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Démolition des escaliers reliant le coudiat à la rue Abane (Constantine)
Jusqu’au bout du massacre
le 25.10.14 | 10h00
10 réactions
L’opération lancée au mois d’août dernier...
Ce n’est pas le titre d’un film de science-fiction, mais il s’agit bien d’un fait réel, réalisé et poursuivi avec une détermination sans pareil par les autorités de la ville, qui ont finalement décidé de mener à bout l’opération, contre la volonté d’une population en colère.
Jeudi dernier, fut entamé le dernier épisode de la démolition au
marteau piqueur de ce qui reste des escaliers reliant le Coudiat à la
rue Abane Ramdane, situés à proximité de la direction de l’éducation et
communément connues par «Droudj Bata» (les escaliers de Bata) en
référence à l’ancien magasin de chaussures. Qualifié de «crime» par la
plupart des Constantinois, l’action connaîtra enfin son épilogue, malgré
la contestation qui a suscité une véritable mobilisation au lendemain
de l’entame de cette opération dans la nuit du lundi 11 août dernier,
suite au lancement des chantiers liés à l’évènement «Constantine
capitale de la culture arabe 2015».
«La démolition de ces escaliers ne trouve aucune justification si ce n’est un véritable massacre, surtout que la pierre était toujours en bonne état, mais le fait de casser complètement cette pierre pour la remplacer par un matériau quelconque n’est que du pur vandalisme», s’insurge un riverain. Pourtant, ces escaliers en pierre bleue taillée ont résisté plus de 150 ans depuis les premières opérations d’arasement du Coudiat et de la réalisation vers 1860 de la fameuse rue Rohault de Fleury (actuelle rue Abane Ramdane).
Après la contestation née au lendemain de l’entame des travaux, le chantier s’arrêtera pour quelques semaines. Mais c’était trop tard, car les deux tiers des escaliers ont été déjà démolis, et réduis en blocs de pierre. Pour cacher cette image ignoble et indigne qu’on a donnée de ce lieu, des barrières métalliques peintes en rouge et blanc, seront érigées sur la rue Abane du côté bas, et sur l’avenue de la Liberté, du côté haut.
Depuis, les autorités, et notamment le wali de Constantine n’ont soufflé aucun mot sur ce désastre, qui rappelle curieusement celui opéré en 2005 à la vieille ville où plusieurs maisons ont été démolies à tort. Finalement que devrons-nous retenir de cette action ? Rien, si ce n’est qu’elle sera gravée comme une tache noire dans l’histoire de la ville et dans la mémoire collective de ses habitants. Espérons que la leçon des escaliers du Coudiat soit bien retenue pour éviter d’autres massacres dans d’autres escaliers, qui représentent une partie du patrimoine de cette ville.
«La démolition de ces escaliers ne trouve aucune justification si ce n’est un véritable massacre, surtout que la pierre était toujours en bonne état, mais le fait de casser complètement cette pierre pour la remplacer par un matériau quelconque n’est que du pur vandalisme», s’insurge un riverain. Pourtant, ces escaliers en pierre bleue taillée ont résisté plus de 150 ans depuis les premières opérations d’arasement du Coudiat et de la réalisation vers 1860 de la fameuse rue Rohault de Fleury (actuelle rue Abane Ramdane).
Après la contestation née au lendemain de l’entame des travaux, le chantier s’arrêtera pour quelques semaines. Mais c’était trop tard, car les deux tiers des escaliers ont été déjà démolis, et réduis en blocs de pierre. Pour cacher cette image ignoble et indigne qu’on a donnée de ce lieu, des barrières métalliques peintes en rouge et blanc, seront érigées sur la rue Abane du côté bas, et sur l’avenue de la Liberté, du côté haut.
Depuis, les autorités, et notamment le wali de Constantine n’ont soufflé aucun mot sur ce désastre, qui rappelle curieusement celui opéré en 2005 à la vieille ville où plusieurs maisons ont été démolies à tort. Finalement que devrons-nous retenir de cette action ? Rien, si ce n’est qu’elle sera gravée comme une tache noire dans l’histoire de la ville et dans la mémoire collective de ses habitants. Espérons que la leçon des escaliers du Coudiat soit bien retenue pour éviter d’autres massacres dans d’autres escaliers, qui représentent une partie du patrimoine de cette ville.
Arslan Selmane
Vos réactions 10
patinga
le 27.10.14 | 18h15
avant que je ne pète les plombs
C'est la goute qui fait déborder le vase. Je vous promet que
je ferai personnelement juger les responsables de ce massacre avec ou
sans l'aide des constantinois . j'en ferai une affaire personnelle , je
n'ai plus rien a perdre. Ils faut que ces massacres cessent et tous de
suite .
que dire ...
que dire des gens qui ne connaissent ..ni verdure ni structure
historique ni civilisation..a vrais dire ils ne sont pas a blâmer..tu
donne a l âne des fleur...il va faire avec une chorba
On achève bien la pierre taillée !
Comme par hasard, le même scénario destructif est mis en
œuvre dans la bonne ville de SB Abbès, pas aussi prestigieuse que la
cité de l'empereur Constantin mais qui jusqu'à un passé récent était
connue pour sa modernité et la préservation relative du patrimoine
colonial. Dans une furie destructrice, on n'a trouvé mieux que d'enlever
les butées en pierre taillée des trottoirs d'une rue en plein centre
ville (prés de l'ex-daira) pour les remplacer par un affreux béton mal
dosé qui s’effritera aux premières intempéries. Nul doute que ces
vénérables pierres ont du attiser la convoitise des nouveaux nantis, à
la grande satisfaction de l'entrepreneur qui va facturer lourdement
cette opération. Qui s'inquiétera parmi les élus de la destination
finale de ces pierres ?
Depuis quelques années, on assiste à une curieuse pratique qui ne semble révolter personne : la pose du carrelage sans joint d'assemblage, sans doute pour les enlever plus facilement, puisque dans tous les cas, changement de maire rime avec rénovation de trottoirs dans l'indifférence générale des riverains (être citoyen cela se mérite). Nos gouvernants et nos élus n'ont après tout aucun compte à rendre, puisqu'ils ne sont pas élus dans des élections libres et transparentes. Question : puisqu'ils tiennent à s'enrichir impunément pourquoi leurs prédations ne s'exercent pas sur les quartiers défavorisés des villes et villages ?
Absence d'éthique, recherche de la facilité ou ignorance crasse ?
Depuis quelques années, on assiste à une curieuse pratique qui ne semble révolter personne : la pose du carrelage sans joint d'assemblage, sans doute pour les enlever plus facilement, puisque dans tous les cas, changement de maire rime avec rénovation de trottoirs dans l'indifférence générale des riverains (être citoyen cela se mérite). Nos gouvernants et nos élus n'ont après tout aucun compte à rendre, puisqu'ils ne sont pas élus dans des élections libres et transparentes. Question : puisqu'ils tiennent à s'enrichir impunément pourquoi leurs prédations ne s'exercent pas sur les quartiers défavorisés des villes et villages ?
Absence d'éthique, recherche de la facilité ou ignorance crasse ?
Un massacre en plein ciel !!!
Je ne trouve pas les mots pour exprimer ma réprobation quant à
ce crime contre l'identité même de la ville de Constantine. Nous
n'avons plus de souffle ni de force devant ces agissements
irresponsables de la part d'une bande d'ignorants et d'ignobles
corrompus qui gouvernent notre beau pays, Ou est le premier ministre
pour stopper ce massacre, pourquoi ce silence qui dure aux yeux de toute
une population qui ne demande que paix et vie joyeuse, dégagez du pays
svp vous en avez assez, vous avez piller la nation de fond en comble,
vous avez engendrer une jeunesse livrée à elle même qui ne rêve que de
quitter le pays ou récidiver à l'intérieur pour vivre décemment, vous
avez tuer l'éducation, vous avez produit des assassins, voleurs,
criminels, corrompus, hors la loi, vous avez casser l'état de droit,
vous avez piétiné sur les droits de l'homme, vous avez supprimer la
vraie démocratie, vous avez tout simplement ruiné le pays, que reste
t_il ? quelques prestiges de notre passé glorieux que vous avez envie de
détruire et nous rendre à l'ère primitif, pauvres cons que Dieu vous
châtie et envoie sur vous la malédiction de tout bord. Amine
On se demande
pourquoi les chaînes de télé privées restent muettes sur le
massacre que subit notre belle ville depuis tant d'années. A croire
qu'elles ont peur de perdre leur autorisation d'émettre. Autrement dit,
la peur les transforme en complices du massacre. Il n'y a pas d'autres
explications...
Vidéo
Je pense que le journal El Watan, a sûrement un journaliste
dans le région pour nous proposer des vidéos de ce massacre, car nous ne
sommes pas tous de Constantine. Merci
sinistres et incompétents...
Qu'avons nous fait au bon dieu pour mériter de tels sinistres
et incompétents personnages qui blessent notre âme en défigurant nos
villes. ça va donner du grain à moudre aux colonialistes qui vont hurler
des insanités telles ''on leur a laissé des bijoux et ils ont font des
fers pour chevaux''. Le mot le plus utilisé et qui révulse les Algériens
et INCOMPETENT. Aujourd'hui on peut y ajouter un second Ignares dénués
de tout sens artistique.
silence on massacre
Hier c'était le Colisée , aujourd'hui
c'est des escaliers,mais ce que je ne comprends pas,la prison et la caserne du coudiat,que tous les constantinois sont d'accord pour leur démolition,rien n'est fait,les nostalgiques du FLN,veulent le garder pour des raisons politiques(élections), ces deux édifices déforment et entravent le développement de la ville.
c'est des escaliers,mais ce que je ne comprends pas,la prison et la caserne du coudiat,que tous les constantinois sont d'accord pour leur démolition,rien n'est fait,les nostalgiques du FLN,veulent le garder pour des raisons politiques(élections), ces deux édifices déforment et entravent le développement de la ville.
merci el watan
Se taire devant cette catastrophe c'est acceptér la
destruction de l'algerie sans bouger le petit doigt. Où sont passées
les associations si attachées à Cne ?pourquoi tout le monde se tait au
lieu de crier de colère, de pleurer de chaudes larmes en voyant sa
ville ,son pays massacré tout en étant incapable d'empêcher cela
Pas seulement ...
je prenais souvent ces escaliers pour aller au collège (Lycée
Youghourta maintenant) dans les années 60 ... la boucle est bouclée .
Mais Constantine a été la proie des prédateurs et autres incompétents qui ont préféré le béton à la qualité de la pierre. C'est ainsi que la vielle ville est tombée en ruines, le palais du Bey, les anciennes maisons de maitre. Sans parler du centre ville massacré par Yaala, Messaadia ... avec le destruction de joyaux comme le Colisée et son café-restaurant ... les ponts/passages hideux de la place de la Brèche qui ont été détruits depuis ... le massacre continue ...
Mais Constantine a été la proie des prédateurs et autres incompétents qui ont préféré le béton à la qualité de la pierre. C'est ainsi que la vielle ville est tombée en ruines, le palais du Bey, les anciennes maisons de maitre. Sans parler du centre ville massacré par Yaala, Messaadia ... avec le destruction de joyaux comme le Colisée et son café-restaurant ... les ponts/passages hideux de la place de la Brèche qui ont été détruits depuis ... le massacre continue ...
17 colloques au programme de la manifestation culturelle De 2015
La cité revisitée dans tous ses aspects
le 27.10.14 | 10h00
1 réaction
Pas moins de dix-sept colloques seront organisés durant la manifestation «Constantine capitale 2015 de la culture arabe», en plus d’autres relevant des ministères des affaires religieuses et des moudjahidines.
Selon Slimane Hachi, responsable du département Congrès et colloques,
seulement quatorze colloques étaient prévus au départ et dont les thèmes
avaent été choisis, mais les pouvoirs publics ont décidé d’ajouter
trois autres auxquels il fallait choisir les thématiques. Il nous révèle
à ce sujet : «D’abord il y a le soixante-dixième anniversaire des
massacres du 8 mai 1945 auquel il faut impérativement y consacrer un
colloque et puis, il y a la proposition de monsieur Mohamed Cherif
Zerguine, concernant la célébration de la journée internationale de
l’enfance, un thème que nous allons prendre en considération pour
l’inscrire dans le programme global sous réserve de la décision du
ministère de la culture, seul habilité à en décider».
Toutefois, notre interlocuteur, soucieux de la bonne marche de ces communications, pose un problème ayant trait à l‘entame de ce programme et de soumettre à l’approbation de ses pairs: «Devrons-nous entamer ce cycle de ces congrès, début février, soit avant l’ouverture de la manifestation ou encore, les reporter pour clore nos travaux au-delà de la manifestation, ceci en relation directe avec le colloque qui se tiendra en février prochain à Tiaret concernant la personnalité et les œuvres de Jacques Berque et pour lequel, votre participation est des plus attendue ?».
Il a été retenu à l’unanimité dans cette rencontre tenue jeudi dernier à l’universté des sciences islamiques Emir Abdelkader, que le début des colloques aura lieu en février, une manière aussi d’entrer de plain-pied dans cette manifestation pour lui donner toute sa dimension intellectuelle en passant par une histoire qu’il va falloir revisiter. Notons par ailleurs que cette réunion informelle a été l’occasion de discuter des termes de la convention établie par la tutelle qui a été approuvée par les différents professeurs et autres maîtres de conférences présents à ce conclave.
Toutefois, notre interlocuteur, soucieux de la bonne marche de ces communications, pose un problème ayant trait à l‘entame de ce programme et de soumettre à l’approbation de ses pairs: «Devrons-nous entamer ce cycle de ces congrès, début février, soit avant l’ouverture de la manifestation ou encore, les reporter pour clore nos travaux au-delà de la manifestation, ceci en relation directe avec le colloque qui se tiendra en février prochain à Tiaret concernant la personnalité et les œuvres de Jacques Berque et pour lequel, votre participation est des plus attendue ?».
Il a été retenu à l’unanimité dans cette rencontre tenue jeudi dernier à l’universté des sciences islamiques Emir Abdelkader, que le début des colloques aura lieu en février, une manière aussi d’entrer de plain-pied dans cette manifestation pour lui donner toute sa dimension intellectuelle en passant par une histoire qu’il va falloir revisiter. Notons par ailleurs que cette réunion informelle a été l’occasion de discuter des termes de la convention établie par la tutelle qui a été approuvée par les différents professeurs et autres maîtres de conférences présents à ce conclave.
N. B.
Vos réactions 1
naouri2001
le 29.10.14 | 16h04
CULTURE DE REMPLISSAGE VS CULTURE ARABE
Les interventions évoquées par l'article font paraître qu'en
guise de programme culturel véritable il y aura à ingurgiter du
tout-venant de remplissage ; un genre mortifère que la technocratie du
secteur , avec ses villégiatures inter-wilaya, a fini par imposer au
pays comme façade culturel.
Il y aura donc des "colloques et de congrés" et éventuellement plein de jetons non stop .
A une certaines époque , rien que les scouts musulmans et les sports scolaires faisaient bien mieux ; sans autant d'argent et sans wali ni ministres.
Il y aura donc des "colloques et de congrés" et éventuellement plein de jetons non stop .
A une certaines époque , rien que les scouts musulmans et les sports scolaires faisaient bien mieux ; sans autant d'argent et sans wali ni ministres.
Transport à Constantine : L’ouverture des deux gares routières prévue le 30 octobre
le 27.10.14 | 10h00
5 réactions
La nouvelle gare routière de Ali mendjeli
Le projet de gare multimodale est renvoyé aux calendes grecques en attendant un finnacement.
Pas moins de 800 bus et 500 taxis devront déménager dans les deux
nouvelles gares routières, celles de Ali Mendjeli et du pôle d’échange,
sis à la zone industrielle, Palma, et ce dès le 30 octobre prochain.
C’est ce qu’on a appris auprès du représentant de la direction des
transports de la wilaya, Adel Ameur et celui des services de la commune,
Farid Bouarroudj, invités hier au forum de la radio Cirta Fm.
Le problème central, reste ce nombre qu’il va falloir affecter dans des espaces réduits. Pour cela, le représentant de la direction des transports dira : «Effectivement, avec le nombre impressionnant de véhicules de transports, nous étions dans l’obligation de prévoir une aire de stockage, c’est-à-dire, une zone de stationnement qui aura pour mission première d’accueillir tous les bus en attendant l’heure d’ embarquement de leurs passagers.
Cette aire se trouve non loin du pôle d’échange, c’est-à-dire au niveau de la zone industrielle, précisément attenant à l’ancien souk el fellah». l’invité avait, cependant, du mal à expliquer la faisabilité d’une telle démarche, sachant l’anarchie qui caractérise une bonne partie des transporteurs et c’est à demi mot que nos deux représentants reconnaissent l’acuité d’une telle problématique en déclarant : «Certes, la tâche n’est pas simple, il faut régler certains mécanismes, notamment de communication pour gérer un temps qui reste notre principal souci».
Sur un autre registre, l’on apprend que les nouvelles gares routières seront gérées par des professionnels, issus de la société de gestion des gares routières algériennes, SOGRA ; un choix dicté par la gestion calamiteuse des anciennes structures depuis des lustres, le chef de service des transports terrestres dira : «En fait, il ne suffit pas de construire des structures à coups de milliards pour ignorer le volet de gestion, synonyme de pérennité des ouvrages en assurant une maintenance régulière et une prise en charge effective des usagers, d’ailleurs un cahier des charges a été conçu dans un souci d’en finir avec des pratiques dont les résultats ne sont plus à démontrer».
Par ailleurs et concernant la gare multimodale, conçue comme une réponse concrète aux problèmes de transport dans toutes leurs facettes, l’on apprend que les études sont finalisées, l’octroi du projet à une société algéro-turque effective et il ne reste que l’affectation des crédits pour entamer les travaux. Selon le représentant de la direction des transports : «Cela fait une année que nous avons tout finalisé, nous attendons l’enveloppe financière surtout que lors de la récente visite du ministre de tutelle, nous avons été rassuré que le dossier sera réglé incessamment».
Le problème central, reste ce nombre qu’il va falloir affecter dans des espaces réduits. Pour cela, le représentant de la direction des transports dira : «Effectivement, avec le nombre impressionnant de véhicules de transports, nous étions dans l’obligation de prévoir une aire de stockage, c’est-à-dire, une zone de stationnement qui aura pour mission première d’accueillir tous les bus en attendant l’heure d’ embarquement de leurs passagers.
Cette aire se trouve non loin du pôle d’échange, c’est-à-dire au niveau de la zone industrielle, précisément attenant à l’ancien souk el fellah». l’invité avait, cependant, du mal à expliquer la faisabilité d’une telle démarche, sachant l’anarchie qui caractérise une bonne partie des transporteurs et c’est à demi mot que nos deux représentants reconnaissent l’acuité d’une telle problématique en déclarant : «Certes, la tâche n’est pas simple, il faut régler certains mécanismes, notamment de communication pour gérer un temps qui reste notre principal souci».
Sur un autre registre, l’on apprend que les nouvelles gares routières seront gérées par des professionnels, issus de la société de gestion des gares routières algériennes, SOGRA ; un choix dicté par la gestion calamiteuse des anciennes structures depuis des lustres, le chef de service des transports terrestres dira : «En fait, il ne suffit pas de construire des structures à coups de milliards pour ignorer le volet de gestion, synonyme de pérennité des ouvrages en assurant une maintenance régulière et une prise en charge effective des usagers, d’ailleurs un cahier des charges a été conçu dans un souci d’en finir avec des pratiques dont les résultats ne sont plus à démontrer».
Par ailleurs et concernant la gare multimodale, conçue comme une réponse concrète aux problèmes de transport dans toutes leurs facettes, l’on apprend que les études sont finalisées, l’octroi du projet à une société algéro-turque effective et il ne reste que l’affectation des crédits pour entamer les travaux. Selon le représentant de la direction des transports : «Cela fait une année que nous avons tout finalisé, nous attendons l’enveloppe financière surtout que lors de la récente visite du ministre de tutelle, nous avons été rassuré que le dossier sera réglé incessamment».
N. Benouar
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L'échotier
le 30.10.14 | 12h30
De loin
je voudrais rassurer et dire à Loukan et Patinga que ma
réaction est un cri du coeur, un déchirement face à ce que j'ai pu voir
et constater à chaque fois que je reviens dans ma ville natale. J'ai
quitté Constantine en octobre 1972 et j'ai fait ma vie à l'étranger
après des études de droit. Il n'est pas question d'y revenir un
jour...Vous l'avez dit, l'un et l'autre, que les barbares sont parmi
nous. Merci à vous et espérons un peu de mieux pour ce pays qui mérite
autre chose.
hé hé
J'ai souvent pris des bus et des taxis ("place") à
Constantine et Annaba. J'ai vu des gares nouvellement construites, se
dégrader petit à petit. Et un grue qui est restée prise dans l'enceinte
circulaire de la gare routière d'Annaba (oui oui , il a fallu la
démonter pièce par pièce). Ces gares sont devenues des zones de violence
(vol ..) d'insalubrité, ...
Echotier, j'ai eu plus de chances que toi ... si je reviens encore à Constantine, j'ai pris la poudre d'escampette il y a 44 ans ... jeune adulte. Juste au cas où : il faut sortir des villes ... c'est nettement mieux.
Echotier, j'ai eu plus de chances que toi ... si je reviens encore à Constantine, j'ai pris la poudre d'escampette il y a 44 ans ... jeune adulte. Juste au cas où : il faut sortir des villes ... c'est nettement mieux.
a nl'L'échitier ,
Il n'est jamais trop tard . le pays se degrade a vue d'euil,
il est complétement défiguré, massacré on detruit des monuments en
pierre de taille au marteau piqueur que faut-il de plus pour que vous
compreniez que les vandales et les barbares sont parmi nous et
detiennent le pouvoir absolu. y'a riena esperer de ce pays maudit.
c’est du irréel !!!!
le texte qui régie la location et la gestion des gares
routières a été ficelé d'une façon à que personne ne peut profiter sauf
les proches du clan car le prétendu bénéficiaire de GR ( au enchères
) doit débuter les enchères d’au moins de 7% du cout globale de la
réalisation de la GR plus le prix de assiette du terrain en plus il
doit avoir gérer dans le passé au moins 2 GR de type A,B,C c’est
du irréel !!!!
Lorsque
je lis que ces gares routières vont être gérées par des
professionnels, je dis au secours, sauve qui peut car le
professionnalisme n'a pas droit de cité dans notre pays. Tout est faux,
tout n'est qu'amateurisme et faux semblant, corruption, trafic
d'influence et médiocrité. Cela à tous les étages. Si mon âge me le
permettait, je prendrais la clé des champs. Comme tant d'autres avant
moi.
Mise à niveau du vieux bâti en perspective de 2015
De la réhabilitation au simple ravalement de façades
le 28.10.14 | 10h00
2 réactions
Les entreprises ont reçu les ODS cinq mois après le...
Les travaux risquent de connaître de sérieux retards à cause des lourdeurs bureaucratiques.
Les travaux de réhabilitation d’une partie de l’ancien patrimoine
immobilier de la ville de Constantine, inscrits dans le cadre du
programme d’accompagnement des projets en cours de réalisation, en
perspective de la manifestation 2015, risquent de prendre un sérieux
retard sur les prévisions. Pire, l’opération de réhabilitation d’un
total de 343 immeubles anciens risque de se transformer en une simple
opération de …ravalement de façades. Ni plus ni moins.
Initialement prévue pour fin 2014, la finalisation des travaux de réhabilitation des vieilles bâtisses concernées prendra certainement beaucoup plus de temps à cause notamment des lourdeurs bureaucratiques. Certaines sources proches du dossier évoquent à cet effet, le mois de février voire mars pour que la rénovation des immeubles concernés soit achevée. Le problème réside, selon notre source, dans l’octroi tardif des ordres de services (ODS) et la signature des marchés par les entreprises étrangères retenues. «Les entreprises étrangères chargées de la réhabilitation ne signeront le marché que cette semaine.
Elles viennent également de recevoir les ODS. Ces entreprises ont entamé les travaux par anticipation pour ne pas trop perdre de temps car la procédure réglementaire aurait pris beaucoup plus de temps, mais malgré cela les travaux n’ont pas beaucoup avancé», nous dit-on. En effet, en dépit de ce prétendu gain de temps les travaux piétinent, car les entreprises étrangères engagées dans ce processus de relooking attendent depuis plusieurs semaines que le financement nécessaire à l’importation de matériaux spécifiques et de main d’œuvre qualifiée soit enfin débloqué.
Entamés au mois d’août 2014, les travaux relatifs à la mise à niveau du vieux bâti de Constantine devaient durer environ six mois et cibler l’étanchéité des terrasses, la réfection des vieilles toitures, la réfection des cages d’escaliers et le ravalement des façades. Or, avec le retard enregistré dans la signature des marchés et l’octroi des ODS, l’ambitieux programme de réhabilitation de ces immeubles pourrait être revu à la baisse et se transformer en un simple ravalement de façade. «Les travaux ont pris un mauvais départ. Les choses ont été faites tardivement, dans la précipitation.
Ces projets constituent une chance inespérée pour Constantine d’acquérir de nouvelles infrastructures et des immeubles rénovés, mais il aurait fallu engager ce grand chantier dans les temps pour que tout soit exécuté correctement loin de tout bricolage dicté par les retards importants enregistrés sur les prévisions», déplore une source proche de la wilaya. Malheureusement, au regard des lenteurs et des retards qui caractérisent la plupart des projets inscrits dans le cadre des préparatifs pour le rendez-vous de 2015, l’irrespect des délais de réalisation est devenue une marque déposée caractérisant le méga chantier portant le sceau de 2015.
Initialement prévue pour fin 2014, la finalisation des travaux de réhabilitation des vieilles bâtisses concernées prendra certainement beaucoup plus de temps à cause notamment des lourdeurs bureaucratiques. Certaines sources proches du dossier évoquent à cet effet, le mois de février voire mars pour que la rénovation des immeubles concernés soit achevée. Le problème réside, selon notre source, dans l’octroi tardif des ordres de services (ODS) et la signature des marchés par les entreprises étrangères retenues. «Les entreprises étrangères chargées de la réhabilitation ne signeront le marché que cette semaine.
Elles viennent également de recevoir les ODS. Ces entreprises ont entamé les travaux par anticipation pour ne pas trop perdre de temps car la procédure réglementaire aurait pris beaucoup plus de temps, mais malgré cela les travaux n’ont pas beaucoup avancé», nous dit-on. En effet, en dépit de ce prétendu gain de temps les travaux piétinent, car les entreprises étrangères engagées dans ce processus de relooking attendent depuis plusieurs semaines que le financement nécessaire à l’importation de matériaux spécifiques et de main d’œuvre qualifiée soit enfin débloqué.
Entamés au mois d’août 2014, les travaux relatifs à la mise à niveau du vieux bâti de Constantine devaient durer environ six mois et cibler l’étanchéité des terrasses, la réfection des vieilles toitures, la réfection des cages d’escaliers et le ravalement des façades. Or, avec le retard enregistré dans la signature des marchés et l’octroi des ODS, l’ambitieux programme de réhabilitation de ces immeubles pourrait être revu à la baisse et se transformer en un simple ravalement de façade. «Les travaux ont pris un mauvais départ. Les choses ont été faites tardivement, dans la précipitation.
Ces projets constituent une chance inespérée pour Constantine d’acquérir de nouvelles infrastructures et des immeubles rénovés, mais il aurait fallu engager ce grand chantier dans les temps pour que tout soit exécuté correctement loin de tout bricolage dicté par les retards importants enregistrés sur les prévisions», déplore une source proche de la wilaya. Malheureusement, au regard des lenteurs et des retards qui caractérisent la plupart des projets inscrits dans le cadre des préparatifs pour le rendez-vous de 2015, l’irrespect des délais de réalisation est devenue une marque déposée caractérisant le méga chantier portant le sceau de 2015.
Lydia Rahmani
Vos réactions 2
cnoa
le 29.10.14 | 14h38
Choix des immeubles
Je constate que dans le choix des immeubles pour la
réhabilitation, il en en a beaucoup n'ayant aucune valeur historique,
culturelle ou architecturale (entre autres l'immeuble en photo
ci-dessus)au détriment de beaucoup qui font la ville . . .
Il n'y a pas
que les lourdeurs bureaucratiques qui retardent les travaux.
Il faut juste s'arrêter quelques minutes devant un chantier et vous
verrez que les employés passent leur temps à tout faire sauf à
travailler. La moindre occasion est saisie pour s'arrêter de bosser.
Pendant ce temps, la ville croule sous la poussière et la pollution du
trafic démentiel des voitures. On veut faire de Constantine une
capitale, alors que l'urgence est d'abord d'en faire une ville...qui
fonctionne.
Des infrastructures sanitaires baptisées en leurs noms à El Khroub (Constantine)
Hommage à Pierre Chaulet et Saddek Masseboeuf
le 29.10.14 | 10h00
6 réactions
Le centre communautaire a ouvert ses portes en 2001
C’est la première fois à Constantine qu’une institution honore des militants algériens d’origine européenne.
Deux ans après son décès, le 5 octobre 2012, l’APC du Khroub a décidé
de rendre hommage au Pr. Pierre Chaulet, médecin et militant
anticolonialiste, en baptisant en son nom la polyclinique Massinissa,
nouvellement construite, alors que le Centre de Santé Communautaire,
portera le nom du Dr Saddek Jean Masseboeuf, lui aussi fervent militant
pour l’indépendance de l’Algérie, décédé en 1985 à Constantine. Un
hommage à la hauteur des sacrifices, de l’humanisme et de l’engagement
de ces deux figures de la révolution nationale.
Deux médecins algériens d’origine française, que l’APC du Khroub a décidé d’honorer la mémoire, à l’occasion du 1er Novembre 2014, et ce, en baptisant en leur nom deux importantes infrastructures sanitaires. Une date hautement symbolique pour deux patriotes qui ont milité pour l’indépendance de l’Algérie en entreprenant notamment des opérations secrètes avec le Front de libération nationale et dont les nobles actions ne doivent pas tomber dans l’oubli. Le choix de la commune du Khroub pour ces deux activistes et défenseurs des droits de l’homme est, par ailleurs, particulier, d’autant qu’il cible, pour la première fois, des algériens d’origine française.
Né en 1930 à Alger, Pierre Chaulet a intégré les réseaux clandestins du FLN avec son épouse et acquis la nationalité algérienne, en 1963. Il fait partie des membres fondateurs de l’agence presse service (APS), à Tunis, en 1961. Professeur en médecine et expert de la tuberculose auprès de l’OMS en 1981, Dr Pierre Chaulet a été élu à la première assemblée populaire communale d’Alger, avant d’être nommé vice-président de l’Observatoire national des droits de l’Homme. Il a été inhumé, à sa demande, au cimetière chrétien de Diar Essaâda à El Madania, aux côtés du militant Henri Maillot, mort sous les balles de l’armée française en 1956.
Le Pr. Saddek Jean Massebœuf est né, quant à lui, en 1908 à la Rochelle en France et poursuit des études de médecine à la faculté d’Alger dans les années 1930. Il commencera ses activités clandestines (transport d’armes) en 1956. Arrêté, il sera transféré à plusieurs reprises dans différentes maisons d’arrêt dont celle de Blida et la prison des Baumettes à Marseille notamment jusqu’à sa libération en 1962. En 1963, il obtient la nationalité algérienne et prend la tête du département de la santé à Constantine. Décédé le 24 avril 1985 dans cette même ville, il est enterré au cimetière musulman sachant qu’il avait également embrassé la religion musulmane d’où son prénom Saddek.
Dans ses «témoignages autobiographiques», rédigés en 1979, le Pr. Masseboeuf explique s’être engagé pas à pas dans la Révolution algérienne «parce qu’elle constituait à mes yeux un chaînon de la lutte anti-impérialiste mondiale et s’inscrivait dans la continuité de l’éternelle lutte des hommes et des peuples à la conquête de leur dignité et de leur liberté». Il prête son nom désormais au Centre de Santé Communautaire du Khroub, unique infrastructure du genre en Algérie, inaugurée en 2001, et dont l’objectif est la promotion de la santé, l’éducation sanitaire et la prévention active.
Deux médecins algériens d’origine française, que l’APC du Khroub a décidé d’honorer la mémoire, à l’occasion du 1er Novembre 2014, et ce, en baptisant en leur nom deux importantes infrastructures sanitaires. Une date hautement symbolique pour deux patriotes qui ont milité pour l’indépendance de l’Algérie en entreprenant notamment des opérations secrètes avec le Front de libération nationale et dont les nobles actions ne doivent pas tomber dans l’oubli. Le choix de la commune du Khroub pour ces deux activistes et défenseurs des droits de l’homme est, par ailleurs, particulier, d’autant qu’il cible, pour la première fois, des algériens d’origine française.
Né en 1930 à Alger, Pierre Chaulet a intégré les réseaux clandestins du FLN avec son épouse et acquis la nationalité algérienne, en 1963. Il fait partie des membres fondateurs de l’agence presse service (APS), à Tunis, en 1961. Professeur en médecine et expert de la tuberculose auprès de l’OMS en 1981, Dr Pierre Chaulet a été élu à la première assemblée populaire communale d’Alger, avant d’être nommé vice-président de l’Observatoire national des droits de l’Homme. Il a été inhumé, à sa demande, au cimetière chrétien de Diar Essaâda à El Madania, aux côtés du militant Henri Maillot, mort sous les balles de l’armée française en 1956.
Le Pr. Saddek Jean Massebœuf est né, quant à lui, en 1908 à la Rochelle en France et poursuit des études de médecine à la faculté d’Alger dans les années 1930. Il commencera ses activités clandestines (transport d’armes) en 1956. Arrêté, il sera transféré à plusieurs reprises dans différentes maisons d’arrêt dont celle de Blida et la prison des Baumettes à Marseille notamment jusqu’à sa libération en 1962. En 1963, il obtient la nationalité algérienne et prend la tête du département de la santé à Constantine. Décédé le 24 avril 1985 dans cette même ville, il est enterré au cimetière musulman sachant qu’il avait également embrassé la religion musulmane d’où son prénom Saddek.
Dans ses «témoignages autobiographiques», rédigés en 1979, le Pr. Masseboeuf explique s’être engagé pas à pas dans la Révolution algérienne «parce qu’elle constituait à mes yeux un chaînon de la lutte anti-impérialiste mondiale et s’inscrivait dans la continuité de l’éternelle lutte des hommes et des peuples à la conquête de leur dignité et de leur liberté». Il prête son nom désormais au Centre de Santé Communautaire du Khroub, unique infrastructure du genre en Algérie, inaugurée en 2001, et dont l’objectif est la promotion de la santé, l’éducation sanitaire et la prévention active.
Lydia Rahmani
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albi25
le 03.11.14 | 23h11
fièr
de ce petit village, et qui est devenu une ville ,et qui m'a
vu naître et un grand merci a abdelhamid aberkane qui par cette action a
su rendre a ces deux Algériens d'adoption, et qui ont choisi cette
Algérie, et quel choix pendant cette période décisive , pour dire qu'ils
l'ont fait avec cœur ,est leurs droit le plus élémentaire pour
qu'enfin leurs noms trône sur ces deux établissements de santé.
Ne jamais oublier...
Il ne faut jamais oublier ceux qui ont fait le choix de
l'indépendance Algérienne et qui se sont engagés durant toute leur vie
en plus.
La génération qui a connu la période de la guerre reste sensibles à cette reconnaissance pour ces amis des moments durs, ces Algériens que nous devons célébrer et accrocher leurs noms sur des édiffices publics; des avenues, des rues des places...Pour que leurs noms soient à jamais gravés dans notre vie, nos coeurs et pour la fin des temps...Merci aux responsables, ces gestes les honorent.
La génération qui a connu la période de la guerre reste sensibles à cette reconnaissance pour ces amis des moments durs, ces Algériens que nous devons célébrer et accrocher leurs noms sur des édiffices publics; des avenues, des rues des places...Pour que leurs noms soient à jamais gravés dans notre vie, nos coeurs et pour la fin des temps...Merci aux responsables, ces gestes les honorent.
un acte de mémoire et de justice
... auquel je suis particulièrement sensible : à travers cet
hommage, c'est aussi justice qui est rendue à ces médecins algériens
d'origine européenne qui ont su aller jusqu'au bout de leurs engagements
aux côtés du peuple algérien quand il le fallait. Je travaille
actuellement à un livre qui retrace l'itinéraire politique et
professionnel de Jean Saddek Masseboeuf qui était mon oncle; et c'est
aussi à ce titre très personnel que je veux exprimer ici ma gratitude à
ceux qui sont à l'origine de cette reconnaissance, notamment aux membres
de l'APC du Khroub.
La boucle est bouclée
Psychiatre aux Baumettes, je serai Samedi au Khroub pour
porter la parole de ma mère Kheira, mes soeurs Assia, Amina et Hayet et
remercier le Pr Abdelhamid Aberkane de cette reconnaissance officielle
bien que nous n’ayons jamais douté de la mémoire fidèle de nombre de
ceux qui ont côtoyé mon père, Jean Saddek Masseboeuf. Mémoire honorée
également il y a deux ans à l'occasion d'une journée consacrée par la
SAMT sous l'impulsion des Pr Abdelmalek Nezzal et Kamel Saïd Gueroui et
bien d'autres que je n'oublie pas.
J'ai souvent dit que j'étais une enfant de l'indépendance, en cette date particulière pour notre famille je me dis que je suis d'abord une enfant du 1er Novembre, et modestement et humblement ma pensée va à tous les anonymes présents ou disparus ...
Fachhadou, Fachadou, Fachhadou...
Merci.
J'ai souvent dit que j'étais une enfant de l'indépendance, en cette date particulière pour notre famille je me dis que je suis d'abord une enfant du 1er Novembre, et modestement et humblement ma pensée va à tous les anonymes présents ou disparus ...
Fachhadou, Fachadou, Fachhadou...
Merci.
Bien bien
C'est une bonne chose que l'APC du Khroub et son maire le
professeur de médecine A. Aberkane, ait pris le soin d'honorer 2 grands
militants de la cause de l'indépendance algérienne. J'ai connu S.J.
Masseboeuf par mon père, dans les années 60.
Paix à eux et merci pour avoir soutenu une lutte juste.
Paix à eux et merci pour avoir soutenu une lutte juste.
il n'est jamais trop tard...
... pour bien faire. J'ai connu personnellement Dr Masseboeuf
quand il dirigeait la CASOREC ( caissse sociale de la region de
constantine ) dans les années 70/80. j'etait etudiant et il etait ami de
la famille. il merite cet hommage.
Constructions illicites à Constantine
Ces lotissements qui naissent la nuit
le 30.10.14 | 10h00
4 réactions
Les propriétaires n’ont ni permis de lotir, ni permis de...
Tout le monde est au courant mais personne ne réagit.
Ils n’ont ni permis de lotir ni permis de construire et ils sont en
train d’ériger des villas au nez et à la barbe de tous, indûment et
pendant la nuit. Ça se passe sur le versant situé entre la cité dite
Belhadj et la route Massinissa, sur une terre agricole qui fait face à
la ville. Un terrain où tout le monde aimerait habiter à cause du site
panoramique, mais lequel est classé zone non constructible. Ce n’est pas
le seul lotissement anarchique qui voit le jour par ces temps d’absence
de l’Etat à Constantine et de chaos urbanistique.
D’autres sites notamment à Ledjdour, Salah bey, El Meridj, Naâdja Seghira (près de Boussouf), et aussi aux Eucalyptus, en bas de la cité Belhadj, poussent grâce à l’action criminelle de propriétaires terriens cupides et irrespectueux de la loi, qui vendent des lots à construire sans détenir le permis de lotir. Permis qu’ils sont incapables de décrocher du fait que leurs terrains ne répondent pas aux règles de l’urbanisme, notamment la loi 08/15.
De l’autre côté, les acheteurs issus de l’exode rural et du magma des blanchisseurs d’argent comptent sur le silence d’une administration locale faible et/ou complice pour ériger leurs blocus et mettre la ville devant le fait accompli, en attendant la régularisation. Stratégie classique. Le cas de ce nouveau site qui appartenait à la famille Benabdelkader est symptomatique. Depuis des mois maintenant, des engins font des terrassements, dans la discrétion, et certains sont même passés au coulage de la plate-forme.
Tout le monde est au courant mais personne ne réagit. La commune, première institution concernée et censée veiller au respect de l’urbanisme, n’a pas encore bougé le petit doigt alors qu’on dit que le maire, Sifeddine Rihani, a constitué un dossier qu’il a transmis à la wilaya. Le wali et son DUC ne peuvent pas non plus s’offrir le luxe de rester à l’écart de cette situation. Un bidonville de plus est un bidonville de trop, quand bien même il est constitué de grandes maisons à plusieurs étages.
Dans les couloirs de la commune, où on se réuni chaque jour pour examiner cette situation, on chuchote que le silence officiel est imposé par la qualité de certains acquéreurs. Il se trouve effectivement parmi eux une femme magistrat qui aurait usé de son influence pour régulariser deux lots totalement illégaux. Mais est-ce une raison pour justifier la passivité ou bien une vieille astuce qu’on invoque pour tétaniser l’administration et ramener l’opinion publique à la résignation ? Les responsables de cette ville, le maire à leur tête, sont comptables des dérapages urbanistiques. Si ce lotissement voit le jour, ils en porteront à jamais la responsabilité comme on porte un bonnet d’âne.
D’autres sites notamment à Ledjdour, Salah bey, El Meridj, Naâdja Seghira (près de Boussouf), et aussi aux Eucalyptus, en bas de la cité Belhadj, poussent grâce à l’action criminelle de propriétaires terriens cupides et irrespectueux de la loi, qui vendent des lots à construire sans détenir le permis de lotir. Permis qu’ils sont incapables de décrocher du fait que leurs terrains ne répondent pas aux règles de l’urbanisme, notamment la loi 08/15.
De l’autre côté, les acheteurs issus de l’exode rural et du magma des blanchisseurs d’argent comptent sur le silence d’une administration locale faible et/ou complice pour ériger leurs blocus et mettre la ville devant le fait accompli, en attendant la régularisation. Stratégie classique. Le cas de ce nouveau site qui appartenait à la famille Benabdelkader est symptomatique. Depuis des mois maintenant, des engins font des terrassements, dans la discrétion, et certains sont même passés au coulage de la plate-forme.
Tout le monde est au courant mais personne ne réagit. La commune, première institution concernée et censée veiller au respect de l’urbanisme, n’a pas encore bougé le petit doigt alors qu’on dit que le maire, Sifeddine Rihani, a constitué un dossier qu’il a transmis à la wilaya. Le wali et son DUC ne peuvent pas non plus s’offrir le luxe de rester à l’écart de cette situation. Un bidonville de plus est un bidonville de trop, quand bien même il est constitué de grandes maisons à plusieurs étages.
Dans les couloirs de la commune, où on se réuni chaque jour pour examiner cette situation, on chuchote que le silence officiel est imposé par la qualité de certains acquéreurs. Il se trouve effectivement parmi eux une femme magistrat qui aurait usé de son influence pour régulariser deux lots totalement illégaux. Mais est-ce une raison pour justifier la passivité ou bien une vieille astuce qu’on invoque pour tétaniser l’administration et ramener l’opinion publique à la résignation ? Les responsables de cette ville, le maire à leur tête, sont comptables des dérapages urbanistiques. Si ce lotissement voit le jour, ils en porteront à jamais la responsabilité comme on porte un bonnet d’âne.
Nouri Nesrouche
Vos réactions 4
L'échotier
le 06.11.14 | 18h21
Cest connu,
seuls les voleurs agissent la nuit...
Incompréhension
C'est grave ce qui se passe dans ce pays. Le peuple est volé,
maltraité, réduit au silence et écarté de toute vie citoyenne. Mais que
fait ce peuple? Il regarde le train des injustices passer sans bouger.
Même au Burkina Faso, il a eu le courage de dire stop. mais où sont nos
hommes, les héritiers des fils de novembre? On en a fait des tubes
digestifs sans cerveau et sans boussole. Quel gâchis!
Ils font comme fait le clan au pouvoir
...Ni plus ni moins....il n'y a pas d'état de droit et des
types comme Khelil se la coulent douce sous la protection de said la
tchippa. ..Du coup tout le monde suit le mauvais exemple de ce maudit
régime. .
ou sont les autorités ?
on ne fait que constater l'anarchie dans ce pays ou rien ne marche. c'est pathetique.
Constructions illicites : Rihani fuit ses responsabilités
le 02.11.14 | 10h00
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Interrogé en marge de la session de l’APC, tenue jeudi dernier, sur les
constructions illicites réalisées sur le lotissement Benabdelkader,
précisément sur le versant situé entre la cité Belhadj et la route
Massinissa, sur une terre agricole qui fait face à la ville, le P/APC,
Seifeddine Rihani s’est contenté de dire que «des rapports ont été
rédigés et des correspondances ont été adressées par nos services à la
Gendarmerie afin d’ouvrir des enquêtes sur des pratiques de vente
anarchique de lots de terrain».
Une réponse qui n’apporte rien de nouveau, surtout que des constructions sont en train de pousser dans ces lieux, où les propriétaires ne disposent ni de permis de lotir, ni de permis de construire. Ces rapports rédigés, dont le P/APC fait allusion, ne datent pas d’aujourd’hui. Ce qui confirme que les choses tournent en rond, et les responsables de la commune, à leur tête le P/APC, sont incapables de stopper cette anarchie urbanistique que connaît la ville. Cependant, on s’interroge sur l’importance de ces spéculateurs qui agissent librement au vu et au su des autorités locales, et dans l’impunité totale.
Une réponse qui n’apporte rien de nouveau, surtout que des constructions sont en train de pousser dans ces lieux, où les propriétaires ne disposent ni de permis de lotir, ni de permis de construire. Ces rapports rédigés, dont le P/APC fait allusion, ne datent pas d’aujourd’hui. Ce qui confirme que les choses tournent en rond, et les responsables de la commune, à leur tête le P/APC, sont incapables de stopper cette anarchie urbanistique que connaît la ville. Cependant, on s’interroge sur l’importance de ces spéculateurs qui agissent librement au vu et au su des autorités locales, et dans l’impunité totale.
O.-S. M.
Le pont de Sidi-Rached hors de danger ?
le 02.11.14 | 10h00
1 réaction
Le lancement de l’ultime phase de confortement et de restauration du pont de Sidi-Rached, à Constantine, aura lieu en 2016, après la clôture de la manifestation «Constantine capitale 2015 de la culture arabe», a indiqué jeudi à l’APS le directeur des Travaux publics, Djamel-Eddine Bouhamed.
Cette dernière phase, la troisième, portant essentiellement sur le
confortement de l’arche n° 5 qui sera entièrement démolie puis
reconstruite, «ne pourra être lancée que dans le courant de l’année 2016
en raison de la complexité de cette étape qui nécessité la fermeture
pure et simple de ce pont durant toute la période des travaux», a
souligné le même responsable.
Affirmant que l’arrêt des travaux lors de la manifestation culturelle que Constantine s’apprête à accueillir dans quelques mois «ne représentera aucun danger pour cet ouvrage emblématique», M. Bouhamed a indiqué que toutes les dispositions techniques nécessaires ont prises pour protéger cet ouvrage.
Le directeur des Travaux publics a également fait savoir, dans le même contexte, que le pont de Sidi-Rached vient d’être doté d’un système de monitorage devant permettre aux responsables concernés de détecter en temps réel la moindre anomalie dans la structure de l’ouvrage. Il a également affirmé que les premiers résultats du contrôle de cet ouvrage, obtenus à l’aide de ce système de monitorage, démontrent que le pont est «stable et ne présente aucun risque».
Cet ouvrage cher aux constantinois, qui se trouvait dans un état de dégradation «plus ou moins avancée», a «dépassé la phase de danger grâce aux multiples opérations de consolidation réalisées depuis 2011 au moyen de techniques de pointe, a encore affirmé M. Bouhamed. Un investissement public de 800 millions de dinars avait été consenti pour la mise à niveau et le confortement de cet pont construit entre 1908 et 1912, et qui était considéré, lors de sa construction comme le plus haut pont en maçonnerie du monde.
Affirmant que l’arrêt des travaux lors de la manifestation culturelle que Constantine s’apprête à accueillir dans quelques mois «ne représentera aucun danger pour cet ouvrage emblématique», M. Bouhamed a indiqué que toutes les dispositions techniques nécessaires ont prises pour protéger cet ouvrage.
Le directeur des Travaux publics a également fait savoir, dans le même contexte, que le pont de Sidi-Rached vient d’être doté d’un système de monitorage devant permettre aux responsables concernés de détecter en temps réel la moindre anomalie dans la structure de l’ouvrage. Il a également affirmé que les premiers résultats du contrôle de cet ouvrage, obtenus à l’aide de ce système de monitorage, démontrent que le pont est «stable et ne présente aucun risque».
Cet ouvrage cher aux constantinois, qui se trouvait dans un état de dégradation «plus ou moins avancée», a «dépassé la phase de danger grâce aux multiples opérations de consolidation réalisées depuis 2011 au moyen de techniques de pointe, a encore affirmé M. Bouhamed. Un investissement public de 800 millions de dinars avait été consenti pour la mise à niveau et le confortement de cet pont construit entre 1908 et 1912, et qui était considéré, lors de sa construction comme le plus haut pont en maçonnerie du monde.
Vos réactions 1
L'échotier
le 02.11.14 | 14h05
Des menteurs
doublés de voleurs, voilà comment il faut qualifier tous ces
directeurs parachutés de nulle part et plus exactement juste sortis des
polycliniques pour grenouiller dans des postes qui dépassent leur petit
cerveau de bras cassés. Cela fait des années que ce superbe édifice
réalisé par un ingénieur français, natif de la ville d'Orléans, est en
danger. Les opérations de stabilisation se succèdent et le pont menace
toujours de s'effondrer. Chercher l'erreur ou les erreurs. Pauvre ville.
Evocation : Lakhdar Abdeslam Ben Badis
Le toubib au long parcours de militant
le 04.11.14 | 10h00
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Nombreux sont les Constantinois et autres visiteurs de la ville des
Ponts qui continuent de croire toujours que le centre
hospitalo-universitaire de la ville porte le nom de l’imam Ben Badis,
alors que l’établissement a été baptisé au nom du neveu du Cheikh, le
docteur Lakhdar Abdeslam Ben Badis, le militant ophtalmologue qui a
sacrifié sa vie pour la cause nationale. «C’est grâce à un ami intime,
le professeur radiologue Messaoud Bendib ayant entrepris des démarches
auprès du ministère de la Santé, que le CHU de Constantine porte le nom
de Lakhdar Abdeslam Ben Badis», nous a révélé Abdelhak Ben Badis, frère
cadet du cheikh Abdelhamid.
Fils de Mouloud Ben Badis, second frère dans la famille du cheikh et directeur, à l’époque, de l’orphelinat musulman de Sidi Mabrouk, Lakhdar Abdeslam est né le 27 janvier 1923 à Constantine. Il fit ses études primaires en français avant de fréquenter le lycée d’Aumale (actuellement Rédha Houhou) où il obtint son bac en 1941.
Le cheikh Mohamed Belabed, élève du cheikh Ben Badis, lui assurait des cours particuliers en arabe. Intéressé par des études en médecine, il fit un passage par la faculté d’Alger entre 1941 et 1945, avant de poursuivre son cursus à la faculté de médecine de Paris entre 1945 et 1951, pour se spécialiser en ophtalmologie de 1950 à 1952. Il fera son internat à l’hôpital Charles Nicole de Tunis, sous le patronage du professeur tunisien Raïs pour clôturer par une thèse de doctorat en médecine.
L’ouverture de son cabinet médical au n°29 de l’ex-rue Georges Clemenceau (actuellement Larbi Ben M’hidi) fut l’un des événements les plus marquants de la vie de Lakhdar Abdeslam Ben Badis. Militant convaincu, il fut membre de l’Association des étudiants musulmans algériens (1941-1944), puis membre de l’Association des musulmans algériens de France (1950-1952). Son intense activité militante au FLN à Paris comme à Constantine, où son cabinet médical servait de refuge pour les membres du FLN et de l’ALN, n’était pas sans lui créer des problèmes avec les autorités françaises.
Arrêté et interné en 1957, alors qu’il prenait part à la grève des six jours, il sera transféré vers le centre d’internement d’El Ghirane de Hamma Bouziane, à 10 km au nord de Constantine, puis vers celui de Bir El Ogla, aux environs de Aïn M’lila. Là, il a refusé catégoriquement de servir comme médecin. Transféré au centre d’internement d’El Djorf, à Tébessa, il prend contact avec les éléments de l’ALN.
C’est lors d’une sortie à M’sila pour approvisionner le centre en médicaments qu’il réussit à prendre la fuite et rejoindre le maquis. Depuis, sa famille n’aura plus aucune nouvelle de lui jusqu’au jour où elle apprendra sa mort au maquis. Le 13 mars 1963, sa famille reçoit une attestation de la 5e région militaire mentionnant que le frère Docteur Lakhdar Abdeslam Ben Badis qui a rejoint les rangs de l’ALN en 1959 est tombé au champ d’honneur en 1960.
Fils de Mouloud Ben Badis, second frère dans la famille du cheikh et directeur, à l’époque, de l’orphelinat musulman de Sidi Mabrouk, Lakhdar Abdeslam est né le 27 janvier 1923 à Constantine. Il fit ses études primaires en français avant de fréquenter le lycée d’Aumale (actuellement Rédha Houhou) où il obtint son bac en 1941.
Le cheikh Mohamed Belabed, élève du cheikh Ben Badis, lui assurait des cours particuliers en arabe. Intéressé par des études en médecine, il fit un passage par la faculté d’Alger entre 1941 et 1945, avant de poursuivre son cursus à la faculté de médecine de Paris entre 1945 et 1951, pour se spécialiser en ophtalmologie de 1950 à 1952. Il fera son internat à l’hôpital Charles Nicole de Tunis, sous le patronage du professeur tunisien Raïs pour clôturer par une thèse de doctorat en médecine.
L’ouverture de son cabinet médical au n°29 de l’ex-rue Georges Clemenceau (actuellement Larbi Ben M’hidi) fut l’un des événements les plus marquants de la vie de Lakhdar Abdeslam Ben Badis. Militant convaincu, il fut membre de l’Association des étudiants musulmans algériens (1941-1944), puis membre de l’Association des musulmans algériens de France (1950-1952). Son intense activité militante au FLN à Paris comme à Constantine, où son cabinet médical servait de refuge pour les membres du FLN et de l’ALN, n’était pas sans lui créer des problèmes avec les autorités françaises.
Arrêté et interné en 1957, alors qu’il prenait part à la grève des six jours, il sera transféré vers le centre d’internement d’El Ghirane de Hamma Bouziane, à 10 km au nord de Constantine, puis vers celui de Bir El Ogla, aux environs de Aïn M’lila. Là, il a refusé catégoriquement de servir comme médecin. Transféré au centre d’internement d’El Djorf, à Tébessa, il prend contact avec les éléments de l’ALN.
C’est lors d’une sortie à M’sila pour approvisionner le centre en médicaments qu’il réussit à prendre la fuite et rejoindre le maquis. Depuis, sa famille n’aura plus aucune nouvelle de lui jusqu’au jour où elle apprendra sa mort au maquis. Le 13 mars 1963, sa famille reçoit une attestation de la 5e région militaire mentionnant que le frère Docteur Lakhdar Abdeslam Ben Badis qui a rejoint les rangs de l’ALN en 1959 est tombé au champ d’honneur en 1960.
Arslan Selmane
Projet 502 logements ONMI BAT
Les promoteurs Maghraoui et Yaïche mis en demeure
le 04.11.14 | 10h00
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Les souscripteurs au projet de 502 logements participatifs OMNI BAT ont tenu, pour la énième fois, un sit-in devant le cabinet du wali pour exprimer leur colère envers les autorités qui n’arrivent pas à solutionner ce problème qui dure depuis 14 ans.
Après leur dernier sit-in, le wali a orienté ces citoyens vers le chef
de daïra, et leur a promis que dans 15 jours ce responsable va les
recevoir, affirme Nabil Laârbaoui, l’un des revendicateurs. Mais ils
étaient sidérés, toujours selon notre interlocuteur, quand le chef de
daïra a refusé de les accueillir. Djaâfer Mellakh, un autre
souscripteur, nous a déclaré qu’ils ont saisi le directeur du logement
(DL) pour connaitre les mesures décidées contre ces promoteurs, en
l’occurrence Driss Maghraoui et son associé Abdelghani Yaïche.
«Le DL nous a affirmé avoir mis en demeure les promoteurs, après avoir envoyé une commission sur le chantier, laquelle a constaté que le projet n’a pas évolué. Il nous a aussi promis de faire une autre mise en demeure si les travaux ne reprennent pas. Et si ça continue les autorités vont leur retirer le projet et les accorder à un autre promoteur.» raconte le même souscripteur. Ces pauvres souscripteurs se demandent quel sera leur avenir ? Et combien de temps faut-il encore attendre afin d’habiter leurs appartements ? Notre deuxième interlocuteur a précisé que cette situation a eu des conséquences désastreuses sur leurs vies personnelles.
D’après Mme S. M., le chef de cabinet du wali a accueilli, hier matin, deux souscripteurs, et leur a promis de suivre la procédure administrative nécessaire, commençant par une autre mise en demeure contre ces promoteurs ! Mais les protestataire disent ne pas supporter d’attendre des années de plus, et se résignent à demander à l’Etat de prendre en charge ce projet inachevé depuis 1999, et leur donner d’autre logements.
«Le DL nous a affirmé avoir mis en demeure les promoteurs, après avoir envoyé une commission sur le chantier, laquelle a constaté que le projet n’a pas évolué. Il nous a aussi promis de faire une autre mise en demeure si les travaux ne reprennent pas. Et si ça continue les autorités vont leur retirer le projet et les accorder à un autre promoteur.» raconte le même souscripteur. Ces pauvres souscripteurs se demandent quel sera leur avenir ? Et combien de temps faut-il encore attendre afin d’habiter leurs appartements ? Notre deuxième interlocuteur a précisé que cette situation a eu des conséquences désastreuses sur leurs vies personnelles.
D’après Mme S. M., le chef de cabinet du wali a accueilli, hier matin, deux souscripteurs, et leur a promis de suivre la procédure administrative nécessaire, commençant par une autre mise en demeure contre ces promoteurs ! Mais les protestataire disent ne pas supporter d’attendre des années de plus, et se résignent à demander à l’Etat de prendre en charge ce projet inachevé depuis 1999, et leur donner d’autre logements.
Yousra Salem
Projets de l’évènement de 2015 : Le massacre continue
le 18.11.14 | 10h00
1 réaction
Décidément, les autorités de la wilaya de Constantine semblent faire la sourde oreille à toutes les protestations des citoyens de la ville, qui se sont élevés énergiquement contre les opérations de démolition menée depuis le mois d’août dernier au niveau des escaliers du Coudiat, mais aussi au boulevard Belouizdad.
On se rappelle que la semaine dernière, des dizaines de citoyens se
sont mobilisés pour arrêter le massacre perpétré sur le trottoir situé
près de la place des Martyrs, où des agents avaient été chargés
d’enlever au marteau piqueur les bordures en pierre bleue. Un matériau
qui a résisté plus de 150 ans. Si l’opération est à l’arrêt depuis, le
marteau piqueur a finalement repris ses droits, ce samedi, et contre
toute attente, pour cibler les escaliers situés à proximité du café
Royal.
En une journée, on est venu à bout de la vingtaine de marches, reliant le Coudiat à la rue Abane Ramdane. «C’est un travail de vandales ce qui vient de se passer devant le café Royal ; je suis scandalisé ; je ne sais comment qualifier les responsables de cet acte indigne», a crié un habitant du Coudiat. Hier, la désolation se lisait sur tous les visages des passants.
«A ce rythme, je crains pour les autres escaliers de la ville ; on finira ainsi par détruire tout ce qui reste de son patrimoine architectural; il suffit de voir ce qui se fait sur les bâtisses des rues Abane Ramdane, Abderrahmene Bouderbala et Belouizdad ; c’est du bradage à grande échelle.», commente un riverain.
Ce dernier fera remarquer qu’une autre opération est en train de se préparer au niveau des rampes Boulefrinat Khadoudja, plus connues par les «S», reliant la place Colonel Amirouche à l’avenue Aouati Mostefa, où les engins ont déjà terrassé toute la chaussée, qui ressemble désormais à un champ de patates, en attendant la suite. Pour rappel, au mois d’août dernier, la démolition des escaliers dits de Bata, lancée dans la nuit, a été menée jusqu’au bout, malgré les protestations de nombreux Constantinois.
Achevées il y a une quinzaine de jours, les fameuses marches de pierre bleue irremplaçables, ont laissé place à des marches en matériau «vulgaire», moche, quelconque et d’une piètre qualité. Et dire que de hauts responsables dans cette wilaya trouvent encore l’audace de parler comme s’il s’agit d’un «chef-d’œuvre» en affichant du mépris pour la population.
En une journée, on est venu à bout de la vingtaine de marches, reliant le Coudiat à la rue Abane Ramdane. «C’est un travail de vandales ce qui vient de se passer devant le café Royal ; je suis scandalisé ; je ne sais comment qualifier les responsables de cet acte indigne», a crié un habitant du Coudiat. Hier, la désolation se lisait sur tous les visages des passants.
«A ce rythme, je crains pour les autres escaliers de la ville ; on finira ainsi par détruire tout ce qui reste de son patrimoine architectural; il suffit de voir ce qui se fait sur les bâtisses des rues Abane Ramdane, Abderrahmene Bouderbala et Belouizdad ; c’est du bradage à grande échelle.», commente un riverain.
Ce dernier fera remarquer qu’une autre opération est en train de se préparer au niveau des rampes Boulefrinat Khadoudja, plus connues par les «S», reliant la place Colonel Amirouche à l’avenue Aouati Mostefa, où les engins ont déjà terrassé toute la chaussée, qui ressemble désormais à un champ de patates, en attendant la suite. Pour rappel, au mois d’août dernier, la démolition des escaliers dits de Bata, lancée dans la nuit, a été menée jusqu’au bout, malgré les protestations de nombreux Constantinois.
Achevées il y a une quinzaine de jours, les fameuses marches de pierre bleue irremplaçables, ont laissé place à des marches en matériau «vulgaire», moche, quelconque et d’une piètre qualité. Et dire que de hauts responsables dans cette wilaya trouvent encore l’audace de parler comme s’il s’agit d’un «chef-d’œuvre» en affichant du mépris pour la population.
Arslan Selmane
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huron
le 20.11.14 | 23h54
Le tournis.
Dans toutes les villes du monde la voirie est urbaine. Pas nationale.
Ces travaux autoritaires et pour le moins surprenants,à hauteur des escaliers du Coudiat, mais aussi au boulevard Belouizdad,imputables à la wilaya apparaissent comme le fait d'une autorité d'occupation.
Constantine pourrait-elle donc ne plus s'appartenir ?
On pourrait croire un canular.
Force est de constater que c'est la réalité,sans explication ni recours.
On en perd la raison.
Les envahisseurs auraient-ils débarqué à Cirta ?
Ces travaux autoritaires et pour le moins surprenants,à hauteur des escaliers du Coudiat, mais aussi au boulevard Belouizdad,imputables à la wilaya apparaissent comme le fait d'une autorité d'occupation.
Constantine pourrait-elle donc ne plus s'appartenir ?
On pourrait croire un canular.
Force est de constater que c'est la réalité,sans explication ni recours.
On en perd la raison.
Les envahisseurs auraient-ils débarqué à Cirta ?
قالمة |
عدد القراءات: 112
وجهوا رسالة تنديد إلى الوزير الأول و طالبوه بالتدخل
خرج
المقتصدون المضربون عن العمل بقالمة يوم الاثنين في مسيرة انطلقت من مديرية
التربية إلى مقر الولاية، منددين بما وصفوه «التهديدات و الاستفزازات
الأخيرة بالطرد و استخلاف المقتصدين المضربين من طرف وزارة التربية الوطنية
نتيجة الإضراب الذي يشنه موظفو المصالح الاقتصادية و الذي بلغ 75 يوما دون
أن نلتمس تحركا جديا منها».
و جابت المسيرة عدة شوارع ترافقها قوات الأمن إلى البوابة الرئيسية لمقر
الولاية و سلم المحتجون «رسالة تنديد» إلى والي الولاية ملتمسين منه
إبلاغها إلى الوزير الأول. و قال المحتجون بأنهم يرفضون الإجراءات
الصادرة من وزارة التربية الوطنية و مصممون على انتزاع حقوقهم و في مقدمتها
منحة الخبرة البيداغوجية. و جاء في «رسالة التنديد» الموجهة إلى الوزير
الأول « و إذا بوزارة التربية تلجأ للعدالة بإصدار حكم قضائي ثم تأمر مدراء
التربية بتبليغ أمر استعجالي إلى موظفي المصالح الاقتصادية عن طريق مدراء
المؤسسات و هو تعدي صارخ على القانون و العدالة الجزائرية و محاولة الوزارة
الحلول مكان المحضر القضائي المخول له قانونا تبليغ الأحكام القضائية ،
بينما كان الأجدر بها تبليغ رئيس الاتحاد الوطني لعمال التربية و التكوين
إينباف، و عليه فإننا نرفض محتوى هذا التبليغ الذي يخلص إلى جعل الموظف
متخل عن المنصب ، بينما الحقيقة أنه في إضراب مشروع يكفله الدستور، كما جاء
في القانون 90-02 للوقاية من النزاعات بأن المادة 32 تحمي حق الإضراب الذي
يمارس في إطار القانون بعد احترام الشروط و هذا ما اتبعته اللجنة الوطنية
لموظفي المصالح الاقتصادية».
فريد.غ
وادي الزناتي
قريـة سيـدي عبيـد..ظلام و شـوارع من تـراب
قالت لجنة التعمير و السكن بالمجلس الشعبي الولائي بقالمة أن قرية سيدي عبيد ببلدية وادي الزناتي مازالت محرومة من إطار معيشي ملائم و هي تعاني من نقص التهيئة منذ سنوات طويلة لكنها قرية محظوظة وصلها الغاز الطبيعي قبل مدن و قرى كثيرة بالولاية. و أضافت اللجنة بعد معاينتها لوضعية القرية بأن “التهيئة ناقصة بصورة عامة و الأرصفة قديمة متضررة لكن الطرقات أكثر تضررا تتطلب الحماية بالتغطية لما تمثله من عائق أمام السكان خاصة بفصل الشتاء، عدم وجود الخرسانة المزفتة بأي نقطة بالقرية، و مصابيح الإنارة كلها مكسرة”. و ذكر أيضا بأن بناءات ريفية جديدة بالقرية مازالت غير موصولة بالكهرباء المنزلية و أن السكان يعانون نقصا في مياه الشرب.
و قالت مصادر مهتمة بأن سبب تأخر التهيئة
بالقرية ربما يعود إلى أشغال الربط بالغاز الطبيعي حيث لا يمكن تعبيد
الطرقات و الأرصفة ثم حفر خنادق الغاز. و يتوقع استفادة سيدي عبيد من
مشاريع التهيئة و التحسين الحضري في المرحلة القادمة و ذلك في إطار البرامج
القطاعية و برامج التنمية البلدية. و يقول سكان سيدي عبيد بأن معاناتهم
تتفاقم أكثر عند سقوط الأمطار حيث توحل الطرقات الترابية و تتحول الشوارع
إلى مستنقعات مياه راكدة. و يأمل السكان إنجاز مشاريع لتعبيد الطرقات و
تشغيل نظام الإنارة العمومية و إضاءة القرية الريفية الصغيرة بعد سنوات من
الظلام. و يعبر التجمع السكاني الريفي طريق وطني يربط قالمة بأم البواقي
و يمثل شارعا رئيسيا و هو الشارع الوحيد المعبد في القرية حسب لجنة
التعمير التي زارت عدة تجمعات سكانية بالولاية و قدمت بيان معطيات ميدانية
للسلطات الولائية من أجل التكفل بانشغالات السكان في مجال التهيئة و
الإنارة و مياه الشرب و غيرها من النقائص المسجلة و خاصة بالقرى الريفية
كما سيدي عبيد الواقعة بسهل الجنوب الكبير.
فريد غ
|
Transrhumel-les castors : 1er décembre nouvelle date d’ouverture
le 24.11.14 | 10h00
1 réaction
La livraison de la jonction prévue à partir de la trémie de Ziadia à
partir du pont Salah Bey n’aura lieu qu’à la fin 2015, en raison de
plusieurs paramètres indépendants de la société brésilienne, Andrade,
les intervenants comme la SEACO et la SDE.» nous a déclaré hier en marge
du forum de la radio locale, Hacène Tahtouh, représentant du bureau
d’études Dar El Handassa.
Toutefois, ce dernier nous confirme encore une fois que le tronçon de la cité des Castors sera opérationnel le 1er décembre. Par ailleurs, et concernant les chantiers d’élargissement accès de la ville accusant des retards, le représentant de la DTP, Mohamed Aber, a justifié cela par «les imprévus», en citant notamment les grèves des travailleurs des entreprises comme ALTRO.
Toutefois, ce dernier nous confirme encore une fois que le tronçon de la cité des Castors sera opérationnel le 1er décembre. Par ailleurs, et concernant les chantiers d’élargissement accès de la ville accusant des retards, le représentant de la DTP, Mohamed Aber, a justifié cela par «les imprévus», en citant notamment les grèves des travailleurs des entreprises comme ALTRO.
N. Benouar
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L'échotier
le 24.11.14 | 12h43
Qui
vivra verra. Nous avons l'habitude des annonces tonitruantes
et qui, en définitive, ne sont que des mensonges éhontés. C'est la façon
trouvée par nos minables responsables de cacher les retards des
chantiers. Mais à force de prendre les gens pour des cons, gare au
retour du bâton. Et je ne parle pas de la saignée dont été victime la
forêt du Mansourah..en attendant celle de Bab-el-Ouahch.
Le réseau social Twitter : Au cœur des conversations
le 24.11.14 | 10h00
Réagissez
Avez-vous rêvé de savoir, n’importe où et n’importe quand, ce qui fait l’actualité et ce dont parle la majorité des gens ? Ce qui nécessitait auparavant la lecture de centaines de supports différents peut désormais être réalisé via un seul support : avec ses près de 300 millions d’utilisateurs actifs à travers le monde, le réseau social Twitter offre la possibilité de suivre et de participer de manière illimitée aux conversations des personnalités, journalistes, artistes, sportifs qui font l’actualité, ou tout simplement d’échanger avec votre famille et des amis, le tout en un clin d’œil et en quelques clics !
Le «hashtag» consiste à placer le signe «#» devant un mot (sans espace
entre les deux) pour que ce dernier devienne un mot-clé. En cliquant sur
ce dernier, l’internaute retrouve toutes les conversations qui
utilisent le même mot. Par exemple, lors de la Coupe du monde de
football au Brésil, le hashtag #CDM2014 a permis aux Twittos de suivre
toutes les informations circulant au sujet de la compétition. Twitter
permet de faire connaissance avec des personnes qu’on n’aurait sans
doute jamais eu l’occasion de rencontrer de visu.
Contrairement aux autres réseaux sociaux, Twitter présente en outre l’avantage de permettre de «follower» des contacts qui intéressent les internautes sans avoir besoin de leur accord ! «Vous pouvez ainsi repérer des personnes qui évoluent dans le même secteur d’activité que vous et qui peuvent vous conseiller dans votre recherche d’emploi ou tout simplement vous informer des opportunités qui s’offrent à vous dans votre secteur ou votre métier», précise un communiqué.
En outre, de plus en plus l’information circule sur Twitter avant d’être annoncée par les médias traditionnels. On ne compte plus les scoops annoncés sur le réseau en avant-première ! Tous les médias influents sont présents sur Twitter. Il y a aussi la possibilité d’assister en live aux temps forts d’une conférence de presse, d’un débat télévisé ou d’une keynote d’Apple. Mais en dépit de tous ses avantages, twitter est peu utilisé en Algérie.
Une étude de Arab Social Media Report menée par la Dubai School of Government fait état de l’utilisation de Twitter dans le monde arabe. Le décevant chiffre de 37 500 est le nombre total des comptes Twitter actifs en Algérie, soit un taux de pénétration de 0,1%, un pourcentage très faible surtout quand on le compare avec les voisins : 0,23% au Maroc et 0,34% en Tunisie.
La nature de la plateforme au oiseau bleu favorisant un usage plutôt mobile, le lancement de la 3G en décembre dernier n’a pas vraiment incité les Algériens à tweeter. Au final, ni effet de mode, ni gadget, les réseaux sociaux sont devenus une composante de notre société et de notre sociabilité mais n’en sont ni le centre, ni l’unique vecteur.
Contrairement aux autres réseaux sociaux, Twitter présente en outre l’avantage de permettre de «follower» des contacts qui intéressent les internautes sans avoir besoin de leur accord ! «Vous pouvez ainsi repérer des personnes qui évoluent dans le même secteur d’activité que vous et qui peuvent vous conseiller dans votre recherche d’emploi ou tout simplement vous informer des opportunités qui s’offrent à vous dans votre secteur ou votre métier», précise un communiqué.
En outre, de plus en plus l’information circule sur Twitter avant d’être annoncée par les médias traditionnels. On ne compte plus les scoops annoncés sur le réseau en avant-première ! Tous les médias influents sont présents sur Twitter. Il y a aussi la possibilité d’assister en live aux temps forts d’une conférence de presse, d’un débat télévisé ou d’une keynote d’Apple. Mais en dépit de tous ses avantages, twitter est peu utilisé en Algérie.
Une étude de Arab Social Media Report menée par la Dubai School of Government fait état de l’utilisation de Twitter dans le monde arabe. Le décevant chiffre de 37 500 est le nombre total des comptes Twitter actifs en Algérie, soit un taux de pénétration de 0,1%, un pourcentage très faible surtout quand on le compare avec les voisins : 0,23% au Maroc et 0,34% en Tunisie.
La nature de la plateforme au oiseau bleu favorisant un usage plutôt mobile, le lancement de la 3G en décembre dernier n’a pas vraiment incité les Algériens à tweeter. Au final, ni effet de mode, ni gadget, les réseaux sociaux sont devenus une composante de notre société et de notre sociabilité mais n’en sont ni le centre, ni l’unique vecteur.
Kamel Benelkadi
جمعت 168 مليار سنتيم من المكتتبين والنيابة التمست 10 سنوات سجنا لثلاثة مسيرين |
عدد القراءات: 225
التمس في ساعة متأخرة من مساء أمس، ممثل
النيابة العامة لدى محكمة أم البواقي الابتدائية توقيع عقوبة 10 سنوات سجنا
في حق 3 مسيرين لمؤسسة عقارية يتواجد مقرها بمنطقة ماسينيسا بالخروب (
قسنطينة)، حيث وجهت لمديرها (ب أ) وشريكه (ش ب) ورئيس ورشات البناء (ح ص)
تهمة النصب عن طريق اللجوء للجمهور وخيانة الأمانة، في الوقت الذي طالب
دفاع الضحايا بتعويضات مالية تجاوزت ملياري سنتيم.
القضية مثلما دار في جلسة المحاكمة، ترجع إلى أواخر سنة 2011 عندما دخل
مدير المؤسسة العقارية التي فتحت فرعا لها بأم البواقي في خلاف مع شريكه
السابق (م م) ليقرر تغييره بشريك آخر، و يستنجد بالمتهم الحالي الذي يتواجد
رفقة رئيس الورشات رهن الحبس، طالبا منه الإسراع في إتمام المشروعين 120
سكن تساهمي بعين البيضاء و70 سكن تساهمي بأم البواقي.
أحمد ذيبالمشروعان اكتتب فيهما عشرات المواطنين وسددوا المستحقات المالية كاملة في فترة الشريك الأول، غير أن الشريك الثاني، قام بإعادة بيع السكنات التي لم تنجز في المكان المخصص لها لمكتتبين جدد، وباع السكن الواحد مرتين، موهما الضحايا الجدد من المكتتبين بأن المشروع جديد وعليهم تسديد مبلغ 80 مليون سنتيم كنسبة أولية. الضحايا الذين تجاوز عددهم المئة، تفاجأوا بأن المشروع لم ينطلق والشريك مسير فرع أم البواقي فرَّ لوجهة مجهولة، كما أن مسير الورشات كان قد قدم نفسه على أنه مدير مؤسسة الخروب، ليقدموا شكاوى لمصالح الأمن، واتضح بعد التحقيقات بأن المؤسسة جمعت مبلغ 168 مليار سنتيم من دون أن تنجز السكنات. |
Tribune libre
Folklorique agitation
le 09.10.14 | 10h00
Réagissez
Folklorique agitation de la scène culturelle sur la place de la Cité des Aigles, alors que les trésors de ma ville et sa mémoire, l’érigerait en Capitale Universelle du Savoir.
Constantine enfanta avant terme des «cultureux» qui se vautrent dans
l’insatiabilité, piétinants ce que fût son épopée, sans aucun répit à la
culture telle que définie. Depuis, le citoyen ne rêve qu’à l’année
2016, fin 2014, n’aura été qu’un cauchemardesque choc provoqué par le
bruit. Nonobstant, l’anarchie poussiéreuse reste acceptable dans la
mesure où nous l’espérons tous, donnera peau neuve à la cité. Ensuite,
arrive le politiquement correct d’une façade tronquée. Il n’y a qu’à
jeter un œil sur le cirque orchestré autour des visites de madame la
ministre pour le constater.
Revenons à l’aspect qui mérite un peu plus de lignes couchées avec objectivité. Mais de quelle culture parlons-nous? Lors des différentes rencontres en amont des préparations, la direction de la culture a fait l’économie de dresser une liste des valeureuses personnes pouvant y contribuer. Quand on parle culture, l’ensemble des œuvres représentatives de la ville, toutes époques et toutes disciplines confondues, doivent être mis en exergue. Avez-vous oublié vos prérogatives culturelles, Monsieur ?
Quant au choix tardif du commissaire, ô combien consensuel, coupant l’herbe sous les pieds des prétendants artificiels, il n’a pas dérogé à la règle. Les consultations intéressées par les autoproclamés vérolés se sont vite installées. Le comble de l’innommable fût alors édifié. La production intellectuelle tant attendue fût alors commandée, car lors d’une réunion à huis-clos entre l’ex-ministre écrivaine et les universitaires assombries, le mot d’ordre a été : «Nous voulons 1500 livres pour l’événement !». C’est ainsi que les académiques confus, se sont improvisés en élus de la dernière heure voulue, occultant, «qu’il est aussi facile de rêver un livre qu’il est difficile de le faire…» (Honoré de Balzac) La progéniture, espoir d’un futur embrigadé a été laissé-pour-compte, édifiée malgré elle en ferment d’une culture de violence et de vulgarité.
Décrépitude des valeurs par des plagiaires diplômés à la culture terrassée, par ceux-là même qui avaient le savoir et le devoir de l’inculquer !
A la lecture de ce texte crayonné par un épris de sa ville bien aimée, beaucoup grinceront des dents, jacasseront certainement et les autres me haïront probablement. A ceux-là, je leur donne rendez-vous au milieu de l’événement. Toutefois, ma contribution se limitera à l’amour porté à ma Constantine jalousement, ma patrie l’Algérie aimée viscéralement et à l’enfance méprisée qui est ma raison d’exister éperdument. Résumant ma seule motivation, Ibn Arabi disait : «L’insondable faiblesse de l’homme laisse place aux désirs commandés par sa propre nature, l’inévitable solution est donc le combat moral aux passions.». A méditer…
Revenons à l’aspect qui mérite un peu plus de lignes couchées avec objectivité. Mais de quelle culture parlons-nous? Lors des différentes rencontres en amont des préparations, la direction de la culture a fait l’économie de dresser une liste des valeureuses personnes pouvant y contribuer. Quand on parle culture, l’ensemble des œuvres représentatives de la ville, toutes époques et toutes disciplines confondues, doivent être mis en exergue. Avez-vous oublié vos prérogatives culturelles, Monsieur ?
Quant au choix tardif du commissaire, ô combien consensuel, coupant l’herbe sous les pieds des prétendants artificiels, il n’a pas dérogé à la règle. Les consultations intéressées par les autoproclamés vérolés se sont vite installées. Le comble de l’innommable fût alors édifié. La production intellectuelle tant attendue fût alors commandée, car lors d’une réunion à huis-clos entre l’ex-ministre écrivaine et les universitaires assombries, le mot d’ordre a été : «Nous voulons 1500 livres pour l’événement !». C’est ainsi que les académiques confus, se sont improvisés en élus de la dernière heure voulue, occultant, «qu’il est aussi facile de rêver un livre qu’il est difficile de le faire…» (Honoré de Balzac) La progéniture, espoir d’un futur embrigadé a été laissé-pour-compte, édifiée malgré elle en ferment d’une culture de violence et de vulgarité.
Décrépitude des valeurs par des plagiaires diplômés à la culture terrassée, par ceux-là même qui avaient le savoir et le devoir de l’inculquer !
A la lecture de ce texte crayonné par un épris de sa ville bien aimée, beaucoup grinceront des dents, jacasseront certainement et les autres me haïront probablement. A ceux-là, je leur donne rendez-vous au milieu de l’événement. Toutefois, ma contribution se limitera à l’amour porté à ma Constantine jalousement, ma patrie l’Algérie aimée viscéralement et à l’enfance méprisée qui est ma raison d’exister éperdument. Résumant ma seule motivation, Ibn Arabi disait : «L’insondable faiblesse de l’homme laisse place aux désirs commandés par sa propre nature, l’inévitable solution est donc le combat moral aux passions.». A méditer…
Mohamed-Chérif Zerguine : Ecrivain
Tribune libre : La ville, l’habitant et l’administrateur
le 18.11.14 | 10h00
1 réaction
Le centre de Constantine, ce vieux quartier porteur d’une charge
mémorielle intarissable, est aujourd’hui mis entre parenthèse.
L’échéance d’un évènement imminent s’approche rapidement et les chargés
des festivités s’activent pour être prêts pour le jour J. Avril 2015,
nous découvrirons le nouveau visage d’une ville qui subit ces jours-ci
des liftings intenses. Comme il est difficile de trouver le moindre
détail d’une arabité prise comme prétexte pour hisser Qacentina au rang
d’une capitale de la culture arabe, les chantiers continuent de
préparer une «mariée» pour des noces, non sans avoir au préalable
«étirer» la peau sur les zones visibles. Il est surement question de
faire honneur aux prétendants, qui enlèveront son voile pour
s’émerveiller face à un look radieux.
La vie professionnelle des commis de l’Etat est un périple, ils traverseront diverses zones géographiques du pays, avec des haltes dans quelques villes. Ils y feront tout pour marquer leur passage et satisfaire une tutelle très regardante sur la concrétisation de sa politique. L’exercice consiste à rendre une belle copie après avoir hérité d’une ville comme d’un «brouillon». Mais savent-ils au moins ce que signifient chez les habitants tous les stigmates sur les édifices, les traces sur le pavé, les empreintes d’une main sur les enduits des murs sans aplomb ?
A Constantine, les chantiers s’attèlent à effacer sans distinction. L’authentique est réduit à un vulgaire produit frelaté. La pierre bleue est détrônée par un produit aggloméré bon marché. Faut-il rappeler que celle utilisée à Constantine a été extraite du site-même? Cette authenticité fait la particularité de la ville ! L’administrateur est dans la logique du renouveau et du pimpant. Les rendus cathodiques peuvent glisser quelques retouches sur les textures et produire des visuels surréalistes. Dans son cursus, il traverse la ville, tout détail local signifiant est, pour lui, une lubie futile.
L’habitant est dans l’affectif. La moindre égratignure, la moindre trace d’impact illustrent la gravure qui ne figure pas dans les annales urbaines, mais présente dans les biographies individuelles. Chaque habitant a son histoire urbaine souvent liée à un lieu, à un recoin dans la ville. L’effacer c’est plonger dans l’irréversible! A Constantine, des édifices ont été reconvertis. Des activités appropriées avaient supplanté d’autres obsolètes, mais le contenant est resté immuable.
Garage Citroën est même resté dans le vocabulaire, El Khalifa l’avait quelque peu bousculé. Les vocables visaient cet édifice s’imposant dans la perspective des Allées. Sa façade avec des arcs monumentaux, a été composée pour répondre à un impératif de l’art urbain.
Des rues-escaliers dont les encoignures se sont effritées, marches impactées, c’est le tribut des multiples défis contre les hommes et l’usure du temps. Chaque stigmate est une ride sur le corps d’une ville qui a besoin de vieillir dans le respect et dans la déférence et non pas dans la facticité du rajeunissement précaire et éphémère.
Pour l’administrateur, gérer la ville n’est qu’un intermède pour exercer et rendre une copie satisfaisante. Pour l’habitant, sa ville est son unique cursus. Un parcours jalonné de vicissitudes que la mémoire transforme en perles mises dans un beau coffret, juste pour les extraire à l’usure du temps. Constantine est appelée à demeurer une belle vieille ville, authentique berceau de l’humanité, éternellement accrochée à son rocher ombilical.
La vie professionnelle des commis de l’Etat est un périple, ils traverseront diverses zones géographiques du pays, avec des haltes dans quelques villes. Ils y feront tout pour marquer leur passage et satisfaire une tutelle très regardante sur la concrétisation de sa politique. L’exercice consiste à rendre une belle copie après avoir hérité d’une ville comme d’un «brouillon». Mais savent-ils au moins ce que signifient chez les habitants tous les stigmates sur les édifices, les traces sur le pavé, les empreintes d’une main sur les enduits des murs sans aplomb ?
A Constantine, les chantiers s’attèlent à effacer sans distinction. L’authentique est réduit à un vulgaire produit frelaté. La pierre bleue est détrônée par un produit aggloméré bon marché. Faut-il rappeler que celle utilisée à Constantine a été extraite du site-même? Cette authenticité fait la particularité de la ville ! L’administrateur est dans la logique du renouveau et du pimpant. Les rendus cathodiques peuvent glisser quelques retouches sur les textures et produire des visuels surréalistes. Dans son cursus, il traverse la ville, tout détail local signifiant est, pour lui, une lubie futile.
L’habitant est dans l’affectif. La moindre égratignure, la moindre trace d’impact illustrent la gravure qui ne figure pas dans les annales urbaines, mais présente dans les biographies individuelles. Chaque habitant a son histoire urbaine souvent liée à un lieu, à un recoin dans la ville. L’effacer c’est plonger dans l’irréversible! A Constantine, des édifices ont été reconvertis. Des activités appropriées avaient supplanté d’autres obsolètes, mais le contenant est resté immuable.
Garage Citroën est même resté dans le vocabulaire, El Khalifa l’avait quelque peu bousculé. Les vocables visaient cet édifice s’imposant dans la perspective des Allées. Sa façade avec des arcs monumentaux, a été composée pour répondre à un impératif de l’art urbain.
Des rues-escaliers dont les encoignures se sont effritées, marches impactées, c’est le tribut des multiples défis contre les hommes et l’usure du temps. Chaque stigmate est une ride sur le corps d’une ville qui a besoin de vieillir dans le respect et dans la déférence et non pas dans la facticité du rajeunissement précaire et éphémère.
Pour l’administrateur, gérer la ville n’est qu’un intermède pour exercer et rendre une copie satisfaisante. Pour l’habitant, sa ville est son unique cursus. Un parcours jalonné de vicissitudes que la mémoire transforme en perles mises dans un beau coffret, juste pour les extraire à l’usure du temps. Constantine est appelée à demeurer une belle vieille ville, authentique berceau de l’humanité, éternellement accrochée à son rocher ombilical.
A. Bouchareb
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sadim
le 18.11.14 | 14h14
la ville et la démocratie citoyenne
Le triptyque ville, citoyens et administrateurs semble se
dérober à une conjugaison au même temps. Chacun sa route, chacun son
chemin, chacun sa légitimité ! Bien sûr, cette situation n’est pas
étrangère à une réalité politique qui ne se confond pas avec les
pratiques de la démocratie citoyenne.
عدد القراءات: 265
|
Actualité | Edition du : 2014-10-31 |
Pertinence : 33% |
El Watan à 20 DA
Bouteflika « reparle » de sa révision constitutionnelle
le 24.11.14 | 14h03
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|
© Photo El Watan
Le chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika voudrait relancer le projet de la révision constitutionnelle. « L'Algérie va procéder à la révision de sa Constitution. Elle s'y prépare sérieusement, en se basant sur les résultats des larges consultations organisées (…) », a-t-on annoncé dans un message attribué à Bouteflika et lu par son conseiller M. Mohamed Ali Boughazi, à l’ouverture de la conférence scientifique africaine sur l'évolution du Droit constitutionnel en Afrique, tenue à Alger.
Le message lu par Boughazi n’a pas fixé d’échéances pour la tenue de
cette énième révision de la Constitution comme il n’a pas précisé si
cette révision passera par voie référendaire ou bien elle sera confiée
aux soins du Parlement, comme ce fut le cas en 2008. Bouteflika s’est
engagé « à ne pas verser dans l'imitation ni dans l'improvisation »,
dans l’élaboration de la future Loi fondamentale du pays. », lit-on dans
ce message répercuté par APS.
Le projet de la révision constitutionnelle a été annoncé en 2011, dans le sillage des troubles politiques appelés communément « printemps arabe ». Une première phase de collecte de propositions a été menée par Bensalah, président du Sénat. La commission Kerdoune, chargée de la formulation de la nouvelle mouture, a remis son rapport en mai 2013.
Le projet disparaît, avant de réapparaître une année plus tard. En mai 2014, un document portant les principaux amendements proposés, est publié sur le site de la présidence de la République où l’on a annoncé un probable retour à la limitation des mandats présidentiels. En parallèle, Ahmed Ouyahia, directeur de cabinet de la présidence, entame un deuxième round de consultations.
Les audiences d’Ouyahia ont été boycottées par de larges pans de l’opposition.
Le projet de la révision constitutionnelle a été annoncé en 2011, dans le sillage des troubles politiques appelés communément « printemps arabe ». Une première phase de collecte de propositions a été menée par Bensalah, président du Sénat. La commission Kerdoune, chargée de la formulation de la nouvelle mouture, a remis son rapport en mai 2013.
Le projet disparaît, avant de réapparaître une année plus tard. En mai 2014, un document portant les principaux amendements proposés, est publié sur le site de la présidence de la République où l’on a annoncé un probable retour à la limitation des mandats présidentiels. En parallèle, Ahmed Ouyahia, directeur de cabinet de la présidence, entame un deuxième round de consultations.
Les audiences d’Ouyahia ont été boycottées par de larges pans de l’opposition.
Farouk Djouadi
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justocratienne
le 24.11.14 | 19h45
l'Algerie c'est lui
Quand Bouteflika dit que " l'Algérie va procéder a la
révision de sa constitution ", il faut comprendre que c'est Bouteflika
qui va le faire car il a bien précisé auparavant qu'il est " l'Algérie
toute entière. Moi, je ne pense pas qu'il va le faire, pour la simple
raison qu'il ne peut limiter les mandats a deux car il a encore l'espoir
de faire le 5 eme, le 6eme, le 7eme........
Brisidène el mokhfi
Celui qui parle à son peuple par des messages lus par d'autres. Honteux!
Paroles paroles !!!
Le pouvoir doit connaitre la chason de Dalida par coeur ,
toujours des paroles rien que des paroles le pays n'avance pas,regardez
nos amis Tunisiens tous les partis veulent aller de l'avant pour un
avenir meilleur pour le pays, alors que en Algerie le pouvoir et ses
sbires le fln, le rnd veulent maintenir leurs privileges que le peuple
souffre c'est le dernier de leurs soucis c'est ca l'Algerie
d'aujourd'hui.....
L'étonnement d,un étonné !
Mon étonnement ne cessera de s'étonner devant les grandes
informations, décisions et intentions que l'on ne cesse de nous
communiquer en leur attribuant la paternité au Grand Timonier rivé à sa
chaise roulante, comme s'ils s'agissaient de paroles saintes.
Pourquoi ne reconnaîtrions-nous simplement pas qu'une structure mafieuse met au devant de la scène une zombie ou même de simples photos d'un moribond pour continuer à traire et à sucer le pays ?
Quant à cette zombie, n'aurait-elle pas la décence et l'honneur de se retirer, à mois qu'elle soit simplement l'otage et le paravent de cette mafia, très familiale d'ailleurs aussi, à moins qu'elle ne soit, tout simplement, l'otage de son égocentrisme et de son nombrilisme extrêmes, qualités bien renforcées par les forces obscures ?
Hélà, je crains fort que cette mascarade continuera tant et autant que nos grands politiciens de l'ère autoritaire et autocratique, tels les Benflis, Benbitour, l'ancien premier ministre et directeur du protocole de Chadli, etc. contineront à jouer aux vierges démocrates offensées au lieu de prôner la désobéissance civile !
Pourquoi ne reconnaîtrions-nous simplement pas qu'une structure mafieuse met au devant de la scène une zombie ou même de simples photos d'un moribond pour continuer à traire et à sucer le pays ?
Quant à cette zombie, n'aurait-elle pas la décence et l'honneur de se retirer, à mois qu'elle soit simplement l'otage et le paravent de cette mafia, très familiale d'ailleurs aussi, à moins qu'elle ne soit, tout simplement, l'otage de son égocentrisme et de son nombrilisme extrêmes, qualités bien renforcées par les forces obscures ?
Hélà, je crains fort que cette mascarade continuera tant et autant que nos grands politiciens de l'ère autoritaire et autocratique, tels les Benflis, Benbitour, l'ancien premier ministre et directeur du protocole de Chadli, etc. contineront à jouer aux vierges démocrates offensées au lieu de prôner la désobéissance civile !
Il revient sur le lieu de son crime.
Le pouvoir est dans une impasse sans précèdent, il essaye de
reprendre l'initiative en reparlant d’énième proposition d’amender la
constitution pour mener l’opposition en bateau. Ce n’est pas la
constitution qui est le grand problème mais c’est son application.
Bouteflika le violeur de la constitution revient sur le lieu de son
crime.
La comédie
du pouvoir continue. Un homme dont on sait qu'il du mal à
parler se met subitement à déblatérer...Et sur quoi s'il vous plaît? Sur
la Constitution qui doit traduire les aspirations du peuple algérien.
Et là, notre fakhamatou se met à se parler et non à parler au peuple
qu'il méprise. Cela fait combien de temps qu'il ne s'est pas adressé au
peuple? Personne ne s'en souvent. Même sa campagne électorale a été
faite par procuration grâce au docile Sellal. Alors la farce, basta..
Il n'y a pas de président
Nous sommes un pays sans Etat.
Le mots d'ordre devrait être créons un Etat avec un Président.
Le mots d'ordre devrait être créons un Etat avec un Président.
gagner du temps
Tout ce qui interesse ce clan c'est de gagner du temps avec les effets d'annonce, chaque
fois qu'ils se sentent le dos au mur.Tantot ils promettent ça tantot ils distribuent des logements, des credits, ils triplent les honnoraires des deputés doublent la paye des flic etc ..Ainsi va ' algérie
de Boutef !!
fois qu'ils se sentent le dos au mur.Tantot ils promettent ça tantot ils distribuent des logements, des credits, ils triplent les honnoraires des deputés doublent la paye des flic etc ..Ainsi va ' algérie
de Boutef !!
Mettre la farine avant les oeufs.
Cette grossière mascarade digne des plus atroces soap opera brésiliens ne me fait même plus sourciller.
Si le ridicule était mortel, El Mouradia serait fréquentée par des cadavres morts de leur belle mort.
Dans un pays qui se respecte, et qui respecte son peuple, ce débat serait porté par les vrais élus du peuple, en l’occurrence les députés.
Malheureusement, dans ce pays ou compromis et compromission font bon ménage, l'assemblée Nationale Populaire est devenue une caisse de résonance où la voix des dé"putés" putatifs est vendue au plus offrant.
Combien même Bouteflika déciderait d'amender la constitution pour faire de l'handicap physique et intellectuel un préalable à la candidature à la magistrature surpême, que cela passerait comme une lettre à la poste.
L'idée vous parait saugrenue ? Pourtant la situation actuelle est bien plus absurde...
Si le ridicule était mortel, El Mouradia serait fréquentée par des cadavres morts de leur belle mort.
Dans un pays qui se respecte, et qui respecte son peuple, ce débat serait porté par les vrais élus du peuple, en l’occurrence les députés.
Malheureusement, dans ce pays ou compromis et compromission font bon ménage, l'assemblée Nationale Populaire est devenue une caisse de résonance où la voix des dé"putés" putatifs est vendue au plus offrant.
Combien même Bouteflika déciderait d'amender la constitution pour faire de l'handicap physique et intellectuel un préalable à la candidature à la magistrature surpême, que cela passerait comme une lettre à la poste.
L'idée vous parait saugrenue ? Pourtant la situation actuelle est bien plus absurde...
"il" parle!!!!!???????
moua, je n'ai aucune confiance en M. Mohamed Ali Boughazi
(l'islamiste qui s'est converti en ventriloque). en effet, rien ne
prouve que fakhamatouhou a chargé son conseiller de raconter des
histoires sur la con-stitution. moralité de l'histoire: l'algérie a
atteint un tel degré de déchéance que rien ne peut étonner l'individu
lambda que je suis.
Vos réactions 16
gout
le 24.11.14 | 15h47
Ca contenu la demarche des aveugles
La première constitution s’est vue naitre dans une salle de
cinéma dont le rédacteur n’est Algérien et à la longue elle est devenue
une obsession partagée entre rêve, réalité et chaque antagoniste veut la
dompter suivant ses désirs, comme elle est indomptable son un vrai
choix populaire alors elle errera dans les rues, boulevards, montagnes,
villes et villages,jusqu’au moment où elle retrouvera sa place parmi les
siens dont la justice sera l’idéologie de base.
Le plus facile à concrétiser est l’injustice, l’anarchie, le néant. Le plus difficile est la justice, la transparence. Mais aussi il ne faut pas être dupe du moment où chaque chose a une fin. Les Tunisiens commences à comprendre ou sont leurs intérêts, pas nous dont l'obstination est de poursuivre une démarche idéologique en décomposition. Si ceux qui ont enfantés la révolution de novembre ont suivi le schéma messaliste l’Algérie ne sera jamais libérée du joug colonial au moins ? Le reste viendra tôt ou tard même une vraie constitution ?
Un jour un étudiant a bien voulu demandé à son père qui était un révolutionnaire de la première heure qui a passé toutes ses années difficiles de 1954 à 1962 ; à l’intérieur du pays qui est l’Algérie, il n’a jamais voulu rejoindre cet armée des frontières préparée non pour porter secours aux maquisards de l’intérieur, mais pour la prise du pouvoir une fois que le conflit soit terminé, qui a été poussé à l’exil dans son village natal dès la prise du pouvoir par le clan dit de Oujda, de l’aider à rédiger une dissertation qui lui a été demandé par son professeur sur l’éphémère et la réalité, après un instant de réflexion le père lui dit, la réalité est la qualité de nos gouvernants actuels et avenir du moment où ils ne seront que des clones des dirigeants actuels, l’éphémère sont la démocratie et la liberté qui demeureront des rêves comme ceux de Socrate de Platon et d’autres.
Pour rester en vie il faut suivre l’exemple des dauphins dont les requins n’oseront jamais s’approchés d’eux, car eux savent comment les affronter.
Le plus facile à concrétiser est l’injustice, l’anarchie, le néant. Le plus difficile est la justice, la transparence. Mais aussi il ne faut pas être dupe du moment où chaque chose a une fin. Les Tunisiens commences à comprendre ou sont leurs intérêts, pas nous dont l'obstination est de poursuivre une démarche idéologique en décomposition. Si ceux qui ont enfantés la révolution de novembre ont suivi le schéma messaliste l’Algérie ne sera jamais libérée du joug colonial au moins ? Le reste viendra tôt ou tard même une vraie constitution ?
Un jour un étudiant a bien voulu demandé à son père qui était un révolutionnaire de la première heure qui a passé toutes ses années difficiles de 1954 à 1962 ; à l’intérieur du pays qui est l’Algérie, il n’a jamais voulu rejoindre cet armée des frontières préparée non pour porter secours aux maquisards de l’intérieur, mais pour la prise du pouvoir une fois que le conflit soit terminé, qui a été poussé à l’exil dans son village natal dès la prise du pouvoir par le clan dit de Oujda, de l’aider à rédiger une dissertation qui lui a été demandé par son professeur sur l’éphémère et la réalité, après un instant de réflexion le père lui dit, la réalité est la qualité de nos gouvernants actuels et avenir du moment où ils ne seront que des clones des dirigeants actuels, l’éphémère sont la démocratie et la liberté qui demeureront des rêves comme ceux de Socrate de Platon et d’autres.
Pour rester en vie il faut suivre l’exemple des dauphins dont les requins n’oseront jamais s’approchés d’eux, car eux savent comment les affronter.
jusqu'où continuera la farce ??????
A quoi bon jouer à faire semblant.
Pourquoi perdre son temps dans des simulacres alors que ceux qui dirigent ne connaissent que l’arbitraire.
Bouteflika en tant que chef de l'état aujourd'hui est déjà la négation de l'état de droit.
Par son incapacité patente d'exercer pleinement le pouvoir, il bafoue la constitution.....alors n'en rajoutons pas.
Pourquoi perdre son temps dans des simulacres alors que ceux qui dirigent ne connaissent que l’arbitraire.
Bouteflika en tant que chef de l'état aujourd'hui est déjà la négation de l'état de droit.
Par son incapacité patente d'exercer pleinement le pouvoir, il bafoue la constitution.....alors n'en rajoutons pas.
هاذوك
باعو زَهْو الدّنْيَا بْشْقَاهْ
Bravo
bravo Elwatan au moins vous avez mis les guillemets ,Grine
sera super content la deontologie est enfin respectée dans ce pays!
cynisme et naïveté
le cynisme se manifeste et les naïfs vont se précipiter pour
commenter et aller de leur commentaire comme cet ex-ambassadeur qui
pronostiquait un vice-président. Au cynisme il faut répondre par le
silence qui dure depuis 2011 et nous abordons l'année 2015.
Qui a parlé ?
Mr Farouk Djouadi ! les algériens lisent très peu et la
majorité de ceux qui lisent ne font pas la différence entre un mot mis
entre des guillemets et un mot libre. Quand vous dites que Boutef
"reparle" même entre guillemets les algériens comprendraient qu'il a lui
même dit ce que vous énoncez. Et vous allez donc banaliser le fait que
le président "parle" à son peuple mais jamais de vive voie ni
directement !
Hopital de Sour El Ghozlane (Bouira) : Une infirmière écrouée pour trafic de documents
le 24.11.14 | 17h51
1 réaction
Le procureur de la République, près le tribunal de Sour El Ghozlane, a ordonné, ce lundi dans l’après-midi, la mise sous mandat de dépôt d’une jeune infirmière travaillant au service des urgences de l’EPH « les frères Yahioaui » de la ville de Sour El Ghozlane au sud de Bouira pour falsification et faux et usage de faux.
Deux autres personnes qui n’ont aucune relation avec l’EPH ont été également placées sous mandat de dépôt. Une femme médecin généraliste, muté il y a quelque mois à un établissement de santé dans la wilaya de Bechar a été placée sous contrôle judiciaire par le procureur de la république.
Selon une source judiciaire, les faits de cette scabreuse affaire remontent à quelques mois. La jeune infirmière aurait établi à maintes fois des ordonnances médicales et même des titres de congé au profit de son jeune frère, alors que ce dernier était incarcéré. Elle remettait ces documents à son père afin de les déposer au niveau de la Cnas alors que son frère était en prison.
Les investigations de la police se poursuivent toujours, a-t-on confirmé. Déférés devant le tribunal de Sour El Ghozlane, la jeune infirmière, son père et son fils ont été placés sous mandat de dépôt tandis que la médecin généraliste a été placée sous contrôle judiciaire. Affaire à suivre.
Amar Fedjkhi
Vos réactions 1
moh62
le 24.11.14 | 19h55
Pour si peu!
C vache ! Mettre en prison pour si peu!!
بــقلـم : قايدعمر هواري
يـــوم : 2014-11-25
التهميش في الرواية الجزائرية المعاصرة محور ملتقى بـ"كراسك" وهران
الخطاب الأدبي للجيل الرابع للكتاب تحت المجهر
المصور : ف.برادعي
نظمت صباح أمس وحدة البحث حول الثقافة والاتصال واللغات والآداب والفنون، التابعة لـ"كراسك" وهران (السانيا) يوما دراسيا هاما بعنوان "التهميش في الرواية الجزائرية المعاصرة" شارك فيه العديد من الأساتذة الجامعيين من داخل وخارج الوطن، حيث تم معالجة وتشريح ظاهرة التهميش في الرواية الجزائرية، أسبابها، كيف يتم التعامل معها من الناحية الأدبية، تاريخها، اندماج مختلف الشخصيات الأدبية أو تهميشها في الحياة الاجتماعية.
وأبرز المتدخلون في الملتقى الذي نشطته الأستاذة بن جليد فوزية من جامعة وهران، أهمية دراسة هذه المواضيع المتعلقة بظاهرة الهامشية أو التهميش في الرواية الجزائرية، باعتبارها مخزونا للمخيال الجزائري، خصوصا وأن الرواية في بلادنا كانت ولا تزال تدرس المجتمع بمختلف شرائحه، لاسيما الإنسان باعتباره كيان فاعل وحيوي في بيئته، كما عمل الأساتذة المحاضرون على معالجة كيفية تعامل الروائي مع الشخصيات الهامشية في المجتمع، وكيف تجد حضوره فيها في الكثير من الروايات، على غرار الأديب كمال داود في عمله الفني الأخير "ميرصو.. التحقيق المضاد"، وما هي أسباب عدم اندماج الإنسان في المؤسسات الرسمية وغير الرسمية، وشكل هذا اليوم الدراسي، فرصة لدراسة وتحليل أعمال الكثير من الروائيين ممن سموهم بروائيي "الجيل الرابع" الجزائري، على سبيل المثال لا الحصر مايسة باي، أمين زاوي، أكرم الكبير، جمال ماتي، كمال داود وغيرهم.
من جهتها أكدت الأستاذة بن جليد فوزية على هامش ملتقى "التهميش في الرواية الجزائرية المعاصرة" لـ"الجمهورية" أن الهدف من هذا اليوم الدراسي، هو أنه يندرج في إطار نقد الرواية الجزائرية، وأن النشاط العلمي الأكاديمي الذي نظمته وحدة البحث السالفة الذكر هو في الأصل مشروع 3 سنوات، مضيفة أنه يبرز كل الجوانب المتعلقة بها سواء من ناحية الكتابة، الرصد والخطاب الروائي لاسيما للكتاب الجزائريين الحاليين، وأوضحت الأستاذة المتحدثة أن الأكاديميين الحاضرين في الملتقى عملوا على دراسة مختلف الأعمال الأدبية المعاصرة مع التركيز على ظاهرة الهامشية فيها، خصوصا أقوال وأفعال الشخصيات، مشيرة إلى أنه دائما ما يكون وراء هذه الأخيرة شخصية الكاتب أو الروائي، وذكرت في هذا الصدد شخصية "عمر الطفل" في رواية محمد ديب الذي قالت إنه شعر بالتهميش والازدراء من قبل الاستدمار الفرنسي آنذاك. مؤكدة أن هذه الظاهرة هي في الأصل ذات مفهوم واسع واعمق ولا تقتصر على الحرمان، الفقر، الإقصاء...
وحتى شخصية فوغولو في راوية مولود فرعون تقول المتحدثة إنها عانت كذلك من الأوضاع الاجتماعية المزرية آنذاك. وعن سبب تركيزهم على الرواية المعاصرة، قالت الأستاذة بن جليد فوزية إنه راجع إلى التجديد في الكتابة حيث بدأت الأقلام الجديدة في الساحة الأدبية المعاصرة تقدم أعمالا أدبية رائعة بل وتستحق المتابعة وأنه حان الوقت لتسليط الضوء على هذه الأقلام الفنية المبدعة. وقالت إن الكتابات الحالية بدأت تخرج الآن عن القالب الفرنسي السابق باعتبار أننا لدينا إرث فيه الكثير من الاشتراك مع الرواية الغربية باعتنبار أن الروائي الجزائري بدأ يخرج بمخياله من الأسلوب القديم ويتحرر نوعا من ذلك الموروث الفرنسي السابق.
Ouargla : 6 mois de prison et une amende de 20 000 DA requis contre le blogueur Madani Madani
le 24.11.14 | 18h00
Réagissez
Le parquet de Ouargla a requis cet après-midi une peine de 6 mois de prison ferme assortie d’une amende de 20 000 DA à l’encontre du blogueur et journaliste Abderaouf Madani connu sous le pseudonyme de Madani Madani.
Le confrère a été arrêté le 16 novembre dernier pour détention de
stupéfiants à usage personnelle. Les avocats de l’inculpé ont souligné
le fait que le mégot de cigarette et les deux petits morceaux de drogue
saisis par la police, se trouvaient non pas en possession de celui-ci
mais dans un coin de la voiture de location que des collègues de son
agence de communication venaient de garer.
La défense a par ailleurs souligné que le mis en cause ne conduisait pas lui-même et ne possédait pas de permis de conduire et qu’il était dans la voiture pour récupérer des documents. Madani a curieusement fait remarquer que son arrestation est survenue aux environs de minuit et qu’il avait aperçu la patrouille de police aux alentours du ksar mais ne se doutait nullement qu’il allait être inquiété.
« J’ai cessé de fumer des joints il y a fort longtemps et vous vous doutez que si j’avais quelque chose à me reprocher, j’aurais caché l’objet du délit » a-t-il répondu à une question de la juge de séance qui lui rappelé les faits, notamment la véracité de la découverte de la drogue à l’intérieur du véhicule ou il se trouvait.
Ce à quoi, le blogueur a rétorqué : « j’ai formellement nié mon implication dans cette affaire dés le début. J’étais surpris de lire sur le P.V de police que j’ai reconnu avoir fumé un joint d’où mon refus de signer le P.V d’audition et je vous demande de prendre acte de ma position ».
Sans aller jusqu’à accuser une quelconque partie de coup monté, chose à laquelle on aurait pu s’attendre vu les révélations de la défense et de l’inculpé, Madani a simplement demandé aux magistrats de le juger en leur âme et conscience affirmant être tout à fait innocent et refusant jusqu’au bout de donner les noms des personnes ayant occupé la voiture avant lui dans une attitude tout à fait conforme à sa personnalité de militant politique.
Son procès, le dernier d’une série de trente, s’est achevé sur un plaidoyer pour une sentence clémente vu que les affaires de stupéfiants aboutissent rarement à des relaxes selon son avocat qui a demandé de favoriser la présomption de doute et d’innocenter son client au profit d’une amende comme le stipule la loi.
La défense a par ailleurs souligné que le mis en cause ne conduisait pas lui-même et ne possédait pas de permis de conduire et qu’il était dans la voiture pour récupérer des documents. Madani a curieusement fait remarquer que son arrestation est survenue aux environs de minuit et qu’il avait aperçu la patrouille de police aux alentours du ksar mais ne se doutait nullement qu’il allait être inquiété.
« J’ai cessé de fumer des joints il y a fort longtemps et vous vous doutez que si j’avais quelque chose à me reprocher, j’aurais caché l’objet du délit » a-t-il répondu à une question de la juge de séance qui lui rappelé les faits, notamment la véracité de la découverte de la drogue à l’intérieur du véhicule ou il se trouvait.
Ce à quoi, le blogueur a rétorqué : « j’ai formellement nié mon implication dans cette affaire dés le début. J’étais surpris de lire sur le P.V de police que j’ai reconnu avoir fumé un joint d’où mon refus de signer le P.V d’audition et je vous demande de prendre acte de ma position ».
Sans aller jusqu’à accuser une quelconque partie de coup monté, chose à laquelle on aurait pu s’attendre vu les révélations de la défense et de l’inculpé, Madani a simplement demandé aux magistrats de le juger en leur âme et conscience affirmant être tout à fait innocent et refusant jusqu’au bout de donner les noms des personnes ayant occupé la voiture avant lui dans une attitude tout à fait conforme à sa personnalité de militant politique.
Son procès, le dernier d’une série de trente, s’est achevé sur un plaidoyer pour une sentence clémente vu que les affaires de stupéfiants aboutissent rarement à des relaxes selon son avocat qui a demandé de favoriser la présomption de doute et d’innocenter son client au profit d’une amende comme le stipule la loi.
Houria Alioua
ملهاة الوهراني ومأساة الخنافس |
عدد القراءات: 71
تحوّل بعض شيوخ السلفية في الجزائر إلى
«مرشدين» ذوي سطوة وحظوة في الحياة العامة، يتدخلون في كل الأمور من
تسيير البنوك إلى لغة الحوار في السينما وانتهاء بمصير الخنافس.
والمثير للانتباه أن هؤلاء الشيوخ باتوا يصنعون الحدث ويوجهون الرأي العام
مستغلين حاجة "الصحافة" إلى الإثارة التي تجود بها النزعات التكفيرية،
وفراغ الحياة الوطنية من النخب المؤثرة بل وتحولها إلى سوق لا يشعر الأحمق
فيها بالغربة أو الحرج وهو يعرض بضاعته البائسة.
فحين يدعو شيخ لا يعرف أسماء أبنائه إلى الثورة على فيلم سينمائي يعتبره “فعلا شيطانيا” ويجد التجاوب فإن الأمر يثير التفكير بل الخوف على أجيال جديدة من الجزائريين تتقلص أمامها قيم الجمال، أجيال لم تعرف السينما أصلا في بلد كان سوقا للسينما وتربى عشاقه في صالاتها، ولم تعد القراءة والموسيقى من اهتماماتها ولا تحصيل العلوم والمعارف، بفعل تأثير “القيم الجديدة” التي يفرضها الأثرياء الجدد الذين صعدوا في سنوات الحرب والسلم وتقدموا بخطوات واثقة إلى قمرة قيادة المجتمع. وبالطبع فإن الشيوخ يحبون المال والسلطة وما بينهما ، ولا يحرّمون الرشوة بل يكتفون بتغيير اسمها فتصير هدية والهدية حلال. لكنهم يحرّمون الكاشير لأن أحمره مستخلص من الخنافس، وهي كما يعلمنا فركوس، حشرات مستخبثة لا يجوز أكلها بعكس الجراد الذي هو حلال طيب. ولا بأس، ما دام الفراغ لا يطرد ضيوفه، أن يتولى الوصاية على التاريخ والدين كل من عنّ له ذلك، ويتحوّل التكفير والتخوين إلى سيف يشهره ويلعب به من لا يحسنون استعماله. ولا بأس من تطريز جبّة التخلّف بخيوط القداسة ردعا لكل متطلع إلى ما تحت الجبة. ولا حرج في أن ينحني الذكاء أمام الغباء القوي. وأن يختفي الخيال ليموت في ظلام نفسه اتقاء لأهوال التفسير وعواقبه. وأن يصوم الاجتهاد عن وساوسه لئلا يزعج الكسل المطمئن في قيلولته. و أن يخجل الحق من التنحنح عند باب الباطل. ملاحظة لا أحد في المشهد سواهم. وثمة عربة عمياء تأخذ، سريعة، المنحدر المخيف.
سليم بوفنداسة
|
بــقلـم : ح. كريم
يـــوم : 2014-11-25
فيما تسعى جمعيات و هيئات إلى الحد من العنف ضد النساء
160 امرأة معنفة خلال 2014 بعين تموشنت
تحي مديرية النشاط الاجتماعي لولاية عين تموشنت و بعض الجمعيات الناشطة في مجال الدفاع عن حقوق المرأة فعاليات اليوم العالمي لمحاربة العنف ضد المرأة المصادف ل25 من شهر نوفمبر من كل سنة و الذي أقرته هيئة الأمم المتحدة عقب الاغتيال الشنيع الذي تعرضت له الأخوات الثلاث ميرابيل سنة 1960 على يد الدكتاتور الدومينيكي رافائيل تروخيلو الذي حكم من 1930 إلى 1961 ، وهن كنا ناشطات سياسيات في الجمهورية الدومينيكية ، وقد جاء هذا اليوم إحياء لهاته الذكرى ، و جعل له شعار " أتحدوا لإنهاء العنف ضد المرأة " و تم تخصيص يوم برتقالي لهاته الذكرى من خلال لبس اللون البرتقالي ، ووجه الأمين العام بان كي مون رسالة إلى جميع الدول يرحب و يدعم فيها بكل الأصوات المنادية بإنهاء العنف و التمييز ضد المرأة ، حيث أحصت الهيئة ما يقدر عنف ضد إمرأة من كل ثلاث نساء في حياتهن ، لهذا دعى جميع القادة إلى ضرورة المساعدة في تطبيق و سن قوانين للردع من العنف الممارس ضد المرآة بكل أشكاله ، باعتباره انتهاك صارخ لحقوق الإنسان ، و أهم أنواع العنف الذي تتعرض له المرأة العنف الجنسي يوجد أكثر من 130 مليون فتاة وإمراة على قيد الحياة تعرضن لتشويه لأعضائهن التناسلية لاسيما في إفريقيا و الشرق الأوسط حسبما كشف عنه تقرير هيئة الأمم المتحدة ، أما في ولاية عين تموشنت فقد أحصت مديرية النشاط الإجتماعي 160 إمرأة معنفة خلال السنة الجارية 2014 ، و تسعى جمعيات و هيئات عديدة بالولاية إلى الحد من هذا العنف الممارس خاصة العنف الجنسي على المرأة الذي تكون عواقبه وخيمة .
بــقلـم : حكيمة.ق
يـــوم : 2014-11-25
60 عائلة ومقيما بمركز الطفولة المسعفة بدار السلام يرحلون نحو سكنات لائقة
إحساس بالوجود بعد حرمان وغبن
وسط الفرحة و الزغاريد ودع امس 60 شخصا مقيما بمركز الطفولة المسعفة 2 بحي السلام من بينهم 22 عائلة حياة الغبن والشقاء نهائيا بعد ترحيلهم نحو سكنات لائقة عبر 20 بلدية من بينها بلدية بئر الجير، البرية ، وادي تليلات و الكرمة
وقد جاءت هذه المبادرة بعد زيارة الوالي للمركز والذي وقف على معاناة المقيمين واعدا إياهم بتسوية وضعيتهم في أقرب وقت ممكن
وقد شاركت جريدة الجمهورية هذه العائلات فرحتها و عبر المرحلون عن ارتياحهم و سعادتهم بعد إستفادتهم من سكنات جاهزة. من بينهم السيد و.م البالغ من العمر 36 سنة متواجد بالمركز منذ سن السادسة و هو اب لـ 3 اطفال
أما السيد د.ح 31 سنة متزوج منذ 14 سنة و اب ل 4 اطفال ابنته البكر قال أنه زوج نفسه و لم يلجأ لأي مساعدات و على صعيد اخر قد وفرت بلدية وهران كل الإمكانيات اللازمة بتجنيد 170 عونا اضافة الى 70 شاحنة
علما أن نزلاء المركز ظلوا يقطنون غرف صغيرة بالمركز قرابة 50 سنة شيدوها بانفسهم دون أن يجدوا مأوى لهم ما دفعهم لتشييد بيوت بالحديقة خوفا من الشارع .
.
و بعد الانتهاء من عملية الترحيل شرعت البلدية في هدم الشاليهات التي قد قام اصحابها ببنائها ذلك تفاديا لأي إقتحامات أخرى
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