اخر خبر
الاخبار العاجلة لانتشار مظاهر القلق النفسي والاضظراب العصبي بين الاوساط السياسية الجزئارية بعد انتشار اخبار احالة شخصيات جزئارية عطمي على السجون الجزئارية ويدكر ان الاداعة الجزائرية تجاهلت تجاهلت الخبر السياسي بينما فضلت اخري الحديث عن زيارة الجنرال القائد صالح الى الشرق الجزائري ويدكر ان حملة التنظيف الجزائرية تسير باوامر استراتجية فهل تتدخل السفارات الاجنبية في القرارات الجزائرية والاسباب مجهولة
اخر خبر
الاخبار العاجلة لاقالة الصحافية تلمساني من حزب ايت احمد بسبب رسالتها السياسية الى زعماء السياسة الجزائرية الرسمية والاسباب مجهولة
Cinq généraux-majors et un colonel placés sous mandat de dépôt
Cinq généraux-majors et un colonel, entendus ce dimanche matin par le juge d’instruction près le tribunal militaire de Blida, ont été placés sous mandat de dépôt, rapporte Ennahar TV.Les généraux-majors sont les anciens commandants des première, deuxième et quatrième régions militaires, respectivement les généraux-majors Habib Chentouf, Saïd Bey et Abderrazak Chérif, le général-major Nouba Menad, ancien commandant de la Gendarmerie nationale et le général-major Boudjemaâ Boudouar, ancien directeur central des Finances au ministère de la défense nationale. La source qui a rapporté l’information ne fournit aucune indication sur l’identité du colonel entendu et écroué.
Cinq généraux-majors et un colonel de l’ANP placés sous mandat de dépôt
Par Kamel M. – Le tribunal militaire de Blida vient d’ordonner la mise sous mandat de dépôt de cinq généraux-majors et d’un colonel de l’ANP, a appris Algeriepatriotique de sources sûres. Les officiers de haut rang concernés sont poursuivis pour des affaires de malversation et ont été limogés récemment par le président Bouteflika, dans une vaste opération «mains propres».Le chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd-Salah, avait expliqué que les changements effectués au sein de l’institution militaire étaient «normaux» et qu’ils relevaient du processus normal d’avancement dans l’armée. Mais des informations révélées par les médias avaient contredit les «assurances» du vice-ministre de la Défense nationale.
En effet, le limogeage du directeur de la caisse des retraites au niveau du ministère de la Défense nationale pour avoir accordé une prise en charge à l’étranger au général-major Saïd Bey qui venait d’être révoqué, ainsi que du responsable de la PAF à l’aéroport international d’Alger qui avait permis à l’officier supérieur de quitter le territoire national, avaient confirmé indirectement que le mouvement opéré dans l’armée était motivé par des enquêtes des services de sécurité et que les concernés allaient tôt ou tard être convoqués par la justice militaire.
Les généraux-majors mis à la retraite et se retrouvent désormais derrière les barreaux, sont poursuivis pour des affaires liées à l’enrichissement illicite et l’utilisation de la fonction à des fins personnelles. Des perquisitions avaient été opérées la mi-septembre dans les domiciles de ces cinq hauts gradés de l’ANP. Des perquisitions qui ont été ordonnées par le tribunal militaire de Blida.
Les autorités politiques et militaires n’ont pas l’habitude de confirmer ou d’infirmer des informations concernant le sort réservé aux responsables qui ont été touchés par les changements opérés au sein des deux institutions militaire et sécuritaire. Les médias se réfèrent donc à chaque fois, dans ce genre de cas, à des sources informées.
K. M.
Le courrier révélateur de l’ambassadrice d’Israël à Paris à France Télévision
«Il s’agit de l’enquête intitulée « Gaza, jeunesse blessée » dont la diffusion est prévue (…) jeudi 11 octobre dans le cadre de l’émission Envoyé spécial et qui présente non seulement un point de vue déséquilibré par rapport à la situation à Gaza, mais met également Israël en avant d’une façon très négative», se plaint Aliza Bin-Noun qui justifie sa demande par les «nombreuses sollicitations inquiètes de la communauté juive française». Car, estime-t-elle, la vérité – elle parle de «contenu» – révélée dans le reportage est «susceptible d’inciter à la haine à l’encontre d’Israël et peut ainsi avoir des répercussions directes, notamment physiques, sur les Français de confession juive, en raison d’un amalgame fréquent et désolant entre juifs et Israël et faisant que la critique d’Israël conduit bien souvent à une alimentation de l’antisémitisme».
L’ambassadrice a demandé qu’une mise au point soit faite par ses services ou par elle-même «immédiatement à l’issue de la diffusion» du reportage qui fait peur à Israël, en raison des témoignages accablants des jeunes de Gaza sur les conséquences du blocus imposé par Tel-Aviv à cette enclave palestinienne.
K. B.
Crise au FFS : de nouvelles purges et une démission
Si les sanctions n’ont pas été annoncées officiellement, c’est parce qu’elles n’ont pas été notifiées dans le procès-verbal que devait signer le président de la Commission de médiation.
Ces sanctions tombent dans un contexte de reprise des hostilités entre les deux ailes du parti qui s’affrontent depuis le décès de Hocine Aït Ahmed, à savoir le groupe des frères Baloul et celui d’Ali Laskri.
Soutenu par Mohand Amokrane Chérifi, Ali Laskri a lancé une opération d’ «assainissement» du parti, depuis la tenue du congrès extraordinaire de l’instance présidentielle en avril dernier.
Membre le plus influent de l’instance présidentielle, Ali Laskri s’engage à «remettre» le parti aux militants et à ne plus tolérer certaines pratiques révolues. Il a ainsi promis de sévir contre «celles de militants sans maturité politique qui font un travail fractionnel en dehors du parti, dénigrant leur direction à travers les réseaux sociaux, ou bien agissant déguisés à l’intérieur du parti pour diffamer, désinformer et entraver la dynamique de changement à la fois des hommes et des méthodes de travail».
Les tentatives du fils d’Aït Ahmed, Jugurtha, de peser dans ce conflit et de faire pencher la balance en faveur notamment de Salima Ghezali se sont heurtés à la témérité des cadres qui poursuivent l’exécution de leur feuille de route telle que tracée au lendemain du congrès extraordinaire de l’instance présidentielle.
Jugurtha Aït Ahmed s’est même déplacé le 6 octobre pour apporter son soutien à Salima Ghezali.
D’autres ex-cadres dénoncent une «purge». Commentant la sanction infligée à Salima Ghezali, l’ancien secrétaire national à la communication Hassan Ferli estime que celle-ci «avait piégé ceux qui voulaient l’exclure en répondant positivement à la convocation de la commission de médiation. Ils comptaient sur son refus de se présenter et pensaient trouver l’argument fallacieux de dire qu’elle ne respecte ni les instances du parti ni les militants. Mais ça n’a pas marché, elle ne leur a pas donné cette occasion».
H. A.