الجمعة، يوليو 14

الاخبار العاجلة لمقاطعة سكان قسنطينة المساجد والمقابر والمحلات التجارية بسبب جهنم الدنيا حيث الحرارة المرتفعة بينما فضلاهالي قسنطينة زيارة المسابح والشواطئ والمدن الجزائرية لابراز عضلاتهم الجنسية في انتظار نزع ملابسهم الاجتماعية بسبالتقشف الاقتصادي والاسباب مجهولة

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Constantine : Contestation des demandeurs de logement

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le 06.07.17 | 12h00 Réagissez
 

La contestation semble avoir repris de plus belle suite à l’annonce par le wali de Constantine de l’attribution de 1362 logements sociaux locatifs (LSL) au cours de ce mois de juillet, dont un premier quota de 259 unités a été en effet distribué lundi passé.

Sans plus attendre donc, une cinquantaine de citoyens inscrits, selon leurs propos, pour certains depuis des décennies sur les listes de demandeurs de ce type de logements, et résidant pour la plupart au centre-ville, notamment les quartiers de la Casbah, de la vieille ville, ou des rues Kaddour Boumeddous et Belouizdad, ont tenu le jour même un sit-in devant le siège de la daïra, situé boulevard Zighoud Youcef, pour exiger leur relogement. «Nous sommes fatigués d’attendre.
Il n’ y en a ces dernières années que pour les habitants de logements précaires et des bidonvilles. Quand est-ce qu’ils se décideront enfin à se pencher sur notre cas? Notre relogement est à chaque fois différé. De qui se moque-t-on ? Les autorités nous grugent avec des promesses qu’elles sont incapables de tenir.
Notre patience a des limites et là ils sont en train de nous pousser à des actions extrêmes», nous dira l’un des contestataires, déplorant d’autre part que le chef de daïra ait refusé à plusieurs reprises de les recevoir. Parmi ces contestataires, certains réfutent d’autre part les listes établies précédemment par les comités de quartier, lesquels auraient favorisé leurs proches et exigent à ce titre que seul le critère de l’ancienneté du dossier soit pris en compte.     
F. Raoui

Bibliothèque urbaine de Bab El Kantara

Un projet bloqué par le contrôleur financier

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le 09.07.17 | 12h00 Réagissez
 
	Le chantier accuse déjà un retard de deux ans
Le chantier accuse déjà un retard de deux ans

Prévue pour être livrée le 5 juillet en cours, la structure demeure encore en souffrance à cause d’un problème de paiement des situations financières, réclamées depuis trois ans.

Prévue pour le 5 juillet en cours, la livraison de la bibliothèque urbaine de Bab El Kantara a été différée pour la énième fois, à cause de plusieurs obstacles purement administratifs. Ce projet, parmi tant d’autres, a été lancé en février 2014, dans le cadre de l’événement ‘‘Constantine capitale de la culture arabe (CCCA)’’ et il devait être livré avant avril 2015. En dépit de l’importance du taux d’avancement des travaux de l’infrastructure, qui est estimé à plus de 90%, les autorités locales peinent à déterminer une date précise pour la livraison et respecter leurs engagements. Sur place, rien à dire.
Le projet est achevé. Il ne reste qu’une partie de la façade et quelques retouches à l’intérieur, mais malgré cela le chantier tarde à être achevé, faute de paiement. «L’obstacle primordial qui a pénalisé l’avancement du projet est bel et bien le paiement. Il y a des avenants qui attendent depuis 2016, l’entreprise s’est retrouvée contrainte de ralentir le rythme des travaux momentanément.
Car il y a des employés qui réclament leurs salaires. Pourtant, le taux d’avancement est estimé à 95%», a déclaré le chef de chantier. Et de poursuivre : «Le paiement des situations n’a atteint que les 51% depuis le lancement du chantier en 2014. Le budget est toujours bloqué au niveau du contrôleur financier de la wilaya.
Pis encore, nous nous n’avons pas été payés depuis 2016.» Interrogé sur la date de livraison de la structure, notre interlocuteur a souligné qu’elle dépend de la résolution de la situation financière, tout en insistant sur la confiance que l’entreprise a placée dans l’Etat. «Mais je note que cela n’a pas découragé l’entreprise, cette dernière a assuré tout le reste des tâches avec ses propres moyens financiers», a-t-il noté. Le même responsable n’a pas manqué de mettre en exergue les conséquences négatives de la lenteur de paiement sur le chantier qui traîne.
Le bureau d’études chargé du suivi a dénoncé également le manque de paiement. Ce dernier, qui était présent sur place, a affirmé qu’il détient des factures qui n’ont pas été réglées depuis 3 ans. La bureaucratie et la crise économique deviennent la hantise des entrepreneurs à Constantine, où plusieurs chefs de projets des sociétés algériennes chargées des chantiers dans le même cadre ont dénoncé cette situation.
Le chef de chantier de la bibliothèque urbaine a rappelé que tout a commencé lors des découvertes des ruines archéologiques. «C’était le premier problème survenu sur place. Nous étions contraints de réétudier le plan et de le changer, en suspendant les travaux et attendant l’approbation du ministère depuis 9 mois», a-t-il précisé. Pour conclure, notons que 45 milliards de centimes ont été alloués à ce projet, afin qu’il soit réalisé avec des matériaux nobles. S’étalant sur une superficie d’environ 3 000 m², l’infrastructure est la première du genre au niveau de la wilaya.
Elle compte deux salles de lecture, dont la vue donne sur le Rhumel et le pont de Bab El Kantara, d’une superficie de 200 m2 chacune, avec une capacité de plus de 100 adhérents. En outre, ce projet composé d’un sous-sol et R+2, est doté aussi d’une salle d’internet, un amphithéâtre de 200 places et un espace administratif. Malheureusement, cet événement est censé être une opportunité à ne pas rater pour Constantine, afin que la population de cette ville bénéficie d’importantes infrastructures culturelles. Hélas, le CCCA a fait de la ville du vieux Rocher un éternel chantier à ciel ouvert.      
Yousra Salem

Cité Ziadia : Polémique autour d’un chantier

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le 13.07.17 | 12h00 Réagissez
 
	Les riverains, qui s’opposent aux travaux, ont décidé de saisir le wali
Les riverains, qui s’opposent aux travaux, ont décidé...
 

Les habitants s’interrogent sur la finalité de ce projet, alors que la cité manque terriblement d’aires de détente et d’espaces verts.

L’affaire, si on peut l’appeler ainsi, est au centre de toutes les discussions à la cité Ziadia, notamment parmi les habitants des immeubles A9, A10 et A11. Une véritable polémique est née suite à un chantier qui semble provoquer des remous. Un projet encore anonyme, puisqu’on aucune plaque de chantier n’a été installée conformément à la réglementation, ce qui a éveillé des soupçons, mais aussi des craintes. Une réaction toute a fait légitime, au vu des expériences vécues dans différentes cités de la ville.
«Tout a commencé dans la journée de mardi, quand nous avons été surpris par des engins qui ont commencé à décaper le terrain situé en face de nos immeubles, à proximité de l’école primaire El Moutanabi, non loin du boulevard de Djebel Ouahch ; cela ne s’est pas passé sans nous intriquer, surtout que nous avions réclamé depuis des années que ce terrain soit aménagé comme un espace vert ; mais face à cette situation, nous avons décidé d’agir», nous révèlent des habitants de la cité qui ont pris attache avec El Watan.
Sur les lieux, nous avons bien confirmé qu’il n’y avait aucune plaque de chantier. «Pourquoi cette plaque n’a pas été installée si ce projet était vraiment légal; c’est qu’il y anguille sous roche», notent nos interlocuteurs. Ces derniers étaient vraiment décidés à saisir le wali de Constantine, surtout après les informations qu’ils ont pu recueillir.
«Nous avons demandé des informations auprès du service de l’urbanisme de la commune de Constantine, où on nous a confirmé qu’il s’agit d’un projet accordé en 2016 par l’ex-wali, Hocine Ouadah, dans le cadre du Calpiref, pour réaliser un investissement ; mais d’après certaines sources il s’agirait d’un projet d’une boite de communication ; mais ce qui nous a étonnés le plus, c’est qu’on a accordé un permis de construire pour une bâtisse en R+3 », affirment-ils.
Les concernés soutiennent que les habitants sont opposés à ce projet. Hier, une requête circulait déjà à la cité Ziadia pour collecter les signatures des habitants et signifier leur refus pour ce projet qui suscite de nombreuses interrogations. Comment l’ex-wali a-t-il accordé un tel projet dans le cadre du Calpiref dans une zone urbaine, alors qu’il y a des zones réservées spécialement pour ce type « d’investissement ». «Nous ne sommes pas contre la personne qui veut réaliser ce projet, ni contre le projet en lui-même, mais à condition que cela se fasse ailleurs, et non pas sur ce bout d’espace que nous avons réclamé qu’il soit un jardin, un espace vert, une aire de détente, surtout que la cité Ziadia est complètement asphyxiée», concluent les habitants.                                              
Arslan Selmane


Gestion de la gare routière Est Tahar Sahraoui

Vers la résiliation du contrat avec Sogral ?

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le 13.07.17 | 12h00 Réagissez
 
	Personne ne semble être satisfait des conditions de travail dans cette structure
Personne ne semble être satisfait des conditions de travail dans...
 

Les commerçants n’ont cessé de dénoncer une situation aberrante dans des locaux sans gaz, et d’autres sans eau ni électricité.

Quelques jours avant l’expiration du contrat signé entre la Société de gestion de la gare routière d’Alger (Sogral) et la commune de Constantine pour la gestion de la gare routière Est «Sahraoui Tahar», les commerçants concernés se demandent si la commune procédera à la résiliation du pacte, ou acceptera-t-elle ce qu’ils qualifient de dépassements menés sur ses biens ? Car il est soutenu que depuis la réouverture de la structure en août dernier, Sogral maintient toujours une gestion décriée par les commerçants qu’ils jugent pénalisante à tous les niveaux.
Sur place, nous avons constaté que plusieurs magasins sont constamment fermés, alors que pour le peu de restaurants et de kiosques fonctionnels, les conditions sont tellement déplorables. «La situation est catastrophique, comme vous remarquez ; il est interdit d’installer un climatiseur à l’intérieur du magasin. Nous avons tenté à maintes reprises de saisir les responsables de la Sogral pour améliorer les conditions à l’intérieur, mais en vain», a déclaré l’un des commerçants.
Et de poursuivre : «Pour ce qui est du paiement des factures, rien n’est clair. Nous payons chaque mois un forfait pour l’électricité et l’eau à la Sogral sans avoir des compteurs sur nos consommations. En plus, cette société ne paie pas ses redevances d’électricité, c’est la commune de Constantine qui s’en charge.» Pour leur part, les gérants de fast-food ont affirmé qu’ils n’ont pas de gaz de ville à l’intérieur des locaux et «ils utilisent toujours les bonbonnes de butane».
«Nous avons contacté la société de gestion et le maire, mais aucun n’a voulu répondre à nos doléances», a regretté l’un des concernés. D’autre part, la situation semble plus compliquée en dehors de l’infrastructure. La pharmacie opérationnelle est sans eau, ni gaz et ni électricité. Le même constat a été signalé pour les magasins qui se trouvent à l’extérieur des lieux, y compris les toilettes publiques. Cet état de fait a provoqué la colère des commerçants qui exercent depuis 20 ans, voire plus, au niveau de cette gare routière. Ils contestent également l’augmentation du loyer et demandent à la commune de résilier avec cette entreprise.
«Nos prestations ont connu une baisse remarquable, à cause des conditions de travail. Nous n’achetons plus les produits pharmaceutiques les plus demandés, comme l’insuline et autres, car nous n’avons pas de réfrigérateur pour les préserver», a déclaré le pharmacien de la gare. Les propriétaires des bus ne sont pas non plus épargnés de la mauvaise gestion. Rencontrés sur place, ils étaient unanimes à pointer du doigt la gestion de Sogral. «La société chargée de l’exploitation a maintenu le même forfait de stationnement établi par la commune, tout en négligeant les critères du paiement.
Au début, nous versions 10 000 DA mensuellement, mais cette somme était variable selon les recettes de chaque autobus. Actuellement, même si l’autobus ne vient pas sur les lieux pendant un mois ou quelques semaines, il doit payer sa caution», a expliqué l’un des propriétaires.
Rappelons que les élus de l’APC de Constantine ont dénoncé, en février dernier, lors d’une session extraordinaire, le non-respect du contrat signé entre la commune et la Société de gestion de la gare routière d’Alger (Sogral). Ils ont estimé que la mauvaise gestion menée au sein des lieux a causé beaucoup de problèmes pour la commune.
D’autant plus, d’après eux, que la société chargée de l’exploitation n’a pas respecté les chapitres cités dans le contrat signé avec la commune. Ils ont souligné également que la commune n’a pas pu recouvrer «un seul sou» du budget dépensé pour la réhabilitation de la gare en question.
Pour conclure, notons que ce contrat, dont la durée est d’une année, permet à la commune de récupérer la gare routière en cas de transgression de la convention par Sogral. Après un débat houleux, le maire a demandé d’inscrire et de prendre en considération la proposition des élus, afin de récupérer cette gare. Ira-t-il jusqu’au bout ?                 
Yousra Salem

Abderrazak Guessoum. Président de l’Association des oulémas

Il n’y a eu aucune concertation pour le film sur Ben Badis

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le 14.07.17 | 12h00 Réagissez

Il s’agit simplement de regret que Abderrazak Guessoum, président de l’Association des oulémas, a émis concernant la réalisation du film sur Abdelhamid Ben Badis.

Hier à Tébessa, en marge de la 3e conférence nationale sur la méthode de l’Association des oulémas dans la lutte contre la toxicomanie, le président de l’Association des oulémas a affirmé : «Pour cette réalisation cinématographique, il n’ y a pas eu de concertation avec notre association.
On a été invités que dans un cadre protocolaire  pour assister à la projection inaugurale de ce long métrage.» Et d’ajouter que  si pour le volet technique, il n’y a rien à dire,  «le scénario  donne plutôt   l’impression d’une succession d’événements, sur lesquels il y a beaucoup de choses à dire».
«Je ne suis pas en train de critiquer, mais, pour plus de consistance quant aux d’événements et plus d’authenticité aux faits relatés, le scénario  aurait dû être remis préalablement à l’Association des oulémas avant le lancement dans la réalisation du film», a expliqué encore Abderrazak Guessoum. Rappelons que ce long métrage sur cette personnalité algérienne a été réalisé par un  étranger, le Syrien Bassil El Khatib.
Comme à l’accoutumée, chaque fois que l’on veut relater les faits historiques d’une personnalité   qui a marqué  le mouvement national, on le «confectionne» dans la précipitation, et on  met tout le monde devant le fait accompli. Le cas du film de Ben Badis est édifiant.

Ghellab Smail


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المنظمون" زعموا تنظيمها بشاطئ الساكت يوم السابع أوت

غضب ببجاية بعد شائعات عن تظاهرة للسباحة من دون ملابس

date 2017/07/13 views 5814 comments 14
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icon-writer ع. تڤمونت

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حالة من الغليان والغضب الشعبي تعرفها بجاية هذه الأيام بعدما تناقلت عديد الصفحات خبر تنظيم تظاهرة السباحة من دون ملابس يوم 7 أوت القادم بشاطئ الساكت غرب بجاية، ورغم أن الأمر لا يزال مدرج ضمن خانة الشائعات كون "الشروق" قد حاولت الوصول إلى الجهة المنظمة المزعومة لكن دون جدوى.
رغم عدم وجود ما يفيد بصدقية الخبر؛ إلا أنه أثار سخط المواطنين بعدما انتشر الخبر كالنار في الهشيم، مطالبين السلطات بضرورة التدخل وفتح تحقيق حول هذه القضية وتحديد الجهة التي تقف وراءها، من جهتهم استغرب سكان بجاية هذا الخبر رافضين في نفس الوقت تشويه منطقتهم بمثل هذه التصرفات التي وصفوها بالصبيانية والشاذة كونها لا تمت بأي صلة لتقاليد المنطقة كما أن بجاية معروفة بحرمتها.
وقد ثارت ثائرة المواطنين عقب سماعهم بالخبر حيث قال أحدهم، "الفيسبوك أعطى الأغبياء والحمقى مساحة كبيرة للشهرة والظهور.. فاختفى المثقفون وأخذ التافهون النصيب الأكبر لملء صفحاتنا بكل ما تفجره قباحة ودناءة نفوسهم من أقوال وأفعال.. والمصيبة ليست هنا فحسب فالمصفقون الجاهلون أكبر منهم عددا"، فيما دعا آخر سكان الولاية بضرورة الوقوف بالمرصاد أمام مثل هذه التظاهرات المسيئة بالقول "يا ناس بجاية إذا داروها وعامو عريانين تبقى وصمة عار في جبينكم.. كل الملاعب ستغني على الحادثة ستصبحون أضحوكة" مضيفا "بجاية سابقا كانت عاصمة الحماديين كان العلماء يأتون إليها من كل مكان ليطلبوا العلم.. وكان مفكرو أوروبا في عصر الأنوار يأتون إلى بجاية للتعلم فلا تمحوا تاريخكم المجيد بالانحلال الخلقي". واكتفى آخر بتلاوة الآية الكريمة "إِنَّ الَّذِينَ يُحِبُّونَ أَنْ تَشِيعَ الْفَاحِشَةُ فِي الَّذِينَ آمَنُوا لَهُمْ عَذَابٌ أَلِيمٌ فِي الدُّنْيَا وَالْآخِرَةِ وَاللَّهُ يَعْلَمُ وَأَنْتُمْ لَا تَعْلَمُونَ".أما آخرون فقد أدرجوا هذا الخبر الذي لا يزال غير مؤكد ضمن خانة إثارة الفتنة ومحاولة جديدة لتشويه صورة المنطقة.  
للإشارة فقد تزامن خبر تظاهرة السباحة من دون ملابس مع خبر عودة تظاهرة الألوان للمرة الثالثة وذلك يوم 12 أوت المقبل رغم الضجة التي صنعها هذا الحدث في ظل صمت السلطات إزاء مثل هذه التظاهرات التي لا تمت بأي صلة لديننا ولا لتقاليدنا ولا للحريات الشخصية.

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