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Enquête d’opinion sur les qualités des prestations offertes par la SEOR83% des personnes interrogées se déclarent satisfaitesUne nouvelle enquête d’opinion réalisée récemment par la société de l’eau et de l’assainissement d’Oran (SEOR) auprès de ces abonnés a révélé que la majorité des personnes interrogées étaient satisfaites des prestations de services de cette société. Cette enquête d’opinion qui a été réalisée par téléphone a dévoilé que 83% des personnes questionnées étaient satisfaites. Les enquêteurs ont été chargés par la SEOR des études préalables, de la rédaction du questionnaire et du traitement informatiques des données collectées. Les enquêteurs ont opté pour le sondage téléphonique, par rapport au face à face, parce qu’il représente de nombreux avantages: rapidité, dispersion géographique de l’échantillon, discrétion, etc. Le sondage par téléphone réduit surtout les risques de bidonnage des enquêteurs, le contrôle de leur travail pouvant être effectué plus facilement.
Ce taux de satisfaction qualifié d’important est justifié par l’amélioration de la situation de l’AEP depuis fin 2012 dans la wilaya Oran qui est alimentée en h24. Presque 98% du territoire de la wilaya est couvert en h24 par la SEOR à l’exception de la localité de Tafraoui. Les abonnés de plusieurs localités, qui souffraient jusqu’à un passé proche des coupures à répétition de l’AEP, assistent à une amélioration dans l’approvisionnement en eau grâce aux projets de raccordement au MAO. Le volume en eau consacré à la wilaya est passé à 370.000 m3/jour permettant ainsi à la SEOR d’élaborer un programme pour approvisionner la population 24h sur 24h. Ces ressources sont en provenance des barrages de Gargar, MAO/SDEM Mostaganem, du SDEM de Kahrama, du SDEM de Chott El Hillal, de la station de déminéralisation de Brédéah, des stations monoblocs de Bousfer et des Dunes et des ressources locales.
A. Saïd
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À J-2 de l’ouverture de la manifestation
“Cirta s’efforce d’être au rendez-vous avec elle-même”
La ville des Ponts suspendus vivra des événements culturels une année durant. ©Louiza/Liberté
“Ya Rab, Faites qu’on soit au rendez-vous !” À quelques jours de l’ouverture officielle de la manifestation “Constantine, capitale de la culture arabe 2015”, ce cri du cœur, les autorités voudraient qu’il soit poussé haut et fort. D’autres, tels des amants éconduits, cèdent à la fatalité et baissent déjà les bras, convaincus que Constantine ne sera pas en mesure de respecter tous ses engagements…
La scène se passe sur l’avenue Belouizdad. En plein jour. Des passants viennent de recevoir des pierres sur la tête, des gravats visiblement tombés du chantier non sécurisé. C’est la débandade. Des insultes commencent à fuser de part et d’autre et cela dure pendant plusieurs minutes. Cette scène, parmi tant d’autres, rappelle le quotidien “cauchemardesque” des Constantinois, depuis plusieurs mois. Impossible d’échapper au brouhaha causé par les gros engins de construction qui ont envahi les grandes avenues du centre-ville.
En effet, c’est par la grâce de sa nomination au titre de capitale de la culture arabe, par l’organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (Alesco), que Constantine tente de rattraper dans la précipitation son retard culturel. Profitant des préparatifs de cet événement, les pouvoirs publics ont entrepris un véritable programme de rénovation des infrastructures culturelles, en ont créé d’autres, restauré “superficiellement” son vieux bâti et changé aussi sa physionomie. Dans leur élan de “générosité”, les autorités ont également décidé de paver, une fois encore, les principales artères et de badigeonner les façades lépreuses des immeubles de la cité Numide. En fait, dans une ville qui ne connaît pas la mesure, on est passé du manque au trop plein. La cité tout entière, pour ainsi dire, résonne des coups de marteaux et des raclements de pelles. Jour et nuit.
Devant cette suractivité, les riverains prennent leur mal en patience. “Notre quotidien a été complètement bouleversé au point de ne plus s’y retrouver, les ouvriers travaillent de jour comme de nuit pour rattraper le retard, mais ce sont les habitants qui en pâtissent”, dira Hamid S., un jeune étudiant qui, pour se rendre à la faculté, a dû changer ses habitudes comme des centaines comme lui. D’autres pour éviter d’être coincés dans les bouchons, causés pour la plupart par les travaux, ont carrément opté pour le tramway, même si cela leur revient plus cher. “J’ai décidé de prendre le tram pour ne pas perdre de temps dans la circulation, et ça me coûte 170 DA chaque jour, car une fois arrivé au terminal, je dois encore prendre un taxi pour enfin rentrer chez moi, à la nouvelle ville Ali-Mendjeli”, nous dira Lamia. Mais si pour cette dernière, la situation est peu enviable, elle l’est moins pour d’autres. Il s’agit des transporteurs clandestins. Ces derniers se sont constitués, pour ainsi dire, en association informelle et ont créé leurs propres stations de taxi et déterminé les lignes à desservir. Une initiative que les usagers ont accueillie non sans une certaine satisfaction. “La plupart des stations de taxi réglementaires ont été délocalisées à cause des travaux”, confie Salim, un usager des transports en commun. Et de poursuivre : “Certes, il y a beaucoup de désagréments, mais la manifestation a donné un coup d’accélérateur à un certain nombre de projets jamais entrepris faute de volonté politique.” Beaucoup de Constantinois ont davantage à l’esprit les contraintes engendrées depuis l’entame de l’opération, avec le lancement officiel de la manifestation.
Les commerçants, notamment ceux qui ont pignon sur rue, en subissent le contrecoup. Il suffit de se rendre dans certains magasins désespérément vides pour se rendre compte que ceux-ci subissent, malgré eux, une baisse sensible de leur chiffre d’affaires. En fait, les clients ne s’y bousculent plus, et ce, pour deux raisons. La difficulté d’accès pour les piétons et la quasi-impossibilité pour les automobilistes de stationner. Lazhar est patron d’une parfumerie de luxe. “J’ai perdu jusqu’à 20% de mon chiffre d’affaires, depuis le début des travaux”, se désole-t-il. Le patron d’une pizzeria a, lui aussi, vu sa clientèle se réduire comme une peau de chagrin. “On voit de moins en moins de clients, même ceux qui avaient l’habitude de venir déjeuner chaque jour on ne les voit plus”, déplore notre interlocuteur. Même constat pour certaines boutiques de vêtements, dont les gérants profitent du calme plat pour faire un brin de toilette. “Avec les travaux, les gens ont peur de se déplacer et buter sur les gravats ou recevoir une pierre sur la tête”, constate Khalil, tout en regrettant l’inexistence d’un dispositif d’échelonnement de leurs charges fixes du moment que les travaux impactent sur leurs activités.
En effet, c’est par la grâce de sa nomination au titre de capitale de la culture arabe, par l’organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (Alesco), que Constantine tente de rattraper dans la précipitation son retard culturel. Profitant des préparatifs de cet événement, les pouvoirs publics ont entrepris un véritable programme de rénovation des infrastructures culturelles, en ont créé d’autres, restauré “superficiellement” son vieux bâti et changé aussi sa physionomie. Dans leur élan de “générosité”, les autorités ont également décidé de paver, une fois encore, les principales artères et de badigeonner les façades lépreuses des immeubles de la cité Numide. En fait, dans une ville qui ne connaît pas la mesure, on est passé du manque au trop plein. La cité tout entière, pour ainsi dire, résonne des coups de marteaux et des raclements de pelles. Jour et nuit.
Devant cette suractivité, les riverains prennent leur mal en patience. “Notre quotidien a été complètement bouleversé au point de ne plus s’y retrouver, les ouvriers travaillent de jour comme de nuit pour rattraper le retard, mais ce sont les habitants qui en pâtissent”, dira Hamid S., un jeune étudiant qui, pour se rendre à la faculté, a dû changer ses habitudes comme des centaines comme lui. D’autres pour éviter d’être coincés dans les bouchons, causés pour la plupart par les travaux, ont carrément opté pour le tramway, même si cela leur revient plus cher. “J’ai décidé de prendre le tram pour ne pas perdre de temps dans la circulation, et ça me coûte 170 DA chaque jour, car une fois arrivé au terminal, je dois encore prendre un taxi pour enfin rentrer chez moi, à la nouvelle ville Ali-Mendjeli”, nous dira Lamia. Mais si pour cette dernière, la situation est peu enviable, elle l’est moins pour d’autres. Il s’agit des transporteurs clandestins. Ces derniers se sont constitués, pour ainsi dire, en association informelle et ont créé leurs propres stations de taxi et déterminé les lignes à desservir. Une initiative que les usagers ont accueillie non sans une certaine satisfaction. “La plupart des stations de taxi réglementaires ont été délocalisées à cause des travaux”, confie Salim, un usager des transports en commun. Et de poursuivre : “Certes, il y a beaucoup de désagréments, mais la manifestation a donné un coup d’accélérateur à un certain nombre de projets jamais entrepris faute de volonté politique.” Beaucoup de Constantinois ont davantage à l’esprit les contraintes engendrées depuis l’entame de l’opération, avec le lancement officiel de la manifestation.
Les commerçants, notamment ceux qui ont pignon sur rue, en subissent le contrecoup. Il suffit de se rendre dans certains magasins désespérément vides pour se rendre compte que ceux-ci subissent, malgré eux, une baisse sensible de leur chiffre d’affaires. En fait, les clients ne s’y bousculent plus, et ce, pour deux raisons. La difficulté d’accès pour les piétons et la quasi-impossibilité pour les automobilistes de stationner. Lazhar est patron d’une parfumerie de luxe. “J’ai perdu jusqu’à 20% de mon chiffre d’affaires, depuis le début des travaux”, se désole-t-il. Le patron d’une pizzeria a, lui aussi, vu sa clientèle se réduire comme une peau de chagrin. “On voit de moins en moins de clients, même ceux qui avaient l’habitude de venir déjeuner chaque jour on ne les voit plus”, déplore notre interlocuteur. Même constat pour certaines boutiques de vêtements, dont les gérants profitent du calme plat pour faire un brin de toilette. “Avec les travaux, les gens ont peur de se déplacer et buter sur les gravats ou recevoir une pierre sur la tête”, constate Khalil, tout en regrettant l’inexistence d’un dispositif d’échelonnement de leurs charges fixes du moment que les travaux impactent sur leurs activités.
La vaine course contre la montre continue “Ya Rab, Faites qu’on soit au rendez-vous !”
À quelques jours de l’ouverture officielle de la manifestation “Constantine, capitale de la culture arabe 2015”, ce cri du cœur, les autorités voudraient qu’il soit poussé haut et fort.
D’autres, tels des amants éconduits, cèdent à la fatalité et baissent déjà les bras. Pour eux, Constantine ne sera pas en mesure de respecter tous ses engagements.
Nous sommes à J-2. La sérénité de façade des autorités s’est muée, malgré eux, en inquiétude. En quelques jours, le climat a basculé, force est de le constater. Le wali de Constantine a dû multiplier ses visites d’inspection, car malgré une relative avancée dans le programme de modernisation urbaine, la ville continue à enregistrer beaucoup de retards.
Si bien qu’au jour de l’inauguration, hormis le Zénith, presqu’aucun des nouveaux équipements phares de la capitale culturelle ne sera livré. La grande bibliothèque en chantier à Bab El-Kantara, ainsi que le nouveau musée des Arts construit dans les anciens locaux du monoprix ne seront pas prêts, pas plus que le parc citadin du Bardo, réalisé sur les ruines des anciens bidonvilles. Même constat pour les lieux de culte, à savoir les anciennes mosquées et les zaouïas situées dans la vieille ville. Les travaux de restauration, bien qu’ils aient été lancés dans les temps, sont aujourd’hui à l’arrêt, à cause d’une confusion entre le code des marchés et la loi sur la préservation du patrimoine. “Les travaux ont été lancés à la hâte sans consultations préalables”, conviennent les professionnels du secteur.
A contrario, les anciennes infrastructures à l’image du centre culturel Mohamed-Laïd-El-Khalifa, le palais de la culture Malek-Haddad et le théâtre régional seront prêts, a assuré le chef de l’exécutif, Hocine Ouaddah, lors de sa dernière visite d’inspection des chantiers ouverts pour l’occasion.
À quelques jours de l’ouverture officielle de la manifestation “Constantine, capitale de la culture arabe 2015”, ce cri du cœur, les autorités voudraient qu’il soit poussé haut et fort.
D’autres, tels des amants éconduits, cèdent à la fatalité et baissent déjà les bras. Pour eux, Constantine ne sera pas en mesure de respecter tous ses engagements.
Nous sommes à J-2. La sérénité de façade des autorités s’est muée, malgré eux, en inquiétude. En quelques jours, le climat a basculé, force est de le constater. Le wali de Constantine a dû multiplier ses visites d’inspection, car malgré une relative avancée dans le programme de modernisation urbaine, la ville continue à enregistrer beaucoup de retards.
Si bien qu’au jour de l’inauguration, hormis le Zénith, presqu’aucun des nouveaux équipements phares de la capitale culturelle ne sera livré. La grande bibliothèque en chantier à Bab El-Kantara, ainsi que le nouveau musée des Arts construit dans les anciens locaux du monoprix ne seront pas prêts, pas plus que le parc citadin du Bardo, réalisé sur les ruines des anciens bidonvilles. Même constat pour les lieux de culte, à savoir les anciennes mosquées et les zaouïas situées dans la vieille ville. Les travaux de restauration, bien qu’ils aient été lancés dans les temps, sont aujourd’hui à l’arrêt, à cause d’une confusion entre le code des marchés et la loi sur la préservation du patrimoine. “Les travaux ont été lancés à la hâte sans consultations préalables”, conviennent les professionnels du secteur.
A contrario, les anciennes infrastructures à l’image du centre culturel Mohamed-Laïd-El-Khalifa, le palais de la culture Malek-Haddad et le théâtre régional seront prêts, a assuré le chef de l’exécutif, Hocine Ouaddah, lors de sa dernière visite d’inspection des chantiers ouverts pour l’occasion.
Les Constantinois se réconcilieront-ils avec leur ville ?
Constantine, qui faisait figure de ville morte, incapable jusqu’ici de se mettre au diapason de ses rivales Alger, Oran, ou encore Annaba, se voit, aujourd’hui, non seulement rehaussée de nouveaux espaces, mais se doit également de faire valoir son statut de grande métropole de l’Est. Un défi qu’il lui sera difficile de relever car il faut reconnaître qu’en dépit de sa réputation de ville de la culture, elle a cessé depuis des lustres de développer sa vie nocturne à commencer par les transports en commun qui cessent toute activité dès 20h et les rues et grandes places de la capitale de la Numidie, qui commencent à se vider dès 18h. Aussi, on en est à se demander si la manifestation “Constantine, capitale de la culture arabe 2015” arrivera à réconcilier la ville avec ses habitants. La ville du Rocher a l’occasion de mettre sur le devant de la scène arabe et internationale ses meilleurs atouts dans le domaine de la création culturelle et artistique. Cet événement que l’on souhaite grandiose devrait permettre, notamment aux acteurs de la culture locale, d’être reconnus et consacrés. L’un d’entre eux, Antar Hellal, est optimiste, quant à lui. “Constantine a réussi un véritable coup de maître depuis l’Indépendance en donnant contre vents et marées l’image d’une ville incontournable. Même si elle n’était pas prête au moment où elle a été désignée par l’organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences, il n’en demeure pas moins qu’elle se révélera à la hauteur du titre qui lui a été dévolu”, espère-t-il. Antar Hellal soutient, par ailleurs, que la polémique créée autour de la manifestation n’a pas lieu d’être. “Ceux qui appellent au boycott n’ont aucun argument à faire valoir. Ce n’est pas seulement avec une langue (amazighe) qu’on peut faire de Constantine ou d’une autre wilaya une capitale de la culture”, dira notre interlocuteur.
Constantine, qui faisait figure de ville morte, incapable jusqu’ici de se mettre au diapason de ses rivales Alger, Oran, ou encore Annaba, se voit, aujourd’hui, non seulement rehaussée de nouveaux espaces, mais se doit également de faire valoir son statut de grande métropole de l’Est. Un défi qu’il lui sera difficile de relever car il faut reconnaître qu’en dépit de sa réputation de ville de la culture, elle a cessé depuis des lustres de développer sa vie nocturne à commencer par les transports en commun qui cessent toute activité dès 20h et les rues et grandes places de la capitale de la Numidie, qui commencent à se vider dès 18h. Aussi, on en est à se demander si la manifestation “Constantine, capitale de la culture arabe 2015” arrivera à réconcilier la ville avec ses habitants. La ville du Rocher a l’occasion de mettre sur le devant de la scène arabe et internationale ses meilleurs atouts dans le domaine de la création culturelle et artistique. Cet événement que l’on souhaite grandiose devrait permettre, notamment aux acteurs de la culture locale, d’être reconnus et consacrés. L’un d’entre eux, Antar Hellal, est optimiste, quant à lui. “Constantine a réussi un véritable coup de maître depuis l’Indépendance en donnant contre vents et marées l’image d’une ville incontournable. Même si elle n’était pas prête au moment où elle a été désignée par l’organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences, il n’en demeure pas moins qu’elle se révélera à la hauteur du titre qui lui a été dévolu”, espère-t-il. Antar Hellal soutient, par ailleurs, que la polémique créée autour de la manifestation n’a pas lieu d’être. “Ceux qui appellent au boycott n’ont aucun argument à faire valoir. Ce n’est pas seulement avec une langue (amazighe) qu’on peut faire de Constantine ou d’une autre wilaya une capitale de la culture”, dira notre interlocuteur.
Des disparités criantes entre les quartiers
Aujourd’hui, Constantine se pare de ses plus beaux atouts pour accueillir l’événement de l’année. Le projet a été financé à hauteur de 60 milliards de dinars. La majeure partie de ces fonds a été injectée dans les nouvelles constructions. Mais dans cette gigantesque opération de lifting urbain, les habitants des cités périphériques, situées au sud de la ville, incluant les plus pauvres, ont été lésés. Aucun projet ni programme de réhabilitation ne leur a été attribué. Pourtant, certains de ces quartiers en avaient grandement besoin et la manifestation “Constantine, capitale de la culture arabe 2015” se révélait l’occasion ou jamais d’un regain salutaire d’intérêt. De l’avis des spécialistes, c’est sur ces quartiers qu’il aurait fallu également se focaliser. On se demande, donc, à qui profite réellement la manifestation capitale de la culture ? C’est ainsi donc que Constantine se retrouve avec un patrimoine infrastructurel digne d’une capitale de la culture. Aujourd’hui, tous les centres culturels, la salle de spectacle du Zénith et le théâtre régional battront leur plein. Mais une question se pose : dans une ville où la population est peu ou pas du tout habituée aux institutions culturelles, sauf pendant le mois sacré de Ramadhan, quel sera le devenir de toutes ces infrastructures ? De l’avis de certains : “Il sera très difficile de maintenir à flots ces salles, une fois que la manifestation arrivera à sa fin.”
Crise financière oblige. Les Constantinois ont d’autres soucis et d’autres priorités que d’aller au théâtre ou au cinéma, s’accordent à dire les quelques personnes que nous avons interrogées. D’autres, en revanche, estiment qu’“il fallait d’abord ré-inculquer l’esprit de la culture au sein de la population d’une ville qui, aussi paradoxal soit-il, est le berceau du savoir et de l’art”.
Aujourd’hui, Constantine se pare de ses plus beaux atouts pour accueillir l’événement de l’année. Le projet a été financé à hauteur de 60 milliards de dinars. La majeure partie de ces fonds a été injectée dans les nouvelles constructions. Mais dans cette gigantesque opération de lifting urbain, les habitants des cités périphériques, situées au sud de la ville, incluant les plus pauvres, ont été lésés. Aucun projet ni programme de réhabilitation ne leur a été attribué. Pourtant, certains de ces quartiers en avaient grandement besoin et la manifestation “Constantine, capitale de la culture arabe 2015” se révélait l’occasion ou jamais d’un regain salutaire d’intérêt. De l’avis des spécialistes, c’est sur ces quartiers qu’il aurait fallu également se focaliser. On se demande, donc, à qui profite réellement la manifestation capitale de la culture ? C’est ainsi donc que Constantine se retrouve avec un patrimoine infrastructurel digne d’une capitale de la culture. Aujourd’hui, tous les centres culturels, la salle de spectacle du Zénith et le théâtre régional battront leur plein. Mais une question se pose : dans une ville où la population est peu ou pas du tout habituée aux institutions culturelles, sauf pendant le mois sacré de Ramadhan, quel sera le devenir de toutes ces infrastructures ? De l’avis de certains : “Il sera très difficile de maintenir à flots ces salles, une fois que la manifestation arrivera à sa fin.”
Crise financière oblige. Les Constantinois ont d’autres soucis et d’autres priorités que d’aller au théâtre ou au cinéma, s’accordent à dire les quelques personnes que nous avons interrogées. D’autres, en revanche, estiment qu’“il fallait d’abord ré-inculquer l’esprit de la culture au sein de la population d’une ville qui, aussi paradoxal soit-il, est le berceau du savoir et de l’art”.
L. N.
Sidi Bel Abbès Campagne de vaccination de 45.000 bovins
contre la fièvre aphteuseUne nouvelle campagne de vaccination contre la fièvre aphteuse a été lancée ce dimanche par les services vétérinaires de la direction agricole de Sidi Bel Abbès, celle-ci va toucher 45.000 bovins, apprend-on des responsables concernés. Afin de réussir l’opération, qui fait suite à la première campagne vaccination de septembre-octobre 2014, les services vétérinaires de la wilaya ont mobilisé 40 médecins vétérinaires publics pour préserver le cheptel de la wilaya de cette redoutable maladie. Une précédente campagne avait ciblé le cheptel bovin des localités de Ras El Ma et Radjem Demmouche, limitrophes aux wilayas menacées par la pandémie, ainsi que des prélèvements sanguins sur plusieurs zones d’élevage d’Amarnas, Ras El Ma, Zerouala et Boukhanefis ont été effectués et se sont fort heureusement avérés négatifs. Il est à signaler que la wilaya de Sidi Bel Abbès considérée zone de prophylaxie médicale est prémunie de pandémie de la fièvre aphteuse qui a frappé l’année écoulée plusieurs wilayas du pays, et ce grâce aux dispositions et aux moyens matériels mobilisés et à la vaccination urgente de son cheptel animal, indique les responsables de l’inspection vétérinaire. Fatima A
contre la fièvre aphteuseUne nouvelle campagne de vaccination contre la fièvre aphteuse a été lancée ce dimanche par les services vétérinaires de la direction agricole de Sidi Bel Abbès, celle-ci va toucher 45.000 bovins, apprend-on des responsables concernés. Afin de réussir l’opération, qui fait suite à la première campagne vaccination de septembre-octobre 2014, les services vétérinaires de la wilaya ont mobilisé 40 médecins vétérinaires publics pour préserver le cheptel de la wilaya de cette redoutable maladie. Une précédente campagne avait ciblé le cheptel bovin des localités de Ras El Ma et Radjem Demmouche, limitrophes aux wilayas menacées par la pandémie, ainsi que des prélèvements sanguins sur plusieurs zones d’élevage d’Amarnas, Ras El Ma, Zerouala et Boukhanefis ont été effectués et se sont fort heureusement avérés négatifs. Il est à signaler que la wilaya de Sidi Bel Abbès considérée zone de prophylaxie médicale est prémunie de pandémie de la fièvre aphteuse qui a frappé l’année écoulée plusieurs wilayas du pays, et ce grâce aux dispositions et aux moyens matériels mobilisés et à la vaccination urgente de son cheptel animal, indique les responsables de l’inspection vétérinaire. Fatima A
Mostaganem
50 000 logements tous types confondus pour la wilaya
Lors des travaux de la dernière session ordinaire de l’APW, le wali de Mostaganem a, en présentant le bilan annuel du précédent exercice, annoncé l’attribution d’un programme de 50 000 unités de logements tous types et formules confondus pour la wilaya.
Les projets seront réalisés à travers toutes les communes, et ce lors du prochain programme d’habitat entrant dans le cadre du quinquennat 2015-2019.
Ce nouveau programme d’habitat qui s’avère donc conséquent et encourageant pour le secteur qui va s’ajouter aux 30 000 unités logements relevant du programme quinquennal de 2010-2014 qui sont en cours de réalisation à travers les 32 communes de la wilaya. D’autre part et dans le même contexte d’habitat, le chef de l’exécutif devait rappeler que pas moins de 2541 logements du type LPL ont été attribués l’an dernier, dont 427 destinés à la résorption de l’habitat précaire en plus de 7334 autres logements issus de différents programmes d’habitat qui ont été réceptionnés durant la même année. Par ailleurs, les projets de développement local de première nécessité ont dû consommer un crédit de 194,5 milliards de dinars pour pouvoir répondre aux besoins socio- économiques grandissants de la population de la wilaya permettant d’améliorer un tant soit peu son cadre de vie.
Benharrat
50 000 logements tous types confondus pour la wilaya
Lors des travaux de la dernière session ordinaire de l’APW, le wali de Mostaganem a, en présentant le bilan annuel du précédent exercice, annoncé l’attribution d’un programme de 50 000 unités de logements tous types et formules confondus pour la wilaya.
Les projets seront réalisés à travers toutes les communes, et ce lors du prochain programme d’habitat entrant dans le cadre du quinquennat 2015-2019.
Ce nouveau programme d’habitat qui s’avère donc conséquent et encourageant pour le secteur qui va s’ajouter aux 30 000 unités logements relevant du programme quinquennal de 2010-2014 qui sont en cours de réalisation à travers les 32 communes de la wilaya. D’autre part et dans le même contexte d’habitat, le chef de l’exécutif devait rappeler que pas moins de 2541 logements du type LPL ont été attribués l’an dernier, dont 427 destinés à la résorption de l’habitat précaire en plus de 7334 autres logements issus de différents programmes d’habitat qui ont été réceptionnés durant la même année. Par ailleurs, les projets de développement local de première nécessité ont dû consommer un crédit de 194,5 milliards de dinars pour pouvoir répondre aux besoins socio- économiques grandissants de la population de la wilaya permettant d’améliorer un tant soit peu son cadre de vie.
Benharrat
هربن من الضغط والعنف الأسري إلى ممارسة كل ما هو ممنوع
تزايد عدد الأمهات العازبات يندر بكارثة اجتماعية
مختصون يؤكدون أن التكنولوجيات الحديثة ساعدت على تفشي الظاهرة لاداس تكفلت بـ18 حالة واستقبلت 62 حالة سنة 2014 أكد أول أمس مجموعة من الأساتذة والمختصين بعلم الاجتماع، الأخصائيين النفسانيين والناشطين بالمجتمع المدني، أن ظاهرة الأمهات العازبات قد تفشت بالمجتمع ولم يعد الأمر من الطابوهات التي نغض النظر عنها هذا ما أشارت إليه الأمينة الولائية للإتحاد الوطني للنساء الجزائريات السيدة: ماحي شريفة التي افتتحت اليوم الدراسي حول الأمهات العازبات والطفولة المسعفة الذي نظمه مكتب بلدية حاسي بونيف تحت شعار: �ما بين تقاليد المجتمع والقانون والشريعة الإسلامية� بمركز التسلية العلمية بإيسطو، منوهة في سياق حديثها أن الظاهرة تفاقمت.
1-ظاهرة الأمهات العازبات تفاقمت جراء إهمال العائلات: جراء إهمال العائلات وعدم التمسك بالعادات والتقاليد والحياء والعنف الأسري والضغط، ما جعل البنت تتحرر وتمارس الممنوع وتصبح فريسة للذئاب البشرية، لتجد نفسها فيما بعد حامل ومرمية في الشارع، ناهيك عن نظرة المجتمع التي لا ترحم والأحكام المسبقة والأطفال الأبرياء الذين يدفعون الثمن، فمنهم من يتم التخلي عنه، ومنهم من يتم قتله لأنه يجلب العار والفضيحة للعائلة، كونه طفل زنا وابن غير شرعي، لتصبح القضية فيما بعد جريمة في حق الإنسانية، وأضافت ذات المتحدثة أن الأسباب المتعلقة بالخطيئة تتعدد ومختلفة كل حسب ظروفها، فمنهن من تخطأ جراء البحث عن المال، ومنهن من تبحث عن الحنان الذي لم تجده في أسرتها ومنهن الجاهلات ومنهن المتعلمات. على صعيد مماثل، كشفت رئيسة مصلحة التضامن والعائلة والحركة الجمعوية على مستوى مديرية النشاط الاجتماعي لاداس أنهم قد تكفلوا بـ18 حالة أم عازبة تم نقل 5 منهن إلى دار الرحمة، في انتظار الإدماج، وقد استقبلوا سنة 2014 (62) حالة تعرضن إلى العنف الجنسي أو الاعتداء الجنسي، وقد لجئن إلى مديرية النشاط الاجتماعي لطلب يد المساعدة وتتراوح أعمارهن ما بين 18 و35 سنة، وقد سجلوا أيضا 37 حالة أو أمهات عازبات من الفترة الممتدة من جانفي إلى جوان 2014، تم تسجيل منهن 19 حالة ومن جويلية إلى غاية ديسمبر 2014 تم تسجيل 18 حالة، هذا إلى جانب 45 حالة احتفظن بأبنائهن وساعدتهن ذات المصلحة في الحصول على عمل، كون الجانب المادي هو ما يدفع البعض إلى الخطيئة، ناهيك عن غياب الحوار والحنان بالبيت العائلي. 2-غياب الحوار، العنف الأسري، عدم التمسك بالعادات والتقاليد، التحرر تسببوا بالظاهرة: ما يجعل المرأة ضعيفة وتقع في شباك الرجل بحجة الحب، كما دعت ذات المتحدثة والأخصائية النفسانية السيدة ثابت إلى تقبل هاته البنات، وإعادة إدماجهن بالمجتمع ومسامحتهن، فجل من لا يخطأ وهذا أيضا من أجل تفادي تنامي الظاهرة وروح الانتقام عند المرأة، فمنهن من تضع حدا لحياتها وتنتحر جراء نظرة المجتمع ومنهن من تعرض حياتها للخطر جراء عملية الإجهاض. 3-عدم التكفل بالأمهات العازبات نفسيا يجعلهن خطر على المجتمع: ناهيك عن ولوج عالم الدعارة والمتاجرة بالجسد والإدمان على تعاطي المخدرات وأمور أخرى قد يتعذر علينا ذكرها ودعت في الأخير الحضور إلى الاهتمام بالمرأة، هذا المخلوق الضعيف الذي أوصانا الرسول سيد الخلق صلى الله عليه وسلم عليه، فإن صلحت صلح المجتمع كله مع التركيز على الجانب النفسي لهذه البنت أو الأم والتكفل بها ماديا ومعنويا لتصبح مسؤولة بالمجتمع. هذا وقد تحدثت السيدة: فاطمة الزهرة شاشور أمينة عامة لمكتب حاسي بونيف للإتحاد الوطني للنساء الجزائريات عن هاته الظاهرة التي تفاقمت جراء استعمال الهاتف النقال، التكنولوجيات الحديثة، الإنترنيت وعدم مصاحبة البنت لأمها ونظرة المجتمع القاسية. 4-الهاتف النقال، التكنولوجيات الحديثة والإنترنيت، المواقع الخاصة بالتواصل الاجتماعي وراء تفشي الظاهرة: كما أشارت إلى أنها تود عقد لقاءات أخرى مماثلة، تفتح باب النقاش وللتحكم في الظاهرة ومعرفة أسبابها الحقيقية لتجنبها. من جهة أخرى، قدمت الأخصائية النفسانية لعرج ماجدة بعض التعاريف الخاصة بالأم العازبة والطفل المسعف أو غير الشرعي، كما نوهت أن الظاهرة تفاقمت جراء غياب الوازع الديني والحوار وسط العائلة وانعدام الصراحة ما بين الأم والبنت واللامبالاة، مؤكدة في سياق حديثها أن المجتمع أساسه الأسرة، إن صلحت صلح المجتمع كله، وركزت على الجانب التربوي الأخلاقي والجانب المادي المؤثر في هاته الظاهرة التي تفشت بمجتمعنا بشكل مقلق وأصبح يندى له الجبين بالأخص، أن هاته الظاهرة قد مست حتى الطالبات والبنات المثقفات القصر والبالغات سن الرشد. هذا وقد تم إثراء النقاش والخروج ببعض التوصيات والاقتراحات، في انتظار عقد اجتماع آخر يحضره رجال الدين لتسليط الضوء على هاته الظاهرة من جهة الشرع والدين، علما أنها قد تفشت جراء الغزو الثقافي والعادات الدخيلة على مجتمعنا العربي الإسلامي وفهم التحرر بشكل خاطئ. آ.إيزة
les prolétaires de la Malhama se révoltent
le 13.04.15 | 10h00 Réagissez
Après plusieurs couacs enregistrés pendant les préparatifs de l’évènement Constantine capitale de la culture arabe, un autre problème est apparu au niveau de «La Malhama».
Nous avons appris de sources fiables et proches de la troupe des acteurs que ces derniers ont observé, dans la soirée du samedi dernier, une grève à cause des salaires. Cette grève, qui n’a duré que quelques heures, a eu lieu au moment de la signature des contrats.
Les acteurs, dont le nombre dépasse les 300, ont estimé que le salaire n’est pas conséquent compte tenu des efforts fournis pour la réussite de cette fresque historique. Notre source a affirmé qu’ils travaillent jour et nuit afin d’être à la hauteur, en dépit des contraintes qu’ils ont subi. Ils ont souffert des coupures d’eau pendant des jours, et ont été surexposés à la climatisation.
Cela a nécessité l’intervention du wali pour solutionner ce problème. A ce propos le commissaire de l’évènement Constantine capitale de la culture arabe a démenti toutes ces informations en assurant que tout fonctionne dans les normes. «Je peux vous assurer qu’à 100 % il n’y a aucun problème. Je suis sur les lieux chaque soirée et nous n’avons enregistré aucun souci. Je suis même satisfait de l’avancement des préparatifs et le jour de l’ouverture vous serez éblouis. Ce ne sont que des rumeurs rien de plus», a-t-il affirmé .
Yousra Salem
Arrêt sur image
Vu à constantine
(Ph. Louiza/Liberté)
L’une des rares femmes à continuer à vendre des habits dans les venelles de la souika de la vieille ville de Constantine. Le pittoresque de cette image est dans la tenue traditionnelle de cette dame.
par A. Mallem
Les auditeurs de la radio régionale qui espéraient, hier, connaître le programme complet de la manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe 2015» dans le cadre de l'émission hebdomadaire «Forum», sont restés sur leur faim. Ils n'ont eu droit en fait qu'à quelques bribes de ce programme qu'on connaissait déjà, notamment les cérémonies populaires et officielles prévues pour l'inauguration qui se dérouleront le 15 et le 16 avril.
Invités sur le plateau de l'émission, les adjoints au commissaire de la manifestation et aux chefs des départements théâtre, séminaires et conférences, patrimoine et legs matériels et immatériels, se sont contentés, chacun dans son domaine, de donner des aperçus sur les activités qui vont être organisées durant les six premiers mois de la manifestation en indiquant les sites et les horaires, arguant que le programme général est en cours d'impression et sera rendu public dans les jours à venir. «En tous cas, Constantine est quasiment prête avec ses hommes et ses structures à accueillir l'évènement», a déclaré néanmoins M. Mohamed Almi, adjoint et conseiller du commissaire de la manifestation. De son côté, le sociologue Abdelmadjid Merdaci, adjoint au chef de département séminaires et conférences, a commencé son intervention en évoquant la polémique provoquée sur la place constantinoise par les retards dans la réalisation de l'infrastructure d'accueil. Il a fini par considérer que le défi qu'il fallait relever ne se situe pas uniquement au niveau de l'accueil de la manifestation, mais dans la renaissance du fait culturel à Constantine qui sera induit par l'évènement et l'infrastructure de soutien.
Mohamed Zetili, directeur du théâtre régional de Constantine (TRC) et adjoint au chef du département théâtre, qui a abondé dans le même sens a estimé lui aussi que les acquis infrastructurels réalisés dans le cadre de cet évènement vont renforcer considérablement le patrimoine culturel matériel de la ville. «Il faut faire en sorte que l'élan culturel que va connaître la ville durant cette année soit conservé et perpétué après, maintenant que l'infrastructure existe», a-t-il déclaré.
Abordant les programmes inscrits dans tous les domaines, les orateurs ont expliqué, tour à tour, que l'évènement tant attendu débutera le 15 avril à 17h par le défilé populaire des chars représentant chaque pays arabe participant qui s'élancera de Bab El-Kantara en passant par la rue Ben-M'hidi, pour finir sa course à la place de la Pyramide. Il sera suivi d'un feu d'artifice qui aura lieu sur le pont Salah Bey et un spectacle son et lumière sur les ponts et les principaux édifices de la ville. L'ouverture officielle qui sera faite le 16 avril sera aussi marquée, dès le crépuscule, par un autre feu d'artifice à proximité de la nouvelle salle, le «Zénith» où se déroulera à partir de 20h, le grand spectacle «l'odyssée constantinoise» mise en scène par Ali Aissaoui, le réalisateur local de la télévision.
Pour le théâtre, l'année sera inaugurée par la représentation de la nouvelle production du TRC, la pièce «Salah Bey» qui sera donnée le 23 avril à 17h au théâtre régional qui vient d'être complètement rénové. 50 productions théâtrales réalisées par les théâtres nationaux, les coopératives et les ateliers d'artistes sont au programme de la manifestation. En comptant les pièces qui seront données par les pays arabes, on aura plus de 180 représentations qui auront lieu à Constantine et dans de nombreuses wilayas, précisera Zetili. En outre, une grande exposition sur l'histoire du théâtre à Constantine sera inaugurée le 23 avril dans le hall du TRC. Aussi, un livre de 300 pages sur le même thème est en cours d'édition. Il y aura également beaucoup de conférences sur le théâtre qui se dérouleront dans les salles du TRC.
Pour le département séminaires et conférences, M. Merdaci annoncera simplement que les activités dans ce segment seront fort nombreuses. «On essayera de dépasser le nombre de 12 réalisé par la précédente manifestation de «Alger, capitale de la culture arabe 2007». Il indiquera que de grandes personnalités scientifiques des USA, de Grande-Bretagne, de Turquie, de Palestine, du Sénégal ont été invitées pour donner des conférences durant l'année de la manifestation.
Enfin, Mme Ali-Khodja Halima, du département patrimoine culturel matériel et immatériel, parlera de l'organisation d'une grande exposition sur la musique arabe classique qui englobera les trois écoles de la musique andalouse de Tlemcen, Alger et Constantine, qui aura lieu à la maison de la culture Malek Haddad du 20 mai au 20 octobre 2015. Une seconde exposition qui se déroulera sur le même lieu de juin à septembre de la même année, aura pour thème les fêtes religieuses à Constantine et, enfin, une troisième exposition sur les traditions culturelles constantinoises (costumes, gastronomie, distillation d'eau de rose et d'eau d'oranger .) dont la date n'a pas encore été arrêtée.
Invités sur le plateau de l'émission, les adjoints au commissaire de la manifestation et aux chefs des départements théâtre, séminaires et conférences, patrimoine et legs matériels et immatériels, se sont contentés, chacun dans son domaine, de donner des aperçus sur les activités qui vont être organisées durant les six premiers mois de la manifestation en indiquant les sites et les horaires, arguant que le programme général est en cours d'impression et sera rendu public dans les jours à venir. «En tous cas, Constantine est quasiment prête avec ses hommes et ses structures à accueillir l'évènement», a déclaré néanmoins M. Mohamed Almi, adjoint et conseiller du commissaire de la manifestation. De son côté, le sociologue Abdelmadjid Merdaci, adjoint au chef de département séminaires et conférences, a commencé son intervention en évoquant la polémique provoquée sur la place constantinoise par les retards dans la réalisation de l'infrastructure d'accueil. Il a fini par considérer que le défi qu'il fallait relever ne se situe pas uniquement au niveau de l'accueil de la manifestation, mais dans la renaissance du fait culturel à Constantine qui sera induit par l'évènement et l'infrastructure de soutien.
Mohamed Zetili, directeur du théâtre régional de Constantine (TRC) et adjoint au chef du département théâtre, qui a abondé dans le même sens a estimé lui aussi que les acquis infrastructurels réalisés dans le cadre de cet évènement vont renforcer considérablement le patrimoine culturel matériel de la ville. «Il faut faire en sorte que l'élan culturel que va connaître la ville durant cette année soit conservé et perpétué après, maintenant que l'infrastructure existe», a-t-il déclaré.
Abordant les programmes inscrits dans tous les domaines, les orateurs ont expliqué, tour à tour, que l'évènement tant attendu débutera le 15 avril à 17h par le défilé populaire des chars représentant chaque pays arabe participant qui s'élancera de Bab El-Kantara en passant par la rue Ben-M'hidi, pour finir sa course à la place de la Pyramide. Il sera suivi d'un feu d'artifice qui aura lieu sur le pont Salah Bey et un spectacle son et lumière sur les ponts et les principaux édifices de la ville. L'ouverture officielle qui sera faite le 16 avril sera aussi marquée, dès le crépuscule, par un autre feu d'artifice à proximité de la nouvelle salle, le «Zénith» où se déroulera à partir de 20h, le grand spectacle «l'odyssée constantinoise» mise en scène par Ali Aissaoui, le réalisateur local de la télévision.
Pour le théâtre, l'année sera inaugurée par la représentation de la nouvelle production du TRC, la pièce «Salah Bey» qui sera donnée le 23 avril à 17h au théâtre régional qui vient d'être complètement rénové. 50 productions théâtrales réalisées par les théâtres nationaux, les coopératives et les ateliers d'artistes sont au programme de la manifestation. En comptant les pièces qui seront données par les pays arabes, on aura plus de 180 représentations qui auront lieu à Constantine et dans de nombreuses wilayas, précisera Zetili. En outre, une grande exposition sur l'histoire du théâtre à Constantine sera inaugurée le 23 avril dans le hall du TRC. Aussi, un livre de 300 pages sur le même thème est en cours d'édition. Il y aura également beaucoup de conférences sur le théâtre qui se dérouleront dans les salles du TRC.
Pour le département séminaires et conférences, M. Merdaci annoncera simplement que les activités dans ce segment seront fort nombreuses. «On essayera de dépasser le nombre de 12 réalisé par la précédente manifestation de «Alger, capitale de la culture arabe 2007». Il indiquera que de grandes personnalités scientifiques des USA, de Grande-Bretagne, de Turquie, de Palestine, du Sénégal ont été invitées pour donner des conférences durant l'année de la manifestation.
Enfin, Mme Ali-Khodja Halima, du département patrimoine culturel matériel et immatériel, parlera de l'organisation d'une grande exposition sur la musique arabe classique qui englobera les trois écoles de la musique andalouse de Tlemcen, Alger et Constantine, qui aura lieu à la maison de la culture Malek Haddad du 20 mai au 20 octobre 2015. Une seconde exposition qui se déroulera sur le même lieu de juin à septembre de la même année, aura pour thème les fêtes religieuses à Constantine et, enfin, une troisième exposition sur les traditions culturelles constantinoises (costumes, gastronomie, distillation d'eau de rose et d'eau d'oranger .) dont la date n'a pas encore été arrêtée.
par Rekibi Chikhi
« On ne quitte pas l'Algérie pour toujours, on doit toujours y retourner», a souligné M. Irina Bokova, la directrice générale de l'UNESCO, en s'exprimant, hier, devant un parterre d'enseignants et d'étudiants universitaires, lors de la conférence scientifique qui s'est déroulée, à l'Université des Frères Mentouri de Constantine, sur le thème : L'Année internationale de la Lumière et des techniques utilisant la lumière'.
Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique M. Mebarki, qui l'a accompagné, dans la ville des ponts', a déclaré que cette rencontre a été organisée, en prévision du coup d'envoi officiel de l'événement «Constantine capitale de la Culture arabe», et que cette ville est chanceuse en 2015, du fait d'abriter, également, un événement décidé par des Instances internationales. L'UNESCO ayant, dans ce sens, mis en œuvre des procédures pour que l'Année mondiale de la Lumière' soit célébrée, toute l'année, à Constantine, à partir du 16 avril. «Après un passage à Béjaïa pour célébrer cet événement, puis dans trois jours, à Oran, toute la lumière sera projetée et pendant toute une année sur Constantine», précisera M. Mebarki. Et d'ajouter que «la science de l'optique est un vaste champ de recherches et que toutes les universités, en Algérie, ne seront pas en reste de la célébration de cette année, par des conférences animées par des intervenants et chercheurs algériens et étrangers». Une année qui verra «l'édition de beaucoup d'ouvrages traitant du thème de l'optique dont certains bénéficiant de brevets d'invention», dira t-il. Sans oublier de souligner la place de marque attribuée au savant arabe Ibn El Heithem, dans le domaine de l'optique, lui qui fut le premier à avancer une théorie révolutionnaire, laquelle «est que l'œil reçoit la lumière de l'objet, puis projette l'image de l'objet après analyse de la lumière», souligne-t-il, avant de passer la parole à Mme Irina Bokova. L'oratrice, en présentant Ibn El Heithem, comme le grand inventeur de la science de l'optique, dira qu'il représente, aussi, l'âge d'or de la science et des inventions arabes. «Constantine, déjà désignée pour célébrer la Culture arabe, a tous les atouts de l'universalité, étant une ville où se concrétise la diversité culturelle, eu égard aux différentes civilisations desquelles, la ville puise son patrimoine, c'est une ville de sciences, de philosophie, de religion et de spiritualité», ajoutera elle. La directrice de l'UNESCO n'a pas omis de saisir l'occasion pour manifester son rejet de toutes les formes d'extrémisme. «Ces actes qui persécutent les minorités et qui essayent d'effacer la mémoire, sont des crimes qui sont, en toute contradiction avec l'héritage de l'Islam, plein de tolérance». Elle évoquera les actes de vandalisme qu'ont subi les vestiges archéologiques tels ceux du Musée du Mossoul, en Irak, qui ont été détruits à coups de pioche. «Ce message de tolérance, je l'ai porté à Baghdad et à Tunis qui est de répondre à l'intolérance par la tolérance et la culture, pour que l'Islam ne soit pas pris en otage, j'invite les étudiants de l'Université de Constantine, à faire part de cette action qui est celle d'être «unis pour le patrimoine». Puis, parlant de sa visite à travers les rues de Constantine, elle dira que cette ville fait rêver, avec toutes ces civilisations installées par les Phéniciens, les Romains, les Arabes, les Ottomans et les Européens. Le palais Ahmed bey', le Théâtre régional de Constantine et l'Université Mentouri, ce joyau de l'architecture moderne, conçue par Oscar Niemeyer, sont, tous, des lieux qui prouvent que «Constantine nous montre le chemin d'un monde globalisé, elle nous apprend à vivre dans un monde d'échange et de dialogue ; ce message n'a jamais été aussi éloquent qu'ici, à Constantine», dira-t-elle à la fin. Un chercheur dans le domaine de l'optique, venu de Tlemcen, A. Hafid, est intervenu par la suite pour débattre du sujet de l'invisibilité et l'illusion optique en précisant qu'Ibn El Heithem a défini l'essence même de la lumière, la perception de la lumière était erronée, avant lui. Sous l'oeil amusé de la directrice de l'UNESCO, tous les présents se sont livrés, comme des écoliers à un jeu de calcul préparé par ce chercheur pour prouver la théorie que «c'est la perception du cerveau qui domine celle de l'œil». L'assistance a, par la suite, suivi l'intervention via skype du docteur Suleimen Baraka, du Centre de recherche de l'astrologie et de l'espace de l'Université de Ghaza, pour remercier Mme Irina Bokova, pour le siège attribué à la Palestine, au sein de l'Unesco.
Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique M. Mebarki, qui l'a accompagné, dans la ville des ponts', a déclaré que cette rencontre a été organisée, en prévision du coup d'envoi officiel de l'événement «Constantine capitale de la Culture arabe», et que cette ville est chanceuse en 2015, du fait d'abriter, également, un événement décidé par des Instances internationales. L'UNESCO ayant, dans ce sens, mis en œuvre des procédures pour que l'Année mondiale de la Lumière' soit célébrée, toute l'année, à Constantine, à partir du 16 avril. «Après un passage à Béjaïa pour célébrer cet événement, puis dans trois jours, à Oran, toute la lumière sera projetée et pendant toute une année sur Constantine», précisera M. Mebarki. Et d'ajouter que «la science de l'optique est un vaste champ de recherches et que toutes les universités, en Algérie, ne seront pas en reste de la célébration de cette année, par des conférences animées par des intervenants et chercheurs algériens et étrangers». Une année qui verra «l'édition de beaucoup d'ouvrages traitant du thème de l'optique dont certains bénéficiant de brevets d'invention», dira t-il. Sans oublier de souligner la place de marque attribuée au savant arabe Ibn El Heithem, dans le domaine de l'optique, lui qui fut le premier à avancer une théorie révolutionnaire, laquelle «est que l'œil reçoit la lumière de l'objet, puis projette l'image de l'objet après analyse de la lumière», souligne-t-il, avant de passer la parole à Mme Irina Bokova. L'oratrice, en présentant Ibn El Heithem, comme le grand inventeur de la science de l'optique, dira qu'il représente, aussi, l'âge d'or de la science et des inventions arabes. «Constantine, déjà désignée pour célébrer la Culture arabe, a tous les atouts de l'universalité, étant une ville où se concrétise la diversité culturelle, eu égard aux différentes civilisations desquelles, la ville puise son patrimoine, c'est une ville de sciences, de philosophie, de religion et de spiritualité», ajoutera elle. La directrice de l'UNESCO n'a pas omis de saisir l'occasion pour manifester son rejet de toutes les formes d'extrémisme. «Ces actes qui persécutent les minorités et qui essayent d'effacer la mémoire, sont des crimes qui sont, en toute contradiction avec l'héritage de l'Islam, plein de tolérance». Elle évoquera les actes de vandalisme qu'ont subi les vestiges archéologiques tels ceux du Musée du Mossoul, en Irak, qui ont été détruits à coups de pioche. «Ce message de tolérance, je l'ai porté à Baghdad et à Tunis qui est de répondre à l'intolérance par la tolérance et la culture, pour que l'Islam ne soit pas pris en otage, j'invite les étudiants de l'Université de Constantine, à faire part de cette action qui est celle d'être «unis pour le patrimoine». Puis, parlant de sa visite à travers les rues de Constantine, elle dira que cette ville fait rêver, avec toutes ces civilisations installées par les Phéniciens, les Romains, les Arabes, les Ottomans et les Européens. Le palais Ahmed bey', le Théâtre régional de Constantine et l'Université Mentouri, ce joyau de l'architecture moderne, conçue par Oscar Niemeyer, sont, tous, des lieux qui prouvent que «Constantine nous montre le chemin d'un monde globalisé, elle nous apprend à vivre dans un monde d'échange et de dialogue ; ce message n'a jamais été aussi éloquent qu'ici, à Constantine», dira-t-elle à la fin. Un chercheur dans le domaine de l'optique, venu de Tlemcen, A. Hafid, est intervenu par la suite pour débattre du sujet de l'invisibilité et l'illusion optique en précisant qu'Ibn El Heithem a défini l'essence même de la lumière, la perception de la lumière était erronée, avant lui. Sous l'oeil amusé de la directrice de l'UNESCO, tous les présents se sont livrés, comme des écoliers à un jeu de calcul préparé par ce chercheur pour prouver la théorie que «c'est la perception du cerveau qui domine celle de l'œil». L'assistance a, par la suite, suivi l'intervention via skype du docteur Suleimen Baraka, du Centre de recherche de l'astrologie et de l'espace de l'Université de Ghaza, pour remercier Mme Irina Bokova, pour le siège attribué à la Palestine, au sein de l'Unesco.
Après une vague de violence, Sidi El Bachir réapprend à vivre A qui profite la zizanie ? Après avoir été fermé pendant trois jours, le marché des fruits et légumes de Sidi El Bachir a rouvert ses portes, hier après-midi. A l’intérieur de cette structure commerciale, les employés de la commune de Bir El Djir étaient affairés à enlever les restes des étals incendiés dans la nuit de mercredi passé par un groupe de délinquants du lieu-dit Le Château, comme nous l’avons rapporté dans notre édition de samedi passé.
Sur place hier, nous avons constaté qu’un calme précaire régnait autour du marché, les commerçants que nous avons rencontrés sont sur le qui-vive. Ils craignent toujours une nouvelle flambée de violence car les agresseurs n’ont pas été arrêtés. «Nos agresseurs sont connus, mais ils ne sont nullement inquiétés. Ils circulent librement et continuent de nous menacer. Nous ne pouvons pas sortir de chez nous ou nous éloigner du marché sans prendre certaines précautions. Il s’agit d’une véritable mafia», affirment nos interlocuteurs qui ajoutent: «Il ne faut pas confondre ce groupe avec les habitants de ce lieu. Il s’agit seulement d’un groupe de malfaiteurs armés de sabres et de fusils harpons qui veulent dicter leur loi.
Ce qui s’est passé mercredi au marché, affirment des commerçants, n’est pas une affaire de fille mais une affaire de voleurs. «Ils commettaient des vols sur les clients et sur les commerçants et semaient la peur et le désordre au marché. Ce qui nous a amenés à les chasser mardi. Ils ont juré de se venger et sont effectivement passés à l’action dans la nuit de mercredi pour incendier le marché», tiennent à préciser des commerçants.
Sur place hier, nous avons constaté qu’un calme précaire régnait autour du marché, les commerçants que nous avons rencontrés sont sur le qui-vive. Ils craignent toujours une nouvelle flambée de violence car les agresseurs n’ont pas été arrêtés. «Nos agresseurs sont connus, mais ils ne sont nullement inquiétés. Ils circulent librement et continuent de nous menacer. Nous ne pouvons pas sortir de chez nous ou nous éloigner du marché sans prendre certaines précautions. Il s’agit d’une véritable mafia», affirment nos interlocuteurs qui ajoutent: «Il ne faut pas confondre ce groupe avec les habitants de ce lieu. Il s’agit seulement d’un groupe de malfaiteurs armés de sabres et de fusils harpons qui veulent dicter leur loi.
Ce qui s’est passé mercredi au marché, affirment des commerçants, n’est pas une affaire de fille mais une affaire de voleurs. «Ils commettaient des vols sur les clients et sur les commerçants et semaient la peur et le désordre au marché. Ce qui nous a amenés à les chasser mardi. Ils ont juré de se venger et sont effectivement passés à l’action dans la nuit de mercredi pour incendier le marché», tiennent à préciser des commerçants.
La seule solution réside dans l’installation d’une sûreté urbaine
Par ailleurs, toutes les personnes que nous avons rencontrées, s’accordent à dire que la sécurité fait cruellement défaut dans cette importante agglomération dont la population avoisine les 90.000 âmes, si ce n’est plus, indiquent certains riverains qui souhaitent vivement voir l’accélération du rythme des travaux de construction des locaux de la sûreté urbaine se réaliser. «Il y a absence totale de sécurité, il ne faut rien cacher, personne n’est en sécurité, ces délinquants sont arrivés à faire descendre des bus des filles, pour les amener de force du côté des bidonvilles pour abuser d’elles, aucune n’ose se plaindre de peur des représailles. Durant le Ramadhan de l’an dernier, une horde de voyous armés de sabres et de fusils harpons a incendié un véhicule en plein jour, l’heure est grave, que faut-il de plus pour mettre un terme aux agissements de ce groupe, la seule solution réside dans l’installation d’une sûreté urbaine que nous attendons tous avec impatience», expliquent nos interlocuteurs. Pour appuyer leurs dires, nous avons été amenés à rendre visite à une victime de ce groupe de délinquants, un jeune homme âgé de 32 ans qui a été sauvagement agressé par un groupe de 12 individus armés de coutelas, en date du 25 mars à 15h 30. «Je me rendais chez moi, lorsque le groupe s’est attaqué à moi, mon seul bouclier n’était autre que mon bras, résultat, j’ai eu les tendons du bras gauche sectionnés, je ne peux plus remuer quatre doigts, mon handicap est permanent selon les médecins. Mes agresseurs sont connus, ils sont du quartier Le Château, à ce jour, ils circulent librement, j’ai déposé une plainte et j’attends», indique le jeune homme. Selon lui, la raison de cette agression remonte à une affaire qui date de plusieurs mois. «J’avais une salle de jeux, j’ai pris la défense d’un jeune qui s’est réfugié chez moi après avoir été poursuivi par les individus qui m’ont agressé le 25 mars. Permettez-moi de vous dire que dans la nuit de mercredi passé, le groupe qui a incendié le marché est passé chez moi pour me menacer, un avertissement pour me contraindre à retirer ma plainte», révèle cette victime.
« Château », un lieu
de tous les trafics
de tous les trafics
Pour collecter d’autres informations, nous nous sommes rendus au lieu-dit Le Château à l’entrée du quartier, un écriteau avec de la peinture rouge sur certains murs d’habitation, accueille le visiteur: «Soyez les bienvenus au Château. Non à la violence», puis un dessin illustrant une tête de mort. Nous avons pris contact avec une personne qui affirme qu’il y a effectivement absence de sécurité et que le commerce de la drogue existe bel et bien, mais que ce qui se dit sur le quartier est injustement amplifié. Selon cet homme, le mal provient du bidonville se trouvant à quelques mètres seulement du quartier en question, il n’a pas manqué de rejeter la responsabilité sur les gens du marché qui, selon lui, ont fait jeudi dernier un barrage sur la route pour fouiller les bus à la recherche de personnes habitant ce quartier, pour se venger d’eux, une accusation que les commerçants ont catégoriquement démentie. «C’est faux, vous étiez avec nous presque pendant toute la journée de jeudi, nous étions en position de défense pour défendre le marché, nous n’avons fait aucun barrage aux bus», tiennent à se défendre les gens du marché. Un habitant du quartier Le Château ne dément pas ce qui se passe dans ce lieu, il nous a simplement dit avec une certaine méfiance, «Il faut venir voir ce qui se passe surtout lorsqu’il pleut et lorsqu’il y a du vent», reconnaissant lui aussi qu’il y a absence de sécurité. Certains autres habitants nous ont indiqué, que ce groupe de malfaiteurs emploie de jeunes adolescents auxquels il met à leur disposition des téléphones portables pour les renseigner sur le mouvement des services de sécurité et c’est pour cela que ces truands échappent de tomber dans les filets de ces services, expliquent-ils. Nous avons également appris que dans la nuit de samedi, un groupe de jeunes encagoulés a tenté d’incendier le poste transformateur du lieu-dit Trig Jdida, pour faire endosser la responsabilité des faits aux gens du marché. Il est à se demander qui se cache derrière ce pourrissement et à qui profite-t-il ?
El Antri Benaissa
Réhabilitation des trottoirs et chaussées à haï En-Nedjma (ex-Chteibo)
Un bon début en attendant mieux
Finie la poussière et finie la gadoue ! A haï En–Nedjma, ex- il fera désormais bon vivre et les habitant souffriront moins cet été. Et pour cause, les pouvoirs publics ont enfin décidé de prendre en charge les doléances des citoyens et c’est à coup de plusieurs milliards de centimes que des équipes des travaux publics s’activent ces dernières semaines à bitumer toutes les rues, ruelles, passages et boulevards de cette localité de près de 60.000 âmes, dépendante administrativement de la commune de Sidi Chahmi.
Au vu de la cadence des travaux, l’on est tenté de dire qu’hormis un ou deux boulevards, le chantier tire presque à sa fin, au grand bonheur des riverains qui arrivent à présent à se déplacer très aisément à travers leur localité, que cela soit à pied ou en voiture. Le bitumage des différents axes de la ville ainsi que la réalisation des trottoirs ne font pas que faciliter la circulation, puisque cela permet également, selon certains témoignages, de réduire les distances.
M.S., élève au lycée En-Nedjma 1, déclare à ce sujet: «Avant, je mettais 15 minutes pour arriver au lycée et 25 minutes lorsqu’il pleuvait et la chaussée était boueuse.
A présent que presque toutes les chaussées sont goudronnées, cela ne me prend pas plus de 10 minutes pour arriver, parfois moins lorsque j’emprunte un raccourci, un chemin qui était impossible à franchir auparavant». Un autre citoyen qui manifeste sa joie de voir les rues de son quartier bitumées, avoue pour sa part qu’en plus de la fluidité et de la facilité de la circulation, l’opération de bitumage permet aussi d’embellir sa cité et de mettre en valeur les dizaines d’habitations qu’on ne remarquait même pas auparavant. Mais les plus heureux de tous sont incontestablement les commerçants qui reconnaissent que le fait d’avoir des chaussées en bitume et des trottoirs, booste indéniablement leur négoce. L’un d’eux déclare à ce propos: «La différence est certainement de taille du moment que les gens circulent plus aisément et se donnent même la peine de s’arrêter devant nos vitrines, alors qu’avant, si une personne, notamment une femme, n’a rien de précis à acheter, elle préfère rester chez elle pour éviter la poussière dans la rue en très mauvais état».
S. Makhlouf
Un bon début en attendant mieux
Finie la poussière et finie la gadoue ! A haï En–Nedjma, ex- il fera désormais bon vivre et les habitant souffriront moins cet été. Et pour cause, les pouvoirs publics ont enfin décidé de prendre en charge les doléances des citoyens et c’est à coup de plusieurs milliards de centimes que des équipes des travaux publics s’activent ces dernières semaines à bitumer toutes les rues, ruelles, passages et boulevards de cette localité de près de 60.000 âmes, dépendante administrativement de la commune de Sidi Chahmi.
Au vu de la cadence des travaux, l’on est tenté de dire qu’hormis un ou deux boulevards, le chantier tire presque à sa fin, au grand bonheur des riverains qui arrivent à présent à se déplacer très aisément à travers leur localité, que cela soit à pied ou en voiture. Le bitumage des différents axes de la ville ainsi que la réalisation des trottoirs ne font pas que faciliter la circulation, puisque cela permet également, selon certains témoignages, de réduire les distances.
M.S., élève au lycée En-Nedjma 1, déclare à ce sujet: «Avant, je mettais 15 minutes pour arriver au lycée et 25 minutes lorsqu’il pleuvait et la chaussée était boueuse.
A présent que presque toutes les chaussées sont goudronnées, cela ne me prend pas plus de 10 minutes pour arriver, parfois moins lorsque j’emprunte un raccourci, un chemin qui était impossible à franchir auparavant». Un autre citoyen qui manifeste sa joie de voir les rues de son quartier bitumées, avoue pour sa part qu’en plus de la fluidité et de la facilité de la circulation, l’opération de bitumage permet aussi d’embellir sa cité et de mettre en valeur les dizaines d’habitations qu’on ne remarquait même pas auparavant. Mais les plus heureux de tous sont incontestablement les commerçants qui reconnaissent que le fait d’avoir des chaussées en bitume et des trottoirs, booste indéniablement leur négoce. L’un d’eux déclare à ce propos: «La différence est certainement de taille du moment que les gens circulent plus aisément et se donnent même la peine de s’arrêter devant nos vitrines, alors qu’avant, si une personne, notamment une femme, n’a rien de précis à acheter, elle préfère rester chez elle pour éviter la poussière dans la rue en très mauvais état».
S. Makhlouf
الوصل تسلّط الضوء لكشف مدى تأثير المصطلح المنبوذ على العقول
�داعش� مودة يتغنى بها مطربون و يتحلى بها مجرمون
انتشرت بقوة في الآونة الأخيرة بين الشباب، سواء بالملاعب من طرف جماهير الفرق الرياضية أو في الأغاني الرايوية، بل وصل الأمر لحد إطلاق بعض العصابات الإجرامية على نفسها هذا المصطلح للدلالة على الشراسة والبطش، وهي الظاهرة التي سلطت عليها الوصل الضوء لكشف تبعات، وتأثير هذا المصطلح على العقول . مناصرون في الملاعب يتغنَون بـ�داعش� حين يتعرضون للحڨرة
ولعل أول ملاحظة غريبة يمكن رصدها هو انتقال الظاهرة إلى الملاعب الجزائرية، وتحديدا وسط مناصري الفرق الكروية، حيث يتم تمجيد التنظيم الإرهابي مثلما وقع قبل سنوات مع القاعدة التي غنى عنها بعض الشباب بدافع الفضول واكتشاف تنظيم متمرَد أثار حالة رعب في نفوس أكبر قوى العالم مثل فرنسا وأمريكا. وخلال تقرَبنا من بعض الأنصار لمعرفة السبب الرئيسي الذي يدفعهم للتغني بتنظيم إرهابي منبوذ عالميا، أكد بعض المناصرين أن له علاقة بحبَ التمرَد وإثبات الذات، لاسيما في حال تعرَض الأنصار لمضايقات من طرف مصالح الأمن أو الأعوان المنظمين للملاعب، ما يجبر الأنصار إلى الرد بطريقتهم، وهي الغناء باعتباره سلاحهم، ومن ثم تمرير رسائل مشفرة وأخرى مباشرة، وهناك لا يسلم من تلك الأغاني النقدية لا رئيس ولا مرؤوس. وكما تم التغني بأمراء الفيس المنحل والجيا سنوات التسعينيات ثم القاعدة، يتم حاليا التغني بداعش لأنه صار حديث العام والخاص - يضيف أحد المناصرين- . مطربو راي يستعملون كلمة داعش في أغانيهم لكسب الشهرة كما تأثَر بهاته الظاهرة الغريبة مطربو الراي، حيث عمد الكثير من المغنيين إلى توظيف كلمة داعش في أغانيهم، يقول الشاب �مراد� مثلا في أحدث أغانيه:� أنا مقيوس في الإنعاش...وهي لاهيا بلاماش ....عقلية داعش�، وكان الهدف من خلال توظيف ذلك المصطلح مثلما هو معلوم لدى المختصَين تحقيق التميَز، والترويج الواسع للأغنية، لاسيما وأن داعش صارت حسبهم موضة العصر التي تضمن النجاح والشهرة. عصابات إجرامية تسمي نفسها داعش لترهيب خصومها !! كما انتقلت عدوى هذا المصطلح للأحياء الشعبية الساخنة في وهران والعاصمة وغيرها من ولايات الوطن، وما ميَز هاته الفترة بالذات اشتعال فتيل حرب العصابات بين شباب الأحياء. الغريب في الأمر أن بعض الجماعات أطلقت على نفسها تسمية داعش لترهيب خصومها، وهو ما تم تسجيله في بعض أحياء الحمري والياسمين بوهران، حيث انتشرت أخبار عن عصابات إجرامية لغتها العنف، تفتك بضحاياها بعد تصويرهم، وقد عالجت مصالح الأمن بوهران حادثة وقعت أواخر السنة الماضية، حين تم تجريد بعض الشباب من ثيابهم، ثم تصويرهم وهم مكبلين بالأسلاك، ليبدأ الاعتداء عليهم بكل وحشية، وهو ما جعل كل من رأى المشهد المصور يربط تشابها بين العصابة المعتدية والتنظيم الخطير داعش. صادق.ف
Enquête d’opinion sur les qualités des prestations offertes par la SEOR83% des personnes interrogées se déclarent satisfaitesUne nouvelle enquête d’opinion réalisée récemment par la société de l’eau et de l’assainissement d’Oran (SEOR) auprès de ces abonnés a révélé que la majorité des personnes interrogées étaient satisfaites des prestations de services de cette société. Cette enquête d’opinion qui a été réalisée par téléphone a dévoilé que 83% des personnes questionnées étaient satisfaites. Les enquêteurs ont été chargés par la SEOR des études préalables, de la rédaction du questionnaire et du traitement informatiques des données collectées. Les enquêteurs ont opté pour le sondage téléphonique, par rapport au face à face, parce qu’il représente de nombreux avantages: rapidité, dispersion géographique de l’échantillon, discrétion, etc. Le sondage par téléphone réduit surtout les risques de bidonnage des enquêteurs, le contrôle de leur travail pouvant être effectué plus facilement.
Ce taux de satisfaction qualifié d’important est justifié par l’amélioration de la situation de l’AEP depuis fin 2012 dans la wilaya Oran qui est alimentée en h24. Presque 98% du territoire de la wilaya est couvert en h24 par la SEOR à l’exception de la localité de Tafraoui. Les abonnés de plusieurs localités, qui souffraient jusqu’à un passé proche des coupures à répétition de l’AEP, assistent à une amélioration dans l’approvisionnement en eau grâce aux projets de raccordement au MAO. Le volume en eau consacré à la wilaya est passé à 370.000 m3/jour permettant ainsi à la SEOR d’élaborer un programme pour approvisionner la population 24h sur 24h. Ces ressources sont en provenance des barrages de Gargar, MAO/SDEM Mostaganem, du SDEM de Kahrama, du SDEM de Chott El Hillal, de la station de déminéralisation de Brédéah, des stations monoblocs de Bousfer et des Dunes et des ressources locales.
A. Saïd
العملية جند لها 300 عون نظافة و5 شاحنات
ضخ 6 مليار لتزيين بلديات عين الترك بوهران
كشف رئيس دائرة عين الترك للجريدة عن أنه تم رصد غلاف مالي قدر بـ6 مليار سنتيم، في سبيل التحضير لموسم الاصطياف من خلال الشروع في عمليات تهيئة شاملة تخص العديد من المناطق ببلديات الكورنيش التي تستقطب سنويا آلاف الزوار من خلال الحرص على تزيين المحيط وطلاء الجدران وتهيئة المساحات الخضراء، حيث أردف ذات المسؤول أن نسبة التحضير لموسم الاصطياف بلغت 80 بالمائة إلى حد الساعة وهذا تبعا لما جاء في الاجتماع الأخير الذي جمعه مع ممثلي بلديات الدائرة بكل من بلدية عين الترك وبلدية المرسى الكبير وبوسفر والعنصر.
حيث تم إعداد فرق مختصة في التنظيف وتهيئة الشواطئ من خلال إحصاء 300 عون تنظيف و5 شاحنات من بينها شاحنتين للتنظيف ببلدية عين الترك، كما أكد ذات المسؤول أنه تم رصد 1.5 مليار لكل بلدية في سبيل التحضير لموسم يستقبل سنويا ملايين المصطافين من منطلق تربع المنطقة على شواطئ خلابة، ما يستدعي تنظيفها والتحضير للموسم مسبقا بدائرة عين الترك التي تعد مقصدا هاما للسياح على خلفية الإقبال المنقطع النظير للمصطافين. تبقى أشغال التنظيف بمختلف الشواطئ التي تشهد الإقبال جد مطلوبة في الوقت الحاضر لما يصب في وعاء تحسين الخدمات السياحية، ناهيك عن مجالات التهيئة الشاملة بما فيها التغطية الضوئية من خلال تعميم الإنارة بالمنطقة وطلاء الواجهات وترتيب أمور الحظائر وكذا تقنين أسعار كراء الشمسيات التي تلاقي عقب كل موسم اصطياف غلاء كاسحا من خلال وصول ثمن المكوث تحت ضل الشمسية إلى ما يفوق 1500 دج وهو ما يحرم الكثير من العائلات من ذوي الدخل الضعيف من الاستمتاع بزرقة البحر من منطلق غلاء الذهاب نحو هذا المكان العذري، في ظل التكاليف المثقلة التي يتكبدها المصطاف المغلوب على أمره، يشتكي مختلف المواطنين بوهران من الغلاء الفاحش الذي باتت تشهده مختلف شواطئ الباهية على خلفية ما تفرضه قوانين أصحاب الامتياز من الشباب الذي يحدد الثمن الذي يرغبه لقاء أن يستغل المصطاف يوما أو نصف يوم تحت ظل الشمسية، هذه الأخيرة التي باتت تشكل عائقا آخر يقصي الكثيرين من البسطاء من ذوي الدخل المحدد والبطالون والبسطاء الذين تستنزف جيوبهم دفع مبالغ تفوق دخلهم اليومي من خلال وصولها إلى سقف 2000 دج لقاء البقاء تحت ظل الشمسية والاستمتاع بموجات البحر، غير أنه قد يقصى المصطاف من الاستمتاع بزرقة البحر في حالة عجزه عن دفع الضريبة التي تفرض عليه عنوة جراء كراء طاولة بأربع كراسي، كما يفرض عليه دفع ما قيمته 100 دج أو أكثر لقاء ركن سيارته بالحظيرة وحتى وإن جلب معه شمسيته فإنه محروم من نصبها في مقابل البحر أو ما يسمى بالصف الأمامي بعدما أصبح الاستمتاع بشاطئ البحر على درجات، حيث يضطر المواطن المغلوب على أمره إلى الجلوس بعيدا في الصف الأخير وينصب شمسيته بمكان بعيد عن الشاطئ، في الوقت الذي يدفع فيه ميسوري الحال الملايين لقاء الاستمتاع بالبحر سواء عن طريق الإقامة الفندقية أو كراء الشاليهات التي التهبت أسعارها في السنوات الأخيرة، حيث يقدر كراء شالي من غرفة واحدة بما يفوق 22 مليون سنتيم شهريا، ناهيك عن ثمن الإقامة بالمركبات السياحية وتبقى الخدمات السياحية ذات الامتياز مطلوبة، خاصة فيما يتعلق بالفندقة التي تعد عاملا أساسيا في تطوير السياحة بعاصمة الغرب الجزائري التي تصنف في خانة العواصم الأورو متوسطية والتي بها امتيازات سياحية عالية تستدعي توظيفها وتهيئتها لاستقطاب السياح، في الوقت الذي تعشعش بأحيائها وشوارعها الرئيسية الجرذان والمزابل العشوائية التي شوهت ثاني أكبر المدن الجزائرية. في سياق ذي صلة، يشتكي مختلف المواطنون بوهران من الغلاء الفاحش الذي باتت تشهده مختلف شواطئ الباهية على خلفية ما تفرضه قوانين أصحاب الامتياز من الشباب الذي يحدد الثمن الذي يرغبه لقاء أن يستغل المصطاف يوما أو نصف يوم تحت ظل الشمسية، هذه الأخيرة التي باتت تشكل عائقا آخر يقصي الكثير من البسطاء من ذوي الدخل المحدد والبطالون من السباحة من منطلق الغلاء الذي تستنزف جيوبهم لقاء البقاء تحت ظل الشمسية والاستمتاع بجمال البحر ما يستدعي التصدي لمثل هذه الظواهر التي تستنزف جيوب البسطاء. ك بودومي
à j-4 de l’évènement culturel : Le kitsch envahit Constantine
le 13.04.15 | 10h00 Réagissez
Nos résponsables cultivent le mauvais goût
L’absurde ne connaît pas de limite et le mauvais gout aussi. A Constantine, ces deux ennemis de l’espoir rivalisent d’ingéniosité pour faire triompher le kitsch à l’occasion de la manifestation qui fait de la ville deux fois millénaire, une capitale de la culture arabe.
A quelques jours de l’ouverture officielle, les «grands architectes» à qui on a confié le maquillage de Constantine, s’échinent à placer les dernières touches, notamment au centre-ville. Deux éléments, ont particulièrement attiré la curiosité des constantinois, et souvent provoqué le choc. Il s’agit d’abord de la statue flambant neuve dédiée au Cheikh Abdelhamid Benbadis.
La surprise qu’on a promis aux constantinois s’est révélée en vérité n’être qu’une boule disproportionnée et peu valorisante pour le personnage qu’elle est censée représenter. Pour beaucoup, y compris la famille Ben badis, c’est même une insulte et du mépris pour l’homme qui symbolise l’âge d’or de la ville.
La statue en pierre (comme si le précurseur d’El Islah ne méritait pas du bronze ou un matériau noble) a été placée sur la place du 1er novembre en face du palais de la culture Med El Aïd El Khalifa. L’œuvre trop petite, représente le cheikh dans cette position célèbre empruntée à une photo d’époque du cheikh assis sur un siège, la main gauche portée au front dans un moment de méditation, et la main droite tenant un livre, un doigt glissé au milieu comme un marque-page.
La statue en pierre (comme si le précurseur d’El Islah ne méritait pas du bronze ou un matériau noble) a été placée sur la place du 1er novembre en face du palais de la culture Med El Aïd El Khalifa. L’œuvre trop petite, représente le cheikh dans cette position célèbre empruntée à une photo d’époque du cheikh assis sur un siège, la main gauche portée au front dans un moment de méditation, et la main droite tenant un livre, un doigt glissé au milieu comme un marque-page.
La version statue n’est pas réussie, ni sur le plan des proportions ni sur celui de l’expression. La pierre lapidaire et l’aspect comprimé du corps avec des chaussures énormes achèvent de réduire l’œuvre en un vulgaire tas de pierre.
Le Benbadis qu’on dit avoir été réalisé au Portugal, a des yeux exorbitants, comme s’il était effaré par une autre horreur placée à quelques mètres au milieu du nouveau jet-d’eau et au-delà, de la nouvelle façade syncrétique du palais de la culture. Les «génies» de la ville ont en effet fait cadeau aux constantinois d’une babiole géante dépourvue de toute valeur esthétique et vide de sens, si ce n’est pour les initiateurs du projet.
Sans surprise, l’APC, derrière ce dernier coup de griffe sur le visage du centre-ville, a fait étalage de son inculture crasse et alimenté davantage le puit sans fond de tout le bien qu’on pense de l’assemblée et son président. Si le premier ministre accepte d’inaugurer ces deux verrues jeudi prochain, nous sommes bons pour le suicide collectif !
Nouri Nesrouche
Bruits et chuchotements autour de « Constantine, Capitale 2015 de la culture arabe » : Labidi contre-attaque
Nadia Labidi, ministre de la Culture, a été, hier, l’invitée de la Chaîne III pour commenter la manifestation «Constantine, capitale 2015 de la culture arabe», dont elle a affirmé qu’elle va signer la renaissance culturelle de cette ville ancestrale de l’Est algérien. Labidi a affirmé qu’il n’y a pas eu de retards significatifs, constatés dans la livraison des infrastructures devant accueillir cette manifestation, sauf pour ce qui est de la Grande Bibliothèque, dont les travaux, précise-t-elle, se sont trouvés ralentis par suite de la mise à jour, sur les lieux, de vestiges historiques en cours d’identification. Il est à noter qu’une enveloppe de sept cent (700) milliards de centimes a été allouée pour l’organisation de cette manifestation, entre réalisation et réhabilitation des infrastructures. À ce titre, un exposé a été fait sur l’avancement des grands projets inscrits dans le cadre de cette manifestation, comme la Salle de spectacles, le Palais de la culture, la Bibliothèque urbaine, le Musée, le Palais des expositions, qui sont fin prêts. Par ailleurs, la ministre a mis en exergue les projets concernés par la réhabilitation. Les infrastructures culturelles réservées pour la tenue d’événements culturels, et d’autres pour l’hébergement seront fonctionnels au lancement de la manifestation, dont le coup d’envoi est prévu le 16 avril. À cet effet, Labidi a été interrogée sur le respect du délai de réalisation, selon les programmes établis en fonction de cette enveloppe budgétaire. À ce sujet, elle a répondu qu’il y a lieu de distinguer entre les réalisations et les infrastructures culturelles qui sont une chose et le programme d’activités culturelles qui en est une autre. D’autre part, la ministre a annoncé que les activités culturelles s’étaleront durant toute l’année. Dans ce contexte, 40 pièces théâtrales et une production de 17 films sont déjà programmées. Selon la ministre, plusieurs salles de cinéma vont être rénovées à Constantine pour recevoir les productions nationales et étrangères. Elle a affirmé que l’Algérie possède un patrimoine de films extraordinaires, et de nouvelles productions cinématographiques sont programmées pour cette manifestation. Aussi, elle a mis en exergue le volet «Édition», qui, d’après elle, a fait l’objet d’une sélection pour ne retenir que les titres qui sont dûment couverts par le financement attribué à cet effet. À ce titre, des conférences et expositions littéraires et l’organisation de plusieurs colloques seront tenues et feront donc l’objet d’un débat. Concernant le budget octroyé à cette manifestation pour la partie culturelle, Labidi a déclaré qu’il faut rationnaliser et contrôler les dépenses pour que ce budget ne fasse pas l’objet d’un dépassement. Selon elle, son département ministériel procèdera à la traçabilité rigoureuse de chaque centime déboursé. Par ailleurs, elle a affirmé que des gestionnaires de la finance ont été chargés de faire un contrôle a posteriori pour savoir comment cet argent a été dépensé. En outre, elle a déclaré que, lors de cette manifestation, certains pays arabes y participeront, d’autres y seront représentés par des délégations. Elle a annoncé, par contre, que des pays ont souhaité y marquer leur présence, à l’exemple de l’Espagne, du Portugal, de l’Inde, de la Chine ou de la France. La ministre a fait également état de l’organisation de caravanes culturelles qui, à partir de Constantine, vont sillonner différentes villes du pays et stimuler l’organisation de rencontres entre diverses wilayas, afin de faciliter leur jumelage dans une perspective de développement de leurs relations dans divers secteurs d’activités. Ainsi, cette procédure permettra d’animer davantage des rencontres entre wilayas, des échanges à la fois culturels, mais aussi touristiques et économiques. Selon la ministre, la culture est un facteur de développement qui doit permettre de donner une visibilité sur le potentiel de la wilaya, mais aussi de mettre les gens en étroite relation. Par conséquent, Labidi a déclaré qu’il y aura, aussi, une effervescence de spectacles destinés à montrer la richesse patrimoniale du pays, mais également de grands jeux de lumière, des festivals de musique andalouse, des parades, et une immense fresque historique animée par 400 jeunes danseurs.
Lazreg Aounallah
Lazreg Aounallah
يواصلون إضرابهم أمام مقر المؤسسة في ظل صمت الوصاية بوهران
أعوان أمن الترامواي.. 9أيام بدون طعام و المسؤولون "نيام"
بلغ عدد أيام إضراب أعوان أمن مؤسسة سيترام بترامواي وهران عن الطعام اليوم التاسع، حيث لا يزال زهاء 8 أعوان محتجين أمام مقر المؤسسة بمنطقة سيدي معروف، تنديدا بالظروف القهرية التي يواجهونها في ظل صمت الجهات المسؤولة، والغموض الذي بات يهدد مصيرهم المهني في ظل استنكارهم القوي لقرار إدماجهم في نظام العمل الجزئي براتب لا يفوق 22 ألف دج.
حيث أكد ممثل عن الفرع النقابي للجريدة أن أعوان الأمن باتوا متخوفين على مصيرهم بالمؤسسة، ما جعل بعضهم يواصل إضرابه عن الطعام بالرغم من الإغماءات التي سجلت في وأوساطهم والحالة الصحية التي آل إليها البعض الآخر، وهذا في ظل مطالبتهم الملحة للجهات الوصية بضرورة الرضوخ لمطالبهم وإدراجهم ضمن النظام الكامل ومنح أجر يضاهي 32 ألف دج، عكس ما جاءتهم به الإدارة العامة ممثلة في مؤسسة سيترام المسيرة لخطوط ترامواي وهران بفتح مناصب عمل لهؤلاء الأعوان بعقود عمل دائمة، ولكن بالتوقيت الجزئي وتمكنيهم فقط حسب آخر اجتماع من راتب 22 ألف دينار، وهو الأمر الذي رفضه أعوان الأمن البالغ عددهم 269 عونا، مطالبين بتنفيذ وعود وزير النقل �عمار غول� الذي وعد بتسوية وضعيتهم وتمكينهم من العمل بتوقيت كامل وبأجرهم السابق الذي كانوا يتقاضونه المقدر بـ 32 ألف دينار، وباقي الحقوق التي يكفلها قانون العمل خلال زيارته إلى الولاية. ك بودومي
حتى بداية تظاهرة الثقافة في يوم وفاته وليس ميلاده
بن باديس.. صاحب صيحة "تحيا الجزائر والعرب" غائب منذ 75 سنة
عبد الناصر
2015/04/12(آخر تحديث: 2015/04/12 على 19:08)
"فإذا هلكت فصيحتي تحيا الجزائر والعرب".. هذا آخر بيت شعري، كتبه العلامة الكبير عبد الحميد بن باديس، الذي سأل نفسه مرة لمن أعيش، وردّ بسرعة: أعيش للجزائر وللعربية وللإسلام، ولكن بعد مرور 75 سنة من وفاته وهو دون الخمسين من العمر، نقتنع بأن وصيّة الجزائر بأن تعيش الجزائر والعرب بعد هلاكه لا يسعى إليها الكثيرون.
بدليل أن الرجل الذي قال تحيا العرب وأعيش للعربية، تحتضن مدينته قسنطينة التي رفض مغادرتها من مهده إلى لحده، أكبر تظاهرة ثقافية في تاريخها، ويكاد يكون الرجل غريبا فيها، فلا أشياءه الضائعة استرجعت ولا كتبه الكثيرة وضعت أمام الناس ليطلعوا عليها ولا أدنى مجهود لاسترجاع أرشيف الرجل المخزّن في فرنسا ومنه أشرطة فيديو للعلامة وهو يجوب دار الترقي ومدينة قسنطينة، الذي تأكد تواجدها في فرنسا.
وأكثر من ذلك يجد نابليون بونابرت الذي توفي عام 1821 نفسه في دساتير وقوانين فرنسا، إلى غاية عهد فرانسوا هولاند، ويجد أوتوفون بسمارك الذي توفي عام 1898 نفسه في دساتير وقوانين ألمانيا إلى غاية عهد أنجيلا ميركل، ولا نجد للشيخ بن باديس أي أثر في قوانين المرأة ودساترنا القديمة والقادمة ولا مختلف القوانين، ولا نكاد نجد للرجل ذكر في المراجع الدراسية، بالرغم من أنه قضى على الأقل ثلاثين سنة يعصر من كل الثقافات، ويقدّم المعارف في قالبها العربي والجزائري والإسلامي، وقد اعترف الراحل الشيخ أحمد حماني بمعارف بن باديس الذي كان ملما بالرياضيات والجغرافيا، وكلما قدّم تفسيرا لآية قرآنية وتراجم لشخصية عربية أو إسلامية أو عالمية قديمة ومعاصرة إلا وأبان بأنه سابق لعصره ولكن يبدو أننا سبقناه بطرق أخرى وفي اتجاه غير الاتجاه الذي كان يسير فيه.
لقد غادرنا منذ بضعة أيام آخر تلامذة الشيخ الأستاذ عمار مطاطلة ونحن نجزم بأن القائمين على تظاهرة عاصمة الثقافة العربية لم يوجهوا له قبل وفاته دعوة لحضور أيام بن باديس التي ستدور كالعادة في قاعة مغلقة، لقد أفنى الشيخ بن باديس مالا يقل عن عشرين سنة معتكفا في تفسير القرآن الكريم، وهو أول جزائري يفسر كتاب الله، ويقال بأن سيد قطب أخذ منه في تفسيره الشهير في ظلال القرآن، ومع ذلك ضاع الكثير من هذا التفسير ولم نسمع أبدا عن أي جهد لأجل استرجاعه أو البحث عنه، ليس من أجل إثراء المكتبة العالمية وإنما ليكون هذا التفسير ضمن أشهر تفاسير كتاب الله من ابن كثير إلى تفسير قطب، وغريب أيضا أن لا نجد من أشياء بن باديس الذي مازال شقيقه الأصغر الأستاذ عبد الحق على قيد الحياة ويبلغ من العمر 95 سنة سوى مذياع وعصا، ولا نجد أكثر من عشرة صور لرجل مات في أربعينات القرن الماضي فقط، ولن تحدث عن ألغاز كثيرة مازالت قائمة، وكأنها من أسرار الدولة في حياة الرجل وحياة رفاقه من جمعية العلماء المسلمين مثل العربي التبسي والبشير الإبراهيمي، فصحيح أن الموت تدرك الإنسان حتى لو كان في حصون مشيّدة ولكن وفاة بن باديس مازالت فعلا لغزا لأنه لم يعان من أي مرض طوال حياته، إلى أن رقد على فراش المرض في الرابع عشرة من أفريل ورحل أمام دهشة الجميع قبل صدمتهم بوفاته، وكان يعيش في حيّ يعجّ باليهود ومتبع من الفرنسيين والطرقيين، ونعلم جميعا بأن الرجل عند وفاته، أبّنه مبارك الميلي لأن نائب جمعية العلماء المسلمين الشيخ البشير الإبراهيمي كان غائبا في غرب البلاد، وأبّنه أيضا الطبيب الخاص للشيخ الدكتور بن جلول الذي قال بأن الشيخ أوصاه بأن لا يكشف سرّ وعكته الصحية، فبقيت تأبينية الشيخ الميلي محفوظة، وسافر بن جلول إلى باريس ومات هناك ودفن السرّ كما دٌفن الشيخ بن باديس، وكما يُدفن الآن في تظاهرة اختير لها تاريخ السادس عشر
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يوم احتفالي لـ”بلو شنغاي” في شوارع العاصمة
يوم احتفالي لـ”بلو شنغاي” في شوارع العاصمة
بعد يوم بـ”الحايك” الذي بادرت اليه جمعية بلارج في 21 مارس الماضي، ها هي تواصل خراجاتها غير المتوقعة،بتخصيص يوم لـ”بلو شنغاي أو بلو شين” او اللباس الأزرق المشهور في الوسط الرجالي عندنا، والشائع في فصل الصيف. وعلى هذا أرسلت بلارج نداء إلى كل محبي هذا اللباس للخروج به إلى شوارع العاصمة يوم 5 سبتمبر القادم، انطلاقا من البريد المركزي، المسمكة، توتونفيل، ديدوش مراد… إحياء “بلو شنغاي” لا يقتصر على الرجال بل النساء ايضا معنيات بهذا اليوم الاحتفالي بلباس له مكانة خاصة في الذاكرة.