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صور من الصحافة الفرنسية الجزائرية
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/11/14/le-mysterieux-patient-d-une-clinique-de-grenoble-est-il-abdelaziz-bouteflika-592268.html
Abdelaziz Bouteflika hospitalisé en cardiologie dans une clinique de Grenoble
Depuis le jeudi 13 novembre dans l'après-midi, des policiers
sont déployés aux abords de la clinique mutualiste de Grenoble. "Une
personne importante est hospitalisée", expliquait juste l'établissement.
Ce vendredi, les autorités ont confirmé la présence d'Abdelaziz
Bouteflika.
- Par Franck Grassaud
- Publié le 14/11/2014 | 17:09, mis à jour le 14/11/2014 | 21:27
© Jordan Guéant - France 3 Alpes
Le président Abdelaziz Bouteflika est-il à la clinique Mutualiste de Grenoble?
Le président algérien, âgé de 77 ans, est donc le mystérieux
patient qui justifiait depuis quelques heures un déploiement des forces
de l'ordre près de la clinique d'Alembert. Une info confirmée par la
police et par la préfecture de l'Isère. Contactée par TSA, une source proche de la présidence de la République a toutefois démenti.
Abdelaziz Bouteflika est au 6e étage de l'établissement du quartier des
Eaux Claires, en cardiologie. On ne sait rien, en revanche, de son état
de santé. Le Groupe Hospitalier Mutualiste de Grenoble (GHM) est un
établissement privé. Ses activités
couvrent un large spectre, mais la présence du président algérien
semble liée à celle du Professeur Jacques Monségu, aujourd'hui chargé de
la cardiologie interventionnelle dans cette clinique, autrefois médecin
au Val-de-Grâce. C'est sûrement à Paris que le Professeur avait
commencé à suivre l'homme d'Etat, c'est en tout cas ce que rapporte Le Dauphiné Libéré, qui avait également révélé le nom de cet illustre patient.
En attendant, depuis que l'information a "fuité", une compagnie de CRS est venue renforcer les effectifs locaux. Depuis 17h30, des barrières sont installées, officiellement pour prévenir l'arrivée de soutiens au président, officieusement pour éviter une éventuelle manifestation.
Abdelaziz Bouteflika, qui détient le record de longévité à la tête de la République algérienne, est en fonction depuis le 27 avril 1999. Il a été réélu le 17 avril dernier avec plus de 81% des suffrages.
Le 1er novembre, Abdelaziz Bouteflika avait effectué une de ses rares apparitions publiques pour se recueillir sur les tombes du "carré des martyrs" de la guerre d'indépendance à l'occasion des 60 ans de cette insurrection, dont il est un vétéran.
Selon des images diffusées par la télévision algérienne, il était arrivé en fauteuil roulant au cimetière d'El Alia, dans la banlieue est d'Alger, où sont inhumés les plus grandes figures de la guerre d'indépendance.
En attendant, depuis que l'information a "fuité", une compagnie de CRS est venue renforcer les effectifs locaux. Depuis 17h30, des barrières sont installées, officiellement pour prévenir l'arrivée de soutiens au président, officieusement pour éviter une éventuelle manifestation.
© Jordan Guéant - France 3 Alpes
Quatre hospitalisations en France ces dernières années
En 2005, le président avait été opéré au Val-de-Grâce, à Paris, pour un ulcère à l'estomac, selon un bulletin de santé officiel. De nouvelles hospitalisations, à Paris, avaient suivi en 2006, 2011 et 2013, année où il a été victime d'"une petite attaque cérébrale".Abdelaziz Bouteflika, qui détient le record de longévité à la tête de la République algérienne, est en fonction depuis le 27 avril 1999. Il a été réélu le 17 avril dernier avec plus de 81% des suffrages.
Le 1er novembre, Abdelaziz Bouteflika avait effectué une de ses rares apparitions publiques pour se recueillir sur les tombes du "carré des martyrs" de la guerre d'indépendance à l'occasion des 60 ans de cette insurrection, dont il est un vétéran.
Selon des images diffusées par la télévision algérienne, il était arrivé en fauteuil roulant au cimetière d'El Alia, dans la banlieue est d'Alger, où sont inhumés les plus grandes figures de la guerre d'indépendance.
http://www.franceinfo.fr/actu/article/abdelaziz-bouteflik-est-sort-602069
Abdelaziz Bouteflika est sorti de l'hôpital
samedi 15 novembre 2014 15:38
Après
une brève hospitalisation à Grenoble, le président Abdelaziz Bouteflika
a quitté la France samedi pour regagner l'Algérie © Maxppp
Après deux jours d'hospitalisation à Grenoble, le président algérien Abdelaziz Bouteflika, 77 ans, a quitté la clinique Alembert vers 13h30 ce samedi.
C'est sous bonne escorte que le président algérien a quitté, en début d'après-midi samedi, la clinique grenobloise où il était hospitalisé depuis deux jours. Le convoi, composé d’une ambulance et de plusieurs voitures de police s'est ensuite dirigé vers l'aéroport de Grenoble où un avion de la présidence algérienne attendait Abdelaziz Bouteklika. Selon un témoin sur place, l'avion aurait quitté le sol français vers 14h45. Le président algérien est attendu à Alger dans la soirée.http://www.franceinfo.fr/actu/article/abdelaziz-bouteflik-est-sort-602069
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/10/17/en-algerie-le-regime-est-a-bout-de-souffle_4507923_3212.html
Les abords d’El Mouradia, le siège de la présidence de la République, ont retrouvé leur calme. Les policiers ont quitté les lieux, jeudi 16 octobre en début d’après-midi, en échange d’augmentations de salaires et de divers avantages. Mais il restera des traces de cet événement sans précédent en Algérie. Pendant vingt-quatre heures, plusieurs centaines de policiers en colère se sont massés devant le palais présidentiel, qu’ils avaient atteint sans coup férir mercredi, après avoir encerclé le siège du gouvernement. Du jamais-vu… Aux cris de « Harmel, dégage ! », les mutins ont réclamé la démission du chef de la police et chanté l’hymne national algérien. « On en a marre de la “hogra” [l’humiliation] », « ras le bol de cette galère », expliquaient-ils aux journalistes et passants médusés.
Expression d’un ras-le-bol, ou manipulation ? En Algérie, où les thèses « conspirationnistes » sont pourtant légion, la première hypothèse est le plus souvent retenue. Ce n’est pas un hasard si la fronde est partie de Ghardaïa, le 13 octobre. Dans cette ville du Sud algérien, des affrontements communautaires entre Arabes et Berbères mobilisent depuis dix mois plusieurs milliers de policiers. Usés par leurs conditions de travail, exaspérés de voir que le pouvoir privilégie l’option sécuritaire à une solution politique, les policiers de Ghardaïa ont donc fini par se rebiffer, entraînant dans leur sillage leurs collègues d’Alger, et, dans une moindre mesure, ceux d’Oran, à l’ouest, et de Constantine, à l’est.
MALAISE GÉNÉRA...
En Algérie, le régime est à bout de souffle
LE MONDE |
• Mis à jour le
|
Par Florence Beaugé (Alger, envoyée spéciale)
Les abords d’El Mouradia, le siège de la présidence de la République, ont retrouvé leur calme. Les policiers ont quitté les lieux, jeudi 16 octobre en début d’après-midi, en échange d’augmentations de salaires et de divers avantages. Mais il restera des traces de cet événement sans précédent en Algérie. Pendant vingt-quatre heures, plusieurs centaines de policiers en colère se sont massés devant le palais présidentiel, qu’ils avaient atteint sans coup férir mercredi, après avoir encerclé le siège du gouvernement. Du jamais-vu… Aux cris de « Harmel, dégage ! », les mutins ont réclamé la démission du chef de la police et chanté l’hymne national algérien. « On en a marre de la “hogra” [l’humiliation] », « ras le bol de cette galère », expliquaient-ils aux journalistes et passants médusés.
Expression d’un ras-le-bol, ou manipulation ? En Algérie, où les thèses « conspirationnistes » sont pourtant légion, la première hypothèse est le plus souvent retenue. Ce n’est pas un hasard si la fronde est partie de Ghardaïa, le 13 octobre. Dans cette ville du Sud algérien, des affrontements communautaires entre Arabes et Berbères mobilisent depuis dix mois plusieurs milliers de policiers. Usés par leurs conditions de travail, exaspérés de voir que le pouvoir privilégie l’option sécuritaire à une solution politique, les policiers de Ghardaïa ont donc fini par se rebiffer, entraînant dans leur sillage leurs collègues d’Alger, et, dans une moindre mesure, ceux d’Oran, à l’ouest, et de Constantine, à l’est.
MALAISE GÉNÉRA...
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/11/14/le-president-algerien-abdelaziz-bouteflika-hospitalise-a-grenoble_4523885_3212.html
Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, a quitté la clinique de Grenoble
Le Monde.fr avec AFP |
• Mis à jour le
Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, a quitté la clinique d'Alembert de Grenoble, samedi 15 novembre, selon la police.
Une ambulance escortée par plusieurs voitures est partie de l'établissement vers 13 h 30. La police a confirmé que M. Bouteflika était dans le cortège qui devait prendre la direction de l'aéroport de Grenoble, où le président algérien était arrivé discrètement jeudi.Un étage entier lui avait été réservé dans la clinique, et une unité des compagnies républicaines de sécurité était déployée vendredi après-midi autour du bâtiment et dans le quartier afin d'assurer la sécurité du chef de l'Etat, précise Le Dauphiné libéré.
ENNUIS DE SANTÉ À RÉPÉTITION
Les raisons de son hospitalisation ne sont pas encore connues, mais le président algérien a des ennuis de santé depuis un ulcère hémorragique en 2005. Il a notamment été victime d'un accident vasculaire cérébral en avril 2013, qui avait entraîné une hospitalisation de deux mois et demi en France, à l'hôpital du Val-de-Grâce et des Invalides, à Paris.
Agé de 77 ans, Abdelaziz Bouteflika a été réélu pour un quatrième mandat en avril. Largement absent pendant la campagne électorale algérienne, il s'était rendu en fauteuil roulant dans l'isoloir pour voter.
L'une des dernières apparitions publiques du président algérien, rarissimes, date du samedi 1er novembre, pour la commémoration des 60 ans de la guerre d'indépendance. Lundi, M. Bouteflika avait reçu le ministre des affaires étrangères français, Laurent Fabius, à Alger.
http://www.ledauphine.com/search?q=bouteflika&x=1&y=1
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grenoble - Alors qu’il était hospitalisé 48 heures au Groupe hospitalier mutualisteLes Algériens débattent autour de leur président Bouteflika
Admis jeudi dans un service de cardiologie et maladie vasculaires du Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble, le président algérien Abdelaziz ...Saléra BENARBIA le 16/11/2014 à 06:00 -
Grenoble - Alors que le président algérien a quitté, hier, le Groupe hospitalier mutualisteLe départ de Bouteflika entre admirateurs et détracteurs
Admis jeudi dans un service de cardiologie et maladies vasculaires du Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble, le président algérien, Abdelaziz ...Saléra BENARBIA Lire également en page 38. le 16/11/2014 à 06:00 -
Les deux convois et les journalistes
Une demi-douzaine de voitures, des motards, des gyrophares bleus et une ambulance aux vitres fumées. Le convoi de véhicules qui a quitté le Groupe ...B.B. le 16/11/2014 à 06:00 -
ISÈREL'avion d'Abdelaziz Bouteflika a décollé de Grenoble
Le président algérien était hospitalisé depuis jeudi dans le service de cardiologie et de maladies vasculaires du Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble.Denis MASLIAH, Vanessa LAIME et Benoît BOUY le 15/11/2014 à 10:15 -
France / Algérie - Le président algérien admis jeudi dans un service de cardiologie et maladies vasculairesBouteflika hospitalisé à Grenoble
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika, 77 ans, affaibli par la maladie depuis un AVC en 2013 et dont l’état de santé fait l’objet de rumeurs récurrentes, a été hospitalisé à Grenoble.Denis MASLIAH et Vanessa LAIME le 15/11/2014 à 06:00 -
ALGÉRIESilence à Alger sur l’hospitalisation de Bouteflika à Grenoble
Alger gardait samedi un silence absolu sur l’hospitalisation du président Abdelaziz Bouteflika, 77 ans, deux jours après son admission dans une clinique à Grenoble.AFP le 15/11/2014 à 10:04 -
albertville - Il était invité par les autorités algériennes pour faire un show dans son pays d’origineDriss, le peintre aux paillettes, à Oran
Né en Algérie, Driss Bensallah est arrivé à Albertville à l’âge de huit ans, en 1966. Déjà, il aimait dessiner et caricaturer ses professeurs… Depuis, ...
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http://www.algerie-focus.com/blog/2014/11/bouteflika-sur-le-point-de-quitter-la-clinique-de-grenoble-apres-trois-jour-dhospitalisation/#sthash.lJYJAoPD.dpuf
http://www.algerie-focus.com/blog/2014/11/bouteflika-sur-le-point-de-quitter-la-clinique-de-grenoble-apres-trois-jour-dhospitalisation/http://www.algerie-focus.com/blog/2014/11/bouteflika-sur-le-point-de-quitter-la-clinique-de-grenoble-apres-trois-jour-dhospitalisation/
http://www.lepoint.fr/sante/pourquoi-abdelaziz-bouteflika-a-choisi-la-clinique-d-alembert-14-11-2014-1881305_40.php
Pourquoi Abdelaziz Bouteflika a choisi la clinique d'Alembert
Le Point
- Publié le
Le président algérien est hospitalisé dans le service de cardiologie et de maladies vasculaires. Or, Abdelaziz Bouteflika connaît bien le responsable du service.
Par Jérôme Vin
L'Institut Hollard est spécialisé en cancérologie et l'hôpital dans son ensemble revient 13 fois parmi les meilleurs dans le palmarès 2014 des hôpitaux et des cliniques du Point. Il est 21e pour la chirurgie de l'adénome de la prostate, 35e pour le traitement du cancer de la prostate, 26e pour la chirurgie de la vessie, 40e pour les appendicectomies, 14e en proctologie, 26e pour la chirurgie de la vésicule biliaire, 27e pour celle des hernies abdominales, 9e pour la chirurgie de la cataracte, 14e pour le traitement des varices. Il est solide en chirurgie orthopédique : 8e pour la chirurgie de la cheville, 6e pour la chirurgie du pied, 25e pour la chirurgie de l'épaule, 10e pour la chirurgie ligamentaire du genou. Solide, il n'est néanmoins pas réputé pour être exceptionnel, voire unique, en France pour le traitement d'une maladie en particulier.
http://www.ouest-france.fr/abdelaziz-bouteflika-le-president-algerien-quitte-la-clinique-de-grenoble-2977596
Abdelaziz Bouteflika. Le président algérien a quitté la clinique de Grenoble
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a quitté samedi la clinique où il était hospitalisé depuis jeudi.
Affaibli par la maladie depuis un AVC en 2013, le président algérien Abdelaziz Bouteflika de 77 ans, avait été admis jeudi dans une clinique de Grenoble pour une série d'examens.
Une ambulance escortée par plusieurs voitures avait quitté l'établissement vers 13 h 30. La police a confirmé que M. Bouteflika était dans le cortège qui devait prendre la direction de l'aéroport de Grenoble.
Les raisons qui ont motivé son hospitalisation demeurent inconnues, Alger étant resté muet sur le sujet, de même que la direction du Groupe hospitalier mutualiste dont fait partie la clinique.
Depuis le début de son 4e mandat fin avril, M. Bouteflika n'a fait que de rares apparitions publiques, en fauteuil roulant, alimentant les rumeurs sur son réel état de santé.
Une ambulance escortée par plusieurs voitures avait quitté l'établissement vers 13 h 30. La police a confirmé que M. Bouteflika était dans le cortège qui devait prendre la direction de l'aéroport de Grenoble.
Les raisons qui ont motivé son hospitalisation demeurent inconnues, Alger étant resté muet sur le sujet, de même que la direction du Groupe hospitalier mutualiste dont fait partie la clinique.
Hospitalisé en cardiologie
Selon le quotidien régional Le Dauphiné Libéré, qui a révélé la présence de M. Bouteflika à Grenoble vendredi, celui-ci a été hospitalisé dans un service de cardiologie et maladie vasculaire, où travaille un professeur de cardiologie qui officiait auparavant à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris, où le chef de l'Etat algérien avait été soigné durant près de trois mois l'an dernier à la suite de son AVC.Depuis le début de son 4e mandat fin avril, M. Bouteflika n'a fait que de rares apparitions publiques, en fauteuil roulant, alimentant les rumeurs sur son réel état de santé.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/15/1992013-le-president-algerien-bouteflika-a-quitte-la-clinique-de-grenoble.html
Abdelaziz Bouteflika quitte la France après une brève hospitalisation
A la Une
L'avion supposé transporter le président
algérien Abdelaziz Bouteflika décolle de l'aéroport de Grenoble.
Jean-Pierre Clatot
/
AFP
Le président
algérien Abdelaziz Bouteflika, 77 ans, affaibli depuis un AVC en 2013 et
dont l'état de santé fait l'objet de rumeurs récurrentes, a quitté la
France samedi après une brève hospitalisation dans une clinique de
Grenoble, près de sept mois après sa réélection pour un 4e quinquennat.
Le chef d'Etat est reparti de la clinique Alembert vers 13H30 dans une ambulance escortée par plusieurs véhicules de police, en direction de l'aéroport de Grenoble où il était arrivé discrètement jeudi. Un avion de la présidence algérienne en a décollé vers 14H45, selon un photographe de l'AFP.
Les raisons qui ont motivé l'hospitalisation de M. Bouteflika, qui s'est déroulée sous étroite surveillance policière, demeurent inconnues, Alger ayant observé un silence absolu, de même que la direction du Groupe hospitalier mutualiste dont fait partie la clinique.
Vendredi soir, la télévision algérienne s'est contentée de lire un message adressé par M. Bouteflika au président palestinien Mahmoud Abbas à l'occasion du 26e anniversaire de la proclamation de l'Etat de Palestine à Alger. Ce message faisait samedi matin la manchette du quotidien gouvernemental El Moudjahid.
Selon le quotidien régional Le Dauphiné Libéré, M. Bouteflika a été pris en charge dans un service de cardiologie et maladie vasculaire, où travaille un professeur de cardiologie qui officiait auparavant à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris.
Le président algérien y avait été soigné durant près de trois mois l'an dernier à la suite de son AVC, après y avoir été opéré d'un ulcère en 2005.
Rares apparitions publiques
Depuis le début de son 4e mandat fin avril, M. Bouteflika n'a fait que de rares apparitions publiques, alimentant les rumeurs sur son réel état de santé.
Le 1er novembre, il avait effectué une visite au cimetière d'El Alia, dans la banlieue-est d'Alger, pour se recueillir sur les tombes de "martyrs" de la guerre d'indépendance à l'occasion des 60 ans de cette insurrection, dont il est un vétéran. Selon des images diffusées alors par la télévision algérienne, il était arrivé en fauteuil roulant à la cérémonie.
Si ses sorties sont parcimonieuses, ses apparitions à la télévision le sont moins. On le montre recevant ses invités - chefs d'Etat et ministres étrangers, ambassadeurs, membres du gouvernement algérien - dans une résidence à Zéralda, station balnéaire à l'ouest d'Alger, qui semble être devenue son bureau.
Le dernier hôte a été reçu mercredi. Il s'agit du ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Rafael Ramirez, avec lequel il a parlé des prix du pétrole. Lundi, M. Bouteflika avait reçu le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, et son collègue de l'Economie, Emmanuel Macron, venus en Algérie assister à l'inauguration d'une usine Renault.
Juste avant ces rendez-vous, M. Bouteflika avait reçu une quinzaine d'ambassadeurs venus lui présenter leurs lettres de créances. "Il est apparu très lucide et très informé des dossiers", confiait alors l'un d'eux.
Mais à chacune de ses apparitions, M. Bouteflika a affiché des difficultés d'élocution, s'exprimant d'une voix faible. "Rani (je vais) beaucoup mieux", avait-il assuré début octobre au diplomate Lakhdar Brahimi après des rumeurs alarmantes sur son état de santé.
La résidence de Zéralda où il reçoit est "entièrement aménagée, avec de vastes couloirs et de larges ascenseurs permettant au patient de se déplacer en chaise roulante", a confié à l'AFP un photographe qui a pu s'y rendre.
© 2014 AFPLe chef d'Etat est reparti de la clinique Alembert vers 13H30 dans une ambulance escortée par plusieurs véhicules de police, en direction de l'aéroport de Grenoble où il était arrivé discrètement jeudi. Un avion de la présidence algérienne en a décollé vers 14H45, selon un photographe de l'AFP.
Les raisons qui ont motivé l'hospitalisation de M. Bouteflika, qui s'est déroulée sous étroite surveillance policière, demeurent inconnues, Alger ayant observé un silence absolu, de même que la direction du Groupe hospitalier mutualiste dont fait partie la clinique.
Vendredi soir, la télévision algérienne s'est contentée de lire un message adressé par M. Bouteflika au président palestinien Mahmoud Abbas à l'occasion du 26e anniversaire de la proclamation de l'Etat de Palestine à Alger. Ce message faisait samedi matin la manchette du quotidien gouvernemental El Moudjahid.
Selon le quotidien régional Le Dauphiné Libéré, M. Bouteflika a été pris en charge dans un service de cardiologie et maladie vasculaire, où travaille un professeur de cardiologie qui officiait auparavant à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris.
Le président algérien y avait été soigné durant près de trois mois l'an dernier à la suite de son AVC, après y avoir été opéré d'un ulcère en 2005.
Rares apparitions publiques
Depuis le début de son 4e mandat fin avril, M. Bouteflika n'a fait que de rares apparitions publiques, alimentant les rumeurs sur son réel état de santé.
Le 1er novembre, il avait effectué une visite au cimetière d'El Alia, dans la banlieue-est d'Alger, pour se recueillir sur les tombes de "martyrs" de la guerre d'indépendance à l'occasion des 60 ans de cette insurrection, dont il est un vétéran. Selon des images diffusées alors par la télévision algérienne, il était arrivé en fauteuil roulant à la cérémonie.
Si ses sorties sont parcimonieuses, ses apparitions à la télévision le sont moins. On le montre recevant ses invités - chefs d'Etat et ministres étrangers, ambassadeurs, membres du gouvernement algérien - dans une résidence à Zéralda, station balnéaire à l'ouest d'Alger, qui semble être devenue son bureau.
Le dernier hôte a été reçu mercredi. Il s'agit du ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Rafael Ramirez, avec lequel il a parlé des prix du pétrole. Lundi, M. Bouteflika avait reçu le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, et son collègue de l'Economie, Emmanuel Macron, venus en Algérie assister à l'inauguration d'une usine Renault.
Juste avant ces rendez-vous, M. Bouteflika avait reçu une quinzaine d'ambassadeurs venus lui présenter leurs lettres de créances. "Il est apparu très lucide et très informé des dossiers", confiait alors l'un d'eux.
Mais à chacune de ses apparitions, M. Bouteflika a affiché des difficultés d'élocution, s'exprimant d'une voix faible. "Rani (je vais) beaucoup mieux", avait-il assuré début octobre au diplomate Lakhdar Brahimi après des rumeurs alarmantes sur son état de santé.
La résidence de Zéralda où il reçoit est "entièrement aménagée, avec de vastes couloirs et de larges ascenseurs permettant au patient de se déplacer en chaise roulante", a confié à l'AFP un photographe qui a pu s'y rendre.
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