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Zone doc : Shekinah : la vie intime des juifs hassidiques
ICI Radio-Canada, 21 h
http://www.ledevoir.com/culture/television/425771/vendredi-12-decembre-en-attendant-le-mariage
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mikv%C3%A9
http://www.lovaweb.com/femme-maghreb
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http://www.lovaweb.com/rencontre-femme
http://www.lovaweb.com/drague-internet
http://www.lovaweb.com/rencontres-juives
http://www.judaicalgeria.com/pages/arts-cultures-et-traditions/coutumes-et-traditions.html
On vivait une époque de transition. La jeune génération était totalement occidentalisée et, en l’absence des hommes, les femmes avaient découvert, pendant la guerre, le monde du travail et l’indépendance financière, comme en France, mais certains rites judéo-arabes ancestraux qui faisaient partie intégrante de la vie traditionnelle constantinoise, s’imposaient encore.
La « Tania », le rituel païen du henné est une cérémonie traditionnelle orientale qui était célébré lors du mariage juif comme musulman. Cette vieille tradition berbère, arabe et juive, donnait lieu, chez les juifs, à une petite fête, après les fiançailles, dans la semaine précédant le mariage. On accordait au henné, rempart contre les éléments extérieurs nuisibles, des vertus de magie sympathique, une valeur médicinale, cosmétique et, en particulier chez les berbères où les tatouages au henné étaient souvent d’un grand raffinement aux signes mystérieux, un pouvoir de séduction.
La fiancée juive, habillée de rose, à l’orientale et toutes les jeunes filles à marier parentes ou amies recevaient dans le creux de la main de la pâte de henné attachée avec une gaze et un ruban rouge. Avec un louis d’or dans celui de la future mariée. La mère du marié offrait une corbeille capitonnée de satin rose avec des mules, des anneaux ouverts pour les chevilles (khelkhal) (que la jeune femme ne porterait jamais, bien entendu) et de gros serpents en or et, avec des « youyous » bien sonores, des femmes faisaient une démonstration de « danses au foulard » sur de la musique arabe. La jeune fille moderne se prêtait, parfois, un peu contrainte à ces réjouissances typiquement judéo-arabes. La danse au foulard est un art qui ne souffre pas la médiocrité.
Seules les femmes étaient conviées à ce rituel festif.
La « Tevilah » « l’immersion »en hébreu, et « baptême » en Grec, rituel du bain de purification, avec immersion totale, rite ancestral, dans la tradition religieuse biblique juive mais célébré à l’orientale, avait lieu au bain maure la veille du mariage. Le Vendredi après-midi avant le Shabbat, la fiancée était accompagnée au bain rituel « le Mikvé » (littéralement « collection d’eau ».) Un « mahbès », un grand pot en cuivre contenait les serviettes et le nécessaire de toilette. Une « tassa », en cuivre également, servait à s’asperger.
Après une toilette très soignée dans la salle commune du bain maure et une douche, on procédait au bain de purification « la Tévilah », à l’écart, dans une petite piscine avec des marches pour une immersion progressive, pleine d’eau « collectée » (d’où le nom Mikvé) de pluie ou de source à l’origine, pure, transparente, uniquement réservée pour les Juifs à cet usage. La jeune fille, entièrement nue, sans le moindre bijou, ni vernis à ongles, doigts écartés, rien n’empêchant le contact entre le corps et l’eau purificatrice était complètement immergée, plongée 3 fois, tête comprise, comme pour un baptême chrétien, avec bénédictions et prières, et l’intercession et l’aide d’une « ballanit ».
Nous, enfants, ne quittions plus la terrasse. Dans la vaste cabane, où table et chaises avaient été installées, nous faisions de copieuses « goûtettes »,aussi joyeuses que celles que grand’mère et ma tante Mireille organisaient pour nous, le soir de Pourim, avec un service de table miniature en verre bleu à relief « une dinette » dans le « coin du piano ». La banquette cannée du piano tenait lieu de table, et de petits tabourets bas en bois blanc paillés, de sièges. Nous avions même de petits kanouns avec des braises sur lesquels nous réchauffions nos minuscules marmites de petits pois avec boulettes de viande.
A la fin de la semaine de soukot, après le démontage de la cabane, grand’mère récupérait des roseaux pour en faire des brochettes qui marquaient la fin de la célébration, et aussi, pour nous enfants, avec la rentrée des classes, la fin des longues vacances d’été –trois mois- et des jeux sur la terrasse.
Cette fête qui termine un cycle liturgique avec la fin de la lecture annuelle de la Torah, était pour nous, écoliers, aussi la fin d’un cycle.
Transport de palmes à la synagogue de Constantine : photo transmise par Mr Jacques Nakache
Le matelassier, un vieil artisan Juif, arrivait, parfois aidé de sa femme, avec sa cardeuse à main démontée et une mallette en bois, très tôt le matin.
Toute la matinée, dans la poussière et une légère persistante odeur de suint libérée par le cardage, assis sur l’arrière de la cardeuse, il introduisait d’une main la laine, de l’autre il actionnait le balancier en bois muni de gros clous, dans un mouvement régulier de va-et-vient pour aérer la laine tassée et jaunie des matelas éventrés. Il étalait ensuite les flocons de laine souple, mousseuse, soyeuse et débarrassée des impuretés sur un grand drap blanc déployé sur les tomettes rouges du sol.
L’après-midi, commençait la confection du nouveau matelas avec une toile neuve rayée, plus tard damassée bleue ou jaune et la laine cardée bien répartie sur la toile pour un matelas équilibré et moelleux. Après le remplissage, commençait le long et minutieux travail de couture. Avec deux longues aiguilles recourbées et du gros fil de coton, assis en tailleur à même le sol devenu très chaud, il cousait les bourrelets des bordures pour maintenir la laine sur les côtés. Puis, pour la maintenir à l’intérieur, le capitonnage : sur les œillets, de petits carrés d’étoffe repliée. Les capitons de tissus-une cinquantaine environ pour un grand matelas- étaient reliés par deux avec le fil à travers le matelas.
La vieille toile, lavée et repassée était souvent réutilisée ou servait de protection sur le matelas rénové, ou à isoler le matelas du sommier métallique à ressorts parfois un peu piqué de rouille.
Sous la chaleur, c’était de longues et dures journées pour cet artisan qui transpirait sous la casquette que, pour se conformer à la loi juive, il n’ôtait
En fin de journée, la fatigue s’inscrivait en larges cernes gris sur ses joues. Il descendait les matelas considérablement rehaussés, prêts pour le trampoline. Puis il démontait sa cardeuse et la rangeait dans un coin jusqu’au lendemain.
Longtemps, j’ai utilisé une très longue pièce d’un robuste tissu bleu damassé d’un ancien matelas. J’y ai renoncé quand elle a été hors d’usage pour un vrai molleton de protection acheté sous plastique qui recouvre désormais un matelas industriel en latex sur sommier à lattes dit « tapissier ».
Aujourd’hui, ces cardeuses en bois mues par la main de l’homme, avec leur curieuse planche balancier hérissée de gros clous sous laquelle passait la laine, ne se trouvent plus que chez les antiquaires, dans les écomusées ou comme l’alambic ou la sorbetière de ma grand’mère dans le musée de nos souvenirs d’enfant.
A Constantine, le « pain azyme » était une galette très épaisse, très dure, et particulièrement indigeste. Une fois l’an, seulement, la Fabrique Zarka la produisait. Certaines familles, comme celle de la tante Eugénie dite « Zeiro », la sœur de ma grand’mère, la fabriquaient elles-mêmes.
Pour le trempage, une grande coupe en faïence à grosses fleurs rouges qui faisait partie de la vaisselle réservée pour
Une année, j’étais très petite, cette galette béton m’a rendue si malade que mon grand-père, esprit ouvert et tolérant, a dit : « apportez lui du pain ! ».
A Oran, la galette était plus acceptable que celle de Constantine.
Après le débarquement des Américains, seulement, en Novembre 1942, nous avons découvert que la galette de Pessah pouvait être fine et comestible.
Aujourd’hui, le pain azyme « Rosinski frères »est presque une friandise et beaucoup en mangent toute l’année.
En savoir plus sur http://www.judaicalgeria.com/pages/arts-cultures-et-traditions/coutumes-et-traditions.html#u0XKibAlfTTW4jiP.99
http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/mariage-gay-lesbienne/20130621.OBS4168/mariage-pour-tous-11-nationalites-interdites-de-noces.html
http://www.bladi-dz.com/articles/1462/1/Un-juif-dirige-la-priere-dans-lune-des-mosquees-dAlgerie/Page1.html
Une des histoires les plus étranges sur l’infiltration du courant islamiste
http://www.jdate.fr/?NavPoint=top
Bienvenue sur JDate.fr
Le premier site de rencontres pour les célibataires juifs
Lorsqu’on recherche un partenaire, notamment sur un site de rencontres, la plupart d’entre nous a tendance à se concentrer sur les aspects positifs que nous aimerions trouver chez l’autre : Sensibilité, ouverture d’esprit, esprit d’aventure, rapport à la famille etc., selon nos préférences personnelles.
Il faut d’abord définir sa place et ensuite se blottir contre celle de l’autre…
Générosité, constance et disponibilité : Le trio gagnant !
Leur premier rendez-vous a commencé par une gaffe, mais a fini par accoucher d’un mariage.
http://www.jdate.fr/jmag/jlifestyle/llamour-est-aveugle-la-science-le-prouve/
http://www.jdate.fr/
الاخبار العاجلة لاعلان وزير الاتصال قرمونةعن مظاهرات قسنطينة في دكري يوم الجهل الجزائري يدكر ان ووزيرالاتصال دشن شارع باسم مركز الدولي للصحافة ليدخل مرحلة الترميم فجائيلا بعد مغادرة الوفد الوزاري وشر البلية مايبكي
.حفيظ دراجي
نكتب ولا نقرأ، نتكلم ولا نسمع!
يعاب على كثير من الإعلاميين والمحللين الرياضيين في مختلف وسائل الإعلام الجزائرية، أنهم يتحدثون ويكتبون ولكنهم لا يقرؤون ولا يستمعون إلى غيرهم، ولا يطلعون بشكل كافٍ على المستجدات التي تعرفها الساحة الرياضية الوطنية والعالمية. ويعاب عليهم أنهم لا يهتمون بسوى كرة القدم، أو بالأحرى بشؤون المنتخب فقط دون غيره من المنتخبات والرياضات؛ إلى الدرجة التي أصيب فيها القارئ والمشاهد بالتخمة إزاء تكرار قراءة وسماع الأسطوانات نفسها من إعلاميين ومحللين صرنا نشفق عليهم بسبب غرقهم في مستنقع الرداءة والوقاحة!
المنتخب الوطني لكرة القدم صار خلال السنوات الأخيرة مادة "يفتي" فيها كل الناس وفيكل الأوقات؛ مقابل تراجع كبير في الاهتمام بالرياضات الأخرى على الرغم من كثرة القنواتالتلفزيونية والصحف، في وقت غرقنا في القيل والقال والتعاليق والتحاليل السطحيةوقلة الأدب تجاه اللاعبين والمدربين والمسيرين على حساب الموضوعية والمهنية ورسالتناالأساسية في الإعلام والتثقيف والترفيه قبل كل شيء!
على سبيل المثال، ومن خلال تواصلي مع بعض الزملاء، ومتابعتي لما يكتبه ويقولهبعضهم الآخر من "متخصصين" في شؤون الكرة والمنتخب؛ تفاجأت لجهلهم بآخرالمستجدات المتعلقة بتصفيات كأس أمم إفريقيا 2017، وتصفيات كأس العالم 2018،وعدم معرفتهم بأن الكاف والفيفا أقدمتا مؤخرا على تغيير صيغة التصفيات المؤهلةللنهائيات، ولم يعد يهمهم سوى ضرورة تأهل منتخبنا للنهائيات لمواصلة استغفالالجماهير الرياضية.
من تواصلت معهم، ومن بينهم إعلاميون وفنيون، وجدتهم يفتون في شؤون الكرةوالمنتخب، لكنهم يجهلون أن عدد المنتخبات التي ستشارك في تصفيات كأس أمم أفريقيا2017، سيكون 52 منتخبا توزع على 13 مجموعة مكونة من أربعة منتخبات تلعب فيمابينها ذهابا وإيابا، يتأهل منها أصحاب المراكز الأولى من المجموعات الثلاث عشرة + أفضلمنتخبين يحتلان المركز الثاني ومنتخب البلد المنظم الذي سيشارك بدوره في التصفيات؛من دون أن تحتسب نتائج مبارياته مثلما يحدث مع منتخب فرنسا في تصفيات اليورو.
اكتشفت أيضاً أن كثيرًا منا لا يعرف جديد تصفيات كأس العالم المقبلة الخاصة بالقارةالسمراء، والتي ألغي فيها نظام المباريات الفاصلة؛ على أن تبدأ التصفيات بثلاثة أدوارتمهيدية، ليصل عدد المنتخبات إلى 20 منتخبا في الدور الأخير؛ تُوزّع على خمس مجموعاتمن أربعة منتخبات تلعب فيما بينها ذهابا وإيابا، يتأهل منها أصحاب المراكز الأولى في كلمجموعة، مباشرة للدورة النهائية.
الكاف والفيفا أدخلتا تعديلات أخرى لم يسمع بها كثير من الإعلاميين لأنهم لا يقرؤون،ويكتفون بالكتابة والكلام وإطلاق الأحكام، ويستعينون بمحللين ورياضيين سابقين لايقرؤون بدورهم ولا يسمعون غير أنفسهم، ولا يترددون في إعطاء دروس لغيرهم؛ علىالرغم من جهلهم وتخلفهم وفشلهم في مختلف تجاربهم!
إننا نعيش زمن الرداءة في مجال الإعلام الرياضي المرئي والمقروء، وكل ما يتعلق بكرةالقدم ومختلف الرياضات بسبب غياب الثقافة الرياضية وتراجع مستوى أغلبية الإعلاميينوالرياضيين، وتردي الأخلاق وتفشي الحقد والكراهية بين كثير من الفاعلين؛ امتداداً للتراجعالذي نعيشه سياسيًا واقتصاديًا واجتماعيًا، وفي مختلف المجالات، لذلك أجد نفسيأشفق على الجماهير المسكينة وعلى كرة القدم وعلى الرياضة من هؤلاء وأولئك.
http://algerieartist.kazeo.com/photos/scenes-de-vie,a3981303.html
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En attendant le mariage
ICI Radio-Canada, 21 h
Elles vont cheveux au vent jusqu’à leur mariage. Ensuite, elles seront tenues de porter une perruque. Les jeunes juives loubavitch que nous fait rencontrer le cinéaste Abbey Jack Neidik suivent un séminaire dans la communauté hassidique de Sainte-Agathe pour se préparer à la vraie vie.
La vraie vie, c’est d’abord et avant tout élever une famille, de préférence nombreuse. La fondatrice du séminaire, Chana Carlebach, que le film suit avec son groupe jusqu’à New York, est elle-même mère de 12 enfants. « Les gens me disent que je suis une machine à bébés. Moi, je suis contente que la machine fonctionne ! », dit-elle. Les loubavitch sont par ailleurs connus comme étant les juifs hassidiques les plus ouverts sur le monde. Avant le grand jour, celui de leur mariage, les adolescentes n’ont aucune occasion de toucher un homme. Une façon entre autres de magnifier la nuit de noces, où elles se retrouveront seules avec leur mari derrière des portes closes, nous explique le rabbin Bernath, interrogé dans le film. C’est le moment où la vraie vie commence.
En attendant, les jeunes filles ne semblent nullement troublées par le destin qui les attend. L’une d’elles, Chaya, à qui le cinéaste dit qu’elle pourrait être une star de cinéma, répond qu’elle préfère développer une vie intérieure, au-delà de la facilité.
Un des moments marquants du documentaire est cet épisode qui met en scène une rencontre entre des filles de la polyvalente de la région et ces jeunes filles loubavitch, les premières s’enquérant de la vie des secondes, de l’absence de contacts avec les hommes, etc. L’une d’elles, venue visiter les membres du séminaire sur une base individuelle, semble intéressée par la perception loubavitch de l’amour.
Juif non pratiquant, le cinéaste pose un regard intéressé sur cette communauté, et on sent qu’il tombe parfois sous le charme du discours religieux. Pour en savoir plus, il faudrait suivre ces jeunes femmes après leur mariage, une fois que la vraie vie est commencée.
http://www.ledevoir.com/culture/television/425771/vendredi-12-decembre-en-attendant-le-mariage
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mikv%C3%A9
Un Temple miniature[modifier | modifier le code]
Les synagogues, orthodoxes comme réformées, se réfèrent, au moins symboliquement, au sanctuaire. Leur plan suit, à l'instar des Temples de Jérusalem et des shtiblekh (Le Shtibl est un mot yiddish pour un petit local servant à la prière et l'étude, mais moins formel qu'une synagogue19), celui duTabernacle, tel qu'il est décrit dans la parashat Terouma.
Une synagogue contient donc un parvis où se réunit l'assemblée, un candélabre, un endroit surélevé où se tient le culte, et un endroit très saint où est gardé, dans une armoire protégée de l'extérieur par un rideau, le Témoignage donné à Moïse par Dieu :
- l'endroit surélevé, équivalent de l'autel à l'époque du Tabernacle et des Temples, s'appelle la Tevahchez les séfarades et Bimah chez les ashkénazes ; c'est là que se tient l'officiant et qu'on lit la Torah.
Traditionnellement située au milieu de la prière, elle a été déplacée dans les temples réformés à l'avant de la salle, faisant face aux fidèles, par analogie à la chaire dans les temples protestants. - Dans l'équivalent du Saint des Saints, se trouve une armoire, équivalent de l'Arche d'alliance. Les ashkénazes l'appellent arche sainte (Aron Haqodesh), tandis que les sépharades l'appellentHeikhal (Temple). Elle contient les rouleaux de la Torah. Ceux-ci sont indispensables pour qu'un lieu de rassemblement soit considéré comme une synagogue, sinon c'est une havourah.
C'est depuis l'arche que les cohanim (fidèles descendant d'Aaron, et remplissant symboliquement quelques tâches dévolues à leurs ancêtres de l'époque des Temples) bénissent l'assemblée.
L'arche est située sur le mur orienté vers Jérusalem20, donc à l'orient (Mizra'h) dans les pays situés à l'ouest de Jérusalem et à l'occident dans les pays situés à l'est. Beaucoup de synagogues sont orientées vers Jérusalem, bien que certaines dérogent à la règle pour des raisons structurelles. - Un candélabre, analogue de la menorah21, est spécialement allumé durant les offices. Comme l'une des branches de la menorah brûlait continuellement à l'époque du Temple, une lampe ou une lanterne, souvent électrique, tient actuellement le rôle de ner tamid (héb. נר תמיד « lampe perpétuelle »).
- Réminiscence du Temple de Jérusalem, où un balcon avait été installé pour séparer hommes et femmes lors de la Sim'hat Bet HaShoëva22, hommes et femmes sont séparés par une mekhitsa lors de la prière dans les synagogues orthodoxes. Souvent les femmes disposent d'une galerie, quelque peu dissimulée aux hommes d'où elles peuvent assister à l'office. Dans l'Altneu Schule de Prague, les femmes disposent d'une salle séparée de la pièce principale par un mur épais percé d'étroites ouvertures. ÀPfaffenhoffen, en Alsace, les femmes sont derrière les hommes, séparées d'eux par une sorte de treillis en bois. Cette séparation a disparu dans les synagogues libérales ou réformées, et dans la plupart des synagogues conservatrices aux États-Unis où hommes et femmes prient côte à côte.
On ne trouve pas non plus de mekhitsa dans les kenessot karaïtes, l'origine de cet usage ne figurant pas explicitement dans la Bible. Toutefois, hommes et femmes sont séparés par pudeur pour la prière, car elle contient de nombreuses prosternations.
- La synagogue contient souvent un local, appelé gueniza (héb. גניזה « dépôt ») où sont enterrés des textes périmés ou effacés portant l'un des sept Noms de Dieu qu'il est interdit d'effacer23. La tradition juive interdit en effet de les détruire et demande qu'ils soient enterrés, quand bien même il s'agirait de textes non-canoniques, voire hérétiques24. Les guenizot peuvent receler des trésors d'archéologie ; celle du Caire, qui contenait 250 000 fragments, dont la correspondance de Moïse Maïmonide25 a été qualifiée de « fenêtre sur la vie juive médiévale »26 ; celle de la synagogue Vieille-Nouvelle abrite, selon la légende, le Golem du Maharal de Prague27.
Les écrits de Philon et de Flavius Josèphe donnent à penser qu'à son époque, on déposait également dans les synagogues des donations pour le Temple de Jérusalem28. - Il est de coutume d'installer la houppa (héb. חוּפָּה dais sous lequel sont célébrés les mariages), mais cette coutume n'a pas force de loi, et la houpah est souvent installée en extérieur, particulièrement en Israël.
- On trouve souvent dans les synagogues un "fauteuil du prophète Élie" qui est utilisé lors des circoncisions.
Les synagogues antiques[modifier | modifier le code]
Les plus anciennes synagogues connues aujourd'hui sont situées en terre d'Israël et contemporaines de la destruction du Se
http://www.lovaweb.com/femme-maghreb
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Femme Maghreb
Trouvez des célibataires du Maghreb en ligne : marocaine, algerienne, tunisienne de nombreuses femmes sont en ligne et attendent pour tchater et plus si affinités. Retrouvez ci dessous des informations utiles qui vous serviront pour mieux les connaître. Inscription ci dessous selon le pays.
Femme marocaine
Sa beauté et son charme irrésistible caractérise la femme marocaine. Dès son jeune âge, elle apprend à mettre en valeur sa féminité et ses atouts.
Derrière des apparences douces se cachent un être décidé à évoluer. Parfaite cuisinière et mère de famille attentionnée, la femme marocaine est tendre envers ses enfants et constitue un excellent partenaire pour son époux.
Pleine d’entrain et d’énergie, elle est une femme de principe, intelligente et cultivée qui ne recule devant les difficultés, et prête à prendre des responsabilités.
Coquette et mignonne, elle est jalouse de sa féminité qu’elle assume pleinement, et aspire à une vie de famille harmonieuse et épanouie.
Elle est toujours décidée à supporter son mari dans toutes les décisions, lui conférant le titre de femme soumise.
Son éducation dans un milieu traditionnel la rend très respectueuse de la tradition. La marocaine est une femme raffinée dans son habillement et très engagée dans le développement socio-économique.
Femme algérienne
La femme algérienne est caractérisée par son tempérament courageux. Militante et responsable, elle aime diriger et prendre des décisions.
Plutôt que de reculer devant les obstacles, elle préfère relever les défis. Très respectueuse de la religion, elle est un soutien pour son mari qu’elle encourage par ses faits et gestes.
Elle aspire à une vie familiale harmonieuse et participe activement à l’éducation de ses enfants ainsi qu’à leur développement personnel. La femme algérienne s’engage de plus en plus dans la politique et s’intéresse à son environnement.
Elle se caractérise aussi par sa beauté angélique et son charme naturel. La musulmane algérienne s’implique fortement dans le développement socio-politique et économique de son milieu.
Evoluant dans des conditions difficiles, elle s’adapte facilement à son environnement et bascule entre modernisme et tradition. Elle intègre facilement les nouveaux concepts et les innovations tout en gardant des liens étroits avec ses origines.
En plus de sa beauté, elle est aussi une parfaite cuisinière œuvrant pour le bien-être et l’épanouissement de sa famille.
Femme tunisienne
Evoluant entre le modernisme et ses racines, la femme tunisienne est réputée comme étant la plus belle du Maghreb. Elle est authentique, joue un rôle essentiel dans l’éducation des enfants, et constitue un support infaillible pour son mari.
Elle a grandi dans une société plaçant la vie familiale au centre de ses préoccupations. Elle est une femme de caractère, soucieuse du bien-être de ses êtres chers. Ses nombreux métissages lui confèrent une beauté presque irréelle.
Fidèle et attentionnée, elle connaît ses droits civiques et respecte ses us et coutumes ainsi que la religion, si elle est musulmane. Dynamique et cultivée, elle aspire à des postes de responsabilités, et s’engage dans de hautes fonctions pour son épanouissement.
La femme tunisienne est aussi élégante et charmante. Excellente cuisinière, elle adore le confort, le bien-être et un mode de vie d’une qualité exceptionnelle.
Elle affirme sa féminité sans complexe et se montre coquette et élégante.
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Rencontre Femmes
Faire des rencontres sur Internet est à l’heure actuelle le sésame des hommes et femmes qui veulent briser leur solitude.
Les sites concernés foisonnent et on en compte à présent plusieurs milliers. La qualité d’un site de rencontre dépend de la configuration (simple, complexe) dudit site ainsi que des prestations offertes.
Cependant, le principe de fonctionnement est unique : tout internaute qui se connecte à un site de rencontre peut effectuer un test initial sans engagement. Que vous soyez déjà inscrit ou non sur le site, le test permet à l’internaute d’avoir accès à toute une galerie de photos de membres inscrits.
Pour cela, il faut au préalable indiquer les informations élémentaires vous concernant (sexe, age, profil) et celles concernant la personne que vous recherchez. A l’issue du test, l’internaute peut consulter le profil de base de toutes les personnes qui correspondent à sa recherche.
Toutefois, il devra s’inscrire s’il souhaite répondre à une annonce de rencontre. Rencontrer une femme sur Internet présente plusieurs avantages. En premier lieu, on constate que les profils des membres féminins sont nettement plus consultés que ceux des hommes.
Il est également plus facile d’obtenir une réponse d’une femme lorsque l’internaute qui répond à l’annonce y ajoute une photo. Par ailleurs, il est recommandé d’en dire un peu plus sur sa profession.
Drague Internet
Faire des rencontres est devenue chose aisée en réseau virtuel sur internet. De nos jours, il suffit de connaître les bonnes adresses pour avoir l’opportunité d’être en contact avec une multitude de personnes.
Pour commencer, passez par les sites de rencontres. C’est une alternative rapide et sûrement la plus efficace pour élargir votre cercle d’amis. Un détail qui a toute son importance est qu’avec les sites de rencontre, l’âge n’est pas un problème car c’est le lieu de drague idéal pour tout célibataire.
Ensuite, ne négligez pas les réseaux sociaux qui sont tout aussi efficaces pour rencontrer de nouveaux amis. En plus, les chances de faire des rencontres sont accrues par le biais de vos connaissances qui peuvent vous inviter à venir vous joindre à des évènements ou des cercles de rencontres spécifiques ou en privé.
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Rencontrer une femme juive
Les femmes juives, comme ce sont des femmes, elles sont comme toutes les autres, mais cependant, elles sont réputées avoir une beauté divine surtout celles originaires d’Israël. En effet, depuis l’année 1950, un concours de beauté est organisé tous les ans pour les jeunes femmes d’Israël. Ce concours s’appelle « Miss Israël » et concerne uniquement les filles célibataires.
Plus tard, ce concours devient international, et bon nombre de juives ont remporté le premier prix. A cet égard, lors du concours « Miss Univers », Malkat Hayofi remportait la couronne de reine de beauté. Na’arat Israël en 1960 est élue jeune fille d’Israël au Miss monde. Ensuite, Malkat Hachen devient reine de la grâce lors du Miss International. En 1971, Malkat Hayofi-Esreh remportait le titre de Teen Queen lors du Miss Europe. Pour terminer, la princesse de Beauté du Miss Asia était Nesichat Hayofi. D’innombrables titres internationaux sont donc remportés par de jolies femmes juives.
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Rencontres Juives
Pour pouvoir rencontrer plus facilement une femme juive et la fréquenter, le meilleur moyen d’y procéder, c’est de lancer une recherche par le biais d’un simple clic sur le net. En effet, sur les sites de rencontre qui sont disponibles 24 heures sur 24, vous avez tout le temps nécessaire pour ne pas sauter l’étape.
Votre âme sœur juive se trouve quelque part aux quatre bouts du monde, et que grâce à un simple clic, vous pouvez l’approcher virtuellement. La relation devrait avant tout s’établir en ligne, en choisissant parmi les profils répertoriés sur le site, pour éviter les mauvaises surprises. L’avantage de recourir à ce site est de rassurer les hommes juifs à la recherche de leur âme sœur de retrouver celle qui a la même religion, la même opinion et aussi le même style de vie qu’eux.
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COUTUMES ET TRADITIONS
« Tania » et « Tevilah » au carrefour de deux cultures : le mariage juif à Constantine
Par Claude Sonigo-Sicsic (publié le 3 fevrier 2014)
On vivait une époque de transition. La jeune génération était totalement occidentalisée et, en l’absence des hommes, les femmes avaient découvert, pendant la guerre, le monde du travail et l’indépendance financière, comme en France, mais certains rites judéo-arabes ancestraux qui faisaient partie intégrante de la vie traditionnelle constantinoise, s’imposaient encore.
La « Tania », le rituel païen du henné est une cérémonie traditionnelle orientale qui était célébré lors du mariage juif comme musulman. Cette vieille tradition berbère, arabe et juive, donnait lieu, chez les juifs, à une petite fête, après les fiançailles, dans la semaine précédant le mariage. On accordait au henné, rempart contre les éléments extérieurs nuisibles, des vertus de magie sympathique, une valeur médicinale, cosmétique et, en particulier chez les berbères où les tatouages au henné étaient souvent d’un grand raffinement aux signes mystérieux, un pouvoir de séduction.
La fiancée juive, habillée de rose, à l’orientale et toutes les jeunes filles à marier parentes ou amies recevaient dans le creux de la main de la pâte de henné attachée avec une gaze et un ruban rouge. Avec un louis d’or dans celui de la future mariée. La mère du marié offrait une corbeille capitonnée de satin rose avec des mules, des anneaux ouverts pour les chevilles (khelkhal) (que la jeune femme ne porterait jamais, bien entendu) et de gros serpents en or et, avec des « youyous » bien sonores, des femmes faisaient une démonstration de « danses au foulard » sur de la musique arabe. La jeune fille moderne se prêtait, parfois, un peu contrainte à ces réjouissances typiquement judéo-arabes. La danse au foulard est un art qui ne souffre pas la médiocrité.
Seules les femmes étaient conviées à ce rituel festif.
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image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/henne.mariage.application.de.henne.jpg
La corbeille capitonnée
Application de pate de hénné sur la main de la futre mariée (Photo collection personnelle Jacques Karoubi.Reproduction interdite)
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/henne.mariage.juif.ruban.jpg
La main entourrée du ruban après l'application
La « Tevilah » « l’immersion »en hébreu, et « baptême » en Grec, rituel du bain de purification, avec immersion totale, rite ancestral, dans la tradition religieuse biblique juive mais célébré à l’orientale, avait lieu au bain maure la veille du mariage. Le Vendredi après-midi avant le Shabbat, la fiancée était accompagnée au bain rituel « le Mikvé » (littéralement « collection d’eau ».) Un « mahbès », un grand pot en cuivre contenait les serviettes et le nécessaire de toilette. Une « tassa », en cuivre également, servait à s’asperger.
Après une toilette très soignée dans la salle commune du bain maure et une douche, on procédait au bain de purification « la Tévilah », à l’écart, dans une petite piscine avec des marches pour une immersion progressive, pleine d’eau « collectée » (d’où le nom Mikvé) de pluie ou de source à l’origine, pure, transparente, uniquement réservée pour les Juifs à cet usage. La jeune fille, entièrement nue, sans le moindre bijou, ni vernis à ongles, doigts écartés, rien n’empêchant le contact entre le corps et l’eau purificatrice était complètement immergée, plongée 3 fois, tête comprise, comme pour un baptême chrétien, avec bénédictions et prières, et l’intercession et l’aide d’une « ballanit ».
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La piscine pour le bain rituel
Venait ensuite la dégustation de douceurs. On distribuait des pâtisseries orientales « maison » dégoulinant de miel et des dragées à toutes les femmes présentes indifféremment juives ou pas, apparentées ou pas, toujours avec force « Youyou » !
Puis, vestige encore de mœurs anciennes, parfois avait lieu l’exposition du trousseau, mais à la sortie de la guerre, la pénurie sévissait encore, et les mœurs évoluaient.
Pour le mariage religieux, à la synagogue, la jeune mariée était parée de blanc, avec voile à longue traine et filles d’honneur avec bouquets, rubans et dentelles. Elle entrait au bras de son père, très émue au son de la marche nuptiale de Mendelssohn à l’orgue. Lors des réjouissances qui suivaient, c’est la musique moderne qui s’imposait pour les danses à la mode, avec des cavaliers qui souvent avaient retiré leurs gibus mais gardé leurs « queues de pie », dans les milieux les plus aisés.
Puis, vestige encore de mœurs anciennes, parfois avait lieu l’exposition du trousseau, mais à la sortie de la guerre, la pénurie sévissait encore, et les mœurs évoluaient.
Pour le mariage religieux, à la synagogue, la jeune mariée était parée de blanc, avec voile à longue traine et filles d’honneur avec bouquets, rubans et dentelles. Elle entrait au bras de son père, très émue au son de la marche nuptiale de Mendelssohn à l’orgue. Lors des réjouissances qui suivaient, c’est la musique moderne qui s’imposait pour les danses à la mode, avec des cavaliers qui souvent avaient retiré leurs gibus mais gardé leurs « queues de pie », dans les milieux les plus aisés.
La célébration du mariage était tout à fait caractéristique des mœurs de la population juive au carrefour de deux cultures, deux civilisations.
Pour en savoir plus sur le bain rituel, lire l'article : Le miqvé dans la tradition juive : http://harissa.com/news/article/miqv%C3%A9s-dans-la-tradition-juive
LA SOUCCAH
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/la-soucca.jpg
par Claude Sonigo-Sicsic
A la fin de l’été, sur la terrasse, dans une grande excitation joyeuse, nous célébrions Soukot « la fête des cabanes »qui commémore la vie précaire des Hébreux errant, après la sortie d’Egypte, sous des « nuées de gloire », dans le désert, pendant quarante ans. « Colonnes de nuées, le jour, et de feu, la nuit ».Précarité absolue de l’homme et protection absolue de Dieu.
« Dans la souccah, tu demeureras 7 jours ». Ainsi nous est-il ordonné (lévitique 23, 42.).
La préparation était fébrile. Les jours précédents, des Arabes circulaient dans le quartier juif avec des charrettes tirées par des mulets, pleines de roseaux et de branches de palmier. On marchandait et on achetait.
Les adultes édifiaient avec de très longs roseaux une grande cabane. Les branches de palmier qui recouvraient le toit devaient laisser apercevoir le ciel : deux tiers de branchages et un tiers de ciel.
Grand-père venait inaugurer la souccah en chantant le « Hallel » et en agitant le « loulab » dans les quatre directions et vers le haut et le bas pour signifier que Dieu est partout. Le « loulab » est une branche de palmier garnie de feuilles de saule et de myrte. Dans sa main libre, grand-père tenait un cédrat qu’il respirait profondément en demandant la protection divine.
Parmi d’autres, l’une des explications est que chacune des quatre espèces : palmier, cédrat, myrte, saule, est le symbole d’une attitude des Juifs à l’égard de l’étude de la Torah et de la pratique des « mitsvot ». L’étude de la Torah est comparée au goût et l’accomplissement des « mitsvot » à l’odeur : la datte : goût sans odeur, le cédrat : goût et odeur, le myrte : odeur sans goût, et le saule : ni goût ni odeur. Et le « loulab »est le symbole du peuple juif au-delà de toutes les différences dans la pratique- ou non- de la religion. Je ne me souviens pas que grand-père ait souvent pris là ses repas avec nous. Probablement, les prenait-il seul en revenant de la synagogue tôt le matin et le soir.
« Dans la souccah, tu demeureras 7 jours ». Ainsi nous est-il ordonné (lévitique 23, 42.).
La préparation était fébrile. Les jours précédents, des Arabes circulaient dans le quartier juif avec des charrettes tirées par des mulets, pleines de roseaux et de branches de palmier. On marchandait et on achetait.
Les adultes édifiaient avec de très longs roseaux une grande cabane. Les branches de palmier qui recouvraient le toit devaient laisser apercevoir le ciel : deux tiers de branchages et un tiers de ciel.
Grand-père venait inaugurer la souccah en chantant le « Hallel » et en agitant le « loulab » dans les quatre directions et vers le haut et le bas pour signifier que Dieu est partout. Le « loulab » est une branche de palmier garnie de feuilles de saule et de myrte. Dans sa main libre, grand-père tenait un cédrat qu’il respirait profondément en demandant la protection divine.
Parmi d’autres, l’une des explications est que chacune des quatre espèces : palmier, cédrat, myrte, saule, est le symbole d’une attitude des Juifs à l’égard de l’étude de la Torah et de la pratique des « mitsvot ». L’étude de la Torah est comparée au goût et l’accomplissement des « mitsvot » à l’odeur : la datte : goût sans odeur, le cédrat : goût et odeur, le myrte : odeur sans goût, et le saule : ni goût ni odeur. Et le « loulab »est le symbole du peuple juif au-delà de toutes les différences dans la pratique- ou non- de la religion. Je ne me souviens pas que grand-père ait souvent pris là ses repas avec nous. Probablement, les prenait-il seul en revenant de la synagogue tôt le matin et le soir.
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Nous, enfants, ne quittions plus la terrasse. Dans la vaste cabane, où table et chaises avaient été installées, nous faisions de copieuses « goûtettes »,aussi joyeuses que celles que grand’mère et ma tante Mireille organisaient pour nous, le soir de Pourim, avec un service de table miniature en verre bleu à relief « une dinette » dans le « coin du piano ». La banquette cannée du piano tenait lieu de table, et de petits tabourets bas en bois blanc paillés, de sièges. Nous avions même de petits kanouns avec des braises sur lesquels nous réchauffions nos minuscules marmites de petits pois avec boulettes de viande.
A la fin de la semaine de soukot, après le démontage de la cabane, grand’mère récupérait des roseaux pour en faire des brochettes qui marquaient la fin de la célébration, et aussi, pour nous enfants, avec la rentrée des classes, la fin des longues vacances d’été –trois mois- et des jeux sur la terrasse.
Cette fête qui termine un cycle liturgique avec la fin de la lecture annuelle de la Torah, était pour nous, écoliers, aussi la fin d’un cycle.
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/synagogue-transport-de-palmes.jpg
Transport de palmes à la synagogue de Constantine : photo transmise par Mr Jacques Nakache
LE VERRE D’EAU…
Bref extrait du livre de Alain SEKSIG "Les juifs d'Algérie" - Images et textes - Editions du Scribe - page 202
Il est des questions qu’on ne se pose pas. Qu’il ne vient à l’idée de personne de se poser. C’est comme ça. La réponse a depuis longtemps recouvert la question. Non pas violemment, mais naturellement, portée par des siècles d’habitude et de tranquille assurance ; parce qu’il n’est pas d’autre réponse envisageable à une question sans objet : « C’est comme ça. Ca a toujours été comme ça ! »
Ainsi du verre d’eau à l’instant du départ.
« Toujours, quand tu t’en vas pour quelque temps, quelque part, quelqu’un sur tes traces doit lancer un verre d’eau ».
Une fois pour toutes, un jour, les choses ainsi se disent. Et chaque fois, en de semblables occasions, le rite s’accomplit de la même façon. Simplement. Aux points de départ, quelqu’un, la mère, le plus souvent, s’approche et jette le verre d’eau. C’est comme ça. Depuis toujours. Et c’est bien ainsi.
Quelquefois pourtant l’envie s’en vient de chercher un sens à ce geste : « Sa mère lui a fait poser son pied nu sur le seuil de la maison et l’a baigné d’un peu d’eau, « Afin que ton pied se souvienne de ce seuil et t’y ramène », a-t-elle prononcé.
Semblablement, on pense que le verre d’eau est l’affaire de mémoire et de bénédiction, peut-être d’autres choses encore…
Et celui-ci qui disait : « A chacun de mes départs, tu jetteras derrière moi, tandis que je descends les escaliers, le contenu d’un broc d’eau, rite destiné à faire revenir l’être aimé, répandu chez les peuples latins et berbères, dont personne n’a pu jamais me révéler l’origine ».
Non plus qu’ailleurs, ici, nulle révélation. Tout au plus quelques propositions pour mieux comprendre et goûter « le verre d’eau »…
- Le verre d’eau à ton départ ? C’est pour assurer ton retour, nous assurer de cela, nous rassurer.
- Et chaque fois que quelqu’un part, loin et pour longtemps, on doit lui lancer le verre d’eau.
- Oui, ainsi sommes-nous sûrs qu’il reviendra, et lui aussi … L’eau essaimée aux pas de l’être aimé trace le lien, insécable.
- Mais pourquoi l’eau précisément et non des fleurs ou une poignée de semoule, par exemple ?
- b L’eau figure ici la mer. Dans son mouvement même. Cyclique : elle revient toujours après s’être retirée. Toujours après son évaporation elle réapparaît. Ainsi, par l’eau sur tes traces jetées reviendras-tu un jour au lieu de ton départ.
Ce verre d’eau lancé sur tes pas, c’est la mer qui t’y ramènera, veillant sur eux, bienveillante, protectrice, comme celle qui s’ouvrit un jour à nos ancêtres, et, se refermant sur leurs talons, assura leur marche en avant. Ce verre l’eau l’orée de ta route, d’avance on clarifie le cours, étend et pacifie son horizon, au devant comme à l’arrière de toi. Ce verre d’eau, c’est le retour autant que l’avancée possible, c’est ta liberté de mouvement assurée, la fluidité, l’aisance, la limpidité garanties de ton pas. Sa vitalité.
L’eau arrosant la terre ne donne-t-elle pas vie et le socle de l’homme n’est-il pas « plante » aussi ?
Cette eau est un tuteur. Elle guide le pas, assure sa croissance. Avant cela même, elle en est sa délivrance, elle l’autorise. Cette eau est signe, signature, sceau sublime apposé à même la terre en un geste vif et ouvert, ainsi qu’on scelle un pacte. Elle est le témoin de l’instant où tu vas bouger ; elle va le fixer, comme on le dit d’une photographie.
L’acte lui-même – le jet de l’eau – est aussi rapide que le déclic de l’appareil photos et procède du même principe : une seconde au temps volé pour en mieux prendre l’exacte mesure et en assurer la pérennité. Cet acte, il faut l’imaginer dans son accomplissement : nulle cérémonie, un geste, d’une extrême simplicité et d’une vraie grandeur, pauvre et généreux à la fois (on prend son élan pour lancer le verre d’eau), banal autant que magique. Les vertus mêmes de l’eau… Vraiment on peut aimer les fleurs et la semoule, mais le choix de l’eau coulait de source.
- Certes le geste est non sans pertinence des significations que tu en donnes. Mais qui peut témoigner de son impact ?
- On pourrait bien conter les déboires de celui à qui l’on oublia de lancer le verre d’eau ou de celui qui, tôt parti, à l’insu des siens (et un vendredi encore !) se vit à jamais soustrait à leur vue… Mais écoute plutôt : un jour que je devais partir fort loin, ma mère, sur le palier, à l’instant où, croyait-elle, je m’apprêtais à entrer dans l’ascenseur, lança le verre d’eau tandis que je me retournais une dernière fois pour la saluer. Je me trouvais trempé. Eh bien crois-moi, jamais retour ne fut plus rapide : aussi sec à la maison.
- Oui, bien sûr… Mais dis-moi, quand le dernier de la famille s’en va, qui vient sur ses pas répandre le verre d’eau ?
- Il n’est pas interdit d’initier ses voisins.
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LE HAMMAM
Par Claude SONIGO née SICSIC Extrait de son blog « les souvenirs de Claude » in « Constantine d’hier et d’aujourd’hui »
Le hammam n’était fréquenté que par des femmes arabes –la majorité – et juives.
Dans ma petite enfance, j’avais le bain maure en horreur. Celui que j’ai connu ne correspond absolument pas du tout à l’image idéalisée, esthétisante, érotisante, aseptisée mais fictive et occidentalisée qu’en donnent les peintres dits « orientalistes ».
Une fois poussée l’énorme porte en chêne avec un anneau métallique, poisseuse d’humidité, on était pris de suffocation dans une vapeur opaque, trop chaude.
La vapeur d’eau bouillante s’élevait d’une immense cuve sans cesse alimentée par des « négresses »* avec des baquets d’eau froide puisée dans une autre cuve.
Les hautes voûtes sombres renvoyaient en écho un brouhaha continu. Des trous dans la longue voûte en berceau laissaient filtrer un jour avare et, en entrant, on distinguait à peine les groupes de femmes assises sur des tabourets bas qui émergeaient peu à peu du brouillard. Dans la lumière blafarde, des ombres de femmes nues parfois couvertes d’un simple pagne, « foutah » souvent rouge à bandes noires, circulaient fantomatiques.
Un cercle de l’enfer de Dante !
Des femmes noires sans âge, énergiques, très maigres, aux membres noueux, nous frottaient le corps avec de l’alfa et du savon et la tête avec du « ghassoul », cette argile minérale naturelle, saponifère, extraite des montagnes de l’Atlas marocain, devenue aujourd’hui à la mode, ou du savon de Marseille puis rinçage à l’eau vinaigrée. Elles nous briquaient, leurs mamelles sèches pendantes oscillant à chaque secousse.
Des femmes s’épilaient avec une pâte verdâtre, soufrée, malodorante dont elles s’enduisaient tout le corps.
Les chevelures étaient recouvertes d’une pâte de henné qui coulait en traînées rouges sur les fronts et les cous dégoulinant de sueur.
On glissait sur un sol gras et mouillé qui charriait en permanence de l’eau savonneuse et des touffes de cheveux. L’humidité rongeait tout. Des odeurs de soufre et d’égout flottaient partout.
Mais j’appréhendais surtout le rinçage final et l’eau puisée dans un baquet de bois fumant déversée sur ma tête avec une « tassa » en cuivre. J’avais du savon et de l’eau plein les yeux et le nez. Je pleurais, je me débattais, mais la femme me tenait en étau entre ses genoux.
Plus tard, adolescente et adulte, j’ai aimé le bain maure et la sensation d’être lavée de tout, purifiée, ressourcée après une séance d’intense transpiration et de rinçages abondants répétés. Je me suis même prêtée parfois aux massages de ces femmes, malheureuses esclaves venues de l’Afrique subsaharienne, qui pratiquaient aussi les massages, à même le sol, après avoir balancé, d’un geste ample, un plein seau d’eau, pour faire place nette.
Je ne réalise qu’aujourd’hui la dure condition de ces femmes, contraintes d’accepter ce « gagne-misère » qui desséchait leurs chairs et momifiait leur peau noire.
Après la guerre, de petits bassins de pierre individuels, parfois avec robinetterie, avaient remplacé les baquets de bois cerclés de mon enfance. L’espace avait été un peu compartimenté et, me semble-t-il, l’hygiène mieux respectée.
Note :* Négresse : ce vocable ne doit pas choquer dans ce contexte. Le vocabulaire évolue comme les réalités et les mentalités. Martin Luther king lui-même est passé du terme « negro » à celui de « black »(avec le « black power ») et pourtant en latin « niger » ne signifie que « noir », mais « nègre » est resté connoté « esclavage »et « trafic triangulaire ».
Dans ma petite enfance, j’avais le bain maure en horreur. Celui que j’ai connu ne correspond absolument pas du tout à l’image idéalisée, esthétisante, érotisante, aseptisée mais fictive et occidentalisée qu’en donnent les peintres dits « orientalistes ».
Une fois poussée l’énorme porte en chêne avec un anneau métallique, poisseuse d’humidité, on était pris de suffocation dans une vapeur opaque, trop chaude.
La vapeur d’eau bouillante s’élevait d’une immense cuve sans cesse alimentée par des « négresses »* avec des baquets d’eau froide puisée dans une autre cuve.
Les hautes voûtes sombres renvoyaient en écho un brouhaha continu. Des trous dans la longue voûte en berceau laissaient filtrer un jour avare et, en entrant, on distinguait à peine les groupes de femmes assises sur des tabourets bas qui émergeaient peu à peu du brouillard. Dans la lumière blafarde, des ombres de femmes nues parfois couvertes d’un simple pagne, « foutah » souvent rouge à bandes noires, circulaient fantomatiques.
Un cercle de l’enfer de Dante !
Des femmes noires sans âge, énergiques, très maigres, aux membres noueux, nous frottaient le corps avec de l’alfa et du savon et la tête avec du « ghassoul », cette argile minérale naturelle, saponifère, extraite des montagnes de l’Atlas marocain, devenue aujourd’hui à la mode, ou du savon de Marseille puis rinçage à l’eau vinaigrée. Elles nous briquaient, leurs mamelles sèches pendantes oscillant à chaque secousse.
Des femmes s’épilaient avec une pâte verdâtre, soufrée, malodorante dont elles s’enduisaient tout le corps.
Les chevelures étaient recouvertes d’une pâte de henné qui coulait en traînées rouges sur les fronts et les cous dégoulinant de sueur.
On glissait sur un sol gras et mouillé qui charriait en permanence de l’eau savonneuse et des touffes de cheveux. L’humidité rongeait tout. Des odeurs de soufre et d’égout flottaient partout.
Mais j’appréhendais surtout le rinçage final et l’eau puisée dans un baquet de bois fumant déversée sur ma tête avec une « tassa » en cuivre. J’avais du savon et de l’eau plein les yeux et le nez. Je pleurais, je me débattais, mais la femme me tenait en étau entre ses genoux.
Plus tard, adolescente et adulte, j’ai aimé le bain maure et la sensation d’être lavée de tout, purifiée, ressourcée après une séance d’intense transpiration et de rinçages abondants répétés. Je me suis même prêtée parfois aux massages de ces femmes, malheureuses esclaves venues de l’Afrique subsaharienne, qui pratiquaient aussi les massages, à même le sol, après avoir balancé, d’un geste ample, un plein seau d’eau, pour faire place nette.
Je ne réalise qu’aujourd’hui la dure condition de ces femmes, contraintes d’accepter ce « gagne-misère » qui desséchait leurs chairs et momifiait leur peau noire.
Après la guerre, de petits bassins de pierre individuels, parfois avec robinetterie, avaient remplacé les baquets de bois cerclés de mon enfance. L’espace avait été un peu compartimenté et, me semble-t-il, l’hygiène mieux respectée.
Note :* Négresse : ce vocable ne doit pas choquer dans ce contexte. Le vocabulaire évolue comme les réalités et les mentalités. Martin Luther king lui-même est passé du terme « negro » à celui de « black »(avec le « black power ») et pourtant en latin « niger » ne signifie que « noir », mais « nègre » est resté connoté « esclavage »et « trafic triangulaire ».
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LE MATELASSIER
Par Claude SONIGO née SICSIC Extrait de son blog « les souvenirs de Claude » in « Constantine d’hier et d’aujourd’hui »
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/photo-matelassier.jpg
Au printemps, sur la terrasse, deux ou trois jours au moins étaient réservés à la réfection des matelas de laine avachis et tachés. Les jeunes enfants adorent grimper sur les lits, faire sauts et cabrioles, culbutes et roulés boulés jusqu’à la lourde chute au sol. Paul avait mis au point un périlleux numéro de Tarzan. Il sautait, en poussant le cri fameux de Johnny Weissmuller, avec une liane imaginaire, du haut d’une grosse armoire sur laquelle il se hissait depuis la tablette en marbre de la cheminée, directement sur un des lits de la chambre des enfants. Sous le choc, le sommier métallique à ressorts s’écrasait en grinçant jusqu’au sol. Josiane et moi, peu fidèles Chitas nous contentions de sauter depuis la cheminée. Chez mes grands parents, matelas et sommiers étaient très malmenés.Le matelassier, un vieil artisan Juif, arrivait, parfois aidé de sa femme, avec sa cardeuse à main démontée et une mallette en bois, très tôt le matin.
Toute la matinée, dans la poussière et une légère persistante odeur de suint libérée par le cardage, assis sur l’arrière de la cardeuse, il introduisait d’une main la laine, de l’autre il actionnait le balancier en bois muni de gros clous, dans un mouvement régulier de va-et-vient pour aérer la laine tassée et jaunie des matelas éventrés. Il étalait ensuite les flocons de laine souple, mousseuse, soyeuse et débarrassée des impuretés sur un grand drap blanc déployé sur les tomettes rouges du sol.
L’après-midi, commençait la confection du nouveau matelas avec une toile neuve rayée, plus tard damassée bleue ou jaune et la laine cardée bien répartie sur la toile pour un matelas équilibré et moelleux. Après le remplissage, commençait le long et minutieux travail de couture. Avec deux longues aiguilles recourbées et du gros fil de coton, assis en tailleur à même le sol devenu très chaud, il cousait les bourrelets des bordures pour maintenir la laine sur les côtés. Puis, pour la maintenir à l’intérieur, le capitonnage : sur les œillets, de petits carrés d’étoffe repliée. Les capitons de tissus-une cinquantaine environ pour un grand matelas- étaient reliés par deux avec le fil à travers le matelas.
La vieille toile, lavée et repassée était souvent réutilisée ou servait de protection sur le matelas rénové, ou à isoler le matelas du sommier métallique à ressorts parfois un peu piqué de rouille.
Sous la chaleur, c’était de longues et dures journées pour cet artisan qui transpirait sous la casquette que, pour se conformer à la loi juive, il n’ôtait
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/phoo-cardeuse-en-bois.jpg
jamais. Grand’mère n’aimait pas nous voir tourner autour de lui dans la poussière de laine. Elle nous autorisait seulement à lui apporter son frugal repas. Il se nourrissait essentiellement, sobre comme les fellahs des terres arides, de pain à l’huile, d’oignons, d’olives et de quelques figues ou dattes, avec, à sa portée, sa petite gargoulette d’eau fraîche. Il consentait parfois à boire un peu de café, au lait le plus souvent. Aux heures les plus chaudes, au plein soleil de la terrasse, les murs ne projetant plus aucune ombre, un grand mouchoir de Cholet aux larges rayures mauves, retenu sous sa casquette, protégeait sa nuque et une partie de son visage.En fin de journée, la fatigue s’inscrivait en larges cernes gris sur ses joues. Il descendait les matelas considérablement rehaussés, prêts pour le trampoline. Puis il démontait sa cardeuse et la rangeait dans un coin jusqu’au lendemain.
Longtemps, j’ai utilisé une très longue pièce d’un robuste tissu bleu damassé d’un ancien matelas. J’y ai renoncé quand elle a été hors d’usage pour un vrai molleton de protection acheté sous plastique qui recouvre désormais un matelas industriel en latex sur sommier à lattes dit « tapissier ».
Aujourd’hui, ces cardeuses en bois mues par la main de l’homme, avec leur curieuse planche balancier hérissée de gros clous sous laquelle passait la laine, ne se trouvent plus que chez les antiquaires, dans les écomusées ou comme l’alambic ou la sorbetière de ma grand’mère dans le musée de nos souvenirs d’enfant.
La distillation de l'eau de fleur d'oranger et de l'eau de rose
Par Claude SONIGO née SICSIC Extrait de son blog « les souvenirs de Claude » in « Constantine d’hier et d’aujourd’hui »
LA JOURNEE ROSE
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/flacon-pour-l-eau-de-fleur-d-oranger-1.jpg
La distillation de l'eau de fleur d'oranger et de l'eau de rose était un rituel que nous célébrions, au printemps, comme une fête païenne, dans la joie, à la maison inondée de parfums.
Les Arabes, au marché, vendaient d'énormes sacs de délicates fleurs blanches ou rose pâle d'oranger bigaradier et de pétales de roses.
Jeune, grand'mère, vraie prêtresse de Flore, s'habillait de rose, pour l'occasion, avec un foulard rose sur la tête. Plus tard, elle se contentait de nouer un ruban rose sur l'alambic (kattar) en zinc que l'on remontait de la cave une fois par an. A même le sol, sous l'alambic, un kanoun au charbon.
Au fur et à mesure que grand'mère recueillait l'extrait, elle étiquetait les flacons pour en indiquer la concentration: première bouteille, deuxième bouteille etc...Et elle suivait un "seder", un ordre rituel immuable: elle commençait toujours par l'eau de fleur d'oranger.
Au fur et à mesure que grand'mère recueillait l'extrait, elle étiquetait les flacons pour en indiquer la concentration: première bouteille, deuxième bouteille etc...Et elle suivait un "seder", un ordre rituel immuable: elle commençait toujours par l'eau de fleur d'oranger.
Une montagne de pétales et fleurs odorants sur un drap blanc au milieu de la cuisine, un alambic enrubanné de rose, la vapeur qui se condensait en gouttelettes qui roulaient dans le serpentin et, le soir, des flacons remplis d'une eau parfumée, c'était, pour nous, enfants, un enchantement, une journée magique: "la journée rose".
L'eau de fleur d'oranger « al maa zhar », « l’eau de chance » servait à adoucir le café, à parfumer les pâtisseries et les grenades de Roch Hachana, et à certains rituels religieux.
L'eau de fleur d'oranger « al maa zhar », « l’eau de chance » servait à adoucir le café, à parfumer les pâtisseries et les grenades de Roch Hachana, et à certains rituels religieux.
Le “m'reuch” l'aspersoir en argent massif ciselé et repoussé était en permanence sur le buffet rempli d'eau de fleur d'oranger pour le café. On en aspergeait les convives et les fidèles pendant les festivités et à la sortie de la synagogue. L’équivalent en quelque sorte du goupillon et de l'eau bénite, chez les chrétiens.
Pour les “Bar Mitsva” (littéralement “fils de la loi”) et pour “Simhat Torah” (la “joie de la Torah”) fête qui clôt la lecture annuelle du Pentateuque, marquée par des chants et des danses, les femmes, depuis le balcon où elles étaient tenues séparées des hommes à la synagogue, jetaient des dragées et aspergeaient les fidèles d'eau de fleur d'oranger.
Pour les “Bar Mitsva” (littéralement “fils de la loi”) et pour “Simhat Torah” (la “joie de la Torah”) fête qui clôt la lecture annuelle du Pentateuque, marquée par des chants et des danses, les femmes, depuis le balcon où elles étaient tenues séparées des hommes à la synagogue, jetaient des dragées et aspergeaient les fidèles d'eau de fleur d'oranger.
Le “Chemache”, le bedeau, gardien de la synagogue, en versait aussi sur la main des fidèles, à la sortie.
Tous ces rites conféraient un caractère sacré à la fabrication de l'eau de fleur d'oranger.
Je possède un très beau “m'reuch” en argent massif, hérité de mes beaux-parents S…, mais je ne lui ai pas trouvé d’usage. Il est désaffecté. Aujourd'hui, en Israël, mon oncle Paul dit qu'on utilise de l'eau de Cologne à la synagogue. C'est banal et le rituel est vidé du symbolisme poétique de la fleur d'oranger.
Quant à l'eau de rose, « al maa ward », que Saladin fit transporter à Jérusalem reprise aux Croisés en 1187 par une caravane de 500 chameaux pour purifier la mosquée d’Omar et avec laquelle Mehmed II, en 1453, purifia l’Eglise byzantine de Constantinople avant de la convertir en mosquée, nous la réservions modestement à l'hygiène et à la toilette. On lui accordait des vertus adoucissantes pour les fesses rougies des bébés, les yeux congestionnés et toute sorte de petites misères de l'épiderme. Elle était le complément de l'huile d'amande douce et servait aussi de démaquillant pour les nez poudrés de la volatile poudre de riz rose qui se répandait en nuages même sur les cils et sourcils. Le poudrier avec sa petite glace et sa houppette de cygne était l'accessoire de maquillage indispensable et l'objet de toutes les convoitises pour les petites filles. On offrait un poudrier comme on offrait un bijou. Il y en avait de très précieux. Mais quand je suis arrivée à l'âge adulte, la poudre de riz et son “pompon” étaient passés de mode.
Et notre alambic et ses pétales parfumés remisés dans le Musée de nos souvenirs.
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LE FOUR A PAIN
Par Claude SONIGO née SICSIC Extrait de son blog « les souvenirs de Claude » in « Constantine d’hier et d’aujourd’hui »
LE FOUR BANAL Constantine. Années 1940. ..
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Pendant la guerre, on ne délivrait de pain dans les boulangeries que contre des tickets de rationnement. Aussi, nous mangions, tous les jours, du “pain de maison” longuement pétri dans la grande “kesra” en bois d’olivier, confectionné avec de la semoule fine et non de la farine et un levain que grand'mère préparait elle-même en laissant fermenter un morceau de pâte très molle prélevé d’un pétrissage précédent.
Le pain du Vendredi soir et Samedi, du shabbat, était badigeonné au jaune d'œuf pour lui donner un air de fête.
Les pains, les gâteaux, les gratins étaient cuits au four banal tenu par un Arabe au coin de la rue Thiers très pentue, en haut d'une série d'escaliers, en sous-sol, face à la grande synagogue de Sidi Fredj, le grand rabbin du département de Constantine.
Au-dessus du four, un bordel public fréquenté par des fantassins du troisième zouave qui faisaient le pied de grue, en face, attendant leur tour, sur le signal, à travers une petite lucarne, d’une portière maquerelle.
Rencontre improbable, sur le même trottoir, des fidèles de la « Maison de Dieu »et de ceux de la « maison de tolérance ». Mais « les desseins de la Providence sont impénétrables! »
Au four donc, on apportait de longs plateaux de tôle noire chargés de pains ou de gâteaux, le plus souvent sur la tête, des gratins aussi et je me rebiffais contre cette corvée.
Les veilles de fêtes et de Shabbat, des théories d'enfants souvent très modestes, attendaient leur tour, leur plateau sur la tête, résignés.
Parfois, des femmes, savates aux pieds, arrivaient au four en continuant à battre à la fourchette ou au fouet leur biscuit de Savoie pour empêcher la pâte de retomber.
Au four banal, en contrebas de la rue, l'homme, un Arabe plutôt jeune, glabre, à l'allure nonchalante, à l'air un peu hautain ou détaché, forme que prend parfois la patience, pieds nus sur de grandes nattes de crin qu'il nous était interdit de fouler, alimentait le feu avec des fagots de lentisque odorant. On entendait ronfler le brasier dans le four quand il ouvrait la lucarne. Il maniait en expert une pelle en bois d'olivier plate avec un très long manche. Il enfournait ou déplaçait sans cesse, sur la sole du four, plus ou moins près du foyer, les pains et plateaux de petits gâteaux pour une cuisson parfaite. Il les déposait ensuite, toujours avec sa pelle, en les faisant glisser par petites secousses horizontales, brûlants, dorés à point, directement sur les nattes pour les laisser refroidir. Le fournier ne se trompait jamais sur les propriétaires de tout ce qu'on lui confiait à cuire.
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Il y avait des pains de toutes les formes mais pas de pains tressés, cette coutume de la halah tressée pour le shabbat ne semble pas être parvenue jusqu’à nous à Constantine, à cette époque-là. Assurément, nous ignorions que Dieu avait paré de tresses la chevelure d’Eve avant de la présenter à Adam.
Certaines familles marquaient les pains de leur sceau : des incisions sur la pâte, des trous de fourchette, des empreintes de doigts, des dessins linéaires, des fleurs, des étoiles de pâte sculptée, des graines de sésame, d’anis ou de pavot. Grand’mère faisait pour nous de petits pains en forme de poissons et souvent de petits pains ronds au chocolat ou aux noix.
Au retour du four, on transportait le pain cuit dans des serviettes attachées aux quatre coins. Les plateaux, empruntés au four, avaient été restitués.
L'odeur mêlée de bois brûlé, de pain chaud à l'anis et de pâtisseries parfumées nous raccompagnait jusqu’à la maison.
Nous remontions, chargés, les quatre étages bruyamment, en léchant parfois le chocolat fondu qui avait coulé à la surface de nos petits pains. Grand’mère, qui guettait, nous attendait en haut des escaliers, impatiente.
LE MOUTON DE PÂQUE : Constantine 1941
par Claude SONIGO née SICSIC
Un agneau contre 3 mètres de tissu.
Un agneau contre 3 mètres de tissu.
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Au Printemps 1941 ou 1942, sur cette terrasse, nous avons nourri, pendant deux mois, un agneau. Georges l’avait échangé contre 3mètres de tissu chez un paysan arabe. Il l’avait, à vélo, transporté sur ses épaules, à la façon des bergers des santons des crèches de Provence. Puis, au milieu des cris d’excitation des enfants de l’immeuble, avec l’animal sidéré toujours sur ses épaules, il avait monté les 5 étages à pied jusqu’à la terrasse.
C’était la guerre et ses privations : pas d’essence, pas d’auto, et avec un «administrateur aryen » imposé au magasin de tissus de mon grand-père, si peu d’argent mais encore quelque tissu. Et Pessah à célébrer !
C’était la guerre et ses privations : pas d’essence, pas d’auto, et avec un «administrateur aryen » imposé au magasin de tissus de mon grand-père, si peu d’argent mais encore quelque tissu. Et Pessah à célébrer !
L’agneau courait vers nous, dès que nous ouvrions la porte de la terrasse, les bras chargés de fanes de carottes ou de poireaux et d’herbes souvent cueillies sur les pentes du Rhumel par Hocine ou Joseph.
Nous avions pris l’habitude de jouer avec cet agneau, de caresser sa toison touffue et bouclée, à la puissante odeur de suint, et oublié qu’il était destiné au sacrifice de Pâque.
Le jour où on l’a emmené, nous, enfants, étions tous désespérés. La veille du sacrifice, Joseph l’avait descendu de la terrasse et enfermé dans les WC de l’appartement.
Dans la cuisine, un boucher rituel, un « Shohet » : Rabbi Sion Ch… est venu le sacrifier. –J’ai trouvé, par hasard, la reproduction d’une photo où ce rabbi est décoré par un officiel.
Nous avions pris l’habitude de jouer avec cet agneau, de caresser sa toison touffue et bouclée, à la puissante odeur de suint, et oublié qu’il était destiné au sacrifice de Pâque.
Le jour où on l’a emmené, nous, enfants, étions tous désespérés. La veille du sacrifice, Joseph l’avait descendu de la terrasse et enfermé dans les WC de l’appartement.
Dans la cuisine, un boucher rituel, un « Shohet » : Rabbi Sion Ch… est venu le sacrifier. –J’ai trouvé, par hasard, la reproduction d’une photo où ce rabbi est décoré par un officiel.
Un kanoun avec de la cendre pour recueillir le sang et une grande cuvette étaient prêts. Nous, les enfants, avons fui au bout du couloir, refusé de toucher aux côtelettes et même de regarder l’os d’agneau du plateau du Seder pendant la lecture de la haggadah. Nous n’étions pas des Cannibales !
Selon l’usage, grand’mère dut tremper sa main dans le sang et l’appliquer sur la porte d’entrée pour y laisser l’empreinte. Cette pratique qui peut paraître barbare et primitive est un salmigondis d’héritage de rituels sacrificiels de la religion juive primitive avec le souvenir de la sortie d’Egypte et des linteaux des maisons marqués du sang des agneaux sacrifiés pour que Dieu épargne ces maisons, et que « l’ange de la mort » « passe au- dessus »( « Pass over »en anglais et aussi la racine hébraïque de « pessah ») sans s’arrêter –offrandes rituelles liées au sang versé – et de traditions culturelles plutôt islamiques : le 5 protecteur, la « main de Fatma », le « hamsa » arabo-judéo- berbère. En tout cas, pour nous, «cela portait bonheur » comme « portait bonheur » l’os du mouton du plateau du Seder que nous gardions toute l’année au-dessus d’une armoire. « C’est comme ça ! » tenait lieu d’explication.
Selon l’usage, grand’mère dut tremper sa main dans le sang et l’appliquer sur la porte d’entrée pour y laisser l’empreinte. Cette pratique qui peut paraître barbare et primitive est un salmigondis d’héritage de rituels sacrificiels de la religion juive primitive avec le souvenir de la sortie d’Egypte et des linteaux des maisons marqués du sang des agneaux sacrifiés pour que Dieu épargne ces maisons, et que « l’ange de la mort » « passe au- dessus »( « Pass over »en anglais et aussi la racine hébraïque de « pessah ») sans s’arrêter –offrandes rituelles liées au sang versé – et de traditions culturelles plutôt islamiques : le 5 protecteur, la « main de Fatma », le « hamsa » arabo-judéo- berbère. En tout cas, pour nous, «cela portait bonheur » comme « portait bonheur » l’os du mouton du plateau du Seder que nous gardions toute l’année au-dessus d’une armoire. « C’est comme ça ! » tenait lieu d’explication.
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La fête du dernier soir de Pessah, avec les crêpes épaisses au beurre et au miel confectionnées par grand’mère sur de grandes plaques bombées de tôle noire, accompagnées d’un délicieux « l’ben », le petit lait, les fleurs dites « gouttes de sang »qui couvraient la table avec de jeunes épis de blé, les fèves fraîches d’un vert très
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clair plantées bien verticales dans de la semoule avec des louis d’or, symboles dans tout le Maghreb de prospérité et de fécondité par l’abondance de leurs fleurs et le nombre de graines que contiennent leurs grosses gousses, cette fête donc nous réconciliait avec Pâque, son mouton, ses galettes indigestes et nous faisait presque oublier « notre » mouton .A Constantine, le « pain azyme » était une galette très épaisse, très dure, et particulièrement indigeste. Une fois l’an, seulement, la Fabrique Zarka la produisait. Certaines familles, comme celle de la tante Eugénie dite « Zeiro », la sœur de ma grand’mère, la fabriquaient elles-mêmes.
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On était obligé de piler cette galette très fine pour le café au lait qui prenait la consistance du ciment, plus grossièrement pour les potages et autres usages. Le pilon de cuivre était l’accessoire indispensable pour la galette de Pessah, et le pilage une corvée partagée. A table, on laissait la galette tremper dans l’eau, comme la « soupe » des paysans de jadis, qui, dans des maies en bois, conservaient leur pain toute l’année.Pour le trempage, une grande coupe en faïence à grosses fleurs rouges qui faisait partie de la vaisselle réservée pour
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Pâque, pleine d’eau, était prévue à table. Une des fantaisies de Paul fut d’y prendre son café au lait du matin. Le jour où, après avoir bien tassé sa galette pilée, il remplit par erreur la coupe de petit lait au lieu de lait, avec le café, la mixture était si écœurante qu’il renonça définitivement même à la coupe à fleurs rouges.Une année, j’étais très petite, cette galette béton m’a rendue si malade que mon grand-père, esprit ouvert et tolérant, a dit : « apportez lui du pain ! ».
A Oran, la galette était plus acceptable que celle de Constantine.
Après le débarquement des Américains, seulement, en Novembre 1942, nous avons découvert que la galette de Pessah pouvait être fine et comestible.
Aujourd’hui, le pain azyme « Rosinski frères »est presque une friandise et beaucoup en mangent toute l’année.
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En savoir plus sur http://www.judaicalgeria.com/pages/arts-cultures-et-traditions/coutumes-et-traditions.html#u0XKibAlfTTW4jiP.99
http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/mariage-gay-lesbienne/20130621.OBS4168/mariage-pour-tous-11-nationalites-interdites-de-noces.html
Mariage pour tous : 11 nationalités interdites de noces
Une circulaire du ministère de la Justice interdit aux ressortissants homosexuels de Pologne, du Maroc, de Tunisie et d'Algérie de se marier en France.
La loi sur le mariage pour tous est validée sans réserve par le Conseil constitutionnel. (KENZO TRIBOUILLARD/AFP)
Le mariage pour tous ne sera pas pour eux. Les citoyens homosexuels de 11 pays ne pourront pas se marier en France avec un citoyen français,révèle le site StreetPress vendredi 21 juin. Le site a déniché une circulaire du ministère de la Justice, signée Christiane Taubira, qui précise que les ressortissants de Pologne, du Maroc, de Bosnie-Herzégovine, du Monténégro, de Serbie, du Kosovo, de Slovénie, de Tunisie, d’Algérie, du Laos et du Cambodge ne pourront pas bénéficier du mariage pour tous.
"Ainsi, lorsqu'un mariage sera envisagé entre deux personnes de même sexe, dont l'un des futurs époux est ressortissant de l'un de ces pays, l'officier de l’état civil ne pourra célébrer le mariage. En cas de difficultés, il conviendra que l’officier de l’état civil interroge le procureur de la République territorialement compétent", peut-on lire dans la circulaire.
En cause, les conventions qui ont été conclues avec ces 11 pays. Le ministère de la justice confirme la disposition et renvoie la balle au quai d’Orsay : "La révision de ces accords relève du ministère des Affaires étrangères".
"Cette circulaire est déplorable", juge Elisabeth Ronzier, présidente de SOS Homophobie interrogé par StreetPress. Pour Thomas Fouquet-Lapar, de l’Ardhis (Association pour la reconnaissance des Droits des personnes homosexuelles et transsexuelles à l'immigration et au séjour), "on est clairement face à 'une nouvelle discrimination'".
L'affaire n'est pas passée inaperçue auprès de trois parlementaires qui ont déjà déposés des questions au gouvernement sur le sujet. "Sans réponse", conclut StreetPress.
P.L. - Le Nouvel Observateur
http://www.bladi-dz.com/articles/1462/1/Un-juif-dirige-la-priere-dans-lune-des-mosquees-dAlgerie/Page1.html
Un juif dirige la prière dans l’une des mosquées d’Algérie
- Par El Khabar
- Publié 27/03/2008
- Actualité Algérie
- Noté:
Une des histoires les plus étranges sur l’infiltration du courant islamiste
La vie d’une famille algérienne est devenue un enfer à cause du chef de famille dont le cas a été découvert par hasard. En effet, il a été avéré que « l’imam Daoud » est en fait de confession juive, et qu’il a trompé de nombreuses personnes jusqu’au point de diriger la prière dans une mosquée qui se trouve dans les limites ouest de la capitale. Ceci n’est pas le scénario d’un film d’espionnage, mais bien un fait réel, avec le témoignage de la célèbre avocate Fatma Zohra Ben Brahim qui a plaidé en faveur de la femme de « l’imam juif » pour qu’elle obtienne le divorce.
Dans un entretien avec El Khabar, l’avocate a insisté sur le fait que la mise en lumière de cet incident dangereux va de paire avec la nécessité d’attirer l’attention des parties concernées sur le danger du mariage mixte à l’ombre des « facilitations » apportées par le dernier amendement du code de la famille dans son article 31, qui stipule : « le mariage de la musulmane avec un non-musulman est interdit provisoirement après qu’il ait été interdit dans l’absolu ».
Les détails de l’affaire remontent, selon la version de l’avocate Ben Brahim, aux années 90 lorsque la victime jouissait encore de sa vie conjugale et remplissait convenablement son rôle de bonne épouse, ce qui l’amenait à exécuter les demandes étranges de son mari qui lui demandait chaque samedi de préparer un plat de couscous avec du lait caillé sans préparer de sauce, et il lui recommandait également de rincer un voile bleu et de l’étendre sous le soleil. Le plus important est qu’il lui interdisait d’apparaître devant ses invités ou même de s’approcher de la pièce où ils se trouvaient. Avec le temps, la malheureuse a compris que son mari activait secrètement dans le parti dissous, d’autant plus qu’il portait une barbe.
Cependant, les choses ont pris subitement une drôle de tournure un samedi lorsque la benjamine de l’épouse a eu une forte diarrhée, ce qui a nécessité
de la transporter vers les toilettes de la maison qui se trouvent près de la salle des invités, et c’est là que l’épouse a été surprise d’entendre des paroles incompréhensibles provenant de cette pièce.
Devant la gravité de la situation, la malheureuse a contacté son frère pour l’informer de ce qu’elle a entendu et les services de sécurité ont été contactés, ces derniers ont chargé l’épouse de placer un magnétophone à l’intérieur d’un vase dans la salle des invités, et quelle fut la surprise après l’analyse de la casette, car l’époux-imam était en fait un juif qui exerçait avec ses invités les cultes juifs chaque samedi.
Il s’est avéré qu’il ordonnait à sa femme de placer un voile bleu pour indiquer à ses invités que le lieu est sûr, alors que la plat de couscous sans sauce s’explique par le fait que les juifs n’allument pas de feu et ne mangent pas de viande le samedi, mais ce qui est préoccupant est la manière avec laquelle il a pu s’échapper avec son groupe lorsque les services de sécurité ont essayé de l’arrêter ? Lorsque l’avocate Ben Brahim a été interrogée sur le sujet elle a déclaré : « c’est la question à laquelle je n’ai pas trouvé de réponse. La famille de ma cliente m’a informée qu’elle n’a pas vu le mari en fuite depuis que son cas a été découvert ». L’avocate Ben Brahim a ajouté « la plainte a été déposée pour le motif de l’abandon familial, et après avoir adressé plusieurs correspondances au mari à l’adresse conjugale sans réponse, la victime a obtenu la feuille du divorce ».
Dans le même contexte, El Khabar a interrogé un expert militaire à la retraite sur la réalité de « l’infiltration » des groupes armés par des personnes de religion et de nationalité étrangère, et il a assuré « l’existence d’infiltrations de ce genre, car des étrangers ont effectivement été déférés devant la justice pour des affaires similaires ».
R. Belaâmri
Dans un entretien avec El Khabar, l’avocate a insisté sur le fait que la mise en lumière de cet incident dangereux va de paire avec la nécessité d’attirer l’attention des parties concernées sur le danger du mariage mixte à l’ombre des « facilitations » apportées par le dernier amendement du code de la famille dans son article 31, qui stipule : « le mariage de la musulmane avec un non-musulman est interdit provisoirement après qu’il ait été interdit dans l’absolu ».
Les détails de l’affaire remontent, selon la version de l’avocate Ben Brahim, aux années 90 lorsque la victime jouissait encore de sa vie conjugale et remplissait convenablement son rôle de bonne épouse, ce qui l’amenait à exécuter les demandes étranges de son mari qui lui demandait chaque samedi de préparer un plat de couscous avec du lait caillé sans préparer de sauce, et il lui recommandait également de rincer un voile bleu et de l’étendre sous le soleil. Le plus important est qu’il lui interdisait d’apparaître devant ses invités ou même de s’approcher de la pièce où ils se trouvaient. Avec le temps, la malheureuse a compris que son mari activait secrètement dans le parti dissous, d’autant plus qu’il portait une barbe.
Cependant, les choses ont pris subitement une drôle de tournure un samedi lorsque la benjamine de l’épouse a eu une forte diarrhée, ce qui a nécessité
Devant la gravité de la situation, la malheureuse a contacté son frère pour l’informer de ce qu’elle a entendu et les services de sécurité ont été contactés, ces derniers ont chargé l’épouse de placer un magnétophone à l’intérieur d’un vase dans la salle des invités, et quelle fut la surprise après l’analyse de la casette, car l’époux-imam était en fait un juif qui exerçait avec ses invités les cultes juifs chaque samedi.
Il s’est avéré qu’il ordonnait à sa femme de placer un voile bleu pour indiquer à ses invités que le lieu est sûr, alors que la plat de couscous sans sauce s’explique par le fait que les juifs n’allument pas de feu et ne mangent pas de viande le samedi, mais ce qui est préoccupant est la manière avec laquelle il a pu s’échapper avec son groupe lorsque les services de sécurité ont essayé de l’arrêter ? Lorsque l’avocate Ben Brahim a été interrogée sur le sujet elle a déclaré : « c’est la question à laquelle je n’ai pas trouvé de réponse. La famille de ma cliente m’a informée qu’elle n’a pas vu le mari en fuite depuis que son cas a été découvert ». L’avocate Ben Brahim a ajouté « la plainte a été déposée pour le motif de l’abandon familial, et après avoir adressé plusieurs correspondances au mari à l’adresse conjugale sans réponse, la victime a obtenu la feuille du divorce ».
Dans le même contexte, El Khabar a interrogé un expert militaire à la retraite sur la réalité de « l’infiltration » des groupes armés par des personnes de religion et de nationalité étrangère, et il a assuré « l’existence d’infiltrations de ce genre, car des étrangers ont effectivement été déférés devant la justice pour des affaires similaires ».
R. Belaâmri
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Le premier site de rencontres pour les célibataires juifs
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Le site juif de rencontre JDate.fr sur les panneaux JC Decaux : Il fallait oser, JDate.fr l’a fait !
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LA CAMPAGNE
Du 29 octobre au 4 novembre 2013 votre site juif de rencontre JDate.fr s’est affiché sur les réseaux nationaux d’affichage JC Decaux.
Cette campagne s’adressait aux célibataires juifs français de toute tendance et avait pour objectif d’installer le label JDate.fr en France.
Colorée, digitale, optimiste, romantique, simple, rafraichissante, cette campagne que vous avez probablement aperçue dans vos rues faisait appel à un langage universel. Campagne de dimension européenne, le même créatif a été également exposé sur les panneaux d’affichage londoniens.
En France, JDate s’est affiché dans le 16e, 17e, 8e, 19eainsi qu’à Vincennes, Nogent sur Marne, Saint Mandé, Saint Maur des Fosses, Joinville, Neuilly, Champigny
« Nous espérons que cette campagne plein d’espoir donnera aux célibataires juifs de France l’envie de se connecter à JDate.fr et d’y découvrir l’amour » a expliqué Daniella Perlstein, Vice- Présidente JDate International à la presse française.
Pour la première fois l’étoile de David a été associée au concept de l’amour en France. Pour la première fois un site destiné aux Célibataires juifs de France s’affichait dans l’hexagone !
JDate, lieu de rencontres sécurisées pour des milliers de célibataires juifs dans le monde, a contribué à nouer des liens amicaux et amoureux entre les juifs du monde. 750 000 juifs à travers le monde sont connectés à JDate pour y trouver l’amour.
La mission de JDate est de renforcer la communauté juive et de s’assurer que les traditions juives soient maintenues pour les générations à venir.
Selon une étude – commandée par JDate à une société de recherche indépendante, ResearchNow JDate est responsable de 52% des mariages juifs ayant commencé sur internet. JDate est à ce jour, le site juif de rencontre qui enregistre le plus de sucess stories au sein de la communauté juive à travers le monde.
Le site JDate.fr a été lancé en 2007 en France et compte plusieurs milliers de membres inscrits. Il a noué divers partenariats avec les centres communautaires juifs. Il est le seul site juif en France à posséder une version pour téléphones mobiles avec Tchat incorporé et à posséder un service client qui approuve chaque photo publiée, vérifie chaque profil afin de garantir une sécurité maximum à ses membres. Enfin le service client, en français, offre une assistance téléphonique quotidienne aux Jdaters.
« Chez JDate, nous considérons comme une responsabilité d’aider la communauté juive à préserver son identité. JDate souhaite aider les communautés juives de France à travers différents partenariats à promouvoir le mariage juif. Nous sommes plus qu’un site de rencontres, nous sommes un partenaire de la communauté juive en France » a affirmé Daniella Perlstein Vice- Présidente JDate International.
Suite à cette campagne, des milliers de nouveaux célibataires juifs de France, séduits par le message ont rejoint votre site de rencontre. Il ne vous reste plus qu’à les contacter !
Comment savoir si vous lui plaisez ?
Soumis par: JDate Editor Sur
Souvent, quand vous n’avez pas été avec une personne suffisamment longtemps pour vraiment la connaître et savoir ce qu’elle pense, il ne vous reste plus qu’à vous demander si votre partenaire juif (juive) vous aime vraiment, ou s’il (elle) ne fait que badiner.
Après tout, vous ne voulez pas investir avec une personne qui ne prend pas la relation au sérieux, et vous ne voulez certainement pas vous retrouver avec le cœur brisé. Quoi qu’il en soit, il y a un moyen simple et efficace pour savoir si votre partenaire juif (juive) est là pour le long terme, ou s’il (elle) cherche juste un endroit pour se divertir avant de passer à autre chose.
- Il (elle) s’intéresse à vous : Si votre partenaire vous interroge sur votre journée, votre métier, ou sur d’autres choses qui sont importantes pour vous, même s’il s’agit simplement de trouver le chapeau noir sympa que vous recherchiez, c’est une indication qu’il/elle vous aime. Quelqu’un qui ne serait pas intéressé par une relation juive sérieuse ne se donnerait tout simplement pas la peine d’investir dans ce qui est important pour vous.
- C’est juste pour te dire… : Les hommes ou les femmes qui vous envoient des SMS ou des courriels pendant la journée juste pour vous dire bonjour vous donnent une indication qu’ils sont intéressés. S’ils pensent à vous au cours de la journée parmi toutes les autres soucis de leur quotidien, vous pouvez parier qu’ils vous aiment ou vous apprécient.
- Le grand sacrifice : Si votre partenaire va voir avec vous une comédie romantique ou un match de boxe dont vous savez que ce n’est vraiment pas son truc, simplement pour vous faire plaisir, c’est que c’est du sérieux. Les gestes touchants : Si votre partenaire fait inconsciemment virevolter vos cheveux dans ses doigts ou vous caresse distraitement à l’intérieur du poignet, c’est un signe certain qu’il (elle) se sent à l’aise avec vous, et qu’il (elle) est intéressé (e) à faire passer la relation à la vitesse supérieure.
- Votre avis : Quand votre partenaire vous demande votre avis sur quelque chose qui compte pour lui, comme un événement au travail ou une dispute avec un ami, c’est une preuve qu’il attache de l’importance à ce que vous pensez.
- Je te présente… : Lorsque votre partenaire est impatient de vous présenter à ses amis et à sa famille, en fait, il annonce aux gens qui comptent pour lui que vous êtes ensemble.
- Le regard discret : Si vous surprenez votre partenaire en train de vous regarder alors qu’il pense que vous n’en êtes pas conscient, comme au cinéma, vous pouvez être sûr qu’il est véritablement intéressé.
- Il coche son calendrier : Si votre partenaire parle de l’avenir en vous y incluant, c’est une indication suffisamment sûre que ses sentiments vont au-delà des jeux et du divertissement. Par exemple, s’il parle de faire la cuisine la semaine suivante, ou si elle prévoit de vous amener à une fête d’anniversaire dans un mois, c’est un signe indéniable que vous faites partie de sa vie.
Cela ne veut toutefois pas dire que vous devez oublier de vous amuser ou prendre les choses trop au sérieux, tant que les deux partenaires de la relation le savent dès le départ et que personne ne se sent lésé.
L’amour avec un célibataire juif végétalien, est-ce possible ?
Soumis par: JDate Editor Sur
Les végétaliens sont partout. Et également sur les sites juifs de rencontres. Voilà les six commandements à respecter si vous avez rendez-vous avec quelqu’un qui ne mange pas de produits provenant du règne animal.
C’est un fait, le végétalisme a le vent en poupe. Saviez-vous par exemple, qu’environ 1 million d’Israéliens ne mangent pas de viande, et que 400 000 d’entre eux sont végétaliens ?? Comme il est de moins en moins rare ces derniers temps de rencontrer un végétalien dans son entourage, la question se pose de savoir quelle attitude les ” carnivores ” et ceux qui consomment des produits d’origine animale doivent adopter vis-à-vis de leurs partenaires végétaliens, vu que les végétaliens sont partout — même sur les sites juifs de rencontres. Pour permettre à l’amour de réellement germer comme des haricots qui ont trempé six heures dans l’eau, puis ont été mis dans la passoire à pâtes, voici les 6 règles à respecter :
Être convivial avec les végétaliens
Des centaines de restaurants ont déjà rejoint les enseignes ” Vegan Friendly ” indiquant les cafés et restaurants offrant un menu séparé destiné aux végétaliens. Commencer une relation en faisant preuve de respect et d’ouverture d’esprit est une chose merveilleuse. Les végétaliens apprécieront l’effort et cela évitera l’embarras d’une discussion interminable avec le garçon sur les ingrédients de chaque plat…
Ne pas discuter avec eux.
Bien que les végétaliens soient parfois les gens les plus bien-pensants au monde, il leur arrive également d’avoir raison. Car qui d’entre nous veut faire du mal aux animaux ? Nous aimons simplement avoir de l’escalope et des œufs au menu. Les non-végétaliens éprouvent généralement de l’indifférence vis-à-vis des droits des animaux, mais une telle apathie pour les droits des animaux, c’est la dernière chose que l’on pourrait attribuer aux végétaliens. Chacun d’eux est un expert en la matière et on peut raisonnablement supposer que le ton risque de très vite monter et que l’énergie négative augmentera, alors évitez de vous aventurer dans cette direction.
Éviter les piques
La plupart des végétaliens ont pris leur décision par empathie pour la souffrance animale. Donc même si nous ne nous identifions pas ou si nous n’adhérons pas à toutes leurs vues, leur lancer des piques là où ça leur fait mal est une très mauvaise idée si nous voulons entamer une relation. Au sein d’une relation existante, c’est une autre histoire, alors mettons toutes nos blagues pleines d’esprit en veilleuse pour le moment où nous aurons une brosse à dents dans leur appartement.
Respecter leur choix.
Dans la phase initiale des contacts, ignorez la question, c’est un conseil que nous vous donnons. En ce qui concerne le choix de votre partenaire, non seulement cela vous évitera des conflits et des disputes, mais en plus cela fera passer un message positif et mature sur votre personne : vous laissez à votre partenaire juif, juive, la liberté d’être lui ou elle-même, même si ses choix sont différents des vôtres. Quand vous vous voyez pour la première fois, faites comme si le végétalisme n’était pas au rendez-vous, mais seulement deux personnes désirant se connaitre.
Accepter son autonomie de pensée
Le meilleur moyen de commencer une relation avec un/une végétalien/ne du pied gauche ; c’est de lui dire qu’il/elle vénère un roi, un gourou, ou un leader, et vous verrez les veines de son front se mettre à grossir.
Commander un plat ou une boisson végétalienne
Le geste le plus fort pour faire plaisir à un végétalien, c’est de commander un café au lait de soja ou un plat végétalien. On y trouve tant de bonnes choses ! Le respect, la fluidité de l’échange et votre soutien. Goûtez et voyez par vous-mêmes. Non seulement c’est sain, mais en plus, cela peut vous valoir un nouvel amour.
Qu’est–ce que les hommes aiment vraiment ?
Soumis par: JDate Editor Sur
On nous a toujours dit que les contraires s’attirent. En fait, pas vraiment… Une nouvelle étude explique pourquoi les hommes sont attirés par les femmes qui leur ressemblent.
Pendant des années, on nous a répété que les contraires s’attiraient, que les deux membres d’un couple se complétaient mutuellement. Alors en bon élève, nous allions sur les sites de rencontres pour y trouver lecélibataire juif exactement opposé à notre profil. Mais qu’en est-il vraiment ?
Il s’avère que nous aimons en réalité ceux qui nous ressemblent. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que leshommes s’aiment eux-mêmes. En d’autres termes : quand un homme dit à une femme au cours d’un Tchat sur un site de rencontres, que sa sagesse et son charme lui plaise, ce qu’ils aiment réellement, c’est sa propre sagesse et son propre charme…
Une étude menée par l’Institut des Sciences de l’Évolution de Montpellier (France) a révélé que les hommes aiment principalement les femmes qui leur ressemblent. Non seulement celles qui leur ressemblent, mais celles dans le visage desquelles ils se retrouvent.
La femme, miroir de l’homme ?
Les chercheurs français ont ainsi réuni une centaine d’hommes et leur ont demandé de regarder une série de photos de femmes et d’indiquer à quel point elles les attiraient. Un autre groupe d’une centaine d’hommes ont été priés d’évaluer d’autres images où étaient incorporés leurs propres traits physiques.
Les résultats ? Un nombre significatif d’hommes ont choisi les images de femmes possédant le plus grand nombre de traits similaires aux leurs.
Une autre étude a combiné les photos des sujets mâles qui avaient été étudiés et des images de femmes, presque à égalité. Une autre série de photos a été préparée, incorporant cette fois des images de deux personnes étrangères.
Les résultats ? Les hommes ont préféré les photos combinant leur visages avec celui de femmes étrangères.
Les chercheurs ont émis l’hypothèse que les hommes pourraient juste se sentir plus à l’aise avec des visages qui leur sont familiers, à savoir leur propre visage. Cette interprétation est fondée, entre autres, sur une autre étude qui a démontré que nous préférions souvent nous asseoir à côté de gens qui nous ressemblent, par la couleur, la taille, le poids et par d’autres traits.
En revanche, lorsque l’on a dit aux hommes que certaines des photos qu’ils regardaient combinaient leurs visages et ceux de femmes étrangères, même s’il n’en était rien, ce sont les photos où on leur disait que leur visage était intégré qu’ils ont trouvé les moins attirantes.
Alors, quel enseignement peut-on tirer de tout cela ? Les hommes s’aiment, mais savent qu’ils doivent le cacher !
On vous propose un chidoukh ? Vérifiez d’abord qui est le marieur !
Soumis par: JDate Editor Sur
Les tentatives de proposer un chidoukh aux célibataires juifs et juives sont loin de disparaître. Mais qui sont ces intermédiaires qui souhaitent à tout prix nous voir caser ? Eléments de réponse.
Peut-être serez-vous surpris de l’apprendre, mais le mot “chidoukh” est un mot araméen signifiant “calme, paix”. On peut dire beaucoup de choses sur les “chidoukhim”, mais s’il y a bien une chose sur laquelle nous soyons tous d’accord c’est que les mariages arrangés sont un véritable casse-tête tant pour le marieur que pour les candidats au chidoukh. Et pour ce qui est “du calme”, c’est loin de l’amener à qui que ce soit. Alors avant d’accepter cette fameuse rencontre arrangée dont la formule remonte à des temps immémoriaux, prenons quelques minutes pour juger de la qualité de la personne qui nous propose le chidoukh.
Le marieur homme de foi.
Généralement il vous proposera la personne dont il pense que vous devriez l’épouser, et non pas celle qui selon vous, vous conviendrait. C’est une femme pleine de vertus, mais il fera une grimace de dégoût si vous lui demandez de voir une photo de celle-ci, qui pour une raison quelconque n’a pas Facebook. Il se peut qu’il fasse le chidoukh à la seule condition que “vous vous gardiez bien de la toucher” et vous rappellera sans cesse que le premier chidoukh a eu lieu entre Isaac et Rebecca, que le visage de cette dernière était entièrement couvert, et que ce qui compte, c’est qu’elle vienne d’une bonne famille.
Le chidoukh familial.
Votre père vous appellera tout à coup à 07h00 du matin et tentera de profiter du fait que vous êtes vaguement somnolent pour vous pousser dans les bras une jeune fille pour un mariage arrangé. Vous essaierez bien de protester, mais il vous répondra : ” Concentre-toi donc un instant “. La plupart du temps, la candidate aura un « bon cœur », et quand vous lui demanderez ce qu’elle fait, il vous répondra qu’il n’en a pas la moindre idée et que c’est à vous de le découvrir. Et au fait, comment votre père l’a-t-il connue ? « Ca n’a pas d’importance » vous répondra t-il « elle est faite pour toi ! »
Votre ex qui s’en fait pour vous.
Elle vous enverra un texto pour vous dire qu’elle a une amie à vous présenter et vous l’ignorerez. Mais après la cinquième fille qu’elle vous aura proposée vous serez un peu gêné aux entournures de ne pas répondre à ses appels. Alors elle vous appellera pour vous dire qu’elle a “justement la personne qui vous convient” : Une copine de travail géniale ! Si vous lui demandez pourquoi elle s’est tout à coup souvenue de vous, votre “ex qui s’en fait pour vous” vous avouera alors que vous lui manquez terriblement et que cette offre de chidoukh n’était en fait qu’un prétexte pour renouer le contact. Si par hasard il vous arrivait d’être tenté de vous remettre avec elle, rappelez-vous donc comment elle vous a brisé le cœur. Il vaut mieux laisser tomber.
L’entremetteuse professionnelle.
La marieuse professionnelle prend son travail au sérieux. Elle vous envoie des listes de filles avec un cahier des charges précisant exactement ce qu’elles ont à offrir. Si vous allez à un rendez-vous avec l’une des filles à marier qu’elle vous propose, vous découvrirez que vous êtes dans une relation triangulaire. Après la première rencontre l’entremetteuse professionnelle vous téléphonera pour vous demander comment cela s’est passé. Après la troisième rencontre, vous pouvez vous attendre à recevoir un appel de celle-ci vous disant que vous n’êtes décidément pas assez sérieux. Si vous répondez que vous préférez gérer cette relation seulement à deux, vous entendrez alors à quel point elle se sent vexée au plus profond de son cœur. À sa décharge, on peut toutefois dire qu’elle ne fait que son métier.
Plus d’articles sur les hommes et femmes inscrits sur les sites juifs de rencontre ?
Tou Béav c’est quoi ?
Soumis par: JDate Editor Sur
Vous avez peut-être entendu parler de ‘Tou Béav’. Nous vous en disons un peu plus sur cette date à retenir dans le calendrier juif.
Tou BéAv, littéralement le 15 du mois hébraïque d’Av est assimilé en Israël à la fête des amoureux.
Concerts, manifestations culturelles estivales et billets doux ponctuent cette journée juive de l’amour. Equivalent actuel de la St Valentin en Israël, cette date puise cependant sa signification profonde dans l’histoire juive.
Le Talmud rapporte ainsi que le 15 Av comptait parmi les jours les plus joyeux que connaissait le peuple juif, qui il faut le préciser, considérait en ces temps reculés ( !) le mariage comme le sujet le plus sacré de l’existence. Étaient organisées des sortes de rencontres géantes pour tous ceux qui n’étaient pas mariés, selon un rituel précis, saint et égalitaire :
Toutes les filles de Jérusalem et d’Israël qui n’étaient pas mariées s’habillaient de blanc avec des vêtements confectionnés à partir de tissus qui avaient été passés dans un bain rituel (mikvé).
Les robes étaient échangées pour ne pas créer de différence selon la richesse et n’humilier aucune. Les jeunes filles allaient chanter et danser ensemble dans les vignes. Et ceux qui n’avaient pas d’épouse s’y rendaient.
Elles chantaient :
“Jeune, élève je t’en prie, tes yeux, regarde bien ce que tu choisis pour toi-même”;
- les plus belles chantaient : “que vos yeux soient sensibles à la beauté, car elle est plus importante que tout” ;
- celles de bonne famille chantaient : “une femme est destinée à avoir des enfants”;
- celles qui étaient riches chantaient : “faites attention à la richesse”;
- celles qui n’étaient pas belles chantaient : « Jeune homme, sois vigilant dans ton choix, ne te focalise pas sur la beauté mais sur la famille. Mensongère est la grâce, vaine est la beauté, seule la femme craignant Dieu sera louée (Proverbes de Salomon, chap.31) ».
De nos jours, Tou Béav reste un jour propice aux prières pour les célibataires juifs qui cherchent à rencontrer leur âme sœur. En Israël, des milliers d’entre eux se rendent traditionnellement sur le tombeau du sage Yonathan Ben Ouziel à Amouka (Galilée).
Tou Béav est passé, et vous n’avez pas encore rencontré la femme juive ou l’homme juif de votre vie ? C’est pour cela que JDate est là. Connectez-vous maintenant et découvrez votre âme sœur maintenant !
Comment être sûre qu’il vous convient – Rencontres pour diplômés.
Soumis par: JDate Editor Sur
Si l’amour est bien l’un des objectifs majeurs d’une vie, il n’en est toutefois pas le seul et unique propos. Nous rêvons tous de réussite et de richesse, pas seulement d’amour. Beaucoup de personnes, hommes et femmes, laissent en suspens la recherche de l’amour pour le jour où ils pourront assurer leur avenir économique et universitaire. Dans le monde féministe d’aujourd’hui, beaucoup de femmes juives choisissent de s’accomplir dans le travail ou dans la recherche scientifique, bien avant de partir à la recherche de l’âme sœur, et ce n’est qu’après y être parvenues qu’elles se lancent à la recherche d’un partenaire pour la vie.
Si vous appartenez à ce type de femmes et que vous lisez ces lignes, vous avez certainement réussi à atteindre au moins une partie de vos objectifs – Bac + 4, carrière, etc…ou alors, c’est que vous êtes sur le point d’accomplir au moins l’un d’entre eux. Maintenant que vous avez atteint votre but, comment pouvez-vous être sûre que la personne avec laquelle vous sortez vous convient, ainsi qu’à votre style de vie ? Quelles sont les caractéristiques qu’il vous faut examiner chez des conjoints potentiels, qui vous permettraient éventuellement de construire une relation fructueuse ? Voici les qualités que vous devez rechercher chez votre partenaire, pour que vous n’ayez pas à choisir entre épanouissement personnel et vie de couple – pour ne pas avoir à faire un tel choix, trouvez-vous un amour qui vous aide à grandir, à vous développer afin de devenir celle que vous désirez être. En d’autres termes, voici les traits de caractère à rechercher sur la scène desrencontres en lignes pour diplômés.
Intelligence et stimulation intellectuelle
La première chose qui compte dans les relations de couple, c’est de s’épanouir mutuellement. Si vous êtes une femme dynamique et curieuse, qui s’investit dans sa carrière, ou que vous êtes sur le point de finir vos études, il vous faut avoir une relation saine avec quelqu’un qui soit intellectuellement stimulant. C’est pourquoi il vous faut trouver quelqu’un qui soit intellectuellement à votre niveau, un homme qui s’exprime clairement et qui vous stimule régulièrement.
Pour savoir si le gars en face de vous répond à ce critère, mettez-le régulièrement à l’épreuve. Dès la première rencontre, dans la toute première conversation, n’hésitez pas à aborder des questions difficiles pour voir ce qu’il pense et comment il réagit, des sujets de discussion comme le féminisme, l’Art, ou encore des concepts politiques complexes. L’essentiel, ce n’est pas que vous soyez d’accord sur tout, par contre ce qui est crucial, c’est qu’il soit capable de communiquer intelligemment avec vous autour de thèmes qui vous intéressent et qui vous tiennent à cœur.
En outre, il est très important d’éviter les gens qui semblent être totalement d’accord avec vous— une telle personne n’a souvent pas sa propre opinion et ne risque pas de jamais vous challenger. Très vite, une telle relation vous ennuiera, et nous vous le déconseillons fortement. Le monde des rencontres est devenu une chose complexe et il importe de challenger un partenaire potentiel pour ne pas être déçu plus tard.
Le soutien
La vie d’une femme ambitieuse ( et juive !) n’est pas simple et elle est pleine d’embûches ; Il est donc particulièrement important que sa vie familiale et sa maison ne le soient pas. Il importe ainsi que votre conjoint soit à la hauteur intellectuellement, qu’il soit capable de vous soutenir si nécessaire, et qu’il n’ajoute pas inutilement des difficultés à votre vie – il convient donc de bien distinguer entre sa capacité à partager des idées et à approfondir des concepts intellectuels, qui vous aideront à grandir en tant qu’être pensant, et ses éventuelles attitudes frustrantes qui vous empêcheraient d’être heureux.
Lorsque vous faites la connaissance de quelqu’un de nouveau, vous pouvez savoir s’il vous offrira le soutien dont vous avez besoin en partageant avec lui les histoires de votre quotidien ; ne soyez pas timide, parlez-lui de ce qui vous tracasse – puis écoutez attentivement sa réaction. S’il cherche à tout prix à savoir en quoi ce qui vous est arrivé est de votre faute, comment vous auriez pu faire mieux, ou s’il tente de justifier les autres et de trouver des explications « raisonnables » en expliquant pourquoi tous les problèmes qui vous arrivent résultent de vos actions, sachez que votre vie de couple sera une suite d’explications de ce type, et que vous n’y trouverez aucun repos, ni tranquillité. En revanche, si un partenaire éventuel écoute attentivement, puis compatit avec votre difficulté ou recherche les moyens efficaces pour vous aider à surmonter le problème, sachez que votre partenaire vous fournira un soutien inconditionnel à chaque fois que vous vous trouverez confrontée à un problème.
La maturité
Enfin, lorsque vous êtes à la recherche d’une vie de couple, rappelez-vous qu’il vous faut quelqu’un avec lequel vous puissiez construire une vie. Aujourd’hui, beaucoup d’hommes ne sont rien de plus que de grands enfants qui n’ont pas encore quitté le giron maternel (au moins mentalement) et qui sont à la recherche non pas d’une partenaire, mais d’une maman et d’une nounou qui organisera leur vie. On peut facilement reconnaître un homme de ce type en lui rendant visite chez lui – si la maison est sale et mal entretenue, s’il envoie toujours son linge sale chez sa mère et ne fait pas la lessive lui-même, s’il travaille toujours à temps partiel ou a un travail temporaire, ou enfin s’il reçoit de l’argent de ses parents sur une base régulière, alors c’est un enfant qui certes a la pilosité nécessaire, mais qui n’a pas encore atteint l’âge adulte et vous n’avez rien à chercher par là.
Au lieu de cela, recherchez des hommes qui ont laissé derrière eux la post adolescence – ceux qui assument leurs responsabilités dans leur propre maison et font le ménage, ceux qui savent et aiment cuisiner pour eux-mêmes, et ne vivent pas de plats réchauffés et de conserves, ceux qui font la lessive au lieu de prendre l’argent de leurs parents pour vivre au-dessus de leurs moyens. Bref, un homme qui n’exigera jamais de vous que vous le traitiez comme un enfant gâté – et qui ne vous traitera pas comme si vous étiez une mère de substitution, mais comme une partenaire à part entière. C’est un l’homme aux côtés duquel, vous pouvez construire une vie de couple belle et saine, qui vous aidera tous deux à vous épanouir et à vivre dans le bonheur.
Bonne Chance !
L’univers des rencontres pour juifs pratiquants
Soumis par: JDate Editor Sur
Est-ce que tout ce que nous pensions savoir sur les célibataires pratiquants et pratiquantes est faux ? Des résultats d’un sondage exhaustif mené par un l’Institut Rafi Smith, auquel ont participé 1000 célibataires religieux des deux sexes et publié dans les médias, se dégagent en effet quelques résultats surprenants. Par exemple, il a été constaté que seulement 20 pour cent d’entre les faisaient appel à une marieuse, tandis que 80 pour cent d’entre eux faisaient connaissance à travers des amis ou des proches.
En outre, près de la moitié des célibataires vivent avec leurs parents et le fait qu’ils vivent en vase clos est surtout pertinent pour les 31-35 ans. Selon l’enquête, après cet âge, nombreux sont ceux qui quittent l’univers religieux et se dispersent un peu partout dans le pays. Le milieu des rencontres pour juifs pratiquants n’a jamais autant suscité la curiosité.
Les rencontres pour juifs religieux, les marieuses et tout ce qui s’ensuit…
Je commencerai par une remarque au sujet de l’institution de la marieuse ou Chadkhanit. Cette institution des marieurs et marieuses chez les Juifs religieux est aussi ancienne que l’est le Judaïsme lui-même. Dès l’époque biblique Abraham s’était longuement renseigné sur Rebecca pour son fils Isaac. L’abandon de cette institution semble un signe précurseur de l’abandon des codes juifs traditionnels et le passage à un autre mode de rencontre basé sur les contacts établis par le hasard comme cela se passe sur le lieu de travail, dans le cadre des études ou dans le cercle d’amis. Mais à mon avis, il se peut que l’étude en question n’ait pas pris en compte la crainte de nombreux religieux de se voir exposés. Il est donc possible que beaucoup d’entre eux aient menti, en raison de la désapprobation sociale vis-à-vis de ceux qui font appel aux services d’entremetteurs comme s’ils étaient incapables de se prendre en charge eux-mêmes. Il est également vrai que ce genre d’attitude parmi les célibataires est par lui-même un phénomène relativement récent, toutefois il me semble, étant assez proche de nombreux célibataires, que le pourcentage réel de ceux qui font appel à des marieuses est bien plus élevé.
Il n’est sans aucun doute pas faux de dire que les religieux, lorsqu’ils sont plus jeunes choisissent de vivre à la maison, et qu’au début de leur trentaine nombre d’entre eux vivent encore au sein de leur communauté, toutefois, vers la fin de la trentaine, ils sont nombreux à choisir de quitter celle-ci. La raison évoquée par les auteurs du sondage selon laquelle “de nombreux religieux en auraient assez” de vivre en vase clos est probablement correcte. Je pense cependant qu’on peut en évoquer au moins plusieurs autres. À la fin de la vingtaine et au début de la trentaine, beaucoup de jeunes hommes sont encore engagés dans des études religieuses ou font leurs premiers pas dans la vie professionnelle en vivotant de petits boulots étudiants. Cette tendance n’existe pas que chez les religieux, elle est en fait universelle, c’est pourquoi tant de religieux ne peuvent pas se permettre de vivre seuls et se cherchent des colocataires. Cela est particulièrement vrai des religieux qui ont étudié en école talmudique, dans une Yeshiva ou une Mekhina (prépa), car pour ces derniers l’âge de début des études universitaires est plus tardif.
L’enquête ne fait pas de distinction entre hommes et femmes. Il est également possible de spéculer que la raison pourrait être qu’au milieu de la trentaine, les religieux choisissent de sortir de leur milieu fermé, parce que c’est la première fois qu’ils ont la possibilité financière d’habiter seuls. Comme Karl Marx l’a dit “Tout commence par la condition matérielle de la personne”.
L’Idéologie et l’identité, il n’y a pas que cela dans la vie. Les questions d’argent ont leur importance, pour tout le monde !
Coaching: S’engager pour partager. Par Aviva Azan
Soumis par: JDate Editor Sur
Si vous répondez « oui » à l’une de ces questions : lisez la suite…
Les rencontres se passent bien mais vous craignez que ça ne dure pas ?
Vous vous plaisez mais vous hésitez à faire le grand saut ?
L’engagement vous fait peur dans l’absolu ?
Vous aimeriez pousser l’autre à s’engager ?
Vous avez tendance à attendre que l’autre s’engage ?
Si vous vous sentez concernés, vous avez besoin de développer la confiance en vous et en l’univers…
Il est parfois difficile de ne pas se décourager face à certains schémas qui se répètent : Les phases d’espoirs d’avant le rendez-vous, la déception d’après ou la désillusion après plusieurs rencontres. Nous aurons alors du mal à garder confiance en soi et en l’avenir. Nous risquons de ressentir un sentiment d’échec…
Pour sortir de ce pattern, nous devons changer certaines de nos croyances et développer une confiance en soi inébranlable !
Comment réussir son projet de vie à deux ?
Avant tout, comprenons le cheminement d’un projet jusqu’à sa réalisation.
Pour réaliser un projet nous passons tous par une phase de création. Ce n’est pas l’étape la plus difficile; c’est le moment où l’on se dit: “J’aimerai…”, “Mon rêve serait de… ” ou encore “Ce serait bien si…” Ensuite nous devons passer à la réalisation. Pour matérialiser ce projet installé dans notre imaginaire, il nous faut quelques ingrédients: une bonne dose de confiance en soi, quelques croyances sympas comme la certitude absolue que l’échec n’existe pas, que tout est expérience. Une caractéristique importante à développer, est le discernement. Elle nous permettra de repérer les mauvais conseils, à écarter tous ceux qui sèment le doute par de subtiles petites phrases déstabilisantes comme: “T’as pas peur que…”, par exemple.
Cependant il existe une clef pour nous permettre d’utiliser facilement tous les ingrédients de réussite dont nous sommes tous porteurs: l’engagement au monde. Plus notre engagement est important, plus nos projets seront faciles à réaliser.
Si nous réalisons que nous avons une mission, nous mettrons alors tout en œuvre pour exploiter nos ressources, notre potentiel.
« Ceci est valable pour la réalisation d’un projet personnel, me diriez-vous, mais pour construire un projet decouple, il faut être deux ! »
Et bien non, pas tout à fait…Si nous avons confiance en soi à un niveau individuel, nous allons alors attirer à nous le/la partenaire qui sera à la hauteur pour partager notre projet, naturellement.
Comme l’a écrit Antoine de Saint Exupéry, “Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans la même direction. ”
Commençons par trouver une direction de vie, un engagement au monde, quelqu’un aura envie alors de venir partager.
Aviva Azan
Séminaire à Tibériade, sur les rives du lac Kineret du 23 au 26 février : “CONSTRUIRE SA VIE”
Déraciner les mauvaises herbes, déblayer les gravats d’histoires du passé dépassé, assainir le terrain et construire son avenir…
Réduction pour les abonnés JDate.fr
Comment savoir s’il est amoureux ? Regardez-les droit dans les yeux !
Soumis par: JDate Editor Sur
La chanteuse américaine Cher a posé dans les années 1990 une question qui, à l’époque, a stupéfait de nombreuses femmes et qui continue de le faire encore aujourd’hui :
“Est-ce qu’il m’aime ? Je veux savoir
Est-ce sur son visage ?
Oh non, c’est juste son charme
Dans ses chaudes étreintes ?
Oh non, ce sont juste ses bras
Si tu veux savoir s’il t’aime vraiment
C’est dans ses baisers”
Si la chanson, interprétée à l’origine par la chanteuse de soul Betty Everett est belle, son contenu n’est pas nécessairement correct.
Selon une étude récente publiée par l’Université de Chicago, le moyen de savoir s’il vous aime, ou tout simplement s’il vous désire, ce n’est pas vraiment dans son baiser qu’il faut le chercher, mais plutôt dans ses yeux – et cela est valable tant pour les hommes que pour les femmes.
Études sur les rencontres et le langage corporel
Cela semble surprenant, mais les impressions qui se dégagent de la recherche le seront un peu moins : Si au cours d’une rencontre notre vis-à-vis regarde surtout notre visage, cela signifie qu’il ou elle nous considère comme un partenaire potentiel par contre, si son regard se fixe avant tout sur notre corps, eh bien, dans ce cas, la motivation de ce dernier est moins romantique que sexuelle. De tels regards sont plus rapides que l’éclair, et durent pour la plupart seulement une demi-seconde, mais si nous les recherchons, nous les décelons facilement.
Ce n’est pas la première étude menée sur le sujet. Des études antérieures ont démontré la rapidité avec laquelle nous prenons une décision concernant le degré et le type d’intérêt que nous portons à l’autre au cours d’une rencontre. À l’Université de Genève on a ainsi respectivement montré à des sujets des deux sexes des images de femmes et d’hommes et on leur a demandé de décider en un clin d’œil, si la personne sur la photo les intéressait, et, dans une telle éventualité, de préciser quel genre de relations — une relation sérieuse ou une distraction physique – ils envisageaient. Les photos ne comportaient aucune forme de nudité, ni aucun message sexuellement explicite, c’était simplement une photo de la vie de tous les jours.
Les résultats ont clairement démontré que celui qui était intéressé par une relation amoureuse avec la personne présentée sur les photos ou sur les vidéos se concentrait sur son visage, tandis que celui ou celle qui était principalement intéressé(e) par une relation purement physique se focalisait sur le corps, les résultats étant similaires chez les hommes comme chez les femmes. Les décisions étaient toutes les deux aussi rapides, ce qui suggère que nous savons bien plus vite que nous n’en prenons conscience, ce que nous recherchons vraiment lors de la rencontre, parfois même avant de nous être assis.
Donc, si vous êtes à la recherche de l’amour, tout ce dont vous avez besoin, c’est de regarder votre interlocuteur dans les yeux et espérer qu’il vous rende un tel regard.
Bonne Chance !
Comment mieux choisir nos partenaires ?
Soumis par: JDate Editor Sur
Lorsqu’on recherche un partenaire, notamment sur un site de rencontres, la plupart d’entre nous a tendance à se concentrer sur les aspects positifs que nous aimerions trouver chez l’autre : Sensibilité, ouverture d’esprit, esprit d’aventure, rapport à la famille etc., selon nos préférences personnelles.
Toutefois, hors du site de rencontres, notre approche est bien différente. Lorsque nous examinons des relations possibles, nous mettons en parallèle les traits positifs et négatifs de l’autre et alors nous prenons une décision.
Sommes-nous des personnes négatives ?
Beaucoup de gens se rencontrent aujourd’hui par l’intermédiaire de tel ou tel site de rencontre sur lesquels on énumère les qualités souhaitées et où on tente de trouver le partenaire correspondant aux traits en question. Bien que l’on indique que très rarement ce qui ne nous convient pas, les recherches montrent que, généralement, nous avons tendance à attacher plus de poids aux traits négatifs.
Vaut-il mieux être négatif ?
Apparemment, nous sommes programmés sur le plan de l’évolution pour nous concentrer sur des expériences négatives – cela est vrai pour celles de notre enfance par exemple. Nous remarquons aussi ce qui cloche dans un film plutôt que ses qualités etc. Les propriétaires d’entreprises connaissent cela de très près – les chances pour une entreprise de voir les expériences négatives partagées (p. ex. restaurant) sont bien plus élevées que celles de voir une expérience positive publiée.
Cela est également vrai pour les relations. En fin de compte, il est plus important pour nous d’éviter les expériences négatives que de trouver des expériences positives. La principale raison de la préférence pour les expériences positives, réside dans le danger d’une expérience négative – celui-ci est supérieur aux bénéfices qu’on peut tirer d’une expérience positive, car des événements négatifs risquent de nous nuire significativement, tant physiquement que mentalement, et de laisser des traces indélébiles dans notre conscience tandis que les expériences positives nous affectent moins. En effet, la pire chose qui pourrait nous arriver si nous renonçons à une expérience positive est de rater la joie inhérente à celle-ci ou une éventuelle amélioration de notre qualité de vie. Mais au moins nous restons sains et saufs.
Qu’est-ce que cela signifie pour les relations de couple ?
Qu’avons-nous à apprendre de notre tendance naturelle à nous concentrer sur ce qui est négatif ? Nous pouvons réduire les risques et maximiser nos chances de profiter des opportunités positives qui permettront d’améliorer notre vie facilement, à condition que le voulions.
Pour contourner ce mécanisme biologique, la première méthode consiste à décrire le couple potentiel sur deux listes parallèles – celle des traits positifs et celle des traits négatifs. Ces caractéristiques doivent être évaluées en fonction de leur importance pour nous – notre préférence pour les cheveux bruns, par exemple, serait moins importante que des points positifs tels que la générosité. Il est important que nous établissions une hiérarchie clarifiant nos priorités qui nous empêcherait de rejeter des gens pour des raisons stupides.
Dans son livre “Épousez-le : Savoir s’accommoder de M. Pas si mal”, Lori Gottlieb a montré que les femmes tendent à ignorer les hommes même s’ils ont quatre caractéristiques positives (à leurs yeux) pour une seule caractéristique négative à leurs yeux. Cette tendance, qui est étonnamment soutenue par la recherche depuis les années 1990, a révélé que le rapport souhaitable entre les caractéristiques positives et les négatives est de cinq caractéristiques positives pour chaque caractéristique négative – c’est pourquoi il vaut mieux viser un tel objectif pour ne pas trop prêter d’importance à des traits négatifs négligeables.
La logique au service de l’amour.
Au moins lorsqu’il s’agit d’exclure une éventuelle relation, il est préférable de surmonter nos tendances naturelles et de les subordonner à la voix de la raison. C’est ce que le philosophe et psychologue américain William James qui fut un pionnier de la psychologie sur le continent, a parfaitement résumé avec sa formule immortelle qu’il vaut la peine d’essayer d’appliquer dans notre vie : « la sagesse est l’art de savoir ce qu’il faut ignorer. »
Coaching : Construire un couple : quel programme !
Soumis par: JDate Editor Sur
Il faut d’abord définir sa place et ensuite se blottir contre celle de l’autre…
Au niveau de notre cerveau archaïque nous avons tous un territoire à protéger. Quand nous rencontrons quelqu’un nous lui disons : « Bonjour ». Pour le cerveau archaïque cela veut dire : « je te reconnais, je valide ta présence dans un territoire commun ». Puis vient le « comment tu t’appelles ? » qui a pour but d’identifier sa tribu, son appartenance et de le définir, toujours dans le territoire commun. Puis vient le « qu’est-ce que tu fais ? » qui va déterminer le rôle de la personne au sein d’un groupe, à nos yeux. En fonction de notre passé, des empreintes laissées par notre vécu dans notre inconscient, nous interpréterons les données.
Nous déciderons alors de continuer la conversation ou pas. De manière naturelle et instinctive, une femme va chercher un homme susceptible de la protéger et un homme, une femme à protéger… Tout à l’air si simple, si logique !
Le problème réside dans le fait que certaines croyances risquent de détourner l’interprétation objective des 2 partenaires. Ces croyances, bâties sur nos blessures,des messages paradoxaux subits souvent dès l’enfance ou autre événement traumatisant non évacué, sont de réels obstacles à notre construction de couple.
Une image voit 3000 mots parait-il… Alors imaginez que vous essayez de construire une maison sans déblayer le terrain ?
Quand nous dépolluons, assainissons notre territoire nous attirons à nous des partenaires sains…
Aviva Azan vous propose une conférence le dimanche 30 novembre à Vincennes : « Diriger sa vie », entrée libre
Un séminaire de 4 journées 9h-18h du lundi 1er au jeudi 4 décembre qui vous aidera grâce à ses outils concrets et efficaces à construire votre couple.
Prix préférentiel pour les abonnés au site JDate.fr
Renseignez-vous !
Pour toute information : avivaazan1@gmail.com
Trois règles fondamentales pour découvrir l’amour
Soumis par: JDate Editor Sur
Générosité, constance et disponibilité : Le trio gagnant !
Le titre ci-dessus n’est pas emprunté au slogan publicitaire d’un nouvel opérateur de téléphonie mobile. C’est la clé trouver l’amour.
Dans le monde entier on dit aux célibataires des deux sexes que la recherche de l’amour est une course contre la montre. Un jeu en somme nul où seulement les plus beaux et les plus entreprenants réussissent. Nous devrions donc tous être plus charmants, plus drôles et plus sexy si nous désirons rencontrer un partenaire, découvrir l’amour, développer une relation sérieuse et fonder une famille. Les médias, et en particulier la publicité, nous présentent à plus soif des images d’un amour parfait qui n’existe pas dans la réalité. Tous ces médias n’ont finalement pour effet que d’accroître l’insécurité et le désespoir de ceux qui recherchent des partenaires et des relations sérieux.
Ken Page, un psychothérapeute new-yorkais spécialisé dans le traitement des problèmes d’intimité, écrivait récemment dans le magazine ‘Psychology Today’ que ces dernières années le monde moderne des rencontres rendait les gens un peu plus froids et moins courtois. Dans la course pour faire la connaissance d’un partenaire en vue de créer une relation, nous ne voyons pas la personne assise en face de nous, car nous pensons toujours disposer de beaucoup d’autres options de rencontres. Par conséquent, la rencontre devient une chose infructueuse, une expérience négative pour les deux parties et engendre des sentiments d’échec, de déception et de désespoir. Le sentiment que l’horloge tourne et qu’on n’a pas de temps à perdre ne fait que s’amplifier, ce qui fait que la rencontre elle-même est mise sous pression et qu’elle en devient décousue.
Chacun de ceux que nous rencontrons doit être « l’élu » ou « l’élue » car nous n’avons pas de temps à perdre et tout devrait marcher comme sur des roulettes et être parfait. Or, la seule façon de briser ce cercle vicieux, c’est d’abandonner ce modèle si connu et erroné et d’en adopter un nouveau totalement différent, qui sera plus efficace pour faire connaissance et créer une relation. Ken Page nous offre trois conseils de base nous incitant à nous charger nous-même d’un amour qui nous permette de nous rendre à un date obtenu sur unsite juif de rencontres, plus sûr de nous, plus heureux, plus calme et plus réactif :
Sortir des images d’Épinal du “macho”
Aussi banal que cela puisse paraître, il est temps de vous laisser aller et d’arrêter de vous la jouer “macho”, faites preuve de générosité, de constance et de disponibilité quand vous allez rencontrer une partenaire potentielle. Celle qui ne réagira pas dans le même esprit n’est tout simplement pas la bonne partenaire pour vous. Dans le monde des rencontres, nous avons pris l’habitude de rechercher la prochaine bonne occasion qui se présentera et de ne pas nous attarder un instant. Sans le vouloir, nous nous y sommes habitués et nous attendons de l’autre partie qu’elle nous annonce qu’elle continue son chemin. La seule façon de faire avec ce genre de personnes, c’est de s’y prendre avec générosité, la générosité de notre cœur car c’est la seule façon de savoir si notre interlocuteur s’adapte à nous.
Ainsi, lors de votre prochaine rencontre tentez d’être généreux et aimable, vous pourrez de la sorte vous rendre compte qui mérite un tel comportement de votre part et savoir comment réagir à son amabilité et à sa courtoisie.
Briser les règles.
On nous répète sans cesse que l’attirance, c’est nous abandonner à nos sentiments les plus puissants, alors qu’en général, il s’avère qu’ils nous conduisent souvent à de particulièrement mauvais résultats. Toute personne désireuse de rencontrer quelqu’un pour établir une véritable relation devrait commencer par apprendre ce que sont ses propres lois de l’attraction. D’abord, en mettant au clair ce qui s’est passé dans ses relations antérieures puis en tirant de cela les leçons qui s’imposent. Suis-je seulement attiré par celles qui se refusent à moi ? Est-ce que je choisis de n’investir que dans celles qui se comportent comme la dernière fille qui m’a laissé tomber ? Suis-je attiré uniquement par celles qui ne font que prendre ce que j’ai à offrir ou bien puis-je aussi rencontrer quelqu’un qui me soutiendra et me rendra la réciproque. Les gens qui ne font que prendre renforcent uniquement la peur de l’abandon inhérente à chacun d’entre nous. Ceux qui sont généreux, éveillent en nous la peur de l’intimité. Tout le monde connaît la sensation d’étouffement lorsque notre partenaire fait preuve de générosité et de constance. Apprenez à identifier ces caractéristiques non pas comme des panneaux d’avertissement, mais comme « des signes de bienvenue ».
Les lois de l’attraction
Alors, comme cela, vous faites, vous aussi partie de ceux qui sont attirés par celles qui ne veulent pas de vous et vice versa. Et bien, cela arrive à tout le monde. Et oui, vous ne pouvez pas forcer deux personnes à se sentir attirées l’une pour l’autre ; mais si vous désirez trouver un amour sain, il vous faudra prendre conscience de vos propres lois de l’attraction.
Vérifiez si tout ce qui vous attire est ce qui est bon pour vous. Sinon, commencez à pratiquer des exercices d’attirance envers ce qui vous fait du bien : la gentillesse, la disponibilité et la cohérence. La seule façon d’atteindre cela, c’est d’être aimable, disponible et constant vis-à-vis de l’autre. Si elle vous le rend la réciproque, vous pouvez alors développer une intimité saine. Vous continuerez certes à ressentir le besoin de fuir à l’autre bout du monde, mais cette peur-là, vous en êtes déjà conscient. Laissez-la s’estomper et ne la laissez pas vous abattre, car c’est seulement ainsi que vous découvrirez si vous avez trouvé une partenaire pour la vie.
Filtrer pour aimer
Soumis par: JDate Editor Sur
Un des plus grands problèmes dans le monde des rencontres est la difficulté à filtrer correctement. Le monde du dating nous offre d’énormes quantités de matériel humain, et nous sommes obligés de choisir qui nous convient et qui ne nous convient pas. Mais comment le savoir ? Comment savoir qui correspond à notre profil sur le site de rencontres ou dès le premier rendez-vous ?
Le premier obstacle pour ce qui est du filtrage est le profil. Chacun sait déjà comment apprécier la somme d’efforts investie dans le profil sur le site (Celui ou celle qui investit le plus est le plus sérieux !), ainsi que les textes eux-mêmes (si elle vous a fait rire, épousez-la !), mais comment savoir reconnaître la compatibilité à la simple vue de ses photos ?
Nous avons consulté des experts en langage corporel et leur avons demandé de nous éclairer, et ils nous ont donné les conseils suivants :
Prenez ça avec le sourire !
Tout d’abord, recherchez un sourire. Les gens qui sourient facilement sont plus heureux, et répandent le bonheur autour d’eux. Nous croyons que nous sourions lorsque nous sommes heureux, mais des études dans le domaine de la recherche sur le cerveau ont prouvé que la relation était à double sens – nous sommes souriant quand nous sommes heureux, mais sourire nous rend également heureux, les gens souriants ont tendance à être plus heureux et à rendre les gens autour d’eux plus heureux – c’est pourquoi ils sont faits pour avoir des relations longues et saines.
L’ouverture d’esprit est une preuve d’honnêteté.
Après avoir étudié le sourire, il est temps d’observer le langage corporel. Recherchez un langage corporel ouvert et avenant – mains ouvertes, paumes vers le haut, etc. Une gestuelle ouverte est une preuve de sociabilité et d’ouverture ainsi que de saines capacités de communication. Les personnes ayant une gestuelle ouverte réussissent habituellement mieux leurs relations et sont plus à même de communiquer leurs sentiments. En outre, ils ont plus tendance à ressentir des émotions positives – et surtout, à les exprimer !
Comme nous le savons, une relation saine repose sur une communication ouverte et honnête, et donc les individus avec un langage corporel ouvert ont en règle générale des relations fructueuses et plus saines.
Un regard pénétrant
Enfin, une autre caractéristique qu’il est très important de rechercher sur les photos est la qualité du regard face à la caméra, ou si le regard est tourné vers l’autre sur la photo. Un tel regard, fixant directement les yeux du partenaire, est un signe d’honnêteté, de confiance et d’intérêt. Les gens regardant leurs vis-à-vis dans les yeux (ou recherchant les yeux d’autrui sur la photo) sont ceux qui ont tendance à avoir une communication saine et efficace. Ils s’intéressent plus à leur interlocuteur et sont beaucoup plus honnêtes. En outre, ils souffrent moins souvent d’anxiété sociale, ce qui contribue à une relation saine.
Les amis autour
Après avoir examiné la personne elle-même, il est temps de vous intéresser à son entourage. Les gens qui sont sociables se trouvent généralement avec d’autres personnes et ils ont au moins une photo avec quelqu’un d’autre. Notez également le rapport des autres vis-à-vis de cette personne –reconnaissent-ils son existence ? Le regardent-ils ? Étant donné que la personne sur la photo est au centre de la situation sociale qui se produit sous l’œil de la caméra, vous pouvez ainsi savoir qui est le plus sociable, le plus communicatif et le plus ouvert.
Lorsque vous rencontrez une personne aussi sociable, vous pouvez savoir qu’il est facile d’aimer une telle personne – après tout, d’autres personnes l’apprécient aussi ! Une photo prise avec d’autres personnes vous permet de voir quel type de personne c’est et de vous rendre-compte s’il s’agit d’une personne sympa et aimée par les gens.
Alors, récapitulons…
Au-delà du profil publié sur le site de rencontres, cela vaut le coup de jeter… un coup d’œil sur les photos de la personne qui vous intéresse. Et son langage corporel sur la photo vous en dira beaucoup sur la personne que vous désirez rencontrer – Alors, étudiez de près ses photos, vous pourrez vous trouver un partenaire qui vous convient !
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“Le souci de l’autre est une valeur fondamentale dans un couple”
Soumis par: JDate.fr Sur
Nathan est musicien, compositeur et producteur sonore. Il se définit comme un “artisan” de la musique. A 40 ans, ce célibataire exigeant cherche une femme joyeuse, intelligente avec qui il souhaite partager sa vie de manière durable. C’est sûr, Nathan est prêt… prêt à être surpris…
Rencontre.
Nathan et JDate
Je suis inscris sur JDate.fr depuis un peu plus d’un an.
J’ai entendu parler de JDate par mon entourage et comme j’étais célibataire depuis plusieurs mois, j’ai décidé de m’inscrire car ma recherche est ciblée sur une femme juive. J’ai rencontré beaucoup de monde sur JDate.fr qui rassemble des gens de qualité comparé à d’autres sites juifs de rencontre.
Les attentes et les profils de JDate me correspondent. Et c’est pourquoi je me suis fait aussi beaucoup d’amis sur JDate.fr. Je n’ai pas encore rencontré LA personne, mais je suis confiant et patient.
Les photos ça compte pour Nathan !
Je regarde en premier la photo, et quand l’annonce est accrocheuse, ça me plait. J’aime bien quand il y a plusieurs photos qui montrent différentes facettes de la personne. Quand il y a une seule photo où la personne est trop à son ‘top’, c’est un peu restreint pour se faire une idée. Il en faut au moins trois : Une très belle, une plus naturelle et une autre qui donne une idée de l’univers dans laquelle la personne évolue. Il faut être honnête. La photo doit faire rêver mais pas trop fantasmer. Sur mon profil j’ai mis six photos…
Le téléphone aussi !
J’aime bien avoir plusieurs échanges avant de rencontrer une femme.
Je veux vérifier que la personne avec qui je ‘tchate’ éprouve un réel intérêt pour moi. Ensuite, avant une vraie rencontre, l’échange téléphonique est important. C’est à ce moment que l’on perçoit s’il y a un potentiel d’entente. Au téléphone on peut vérifier la capacité d’écoute, la spontanéité. On peut confirmer une connivence virtuelle par un échange téléphonique.
Les conseils de Nathan aux JDaters
Il faut être patient, ne pas idéaliser et surtout avoir de l’espoir de tomber sur la bonne personne au bon moment. La notion de timing est importante. Parfois des gens sont susceptibles de se plaire, mais l’un d’entre eux n’est peut-être pas réceptif au moment de la rencontre.
Quand je rentre en contact pour la première fois avec une femme sur JDate.fr, je me comporte comme si je la rencontrais naturellement, dans un café par exemple. L’échange doit être spontané pour briser les codes du virtuel. Tout doit se faire par étape.
Pour moi la première rencontre ‘en vrai’ doit se faire dans un café en fin de journée. Pour une première rencontre, un diner est prématuré. Maintenant, si ça fait tilt, rien n’empêche que l’on termine la soirée dans un bon restau !
Je veux fonder une famille et avoir des enfants. Pour autant lors des premiers échanges, ce n’est pas le style de sujet que j’aime aborder. Je trouve ça un peu impudique et briseur de charme que de dire en préambule lors d’un premier ‘tchat’ : “Je veux 3 enfants, un pavillon et un 4/4 !”
Dirait-on ce genre de chose dans une fête ou chez des amis à un homme ou une femme que l’on rencontrerait pour la première fois ?
A un premier rendez-vous, quand la personne arrive avec une heure de retard, c’est pour moi rédhibitoire. Un quart d’heure de retard oui, une heure ce n’est pas acceptable. C’est un détail qui en dit long sur la personnalité…
L’univers de Nathan
Je suis parisien. J’aime les concerts, écrire et faire de la musique. Je suis un juif ‘pratiquant light’ mais je manque casher.
J’aime partir le plus possible en vacances. Ma destination préférée c’est Israël et Tel-Aviv en particulier.
L’an passé je suis allé à quatre reprises en Israël et j’ai d’ailleurs été contacté par des JDateuses israéliennes ! On s’est rencontrés, c’était très sympa ! J’ai aussi été contacté par une JDateuse londonienne, qui est devenue une bonne copine. J’aime JDate.fr aussi pour ça !
La femme idéale pour moi c’est une femme joyeuse, d’humeur constante et munie d’intelligence, c’est-à-dire, avec une capacité de se soucier de l’autre et de réfléchir avec l’autre. Après pour le reste je n’ai aucun ‘cahier des charges’. On me demande si l’origine est importante pour moi. En réalité, je pense qu’il est indispensable de partager des codes communs pour naviguer à deux. Il est possible de panacher les cultures ashkénazes et séfarades à condition d’avoir des codes de vie en commun. Quand on envisage les choses avec intelligence tout est possible. Surtout l’amour !
Vous avez lu ? Vous avez aimé?
Sarah : “Ce sont avant tout le niveau intellectuel et la capacité d’analyse d’un homme qui me séduisent”
Soumis par: JDate.fr Sur
Féminine jusqu’au bout des ongles, pétillante, avec de grands yeux noirs au charme intrigant et un magnifique sourire, Sarah, chef d’entreprise est prête pour un nouveau départ dans la vie. Elle a accepté d’être notre ‘Profil du mois’ pour en dévoiler un peu plus sur sa personnalité. Et franchement impossible de ne pas craquer ! Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette jeune femme, sait ce qu’elle veut…
Sarah et JDate.fr
“Je me suis inscrite sur JDate.fr depuis environ trois mois. En France et à l’international, JDate jouit d’une excellente réputation. La fonctionnalité est très simple et en même temps très efficace. C’est un site conçu de manière ultra professionnelle. Les profils sont détaillés et cela permet de faire une première sélection. Les questionnaires sont bien pensés et si les gens jouent le jeu en étant honnête dans la description de leur profil (nombre d’enfants, âge, lieu de résidence..), cela permet de choisir les personnes avec qui on peut entamer un premier dialogue. Par rapport à mes critères, j’ai été agréablement surprise par le bon niveau des membres JDate. Aujourd’hui, à mes yeux, JDate est le meilleur site de rencontre de la communauté.
Ce que Sarah regarde en premier
“Un profil qui n’a pas de photo ne m’interpelle pas de prime abord. Je regarde donc en premier la ou les photos, bien sûr cela ne suffit pas. D’autres critères vont ensuite prendre le pas. L’âge, la présence d’enfants ou pas, le niveau de cacherout (les différences de pratique sont des sources de conflits), voire même les opinions politiques…Mais tout ceci n’est qu’un début…Savoir ce qu’un « candidat » fait dans sa vie, veut faire, aime ou n’aime pas, ne suffit pas encore à se faire une idée…
Le premier contact ?
“Il ne faut pas griller les étapes, comme nous conseille d’ailleurs JDate ! Après avoir tchaté avec une personne, j’aime bien échanger des mails. Même si ces échanges ne sont pas une épreuve de rédaction française, je privilégie ce mode d’expression. C’est agréable de pouvoir correspondre avec un homme qui sache s’exprimer avec aisance à l’écrit. Ensuite on peut envisager de se parler par téléphone, si les échanges par mails précédents ont été satisfaisants. Au bout du fil, si le feeling passe bien, c’est déjà un « bon point » alors un premier rendez-vous est bienvenu…
Le lieu du premier rendez-vous ?
Ce qui compte, c’est d’être agréablement surpris par la personne…donc qu’importe le lieu… Néanmoins, j’aime les lieux qui ont une histoire, les lieux insolites et inattendus. Je n’aime pas les lieux choisis à la hâte et impersonnels. En fait, il faut savoir donner un sens à un lieu. Etre subtil et vouloir faire découvrir à l’autre quelque chose qui compte à ses yeux, vouloir le partager avec l’autre, voilà déjà qui en dit long sur la personnalité d’un homme que l’on découvre pour la première fois.
L’homme idéal ?
“Le Mazal potentiel …c’est un homme « cérébral », qui porte un regard ouvert sur le monde qui nous entoure. Qui est curieux intellectuellement, qui a une capacité d’analyse intéressante, qui n’a pas forcément les mêmes opinions que moi mais qui est prêt à partager et à échanger. Un homme séduisant est avant tout, pour moi, un être profond, ouvert d’esprit, tolérant, responsable, mature , cohérent dans ses paroles et agissements, qui a une perception claire de ce qu’il veut et de ce qu’il ne veut pas. Un homme qui aime faire le bien autour de lui, qui soit prêt à s’investir tout comme moi, à faire des efforts pour construire « le couple », qui sache recevoir et donner aussi. L’être idéal est aussi celui qui rentrera avec facilité et conviction dans une sphère commune de communication.
Enfin, il y a des valeurs inexorablement indispensables telles que, l’honnêteté, la sincérité et la loyauté. Et puis, l’homme idéal à mes yeux est un homme tendre, complice, qui aime les enfants et qui a la volonté de construire un foyer avec une femme juive, avec intelligence, c’est-à-dire pas à pas vers une construction solide.
Enfin, ne pas oublier en toute honnêteté, l’attirance physique, qui est importante. Ne pas se leurrer, impossible de construire quoique ce soir si la personne est pour nous repoussante…
Qui êtes-vous Sarah ?
“J’ai fait des études supérieures de sciences juridiques, d’arts décoratifs et d’histoire de l’art à Paris et à Londres. Je suis actuellement chef d’entreprise et j’aime les responsabilités auxquelles je suis confrontée quotidiennement. C’est une question de challenge et de dépassement de soi, qui passe par une remise en question permanente.
Je suis une femme profondément fidèle et aimante. On dit de moi que j’ai du charme et je crois que mes yeux en disent beaucoup sur moi. Je suis sentimentale et attachante. La notion de famille est importante pour moi également.
J’ai une capacité d’écoute importante et j’aime me divertir, même si je reste relativement cérébrale. Je suis donc pour des échanges construits, et j’ai toujours envie de faire des efforts pour réussir avec l’Autre…je pense qu’un couple réussi, un vrai amour, est un travail de tous les jours.
L’art, la musique sont mes domaines de prédilection, mais j’aime aussi la fête! D’ailleurs, j’adore danser ! J’aime aussi beaucoup les cours ou conférences de pensée juive, c’est toujours un bon moyen de se ressourcer et de prendre conscience de l’Essentiel…
Un dernier mot ?
Esther : J’ai envie de rencontrer l’Homme de ma vie !
Soumis par: JDate Editor Sur
Esther, 30 ans, est une franco-israélienne pleine d’énergie et d’entrain. Installée en Israël depuis quelques années, cette jeune avocate a choisi Tel-Aviv pour faire sa vie. Brune, du soleil plein les yeux, positive, elle nous livre quelques traits de sa personnalité à l’occasion de ce numéro spécial vacances !
Esther et JDate.fr
On a toujours un à priori sur les sites de rencontre. Mais je me suis finalement inscrite récemment, car j’ai de nombreuses amies autour de moi qui ont rencontré des hommes qui cassaient justement les stéréotypes que l’on peut avoir concernant les personnes inscrites sur les sites de rencontre. Je pense que de nos jours, c’est un moyen simple et efficace de rencontrer de manière directe des gens que l’on a pas forcément l’occasion ni le temps de rencontrer autrement.
Ce qu’Esther regarde en premier
La photo évidemment ! Inutile de se mentir, il faut qu’il y ait un minimum d’attirance pour envisager une première rencontre. Ensuite évidemment, le contenu du profil conditionne une relation éventuelle.
L’homme idéal ?
Sans tomber dans les lieux communs, c’est un homme honnête, sérieux, posé dans sa tête et qui a envie d’avancer dans la vie, de la construire. Ensuite, c’est quelqu’un qui aime s’amuser, qui aime prendre la vie du bon côté. Bref, c’est un homme qui n’est pas blasé. Il n’y a rien de pire qu’un homme pessimiste qui n’a plus d’espoir. La vie est belle, le monde est grand, on peut apprendre tous les jours et s’étonner à chaque instant.
Le premier contact ?
Un blind date, ça peut être courageux et romantique, mais cela peut aussi s’avérer une catastrophe ! Avec tous les moyens mis à notre disposition sur JDate, je pense qu’il est facile de se parler avant une première rencontre. C’est important pour voir si on a les mêmes attentes, les mêmes envies pour pouvoir se rencontrer.
Le lieu du premier rendez-vous ?
Un lieu que je ne connaitrai pas, que le garçon en face aimerait particulièrement et qu’il aurait envie de me faire découvrir.
Je trouve sympa l’idée que l’homme se creuse la tête pour nous surprendre lors du premier rendez-vous. C’est le rôle de l’homme de faire rêver une femme et de la charmer.
Vos qualités ?
Je suis fiable, souriante, pleine d’énergie, agréable et on peut compter sur moi. J’aime avancer et ne pas rester sur des échecs.
Comme toutes les femmes, j’espère une histoire d’amour romantique. Un homme qui dirait ne pas être capable de faire rêver une fille, c’est triste, non ?
Ensuite, je ne suis pas exigeante sur le statut social d’un homme ou son niveau d’étude. Je suis souple sur les idées politiques ou autre. Ce qui compte c’est qu’il soit bien dans sa peau et ses baskets.
Vos bons plans à Tel-Aviv pour les vacances ?
Un endroit romantique : la vue panoramique du 2C (le resto du dernier étage de la Tour Azrieli). Un endroit pour faire des rencontres : le quartier Névé Tsédek
Votre été, vous le voyez comment ?
Chaud, plein de surprises et de belles rencontres…
Un message ?
S’il a aimé ce qu’il voit, il aimera plus encore en vrai !
Depuis la Suisse vers Israël pour trouver l’amour
Soumis par: JDate Editor Sur
L’alchimie entre Livnat et Arieh a été immédiate. Il a fait son Alyah en Israël depuis la Suisse, son pays natal. Elle, est une ‘Sabra’, mais peu importe, puisque tous les deux partagent les mêmes conceptions du monde. C’est la nouvelle “success story” de JDate
La conversation avec Livnat s’ouvre sur la question de savoir si elle a le temps de parler. En arrière-plan, on entend la fille aînée de Livnat et d’Arieh contestant le fait qu’il est temps pour elle d’aller au lit (sa petite sœur fait déjà dodo). « Ne vous en faites pas » nous répond Livnat, « son père s’en charge ». Après sept années de vie commune, Livnat se met à l’aise sur le canapé et tente de reconstituer comment ils y sont arrivés. « J’étais contre les sites de rencontres, je me suis inscrite sur JDate sans y télécharger de photo, » se souvient-elle. « Pour Arieh par contre, la photo était un must, en l’absence de photo, il ne contactait pas la jeune fille. » Au cours de ses navigations sur le site, elle découvre qu’Arieh l’a contactée et lui a demandé de publier une photo.
C’est pour cela qu’elle a consulté son profil. « Il y avait une photo et le profil présentait beaucoup d’informations. Tout naturellement je me suis concentrée sur des choses sans importance, sur sa taille et sur son signe astrologique, » dit-elle en riant. « Moi, je suis Balance et Arieh est Verseau. Les Balance ont tendance à lâcher la bride, ce dont ont besoin les Verseau. Les Verseau sont créatifs spontanés et originaux. Nous étions bien assortis ». Quand nous lui demandons si elle est vraiment si conciliante que ça, elle répond avec un sourire : « Dans les limites du bon goût ».
« Nous venons tous deux de familles juives religieuses et nous nous sentions à l’étroit et limités par notre cadre de vie » explique Livnat. « Mais, d’un autre côté, nous désirions tous deux fonder un foyer respectueux de la tradition et de la religion juive. Pour nous hors de question de faire un mariage mixte ! Arieh est né et a grandi en Suisse et est arrivé en Israël pour faire son service militaire, quant à moi, j’ai grandi en Judée Samarie. Donc nous avions une philosophie semblable sur le plan des valeurs et du sionisme ». Cette vision du monde qu’ils partageaient, ils l’ont découvert au cours d’une longue conversation sur JDate. De là ils sont passés au téléphone et ont continué à parler jusqu’à 3 heures du matin. Quand on demande à Livnat où a eu lieu leur première rencontre, elle essaie de se souvenir, Arieh (qui a réussi à mettre son ainée au lit) essaie de l’aider, et finalement, ils se souviennent s’être rencontrés sur Ibn Gabirol à Tel Aviv et s’être ensuite rendus au vieux port. Leur conversation a continué au pub sur la plage et ils se sont quittés à 3 heures du matin.
Les deux mois suivant leur relation est devenue plus sérieuse et s’est renforcée mais alors Arieh décide qu’il n’a pas épuisé le monde des rencontres et pour ne pas vexer Livnat, il lui dit qu’il retourne en Suisse. « Je ne comprenais pas ce qui lui était arrivé, » déclare Livnat. « Je lui ai dit qu’il faisait une erreur et que nous vivions quelque chose de bien et que ce serait vraiment dommage de rater ça ».
Quelques semaines plus tard, elle découvre que le profil d’Arieh sur JDate est actif, et réalise ainsi qu’Arieh est resté en Israël. Pour en avoir le cœur net, elle décide de faire un saut chez lui par surprise et de lui rendre sa clé de réserve. Ce qu’elle fait devant un Arieh stupéfait, mais pas pour longtemps… Après une semaine Arieh a envoyé à Livnat un e-mail, lui demandant de la rencontrer. Puis il l’a appelée et a de nouveau demandé à la revoir. Comme Arieh l’explique. « Je pense que le choix qui s’offre à vous sur JDate a créé une certaine confusion chez moi. Parfois, quand vous êtes tellement occupé à chercher, vous ne prêtez pas attention au fait que vous avez déjà trouvé ce que vous recherchiez ». On peut mettre au crédit d’Arieh qu’il a rapidement corrigé son erreur. Un mois plus tard, il présentait Livnat à sa mère et à ses frères venus lui rendre visite en Israël Deux mois plus tard ils emménageaient ensemble et leur mariage en mai 2007 ne s’est pas fait attendre.
Arieh travaille actuellement en tant que gestionnaire d’une société high-tech et Livnat en tant que directrice dans le domaine des finances. Comme ils en étaient convenus, ils mènent un mode de vie traditionnel. Qu’ont-ils à dire à ceux qui à force de voir l’arbre ne voient pas la forêt ? « Je pense que nous étions tous deux prêts » dit Livnat, “Nous avons tous deux compris de nos relations antérieures, ce qui nous convenait ou pas, ce qui était essentiel pour nous et ce que nous pouvions accepter. Cela rend la vie de couple et la vie tout court beaucoup plus simples ! »
Rencontre juive : Quand le destin s’en mêle !
Soumis par: JDate Editor Sur
Tomer a contacté Sharon pour la première fois deux ans avant de se rendre à la première rencontre. La première fois, la prise de contact était restée sans suite, la deuxième fois, elle s’est transformée en une nouvelle Sucess Storie JDate !
Sharon et Tomer viennent enfin de défaire leurs valises. Ils rentrent d’une lune de miel de trois semaines à Koh Phi Phi en Thaïlande. « L’eau était d’un bleu turquoise incroyable », disent-ils avec plaisir, “C’était vraiment réussi, excepté le fait que nous avons tous les deux eu des maux d’estomac. Nous avons vomi à tour de rôle, en parfaite coordination. Nous nous sommes reposés et le lendemain nous avons continué à profiter du voyage. La cérémonie du mariage elle-même avait eu lieu à une date symbolique : le 12/12. La lune de miel avait été reportée à plusieurs reprises, parce que les deux étaient pris par leur travail, et ils ont finalement décidé que l’hiver était la meilleure saison pour aller en Thaïlande. “Je ne comprends pas très bien pourquoi nous sommes rentrés”, dit Sharon en riant.
Le début de cette belle rencontre juive eu lieu sur JDate. « Soyons honnêtes, » déclare-t-elle, « tout ce qui t’a intéressé, c’était la photo ». Tomer plaide coupable et rappelle les premiers mots qu’il a prononcés : « Tu me plais, mais c’est la distance qui me fait peur. » Tomer faisait en fait allusion à la centaine de kilomètres qui séparent son lieu de résidence à Tel Aviv de celui de Sharon à Haïfa. Sharon ne s’est pas troublée et lui a répondu : « Que ce soient les problèmes les plus graves que tu auras à affronter dans la vie. » Sharon elle aussi avait des doutes. Elle a vérifié les photos de Tomer et seule l’une d’entre elles lui plaisait. « J’espérais qu’il ressemblerait à cette dernière et pas à ses autres photos, » admet-elle avec un sourire.
Le Karma : Lorsque la vie vous offre une seconde occasion.
« Deux à trois mois après avoir connu Tomer, nous raconte Sharon, je suis entrée sur mon profil sur JDate. J’avais bien gelé mon abonnement, mais je n’avais pas encore fermé mon profil, c’est ainsi que j’ai pu jeter un coup d’œil dans ma boite de messagerie. Je suis remontée en arrière pour voir les anciens messages reçus au cours des années que j’avais sauvegardés. »
C’est en jetant un tel coup d’œil que Sharon a découvert qu’elle et Tomer avaient déjà discuté auparavant. « Deux ans avant notre première rencontre, il m’avait déjà contactée. » Nous dit-elle avec émotion. « Son message m’avait probablement fait rire, vu que je l’avais sauvegardé. Tomer y écrivait qu’il était disponible pour un mariage en septembre. J’y avais répondu et lui aussi, mais on en était resté là. Et voilà que deux ans après, alors que chacun de nous avait poursuivi sa route, nous nous sommes mariés. » La plus belle fin pour que l’on puisse espérer pour une relation !
Après avoir tchaté sur le site et parlé au téléphone plusieurs fois, Tomer a pris sa voiture un vendredi et s’est rendu à Haïfa. Ils se sont rencontrés dans un bar et leur rencontre a duré un peu plus de deux heures. Sharon prétend qu’ils s’y sont embrassés, Tomer surpris dit ne pas même s’en souvenir. « Mais si, je voulais aller aux toilettes et tu m’as embrassée et puis tu m’as demandé si j’allais revenir ». Tomer a aimé l’approche directe de Sharon, et après qu’ils se sont quittés, elle lui a envoyé un texto pour lui dire qu’elle appréciait le fait qu’il était venu à Haïfa. De là les choses sont allées assez vite, Sharon rentrait juste d’un séjour prolongé à Londres et elle voulait de toute façon déménager à Tel Aviv, pour y trouver un appartement et un emploi. Ils sont ensemble depuis août 2012.
Beaucoup de filles attendent ce moment à l’issue d’une rencontre juive
Un an plus tard exactement, c’est au cours d’un week-end romantique à Mitzpe Ramon, que Tomer lui a proposé le mariage. « Nous venions de terminer notre dîner, nous sommes rentrés dans notre chambre où nous avons ouvert une bouteille de champagne, j’ai alors dit à Sharon que nous célébrions une excellente année, et que je savais comment la rendre parfaite. » « Tomer m’a alors dit de fermer les yeux, » poursuit Sharon « et quand j’ai ouvert les yeux je l’ai vu pleurer. Il m’a dit combien il m’aimait et m’a demandé de l’épouser. Il était tellement ému qu’il en a oublié d’ouvrir l’écrin de la bague. Je me suis mise à rire et bien sûr j’ai dit, Oui, j’y consens ! »
« Beaucoup de filles attendent ce moment à l’issue d’une rencontre juive . Quand ça vous arrive dans la vraie vie, on rit de se retrouver dans cette situation et cela crée beaucoup d’émotion. »
Alors qu’est-ce qui a fait que leur rencontre a bien marché ?
Quand on leur demande pourquoi leur relation a réussi, Sharon réfléchit et répond que c’est parce qu’ils se ressemblent autant qu’ils sont différents l’un de l’autre, juste dans la bonne proportion. « Nos points de vue sur certaines questions ne correspondent pas toujours, autrement ce serait ennuyeux. Nous sommes à l’écoute l’un de l’autre et ensuite nous nous mettons au diapason ». Tomer ajoute que « le plus important pour un couple, c’est d’être amis. » Sharon est d’accord avec lui. « Nous sommes de très bons amis », dit-elle, « nous aimons faire les choses ensemble. Quand je veux faire quelque chose, je pense immédiatement à Tomer. Et je sais qu’avec lui ce sera le plus agréable. »
Veux-tu m’épouser ?
Soumis par: JDate Editor Sur
Inbal et Orel étaient déjà des habitués du monde des sites de rencontres en ligne, avant de se connaître. Cette fois-ci, ça a marché. Pourquoi ? Toutes les réponses dans cette nouvelle Success Story de JDate.
Le texto que nous recevons vient d’Inbal, une heure et demie avant l’heure où nous étions censés nous entretenir. Elle m’informe qu’Orel est retenu au travail, et que nous devons repousser notre interview. Lorsque les deux sont enfin au rendez-vous sur haut-parleur on comprend évidemment pourquoi elle l’attendait. L’alchimie entre eux est totale. Ils complètent mutuellement leurs phrases, qui sont généralement accompagnées d’éclats de rire contagieux.
« Ce qu’il avait écrit sur son profil m’avait plu et je lui ai envoyé un message, mais il a eu le culot de me faire attendre deux jours pour répondre » explique Inbal. Pourquoi Orel a-t-il attendu si longtemps ? En fait, il avait déjà fixé rendez-vous à une autre femme juive. Inbal intervient pour demander à Orel de nous parler de cette rencontre. « Nous avions fixé rendez-vous près de chez elle, et c’était assez sympa. Elle avait parlé la majeure partie de la soirée de son ex-petit ami et j’ai écouté. Il était clair que c’était sympa et rien de plus “explique le jeune homme.
Lors de leur rendez-vous Inbal et Orel se retrouvent ensemble à faire la queue devant la caisse du café. « Les cinq premières minutes nous avons échangé quelques mots mais nous étions terriblement gênés, en attendant qu’on nous prépare notre café » se rappelle Orel en riant qui avoue avoir pensé: « C’est encore une rencontre qui va rester sans suite. » Pourtant, il se décide à briser la glace et dit à Inbal qu’à force de rencontrer des filles juives dans les cafés, il souffre d’une intoxication de caféine. Inbal éclate de rire, le courant passe et la rencontre se termine par un léger baiser…
La deuxième rencontre
Dès la deuxième rencontre, le lien s’établit. “Nous nous sommes ouverts l’un à l’autre, et avons découvert que nous aimions les mêmes choses et que nos personnalités étaient proches”. Au bout de cinq mois, Inbal emménage chez Orel, et un mois plus tard il l’invite en Grèce. « Nous étions tous convaincus qu’il me ferait sa demande en mariage en Grèce. Et quand je dis “nous”, je veux dire toute ma famille, mes amis, les gens avec lesquels je travaille, en fait tout le monde ! »
Mais voilà, la demande ne vient pas et comme Inbal le dit carrément : « C’était la première fois qu’il nous décevait tous. »
Mais quelques mois plus tard, à l’occasion de l’anniversaire de la jeune femme, le couple part en week-end dans le Nord du pays. « Nous avons passé deux jours dans une jolie chambre d’hôte mais toujours pas de demande. Finalement je me suis énervée et j’ai cessé de lui parler. Il ne comprenait pas pourquoi ». Le soir, dans le joli restaurant romantique où ils ont décidé d’aller diner, Inbal joue cartes sur la table. « Je lui ai dit qu’il me parlait d’un avenir commun, d’acheter une maison ensemble, mais qu’il ne disait rien d’un éventuel mariage » Pour toute réponse, Orel se contente de se taire et de la ramener à la chambre. Mais lorsqu’ils sont arrivés dans la cour avec piscine privée Inbal découvre une grande pancarte sur laquelle est écrite la fameuse phrase que toute femme juive rêve d’entendre : “Veux-tu m’épouser ? ”
« J’ai failli tomber dans la piscine tellement j’ai été surprise ! »
Aujourd’hui, ils profitent simplement de la vie et de leur vie de couple. La lune de miel aura lieu en avril aux États-Unis. Quand on leur demande pourquoi, après tant de rencontres, cette fois-ci ça a marché, Inbal répond que “l’expérience m’a appris que les contraires ne s’attiraient pas et ne se complétaient pas. Dans le fond, il est nécessaire d’aimer les mêmes choses. » Orel est d’accord avec elle, mais il ajoute qu’ils sont flexibles l’un avec l’autre et qu’ils font ensemble des choses qu’ils n’aiment personnellement pas outre mesure, « vu que c’est exactement ce que signifie le fait d’être ensemble. » Nous ne nous disputons pratiquement jamais, sauf quand je ne lui propose pas le mariage ! Conclu Orel en riant…
L’Amour à la mode Tel-Avivienne
Soumis par: JDate Editor Sur
Après avoir pris un verre dans un pub, sous une pluie d’avril à Tel Aviv, ils sont rentrés chez eux, Yaël à bicyclette et Hagaï en taxi sans avoir réalisé qu’ils venaient de rencontrer l’amour de leur vie. Alors, comment est-ce que ça a quand même marché ? Encore une nouvelle success story de JDate !
Hagaï se rappelle la date où il a appris l’existence de Yaël comme si c’était hier, le 4/4/2011. Après plusieurs relations entamées hors ligne, il décide de s’inscrire sur le site juif de rencontre JDate. Yaël prend l’initiative de le contacter. « Yaël avait bien fait comprendre qu’elle ne croyait pas aux longues discussions philosophiques sur les sites de rencontres ou au téléphone » raconte Hagaï, « alors nous avons tous deux décidé de nous jeter dans le bain pour vérifier la température de l’eau ! »
La première rencontre a eu lieu au Pub Norman, rue Hillel l’ancien à Tel Aviv. Quand le barman a demandé à Hagaï ce qu’il voulait boire, il lui a répondu “comme d’habitude”, lui demandant toutefois de ne pas le servir avant l’arrivée de Yaël. Mais, le barman lui a versé sa bière au moment même où elle entrait. « Aujourd’hui encore, Yael ne peut pas me pardonner le fait que je n’aie pas attendu qu’elle commande la première, et peu importe combien de fois je lui ai expliqué » précise Hagaï en riant.
Le courant est bien passé au cours de ce rendez-vous et quand ils sont sortis, il a commencé à pleuvoir. « Je lui ai suggéré d’appeler un taxi, mais elle a insisté pour rentrer chez elle à vélo dans le quartier de Florentine». Quand il est rentré chez lui, Hagaï a téléphoné à Yaël pour vérifier qu’elle était bien arrivée sans encombre. « Aujourd’hui, je sais qu’après la première rencontre Yaël n’était pas sûre de vouloir poursuivre » se rappelle Hagaï, « C’est seulement après coup, que j’ai appris que ce sont ses collègues de travail qui l’ont convaincue de me donner une seconde chance. »
À la deuxième rencontre, le futur couple avait déjà une passion commune. Courant tous deux au semi-marathon de Tel-Aviv, ils s’étaient donné rendez-vous pour boire un verre dans un café sympa. Cette fois-ci, il ne pleuvait pas et Hagaï l’a raccompagnée chez elle. C’est également là qu’a eu lieu leur premier baiser. L’anniversaire de Yaël tombant deux semaines après leur rencontre, Hagaï lui a préparé un gâteau personnalisé. « À partir de là, tout s’est déroulé assez vite, mais il y a eu un petit ennui quand nous sommes allés ensemble à Barcelone, un mois après notre premier ‘date’. J’ai attrapé un virus pendant quelques heures, et comme il était trop tôt dans la relation, elle ne pouvait pas s’occuper de moi et je ne voulais pas avoir l’air faible à côté d’elle ». Avec le recul, l’expérience partagée n’a fait que renforcer leur relation de couple, et Hagaï et Yaël ont emménagé ensemble quelques mois plus tard.
En novembre, Hagaï, qui est contrôleur aérien, s’est rendu aux États-Unis dans l’Oklahoma dans le cadre de son travail. “Le fait que nous allions nous marier était dans l’air. Un peu avant d’aller à Berlin pour participer à un marathon, Yaël m’a fait promettre de me concentrer uniquement sur le marathon et de ne rien prévoir, malgré le fait que mon frère et ma belle-sœur s’étaient joints à nous ».
Hagaï a bien couru le marathon, mais il n’a pas non plus oublié la proposition de mariage. Lorsqu’il s’est rendu dans l’Oklahoma, il a profité des temps morts pour préparer sa proposition de mariage à Yaël. Il a contacté une orfèvre professionnelle qui a fait fondre des pièces d’or que Hagaï avait reçues de son grand-père pour sa Bar-mitzvah. Le diamant a lui aussi trouvé sa place sur la bague avec un petit coup de main de ses amis. De l’Oklahoma, Hagaï a organisé toute l’opération, imprimant, découpant et encadrant les photos de leur vie commune et il les a envoyées à l’Hôtel Bereshit de la ville de Mitzpé Ramon. Du hall d’arrivée de l’Aéroport International Ben Gourion, ils se sont directement rendus à Mitzpé Ramon, où les attendaient le champagne, des chocolats, des fleurs et les photographies. “Je me suis mis à genou, j’ai pris la bague et je lui ai demandé : « Veux-tu m’épouser ? » se rappelle Hagaï, le sourire aux lèvres.
Un an et un mois après leur première rencontre, Yaël et Hagaï se sont mariés sur la pelouse de chez sa mère au Moshav Nir Tzvi. Ont également été mis à contribution dans la préparation de l’événement la famille et les amis. « La mère de Yaël, artiste et céramiste, s’est chargée de concevoir le design des tables et a réalisé des sculptures spéciales, un voisin cultivant les fleurs en a rempli la cour, et c’est un membre du Moshav qui a fait office de traiteur ” se souvient Hagaï. Et le Moshav ne constitue pas seulement le début de l’histoire de Ruth et de Hagaï, il est également là pour la suite. Ayant tous deux grandi dans un moshav, c’est là qu’ils veulent élever leurs futurs enfants. Et nous leur souhaitons un grand Mazal Tov !
Quand une française et un Israélien se rencontrent sur JDate !
Soumis par: JDate Editor Sur
Entre Toulon et Rishon Letsion, plusieurs milliers de kilomètres et un taux de probabilité de rencontre amoureuse approchant le niveau zéro. Et pourtant, Céline de Toulon et Dotan de Rishon Letsion se marieront bientôt. Découvrez la nouvelle histoire d’amour sans frontières née sur JDate.
Le premier contact entre Dotan, 25 ans et Céline, 22 ans, a eu lieu par le biais de notre site de rencontres. “J’avais un compte sur JDate depuis six mois, je cherchais quelqu’un de sérieux avec une mentalité différente de celle qu’ont les filles israéliennes, et nous étions le 7 Juillet : le 7 /7 !» se souvient Dotan. « J’ai jeté un coup d’œil pour voir qui était en ligne également à l’extérieur d’Israël et j’ai découvert Céline ».
Céline depuis Toulon, répond à Dotan sans être convaincue de l’intérêt des relations longues distances. « Je venais de rompre une relation avec un homme qui était toujours à l’étranger et je n’avais pas l’intention de recommencer. Mais avec Dotan le feeling est tellement bien passé que nous avons immédiatement pu communiquer en toute simplicité. J’ai reçu d’autres messages de personnes vivant près de chez moi et je ne leur ai pas répondu, je ne sais pas pourquoi j’ai répondu à Dotan… »
Plus étrange encore, cela ne faisait que 5 minutes que Céline (inscrite par sa maman ! ) était sur JDate, quand Dotan l’a contactée sur le site. « Il y a des petites choses qu’on ne peut pas expliquer dans notre belle histoire » précise Céline.
Pour Céline, être inscrite sur un site juif de rencontre est une démarche naturelle : “Quand on vit dans une petite communauté, comme Toulon, c’est un des meilleurs moyens de rencontrer un garçon juif ou une fille juive selon moi”.
Lui se trouvant en Israël et elle se trouvant en France, Dotan et Céline prennent tout d’abord les choses à la légère sans se mettre la pression. Du site de rencontres ils sont passés à Skype, et de Skype à WhatsApp et finalement cela s’est terminé par un appel téléphonique. La licence d’anglais de Céline l’aide à surmonter le barrage linguistique.
« Après une semaine de discussions par tous les médias sociaux possibles, nous avons réalisé que ce que nous vivions là, c’était quelque chose de plus sérieux que d’habitude » dit Dotan.
« Céline avait de toute façon prévu de venir en Israël 1 mois plus tard pour le mariage d’une copine, alors nous avons pris les choses en main. » Dotan attendait Céline dans le hall des arrivées de l’aéroport à 4h du matin. « Dès qu’elle a franchi les portes, mon cœur a fait un bond. De l’aéroport, nous allés tout droit à la mer, et nous y sommes restés jusqu’au lever du soleil, échangeant alors notre premier baiser. »
Si Céline est bien arrivée à temps pour le mariage de son amie, c’est par contre avec Dotan qu’elle a passé le reste de ses vacances. « Dès le premier instant, nous nous sommes comportés comme si nous nous connaissions depuis toujours. Même si nous nous demandions ce que nous réservait l’avenir, la plupart du temps nous nous sommes permis de profiter du moment présent » explique Dotan.
Après la fin de son congé et le retour de Céline en France, tous deux ont décidé de poursuivre la relation. Dotan s’est rendu à Toulon, et elle, elle est revenue le voir en Israël. « Nous avons respectivement été hyper bien acceptés par nos familles respectives » affirme la jeune fille qui décide alors de sauter le pas : rejoindre Dotan.
« Pour Céline il n’était pas question que je quitte Israël et immigrer en Israël répondait à un vieux rêve mais il n’est pas facile d’être nouvelle immigrante. Nous avons beaucoup parlé au téléphone de sa décision » explique Dotan.
Mais pour Céline, « impossible de passer à côté de l’homme de ma vie. Nous nous sommes fiancés en Janvier et en Mars j’étais en Israël ! »
La proposition de mariage a eu lieu à Jérusalem sur un balcon surplombant le mur des Lamentations. Dotan a alors plié genou, sorti la bague de fiançailles et lui a présenté sa demande.
Depuis, Céline vit chez les parents de Dotan. « Tout se passe merveilleusement bien. J’ai trouvé du travail et je m’intègre en douceur, heureuse de partager le quotidien de Dotan »
« Je suis amoureuse, c’est l’histoire de ma vie, on est fait pour être ensemble. Je ne regrette en aucun cas d’avoir tout laissé pour rejoindre Dotan » explique Céline.
Le mariage est prévu pour février prochain, il aura lieu en Israël.
“Il y avait une chance sur 1000 pour qu’on se rencontre, mais quand on est ouvert, positif et qu’on laisse la chance jouer son rôle, tout peut arriver !” conclu Céline en guise de message aux célibataires juifs qui hésiteraient encore à s’inscrire sur un site juif de rencontrer !
Mazaltov !!
Omer et Lital : Des débuts compliqués pour une fin heureuse !
Soumis par: JDate Editor Sur
Leur premier rendez-vous a commencé par une gaffe, mais a fini par accoucher d’un mariage.
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« Omer et moi nous sommes rencontrés deux ou trois ans après ma rupture d’avec mon premier petit ami.» C’est ainsi que Lital se souvient comment elle a rencontré Omer, après avoir fait une pause par rapport au monde des rencontres. « En fait, c’est mon père qui m’a incitée à m’inscrire sur un site juif de rencontres et à tenter ma chance. Il était contrarié qu’à l’âge de 23 ans, je sois encore « une vieille fille », dit-elle en riant.
“Un vendredi, je me suis rendue sur JDate et j’ai commencé à consulter les profils des garçons. Je me suis arrêtée sur le profil d’Omer car j’ai vraiment aimé ce qui y était écrit. Il avait réussi à dire de manière élégante qu’il aimait passer du bon temps, se faire plaisir et qu’il ne se la jouait pas ». Ils ont décidé de se parler le lendemain. Mais soudain, au bout de quelques minutes, elle reçoit un texto lui disant : ” Lital, est-ce que tu as réfléchi ? “. ” Je lui ai demandé ce que voulait dire son message ? “, raconte-t-elle en riant, ” le pauvre, il s’était tout simplement emmêlé les pinceaux en m’envoyant un message qui ne m’était pas destiné”.
La gaffe du premier rendez-vous.
La première rencontre avait été fixée pour le samedi avant Rosh Hashana. Lital a demandé à sa maman de la libérer des interminables tâches ménagères, de la cuisine et des préparatifs pour la fête. Sa mère l’a libérée, mais lui a demandé de lui donner le numéro de téléphone d’Omer lui jurant de ne pas l’utiliser. Cette fois-ci, ça a été au tour de Lital de faire une gaffe au téléphone. Le rendez-vous a tellement bien marché, que Lital n’a absolument pas entendu son téléphone sonner. C’était sa sœur qui la recherchait. Lital n’ayant pas répondu à plusieurs reprises, sa mère s’est décidée à appeler Omer. ” Le pauvre “, dit Lital, ” il ne comprenait pas d’où ça lui tombait dessus. ”
Du site de rencontres à la Houppa .
Entre la prise de contact sur le site de rencontre et le jour de la proposition en mariage une année de vie commune heureuse s’est écoulée. ” Jusqu’à ce qu’il me fasse enfin sa proposition, je n’y croyais plus,” dit Lital, ” Plusieurs fois, Omer m’a offert un pendentif dans une boite complètement rouillée ou une chaîne déglinguée ». La quatrième fois a été la bonne. ” Il ne s’est rien passé de spécial, se souvient Lital, “il est sorti de la douche en peignoir de bain. Omer s’est mis à genoux et a avoué qu’il ne pouvait plus se retenir, qu’il avait eu la bague sur lui durant toute la journée. Lital a naturellement accepté. “Il a exprimé ainsi toute l’émotion qu’il ressentait”, rit-elle, ” Le pire, c’est que je n’avais personne à qui le raconter, vu qu’on était au beau milieu de la nuit et… me voilà couchée dans mon lit toute excitée, et lui, il dormait comme un bébé”.
Aujourd’hui, ils partagent une vie heureuse dans leur nouvelle maison. « Nous n’avons toujours pas d’enfants » dit Lital « c’est pourquoi nous ne ressentons pas vraiment de différence par rapport à la période antérieure à notre mariage ». Pour leur temps libre, ils aiment prendre un verre dans un pub, aller voir un bon film ou tout simplement passer une nuit à papoter. Ensemble, ils se maintiennent en forme en faisant de la randonnée, ce qui laisse beaucoup de temps pour discuter de la question où aller passer leur lune de miel. En Thaïlande ? Ou bien en Italie ? Barcelone est également à l’ordre du jour. Ils ne se sont toujours pas décidés.
Coaching: S’engager pour partager. Par Aviva Azan
Soumis par: JDate Editor Sur
Si vous répondez « oui » à l’une de ces questions : lisez la suite…
Les rencontres se passent bien mais vous craignez que ça ne dure pas ?
Vous vous plaisez mais vous hésitez à faire le grand saut ?
L’engagement vous fait peur dans l’absolu ?
Vous aimeriez pousser l’autre à s’engager ?
Vous avez tendance à attendre que l’autre s’engage ?
Si vous vous sentez concernés, vous avez besoin de développer la confiance en vous et en l’univers…
Il est parfois difficile de ne pas se décourager face à certains schémas qui se répètent : Les phases d’espoirs d’avant le rendez-vous, la déception d’après ou la désillusion après plusieurs rencontres. Nous aurons alors du mal à garder confiance en soi et en l’avenir. Nous risquons de ressentir un sentiment d’échec…
Pour sortir de ce pattern, nous devons changer certaines de nos croyances et développer une confiance en soi inébranlable !
Comment réussir son projet de vie à deux ?
Avant tout, comprenons le cheminement d’un projet jusqu’à sa réalisation.
Pour réaliser un projet nous passons tous par une phase de création. Ce n’est pas l’étape la plus difficile; c’est le moment où l’on se dit: “J’aimerai…”, “Mon rêve serait de… ” ou encore “Ce serait bien si…” Ensuite nous devons passer à la réalisation. Pour matérialiser ce projet installé dans notre imaginaire, il nous faut quelques ingrédients: une bonne dose de confiance en soi, quelques croyances sympas comme la certitude absolue que l’échec n’existe pas, que tout est expérience. Une caractéristique importante à développer, est le discernement. Elle nous permettra de repérer les mauvais conseils, à écarter tous ceux qui sèment le doute par de subtiles petites phrases déstabilisantes comme: “T’as pas peur que…”, par exemple.
Cependant il existe une clef pour nous permettre d’utiliser facilement tous les ingrédients de réussite dont nous sommes tous porteurs: l’engagement au monde. Plus notre engagement est important, plus nos projets seront faciles à réaliser.
Si nous réalisons que nous avons une mission, nous mettrons alors tout en œuvre pour exploiter nos ressources, notre potentiel.
« Ceci est valable pour la réalisation d’un projet personnel, me diriez-vous, mais pour construire un projet decouple, il faut être deux ! »
Et bien non, pas tout à fait…Si nous avons confiance en soi à un niveau individuel, nous allons alors attirer à nous le/la partenaire qui sera à la hauteur pour partager notre projet, naturellement.
Comme l’a écrit Antoine de Saint Exupéry, “Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans la même direction. ”
Commençons par trouver une direction de vie, un engagement au monde, quelqu’un aura envie alors de venir partager.
Aviva Azan
Séminaire à Tibériade, sur les rives du lac Kineret du 23 au 26 février : “CONSTRUIRE SA VIE”
Déraciner les mauvaises herbes, déblayer les gravats d’histoires du passé dépassé, assainir le terrain et construire son avenir…
Réduction pour les abonnés JDate.fr
http://www.jdate.fr/jmag/jlifestyle/llamour-est-aveugle-la-science-le-prouve/
L’amour est aveugle. La science le prouve !
Soumis par: JDate Editor Sur
Dès notre plus jeune âge, on nous dit que le cœur ignore la raison, qu’il transcende les simples lois humaines et la physique et qu’il crée lui-même de nouvelles lois. Le cœur et la tête, nous dit-on, sont complètement séparés, aussi éloignés que le sont le soleil et la lune. Les scientifiques ayant entendu les arguments de ce type ont décidé d’étudier la question en profondeur. Ils ont utilisé la logique avec des expériences scientifiques à l’appui, mais ils ont surtout tenté de comprendre le monde de la rencontreet la passion amoureuse en particulier.
Combien de fois avez-vous pensé à l’expression « l’amour est aveugle », en voyant un ami tomber amoureux d’une horrible sorcière, ou votre amie sortir avec un gars directement sorti de l’enfer ? Combien de fois avez-vous vainement tenté de leur expliquer qu’ils se trompent, que la passion amoureuse les aveugle et qu’elle les empêche de voir à quel point la personne avec laquelle ils sortent est mauvaise, mais inlassablement ils vous répondent que vous aviez tort ? Eh bien, la prochaine fois que ça arrivera, vous pourrez leur expliquer à quel point ils se trompent, car il s’avère que la cécité de l’amour a été scientifiquement prouvée.
Dans une étude menée à l’Université de Londres, il est apparu que lorsque les gens amoureux regardent l’objet de leur amour, les parties du cerveau responsables de l’esprit critique s’éteignent tout simplement et sont absolument incapables de voir ses défauts. Cet état, appelé également « l’amour aveugle », est la principale cause de divorce et des problèmes conjugaux qui commencent quand le corps s’habitue à la nouvelle présence et que la fonction critique se rallume – à ce stade-là, tous les problèmes précédemment masqués réapparaissent soudainement.
La seule façon de contourner l’ « aveuglement » de l’amour est d’écouter attentivement vos amis. Pour cette raison, il est très important au début d’une relation de présenter le candidat potentiel à vos amis les plus proches, puis de leur demander un second avis sur l’amour en question. Si la critique est négative et que vos amis y voient de terribles problèmes que vous ne voyez pas, écoutez les attentivement et essayez de comprendre si leur critique est justifiée.
L’Amour vous donne des ailes
Peut-être l’amour affecte-t-il vraiment votre vue et votre capacité à penser de façon critique, mais il vous apporte aussi d’autres avantages. Le chercheur Richard Robinson a découvert que l’exposition à androstérone, l’hormone contenue dans l’odeur de la sueur masculine, peut améliorer l’humeur des femmes hétéros et renforcer leurs signes vitaux, améliorer la circulation sanguine et immédiatement provoquer l’excitation sexuelle.
Ces effets provoquent la libération d’hormones supplémentaires, appelées monoamine, sérotonine et dopamine, ce qui provoque des sentiments de bonheur, et produit un effet semblable à l’ivresse due à la consommation d’alcool ou aux effets euphoriques de la consommation de drogue ; c’est de là que provient le sentiment si répandu chez quiconque a jamais été amoureux de flotter sur un nuage, ou même l’état d’émerveillement ressenti lors de certaines rencontres.
Tout est dans les yeux
Enfin, les études ont montré qu’un rapide coup d’œil dans les yeux de votre vis-à-vis vous indique combien vous êtes amoureux. Les chercheurs ont constaté que lorsqu’on regarde un être cher, les pupilles se dilatent. Les scientifiques croient que c’est parce que notre cerveau veut ressentir encore plus ce qu’il voit de l’être aimé, c’est pourquoi il exige que l’œil reçoive plus de lumière et plus de détails visuels.
En outre, les scientifiques croient que même ceux qui ne sont pas conscients de cet effet le comprennent naturellement quand ils voient les pupilles élargies d’une autre personne et prennent ainsi immédiatement conscience des sentiments d’autrui. C’est également pour cette raison que les rencontres dans des bars sombres sont habituellement plus efficaces – nous nous y sentons aimés, nous avons tendance à aimer ceux qui nous aiment et nous nous sentons mieux nous-mêmes ; car dans l’obscurité, nos pupilles se dilatent naturellement, ce qui simule l’affection et convainc l’autre qu’il nous plaît. Ces sentiments sont souvent réciproques et encouragent des sentiments de plus en plus forts chez les deux membres du couple et éventuellement permettent le premier effet qui empêche les gens de voir les défauts dans celui ou celle qu’ils aiment, ce qui finalement rend possible une vie de couple réussie.
Science, quand tu nous tiens !
Comme nous l’avons vu, même si l’amour est magique, et tient du miracle, il a aussi des effets physiologiques évidents qui aident les couples à tomber amoureux et à lier connaissance et à passer avec succès l’épreuve de la première rencontre, ce qui en soit est une chose merveilleuse.
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