore au-delà de 14h, au moment où nous avons eu notre dernier contact avec les manifestants.
Nombreux étaient ces derniers qui n'ont pas voulu répondre aux appels des sirènes qui voulaient les conduire à couper la RN 3 qui passe par la ville. «Si une majorité des manifestants venait à l'emporter pour couper la RN 3 nous nous retirerions de la manifestation», nous ont-ils promis.
فضيحة في ميناء العاصمة بسبب الإهمال
الحماية المدنية تحطّم جدارا كاملا وتفتح مصعدا معطّلا لإنقاذ أم وابنها من الموت
الأربعاء 18 ماي 2016
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نجت امرأة وابنها من الموت بأعجوبة في ميناء الجزائر العاصمة، بعدما توقف مصعد كانا بداخله ولا توجد به التهوية.
وقال موظف بمديرية الميناء، إنّ سيدة وابنها الصغير كانا على متن المصعد، ثم توقف المصعد بسبب عطل تقني، غير أنّ باب المصعد لم يفتح، ولم يتمكن عناصر الحماية المدينة من إنقاذ الأم ونجلها إلا بعد تحطيم جزء من الجدار الذي يوجد به المصعد، والسبب هو أن المصعد لا يوجد به مخرج النجاة، وهو فتحة تقع في أعلى المصعد يتم فتحها في حالة الطوارئ لإنقاذ الركاب الذين يتوقف بهم المصعد.
وقال مصدر طبي يعمل في الميناء، إنّ الابن أغمي عليه وأصيب بأزمة تنفس لانعدام الهواء، وأن الأم كادت تموت، لولا التدخل الفعّال والصعب للحماية المدنية التي استعملت إمكانات كبيرة وحطمت الجدار وأنقذت الأم وابنها.
وتمّ إنقاذ الابن بعد تدخل قبطان الباخرة الذي قام بإسعاف الطفل رفقة طبيب الباخرة، وهذا في غياب طبيب المناوبة في الميناء.
وحسب معلومات "الحياة"، شرعت مصالح الأمن بإجراء تحقيق أمني موسع في القضية لتحديد المسؤوليات، كما تمّ إخطار وزير النقل بوجمعة طلعي بالقضية، والذي أمر بإجراء تحقيق إداري موازي ومعاقبة المتسببين في هذا الحادث والمسؤولين عن عدم إنقاذ الأم وابنها بسرعة وعدم احترام إجراءات السلامة في الميناء
وقال موظف بمديرية الميناء، إنّ سيدة وابنها الصغير كانا على متن المصعد، ثم توقف المصعد بسبب عطل تقني، غير أنّ باب المصعد لم يفتح، ولم يتمكن عناصر الحماية المدينة من إنقاذ الأم ونجلها إلا بعد تحطيم جزء من الجدار الذي يوجد به المصعد، والسبب هو أن المصعد لا يوجد به مخرج النجاة، وهو فتحة تقع في أعلى المصعد يتم فتحها في حالة الطوارئ لإنقاذ الركاب الذين يتوقف بهم المصعد.
وقال مصدر طبي يعمل في الميناء، إنّ الابن أغمي عليه وأصيب بأزمة تنفس لانعدام الهواء، وأن الأم كادت تموت، لولا التدخل الفعّال والصعب للحماية المدنية التي استعملت إمكانات كبيرة وحطمت الجدار وأنقذت الأم وابنها.
وتمّ إنقاذ الابن بعد تدخل قبطان الباخرة الذي قام بإسعاف الطفل رفقة طبيب الباخرة، وهذا في غياب طبيب المناوبة في الميناء.
وحسب معلومات "الحياة"، شرعت مصالح الأمن بإجراء تحقيق أمني موسع في القضية لتحديد المسؤوليات، كما تمّ إخطار وزير النقل بوجمعة طلعي بالقضية، والذي أمر بإجراء تحقيق إداري موازي ومعاقبة المتسببين في هذا الحادث والمسؤولين عن عدم إنقاذ الأم وابنها بسرعة وعدم احترام إجراءات السلامة في الميناء
توقّف بث برنامج"ّ "الحلقة المفقودة " لمحمّد يعقوبي على قناة " كا بي سي"
الثلاثاء 17 ماي 2016
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أعلن الصحافي محمّد يعقوبي، عن توقّف بث برنامجه "الحلقة المفقودة" على قناة "كا بي سي"، لكنه لم يعلن عن أسباب توقيف البث.
ووجّه يعقوبي الشكر والاممتنان لمسؤولي القناة ولكل الشركة المنتجة لبرنامجه، لكن لم يكشف أي معلومات عن مصير برنامجه، وهو أحد البرامج الناجحة في القنوات التلفزيونية الجزائرية الخاصة.
وكان يعقوبي ينتج ويقدم برنامج "الحلقة المفقودة" على قناة "الشروق تي في"، قبل أن يستقيل من القناة، ثم اتفق مع شركة إنتاج خاصة على إنتاج البرنامج وبثّه على قناة "كا بي سي" التي تملكها شركة "الخبر".
ولا يعرف إن كان قرار يعقوبي سببه تحوّل ملكية القناة لرجل الأعمال إسعد ربراب أم لا، وهل سيحوّل البرنامج لقناة خاصة أخرى أم لا.
الثلاثاء 17 ماي 2016
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ووجّه يعقوبي الشكر والاممتنان لمسؤولي القناة ولكل الشركة المنتجة لبرنامجه، لكن لم يكشف أي معلومات عن مصير برنامجه، وهو أحد البرامج الناجحة في القنوات التلفزيونية الجزائرية الخاصة.
وكان يعقوبي ينتج ويقدم برنامج "الحلقة المفقودة" على قناة "الشروق تي في"، قبل أن يستقيل من القناة، ثم اتفق مع شركة إنتاج خاصة على إنتاج البرنامج وبثّه على قناة "كا بي سي" التي تملكها شركة "الخبر".
ولا يعرف إن كان قرار يعقوبي سببه تحوّل ملكية القناة لرجل الأعمال إسعد ربراب أم لا، وهل سيحوّل البرنامج لقناة خاصة أخرى أم لا.
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