tag:blogger.com,1999:blog-23463500.post4590748118760336540..comments2024-03-28T16:13:55.234+00:00Comments on nourbouka@blogspot.com: الاخبار العاجلة لاكتشاف الضيوف العرب القادمين من و هران الدولة الجزائرية الغبية التي تقيم نشاط سينمائي في مدينة وتنظم حفلة غنائية في مدينة شرقية وشر البليةى مايبكيAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/01994653269219178391noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-23463500.post-67936874109094077782015-06-09T11:15:02.901+01:002015-06-09T11:15:02.901+01:00سي مخلوف البومباردي يرد على الحاج الطاهر الفرقاني ...سي مخلوف البومباردي يرد على الحاج الطاهر الفرقاني بعد التبهديلة في حق وردة الجزائرية<br /><br />مباشرة من قسنطينة عاصمة التبهديل العربية #محمد_الطاهر_الفرقاني قالهم وردة الجزائرية كان عندها كاباري في باريس و انا غنيت فيه و اوقع الجميع في تسلل واضح قدام العرب العالم هههه كاباري الوزير ميهوبي مات ضحك و تبهديل تبا تبا تبا انها الزينيت من قسنطينة هههه<br /><br />https://ar-ar.facebook.com/nass.constantineAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-23463500.post-16009179571296295782015-06-09T11:14:01.249+01:002015-06-09T11:14:01.249+01:00http://www.ennaharonline.com/fr/mobile/culture/308...http://www.ennaharonline.com/fr/mobile/culture/30881.html<br />Paris veut ressusciter le "Tam Tam", un cabaret ouvert par le père de Warda el-Djazaïria en 1940<br />23/03/2015 14:12:00 M. Oudina<br />Paris veut ressusciter le "Tam Tam", un cabaret ouvert par le père de Warda el-Djazaïria en 1940<br /><br />Le spectacle Cabaret Tam Tam (Tunisie Algérie Maroc) se déroule à Paris jusqu’au 3 Avril, pour replonger dans l’atmosphère des cabarets orientaux qui enchantèrent les nuits parisiennes des années 1940 jusqu’aux années 1980, lit-on dans un article publié ce lundi par RFI Musique.<br /><br />Une occasion aussi pour revenir sur ces lieux de fête et leurs influences sur la musique et la politique, en compagnie du producteur du spectacle Méziane Azaïche et de l’historienne NaïmaYahi.<br /><br />Ce Cabaret Sauvage où l'en écoutait des musique des Mille et une nuits, jouées par un orchestre réduit, portées par la voix de la charmeuse Samira Brahmia, accompagnée de danseuses du ventre aux pieds nus.<br /><br />Le Cabaret Sauvage, situé au cœur du Parc de la Villette, accueille, la réminiscence d’un autre cabaret : le Tam Tam (acronyme Tunisie-Algérie-Maroc), aujourd’hui disparu, ouvert dans les années 1940, dans le Ve arrondissement, par Mohamed Ftouki, père de la diva Warda El Djazaïria (1939-2012), enfant des rues de Paris, et l’une des grandes voix du monde arabe, selon RFI musique.<br /><br />Dans ces cabarets du Quartier Latin, l’alcool coulait à flots. Au fil de nuits interlopes, le Tout-Paris, l’élite intellectuelle, sportive, littéraire, politique, etc. venait chercher son rêve d’Orient, goûter la gastronomie exotique, se délecter des musiques d’ailleurs... S’y croisaient, dans un respect mutuel, bandits, proxénètes, poètes, juifs, musulmans…Tout un monde !"<br /><br />L’historienne Naïma Yahi, chargée de l’expertise historique du spectacle, titulaire d’un doctorat sur "l’histoire culturelle des artistes algériens en France (1962-1987)", déclare :"Ces lieux vécurent leurs heures de gloire dans les années 1950-60-70. Dans ces antres, versant oriental des cabarets russes de Pigalle, inspirés des Cafés Concerts "à la française", la bonne société venait s’encanailler, se dépayser. François Mitterrand, lui-même, avait ses habitudes, au ’El Djazaïr’, rue de la Huchette. De rares représentants de la diaspora arabo-orientale, tirés à quatre épingles, se joignaient aussi à la fête".<br /><br />Elle ajoute : "Malgré la "nuit coloniale", selon la formule de Ferhat Abbas, et le système discriminant envers les immigrés, il régnait un certain dynamisme culturel maghrébin. Aux côtés des images d’Épinal – ouvriers d’usine, bidonvilles – trônaient aussi, fastueux, ces cabarets".<br /><br />dans ces cabarets résonnaient toutes les musiques de l’Orient: rythmes traditionnels du Maroc, de Tunisie, airs berbères de Kabylie… mais aussi, à l’envi, quelques couleurs flamenca, rumba, ou salsa. Se tissait, ici, un nouveau folklore "orientalisant". L’orchestre interprétait les grands tubes, en provenance d’Égypte, du Proche et du Moyen-Orient ; la variété prenait le pas sur la musique classique arabo-andalouse…<br /><br />Beaucoup d’artistes y sont passés : le crooner judéo-algérien Salim Halali, patron de cabarets (Ismaïlia Folies et le Sérail) ; le chanteur algérien Akli Yahyaten, etc. – et des vedettes, qui firent, par la suite, dans leurs pays, d’époustouflantes carrières : la danseuse Shéhérazade, Fadila Dziria, héroïne de la chanson hawzi, ou encore l’étoile Warda El Djazaïria, chanteuse de la Révolution au grand festival musical panarabe de 1961.Anonymousnoreply@blogger.com