السبت، أكتوبر 5

الاخبار العاجلة لاعلان السلطات الجزائرية شغور منصب والي قسنطينة لمدة سنة بسبب اكتشاف فضائح سياسية في لعبة قسنطينةعاصمة الثقافة العربية والاسباب مجهولة


Pages hebdo Arts et lettres
 

à la tête d'une grande Zaouïa en 1897

Lalla Zineb, l’insoumise

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 20.04.13 | 10h00 13 réactions
 
 Carte poste représentant lala Zineb.
diaporama | © D. R.
Carte poste représentant lala Zineb.

Je suis né à la Zaouïa d’El Hamel. Dans le grand salon de réception, trônent les portraits de l’Emir Abdelkader, du Cheikh Mohamed Belkacem, fondateur des lieux, du Bachagha Mokrani, ainsi que ses armes, et les portraits des autres membres de la famille qui se sont succédé à la tête de la Zaouïa.

Mais il manque toujours le portrait de Lalla Zineb qui a pourtant assuré la gloire du lieu. J’ai toujours été intrigué par cet oubli ou par ce trou de mémoire concernant cette femme qui a traversé, il y a plus d’un siècle, comme une comète le ciel de l’islam. Pourquoi tant d’auteurs européens lui ont consacré des pages vibrantes et que rien – du moins à ma connaissance – n’a été entrepris sur elle en Algérie, sinon un ou deux articles de journaux ? Pourquoi, au début du siècle dernier, une écrivaine américaine, Helen Gordon, traverse l’Atlantique pour visiter la Zaouïa d’El Hamel ? Pourquoi l’Université de Berkeley lui consacre une étude monumentale et que l’Université algérienne semble en ignorer l’existence? Pourquoi la photo de cette grande dame, que l’on trouvait dans tous les souks d’Algérie, manque toujours, là où elle a œuvré ?"

Le vendredi 31 août 1877, le Cheikh de la Zaouïa d’El Hamel, Mohamed Belkacem, âgé alors de cinquante-sept ans, se rend, après un malaise cardiaque, chez le cadi de Tamsa, village non loin de Boussaâda, pour rédiger son testament. Il lègue tous ses biens à son enfant unique, «Zeineb, et aux enfants, garçons et filles pouvant lui naître ultérieurement». L’héritage est colossal. Le cheikh est à la tête de la confrérie la plus puissante du pays, la Rahmaniyya, et sa Zaouïa d’El Hamel comptait alors le plus grand nombre d’adeptes. En 1895, le cheikh commence à montrer des signes de fatigue.
Connaissant le poids de la confrérie, le gouverneur général ordonne au commandant de la place de Boussaâda de faire une enquête sur les éventuels successeurs. Le commandant dépêche à El Hamel le capitaine Crochard. Ce dernier fait une enquête approfondie sur le neveu du cheikh, Sidi Mohamed, pour «s’assurer de ses aptitudes, de son état d’esprit et de ses sentiments envers la France». Il jette son dévolu sur le personnage qui lui semble «acquis à la France», mais émet toutefois quelques réserves : «Il est d’intelligence moyenne, mais il est ambitieux, orgueilleux, et enclin à l’excès.»
Le capitaine précise également que Sidi Mohamed ne jouit pas d’une grande estime auprès des adeptes de la Zaouïa qui le considèrent comme «rapace et avare». Cependant, il sera le candidat de l’armée française. Le 10 mars 1897, le capitaine Crochard assure qu’il a reçu une lettre du cheikh de la Zaouïa lui confirmant qu’il désignait Sidi Mohamed comme son successeur.
Deux mois plus tard, le mercredi 2 juin 1897, Cheikh Mohamed Belkacem meurt d’une crise cardiaque alors qu’il rentrait d’un séjour à Alger. Conformément à la tradition, le Cheikh est ramené à El Hamel pour y être enterré le lendemain à proximité de sa maison. Une foule immense se presse à la prière du mort. Son neveu, Sidi Mohamed, se voit déjà Cheikh de la zaouïa. Après l’enterrement, il se précipite aussitôt dans les appartements du Cheikh pour en prendre possession.
Mais là, il se heurte à sa cousine, Lalla Zineb, qui lui exhibe le testament de son père, rédigé en 1887, et lui annonce qu’elle est la seule héritière légitime ! Même si elle a passé toute sa vie recluse dans le gynécée de son père, Lalla Zineb avait accès à la vaste bibliothèque de son père. Elle avait suivi, dans la petite mosquée attenante à la maison du cheikh, des cours d’arabe et de théologie. Enfant unique, elle a dû profiter de tous les récits de voyage de son père et l’enfance passée avec les enfants des réfugiés Mokrani lui a sûrement ouvert les yeux sur les réalités du colonialisme.
Surpris, puis désarçonné par la réaction de sa cousine germaine, Sidi Mohamed lui montre alors la lettre-testament du cheikh. Elle lui rétorque qu’elle a été arrachée de force par les militaires français à son père et qu’elle ne la reconnaissait pas. Furieux, Sidi Mohamed tente de l’enfermer à double tour dans la maison du cheikh dotée de six lourdes portes. Mais en vain. Dehors, une altercation violente éclate entre partisans de Lalla Zineb et ceux de son cousin.
A la prière du aasr, Lalla Zineb sort, le visage nu. Elle a 35 ans. Pour la première fois de sa vie, elle voit des hommes et, pour la première fois, des hommes la voient. Sidi Mohamed harangue la foule et la met en garde contre cette hérésie – «une femme à la tête de la confrérie la plus importante du pays, c’est un comble !» –  et il cite des hadiths du Prophète maudissant les nations qui se laissent commander par les femmes. Mais la foule penche pour Lalla Zineb. Il faut dire qu’elle ressemble comme deux gouttes d’eau à son père.
D’après une tradition orale, la terre aurait alors tremblé et les hommes auraient entendu le Cheikh Mohamed Belkacem crier depuis sa tombe : «C’est ma fille qui a ma baraka.» Comme les miracles sont faits pour exaucer les rêves des hommes, nous croyons en celui-ci.
L’écrivain et armateur français, Paul Eudel, qui l’a rencontrée quelques années après ces faits, en donne cette description : «La marabouta ne porte pas le voile ordinaire des femmes de sa religion, sa figure est découverte. C’est une femme d’une trentaine d’années au visage émacié, d’une maigreur ascétique, avec des yeux intelligents et doux. Ses vêtements blancs, épais et lourds, donnent d’abord l’impression d’une abbesse du grand siècle.»
Au cercle militaire de Boussaâda, c’est la consternation totale. Le capitaine Crochard écrit : «Cette femme a détruit tout ce que j’ai mis en place». Le commandant Fournier alerte l’état-major à Alger et demande s’il faut prévoir une intervention militaire pour destituer la «rebelle» et introniser Sidi Mohamed. En attendant, l’armée préfère temporiser et dépêche, le lendemain, le capitaine Crochard à El Hamel pour tenter de ramener Lalla Zineb à la raison.
L’entretien du mois de juin 1897, consigné par l’interprète, est un chef-d’œuvre de tactique. L’officier s’efforce de faire revenir Lalla Zineb sur sa décision. Elle lui répond de nouveau qu’elle considère la lettre de son père comme un faux. Et quand l’officier élève le ton, Lalla Zineb se rappelle les récits des rescapés Mokrani. Elle se souvient de tous les chefs de confrérie écrasés par la machine de guerre coloniale, les Ouled Sidi Cheikh, les Bouamama, les Haddad. Il serait suicidaire pour elle d’aller à la confrontation, de déclarer, comme l’ont fait les autres chefs de confrérie, la guerre pour l’honneur. Elle va alors décider d’attaquer l’administration coloniale sur son propre terrain : le droit colonial. Elle annonce à Crochard qu’elle va porter plainte en justice contre lui et ses supérieurs.
L’officier quitte la zaouïa furieux et envoie ce rapport à Alger : «Passionnée au point de haine, audacieuse au point de l’insolence et de l’impudence, très hautaine et avide de traitement déférent, elle affiche dans les pires façons les qualités de son père, sa charité n’est rien d’autre qu’extravagance, elle n’hésite pas à tromper ou à faire de fausses accusations pour poursuivre le plan d’action qu’elle a en tête.»
Le soir même, Sidi Mohamed revient à l’attaque et propose à Lalla Zineb un marché : il l’épouse et ils se partagent à eux deux la direction spirituelle de la Zaouïa. Lui dehors et elle au foyer. La proposition plonge Lalla Zineb dans une haine définitive de son cousin et elle lui déclare la guerre. Il faut dire aussi que l’enjeu est de taille. L’héritage du Cheikh est estimé à deux millions cinq cent mille francs. Une fortune! Pour avoir une idée de cette somme, il suffit de savoir qu’en 1890, dans le département d’Alger, les colons payent, en moyenne, 1,50 fr par jour, les ouvriers occupés aux labours, sulfatages... Pour les vendanges, l’ouvrier ne gagnait que 1,25 fr.
Lalla Zineb, très remontée, le congédie aussitôt. Elle refuse le mariage et crie qu’elle fait vœu de chasteté à jamais ! Sur ce, elle interdit aux étudiants et au personnel de la Zaouïa d’obéir aux ordres de son cousin et décrète qu’il est interdit d’accès à la bibliothèque, aux salles de cours, aux bâtiments, et qu’il ne peut détenir aucune clef des entrepôts de la Zaouïa. Pour justifier cet acte, elle déclare que «l’attachement excessif de Sidi Mohamed aux choses de la vie est antinomique avec la dimension spirituelle d’El Hamel et risque de mettre en péril le caractère social de la Zaouïa». Elle adresse en même temps une lettre circulaire à l’ensemble des Zaouïas rattachées à El Hamel où elle prévient : «Quiconque parmi les Rahmaniya rejoindra le camp de mon cousin ne pourra plus espérer voir s’ouvrir devant lui les portes de Lalla Zineb.»
Elle ne s’arrête pas là. Au mois d’août 1897, elle décide de porter plainte contre son cousin et contre l’administration militaire. Le 17 septembre, elle se rend à Boussaâda pour rencontrer son avocat ! Un personnage que ce maître Maurice l’Admiral, un Martiniquais, connu pour ses positions anticoloniales et que l’on retrouvera plus tard comme défenseur des insurgés de Margueritte, révolte de la région de Miliana que certains militaires voulaient attribuer à Lalla Zineb.
Non contente de faire jouer la justice française contre l’armée, elle fait la leçon aux autorités coloniales, leur rappelant, par l’intermédiaire d’un avocat noir, la promesse de la France de «respecter les populations indigènes» et elle enfonce le clou, en accusant de misogynie ses adversaires ! Le génie de Lalla Zineb est là. Elle a compris qu’après 70 années de guerre à outrance et de famines, plus personne ne pouvait à ce moment affronter militairement la puissance coloniale, mais qu’il était possible d’investir le champ politique et c’est en cela que son action anticipe la naissance du mouvement nationaliste.
Le procureur général d’Alger, alerté par le réquisitoire de Lalla Zineb, contacte en octobre 1897, le gouverneur général d’Algérie, Jules Cambon. Ce dernier, nommé en 1891, se démarque de tous ses prédécesseurs. Homme de culture, il sera, plus tard, élu à l’Académie française. Bête noire des colons depuis qu’il a ouvert l’instruction publique aux indigènes, il était aussi le premier à nouer un dialogue avec les chefs des confréries algériennes et à s'intéresser au soufisme. Il convoque alors le commandant de la division d'Alger, le général Collet-Meygret, pour lui signifier que le bureau militaire de Boussaâda devait renoncer à toute intervention dans les affaires de la Zaouïa d’El Hamel.
Lalla Zineb triomphe. Elle va sortir d'El Hamel, elle qui a passé sa vie enfermée, va s'enivrer de voyages. Elle va sillonner le pays à bord de sa calèche tirée par trois chevaux et que conduit un cocher avec un «fez rouge et une redingote boutonnée jusqu'au cou». Elle parcourt les Hauts-Plateaux, distribuant partout où elle passe de l'argent aux démunis et offrant des repas qui peuvent réunir jusqu'à mille personnes.
Le capitaine Crochard qui la suit partout tente d'alerter Alger : «Cette femme est en train de vider les caisses de la Zaouïa et nous allons bientôt nous retrouver avec tous ces démunis sur le dos.» Il ajoute : «Elle a gratifié un médecin français de 2500 francs pour une visite médicale.» En 1898, elle fait venir de France un maître bâtisseur pour construire une mosquée mausolée à la mémoire de son père. L'ouvrage colossal, érigé avec une main d'œuvre venue du Maroc et des céramistes de Tunisie, lui coûte une fortune. Mais comme chacun le savait alors, Lalla Zineb ne compte pas. Certaines traditions locales l'accusent d'avoir ruiné la Zaouïa, mais elles sont contredites par les témoignages de l'époque. Léon Lehuraux, auteur de Boussaâda, cité du bonheur, qui la rencontre en 1902, assure qu'elle «dirige la Zaouïa avec une autorité incomparable». Quant à l'armateur, Paul Eudel, il va jusqu’à comparer sa zaouïa à la cour du sultan du Maroc !
Entre-temps, Sidi Mohamed s'est réfugié dans sa maison, il a ouvert une zaouïa parallèle qui, selon les informateurs du bureau militaire, n'attire pas plus de trente personnes. Il entreprend la rédaction d'un ouvrage hagiographique sur la vie du Cheikh et rédige dans la foulée un ouvrage, Rissala latifa (Lettre de courtoisie), publié en 1902 par les éditions Fontana à Alger. Sidi Mohamed y fait un éloge vibrant de la République française : «Je déclare publiquement et du fond du cœur, en me basant sur des faits irrécusables, que le système de l'illustre Etat républicain est basé sur les principes de l'égalité et de l'équité, guidé par une politique éclairée. La République traite pareillement ses sujets, quelles que soient les différences de leur peuple, de leur race, de leur tribu ou de leur confession, les regardant avec tendresse et compassion, les couvrant tous du manteau de sa justice et il n'existe nulle part sur terre, une République aussi éclairée que la France!» Alors que Lalla Zineb se déplace toujours avec son secrétaire et son interprète, car elle ne connaît pas un mot de français, Sidi Mohamed manie cette langue avec aisance. Selon Paul Eudel, «il parle aisément notre langue, avec une prononciation lente et des intonations douces».
Au mois de juin 1902, la Zaouïa voit débarquer un personnage étrange, une jeune et belle européenne à cheval, habillée en cavalier arabe et qui se fait appeler Mahmoud Saâdi. C'est Isabelle Eberhardt. Née à Genève en 1877, sans filiation paternelle établie et dans la douleur d’une mère russe de confession protestante, juive d’origine. Isabelle Eberhardt découvre à vingt ans le désert. Durant sa courte vie, cette femme de lettres, souvent vêtue en homme, mène une vie aventureuse en Algérie et au Sahara, épouse un autochtone, se convertit à l'islam. Elle découvre Lella Zineb comme une vision : «Une femme portant le costume de Boussaâda, blanc et très simple, est assise. Son visage bronzé par le soleil, car elle voyage beaucoup dans la région, est ridé. Elle approche de la cinquantaine, dans les prunelles noires des yeux au regard très doux, la flamme de l'intelligence brûle, comme voilée par une grande tristesse.
Tout dans sa voix, dans ses manières, et dans l'accueil qu'elle fait aux pèlerins dénote la plus grande simplicité. C'est Lalla Zineb, la fille et l'héritière de Sidi Mohamed Belkacem». Eberhardt se confie à Lalla Zineb. Elle lui parle de ses angoisses, de sa recherche d'absolu, de ses errances, de sa folie des hommes, de ses passions pour les femmes. Lalla Zineb l'écoute sans broncher et finit par lui dire : «Ma fille... j'ai donné toute ma vie pour faire le bien dans le sentier de Dieu... Et les hommes ne reconnaissent pas le bien que je leur fais. Beaucoup me haïssent et m'envient. Et pourtant j'ai renoncé à tout : je ne me suis jamais mariée, je n'ai pas de famille, pas de joie.» Quelque chose semble unir à jamais ces deux femmes, de mondes tellement différents, mais liées dans leur solitude d'être réfractaires, coupables de vouloir disputer aux hommes leur place. Eberhardt quitte El Hamel, «ce coin perdu du vieil islam, si perdu dans la montagne nue et sombre, et si voilé de lourd mystère». Elle écrira plus tard qu'elle ne s'est jamais sentie aussi proche de quelqu'un comme de Lalla Zineb.
Le temps passe, Lalla Zineb assoit de jour en jour son autorité et sa réputation gagne tout le pays. Le gouverneur général demande à ce qu'on surveille aussi ses conversations avec Eberhardt et le capitaine Crochard adresse très souvent des rapports à l'état-major où il la dépeint comme une femme dangereuse, manipulée par les Mokrani.
De son côté, Sidi Mohamed ne désarme pas. Chaque année il adresse une requête au gouverneur pour lui demander l'intervention de la France et la restitution de son bien. Sept années ont passé depuis que Lalla Zineb a pris la tête de la Zaouïa. Elle est minée par les conflits, fatiguée par les voyages, ses bonnes œuvres et les travaux gigantesques qu'elle a entrepris. Elle est tout le temps secouée par une bronchite qui ne passe pas.
Au mois de mai 1904, Sidi Mohamed reçoit une lettre confidentielle du gouvernorat général : «Cher Cheikh, vous qui êtes un marabout devez connaître la patience. Nos médecins viennent de nous avertir que Lalla Zineb est atteinte d'une tuberculose et qu'elle n'en a pas pour longtemps. Patientez.» En effet, Lalla Zineb meurt à El Hamel, le samedi 19 novembre 1904. Le médecin militaire français, le docteur Sylvestre, constate qu'elle est décédée des suites d'une crise cardiaque due à une insuffisance respiratoire.
Femme libre et insoumise, elle meurt après avoir triomphé, non seulement de la volonté d'un homme, mais de toute une administration coloniale à qui elle a fait comprendre, dans la lignée d’une Fatma N’Summer, qu'on peut être femme et «indigène» sans renoncer à son droit, sa dignité et sa mission.

Mohamed Kacimi-El-Hassani est écrivain et dramaturge. Parmi ses derniers titres, on peut citer «La confession d'Abraham» (Gallimard-Folio, 2012, théâtre) et «L'Orient après l'amour» (Actes-Sud, 2008, récit).



Mohamed Kacimi El Hassani 
  braham1   le 26.04.13 | 20h24
n'importe quoi
en réponse a citoyen7,
la confrérie rahmania a été crée par
sidi m'hamed el gechtouli au 18eme siècle et aroudj a été assassiné prés de témouchent par les espagnols au 16eme siècle alors quand on ne sait pas on ne raconte pas n'importe quoi
 
fredos52   le 25.04.13 | 14h25
hommage au CHEIK de la zaouia d'el hamel
je saisie cette rubrique pour saluer le cheik si Maamoun pour le travail qu'il accomplie au niveau de la zaouia et lui donner sa réputation qu'elle merite dans tout les domaines religieux sperituelle revolutionaire etc.. FOUAD
 
leureu01   le 25.04.13 | 12h09
colonialisme et occupation
quand on est algérien et écrire "colonialisme français", c'est qu'on est d'accord et accepté l'idée des bienfaits du colonialisme.
par contre, il faut utiliser le terme "occupation" pour définir l'époque qu'a traversé notre pays, pour montrer et exprimer son désaccord et rejet des idées qu'on veut nous imposées.
à bon entendeur(lecteur) salut !
 
fredos52   le 22.04.13 | 22h00
gloire à la zaouia d'Elhamel
grace à cette zaouia que l'islam raiyonne toujours et elle a participé à des mouvements de resistance et hebergé des moudjhahidines pendant la revolution ex monsieur ABADOU ACTUELLE SECRETAIRE GENRAL DES MOUDJAHIDINES qui à trouvé refuge dans la ZAOUIA QUE CELLA EN DEPLAISE à CERTAINS
 
bastarock   le 22.04.13 | 14h33
comment l'histoire divise un peuple
L'oubli de cette grande dame n'est pas fortuit. Au jour d'aujourd'hui,certains s'acharne à vouloir dénigrer l'histoire de nos cheikhs et saints, Sidi Abdelramne El Thaalibi, Sidi Boumedienne, Sidi Lakhdar Benkhlouf et j'en passe.
Par le wahabisme, une véritable inquisition est menée contre le peuple.
 
sato   le 22.04.13 | 12h05
Opportunisme?
M. Kacimi est connu, à travers ses écrits, comme quelqu'un qui s'est révolté contre ses origines maraboutiques, les a rejetées avec l'eau du bain de la religion et voilà qu'il se glorifie d'être né à El ... la suite
 
mouhlaterreur   le 21.04.13 | 14h36
triste realité
tous ceux qui ont mené les combats contre la colonisation appartenaient aux zaouis pluriel de zaouia.ce sont ces dernieres qui ont contribué au maintien de l'islam et de la langue arabe.par contre les wahabites et les soit disants salafistes rampent et font le jeu de leurs maitres les sohiononordamericains.
 
amry   le 21.04.13 | 14h20
notre temps
encore des réactions à l'image du sinistre capitaine Crochard , c'est dire que le colonianisme mental perdure chez certains commentateurs qui font feu de tout bois contre nos élites qui ont tant souffert et résisté .
 
foulitar   le 21.04.13 | 08h59
fausse réputation
la zaouia d'el hamel ont été des collaborateurs de la france.vous voulez en faire des résistants .c'est faux.
 
l'Andalou   le 20.04.13 | 22h32
Incohérences historiques à revoir
Que l'auteur de cet article historique vérifie les différentes dates citées ici et là, des incohérences chronologiques y paraissent notamment concernant la rédaction dudit testament : 1877 ou 1887 dix ans avant la mort du notable religieux ?

Ensuite la rencontre de la dame Zineb avec l'aventurière Isabelle Eberhardt en 1902, soit cinq après la mort du cheikh.
Notre héroïne avait alors 35 ans. Entre-temps elle voyage beaucoup à travers le pays, son visage bronze et se ride par conséquent à tel point qu'elle paraissait 50 ans, selon la suissesse... puis meurt en novembre 1902, en principe à 42 ans.
Une mort survenue deux ans après la rencontre entre les deux femmes.

A part cela, personnellement les histoires à l'eau-de-rose de zaouïa et des caïds et autres bachaghas médiévaux manipulés par la France coloniale ne m'enchantent guère.
Seuls m'intéressent les faits historiques avérés ! 


تتكون من 18 شخصا من بينهم 15 امرأة

تفكيك شبكة وطنية للدعارة بتيزي وزو

 



خليل سعاد

في اطار محاربة اوكار الدعارة و الفسق  تمكنت مصالح امن ولاية تيزى وزو خلال نهار اول امس  من تفكيك شبكة وطنية للدعارة تتكون من 18 شخصا من بينهم 15 امراة  الى جانب صاحب الحانة و شخصين يعملان معه . و قد جاءت هذه العملية خلال مداهمة قامت بها مصالح امن تيزي وزو على مستوى هذه الحانة غير الشرعية المتواجدة  بالطريق الوطني رقم 30 الرابط بين منطقتي  مشطراس بوغني الواقعتين جنوب مدينة تيزي وزو  . وحسب مصادرنا فان مصالح الامن تمكنت خلال هذه العملية من حجز 336 قارورة من المشروبات الكحولية من مختلف العلامات التجارية  و مبلغ مالي  معتبر مقدر ب 1.874.100.00 دج الى جانب 360 علبة من السجائر كما تمكنت مصالح الامن من استرجاع أسلحة بيضاء  منها سكاكين والى جانب الحبوب المهلوسة  كما أفادت مصادرنا  ان المتهمين تم  تقديمهم  امام وكيل الجمهورية لدى محكمة ذراع الميزان من اجل الفصل في قضيتهم هذا الأسبوع  بتهم البيع غير القانوني للمشروبات الكحولية و إنشاء و تسيير و تحويل محل تجاري  إلى مأوى للدعارة و المساعدة على ممارسة الدعارة والتشجيع على الفساد و الدعارة.  وكذا امتلاك سلاح ابيض من الفئة السادسة من جهة اخرى تمكنت مصالح الامن من غلق محل لبيع المشروبات الكحولية ينشط بطريقة غير شرعية على مستوى المكان المسمى «لفظاحي» التابع اداريا لبلدية ايت عيسى ميميون بولاية تيزي وزو و قد تم خلال عملية مداهمة قامت بها مصالح الامن للمكان من استرجاع 2847  قارورة خمر من مختلف الانواع الى جانب مبلغ مالي معتبر للاشارة فانه تم اثر العملية توقيف ثلاثة متهمين تم تقديمهم امام وكيل الجمهورية لدى محكمة تيقزيرت .



رفضت مسامحتهما

سيدة تقاضي شقيقها الوحيد وخالتها بسبب «خلخال»

 


امتثلت سيدة عجوز رفقة ابن أختها طالب جامعي أمام محكمة الجنح بسكيكدة ، بعد اتهامهما بضرب ابنة أختها و إسقاطها أرضا.

وروت المتهمة تفاصيل الجريمة المتابعة بها بسبب «خلخال« من الذهب حيث صرحت أن شقيقتها أم الشقيقين الضحية و المهتم أمنتها عند وفاتها على التركة  التي خلفتها والمتمثلة في العقار و كمية من المجوهرات فقامت كما وعدت بتقسيمها مناصفة بينهما رغم أن الشريعة الإسلامية تنص على أن للذكر مثل حظ الأنثيين، و بقي خلخال عند إحدى الصديقات و مع استرجاعه منها ثارت المشكلة حيث أخذته الضحية حينها طلب منها شقيقها تسليمه له باعتبار أنها تحصلت على نصيب كبير من نصيبه ، لعدم اعتماد نص الشريعة في القسمة ،غير أنها رفضت فقام شقيقها بافتكاكه منها حيث بقيا يشدان فيه إلى أن أفلته من يدها مؤكدة أن القضية كلها تمت بإيعاز من زوجها نافية أن يكونا قد اعتديا عليها .الضحية صرحت أن خالتها و شقيقها طلبا منها الحضور لمنزل الخالة من أجل النظر في موضوع الخلخال و عند حضورها قاما بانتزاعه منها و عندما لم يستطيعا قاما بضربها على مستوى البطن و الحوض من أجل إنهاكها و فتح يدها التي كانت تحمل الخلخال حيث اضطرا إلى إسقاطها أرضا و من ثم انتزاع قطعة المجوهرات .ورفضت بإصرار مسامحة شقيقها و خالتها مطالبة بمعاقبتهما و تسليمها الخلخال لأنه من حقها.
حياة بودينار




محكمة الزيادية تؤجل النظر في قضية نائب رئيس بلدية قسنطينــة طباعة إرسال إلى صديق
الجمعة, 04 أكتوبر 2013
عدد القراءات: 159
تقييم المستخدمين: / 0
سيئجيد 

أجلت محكمة الزيادية بقسنطينة أمس الأول النظر في قضية طلب رشوة من مؤسسات رفع القمامة التي وجهت فيها التهمة لنائب رئيس بلدية قسنطينة المكلف بالبيئة الذي تم توقيفه منذ عشرة أيام إلى جانب شخص ثان اتهم بلعب دور الوسيط. الجلسة أجلت إلى الخميس المقبل بطلب من المحامين  وقد حضرها عدد من المنتخبين وعلى رأسهم رئيس البلدية الذي رفض تقديم تصريح بشّأّن الحادثة، وقال أن العدالة ستأخذ مجراها وأن المنتخب بريء إلى أن تثبت إدانته، لكن المسؤول لمح في سياق حديثه إلى وجود خلفيات، في حين صرح لنا عدد من أعضاء المجلس البلدي المنتمين لكتلة الأفلان أن تحركات تتم في اتجاه موقف تضامني مع المنتخب مع الحديث عن مؤامرة، بينما أصر عدد من أصحاب مؤسسات مصغرة لرفع القمامة على أنهم كانوا ضحية مساومة أدت بهم إلى تقديم شكوى حركت تحقيقا انتهى بتوقيف نائب البلدية.
وقد أكدوا لرئيس البلدية أمام المحكمة أن الوقائع حقيقية، ودار بينهم وبين المسؤول حديث حول تخوفات أبدوها من احتمال عدم تجديد عقودهم ما جعل المير يطالبهم بالفصل بين القضية وعلاقتهم بالبلدية وألح على أن المنتخب الموقوف لا يحمل صفة تجميد مستحقاتهم، بعد أن صرحوا بأنه هدد بعدم صرف المستحقات في حال رفض عرض الرشوة، مشيرا بأن قائمة المؤسسات والتعاقد تم بواسطة مصالح الولاية في العهدة السابقة  والغلاف المالي عبارة عن مساعدة من الولاية وانه لا يوجد منتخب يحمل حق التوقيع سوى المير شخصيا، وأضاف المتحدث أن مؤسسات نظافة تقدمت من مصالحه ونفت تعرضها للمساومة و الإعذارات التي وجهت لمؤسسات النظافة كانت نتيجة قصور في الأداء لا  محاولة ضغط للابتزاز مثلما فسره أصحاب بعض المؤسسات.
وقد تم  يوم الخميس الماضي إلقاء القبض على نائب رئيس بلدية قسنطينة ع/ع 33 سنة  بتهمة طلب مزية  غير مستحقة بشكل مباشر لأداء عمل من واجباته كما وجهت تهمة المشاركة لصديقه ب/ع.                 ن/ك
 
 

جمعـية تجار الخردة تطالب بحق " الأرض مقابل الأرض" طباعة إرسال إلى صديق
الجمعة, 04 أكتوبر 2013
عدد القراءات: 104
تقييم المستخدمين: / 0
سيئجيد 
طالبت جمعـية الأمل لتجار الخردة بقسنطينة بتطبيق الوعـد الذي التزمت به السلطات العـمومية قبل ترحيلهم من منطقة قطار العـيش إلى منطقة الدوامس ببلدية عـين عـبيد والذي يتلخص في " الأرض مقابل الأرض " بمعـنى الحصول عـلى ملكية الأرض الجديدة التي ينشطون عليها مقابل الأرض التي تم ترحيلهم منها من منطقة القطار. وذكر الأمين العـام للجمعية السيد عبد الفاتح بودن  في اتصال بـ " النصر " أن مطالبهم القديمة لم تلب حتى الآن وزادت مخاوفهـم أكثر باستمرار تعـليق وضعـيتهم إلى سنوات أخرى بعـد أن سمعـوا أن تجسيد مشروع المنطقة الصناعـية بمنطقة الدوامس ليس من أولويات الحكومة في الوقت الراهـن ويمكن أن يدرج في مخطط قادم بعـد سنة 2015 ،مما يعـني أن فكرة إدماجهم في هـذه المنطقة الصناعـية لا تخدمهم إطلاقا وتزيد في تعـطيلهم لمدة سنوات أخرى بعـد  أن ضاعـت منهم أربع سنوات كاملة جمدت تجارتهم خلالها وهـذا  منذ ترحيلهم مما أجبر العـديد منهم عـلى وقف نشاطه التجاري بعـد تحويلهم إلى منطقة الدوامس.
ولهـذا فإن تجار قطع الغـيار القديمة حسب تعـبير السيد عبد الفتاح بودن يطالبون بتسوية وضعـيتهم في معـزل عـن المنطقة الصناعـية المنتظرة وأهـم مطلب لهم يشكل ـ حسبهـم ـ أولوية الأولويات هـو مسألة تسوية وضعـية العـقار الذي يوجدون فيه الآن وفق ما سبق لوالي الولاية السابق عـبد المالك بوضياف  و أن وعـدهم به وهـو تمليكهم القطع الأرضية التي يُرحلون إليها بمنطقة الدوامس.
وبعـد أن صارت منطقة الدوامس مشروعا لمنطقة صناعية جديدة بقسنطينة  قال لهـم الوالي السابق ـ كذلك ـ بدوي نور الدين أن القانون لا يُملك قطع الأراضي الصناعـية و إنما يمنحها عـن طريق الإمتياز وما دام تجار الخردة في هـذه المنطقة فالأفضل أن يدمجون فيها للإستفادة من مزايا التهيئة وغـيرها من الإمتيازات التي تتوفر عليها المناطق الصناعـية. وخلال اجتماع مع الوالي بدوي قبِل ممثلو جمعـية تجارة الخردة بالفكرة لكنهم بعـد أن وجدوا أن مشروع المنطقة الصناعـية سيطول فهم يطالبون بتسوية وضعـيتهم سواء بالتمليك أو بمنحهم حق الإمتياز. المهم أن يحصلوا عـلى عـقد يسمح لهم بالشروع في استثمارات مهـمة خاصة بناء محلات تسمح لهم بمزاولة نشاطهم في أحسن الظروف.
إضافة إلى هـذا تطالب نفس الجمعـية بتعـويضات مالية مقابل التوقف عـن النشاط التجاري لمدة أربع سنوات ومقابل ـ كذلك ـ بناء محلات الحظائر تعـويضا لهم عـن المحلات التي تم هـدمها في منطقة القطار.         م / بن دادة
 
 


أمطار طوفانية تغرق بكيرة في الأوحال طباعة إرسال إلى صديق
الجمعة, 04 أكتوبر 2013
عدد القراءات: 84
تقييم المستخدمين: / 0
سيئجيد 
تحولت مساء أمس الأول شوارع حي بكيرة ببلدية حامة بوزيان ولاية قسنطينة إلى وديان وبرك مائية أوقفت حركة سير الراجلين والسيارات لساعات وهذا بفعل السيول الكبيرة الناجمة عن الأمطار الطوفانية المصحوبة ببرد كثيف المتساقطة في حدود الساعة الرابعة بعد ظهر الخميس ودامت حوالي ساعة ، حيث لم يتمكن تلاميذ المؤسسات التربوية وخاصة المدارس الابتدائية ، لكونها تزامنت مع توقيت خروجهم ،من العودة إلى منازلهم إلا بعد توقف التساقط ومجيء أوليائهم لاصطحاب أبنائهم خوفا من أن تجرفهم سيول الأمطار التي أغرقت الشوارع والطرقات من جراء انسداد قنوات صرف المياه ، رغم أن الشبكة عرفت التجديد الكلي خلال السنتين الأخيرتين.
وقد خلفت هذه الأمطار تضرر كبير للمنشآت القاعدية وخاصة الشارع الرئيسي من جراء السيول القادمة من أعالي بكيرة والمحملة بالأوحال بالإضافة إلى تضرر بعض المؤسسات التربوية من جراء تسرب الأمطار إلى داخلها على غرار إبتدائية زايدي خلف الفرع البلدي وتشكل بحيرات من المياه أمامها .
وحسب  رئيس  المجلس الشعبي البلدي إسماعيل عتروس فإن أسباب تضرر حي بكيرة أكثر من غيره بفعل هذه الأمطار الغزيرة المصحوبة بالبرد، يرجع إلى انسداد البالوعات وبقية الأشغال الناجمة عن تجديد شبكات مياه الشرب والصرف الصحي والغاز خلال السنوات الأخيرة والتي لم تكن مجدية ، مما جعل أي تساقط للأمطار خاصة إذا كانت غزيرة يحدث سيولا وأضرارا بالطرقات لأن المجاري والقنوات المنجزة لم تحترم فيها المعايير والمقاييس المطلوبة.
وبخصوص الأوحال والأحجار التي جرفتها السيول المتراكمة حاليا في الطرقات والشوارع ،أكد المير أن مصالح البلدية قد شرعت في إزالتها منذ أمس وستتواصل العملية حتى تعود الأمور إلى حالتها الطبيعية عبر جميع المحاور المتضررة.
أ ـ بوقرن




عائلة بوحناش تؤكد أنها لن تسكت حتى يعاقب مرتكبو الجريمة طباعة إرسال إلى صديق
الجمعة, 04 أكتوبر 2013
عدد القراءات: 14
تقييم المستخدمين: / 0
سيئجيد 

مسيرة حاشدة بميلة للمطالبة بكشف الحقيقة في مقتل "الجنرال "
خرج مئات الأشخاص من عائلة بوحناش وأقاربها قدمت اغلبيتهم  من بلدية عميرة أراس ولاية ميلة  موطن آل بوحناش نهار أول أمس في مسيرة انطلقت من مسكن ابنهم رابح الذي ذهب ليلة عيد الفطر الماضي ضحية جريمة قتل غادرة اهتزلها الناس في كل مكان الكائن بالمدخل الغربي لمدينة ميلة المعروف بطريق زغاية وذلك عبر موكب كبير للسيارات قبل أن يترجلوا حال وصولهم قبالة مديرية التجارة متجهين نحو مقر الولاية وذلك لاسماع صوتهم وللمطالبة مثلما كانت تشير اللافتات المرفوعة من قبلهم باعدام القتلة وأخذ القصاص منهم وبكشف حقيقة وخلفيات وأبطال الجريمة النكراء المرتكبة في حق ابنهم ومما جاء في اللافتات والشعارات  المرفوعة ( لا لطمس الحقيقة ) ، (نعم للعدالة وكشف المستور )، (نريد معرفة الحقيقة )إ  ( الاعدام للقتلة الأشرار) مشيرين إلى طول مدة التحقيق الذي لازال يجري في سرية تامة حفاظا على الخيوط التي يمكنها أن تختصر الطريق للوصول إلى هوية الفاعلين وخلفيات الجريمة التي استاء لها الجميع ولم تتسرب حولها أية معلومات باستثناء حبس أحد المشتبه فيهم وهو صاحب وكالة عقارية تنشط بمدينة ميلة  موجود حاليا رهن الحبس . وشدد أهل الضحية على أن حرقة فراق ابنهم لازالت مستعرة في  أنفسهم ونفس كل من سمع وتأثر بها مشددين على أن نارها لن تهدأ إلى غاية نيل المجرمين القتلة حقهم من العقاب.
رئيس الديوان بالولاية خرج للمحتجين مثلما كشف لنا ابن الضحية ودخل في حوار معهم قبالة مقر الولاية طالبا منهم تهدئة النفوس والاطمئنان على أن الجهات المعنية بالتحقيق تعمل بجدية في الموضوع،  فيما قال المعنيون حسب مصدرنا أنهم سيعودون لمعرفة الجديد بعد أسبوعين بداية من أول أمس.
للإشارة فإن الفقيد رابح بوحناش المدعو ( الجنرال )البالغ 45 سنة من العمر الأب لأربعة أبناء ذهب ضحية جريمة قتل، حيث عثر على جثته فجر أول يوم من عيد الفطر مذبوحة ومطعونة مرمية على حافة الطريق السيار شرق غرب  بمنطقة عين الرمان داخل اقليم ولاية سطيف وغيربعيد عنها عثر على أداة الجريمة ( سكين) فيما عثر على سيارته رباعية الدفع متوقفة مفتوحة عند مدخل الطريق السيار داخل اقليم بلدية وادي العثمانية بولاية ميلة وهي تحمل بحسب المعلومات الأولية المستقاة  اثار دم الضحية وبعض اغراض القتيل خاصة هاتفيه النقالين فيما افتقد مبلغ مالي كان بحوزته عند مغادرته لمنزله العائلي الذي اختلفت بشأنه الروايات، حيث تردد أنه كان متنقلا إلى سطيف بغرض شراء عقار .               
ابراهيم شليغم






 

فاجأوا الضحايا ليلا وهم مدججون بالخناجر
محاولة اغتصاب جماعي لنسوة في تيبازة


 
 أمر وكيل الجمهورية لدى محكمة القليعة في تيبازة بإيداع ثلاثة شبان ينتمون لعصابة، حاولوا اغتصاب ثلاث نسوة، نهاية الأسبوع الماضي، بعد أن اقتحموا المنزل الذي استأجره رب عائلة من الحراش بالعاصمة في حي بن دومي بفوكة، وهم مدججون بالأسلحة البيضاء، قبل أن تتمكن فرقة الدرك الوطني المدعومة بعناصر من فصيلة الأمن والتدخل بالقليعة من توقيفهم. وقد عاش الحي ليلة الثاني من أكتوبر الجاري حالة من الفوضى والهلع، بعد اقتحام عناصر العصابة المنحدرين من الحي، في حدود الساعة الواحد صباحا، المنزل وهم مدججون بالأسلحة البيضاء بهدف اغتصاب النسوة، إحداهن زوجة عون في الحماية المدنية، ليجدوا مقاومة شرسة من أصحاب المنزل، وقد تعرض صاحب المنزل لاعتداء بأسلحة بيضاء وقضبان حديدية كانت وراء إصابته على مستوى الأنف وجروح بليغة بأنحاء متفرقة من الجسم، فيما فرت النسوة بالقفز من النوافذ والتحصن عند الجيران. وفور إبلاغها، تدخلت فرقة الدرك الوطني بفوكة مدعومة بعناصر من فصيلة الأمن والتدخل بالقليعة، وقامت بتمشيط المكان لتعثر على الفتيات في حالة نفسية متدهورة وعليهن بعض الإصابات، وشنوا حملة بحث عن المعتدين، ليتم توقيفهم في انتظار تقديمهم اليوم أمام وكيل الجمهورية لدى محكمة القليعة




 
لبنان لا تعترف بالتأشيرة الجزائرية


 
 أعلنت محافظة المهرجان الدولي للمالوف بقسنطينة، وفي الدقائق الأخيرة التي سبقت بداية السهرة الرابعة من الفعاليات، إلغاء مشاركة السوري أحمد الأزرق القادم من مدينة حلب رفقة ثلة من فناني المالوف من قسنطينة وعنابة، حيث أشارت المحافظة إلى أن غياب الفرقة كان خارجا عن نطاق الدولة الجزائرية، إذ مُنعت من الدخول عبر الحدود إلى الأراضي اللبنانية رغم حصولها على تأشيرة من قِبل السلطات الجزائرية


بداية الإنجاز معروفة والنهاية علمها عند ربي
مشاريع جزائرية في “غينيس” للأرقام القياسية!


 
ماذا لو فتح المشرفون على كتاب “غينيس” للأرقام القياسية، بابا خاصا بالمشاريع التي لم تكتمل؟، الأكيد أن الجزائر ستحتل فيه الريادة، لأن معظم ولاياتنا تتوفر على “هياكل إسمنتية” لمشاريع انطلق إنجازها منذ ثلاثة أو أربعة عقود ولم تكتمل بعد التهامها الملايير من الدينارات، ولنا في هذا الإطار مثال حي يلخص مأساة سوء الإنجاز والتسيير في بلادنا والمتمثل في مشروع فندق “شاطوناف” بوهران الذي وضع حجر أساسه الرئيس الراحل هواري بومدين وما زال ينتظر تهيئته رغم تداول 5 رؤساء على تسيير شؤون البلاد. يحدث هذا في وقت تشهد الجزائر ندرة حادة في الأوعية العقارية الصالحة للبناء خاصة في الوسط الحضري.
 مشروعان سكنيان يتحولان إلى معلمين تاريخيين
27 سنة غير كافية لإنجــــــــــــــاز عمارتــــــــين بقسنطينة

أصبحت العمارة الضخمة القابعة عند مدخل شارع بلوزداد بقسنطينة، من أساطير المشاريع غير المنتهية رفقة شقيقتها عند مدخل حي 5 جويلية، والتي تعود لنفس المقاولة، حيث انطلقت بهما الأشغال منذ سنة 1986، ولم تكتمل بعد 27 سنة من الأشغال.


 ذكرت العديد من المصادر المطلعة على ملف البناء والتعمير بولاية قسنطينة، أن التاريخ يمكنه أن يكتب بأحرف من ذهب، وأن يسجل في كتاب “غينس” للأرقام القياسية، مشروعين سكنيين، بدأت بهما الأشغال منذ سنة 1986، حيث قالت مصادرنا أن العمارة الأولى أنجزت مقابل مقر مجموعة الدرك الوطني وسجن الكدية، على مساحة آلاف الأمتار، لم تتجسد وظلت صورة مشوّهة للمنظر العام، إذ سردت مصادرنا كرونولوجيا بناء هذه العمارة، والتي تراوحت الإشاعات من أنها فندق من 5 نجوم، إلى مركز أعمال ضخم، إلى إقامة فاخرة، إلا أن هذه الأخيرة هي الأصح، بعد تحصله على مئات الملايير كقرض البنك الخارجي الجزائري والذي قدّرته بعض المصادر بـ 400 مليار سنتيم، حيث تقدم أحد أشهر وأكبر رجال المال والأعمال بقسنطينة للمصالح التقنية بالبلدية والولاية سنة 1986، بمشروع إنجاز مجمع سكني فخم، أعدّ له الدراسة بمكتب متخصص من لبنان، حيث كان من المفروض أن يصل ارتفاع المجمع إلى 11 طابقا، إلا أنه وبعد مرور سنوات من الجدل بينه وبين المصالح التقنية التي رفضت منحه رخصة البناء كونه سيحجب نور الشمس عن العمارات الواقعة خلفه، تقرر أن ينجز المشروع من 9 طوابق، إضافة إلى طابق تحت الأرض مخصص لركن السيارات،حيث بلغت مساحة العمارة آلاف الأمتار المربعة.
أما العمارة الثانية والواقعة عند مدخل حي 5 جويلية ويمكن رؤيتها من مختلف مداخل مدينة قسنطينة، نظرا لحجمها الضخم والتي تتربع أيضا على آلاف الأمتار المربعة، أنجز منها الهيكل الخارجي، ومن المفروض أنها ستكون شقق فاخرة، إلا أن الأشغال بها توقفت أيضا لعشرات السنين دون أن تكتمل، حيث قالت مصادرنا أن هذا المشروع الضخم كان ولا يزال من ضمن بعض أجزاء إمبراطورية رجل الأعمال والتي تراوحت بين المقاولة، إلى الترقية العقارية، إلى استيراد كميات ضخمة من الحديد من تركيا، لبناء العمارتين أو لغيرها من المشاريع، والتي تسبّبت له في مشاكل مع العدالة، أدين خلالها قبل أن يتحصل على البراءة، إلا أن كل الأشغال توقفت وعادت منذ حوالي 3 سنوات بعد إلزامه على الأقل بتغطية الجانب الخارجي بالإسمنت، في الوقت الذي قالت فيه مصادر متطابقة أن سبب تأخر إتمام المشروعين لقرابة 3 عقود متتالية هو نقص السيولة المالية، وعدم مقدرته على إتمام هذه المشاريع، إلا أن المفارقة أن نفس المقاول باشر منذ بضعة أشهر في إنجاز عشرات السكنات الترقوية على الطريق المزدوج المؤدي إلى حي بوالصوف، والتي تعرف نسبة الأشغال بها تقدما ملحوظا في فترة وجيزة.


“لي كاسكاد “ بالعاصمة..مركز تجاري ينتظر الولادة منذ 13 سنة

 يعتبر مشروع المركز التجاري “لي كاسكاد” أو الشلالات من أقدم المشاريع المعتمدة في مجال المساحات التجارية الكبرى بمعية مؤسسة “سوبيراف” التابعة لمحمد صحراوي. ورغم مرور 13 سنة على بداية الأشغال على مستوى بلدية العاشور بالعاصمة، فإن المركز ظل هيكلا رغم الإعلان مرارا عن تسليم المشروع بين سنوات 2007 و2012، ليتوقف البناء منذ سنتين دون أي مبرر موضوعي.
المشروع العقاري الذي كان يصنّف ضمن أهم المراكز التجارية بالعاصمة تعثر مرارا وتغيّرت شركات إنجازه الجزائرية والصينية. بدأت فكرة إقامته على أرضية كانت تستخدم للعب الكرة الحديدية وتبلور في 1999 في سياق المشاريع التي شرع فيها المهندس امحمد صحراوي بالمنطقة وهي المجمع السكني “سوبيراف” بمقربة من حديقة بن عكنون والتابع لبلدية العاشور و«أوربا 2000 “، يمتد المركز على مساحة 42 ألف متر مربع وأقيم على شكل بنايات متلاحمة على 16 طابقا ومجهز بموقف سيارات مغطى بسعة أكثر من 110 سيارة ومساحة بـ 5395 متر مربع. وتم تصميم البناية بمواصفات حديثة وبأنظمة تضمن ترابط مختلف الأجزاء بفضل سلالم ومصاعد آلية ومساحات مخصصة للتسويق والتجارة وأخرى كمكاتب ومساحات عرض، فضلا عن متنزّه داخلي يضمن رؤية واسعة ويتيح الولوج إلى المساحات التجارية التي تمتد على مساحة 1960متر مربع، بينما تمتد الشرفة على مساحة 2941 متر مربع.
وجاءت تسمية الشلالات لطبيعة التصميم الهندسي للبنايات الأربع التي جاءت متفاوتة من حيث الطول. وعرف المشروع خاصة في الفترة الممتدة ما بين 2007 و2012 مشاكل عديدة ساهمت في توقفه إلى حين انسحاب آخر الشركة المنجزة وتوقفت الأشغال بها نهائيا وتظل البناية الكبيرة عرضة للعوامل الطبيعية  المختلفة، في وقت كان يتعين انتهاءه منذ مدة زمنية طويلة لتدخل البناية ضمن المشاريع التي أخذت مدة زمنية طويلة في الجزائر.
الجزائر:


36 سكنا
منذ 20 سنة بالمدية.. من يزايد؟
 لا يمكن وصف مآل ورشة تضم 36 سكنا في شكل هياكل فيلات والتي طالها الإهمال والتخريب منذ أزيد من عشريتين، بالمكان المسمى عين السلطان الواقع بين حيي المصلى والداميات بمدينة المدية، سوى أنها تنتظر من يستولي عليها في أية غفلة من سلطات بلدية أو ولائية، لم تجد لها حتى الآن سبيلا قانونيا لاستعادتها إلى حظيرة الأملاك العمومية.
والأغرب حسب عارفين بوضعيتها، في غياب أية جهة رسمية مسؤولة يمكنها تزويدنا بمعلومات دقيقة حول هذه الورشة، أن أربعة ولاة مروا على رأس الولاية دون أن يتمكنوا من فك لغز هذه السكنات التابعة ملكيتها لما كان يعرف بالديوان الوطني لمذابح الوسط، الذي حمّلته عدة جهات إدارية وتقنية كانت قد اتصلت بها “الخبر”، مسؤولية إهمال هذا المشروع بعد أن استفاد من أولوية الحصول على أرضيته كمؤسسة عمومية، ليتحول مع مرور السنوات والإهمال إلى نقطة سوداء على شاكلة “مسمار جحا” على حد قول أحد السكان، والأدهى من ذلك إلى وكر للجانحين ولإزعاج وقلق السكان المحيطين به بسبب استفحال تعاطي مختلف أنواع الفاحشة الليلية على وجه الخصوص، وتأزمه إلى مشتلة لتفريخ الأخطار المادية والمعنوية على سكان  اثنين من أهم أحياء المدينة، حي المصلى وحي الداميات الذين لم يجدوا أمام الإهمال الفظيع والتخريب الذي طال تلك السكنات، سوى تحويل بعضها إلى مفارغ قمامة منزلية لإجبار عصابات الجانحين على مغادرته، ناهيك عن اللجوء إلى الكتابات الحائطية لتحذير الوافدين إلى المكان من المكوث داخل هياكل تلك السكنات، فيما لم تجد السلطات من وسيلة سوى استغلال الطريق المار بجانب تلك الورشة كفضاء للفحص التقني للمركبات من طرف مهندس المناجم. ليبقى هذا المشروع بهياكله الإسمنتية حسب تقديرات السكان المحيطين به، مثارا لمزايدات مافيا الظل وتنامي الأطماع حوله، في ظل الندرة في الأوعية العقارية الصالحة للبناء الذي يعاني منه الوسط الحضري لمدينة المدية.



مركب سياحي يتحوّل إلى “خرابة” ببوسعادة

 لا يزال مشروع المركب السياحي نصر الدين ديني ببوسعادة لصاحبه مرخوف الطيب، يراوح مكانه منذ ربع قرن، ولم تتجاوز نسبة الأشغال به 40 بالمائة حسب شهادة المصالح التقنية الصادرة في 15 فيفري 2003.
وكان المعني قد تحصّل على المشروع في إطار الاستثمار في سنة 1988 على مساحة 6 هكتارات، وتحولت ملكيته بموجب عقد بيع من أملاك الدولة محرر بتاريخ 20/10/1991 وتحصل صاحبه على رخصة بناء بموجب قرار ولائي رقم 533 بتاريخ 4/9/1988 يتضمن ترخيصا لبناء مركز سياحي للاستجمام والتداوي عن طريق التخزين في الرمال، بتكلفة إجمالية وقتذاك قدّرت بـ 32 مليار سنتيم، وكان من المفروض أن يتضمن المشروع فندقا بطاقة استيعاب 160 سرير و130عامل.
وبعد مباشرة صاحب المشروع العمل واستثمار حوالي 13 مليار سنتيم، فوجئ بقرار توقيف الأشغال من طرف البلدية بتاريخ 2/07/ 1990 بحجة عدم امتلاك المعني رخصة بناء، وهو ما استغربه السيد مرخوف الذي أكد لنا رغم أنه كان يحوز على رخصة البناء في ذلك الوقت، إلا أنه واجه صعوبات لإتمام المشروع، ما جعله يتوقف نهائيا. وبعد مرور كل هذه السنوات، أعطى رئيس بلدية بوسعادة بتاريخ 30/08/2008 موافقته  للمعني من أجل  اللجوء للتنازل عن المشروع لأي شخص معنوي أو طبيعي أو بيعه، مع إلزامه بإتمام المشروع في نفس الاختصاص وحاليا يعرض السيد مرخوف مشروعه للبيع لكل مهتم في مجال السياحة بعد أن حال وضعه الصحي دون إتمامه.



فندق “شاطوناف” بوهران يلتهم 5 رؤساء!

حطّمت بعض المشاريع في وهران رقما قياسيا لا علاقة له بالتفنّن في جمالية البناء، أو الدقة في استعمال آليات حديثة عند الإنجاز، أو حتى ضخامة المنشآت المُراد تشييدها، وإنما الرقم القياسي الذي لزم هذه المشاريع وأهّلها للدخول إلى سجل أرقام غينيس العالمية من أبوابه الواسعة يتعلق بتعثر أشغالها وتأخر تسليمها، حتى تحولت
 إلى لغز حقيقي تشهد عليه بنايات لم تر النور
رغم مرور قرابة 40 سنة كاملة.

 نعم الأمر لا يتعلق بمزحة أو شطط أو مغالاة صحفية، بل هي حقيقة مُرّة، تعكسها بعض المشاريع المتعثرة في وهران حتى أصبحت حديث الألسن بفعل المدة الطويلة التي استغرقتها
(39سنةكاملة)من جهة، وعدم النجاح في إنهائها رغم التدخلات والقرارات المركزية التي تصدر من أعلى هرم السلطة من جهة أخرى. وأحسن مثال ينطبق على ذلك مشروع مسجد ابن باديس الذي لا يزال الوهرانيين يأملون في الصلاة فيه منذ أربعة عقود كاملة مثلما وعدهم بذلك الوزراء والمسؤولون ممّن تعاقبوا خلال هذه الفترة الزمنية الطويلة الكافية لبناء مدن بأكملها حطمتها حرب ضروس.
ولمن يجهل المعلومات الخاصة بهذا المعلم الديني الذي يتربع على أربع هكتارات في موقع استراتيجي بحي جمال الدين بوهران، فإن المسجد لم يكتمل بالرغم من أنه استهلك لحد الآن غلافا ماليا تفوق قيمته المادية 570 مليار سنتيم، شارك فيها بقسط كبير المحسنون، من خلال حملات جمع الأموال التي كانت تتم في المناسبات الدينية وأثناء صلاة الجمعة، الأمر الذي يفتح مجال التساؤلات على مصراعيه، خاصة وأن الغلاف المالي المذكور ضخم جدا، وما تم إنجازه لا يعدو مجرد هيكل إسمنتي بات شاهدا حيا على المأساة.
وقد واجه هذا المشروع طيلة هذه المدة الطويلة عقبات متلاحقة حالت دون إتمامه إلى يومنا، كما عايش نزاعات انتهت بالزج بملفه إلى الهيئات القضائية بعد أن وقع إشكال بين اللجنة الدينية التي كانت مكلفة بإنجازه وبين السلطات الوصية، باعتبار أن المهمة أسندت فيما بعد2007 لوصاية الولاية عن طريق مديرية التعمير والبناء، فضلا عن العقبة الجديدة التي ظهرت بعد زلزال بومرداس، حيث تقرر آنذاك بأمر فوقي إعادة الدراسات من أجل تقوية الأساسات والأعمدة، خاصة وأن المسجد المشروع يقع فوق منطقة عرضة للنشاط الزلزالي كما قيل، ما جعل وزير القطاع في إحدى زياراته المتكررة للموقع دون جدوى، يصرح بأن المشروع يحتاج إلى إعادة تحيين المعطيات التقنية من خلال دراسات إضافية ومراقبة دقيقة وفق المعايير الحديثة التي تسمح بتأمينه وسلامة رواده.
والغريب في الأمر، أن مسجد بن باديس انطلق في السبعينات تقريبا في نفس الفترة التي تقرر فيها بناء مسجد الأمير عبد القادر بقسنطينة الذي توسع سنة 1984 إلى جامعة للعلوم الإسلامية تخرّج منها آلاف الطلبة على مر السنوات الماضية، في حين لم يُوفّق سكان وهران في حتى مجرد الصلاة داخل مسجدهم الموعود به والذي قيل بأنه سيستوعب 20 ألف مصل، فضلا عن حظيرة كبيرة ومئذنة عملاقة مركزا للفنون الإسلامية، وشقق وظيفية للإطارات، ومركز ثقافي إسلامي، ومركز للبحوث، ومكتبات وقاعات محاضرات، وفضاءات لتعليم القرآن الكريم، إلى غير ذلك من الملاحق التي لا تعدو مجرد وعود تحولت على مر السنين إلى سراب في انتظار أي جديد، حيث عمد مؤخرا والي وهران السابق إلى هز المشروع من جديد من خلال تعيين متعاملين أتراك لاستئناف إنجاز الصرح اللغز.
ونفس المشهد ينطبق تماما على مشروع فندق شاطوناف، الذي أمر بإنجازه الرئيس الراحل هواري بومدين، حيث لا يزال هذا الأخير مجرد هيكل ضخم من الإسمنت مشكل من 26 طابقا شوّه المدينة في قلب منطقة أثرية محمية مصنفة، ما عقّد أية تدخلات لإيجاد حل مناسب له، باعتبار أنه يجاور معلم قصر الباي المصنف كتراث وطني، ناهيك عن الصعوبات الأخرى في ضوء عدم وجود مدخل للمنطقة ومخارج مناسبة للنجاة.
وبالرغم من التدخلات التي تمت على أعلى مستوى، إلا أن المشروع لا يزال في نقطة الصفر، حيث فشلت صفقة بيع الفندق لشركة سوناطراك بالرغم من القرار الذي اتخذه قبل سنوات المجلس الوطني للاستثمار والقاضي بنقل الملكية من مؤسسة التسيير السياحي لسيدي فرج إلى ملكية سونطراك، حيث تم إلغاء هذا النقل، ليتقرر بعدها إسناد الملكية لبلدية وهران من أجل استغلال المرفق لنقل مصالحها إليه، حيث رصدت الحكومة مبلغ 150 مليار سنتيم لتنفيذ العملية ولم تتجسد على أرض الواقع بعد مرور عدة سنوات.



“مشروع تاريخي” اسمه المسبح الأولمبي بتيارت
 حطم مشروع إنجاز مسبح أولمبي بمدينة تيارت الرقم القياسي من حيث التأخر، بعد أن تجاوز الربع قرن دون أن يتم فتحه.
ويعود تاريخ انطلاق “المشروع التاريخي” إلى سنة 1984 في عهد الحزب الواحد، أين تم اختيار موقع له بحي “فريڤو” بقلب عاصمة الولاية في مكان يعرف بتشكيل بركة كبيرة نظرا لتسرب المياه الباطنية، لكن أشغال إنجازه عرفت تأخرا لم يسبق وأن شهده أي مشروع في الولاية. والغريب أن تأخر المشروع تسبّب في مقتل شابين لما كان في مرحلة بناء الأساس جاءا للسباحة في البركة، فالأول اخترق جسده عمود معدني والثاني غرق في ذات البركة، كما كان مسرحا لحادثة سقوط عمال من ولاية الأغواط كانوا بصدد وضع السقف المعدني.
تيارت: م.رابح
في انتظار الجسر منذ 1988 ببرج بوعريريج
 مرت أكثر من 10 سنوات على توقف أشغال انجاز الممر العلوي للسكة بحي 8 ماي بعاصمة ولاية برج بوعريريج، بعد أن تم إنجاز حوالي 80 بالمائة من المشروع من طرف مؤسسة “كوسيدار” آنذاك، بهدف حماية المواطنين من الحوادث اليومية التي خلفت عدة قتلى.
وتعود أسباب توقف المشروع إلى غياب القرار وتنصل كل الجهات من تحمل المسؤولية، بعد اعتراض مواطنين قاطنين داخل الممر العلوي ومطالبتهم بتعويضات، استفاد بعضهم منها، لكن سرعان ما طالبوا بالمزيد. وعلمنا من مصدر مطلع أن المشروع يعود إلى سنة 1988 عندما تقرر انجازه بغلاف مالي يقارب 4 ملايين دينار، وتوقفت الأشغال سنة 2003 بسبب احتلال بعض السكان لأرضية السكة الحديدية، ورغم الاجتماعات الماراطونية مع ثلاث رؤساء بلديات ودوائر، بين سنوات 2002 و2008 وتعويض بعض السكان، إلا أن المشكل بقي عالقا إلى يومنا هذا.
برج بوعريريج: بوبكر مخلوفي 


 عبد المجيد تبون لـ”الخبر “
“المشاريع غير المكتملة.. كابوس حقيقي يؤرقنا”
 كشف وزير السكن والعمران عبد المجيد تبون على هامش الزيارة التفقدية التي قادت الوزير الأول عبد المالك سلال إلى ولاية تبسة، أن ملف المشاريع السكنية المهملة أضحى كابوسا حقيقيا يؤرق دائرته الوزارية، بالنظر إلى كون العديد منها يعاني مشاكل عويصة ومحل نزاع. وقال الوزير في تصريح لـ«الخبر” أنه “ سبق لأصحاب المشاريع السكنية المهملة أن دفعوا أقساطا أولية بأسعار رمزية وقديمة، من الصعب إعادة تقييمها، كما أن تسوية مشكل عمارة واحدة مهملة يضاهي إطلاق مشروع لإنجاز 1000 وحدة سكنية” على حد تعبير تبون. ونوّه وزير السكن، أن الملف المعني قد عرض للنقاش مؤخرا، بالرغم من الجهد والوقت الوفيرين اللذين يتطلبهما تسويته.
تبسة: مبعوث “الخبر” كريم كالي



  رئيس المجلس الوطني للمهندسين المعماريين لـ”الخبر”
“أغلب البنايات غير المكتملة مآلها التهديم”

 حذّر رئيس المجلس الوطني للمهندسين المعماريين عادل بجاوي في تصريح لـ«الخبر” من خطر البنايات التي لا يتم استكمال أشغالها لمدة تزيد عن عشرين سنة، بالنظر إلى أنها أنجزت في ظروف مغايرة لما هو مطلوب اليوم، كما أنها تعرضت لعوامل طبيعية قاسية أثّرت على الخرسانة والحديد المكوّن لها.
أوضح المتحدث بأن “السكنات غير المكتملة الإنجاز وكذا الفنادق والمراكز التجارية، يعدّ مشكلا حقيقيا يشوّه النسق العمراني لمدننا، ويجب إيجاد حل لها في أقرب وقت”. وأشار عادل بجاوي إلى أن “هذه الهياكل المنجزة التي تبقى غير مستعملة ومهملة تطرح عدة مسائل أهمها الجانب القانوني والجانب الاقتصادي”. وقال المتحدث بأن “أي عمارة أو بناية تحوز على رخصة البناء لمدة ثلاث سنوات، وإن تجاوزت هذه الفترة ولم تكتمل الأشغال، يجب أن يجدد وفقا لمعطيات جديدة”. ويكون المشكل المطروح في غالب الأحيان متعلق بنزاع قانوني أو عدم تمكّن الشركة المنجزة من توفير الغلاف المالي المخصص لعملية الإنجاز. ويطرح مشكل عدم استكمال إنجاز البنايات أساسا لدى الخواص أكثر منه لدى الشركات العمومية، يقول عادل بجاوي. مضيفا “وهنا يجب التأكيد على ضرورة أن تقوم البنوك بلعب دورها في مجال تمكين أًصحاب المشاريع من التمويل”.
ومع هذا، فإن أغلب الخواص الذين يتسببون في تشويه وجه المدن بسبب عجزهم عن استكمال الأشغال، كانت دراساتهم غير ناجعة، لأنهم يصطدمون فيما بعد بعراقيل وصعوبات تخص أساسا جدوى المشروع.
أما من الناحية الاقتصادية، يقول المهندس عادل بجاوي، فإن مثل هذه المشاريع المتوقفة ترهن إمكانية خلق مناصب عمل إضافية، لأنها لا تكون عملية، خصوصا إذا تعلّق الأمر بمرفق اقتصادي أو خدماتي، على غرار الفنادق والمراكز التجارية.
وتستدعي الكثير من البنايات، التي لا تزال مجرد هياكل تشوه المدن، ضرورة إيجاد حل عاجل لها، سواء تعلق بهدمها نهائيا إن كانت تشكل خطرا على صحة السكان، كونها لم تنجز وفق المعايير الخاصة بالزلازل أو المخاطر الأخرى.                       
الجزائر: زبير فاضل


 طابق واحد في 20 سنة بتيزي وزو
 بالرغم من مرور أزيد من 20 سنة على انطلاقة أشغال بناء 100 مسكن بالقرب من السكة الحديدية بمدينة ذراع بن خدة في ولاية تيزي وزو، ممول من قبل الصندوق الوطني للتوفير والاحتياط ، فإن هذا المشروع مهمل ودخل في طي النسيان. وشرعت مصالح بلدية ذراع بن خدة بداية تسعينيات القرن الماضي في بناء 100 مسكن ممول من قبل الصندوق الوطني للتوفير والاحتياط على مستوى حي “لي كمباطون” المجاهدون بوسط المدينة، وتم لحد الآن تشييد طابق واحد وبقي المشروع يراوح مكانه دون أن تحرك مصالح دائرة وبلدية ذراع بن خدة ساكنا لاستئناف الأشغال. هذا المشروع، الذي كان سيمكن 100 رب عائلة من الحصول على سكن لإيواء أسرته، من ضمن برنامج سكنات ممولة من قبل ذات الصندوق، أنجزت أغلبها بذات البلدية وتعكس عدم اهتمام السلطات المحلية بمواصلة المشاريع التنموية التي يرثونها عن المنتخبين الذين سبقوهم في مهمة تسيير إدارة شؤون البلدية.
تيزي وزو: علي رايح

المسبح الأولمبي بسوق أهراس.. حوض كبير يلتهم الملايير
 حطّم مشروع المسبح الأولمبي للمركب الرياضي باجي مختار في سوق أهراس، رقما قياسيا في مدة الإنجاز، رغم افتقار الولاية لمثل هذه المرافق، ويرجع ذلك أساسا، لتوالي العيوب الفنية التي تطرأ من حين لآخر على هذا المشروع الذي يستهلك كل سنة أغلفة مالية معتبرة سواء من ميزانية مديرية الشبيبة والرياضة أو من الولاية وميزانيات البرامج القطاعية.
ورغم الزيارات الوزارية المتتالية التي حظي بها المشروع، إلا أنه بقي عبارة عن حوض كبير يبتلع الأموال تارة تحت عنوان عمليات الأشغال وإعادة الأشغال، وتارة بعنوان اقتناء التجهيزات والمعدات التي يتطلبها المسبح، لكن كل هذه العمليات لم تجد نفعا حيث لا يزال كما هو، شاهدا على مدى تأخر ولاية سوق أهراس في مجال المنشآت الرياضية ومرافق الترفيه والاستجمام، خاصة أمام وجود أكثر من 15 مشروعا للمسابح وأحواض السباحة تعاني من نفس المصير ببلديات سدراتة، مداوروش، المشروحة تاورة وغيرها.
وبخصوص آخر عملية موجهة لمشروع المسبح الأولمبي، فقد تمت مناقشتها خلال الدورة السابقة للمجلس الشعبي الولائي في مارس 2013، حيث نوقشت استفادة جديدة للمسبح من بينها عمليتين لاقتناء وتركيب أجهزة التسخين والمرشات، وانتظار عملية ثالثة لتهيئة غرف تبديل الملابس، لكن دون الإشارة إلى متى سيتم استلام المشروع من طرف الهيئة التنفيذية، حتى يتسنى استغلاله بعد مرور أكثر من 15 سنة على انطلاق أشغاله.
سوق أهراس:ع.قدور
7 سنوات لإنجاز قاعة للرياضات ببسكرة 
 تنفرد مشاريع قطاع الشباب والرياضة ببسكرة بميزة التأخر المبالغ فيه بخلاف بقية القطاعات التي قد تشكو من نفس المشكلة لكن بشكل متفاوت، ويكفي إجراء معاينة ميدانية للوقوف على عدد من المشاريع التي لا زالت تراوح مكانها منذ سنوات عديدة. ولعل الأبرز ما تسجله بلدية أولاد جلال التي تحصي مشروع قاعة الرياضات بألف مقعد والمسبح نصف الأولمبي اللذان انطلقا منذ أزيد من 7 سنوات واختير لهما موقع واحد، إلا أن الأشغال تسير بوتيرة بطيئة وتتوقف في كل مرة، حيث لا زال ينتظر المشروع الأول التهيئة والسور الخارجي والإنارة والكهرباء، في حين توقف المشروع الثاني عند إنجاز السقف فقط ليضل وكرا للمنحرفين ومرتعا لرمي الأوساخ.
نفس الوضعية نسجلها بمشروع ملعب كرة القدم بالدوسن الذي انطلق هو الآخر منذ أكثر 9 سنوات والذي عرف تغيير الأرضية ثلاث مرات إحداها بسبب التحليل المخبري للأرضية وأخرى عندما برمج بجانب مقبرة.
والملاحظ انه تداول على إنجازه عدد من المقاولين كان مصيرهم الفرار ومغادرة الورشة لتتوقف أشغاله ولم ينجز منه سوى جزء من المدرجات ونصف السور ليضل فريق هذه المدينة الذي يلعب في قسم ما بين الرابطات يعاني الأمرّين، حيث يجبر على اللعب والتدرّب بأولاد جلال وبفاتورة أعباء مضاعفة أرهقت المسيرين والممولين. ولم تنفع الشكاوى واستغاثات شباب المنطقة لدفع هذا المشروع الذي يبدو أن موعد تسليمه سيكون بعد سنوات طويلة.
بسكرة: ل.فكرون


 alya.chams@gmail..com
setif
2013-10-03م على 5:55
تأكيدا لمقالتكم أعلمكم بانه توجد هنا في بلديةعين أرات 6 سكنات في إطار إجتماعي تربوي
لم تكتمل منذ 1988 موجودة بمدرستين كزاز دحمان و عباشة حسين .غير أن واحد من هذه السكنات قمنا بإكماله أنا زوجتي -معلمة بنفس الممؤسسة -كزاز دحمان وهذا بموافقة المير السابق وهذا إجراء تقرير لخبير قضائي سنة 2003 .
أعلمكم بأننا مهددون بالطرد منه و كأن البلدية هي التي أكملته.و القضية في يد العدالة إلى الساعة.
2 - said
40
2013-10-03م على 7:55
بلاد العجب
3 - سعد
عنابة
2013-10-03م على 7:28
نوزمااااااااااااال في بلاد العجائب
4 - سيد علي أكرم
2013-10-03م على 8:12
شىء عجيب في بلادنا إهمال كبير في كل شيء،وهذا الشعب هو الذي يدفع الثمن .....
5 -
2013-10-03م على 8:22
يقول المثل العربي:[ العلم يرفع بيتا لاعماد له والجهل يهدم بيت العز والشرف!]
6 - annabi23
annaba algerie
2013-10-03م على 8:07
faut pas oublier le projet 96 logement ENPI oued eddheb annaba non achevé à ce jour depuis l'année 2000
7 - salim
bejaia
2013-10-03م على 12:13
en chine ils ont construit un hôtel de 30 étage dans un délais de 15 jour. Lesse dormir les arabe
8 -
2013-10-03م على 12:29
اصبح التسيب والعبث بلمال العام عندنا امر سهل جدا في حين دول باكملها في اورباوامريكا تعاني من دائقة مالية والتقشف لقد صدق المثل الشعبي القائل 'لي ينسف في اللبن يشتقاه ' ارحمو اموال الجيال من احفادنا قبل فواة الاوان
9 - bacchir
mosta
2013-10-03م على 12:52
c normal
10 - mourad
batna
2013-10-03م على 13:02
allez visiter le centre commerciale 1200 logts jusqu'a présent n'a pas encore vu la lumiere portant et réaliser a 100/100,le probleme toujours les p/apc de batna
11 - hocine
algerie
2013-10-03م على 14:13
بلاد ميكي 

 

.
.اخر خبر
الاخبار العاجلة لاكتشاف قناة لانديكس التلفزيونية  صحافي من جريدة الجمهور يبيع  تجارة الصوف في منطقة رحبة الصوف اليهودية بقسنطينة والاسباب مجهولة 
اخر خبر
الاخبار العاجلة لاكتشاف صحافية تلفزيون لانديكس نريمان تاجر الصوف من عائلة بن طاهر 
يمارس مهنة طرح  متاع العروس بسعر 1000دج للمطرح الواحد ويمارس مهنة الصحافة في عالم تجارة الصوفويدكر ان عائلة بن طاهر  اصبحن عائلة ثرية بسبب تجارة الصوف التي يحتقرها شباب قسنطينة وللعلم فان بن الطاهر دخل عالم الصحافة واصبح مليادير يملك عقارات  ويسير وكالات عقارية كما انه دخل عالم السياسة وللعلم فان بن الطاهر صديق نورالدين بليبل وصحافي بجريدة النصر ماضيا ولقد تحولت صحيفة الجمهور الى ملكية عائلية حيث تحصل افرادج العائلة على شهادة صحفي ليواصلوا مسارهم في تجارة الصوف وطرح متاع العروس وللعلم فان سعر مطرح في قسنطينة يتراوح بين مليون واكثر كما ان سعر مهنة الطراح اصبحت خيالية وتخيلوا مطرح يكلف 4000دج ثمن تحضيره وداخل منزل الشخص مع ضمان طعام وافطار الطراح وللعلم فان صحافية لانديكس تناست ان تجارة الصوف موجودة في منطقة باردو فلمادا فضلت عائلة الصحافي بن الطاهر على تجار سوق الرمبلي والاسباب مجهولة
اخر خبر
شوهدت الاديبة صليحة نعيجة حائرة في شارع بودربالة عبد الرحمان ثبحث عن عشيق مجهول ويدكر ان الاديبة صليحة نعيجة 
صاحبة المؤامرات الادبية حيث اقصيت مثقفين من نشاطات نادي الاثنين كما تحصلت على جائزة بوتفليقة من ام البواقي ولللعلم فان صليحة نعيجة تسير تظاهرة صديقتها منيرة خلخال المهرجان الشعر النسوي سريا مقابل الحصول على منافع سياسية وتجارية والاسباب مجهولة
اخر خبر
شوهد الصحافي المجهول والاستاد المجهول والمدير الانتهازي يزيد بوعنان في شوارع الكدية متجولا امام مديرية التربية بقسنطينة بحثا عن منصب مديرا للتربية بعد انضمامه لحزب ايت احمد وتحويله الى حزب لاساتدة التعليم الثانوي وللعلم فان يزيد بوعنان صديق المخابرات الجزائرية والمكلف بالمهمات السرية في العالم الثقافي كما انه ناكر للخير مع اصدقائه فقد كان يتخد من نفق قسنطينةمخبئ لشخصه ايام الجزائر الحمراء وبعد حصوله على صداقة مع شخصيات الفساد السياسي هاهو يصبح يرمز للفساد الثقافي في عالم الصحافة الجزائرية وللعلم فان يزيد بوعنان ابن جبال جيجل والقل يتقن فنون النفاق السياسي والثقافي فاحدروه وشر البلية مايبكي 
اخر خبر
الاخبار العاجلة لاكتشاف صحافية لانديكس استشهاد بائع الصوف برحيبة الصوف بن الطاهر بعبارة بوتفليقة "بالرزانة يتباع الصوف"في احد خطاباته السياسية وشر البلية مايبكي 
اخر خبر
الاخبار العاجلة لاكتشاف سكان قسنطينة تنظيم مهرجان  للعهر الشعري بقسنطينة في قاعة المسرح الجهوي حيث ضيوف واصدقاء منيرة رجالا هعاهرين وشاعرات عاهرات يستقلون حافلة بينما يصطف الشعراء العاهرين في القاعة لاقامة مواعيد غرامية في فندق سيرتا ويدكر ان الشاعرة منيرة في خدمة الثقافة الجنسية حيث تجعل الاديبات الصغيرات عاهرات مقابل حصولهن على شهادات تكريم ثثبث ممارستهن الدعارة الشعرية في فنادق مديرية الثقافة بقسنطينة وشر البلية مايبكي 
اخر خبر
الاخبار العاجلة لحماية الشرطة الجزائرية تظاهرة الشاعرات العاهرات  جنسيا بقسنطينة بينما يحاكم مواطن جائع جنسيا في شوارع قسنطينة بتهمة الاخلال بالنظام العام وهكدا يجوز الداعرة الرسمية باسم الثقافة ولاتجوز الدعارة الشعبية باسم الحريات الفردية والاسباب مجهولة
اخر خبر
 الاخبار العاجلة لاعلان السلطات الجزائرية شغور منصب والي قسنطينة لمدة سنة بسبب اكتشاف فضائح سياسية في لعبة قسنطينةعاصمة الثقافة العربية والاسباب مجهولة
اخر خبر
الاخبار العاجلة لاكتشاف الجزائرين ان الالقاب الادبيةتمنح بعد الممارسة الجنسية مع الشاعرات المبتدائات وتمنح للادباء الشباب بعد تقديم الرشاوي المالية لرؤساء الصفحات الثقافية بالصحف الجزائرية والاسباب مجهولة