الاثنين، أغسطس 22

قسنطينة تعيش ماساة المحاولة الانتحارية لانهيار جسر سيدي راشد

جسر سيدي راشد ينتقم من سكان قسنطينة بزلزال عنيف
وازمة نقل بين سشوارع قسنطينة









































أصحاب حافلات علي منجلي يرفضون إخلاء باردو وزيادات في تسعيرات الأجرة
الأحد, 21 أغسطس 2011
عدد القراءات: 42 حركة المرور كانت عادية في أول يوم من تطبيق المخطط الاستثنائي
رفض أمس الناقلون الخواص على خط وسط مدينة قسنطينة علي منجلي إخلاء محطة باردو والتحول إلى خميستي معتبرين المسار غير معني بغلق جسر سيدي راشد فيما فوجئ مواطنون بزيادات في تسعيرة سيارات الأجرة بالخطوط الشرقية.
حيث قاموا في ساعة مبكرة من اليوم بتوقيف 14 حافلة بالرواق المعتاد، والواقع أسفل فندق سيرتا بحي باردو، رغم صدور قرار بلدي بتحولهم بداية من نهار أمس نحو محطة خميستي، وفق تعديلات طرأت على مخطط النقل تكيفا مع غلق جسر سيدي راشد، وقال أصحاب الحافلات أنهم يعون ضرورة ترميم الجسر الذي يعد أحد معالم قسنطينة لكن يستغربون إدراجهم ضمن المخطط الاستثنائي رغم أن المسار غير معني بالجسر، ويرى ممثلون عن الناقلين أن البلدية لديها حلول أخرى وأن تفكيرها في تحويلهم إلى محطة خميستي غير مدروس كون المحطة بها ما يزيد عن 160 حافلة ولا يمكنها أن تستوعب 24 حافلة إضافية تعمل نحو المدينة الجديدة منها 10 حافلات تابعة للقطاع العمومي ويقترحون استغلال حضيرة البلدية المتواجدة بباردو والتي رفض أصحاب سيارات الأجرة العمل بها لعدم توفر الشروط.
توقيف الحافلات تسبب في خلق حالة من الاختناق بمدخل الشارع الذي يعتبر منفذا أساسيا نحو وجهات عديدة كان أصحابها يستخدمون طريق الجسر، أما حافلات القطاع العمومي فقد التحقت بمحطة خميستي التي وجدنا أعوان البلدية أمس بصدد تقسيمها إلى رواقين واحد لحافلات المؤسسة العمومية وآخر للقطاع الخاص . وقد انتقد رئيس مصلحة المرور موقف الناقلين الخواص وقال بأن البلدية أصدرت قرارات وقدمتها لمصالح الأمن للتنفيذ وأن الحافلات تحتل مكانا مخصصا لسيارا ت الأجرة لسبعة خطوط، هذه الأخيرة تدخلت بشارع باردو لتسهيل الحركة. وقد بدت حركة المرور في أول يوم من تطبيق المخطط الاستثنائي للمرور عادية باستثناء الازدحام الحاصل بالمنطقة الممتدة من الكورنيش إلى لابريش مرورا بباب القنطرة، طاطاش و القصبة، نفس الوضع شهده شارع "لالوم" ، فيما كانت الحركة أكثر مرونة بشارعي الصومام ورومانيا.
وقد اشتكى مستعلمو سيارات الأجرة من نقص في عدد السيارات بالمحطات و فوجئوا بزيادات وصلت 100 بالمائة بداعي تغير المسار و اكتظاظ منفذ القصبة، وهو أمر أكد مدير النقل أنه سيكون محل تحقيق من طرف إدارته مؤكدا بأن التسعيرات لم يطرأ عليها أي تعديل.الراجلون تمكنوا من المرور عبر الجسر في أول يوم من الغلق مما قلل من عدد مستعملي المصعد الذي يبقى في وضعية مزرية ويتطلب التدخل السريع، وحسب مدير الأشغال العمومية فإن العبور ممكن في الوقت الحالي لكن مع تقدم الأشغال قد يمنع أو يتم البحث عن بدائل وفق ما هو متاح. ن/ك
http://www.annasronline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=20803:2011-08-21-21-43-27&catid=35:2009-04-13-14-10-18&Itemid=2
Remous sur le chantier du transRhumel
par A. M.

Le conflit entre la direction de l'entreprise brésilienne Andrade Gutierrez chargée de la construction du transRhumel et les travailleurs vient de rebondir encore avec la montée au créneau d'un groupe d'ouvriers libérés par l'entreprise brésilienne parce que leurs contrats ont expiré.

Ces derniers se sont présentés hier au siège de l'Union de wilaya de l'UGTA, rue Chitour, pour dénoncer ce qu'ils ont appelé le «favoritisme» et le «non-respect de la législation en vigueur» par les responsables de cette entreprise. «En l'espace de 45 jours, explique un ex-travailleur de cette entreprise dont le contrat n'a pas été renouvelé, ils ont renvoyé 50 ouvriers dont les contrats ont expiré. Mais le hic, ajoute-t-il, est qu'ils ont remplacé ces ouvriers, utilisés dans les mêmes postes, par d'autres recrutés en dehors de notre wilaya. Et cela est contraire à la réglementation en vigueur ».

Contacté, le secrétaire de l'Union territoriale Ouest de l'Ugta, chargé des conflits sociaux, M. Bilami Hamza, a confirmé les informations données par les travailleurs, ajoutant sans ambages que « le problème fondamental qui existe dans cette entreprise est que les responsables sont effectivement en train de renvoyer les travailleurs en fin de contrat pour les remplacer par d'autres tous issus de la même région qu'un responsable. Et j'assume ce que je dis, a-t-il précisé.

Nous, on aimerait que le recrutement se fasse parmi les chômeurs de la wilaya de Constantine», a-t-il souligné. Il a ajouté que c'est de cette façon que le secrétaire général de la section syndicale du projet et son responsable à l'organique ont été renvoyés eux aussi, le premier avait refusé de signer le texte de la convention collective rédigé entièrement par l'administration et sans la participation du syndicat ».

M. Arafa, secrétaire général de l'UT Ouest est intervenu à son tour pour souligner qu'à la suite du renvoi des deux syndicalistes, la colère ne cesse de gronder dans les rangs des travailleurs du projet qui sont en train de nous harceler afin de leur donner le feu vert pour déclencher une grève ouverte. Mais nous avons réussi à les faire patienter en saisissant le wali auquel nous avons présenté un dossier complet sur cette affaire ». Selon notre interlocuteur, le chef de l'exécutif de la wilaya a répondu qu'il allait prendre en main ce problème et le régler sans léser les droits de toutes les parties et dans l'intérêt de la bonne marche du projet. Et d'ajouter : «Nous avons reçu dernièrement une correspondance du directeur du projet nous demandant d'organiser une réunion pour signer la convention collective. Nous refusons cette proposition tant que les deux syndicalistes ne sont pas réintégrés dans leurs postes. D'autre part, les responsables de cette entreprise nous ont déclaré carrément qu'ils n'appliquent pas les lois algériennes !»

Le chef du personnel de l'entreprise, M. Khiat Hamouda, contacté par nos soins, a répondu qu'il n'a pas compétence pour parler à la presse et qu'il fallait s'adresser à la direction pour ce genre de problème. Malheureusement, nous n'avons pas pu entrer en contact avec le moindre responsable de la direction. La standardiste a répondu au premier appel qu'ils étaient absents, au second quelques minutes plus tard qu'ils étaient en réunion et enfin la troisième fois qu'elle ne pouvait passer la communication...

Le «problème» de la station du Bardo revient
par A. E. A.

Les habitants des avenues Rahmani Achour et Aouati Mostefa, concernés directement par l'application du nouveau plan de circulation entré en application hier, se disent «déçus et outrés par l'anarchie qui a empêché encore une fois l'exécution d'une décision des autorités locales».

Selon des membres des deux comités de quartiers en question, rencontrés, le transfert des bus n'a pas eu lieu. Et ils ont donc entrepris hier matin même des démarches pour demander audience au wali pour protester contre cet état de fait. Et de souligner qu'ils n'excluent pas de recourir à l'organisation d'un rassemblement des habitants devant la wilaya pour exiger l'application des décisions de délocalisation de la station de bus de Bardo vers la station Khemisti.

Les habitants, selon leurs dires, commencent à perdre patience devant cette incapacité des autorités locales à faire appliquer leurs décisions.

Selon nos interlocuteurs, «une fois au cabinet du wali et en absence de celui-ci ainsi que de son secrétaire général, nous avons décidé alors de demander audience au chef de la sûreté de la wilaya de Constantine et le saisir de ce problème. Mais les services concernés au niveau du commissariat central nous ont fait savoir que les agents de police ont constaté sur place que les nouvelles autorisations de circuler à partir de la station Khemisti vers Ali Mendjeli, Zouaghi, etc., n'ont toujours pas été délivrées par la direction du transport », affirment-ils.

Et que, dans ce cas, il n'y avait aucune infraction à relever. Contacté sur ce sujet, le directeur des transports de la wilaya de Constantine, M. Jouini, a indiqué que ses services sont toujours en attente d'être destinataires de l'arrêté municipal afférent au transfert de la station de Bardo et désignant les nouveaux trajets, pour délivrer les autorisations de circuler sur ces trajets. «Les autorisations en question, que nous attendons pour remplacer les anciennes, doivent en effet mentionner obligatoirement les références du nouvel arrêté dont notamment le numéro et la date de référence », soutient-il.

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5156924
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5156923
Fermeture du pont de Sidi Rached: Cafouillage
par A. Mallem

Après que le pont de Sidi-Rached eut été fermé hier de bonne heure, les habitants du vieux rocher se sont réveillés avec un nouveau plan de circulation urbaine qui, le moins que l'on puisse dire, les a complètement désorientés : des itinéraires changés, des bouchons dans les principales rues conduisant au centre-ville et des longues files d'attente d'usagers dans les stations de taxis. A cela, il faut ajouter la volonté clairement affichée par certains opérateurs privés de ne pas appliquer les décisions arrêtées par la commission communale.

Vers 10h hier matin, interrogé à l'entrée du pont de Bab El-Kantara, un taxieur coincé dans une file de véhicules et de taxis qui s'étend depuis le CHU jusqu'à la Casbah, nous a déclaré : « Voyez comment le nouveau plan se goupille mal et avec beaucoup de grincements. Regardez à quel point la circulation est perturbée », a-t-il ajouté en nous montrant du doigt une autre longue file de voitures sur la RN 3, pare-chocs contre pare-chocs, dont la tête se trouve à la gare ferroviaire de Constantine et la queue 5 kilomètres plus loin en bas de la cité de Békira. Conséquence: au niveau des stations de taxis de la rue Chitour, les voitures jaunes étaient absentes et de longues files d'attente des usagers se sont formées. «Je suis là depuis plus de 45 minutes et pas le moindre taxi», a signalé un habitant se rendant à Djebel Ouahch.

Plus loin, à la station de Sidi Mabrouk, beaucoup de gens attendaient aussi les taxis qui n'arrivaient pas et pour cause, cette station a été transférée à la place du Bardo. Là, nous avons été mis en face d'un autre problème qui explique un peu les précédents : la présence sur place des bus desservant la nouvelle ville Ali Mendjeli dont les propriétaires refusent de rejoindre leur nouvelle affectation à la station Khemisti. L'argument avancé par les opérateurs est que qu'il n'y a plus de place dans cette dernière station. A ce propos, il faut signaler que le responsable du syndicat des transporteurs privés, M. Bougourzi, contacté à 14 heures, a déclaré que les opérateurs étaient dans l'ignorance totale de la décision prise pour transférer les bus à une autre station. « Les bus ne bougeront pas de la station du Bardo, a-t-il assuré, car ils ne gênent personne ». Et d'ajouter : « De toute façon, nous aviserons après le Ramadhan ». Rencontré dans cette station, le responsable du transport au niveau de la mairie, seul élément de la cellule de suivi qui était présent, était perplexe. « Au moment où les bus de l'ETC ont obtempéré en rejoignant la station Khemisti, l'attitude des transporteurs privés risque de chambouler toute l'organisation mise en place», a estimé en effet M. Bouarroudj, Ceci, d'autant plus que les nouveaux locataires de la place, à savoir les taxis d'Oued El-Had, Sidi Mabrouk et El-Gammas, empêchés de rentrer dans leur nouvelle station, se sont éparpillés dans les environs en prenant les voyageurs à 40 dinars la place car, selon eux, le nouvel itinéraire est plus long et plus contraignant.

Pendant ce temps, et contrairement aux déclarations faites dernièrement par les membres de la commission de transport, les piétons continuaient allègrement à circuler sur le pont de Sidi Rached pour rejoindre la rive sud du Rhumel, et ce au moment où les travaux de confortement du pont sont en cours de lancement.

Régions Est Constantine
Fermeture du pont de Sidi Rached à Constantine
Lancement des travaux sur les joints du côté Est
Malgré les mesures annoncées, le projet, prévu pour un délai de 70 jours, a causé déjà des désagréments dès son lancement.

Le chantier des travaux de rénovation et de confortement du pont Sidi Rached a été installé hier, à proximité du rond-point de l’avenue des Frères Zaâmouche. Selon le chef de projet de la société algérienne des ponts et des travaux autoroutiers (SAPTA), chargée de la réalisation, l’opération de détachement des joints métalliques a été entamée pour ouvrir un accès jusqu’aux fondations du viaduc. «Suivant l’étude délivrée par la direction des travaux publics, les interventions seront effectués sur 14 m² entre les deux joints métalliques du côté Est. De ce fait, tous les équipements nécessaires à cette opération ont été mis en place pour achever le chantier dans le délai de 70 jours, fixé par la DTP», a ajouté le chef de projet, qui a affirmé que les équipes d’intervention ont été surprises par l’existence, sur les deux côtés du pont, de réseaux de câbles électriques et téléphoniques.

«La présence de ces réseaux n’a pas été mentionnée dans l’étude technique; nous les avons découverts ce matin par hasard», a-t-il déclaré. Le même responsable a précisé qu’aucun passage pour piétons ne sera disponible. «Le pont sera fermé pour tout le monde», a-t-il cofirmé. Par ailleurs les services de l’APC ont aménagé les lieux pour faciliter la circulation sur la route du Chalet des pins et libérer l’espace pour les engins du chantier. «La circulation a été assurée comme avant sur ce chemin qui a été aménagé en double voie et en toute sécurité», a déclaré un chauffeur de bus de la ligne de Djebel El Ouahch-Bab El Kantara. D’autre part, sur ce côté des travaux et au dessous du pont réside plus de vingt familles.

Les habitants de l’avenue de Roumanie ont réclamé une solution au danger qui les menace. «Nous vivons une situation catastrophique à cause des glissements et les chutes de pierre que nous avons signalés aux autorités depuis plusieurs mois», ont réclamé certains d’entre eux, qui ont affirmé que plusieurs requêtes ont été adressées à toutes les directions ainsi qu’à la wilaya pour demander leur évacuation, mais sans aucune réponse. «Nous sommes enfouis sous ce pont et les autorités locales de cette wilaya nous ont exclus complètement de leur programme de relogement, alors que nous avons été touchés sérieusement par les travaux de rénovation effectués en 2007», ont-ils dénoncé.

Ratiba B.
Vos réactions 2
NNHABBLADI le 22.08.11 10h50

HEUREUSEMENT DES GENS TRAVAILLENT

C les travailleurs du BTP qui ont donné le plus de leur santé et temps à l'algérie, bien que je suis pas du secteur , mais ayant des compains qui se sont sacrifiés à construire l'algérie, mais ils nont pas ... la suite

C les travailleurs du BTP qui ont donné le plus de leur santé et temps à l'algérie, bien que je suis pas du secteur , mais ayant des compains qui se sont sacrifiés à construire l'algérie, mais ils nont pas pa eu grand chose en contrepartie, comme ceux d'AIR ALGERIE ET LA FAMEUSE SONATRACH ET LES BANQUES ET NONELGAZ.

L'échotier le 22.08.11 09h32

70 jours

Habitués à mentir sur tout et n'importe quoi, les dirigeants de la ville nous promettent un chantier de 70 jours. Moi, je prends le pari que ces travaux vont durer beaucoup plus longtemps et qui sait,ils ... la suite

Habitués à mentir sur tout et n'importe quoi, les dirigeants de la ville nous promettent un chantier de 70 jours. Moi, je prends le pari que ces travaux vont durer beaucoup plus longtemps et qui sait,ils vont sans doute trouver que la situation est beaucoup plus grave qu'ils ne le pensaient. La découverte de réseaux électriques et téléphoniques non signalés prouvent s'il en est d'autres mauvaises surprises à venir.

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