الجمعة، يوليو 15

الاخبار العاجلة لسقوط ابناء شخصيات سياسية جزائرية في مجزرة نيس الفرنسية وعائلات جزائرية تنتظر جثامين السياح الجزائريين في المطارات الجزائرية ويدكر ان سيدة من قسنطينة دهبت ضحية اعتداء نيس الجنوني والاسباب مجهولة

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ALERTE/ Attentat de Nice: 3 algériens décédés



Des sources médicales françaises ont annoncé ce vendredi (15 juillet) le décès de trois ressortissants algériens suite à l’attentatterroriste d’hier à Nice. Il s’agit d’une dame de 65 ans répondant au nom de Zahia Rahmouni, née Serkousse originaire de la wilaya de Constantine ainsi que deux enfants. Malheureusement, ce bilan pourrait ne pas être définitif. Pour rappel, les autorités niçoises ont indiqué que de nombreuses victimes de l’attentat étaient de nationalité étrangère.


http://www.algerie1.com/actualite/une-dame-et-deux-enfants-algeriens-parmi-les-victimes-du-camion-fou-de-nice/

Une dame et deux enfants algériens parmi les victimes du camion fou de Nice




Une dame et deux enfants algériens sont malheureusement parmi les victimes de du camion fou qui a foncé dans la foule sur deux km avant que le chauffeur, un tunisien, ne soit abattu par les forces de l’ordre jeudi soir à Nice après le feu d’artifice.
C’est une source au ministère des Affaires étrangères qui s’est confiée à Ennahar TV qui a rapporté l’information dans son dernier JT .
La dame tuée par le chauffeur criminel s’appelle Rahmouni Zahia, âgée de 65 ans et originaire de Constantine (photo). Elle était à Nice pour des soins médicaux. Quant à l’identité des deux enfants aucune information n’a été donnée par la même source.
Pas de victimes selon l’ambassade d’Algérie
L’ambassade d’Algérie en France, quant à elle indique qu’ « il n’y a pas de victimes algériennes signalées pour le moment, mais les recherches se poursuivent pour déterminer l’existence ou pas d’Algériens parmi les victimes de l’attentat de jeudi de Nice », dans une information rapportée par l’APS.
« Une cellule de crise a été mise en place à l’ambassade d’Algérie en France qui travaille avec notre consulat de Nice et le Centre de veille et de gestion de crise au niveau du ministère des Affaires étrangères à Alger », a indiqué la source de l’ambassade, soulignant que « les recherches se poursuivent » pour déterminer l’existence ou pas de ressortissants algériens parmi les victimes de l’attentat.

A1-victime-algerienne





ATTENTAT DE NICE

Une Algérienne parmi les victimes

15:26  vendredi 15 juillet 2016 | Par Zineb Hamdi | Actualité 
La ressortissante algérienne a été retrouvée gisant à même le sol après le carnage perpétré par un Tunisien de 31 ans. (Source : l'Express.fr)
LA RESSORTISSANTE ALGÉRIENNE A ÉTÉ RETROUVÉE GISANT À MÊME LE SOL APRÈS LE CARNAGE PERPÉTRÉ PAR UN TUNISIEN DE 31 ANS. (SOURCE : L'EXPRESS.FR)
Elle s’appelle Zahia Rahmouni, née Serkousse. Elle avait 65 ans et habitait à la cité Ziadia, à Constantine. Elle figure parmi les victimes de l’attentat de la ville touristique de Nice, a-t-on appris auprès de sa famille. La victime, qui a perdu la vie sur les lieux du carnage, était accompagnée de sa fille et son neveu, présents dans la foule pour assister aux feux d’artifices célébrant la fête nationale du 14 juillet. La ressortissante algérienne a été retrouvée gisant à même le sol après le carnage perpétré par un Tunisien de 31 ans.
« C’est par miracle que sa fille et son neveu ont eu la vie sauve », confie un proche de la famille. « Le petit a échappé à la vigilance de sa mère qui a couru pour le rattraper. C’était au moment où l’assassin écrasait la victime avec plusieurs autres ».
La famille de la défunte se prépare actuellement pour se rendre en France afin de rapatrier le corps de la maman, partie chez sa fille. Son fils Mehdi n’a pas pu prononcer un mot malgré notre insistance.





Jordan il etait au feu d'artifice 17ans il est grand 1"80 musclé tenue survetement nike noir

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Camille Murris, 26 ans, brune, environ 1m60. Elle était sur la promenade des Anglais lors de l'attentat. RT SVP




INFOGRAPHIE] 14-Juillet à Nice. Chronologie d'une nuit tragique


Un homme armé au volant d'un poids lourd a foncé sur la foule, jeudi soir à la fin du feu d'artifice sur la promenade des Anglais. Chronologie d'une nuit tragique.

NICE - UN CAMION FONC (18645844)








600 plaques publicitaires illicites à Ali Mendjeli

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le 30.06.16 | 10h00 Réagissez

Le chef de daïra d’El Khroub a déclaré, mardi dernier, lors du conseil de wilaya, que 600 plaques publicitaires illicites ont été recensées à Ali Mendjeli. Ces plaques, ne répondant à aucune norme, sont installées anarchiquement sur les lieux publics. «Sur un seul boulevard, nous avons enregistré 80 plaques et affiches installées pêle-mêle. Avec les services de la sûreté de wilaya nous allons d’abord supprimer ces panneaux, pour réglementer leur installation, car cela pourra assurer des recettes importantes pour la commune d’El Khroub, dont les services se plaignent des charges de gestion de la ville Ali Mendjeli. Avec cette argent ils peuvent faire beaucoup de choses», a-t-il précisé.
Pour sa part, le wali de Constantine, Hocine Ouadah, a instruit le chef de daïra de se réunir avec le maire et déterminer des tarifs pour l’installation de ces panneaux, et même consulter, si cela nécessite, des boîtes de communication spécialisées. 
Yousra Salem

Constructions illicites à Constantine

Quand un élu bafoue la loi

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le 28.06.16 | 10h00 Réagissez

L’APC de Constantine n’a cessé de faire preuve de son incapacité à gérer les affaires de la commune, à travers certains comportements irresponsables et inadmissibles dans l’application des lois, particulièrement en ce qui concerne les constructions illicites au sein de la ville.

Des habitants parmi ceux qui ont bâtit des villas anarchiques, mais qui n’ont pas «d’appui» ou de «connaissances» à l’Hôtel de Ville ont fait l’objet de mesures strictes ou de poursuites judiciaires par les services de la commune.
Mais quand ce sont des élus censés faire appliquer la loi qui sont pris la main dans le sac avec la complicité des services communaux, cela s’appelle de l’abus de pouvoir. C’est le cas de Djamel Daba, vice-président de l’APC de Constantine chargé de l’environnement, qui a construit, il y a quelques années, une villa à la cité Sissaoui, sans l’obtention du permis de construire. Malgré cela, il a pu raccorder sa bâtisse aux réseaux de gaz, d’électricité et d’eau.
De nombreuses questions se posent : qui est responsable de cette situation ? que fait le délégué du secteur urbain dont dépend la cité Sissaoui ? Pourquoi a-t-on autorisé de tels dépassements? Comment un élu se permet de bafouer la loi sans être inquiété? Le plus grave dans tout cela est que les services de la commune ont mobilisé la force publique, rien que pour démolir une clôture du voisin du vice-président de l’APC, parce que ce pauvre voisin n’avait pas un permis de construction d’une clôture. Mais à quelques mètres seulement de là, personne n’a osé toucher à la villa du vice-président.
Le chef de daïra confirme l’information
Contacté au sujet de cette affaire, le chef de la daïra de Constantine, Mohamed Taleb, a confirmé que cet élu a construit une maison illicite à Sissaoui. «J’ai mené ma propre enquête et j’ai confirmé que cette information est vraie. La démolition devrait avoir lieu et c’est le maire qui doit agir. Il doit assumer ses responsabilités et prendre des mesures contre cet élu d’abord en tant que citoyen et puis en tant qu’élu», a-t-il expliqué.
Contacté à son tour pour avoir plus de détails et les mesures qu’il compte prendre en tant que premier responsable de la commune, Mohamed Rira a réagi d’une manière pour le moins surprenante. «Je ne sais pas, je ne suis pas au courant. Vous menez vos enquêtes et vous confirmez vous-même les informations, c’est terminé. Ce monsieur a construit illicitement quand je n’étais pas maire, et personne ne peut me juger, ni vous ni personne d’autre», a-t-il déclaré sèchement. No comment !

Yousra Salem

Aménagement d’un parc urbain à Bardo (Constantine)

Un projet qui suscite des remous

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le 26.06.16 | 10h00 Réagissez
 
 Les Constantinois ont beau rêver face à ce « tableau inachevé »
Les Constantinois ont beau rêver face à ce « tableau...

Les déclarations des différents responsables constantinois, faites avant le début du mois de Ramadhan, concernant l’ouverture du parc citadin de Bardo demeurent toujours aléatoires.

Pourtant, la directrice de l’environnement de la wilaya de Constantine, Abla Benhassne-Sellal, maître d’ouvrage, avait bel et bien déclaré à l’APS que «ce parc sera ouvert durant le mois de Ramadhan». Hélas, le mois du jeûne touche à sa fin et le projet lui-même est au point mort.  Implanté en plein centre-ville de Constantine, sous le pont Sidi Rached, sur une superficie de 65 hectares, le site devrait être composé de trois zones intégrées, dont une partie était prévue pour être livrée durant le mois de juin. L’étude a été confiée à un groupement algéro-italien, et une enveloppe de plus de 200 milliards de centimes a été débloquée pour la réalisation de ce «grand projet».
A ce jour, et depuis des années, le projet, dont le but était la valorisation de l’image et du tissu urbain de la ville,  n’a pas été livré. A rappeler que l’on a attribué une grande importance à ce parc, dont le projet a été approuvé par le conseil du gouvernement, il y a environ deux ans. Il ne devrait pas être uniquement un quelconque jardin. Il était censé être un pôle écologique et culturel pour la population de Constantine qui est à la recherche d’un havre de verdure, au moment où les espaces publics sont complètement délaissés.
«Au rythme où vont les choses, et avec la manière dont le projet est mené, ce parc ne sera jamais opérationnel, car tout simplement il s’agit de gestion, rien de plus», a confirmé une source du même secteur qui a requis l’anonymat. La même source révèle que les problèmes qui affectent encore le bon déroulement du projet sont à chercher au niveau de la direction de l’environnement. «La désignation des entreprises chargées de la réalisation n’est pas claire. Chaque fois on trouve de nouvelles personnes affiliées à une nouvelle entreprise désignée. Rien n’est clair, ni dans les procédures, ni chez les personnes qui travaillent. Nous avons relevé plusieurs problèmes dans les paiements», a expliqué notre source, qui affiche son pessimisme, tout en affirmant que l’étude n’avait pas été bien élaborée dès le début.
Selon elle, avant d’entamer un tel projet, il fallait prendre en considération plusieurs facteurs environnementaux, financiers, avec une évaluation de la capacité des gérants. «Pourtant, avec un budget raisonnable et des plantes locales, telles les frênes et les melias, on peut faire des merveilles en un temps court», précise un expert que nous avons consulté. Quelles sont donc les raisons qui poussent à dépenser une telle somme pour qu’un projet demeure fermé ? Y a-t-il un enjeu financier dans cette opération ? Ou alors s’agit-il de mauvais choix des personnes gérantes ?
Le même sort pour le parc de Zouaghi
Le parc citadin de Zouaghi, situé face à la cité des Eucalyptus dans la ville de Constantine semble subir lui aussi le même sort. Il n’a connu à ce jour aucun avancement des travaux. Rappelons que le projet de ce parc qui s’étale sur une surface initiale de 32 ha, a été inscrit en 2008. Une étude a été réalisée et achevée en avril 2011 avec un montant de 3 510 000 DA. Les travaux devaient être lancés en mars 2013, avec une autorisation de programme de 40 milliards de centimes.
Environ 38 milliards de centimes ont été octroyés pour les travaux de VRD, l’aménagement extérieur, le siège administratif et les équipements, alors que deux milliards de centimes ont été alloués pour l’aménagement des espaces verts. Le taux des travaux d’aménagement, des caniveaux et autres est de 30%, et le taux de l’aménagement des espaces verts est de 23 %. Sur place même ces chiffres ne reflètent pas la réalité. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas à la direction de l’environnement de la wilaya de Constantine.

Yousra S.

Constantine

Une famille en colère ferme la route

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le 02.07.16 | 10h00 Réagissez

Une dizaine d’hommes, d’une même famille, ont fermé la route, jeudi matin devant leur domicile, situé à proximité du siège de la direction des équipements publics à la cité Kouhil Lakhdar.

Les protestataires, qui ont gêné la circulation durant plus d’une heure, avec des pneus brulés et des troncs d’arbres, se sont élevés contre la décision de la direction des travaux publics de Constantine (DTP) de démolir leur bâtisse dans le but de réaliser une déviation dans le cadre des extensions du pont Salah Bey. «Les services de la DTP ont voulu démolir, il y a deux ans, notre maison pour réaliser une route. Mais nous avons pu leur faire changer d’avis. Aujourd’hui et quand le projet est presque achevé, on nous a surpris par la décision de démolition, sans nous avertir», a expliqué l’un des protestataires.
Ce dernier a ajouté que la situation est plus compliquée, car il ne s’agit pas seulement d’une maison, mais aussi d’une salle des fêtes, qui est leur gagne-pain. À ce propos, le DTP de Constantine, Salim Zahnit, nous a affirmé que cette famille a été indemnisée en 2014, pour que cette bâtisse soit démolie. «La déviation à réaliser servira d’accès pour les gens venant de Boussouf et leur permet d’aborder le giratoire à proximité du siège de la banque CPA, d’y aller vers l’avenue Aouati Moustafa ou bien vers la maison de la culture Malek Hadda», a-t-il expliqué. «Ce projet qui rend la circulation plus fluide, est une extension aussi du pont Salah Bey», ajoute-t-il. «La décision n’a pas été appliquée en 2014, car les axes du viaduc n’étaient pas opérationnels. Maintenant les ouvrages du projet servant d’accès à Boussouf touchent à leur fin, donc il est nécessaire de trouver un accès pour les gens venant de Boussouf», indique le même responsable.
«Ce bien n’appartient plus à cette  famille, la DTP a exproprié la bâtisse et le versement de leur indemnisation pour expropriation a eu lieu en 2014. En plus je n’ai aucun document qui prouve l’annulation de cette décision. Pour moi, ils sont dans l’illégalité et ils étaient avertis il y a bien longtemps», a-t-il dit. 
Yousra Salem



Climat d’insécurité à Sidi Mabrouk Supérieur Une bijouterie dévalisée en plein jour

Une bijouterie dévalisée en plein jour

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le 10.07.16 | 10h00 Réagissez

L’insécurité qui règne depuis quelques années à Sidi Mabrouk supérieur est devenue l’une des principales sources de préoccupation des habitants.

Il ne se passe pas un jour, en effet, sans qu’un cas d’agression sur les biens ou les personnes soit signalé dans ce quartier commerçant très fréquenté de la ville, à tel point que ce genre de délit a tendance à se banaliser. La dernière agression en date a été particulièrement violente. Elle s’est produite la veille de l’aïd (mardi dernier) lorsque deux individus encagoulés ont pénétré, vers dix heures du matin, dans une bijouterie de la rue Horchi Slimane. Après avoir agressé le propriétaire des lieux avec une barre de fer, rapportent des témoins de la scène, lui causant des blessures graves à la tête, les deux voyous se sont emparés du contenu de la vitrine où étaient exposée une quantité importante de bijoux en or et en argent avant de s’enfuir à bord d’un véhicule de type Renault, où les attendaient un complice qui leur servait probablement de chauffeur. D’autres agressions ont été signalées le même jour dans ce quartier.
Deux jeunes femmes ont été délestées de leurs objets de valeur par deux voyous, sous la menace d’armes blanches, du côté de  la cité Ezzouhour. Une femme enceinte a été également agressée et son sac à main dérobé alors qu’elle se trouvait en stationnement à bord de son véhicule à proximité de la maternité, et une autre jeune femme s’est faite agresser à proximité du lycée Zighoud Youcef. Nous apprenons de sources policières que les auteurs de ces dernières agressions ont été identifiés et sont actuellement recherchés par la police. Pour ce qui est des assaillants du bijoutier de la rue Horchi Slimane, la même source indique que l’enquête est en cours pour identifier les agresseurs n’a toujours pas abouti.
F. Raoui

Piscine olympique du complexe Hamlaoui (Constantine)

Ouverte sans être officiellement réceptionnée

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le 11.07.16 | 10h00 Réagissez

C’est la confusion autour d’un projet qui a connu des malfaçons et des réserves, avec au final une décision d’exploitation alors que l’infrastructure n’a pas encore subi les essais techniques. 

Il est très difficile pour nos responsables locaux d’admettre l’échec et de reconnaître leurs erreurs, s’agissant surtout  des malfaçons enregistrées dans différentes réalisations d’utilité publique. C’est la contradiction entre les dires des spécialistes et ceux des responsables.  Le cas de la piscine olympique du complexe Hamlaoui (ex-17 juin) de la ville de Constantine est particulièrement édifiant.
Cette structure, dont le maître d’ouvrage est la direction de l’urbanisme et de la construction (DUC), est ouverte pour la population depuis samedi, selon un communiqué de la direction de la jeunesse et des sports (DJS). Cette ouverture a été décidée par le wali Hocine Ouadah, qui n’a pas manqué de faire des pressions sur le DJS, Ali Bouchoua, lors d’un des conseils de wilaya. «Vous vous êtes noyés dans un vers d’eau. Il faut ouvrir cette piscine et qu’elle soit opérationnelle», avait instruit le wali, sans vouloir comprendre les risques et les conséquences d’un travail bâclé repris deux fois.
Pourtant M. Bouchoua, avait affirmé à El Watan que cette piscine achevée à 100%, devra être soumise à une période d’essai de 3 à 4 mois, avant d’être ouverte au public. Certes les Constantinois avaient tellement attendu ce projet, faute d’infrastructures de loisirs et de détente, mais l’ouverture ne doit pas sacrifier le respect des normes. Mais le constat est là: la piscine n’a été ouverte que pour satisfaire aux instructions du wali. En outre, nous avons appris auprès des services de la DJS que la piscine sera opérationnelle quotidiennement de 8h à 20h, avec des créneaux spéciaux pour femmes et enfants.
Pour l’histoire, ce projet qui a bénéficié d’un budget de 630 millions de dinars, a été repris deux fois pour non-conformité, après deux inaugurations, par le wali Hocine Ouadah et le Premier ministre Abdelmalek Sellal. «L’étude du projet en lui-même et les matériaux utilisés ne répondaient pas aux normes de réalisation d’une piscine», avait expliqué à l’époque l’ex-DJS, Djamel Yahiouche.
Pour sa part le chef de service de l’éducation physique et sportive à la DJS Abdelhamid Houam a déclaré à El Watan que cette ouverture n’a eu lieu qu’après l’obtention de l’avis favorable des services d’hygiène et celui de la Protection civile. «La période d’essai est destinée pour la révision de la température et des fonctionnements techniques qui ne présentent aucun danger.
Le plus important c’est la propreté de l’eau et la sécurité des citoyens et tout cela a été pris en considération», a-t-il affirmé. Il est utile de rappeler que lors de l’une des sessions de l’APW de l’année écoulée, le projet de cette piscine avait fait l’objet d’un débat houleux, qui a duré presque 2 heures, entre le wali et les élus.
Ces derniers ont réclamé l’envoi d’une commission d’enquête pour suivre le déroulement des travaux, afin de dévoiler les causes du retard et toutes les malfaçons enregistrées. Mais le wali, Hocine Ouadah s’y était opposé. Il avait même accusé les élus de vouloir causer des problèmes à l’ancien DUC (Mehdi Habib) et aux entrepreneurs. Il a tout fait pour que cette commission ne voie pas le jour.                                     
Yousra S.

Ali Boumegoura. Artiste pluriel

Quand les mots rencontrent les images

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le 11.07.16 | 10h00 Réagissez

Linguiste, peintre et poète, telles sont les vocations ou vies parallèles de Ali Boumegoura. Suivons son parcours. Entre 1976 et 1980, il était étudiant à l’université de Constantine, préparant une licence en anglais.

 Cela ne l’a pas empêché de titiller la muse, puisqu’il avait la fibre d’un poète. Avec son ami Kenzy Dib, un autre poète, il a participé à des récitals au sein de l’université. Un autre don sommeillait en lui, celui de peindre. Il l’avait déjà exprimé quand il était au collège. Ce qui lui importait tout de suite, c’était de poursuivre ses études. Il avait rejoint l’université d’Essex en Angleterre grâce à une bourse d’études à l’étranger. C’est là pour lui l’occasion rêvée de parfaire et d’approfondir ses connaissances dans la langue de Shakespeare. Il ira même jusqu’à étudier les littératures universelles et la critique.
Le voilà qui rejoint la Sorbonne nouvelle, Paris III, pour préparer un DEA (diplôme d’études approfondies). En somme des études anglaises et nord-américaines de littérature contemporaine. De même, cela l’amènera à faire de la traduction et de la stylistique comparée du français et de l’anglais, ce qui lui ouvre les portes des langues et des sciences du langage. Il parvient de suite à saisir la corrélation qui existe entre le langage verbal et le langage pictural. «La sonorité des mots et la sémantique rejoignent ce qui est propre à l’art pictural, les formes et les couleurs», nous apprend-il. Et d’ajouter en citant Jacques Derrida : «La peinture comme langage devient texte, et ce, à travers un enchevêtrement de traces, et aussi de sujets à décrypter ou déchiffrer, c’est selon le sens, la sémantique, la signifiance».
Ali Boumegoura a donné corps à ses différentes interprétations, lui qui a compris les deux langages, celui des mots et celui des formes et des couleurs, en l’occurrence l’art pictural. Pendant son long cursus universitaire, il a fréquenté assidûment les musées, les galeries d’art à Londres et à Paris, passant de savoureux moments faits d’échanges et de questionnements avec les peintres qui hantent la fameuse place du Tertre à Paris. Ali nous confie que là où il passe, il laisse comme souvenirs des tableaux de sa peinture.
Nombre de ses œuvres sont soigneusement entretenues chez des particuliers. Parmi tous les tableaux qu’il a réalisés, il nous cite avec un brin de nostalgie celui pour lequel il a le plus d’attachement. C’est le tableau portant le titre «Les amandiers en fleurs», qu’il considère comme unique dans tout ce qu’il a réalisé comme peinture. «Pourquoi justement ce tableau ne ressemble à aucun autre ? Eh bien tout simplement parce qu’il représente la nature sous son radieux jour en hiver.
Oui, il n’y que les amandiers qui fleurissent en février, alors qu’on est encore en période hivernale. Par l’éclosion de leurs fleurs, les amandiers annoncent peut-être l’arrivée prochaine du printemps», nous révèle-t-il,  En parallèle, Ali sera pendant de longues années enseignant de langue anglaise à l’université Larbi Ben M’hidi d’Oum El Bouaghi. Actuellement, il a opté pour une école privée où il enseigne à la fois l’anglais, le français et l’espagnol. Comme artiste-peintre, il a pris part à de nombreuses expositions en Algérie et en Tunisie, où il a obtenu de nombreuses distinctions. N’omettons pas de signaler qu’il réalisé des peintures pour des infrastructures de la wilaya d’Oum El Bouaghi, «signe qu’il signe sa présence», pour paraphraser Jacques Prévert.                                                     
Baâziz Lazhar




Réalisation d’un silo à grains à El Khroub

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le 14.07.16 | 10h00 Réagissez

La cadence des travaux du projet de réalisation d’un silo en béton armé et ses annexes dans la commune d’El Khroub est très satisfaisante (55%). C’est ce qui a été avancé par l’un des responsables de l’entreprise chargée de la réalisation, lundi dernier, lors de la visite dans la wilaya de Constantine du ministre de l’Agriculture, Abdeslam Chelghoum.
La réalisation des infrastructures de ce projet, dont le maître de l’ouvrage est l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), a été lancée en octobre 2014 et le permis de construire n’a été obtenu qu’en mars 2015. Une enveloppe de plus de 2,4 milliards de dinars a été octroyée pour ce projet.
Le délai prévisionnel de réception provisoire du silo et de ses annexes, selon le même responsable, a été fixé pour mars 2017. Notons que cet ensemble de réservoirs d’une capacité de 50 000 tonnes, destiné au stockage du blé dur, blé tendre et de l’orge, compte trois infrastructures pilotes, à savoir une cellule de stockage, une tour de travail et un hall de réception,
ainsi que d’autres ouvrages annexes.
Yousra Salem

Rencontre sur la terminologie légale

Corriger les erreurs dans le traitement des affaires

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le 14.07.16 | 10h00 Réagissez

La salle de conférences du siège du service des équipements et des finances (Ex-Comamo) de la sûreté de wilaya a abrité, hier, une rencontre régionale sur «La terminologie légale et les médias».

Le thème principal développé au cours de cette rencontre, animée par des officiers de police, a eu trait à l’utilisation de la terminologie légale en matière de traitement des affaires de police judiciaire, sécurité publique et police administrative.
Les différents intervenants ont été unanimes à relever que des erreurs de terminologie dans la qualification des crimes, délits et infractions interviennent très souvent dans le traitement de l’information, souvent par méconnaissance des journalistes de la bonne terminologie, particulièrement ceux de la presse arabophone. «L’utilisation de la bonne terminologie est indispensable pour transmettre l’information au public de la manière la plus objective», dira Mohamed Boubekri, commissaire principal et chef du service de la police judiciaire de la sûreté de wilaya d’Annaba.
Zeghib Lebib, commissaire divisionnaire à la sûreté de wilaya de Constantine s’est penché pour sa part sur les dangers de la désinformation et de la manipulation des médias, avant de citer les fautes les plus courantes de terminologie commises par les journalistes de la presse écrite arabophone pour ce qui concerne la sécurité publique. Des erreurs dont l’impact n’est pas très préjudiciable dans le traitement de l’information, puisqu’il ne s’agit généralement que de qualifications erronées d’infractions.
F. Raoui





Session de l’APW : Des élus exigent la transparence dans la gestion des projets

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le 14.07.16 | 10h00 Réagissez

Des élus de l’APW de Constantine ont estimé que le budget de la wilaya octroyé à plusieurs projets est mal orienté, relevant une mauvaise gestion dans la réalisation de certains projets d’utilité publique.

C’est suite à la présentation, hier, lors de la session de l’APW, du rapport du budget annuel et des enveloppes allouées aux équipements, que trois élus issus du FFS, du PT et du RND ont exprimé leur désapprobation, en rappelant l’état désastreux dans lequel se trouvent les projets dont a bénéficié la wilaya de Constantine, où l’on compte, selon eux, plusieurs projets qui n’ont pas vu le jour, alors que 23 opérations ont été simplement annulées.
Selon les intervenants, qui réclament des rapports beaucoup plus détaillés sur les activités des secteurs de la jeunesse et des sports, la culture et les affaires religieuses, ces projets perdus sont un véritable gâchis pour la wilaya. «J’ai été étonnée en lisant ce rapport qui manque de beaucoup de détails sur le transfert et l’utilisation de l’argent, ainsi que des précisions sur les projets. En plus quand j’ai lu qu’il y a un excédent de 6 milliards de dinars dans le secteur de la jeunesse et des sports, au moment où les jeunes manquent de lieux de détente et de divertissement, j’ai été complètement déçue. Ceci sans parler des autres secteurs. Nous parlons de grands projets, alors que les préoccupations de base des citoyens sont négligées», a souligné l’élue du FFS, Souad Sassi.
Pour sa part, Hichem Chelghoum, élu du Parti des travailleurs (PT), a exigé plus de détails et de précisions sur les différents projets et la destination des budgets. Il a affirmé que tout devrait se faire d’une manière plus claire afin de pouvoir débattre le budget et apporter des propositions pour améliorer les conditions de vie des habitants de la wilaya.
Au fil des années, les sessions de l’APW semblent se répéter, avec les mêmes rapports qui reviennent, et les mêmes chiffres qu’on rabâche sans réels objectifs, alors que la stagnation continue de ronger les projets vitaux. Il faut signaler que cette session a été marqué par le peu d’intérêt au débat manifesté par des élus et des directeurs qui se sont mis à «danser» dès le départ précipité du wali.
Yousra Salem

قسنطينة في الصباح كنعانية وفي المساء عدنانية

 العربي زوايمية
الأربعاء 13 جويلية 2016 309 0
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عندما يهرع الجاهلون ومناضلو الكتيبات الصفراء إلى التاريخ، تسقط الجامعة ومعها تسقط الابيغرافيا وعلم الآثار والأنتروبولوجيا والديموغرافيا والكارطوغرافيا والطوبونيميا. هذا الانهيار يجعل كلمة سيرتا تبيض قيرطا ويصبح سكان ميلة من القحطانيين ويصير السلوڤي أو كلب الاصطياد يمني الأصل.. هههه! لم نصطد طيلة حياتنا حتى وصل كلب السلوڤي من حضرموت، مع أن الكلب ظهر منذ 28000 سنة في صحراء النيجر بالقرب من تمنراست. لكن المضحك هو ما أشرنا إليه سابقا أي مدينة قسنطينة والتي حاول سفراء البعث ربطها بكلمة قيرطة الموجودة في العربية القديمة ومعناها قرية رغم أن هذا التعليل ليس لسانيا على الإطلاق. جميع الدراسات في أسماء الأماكن Toponymie بالفرنسي تعطي صفة الأمازيغي القديم أي الليبيقي لأسماء الأشخاص والأماكن التي تنتهي بألف A، دون أن ننكر بعض الخصوصية البونيقية في أسماء تنتهي ب AL كهيمبسال أو هادربال. ثم انه ما هذا المعنى الجديد في التعريف غير تاريخي للعربية القديمة لأن كلمة قرية تعني قرية وهي آرامية الأصل ولم تتغير ولم تكن إطلاقا قيرطا. المشكلة أن البعث الذي نسج كفن الجزائر الثقافي والذي يتغنى بالعربية لا يجهل فحسب متى ظهر المفعول معهLe complement d’accompagnement
، بل يجهل كل التطور اللغوي للعربية منذ السنة 166 قبل الميلاد وانفصالها التدريجي عن الآرامية حتى نزول القرآن الكريم في 611 بعد الميلاد. أضف إلى هذا دخول الجماليات والتحسينات خاصة في عهد العباسيين أو بما يعرف بالإنجليزي Articulatory phonetics alteration إثر التأثير على لغات والتأثر بلغات وهذا ما جعل العربية لغة أوسع تتسم بخصوصية في علم الكلام من خلال ضمها لأكثر من 6 مصادر للألفاظ. الشيء المؤكد أن كلمة سيرتا حتى من ناحية التركيبة لا تخضع أبدا لمقياس "عربي" لأن سيرتا أقدم والأكيد أنها لا تختلف في منشئها عن مدينة Carteia التي أسسها هيركل Hercules جنوب إسبانيا على مضيق جبل طارق. يقول hesychius of Alexandria عالم القواعد اليوناني في القرن الرابع قبل الميلاد والمدافع عن يونانية الأسماء، إن اسم هذا المكان كان يسمى قبل هزيمة هيركل في إسبانيا واندثار جنوده وهروبهم إلى الضفة الجنوبية بـ:Melicerta. ممكن أن يراها آخرون بونيقية الأصل أي اللغة التي انفصلت بدورها من الفينقية وتأثرت بالليبيقة الأمازيغية. لكن المعطيات التي لا غبار عليها هي أن لغة قسنطينة كانت اللغة الأمازيغية والمعروفة بالليبيقية (Lybic Language). ليبيقية نعم! فوصول الملكة عليسة إلى شواطئ تونس لم يكن البداية لتعلم الكلام أو اللغة لا لسبب إلا لأنها وجدت أمامها الملك هيارباس الذي لم يكن أبكم وسمح لها بالإقامة وفق معاهدة جلد الثور في مكان بيرسة بتونس العاصمة... وبيرسة تعني الثور بالفنيقية، أي بلغة الفنيقيين الأوائل قبل أن يتأثروا بالأمازيغ ويحدثون لغة تسمى البونيقية Punic.
2- أما الأكذوبة المتميزة والتي تبين حتى الغباوة في التلفيق، تكمن في القول أن اللغة الفينيقية بقيت لغة الثائرين الدوناتيين الأمازيغ. حسنا... ولنقم باصطحاب الكذاب إلى باب الدار ولنذهب إلى ولاية معسكر وبالضبط إلى بلدية تيزي، لأن في الجزائر بدأ هذيان تاريخي لم نره من قبل، وهذا فقط لتبني موقف سياسي لغوي، لأن في رأي بعض الدخلاء على الاختصاص، ماسينيسا الذي يتكلم عليه البربر، كان عميلا لروما، وبالتالي نقيض الكنعاني العروبي كما حاولوا إفهام القارئ طوال السنوات الأخيرة. وليعلم الجميع أن من أكبر الشهيدات (التسمية دوناتية) للحركة الدوناتية هي روبا Robaa التي قتلت في منطقة بنيان بتيزي (معسكر) سنة 434 بعد الميلاد. وإذا كان الدوناتيون قد تشبثوا بالفينيقية كما يقولون، فلماذا يقومون بنقش نصب تذكاري باللاتينية والذي رحله المستعمر لمتحف اللوفر ولم ترجعه فرنسا إلى الجزائر. فلتتأكدوا من النص بمفاتيحه الأصلية:Mem(oria) Robb(a)e sacr(a)e dei germana(e) / Honor[ati A]qu(a)e Siren(sis) ep(i)s(cop)i c(a)ede / tradi[torum] v[e]xata(e) meruit digni tate(m) martri(i) vixit annis L et red/didit sp(iritu)m die VIII Kal(endas) Apriles pro(vinciae) CCCXCV.
3- وأخيرا نتساءل دوما عن لعبة العنصر الكنعاني في تاريخ الجزائر ولأي هدف؟ وهنا نبين للقارئ أننا لسنا بصدد إعطاء قصص نظرية، بل نبرهن على تحكمنا الكامل في المعطيات الابيغرافية لمعظم مناطق الإقليم الجزائري. في هذا الإطار نطرح السؤال التالي: هل نستطيع أن نحدد في أي إطار تم ذكر الكنعانيين؟ للإجابة على ذلك، نذهب إلى منطقة سيڤوس بولاية أم البواقي، ولنا اختياران عند مغادرتها إلى عين فكرون يسارا الى قرية عين البرج أو نتمم إلى مكان تافزة ثم يسارا لزيارة موقع Tigisis. بعض البعثيين استشهدوا بالقديس أوغستين وقالوا إنه أرجع أصول الأمازيغ إلى الكنعانيين، وتركوا الكلام مبهما لأن في حقيقة النص، تكلم أوغستين عن منطقة عنابة حين سأل السكان عن أصلهم وهم المعروفين بتأثرهم تاريخيا بالديانات اليونانية والفينيقية... وقالوا نحن كنعانيين لأن منطقة عنابة شهدت مجازر رهيبة في حق "الحوامون" Circumcellions الضعفاء الذين بقوا في المدينة. أما الحوامون الثائرون فكانوا يسمون سلاحهم الخشبي Cudgel أو بالفرنسي Gourdin بإسرائيل نسبة إلى العبرانيين، وهذا ما ذكره القديس أوغستين. المشكلة أن المؤرخ البيزنطي Procopius المتوفى سنة 565 بعد الميلاد ربط هذا بحكاية أخرى حين قال إن بعض الأشخاص الفارين وصلوا إلى هذا المكان المعروف بتكزيس وكتبوا على نصب أبيض: نحن الذين فروا من وجه يشوع ابن نون We are Those Who fled from the face of Joshua son of Nun. فيشوع ابن نون 1355-1245 قبل الميلاد، هو الذي خلف سيدنا موسى عليه السلام. فكل الكتابات الإسرائيلية التي تريد أن تعطي حجة تاريخية للاحتلال ترجع دوما إلى هذه الحكاية لتقول فقط إن الكنعانيين ذهبوا لجزائر فارغة، وهذا ما يعطي ذرية العبرانيين الأحقية في أرض فلسطين.

Session de l’APW : Des élus exigent la transparence dans la gestion des projets

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le 14.07.16 | 10h00 Réagissez

Des élus de l’APW de Constantine ont estimé que le budget de la wilaya octroyé à plusieurs projets est mal orienté, relevant une mauvaise gestion dans la réalisation de certains projets d’utilité publique.

C’est suite à la présentation, hier, lors de la session de l’APW, du rapport du budget annuel et des enveloppes allouées aux équipements, que trois élus issus du FFS, du PT et du RND ont exprimé leur désapprobation, en rappelant l’état désastreux dans lequel se trouvent les projets dont a bénéficié la wilaya de Constantine, où l’on compte, selon eux, plusieurs projets qui n’ont pas vu le jour, alors que 23 opérations ont été simplement annulées.
Selon les intervenants, qui réclament des rapports beaucoup plus détaillés sur les activités des secteurs de la jeunesse et des sports, la culture et les affaires religieuses, ces projets perdus sont un véritable gâchis pour la wilaya. «J’ai été étonnée en lisant ce rapport qui manque de beaucoup de détails sur le transfert et l’utilisation de l’argent, ainsi que des précisions sur les projets. En plus quand j’ai lu qu’il y a un excédent de 6 milliards de dinars dans le secteur de la jeunesse et des sports, au moment où les jeunes manquent de lieux de détente et de divertissement, j’ai été complètement déçue. Ceci sans parler des autres secteurs. Nous parlons de grands projets, alors que les préoccupations de base des citoyens sont négligées», a souligné l’élue du FFS, Souad Sassi.
Pour sa part, Hichem Chelghoum, élu du Parti des travailleurs (PT), a exigé plus de détails et de précisions sur les différents projets et la destination des budgets. Il a affirmé que tout devrait se faire d’une manière plus claire afin de pouvoir débattre le budget et apporter des propositions pour améliorer les conditions de vie des habitants de la wilaya.
Au fil des années, les sessions de l’APW semblent se répéter, avec les mêmes rapports qui reviennent, et les mêmes chiffres qu’on rabâche sans réels objectifs, alors que la stagnation continue de ronger les projets vitaux. Il faut signaler que cette session a été marqué par le peu d’intérêt au débat manifesté par des élus et des directeurs qui se sont mis à «danser» dès le départ précipité du wali.
Yousra Salem

Galerie de drainage sous le pont Salah Bey (Constantine)

L’entreprise brésilienne installe le chantier

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le 14.07.16 | 10h00 Réagissez
 
 La durée de travaux est fixée à 30 mois
La durée de travaux est fixée à 30 mois

L’entreprise brésilienne Andrade Gutierrez, chargée de la réalisation du pont Salah Bey, a installé le chantier pour lancer les travaux de la galerie de drainage des eaux souterraines au niveau de l’ouvrage, a-t-on appris auprès de Salim Zahnit, directeur des travaux publics de la wilaya de Constantine, en marge de la session de l’APW tenue hier.
Selon ce responsable, l’entreprise est en train de préparer l’accès vers cette galerie, qui va permettre la stabilisation du monticule de terre et drainer toutes les eaux souterraines qui sont la première cause du problème de glissement de terrain signalé du côté de Mansourah. «Le plus important est de commencer les travaux le plus tôt possible. Des ingénieurs qualifiés dans ce genre de réalisations sont déjà sur place», a-t-il déclaré.
Le DTP a expliqué que cette galerie, réalisée sous forme d’un U, est d’une longueur de 400 m. Elle sera réalisée sous le pont Salah Bey à partir du pilier n°6 (en partant de la place d’El Fedj), avec d’autres tunnels perpendiculaires (galeries additionnelles) d’une longueur de 1000 m, afin d’accumuler les eaux. La durée initiale des travaux est fixée à 30 mois, mais elle pourrait être prolongée selon la nécessité.
Pour rappel, l’étude de ce projet a coûté 16 milliards de centimes. «Concernant l’avenant de la galerie, il est toujours au niveau de la commission sectorielle des marchés. Mais en attendant la concrétisation de cet avenant, l’entreprise a commencé déjà l’installation du projet», a-t-il expliqué. M. Zahnit a affirmé que six appareils de géolocalisation par satellite (GPS) seront installés prochainement au niveau du pont Salah Bey pour observer et contrôler son mouvement. «Ces GPS sont inclus dans le marché, mais ce système sera utilisé désormais dans tous les grands ouvrages afin de détecter le mouvement du sol», a-t-il conclu.
Yousra S.

قال إنّ احتياطي الصرف لن ينزل تحت 100 مليار دولار

سلال: "لسنا في حالة تقشّف ونسير في الطريق الصحيح"

 أم البواقي ـ عبد الرؤوف. ح
الخميس 14 جويلية 2016 45 0
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 مداخيل القرض السندي ستصل 612 مليار دينار بعد أسبوع

طالب الوزير الأول، عبد المالك سلال، احترام مؤسسات الدولة والكف عن السب والشتم والقذف، متوعدا بتطبيق القوانين بكل صرامة ضد كل من يقوم بذلك.
وأوضح الوزير خلال الزيارة التي قادته، أمس إلى ولاية أم البواقي "من يقوم بسب وشتم الدولة من وراء البحار، ليس من أخلاقيات الدول الجزائرية". ليضيف في السياق ذاته "نحن في منعرج خطير لبناء الحضارة الجزائرية وعلى المثقفين والجامعيين وجميع الإطارات مساعدتنا في ذلك".
"لن نسجن أي صحفي رأي" وبالنسبة للحقوق والحريات، اعتبر سلال أن "الصحفيين أحرار في إبداء آرائهم ولن ندخل أي صحفي السجن، لكن على هؤلاء احترام قوانين الدولة".
هذا وثمّن سلال النتائج المحصل عليها في شهادة البكالوريا، خصوصا في شعب الرياضيات التي حصلت على أعلى نسبة. "لسنا في تقشّف وإنما ترشيد نفقات" أكد الوزير الأول، عبد المالك سلال، أن الجزائر ليست في حالة تقشف وإنما ترشيد النفقات، مشيرا إلى أنه رغم الصدمة القوية التي عرفتها البلاد، فإن احتياطي الصرف لن ينزل من 100 مليار دولار، وقال إنه من المتوقع أن يبلغ مع نهاية 2016 "116 مليار دولار على أن يواصل انخفاضه إلى غاية 111 مليار دولار مع حلول 2019".
وأوضح سلال خلال إعطائه لمشروع مصنع الإسمنت بـ"سيقوس" بأم البواقي، على ضرورة أن توقف الجزائر استيراد الإسمنت وتفكر في التصدير بحلول عام 2018، منوها أن التنمية الاقتصادية أدت دورا كبيرا في الحفاظ على النمو الاقتصادي للبلد رغم الأزمة البترولية"، وأضاف سلال أن الجباية البترولية منتظر أن تصل إلى 45 مليار دولار بحلول سنة 2018، معتبرا أنّ هذه الجباية سترتفع شيئا فشيئا. تحدث سلال عن نسبة التضخم التي وصلت حسبه ما يعدل 4.7 بالمائة، معتبرا أن الجزائر تحكمت في هذه النسبة رغم الأزمة البترولية، مشير إلى أنها ستنخفض لتصل إلى 4 بالمائة السنة المقبلة وستستمر هذه السنة لغاية 2019".
وكشف الوزير الأول خلال تدشين ملبنة بأولاد الحملة بأم البواقي، أن القرض السندي قد فاق توقعات الحكومة الذي وضعت مبلغ 400 مليار دينار، حيث وصل لحد الآن إلى 461.62 مليار دينار، ومن المنتظر أن يبلغ 612 مليار بعد أن يصب "الأفسيو" 150 مليار إضافية هذا الأسبوع. "القرض السندي أحسن جواب على ثقة المواطن في الحكومة" وتابع سلال يقول "على المواطنين أن يضعوا الثقة في الحكومة ويواصلوا تقديم المساعدة ولهم الخيار في أخذ الفوائد أو تركها، معتبرا أن الأمن الاقتصادي مضمون بالنسبة للمواطنين". وطالب الوزير ذاته "بضرورة استغلال خبرة أصحاب منطقة عين الفكرون وعين مليلة في مجال قطع غيار السيارات، والعمل على تشييد مصانع لقطع الغيار محلية".
"رخص الاستيراد ستكون بشروط" وفي سياق متصل، جدّد الوزير تأكيده أن رخص الاستيراد لن تمنح لمستوردي السيارات إن لم يمتلكوا مصانع، والأمر سيّان بالنسبة لمستوردي قطع الغيار والأدوية إن لم ينتجوا محليا. وشدد سلال على "ضرورة ربط سد بني هارون بولايات كل من خنشلة وبسكرة، من أجل مساعدة أهل المنطقة على الحصول على المياه الشروب من جهة ومساعدة الفلاحين في زيادة الإنتاج".


بوزيدي تخلف قادة بن عمار في برنامج "الحدث"


الخميس 14 جويلية 2016 58 0
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تطل الإعلامية، ليلى بوزيدي، عبر البرنامج السياسي "الحدث" على قناة "الشروق نيوز". وكان الإعلامي، قادة بن عمار، الذي يوجود حاليا في عطلته السنوية، سبق له أن قدّم برنامج "الحدث" طيلة أيام شهر رمضان، في الوقت الذي كانت تقدم فيه بوزيدي حصة "قبل السحور" بعد صلاة التراويح. ويبث برنامج "الحدث" يوميا عدا الخميس والجمعة بداية من الساعة التاسعة ليلا.







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