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وشر البلية مايبكي
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Association Numidi Art
L’histoire revue et relue autrement
le 28.07.15 | 10h00
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Une séquence du film
Continuant sur leur lancée, et ne voulant pas s’arrêter en si bon chemin, les membres de l’association Numidi Art de Constantine viennent de commettre un autre «délit historique».
Contre vents et marrées, et en dépit de toutes les contraintes
bureaucratiques d’une administration sclérosée, l’association a relevé
le défi en accueillant l’ancien militant de la cause nationale, Mustapha
Boudina, samedi à l’ODEJ de la rue Kaddour Boumeddous. Cet ancien
syndicaliste au sein de l’UGTA (de Aïssat Idir) et président de
l’association nationale des anciens condamnés à mort, connu surtout pour
son franc parler, est aussi l’auteur d’un livre au ton poignant et au
style cru : «Rescapé de la guillotine». Un témoignage vivant de ce qu’il
a vécu à la prison de Fort Montluc à Lyon.
La rencontre était aussi une belle occasion pour réunir d’anciens condamnés à mort, dont Saïd Boulahlib, membre du bureau national chargé de la wilaya de Constantine, avec un public intéressé, loin des salons feutrés et des protocoles. «C’est une initiative qui s’inscrit dans le programme des zinzins du cinéma, avec pour objectif d’animer un débat instructif autour d’un film ou un documentaire», annonce Lounis Yaou, président de l’association.
Le documentaire du jour a été judicieusement choisi. Il s’agit de l’œuvre d’un journaliste engagé et dévoué. En 2012, Mohamed Zaoui fait la connaissance de Mustapha Boudina. Ce dernier, ancien condamné à mort détenu à la prison de Fort Montluc de Lyon, décide, 50 ans après la fin de la guerre d’Algérie, de visiter ce lieu, devenu un mémorial ouvert au public. Zaoui décide de l’accompagner en réalisant un passionnant film documentaire : Retour à Montluc.
Un retour émouvant pour l’ancien condamné n°45, qui se rappelle encore de la cellule n°14 où durant quatre années, il avait attendu d’être guillotiné. A partir de cette cellule, Mustapha Boudina, accompagné par Philippe Rivé, directeur de la prison, fera le tour de la mémoire dans les moindres recoins du lieu.
Les cellules auxquelles on a enlevé les portes et les serrures, le couloir par lequel on emmenait les condamnés vers la guillotine, les murs qui racontaient les souffrances et les moments de torture. Tout cela est raconté dans un style sobre mais avec force détail. Boudina se rappelle avec émotion de ses 11 anciens compagnons exécutés dans cette prison, alors que le douzième était mort des suites d’un cancer.
Il ne retient pas ses larmes en se souvenant de Makhlouf et de Bougandoura, exécutés le même jour, le premier en présence du deuxième, mais surtout d’Abderrahmene Lekhlifi, passé par la guillotine à l’âge de 17 ans, malgré tous les appels de grâce émis par des rois et des personnalités politiques. Ironie de l’histoire, la prison du Fort Montluc à Lyon a été un lieu de détention où furent torturés des résistants français par des officiers nazis durant l’occupation allemande.
Plusieurs personnalités y sont passées, notamment le fameux Jean Moulin. Le lieu, transformé en musée, compte plusieurs portraits des résistants français, mais pas la moindre photo des anciens condamnés algériens. Truffé de témoignages d’éminents défenseurs des droits de prisonniers politiques, le documentaire de Mohamed Zaoui est une précieuse contribution pour l’écriture de l’histoire des anciens condamnés à mort algériens, dont une grande partie demeure méconnue.
Estimant avoir failli quelque part pour transmettre cette histoire aux jeunes générations, Boudina lance un appel aux jeunes à travers le message des ces martyrs: «Aimez l’Algérie plus que nous l’avions aimée et vivez pour votre patrie plus que nous l’avions vécu ».
La rencontre était aussi une belle occasion pour réunir d’anciens condamnés à mort, dont Saïd Boulahlib, membre du bureau national chargé de la wilaya de Constantine, avec un public intéressé, loin des salons feutrés et des protocoles. «C’est une initiative qui s’inscrit dans le programme des zinzins du cinéma, avec pour objectif d’animer un débat instructif autour d’un film ou un documentaire», annonce Lounis Yaou, président de l’association.
Le documentaire du jour a été judicieusement choisi. Il s’agit de l’œuvre d’un journaliste engagé et dévoué. En 2012, Mohamed Zaoui fait la connaissance de Mustapha Boudina. Ce dernier, ancien condamné à mort détenu à la prison de Fort Montluc de Lyon, décide, 50 ans après la fin de la guerre d’Algérie, de visiter ce lieu, devenu un mémorial ouvert au public. Zaoui décide de l’accompagner en réalisant un passionnant film documentaire : Retour à Montluc.
Un retour émouvant pour l’ancien condamné n°45, qui se rappelle encore de la cellule n°14 où durant quatre années, il avait attendu d’être guillotiné. A partir de cette cellule, Mustapha Boudina, accompagné par Philippe Rivé, directeur de la prison, fera le tour de la mémoire dans les moindres recoins du lieu.
Les cellules auxquelles on a enlevé les portes et les serrures, le couloir par lequel on emmenait les condamnés vers la guillotine, les murs qui racontaient les souffrances et les moments de torture. Tout cela est raconté dans un style sobre mais avec force détail. Boudina se rappelle avec émotion de ses 11 anciens compagnons exécutés dans cette prison, alors que le douzième était mort des suites d’un cancer.
Il ne retient pas ses larmes en se souvenant de Makhlouf et de Bougandoura, exécutés le même jour, le premier en présence du deuxième, mais surtout d’Abderrahmene Lekhlifi, passé par la guillotine à l’âge de 17 ans, malgré tous les appels de grâce émis par des rois et des personnalités politiques. Ironie de l’histoire, la prison du Fort Montluc à Lyon a été un lieu de détention où furent torturés des résistants français par des officiers nazis durant l’occupation allemande.
Plusieurs personnalités y sont passées, notamment le fameux Jean Moulin. Le lieu, transformé en musée, compte plusieurs portraits des résistants français, mais pas la moindre photo des anciens condamnés algériens. Truffé de témoignages d’éminents défenseurs des droits de prisonniers politiques, le documentaire de Mohamed Zaoui est une précieuse contribution pour l’écriture de l’histoire des anciens condamnés à mort algériens, dont une grande partie demeure méconnue.
Estimant avoir failli quelque part pour transmettre cette histoire aux jeunes générations, Boudina lance un appel aux jeunes à travers le message des ces martyrs: «Aimez l’Algérie plus que nous l’avions aimée et vivez pour votre patrie plus que nous l’avions vécu ».
Arslan Selmane
Parkour en plein centre-ville
le 20.07.15 | 10h00
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Un spectacle démonstratif d’une nouvelle discipline dite Parkour aura lieu le sept août prochain à la place Ahmed Bey, plus connue par Dounia Taraif, située juste en face des hôtels Novotel et Ibis au centre-ville de Constantine.
Le rendez-vous est prometteur. Il s’agit d’un spectacle des arts de
rue, une sorte de gymnastique urbaine, organisé par l’association
Parkour de Constantine. L’événement regroupera des participants venus de
32 wilayas. La majorité des athlètes ne sont pas membres
d’associations, mais plutôt des amateurs qui apprennent la discipline
via des vidéos postées sur le net par des professionnels du monde
entier. L’événement a pu s’organiser grâce à la médiatisation via les
réseaux sociaux. Une initiative lancée par l’association constantinoise
de Parkour, qui a l’ambition de lancer la discipline. L’espace qui va
accueillir le spectacle sera aménagé grâce au matériel de l’association
et celui de quelques bénévoles.
Ilhem Chenafi
Lotissements MDN, magistrats et CIAC près de Boussouf
Les habitants réclament l’aménagement urbain
le 23.07.15 | 10h00
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En hiver, la situation est plutôt catastrophique
Les routes sont dans un état déplorable, alors que tous les quartiers sont dépourvus de trottoirs et d’éclairage public.
Routes impraticables, trottoirs défoncés, pollution à grande échelle et
insécurité. C’est ce qui caractérise actuellement les lotissements MDN,
Magistrats et CIAC (Coopérative immobilière des cadres de l’agriculture
de Constantine) situés à proximité de la cité Boussouf. Les habitants
de ces lotissements créés à la fin des années 1990 expriment leur
ras-le-bol. Ces derniers s’indignent parce que rien n’a été fait pour
leur quartier et ce malgré les nombreuses démarches entreprises auprès
des autorités locales, notamment le wali et les services de l’urbanisme.
Ils sont unanimes à déplorer le laisser-aller dans lequel se trouvent
leurs quartiers.
Selon Fouad Boudjada le président de l’association de quartier baptisée 1er Novembre 1954. «L’état des routes donnant accès à ces cités est dans un état déplorable. En hiver ces routes se transforment en chemins boueux impraticables et en été ce sont les nuages de poussières soulevés par les véhicules qui traversent le quartier. Les taxis et même le camion de ramassage des ordures s’y refusent à y pénétrer. La niche à ordures que nous a réservée la mairie se trouve d’ailleurs à plusieurs centaines de mètres en dehors du quartier.
Elle est très insuffisante pour contenir tous les déchets générés par les centaines d’habitations à tel point qu’elle est continuellement débordée. Nous avons pourtant déposé plusieurs demandes au niveau de la direction de l’urbanisme pour la réhabilitation des routes mais celles-ci sont restées malheureusement lettres mortes en dépit des promesses qui nous ont été formulées à maintes reprises», soutiendra notre interlocuteur.
Ce dernier nous explique par ailleurs que cette situation est due à un contentieux entre la direction des ressources en eau et la Seaco laquelle a refusé de réceptionner le projet de réalisation du réseau AEP réalisé en 2012 par la société Hydrotranspher et approuvé pourtant par les services de l’hydraulique. Ce qui a eu pour conséquence de retarder les projets inscrits pour l’aménagement de notre quartier (réhabilitation du réseau routier, réalisation des trottoirs, installation de l’éclairage public et aménagement d’espaces verts).
L’insécurité comme autre préoccupation
Le président de l’association de quartier évoque également l’insécurité qui règne aux abords de leurs cités. Il nous dira à ce propos: «A la lisière de celles-ci se trouve en effet un projet immobilier de construction de villas abandonné depuis une vingtaine d’années par un promoteur immobilier, Abdelali Blikaz en l’occurrence. Ces villas inachevées se sont transformées à la longue en dépotoir en plus d’un lieu de débauche pour tous les désœuvrés des quartiers environnants, lesquels n’hésitent pas après leurs soirées bien arrosées à s’en prendre aux habitants de notre quartier où les agressions sont devenus monnaie courante».
Désabusés par les innombrables promesses d’un lendemain meilleur, jamais tenues par les autorités locales, les habitants organisés en association se démènent comme ils peuvent pour régler leurs problèmes. Et ces derniers sont nombreux notamment en ce qui concerne la défaillance de l’éclairage public qui fonctionne de manière très aléatoire, ce qui accentue leur sentiment d’insécurité. Foued Boudjada déplore d’autre part l’absence d’aires de jeux et de lieux de loisirs. «Il existait bien à proximité de notre quartier un petit terrain où nos enfants pouvaient s’amuser, mais celui-ci a été inexplicablement fermé par la municipalité depuis quelques mois», précise notre interlocuteur.
Selon Fouad Boudjada le président de l’association de quartier baptisée 1er Novembre 1954. «L’état des routes donnant accès à ces cités est dans un état déplorable. En hiver ces routes se transforment en chemins boueux impraticables et en été ce sont les nuages de poussières soulevés par les véhicules qui traversent le quartier. Les taxis et même le camion de ramassage des ordures s’y refusent à y pénétrer. La niche à ordures que nous a réservée la mairie se trouve d’ailleurs à plusieurs centaines de mètres en dehors du quartier.
Elle est très insuffisante pour contenir tous les déchets générés par les centaines d’habitations à tel point qu’elle est continuellement débordée. Nous avons pourtant déposé plusieurs demandes au niveau de la direction de l’urbanisme pour la réhabilitation des routes mais celles-ci sont restées malheureusement lettres mortes en dépit des promesses qui nous ont été formulées à maintes reprises», soutiendra notre interlocuteur.
Ce dernier nous explique par ailleurs que cette situation est due à un contentieux entre la direction des ressources en eau et la Seaco laquelle a refusé de réceptionner le projet de réalisation du réseau AEP réalisé en 2012 par la société Hydrotranspher et approuvé pourtant par les services de l’hydraulique. Ce qui a eu pour conséquence de retarder les projets inscrits pour l’aménagement de notre quartier (réhabilitation du réseau routier, réalisation des trottoirs, installation de l’éclairage public et aménagement d’espaces verts).
L’insécurité comme autre préoccupation
Le président de l’association de quartier évoque également l’insécurité qui règne aux abords de leurs cités. Il nous dira à ce propos: «A la lisière de celles-ci se trouve en effet un projet immobilier de construction de villas abandonné depuis une vingtaine d’années par un promoteur immobilier, Abdelali Blikaz en l’occurrence. Ces villas inachevées se sont transformées à la longue en dépotoir en plus d’un lieu de débauche pour tous les désœuvrés des quartiers environnants, lesquels n’hésitent pas après leurs soirées bien arrosées à s’en prendre aux habitants de notre quartier où les agressions sont devenus monnaie courante».
Désabusés par les innombrables promesses d’un lendemain meilleur, jamais tenues par les autorités locales, les habitants organisés en association se démènent comme ils peuvent pour régler leurs problèmes. Et ces derniers sont nombreux notamment en ce qui concerne la défaillance de l’éclairage public qui fonctionne de manière très aléatoire, ce qui accentue leur sentiment d’insécurité. Foued Boudjada déplore d’autre part l’absence d’aires de jeux et de lieux de loisirs. «Il existait bien à proximité de notre quartier un petit terrain où nos enfants pouvaient s’amuser, mais celui-ci a été inexplicablement fermé par la municipalité depuis quelques mois», précise notre interlocuteur.
F. Raoui
El Khroub :Des constructions illicites démolies à Aïn El Bey
le 28.07.15 | 10h00
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Les services d’urbanisme de la commune d’El Khroub ont mené avant-hier
une opération de démolition de près d’une trentaine de constructions
illicites (plates-formes et carcasses d’habitations) érigées sur des
terres agricoles, appartenant à des particuliers, mitoyennes à la
localité de Belekhouane, situées face à l’aéroport Mohamed Boudiaf à Aïn
El Bey.
Pilotée par le P/APC d’El Khroub, l’opération a vu la mise en place d’un imposant dispositif de la gendarmerie nationale, afin de permettre son bon déroulement. Selon les services d’urbanisme de la commune d’El Khroub, la gendarmerie nationale a dû recourir à la force pour dissuader certains propriétaires de ces habitations illicites d’empêcher l’opération de démolition. Les mêmes sources précisent, par ailleurs, que ces constructions, en plus d’avoir été érigées sur des terres agricoles, sont également situées dans le périmètre de l’aéroport considéré comme zone rouge non constructible.
Pilotée par le P/APC d’El Khroub, l’opération a vu la mise en place d’un imposant dispositif de la gendarmerie nationale, afin de permettre son bon déroulement. Selon les services d’urbanisme de la commune d’El Khroub, la gendarmerie nationale a dû recourir à la force pour dissuader certains propriétaires de ces habitations illicites d’empêcher l’opération de démolition. Les mêmes sources précisent, par ailleurs, que ces constructions, en plus d’avoir été érigées sur des terres agricoles, sont également situées dans le périmètre de l’aéroport considéré comme zone rouge non constructible.
F. Raoui
Amélioration urbaine à la cité Daksi de Constantine
Les travaux laissés en plan
le 29.07.15 | 10h00
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Les habitants sont unanimes à déplorer le laisser-aller et la saleté dans lesquels leurs immeubles sont confinés.
Construite au début des années 1970, la cité Daksi Abdesslem a connu
des fortunes diverses. Scindée en trois parties (Daksi I, II et III)
uniquement constituée d’immeubles, la cité s’étale jusqu’au quartier du
4ème Km. Bizarrement les constructions les plus récentes, celles de
Daksi II et de Daksi III se sont assez rapidement dégradées et
présentent à présent un visage peu avenant au contraire de Daksi I, dont
les immeubles de construction pourtant plus ancienne sont en bien
meilleur état.
Le prix de vente des appartements à Daksi I, près de 12 millions de dinars pour un F4 et 10 millions de dinars pour un F3 contre quasiment la moitié à Daksi II et III, renseigne bien sur la différence existante notamment en matière de qualité du cadre de vie et de l’état des appartements entre ces cités.
Il est vrai aussi que du fait qu’elle soit située en bordure du boulevard de l’ALN, menant à Ziadia, et Sidi Mabrouk ainsi que l’installation du nouveau siège de la wilaya à proximité, Daksi I a de tout temps été «bichonnée» par les autorités locales lesquelles ont procédé à différentes reprises au ravalement des façades des immeubles. La création d’espaces verts et d’aires de jeux ces dernières années, en plus du balayage régulier des alentours de la cité a réussi à donner, par ailleurs, à celle-ci un aspect plutôt agréable.
A contrario, les immeubles de Daksi II et III n’ont pas bénéficié du même intérêt. Ces derniers sont désormais, comme on peut le constater, dans un été déplorable. Leur aspect extérieur est des plus rebutants. L’intérieur n’est pas en meilleur état, selon les habitants, lesquels évoquent des problèmes récurrents d’étanchéité dans leurs immeubles, ainsi qu’une dégradation continue de leur environnement. Ils sont unanimes à déplorer la saleté et le laisser-aller dans lesquels leurs immeubles sont confinés.
A l’entrée de Daksi II, l’on est d’ailleurs consterné par la présence d’une décharge d’ordures construite en dur par la mairie qui déborde littéralement de détritus. Et au fur et à mesure que l’on s’enfonce dans le quartier, l’on fait le même constat pour toutes les niches à ordures installées par la commune dans la cité, lesquelles ne peuvent pas contenir toutes les ordures qui s’amassent dans la journée. «De plus, les agents communaux chargés du balayage se contentent de nettoyer uniquement les artères bordant leur cité et ne pénètrent que rarement à l’intérieur» précisent les habitants.
Prolifération du commerce informel
Ces derniers dénoncent également la prolifération des vendeurs informels à Daksi II et III, lesquels se sont accaparés de larges espaces à l’intérieur des cités, comme c’est le cas à proximité de la mosquée Hamza et sur la route menant à El Gammas, où des dizaines de vendeurs ambulants de fruits et légumes se sont installés depuis des lustres. L’insécurité, le charivari provoqué par les vendeurs, les nuisances sonores, jusqu’aux trottoirs squattés par les commerçants sont autant de désagréments dénoncés par les riverains.
Ces derniers s’interrogent d’autre part sur les travaux d’amélioration urbaine entamés depuis quelques années à Daksi. Des travaux qui concernaient la réfection de la chaussée et la réalisation de trottoirs, abandonnés par l’entrepreneur en charge du projet, puis repris puis encore abandonnés avant leur achèvement. Un habitant du quartier nous dira à ce propos: «L’opération d’amélioration urbaine dont devait bénéficier notre cité n’a finalement abouti à rien si ce n’est à enfoncer la cité un peu plus dans la clochardisation.
L’entrepreneur désigné pour cette opération a laissé inexplicablement en plan les travaux engagés avec tout ce que cela suppose comme désagréments pour les riverains qui doivent supporter la poussière des chantiers laissés à ciel ouvert sans parler des trottoirs défoncés et de la chaussée qui s’est à nouveau dégradée. Une situation que nous avons dénoncée à maintes reprises aux autorités, mais personne n’a levé le petit pour y remédier».
Le prix de vente des appartements à Daksi I, près de 12 millions de dinars pour un F4 et 10 millions de dinars pour un F3 contre quasiment la moitié à Daksi II et III, renseigne bien sur la différence existante notamment en matière de qualité du cadre de vie et de l’état des appartements entre ces cités.
Il est vrai aussi que du fait qu’elle soit située en bordure du boulevard de l’ALN, menant à Ziadia, et Sidi Mabrouk ainsi que l’installation du nouveau siège de la wilaya à proximité, Daksi I a de tout temps été «bichonnée» par les autorités locales lesquelles ont procédé à différentes reprises au ravalement des façades des immeubles. La création d’espaces verts et d’aires de jeux ces dernières années, en plus du balayage régulier des alentours de la cité a réussi à donner, par ailleurs, à celle-ci un aspect plutôt agréable.
A contrario, les immeubles de Daksi II et III n’ont pas bénéficié du même intérêt. Ces derniers sont désormais, comme on peut le constater, dans un été déplorable. Leur aspect extérieur est des plus rebutants. L’intérieur n’est pas en meilleur état, selon les habitants, lesquels évoquent des problèmes récurrents d’étanchéité dans leurs immeubles, ainsi qu’une dégradation continue de leur environnement. Ils sont unanimes à déplorer la saleté et le laisser-aller dans lesquels leurs immeubles sont confinés.
A l’entrée de Daksi II, l’on est d’ailleurs consterné par la présence d’une décharge d’ordures construite en dur par la mairie qui déborde littéralement de détritus. Et au fur et à mesure que l’on s’enfonce dans le quartier, l’on fait le même constat pour toutes les niches à ordures installées par la commune dans la cité, lesquelles ne peuvent pas contenir toutes les ordures qui s’amassent dans la journée. «De plus, les agents communaux chargés du balayage se contentent de nettoyer uniquement les artères bordant leur cité et ne pénètrent que rarement à l’intérieur» précisent les habitants.
Prolifération du commerce informel
Ces derniers dénoncent également la prolifération des vendeurs informels à Daksi II et III, lesquels se sont accaparés de larges espaces à l’intérieur des cités, comme c’est le cas à proximité de la mosquée Hamza et sur la route menant à El Gammas, où des dizaines de vendeurs ambulants de fruits et légumes se sont installés depuis des lustres. L’insécurité, le charivari provoqué par les vendeurs, les nuisances sonores, jusqu’aux trottoirs squattés par les commerçants sont autant de désagréments dénoncés par les riverains.
Ces derniers s’interrogent d’autre part sur les travaux d’amélioration urbaine entamés depuis quelques années à Daksi. Des travaux qui concernaient la réfection de la chaussée et la réalisation de trottoirs, abandonnés par l’entrepreneur en charge du projet, puis repris puis encore abandonnés avant leur achèvement. Un habitant du quartier nous dira à ce propos: «L’opération d’amélioration urbaine dont devait bénéficier notre cité n’a finalement abouti à rien si ce n’est à enfoncer la cité un peu plus dans la clochardisation.
L’entrepreneur désigné pour cette opération a laissé inexplicablement en plan les travaux engagés avec tout ce que cela suppose comme désagréments pour les riverains qui doivent supporter la poussière des chantiers laissés à ciel ouvert sans parler des trottoirs défoncés et de la chaussée qui s’est à nouveau dégradée. Une situation que nous avons dénoncée à maintes reprises aux autorités, mais personne n’a levé le petit pour y remédier».
F. Raoui
Éradication de l’habitat précaire à Constantine : 400 familles refusent de quitter leurs maisons
le 30.07.15 | 10h00
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L’opération en cours lancée au profit des sites de l’habitat précaire et des zones de glissement, entamée au début du mois de juillet à Constantine tire à sa fin. Pas moins de 3000 logements ont été pour rappel distribués en ce mois.
Après le relogement des habitants des bidonvilles de Fellahi, de Sidi
M’cid, du 4ème Km et du lieu-dit la Poudrière, ce fut au tour, hier, des
habitants de la rue des Maquisards, située en contrebas de la rue
Kitouni Abdelmalek, d’être transférés vers leurs nouveaux logements à
l’unité de voisinage 16 de la nouvelle ville Ali Mendjeli. L’opération
qui concernait près de 1100 familles, selon les services de la daïra de
Constantine, ne s’est pas déroulée comme prévu.
Un nombre important parmi ces habitants, près de 400 familles, ont en effet refusé de quitter les lieux, comme cela s’est produit lors des opérations de relogement précédentes ayant ciblé les sites de Fellahi et de Sidi M’cid pour protester contre l’exclusion de certains d’entre eux. Pour la plupart des jeunes mariés n’ayant pas été inscrits sur les listes de recensement établies en 2012, mais aussi des familles installées tout récemment (après 2013) sur le site.
Nos sources auprès des services de la daïra, nous ont révélés d’autre part qu’en dépit de la proposition qui a été faite à ces familles par le chef de daïra de leur distribuer des bons pour des logements en construction au niveau de l’UV 20 de Ali Mendjeli, à condition d’accepter que leurs habitations soient démolies, ces familles ont quasiment toutes décliné cette offre. Un problème de taille pour les autorités de la ville qui ambitionnaient d’éradiquer avant la fin
de l’année toutes les poches de bidonvilles à Constantine.
Un nombre important parmi ces habitants, près de 400 familles, ont en effet refusé de quitter les lieux, comme cela s’est produit lors des opérations de relogement précédentes ayant ciblé les sites de Fellahi et de Sidi M’cid pour protester contre l’exclusion de certains d’entre eux. Pour la plupart des jeunes mariés n’ayant pas été inscrits sur les listes de recensement établies en 2012, mais aussi des familles installées tout récemment (après 2013) sur le site.
Nos sources auprès des services de la daïra, nous ont révélés d’autre part qu’en dépit de la proposition qui a été faite à ces familles par le chef de daïra de leur distribuer des bons pour des logements en construction au niveau de l’UV 20 de Ali Mendjeli, à condition d’accepter que leurs habitations soient démolies, ces familles ont quasiment toutes décliné cette offre. Un problème de taille pour les autorités de la ville qui ambitionnaient d’éradiquer avant la fin
de l’année toutes les poches de bidonvilles à Constantine.
F. Raoui
Agressée par une policière au siège de la daïra
Nora Boussafeur interpelle Abdelghani Hamel
le 01.08.15 | 10h00
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Nora Boussafeur est une citoyenne parmi des milliers d’autres à Constantine qui attendent un logement social depuis des années. Ne voyant pas son nom sur la liste des bénéficiaires, elle est allée déposer une réclamation au siège de la daïra de Constantine.
«C’était le lundi 20 juillet, jour de réception, j’étais devant le siège de la daïra de Constantine quand j’ai été surprise par la policière qui assure la sécurité. Sans aucun motif, cette dernière m’a violemment agressée et frappée en différentes parties de mon corps, en m’insultant devant tout le monde», décrit Nora dans une requête adressée au directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Abdelghani Hamel, dont nous détenons une copie.
Nora raconte toutes les péripéties de cette agression avec force détails : «Toutes les séquences de cette agression ont été filmées par la caméra du siège de la daïra, dont le récepteur se trouve dans le bureau même du secrétaire général de la daïra, Hassan Braia, qui était témoin lui-même de ce qui s’est passé ; le film peut être visionné.» Dans sa requête adressée au DGSN, Nora ne manque pas de relater les mauvais traitements qu’elle a subi au siège du 10e arrondissement de la sûreté de Constantine.
«Après que les services de la daïra eurent contacté la police, nous avons été embarqués, moi et la policière, vers le 10e arrondissement pour être auditionnées.
Là-bas, j’ai été retenue de 10h à 16h pour que je ne puisse ni aller à l’hôpital ni voir le chef de la sûreté de wilaya pour me plaindre ; on m’a traitée de tous les mots, on m’a même empêchée d’aller acheter une bouteille d’eau, sachant que je n’étais pas en état d’arrestation», précise-t-elle dans la même requête. Nora affirme qu’elle a demandé à voir le chef de la sûreté de wilaya pour dénoncer ce qui lui est arrivé au 10e arrondissement. «Des agents au siège de la sûreté de wilaya m’en ont empêchée», dit-elle.
Examinée le lendemain par un médecin légiste au CHU de Constantine, Nora s’est vu délivrer un certificat d’incapacité de travail de 3 jours. Le rapport, dont une copie est en notre possession, fait état de «lésions pouvant être le fait d’objets contondants». Nora joindra ce document à sa plainte déposée auprès du procureur de la République près le tribunal de Constantine.
«J’ai été victime d’une hogra caractérisée devant le siège de la daïra de Constantine et au 10e arrondissement, c’est pour cela que j’ai décidé d’écrire au DGSN, lui seul peut me rendre justice sans aucun parti pris», poursuit-elle avec détermination.
Arslan Selmane
Session de l'APC de Constantine : Le maire défie le wali
le 05.08.15 | 10h00
Réagissez
Les décisions d’annulation de certaines délibérations de l’APC prises récemment par le wali Hocine Ouadah sont invalides», a déclaré hier le P/APC de Constantine Seif-Eddine Rihani, lors d’une conférence de presse animée au siège de l’hôtel de ville, suite à la session ordinaire de l’APC.
Le maire semble ainsi décidé à maintenir ces délibérations adoptées en
2013 et 2013 et relatives à l’octroi à certaines associations de
subventions estimées à 20 milliards de centimes, en dépit des mesures
prises par le wali. Une mesure qui sonne comme un défi lancé au chef de
l’exécutif.
Un défi qui n’est qu’une étape dans un feuilleton qui risque d’être trop long, et même ennuyeux, pour la population d’une ville déjà harassée par ses problèmes quotidiens et les projets qui trainent depuis des mois. «Il n’y a aucune différence entre ce qui a été écrit sur les procès verbaux et les délibérations comme cela a été indiqué par le wali dans ses décisions», poursuit le P/APC avec une certaine détermination. «Je pense que le wali a été induit en erreur, car le code communal est bien clair. Je vais transmettre une réponse fondée et bien argumentée à la tutelle pour annuler les décisions du wali. Si ce dernier n’annulera pas ces décisions, j’aurai droit de faire recours au tribunal administratif et c’est la justice qui tranchera», a-t-il expliqué.
«Tous les détails concernant les subventions inscrites dans le budget supplémentaire de la commune ont été discutés avant la session, et tous les membres étaient au courant, c’est pourquoi nous n’avons pas donné plus de détails», a-t-il déclaré et d’ajouter que c’était la manière de procéder de tous les maires qui l’ont précédé. «Même l’un des opposants, Maârouf en l’occurrence, était présent lors des délibérations et n’a pas contesté», affirme-t-il, tout en indiquant qu’il s’agit d’un conflit politique, rien de plus. «Soit que l’annulation du wali est invalide et il faut la revoir, soit qu’elle est correcte et il doit ainsi convoquer tous les P/APC précédents car ils n’ont pas fourni de détails et demander en conséquence aux associations de rendre l’argent», a-t-il insisté.
Poussant ses argumentations plus loin le P/APC dira : «Après 21 jours des délibérations, si l’APC ne reçoit pas de réponse de la part de la tutelle, ces délibérations deviennent applicables après l’expiration du délai ; le wali a approuvé ces délibérations par le biais de son DAL et le contrôleur financier a donné son visa. Alors est-ce qu’on peut ainsi annuler ces délibérations. Tout est clair est justifié par le commissaire de compte des associations».
Un défi qui n’est qu’une étape dans un feuilleton qui risque d’être trop long, et même ennuyeux, pour la population d’une ville déjà harassée par ses problèmes quotidiens et les projets qui trainent depuis des mois. «Il n’y a aucune différence entre ce qui a été écrit sur les procès verbaux et les délibérations comme cela a été indiqué par le wali dans ses décisions», poursuit le P/APC avec une certaine détermination. «Je pense que le wali a été induit en erreur, car le code communal est bien clair. Je vais transmettre une réponse fondée et bien argumentée à la tutelle pour annuler les décisions du wali. Si ce dernier n’annulera pas ces décisions, j’aurai droit de faire recours au tribunal administratif et c’est la justice qui tranchera», a-t-il expliqué.
«Tous les détails concernant les subventions inscrites dans le budget supplémentaire de la commune ont été discutés avant la session, et tous les membres étaient au courant, c’est pourquoi nous n’avons pas donné plus de détails», a-t-il déclaré et d’ajouter que c’était la manière de procéder de tous les maires qui l’ont précédé. «Même l’un des opposants, Maârouf en l’occurrence, était présent lors des délibérations et n’a pas contesté», affirme-t-il, tout en indiquant qu’il s’agit d’un conflit politique, rien de plus. «Soit que l’annulation du wali est invalide et il faut la revoir, soit qu’elle est correcte et il doit ainsi convoquer tous les P/APC précédents car ils n’ont pas fourni de détails et demander en conséquence aux associations de rendre l’argent», a-t-il insisté.
Poussant ses argumentations plus loin le P/APC dira : «Après 21 jours des délibérations, si l’APC ne reçoit pas de réponse de la part de la tutelle, ces délibérations deviennent applicables après l’expiration du délai ; le wali a approuvé ces délibérations par le biais de son DAL et le contrôleur financier a donné son visa. Alors est-ce qu’on peut ainsi annuler ces délibérations. Tout est clair est justifié par le commissaire de compte des associations».
Yousra Salem
Des explorateurs sur les pas d’Ibn Battûta
le 07.08.15 | 10h00
Réagissez
Quatre voyageurs des temps modernes partent à la découverte des scènes artistiques du Maghreb et du Moyen-Orient, dont ils sont originaires. Onorientour va les transporter dans sept pays chargés d’histoire. Une aventure à suivre en live !
Mehdi Drissi. Chef de projet et photo-reporter
Nous voulons faire connaître la culture et l’art au Maghreb et au Moyen-Orient hors des clichés
Que comptent trouver/démontrer les 4 explorateurs dans ce périple audacieux et périlleux à la fois ?
Avec l’expansion de l’organisation de l’Etat islamique des milliers de personnes ont été tuées sous prétexte du fanatisme religieux et plus globalement, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient sont dépeints par des images pleines d’effusion de sang.
En parallèle, l’obsession, qui est portée par l’actualité, appuie la méconnaissance et la «mal connaissance» de cette région. Face à ces maux, nous nous sommes demandé ce que nous pouvions faire, à notre niveau, grâce à cette passion qui nous lie : la culture et l’art au Maghreb et au Moyen-Orient. Notre volonté est de contribuer à faire connaître cette région pour ce qu’elle est, en portant la lumière sur ses scènes culturelles et artistiques.
En ce sens, nous voulons permettre aux gens de se familiariser avec cette zone géographique hors des cadres pré-établis et clichés. De plus, la thématique d’investigation, qui sera notre fil conducteur durant tout le projet, est un questionnement autour de l’identité arabe : sa définition aujourd’hui, sa pluralité et sa pertinence dans le débat identitaire de la région. Ainsi, nous espérons apporter des éléments de réflexion et de compréhension, qui sont les clés essentielles pour susciter le dialogue culturel.
L’Afrique du Nord et le Moyen-Orient sont des régions sensibles où tout peut arriver. Avez-vous pris des mesures de sécurité particulières ?
Nous sommes tous originaires d’Afrique du Nord, nous connaissons donc les risques à prendre ou pas pour notre sécurité. Pour les autres pays, nous planifions d’être logés chez des artistes / habitants locaux qui eux connaissent à leur tour leur environnement. Malgré les tensions actuelles dans les pays visités, nous ne voulons pas être découragés et faisons confiance à nos différents contacts.
Comment financez-vous ce projet ?
Aujourd’hui nous avons lancé une campagne de financement participatif qui permet aux internautes de nous aider à subventionner une partie de ce projet en leur permettant d’avoir des contreparties, telles que des tirages photos, des invitations pour nous rencontrer au retour de cette expédition, etc. Nous avons aussi postulé à des bourses de mobilité, nous attendons donc les réponses. Malgré tout, nous sommes toujours à la recherche de partenaires et financeurs qui pourraient adhérer au projet et nous soutenir tout au long de notre Rihla.
Ghita CHILLA.
23 ans, étudiante en géoéconomie et intelligence stratégique
à IRIS Sup
L’Onorientour vise à promouvoir le dialogue interculturel en essayant de favoriser le partage et la connaissance de cette région
à travers ses expressions culturelles et artistiques.
Oumayma AJARRAI.
22 ans, étudiante à HEC Paris et L3 en histoire du cinéma à l’université Paris Panthéon-Sorbonne
A travers le projet Onorientour , nous voulons toucher du doigt, redécouvrir et exposer ce qui pourrait être les exceptions culturelles du Maghreb
et du Moyen-Orient.
Hajar CHOKAIRI.
22 ans, étudiante à HEC Paris
et titulaire d’une licence
en philosophie à la Sorbonne
Onorientour n’a pas d’autre prétention que d’orienter sur les dynamiques positives qui traversent
le Maghreb et le Moyen- Orient.
Nous voulons faire connaître la culture et l’art au Maghreb et au Moyen-Orient hors des clichés
Que comptent trouver/démontrer les 4 explorateurs dans ce périple audacieux et périlleux à la fois ?
Avec l’expansion de l’organisation de l’Etat islamique des milliers de personnes ont été tuées sous prétexte du fanatisme religieux et plus globalement, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient sont dépeints par des images pleines d’effusion de sang.
En parallèle, l’obsession, qui est portée par l’actualité, appuie la méconnaissance et la «mal connaissance» de cette région. Face à ces maux, nous nous sommes demandé ce que nous pouvions faire, à notre niveau, grâce à cette passion qui nous lie : la culture et l’art au Maghreb et au Moyen-Orient. Notre volonté est de contribuer à faire connaître cette région pour ce qu’elle est, en portant la lumière sur ses scènes culturelles et artistiques.
En ce sens, nous voulons permettre aux gens de se familiariser avec cette zone géographique hors des cadres pré-établis et clichés. De plus, la thématique d’investigation, qui sera notre fil conducteur durant tout le projet, est un questionnement autour de l’identité arabe : sa définition aujourd’hui, sa pluralité et sa pertinence dans le débat identitaire de la région. Ainsi, nous espérons apporter des éléments de réflexion et de compréhension, qui sont les clés essentielles pour susciter le dialogue culturel.
L’Afrique du Nord et le Moyen-Orient sont des régions sensibles où tout peut arriver. Avez-vous pris des mesures de sécurité particulières ?
Nous sommes tous originaires d’Afrique du Nord, nous connaissons donc les risques à prendre ou pas pour notre sécurité. Pour les autres pays, nous planifions d’être logés chez des artistes / habitants locaux qui eux connaissent à leur tour leur environnement. Malgré les tensions actuelles dans les pays visités, nous ne voulons pas être découragés et faisons confiance à nos différents contacts.
Comment financez-vous ce projet ?
Aujourd’hui nous avons lancé une campagne de financement participatif qui permet aux internautes de nous aider à subventionner une partie de ce projet en leur permettant d’avoir des contreparties, telles que des tirages photos, des invitations pour nous rencontrer au retour de cette expédition, etc. Nous avons aussi postulé à des bourses de mobilité, nous attendons donc les réponses. Malgré tout, nous sommes toujours à la recherche de partenaires et financeurs qui pourraient adhérer au projet et nous soutenir tout au long de notre Rihla.
Ghita CHILLA.
23 ans, étudiante en géoéconomie et intelligence stratégique
à IRIS Sup
L’Onorientour vise à promouvoir le dialogue interculturel en essayant de favoriser le partage et la connaissance de cette région
à travers ses expressions culturelles et artistiques.
Oumayma AJARRAI.
22 ans, étudiante à HEC Paris et L3 en histoire du cinéma à l’université Paris Panthéon-Sorbonne
A travers le projet Onorientour , nous voulons toucher du doigt, redécouvrir et exposer ce qui pourrait être les exceptions culturelles du Maghreb
et du Moyen-Orient.
Hajar CHOKAIRI.
22 ans, étudiante à HEC Paris
et titulaire d’une licence
en philosophie à la Sorbonne
Onorientour n’a pas d’autre prétention que d’orienter sur les dynamiques positives qui traversent
le Maghreb et le Moyen- Orient.
Ils ont dit
Une initiative louable, nécessaire et courageuse.Mahi Binebine. Peintre, sculpteur et écrivain
J’adhère complètement à l’initiative. C’est une juste réplique à la situation actuelle, avec un texte fondateur.
Nabil Ayouch. Réalisateur
C’est un beau projet, cette Rihla. Compliqué et fragile, mais néanmoins nécessaire.
Faouzi Bensaidi. Réalisateur
Un projet extrêmement intéressant et particulièrement original pour l’accent mis sur l’aspect culturel.
Sâad Khiari. Cinéaste et auteur
C’est un projet formidable, généreux, profondément humain et je ne peux qu’y adhérer.
Yasmina Khadra. Ecrivain
Faten Hayed
http://www.echoroukonline.com/ara/articles/251321.html
- اينما تجد العري معناها انعدام الاخلاق والتربية الصحيحة والخوف من الله....فشوارع باتنة تجدها عامرة بالكاسيات العاريات فما بالك بالشواطئ...فمن اراد ان يحافظ على صلاته ودينه عليه الا يرتاد الشواطئ وعليه ان يفكر فقط ويتخيل انه في شاطئ البحر وكفى اله المؤمنين شر القتال...فبعض النساء هداهم الله لا يفكرون الا بابراز اجسادهم...
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نصرو الجزائري2015/08/06 على 21:23
2من يقصد البحر يدرك تماما انه ليس ذاهب الى المسجد بل لقضاء ساعات من الراحة والاستجمام وللصلاة قداستها وحرمتها في البيوت والمساجد والمصليات وليست على الشواطىء والبحار مادام المرء غير مضطر
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نايلة - الاغواط2015/08/06 على 21:41
3واش حاتمهم ضاقت بيهم الدنيا حتى يصلوا في البحر
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فريد - العاصمة2015/08/06 على 21:58
4يعطيك الصحة خويا نصرو انا يبانلي ستوت هذا اللي يروح للبحر وعلابالو واش فيه باش يصللي لاخاطر الصلاة دارلها ربي حرمتها وبلاصتها ولبستها الخاصة
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tablati - alger2015/08/06 على 22:23
5لا تتركوا الفرصة للعريانين من التغلب على الحشمانين
اذهبوا الى البحر و غيروا المنكر بالمعروف حتى يصبح العريان يبحث عن المسجد باذن الله
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خالد - batna2015/08/06 على 22:30
6المساجد فقط اين المراحض و اين اماكن دوش العمومي للاغتسال من مياه البحر والرمال نحن نريد ولا نعمل والحكومة لا تعير اي اهتمام ونريد البلاد ان تتطور سياحيا ما يحز في النفس انك تسبح وهناك بجوارك من يتبول و ..في المياه ولا حول ولا قوة الا بالله
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2015/08/06 على 22:44
7هادي من قوة الايمان ههه فايض عليهم الايمان , في الجزائر كاين بزاف المؤمنين يذهبون الى الشواطئ التي ينتضر ان يرى فيه العجب ثم يبحثون عن مساجد ههههه .
و الجميل انه من بعد الصلاة يعودو الى رؤية العري من جديد تتقعدو بنا يا شروق.
هادي يقولولها صلاة القطوط فالرمل
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messaoud d\z - Tipaza2015/08/06 على 22:54
8جرى سبر للآراء في احدى جامعات الجزائر حول اختلاط الجنسين في الشواطئ و وجه السؤال إلى الطالبات و كان كالآتي: " هل ترغبين في استحداث شواطئ مخصصة للنساء فقط أم يترك الأمر كما هو بشواطئ مختلطة؟"
%93 من الطالبات قلن نعم للشواطئ المختلطة.
%07 من الطالبات فقط نادين بتخصيص شواطئ للنساء.
هل فهمتم؟
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Badou - Canada2015/08/06 على 23:01
9لي حب يصلي مشي في الشواطئ بركونا بلا خرطي الله يهدي ما خلق
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عادل - الجزائر2015/08/06 على 23:09
10عجيب امر الصحافة. لا يعرفون الا المطالبة والنقد. ان لم يكن هناك مكان للصلاة فافترش سجادة في اي مكان وصل. فان لم تستطع فابقى في بيتك. الصلاة خير من الدنيا وما فيها.
اما العرى فهل رؤيته حلال في غير وقت الصلاة? حتى وان اقامو مصليات فسترى العرى.
لومو انفسكم. كفاكم اشارة بالاصابع. العيب في الشعب.
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2015/08/06 على 23:15
11يا شروق و هل نسيتم حديقة الحيونات ببن عكنون و الكارثة طوال العام و ليس في الصيف فقط و الكارثة الكبرى لسن بمتبرجات بل متجلببات و متحجبات !!!!! فهن يسئن للحجاب و الاسلام اكثر من المتبرجة و حتى العائلات لا تستطيع الذهاب للنزهة هناك مع اطفالها. كفاكم نفاقا نحن نرى الواقع .
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س س ع2015/08/06 على 23:23
12اقرا هذا تعليق ويخيل لي اننا في تل ابيب والله لو غير نظامنا بكفار يحكموننا الذي يتغير هو تسيير والا لا فرق فببلادي مثل عهد استعمار ودستور الذي ينص ان دين دولة اسلام هي نفاق والعلمانية وتقليد كفار في مفاسد كزنا وتعري وشهوات فوالله اصبحت استحي ان اعيش ببلدي واطفالي ييشاهدون كل هذه فواحش وتشجيع الرذالة فوالله كأننا مع قوم لوط اباء وامهات يربون اولاد على كشف عوراتهم وزد على ذلك ملاحدة وفرنكفونيين يمنعون مصلى ارداء حجاب من عمل في شرطة بالله عليكم ما فرق مع تل ابيب ؟ حسبنا الله ونعم وكيل
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جزائري - بشار2015/08/06 على 23:50
13في رأي تستحق التشجيع والمواصلة ليس لانه لايجوز أداء عبادة بأماكن الخبث و العري المنتشر بالشواطئ إنما وجب أن نفرض أنفسنا عليهم ومثلما أفسدوا علينا ديننا وعاثوا فسادا وجب علينا كذلك أن ننتقل لأوكار هؤلاء ونفسد عليهم عريهم والفساد الأخلاقي الذي يزداد انتشارا وجب غزو الشواطئ من الشباب وأداء الصلوات هناك بأكبر قدر ممكن حتى لايجد هؤلاء الفاسقين متنفسا او متنهزا الا وهجروه لان اسم الله يذكر فيه فتفر شياطين الجن والانس بحثا عن اوكار اخرى لنشر خبثها محاربة المنكرات بالافعال لا بالاقوال فقط
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العباسي - الجزائر ارض الله2015/08/07 على 00:01
14كاين المساجد عين الترك مملوؤه بوسفر موجود كاب فالكون كاين الاندلس على كلمتر ونصف في العنصر فيه مسجد معمرة مساجد
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$£€/¥2015/08/07 على 00:15
15المشكل الكبير والدي لم اجد له تفسيرا او حتى تاويلا هو ان نفس الشخص (اب او اخ او زوج) و الدي يبحث عن مكان للصلاة، تج اخته او ابنته او زوجته ....... بثياب .....* حاشى البعض
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حرام 2015/08/07 على 00:52
16الله يهديكم استرو انفسكم انى الله يراكم و انتم عورات مختليطات بي رجال
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2015/08/07 على 04:52
17الشيئ الملاحظ انه من النادر ان تري الناس يقومون ويتوظئون عندما يحين وقت الصلاة عالي شواطئنا وهدا في جميع الاماكن وليس في وهران فقط .شواطئنا غير صالحة للعبادة وهدا مند القديم.لا تري الا الاجساد العارية والخمر ودعاوي الشر.........
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algerien - كلكم مزطولين2015/08/07 على 05:29
18و هل الشاطء مكان للصلاة يا تافهين. اذهب الى المسجد القريب او صلي في منزلك .
حتى الشواطيء السقتم بهم مشاكل الصلاة. سبحان الله العييم. في كل مرة تعقدون الامور البسيطة و تخلقون نزاعا من العدم فاصبحتم مبدعين للطرائف يجوز ان نسميكم فنانين مبدعين للسيناريوهات. اتركوا الشاطيء ليستحم فيه البشر صلوا بعيدا عنه اذا اردتم ان تصلوا.وانتهى المشكل لستم مرغومين لاداء الصلاة في الشاطء.
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hh - الجنوب 2015/08/07 على 06:59
19رقم5 كلامك جميل فالمؤمن من حقه التمتع بالدنيا في حدود الشرع وهو اولى من غيره في ذلك ومتاع الدنيا ليس حكرا على غير المؤمن
اما الهروب الى الامام اوادخال الرأس في التراب كما تفعل النعامة ليس هذا من شيمة المؤمن وهذه وجهةنظري وأرئكم محترمة
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lahouari - oran2015/08/07 على 08:41
20عجيب صاحب هداالمقال..داءما وهران في اعينكم .انااسكن في وهران واعرف المنطقة جيدا ،وهناك العشرات المساجد باالطنف الوهراني اولا سانروك بها مصلى ،جنة الشاطئ فيها مسجدكبير واكبر مدرسة قرءانية .عين الترك فيها اكثر من مسجد قريب من الشاطئ و داخل المدينة ،شطائ كاب فالكون مسجدين ،العنصر عدة مساجد ..فلماذا الكذب على شعب وهران
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عبدو - الاندلسيات2015/08/07 على 08:42
21شيئ مؤسف ..ان تقيم في منطقة مثل الاندلسيات بوهران لمدة اسبوعين ولم نسمع يوما نداء الاذان .. بينما حتى بالشواطئ الاسبانية المقابلة قد تسمعه ..لانه وبنعمة الله الاذان يرفع حتى بروسيا الملحدة
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محمدالكبير - وهران2015/08/07 على 09:01
22انه النفاق في اقوى وابشع صوره مسجد على الشاطئ لو كنت مسؤولا في الداخلية لمنعت الولوج الى البحر بغير لباس البحر سواء بالنسبة للاناث او الذكور ولمنعته ايضا على اصحاب اللحى الله لا تربحهم فمنذ خمسة وعشرون سنة لم اذهب الى البحر بسبب هذا المزيج من اللباس المثير للاشمئزاز لا هو اباس بحر ولا هو لباس عادي منذ اول نظرةتعرف ان صاحبه يعاني من خلل في حياته وفي عقيدته وفي اخلاقه لقد افسدوا كل شئ فحتى الاكل لا يحسنونه لقد جلب احدهم اسرته الى الشاطئ ومعه ثلاث قارورات بلاستيكية مملوءة بالحريرة
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سفيان - الجزائر2015/08/07 على 09:05
23ههههههههههههههه يابرقوقتي ادي حكايتك او.....
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DRIS2015/08/07 على 10:10
24dans les plages Algériennes on se croient dans des films érotiques il y a des fils de Sbagnoule qui ne repectent pas leur entourage j'ai vu de mes propres yeux des scènes qui laissent croire qu'on est pas dans un pays musulman
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angel - oran2015/08/07 على 10:22
25انا اريد مسجد في ملعب كرة القدم حتى اصلي بين الشوطين
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علال - تنس (الشلف)2015/08/07 على 10:28
26الصلاة في أماكِن الصلاة لا في الشواطئ.لا نستطيع بناء مسجِد في كُل دُورة.
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ســــــــــــــــيـــــــــــــــاســـــــــــــــة الاســـــــــــــــتـــــــــــــــحـــــــــــــــمـــــــــــــــار2015/08/07 على 10:35
27ينبغي أن يسمع الآذان في كل مكان.
المسلم ليس منافقا، يصلي يوم الجمعة ويزني في البحار.
بعض العلمانيين يريدون إسلام مسيحي، أسبوع كامل يسكر ويزطل ويسرق ويرشي ويعري بناته ويبيعهم، ويوم الجمعة يجي يصلي ببطنه المنتفخ.
الاسلام صالح على مدار العام، ولما تحين وقت الصلاة يصليها، لكن أنصح المتدينين والمحافظين أن يبتعدوا عن شواطئ الملعونين (من كشف عورته ملعون) فلعل الله يصيبهم بعذاب فتذهبون معهم بجرمهم، هناك أماكن محترمة مناسبة لتربية أبنائهم.
الشعب تجاوز حدوده في الخمور والزنى، لهذا انتظروا عقابه.
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عربي مسلم وأفتخر2015/08/07 على 10:38
28نحن لسنا بلدا علمانيا، كما لسنا بلدا مسيحيا.
بعض الجزائريين ممن تربوا التربية الفرنسية في كلامهم وعاداتهم تراهم اليوم يعلقون بالعشرات يريدون شواطئ على مقاس الفرنسيين. آباءهم الأولين.
بلادنا عربية مسلمة، من يخمر أمام الناس هو الغريب وليس من يصلي.
من تعري أفخاذها هي الغريبة وليست من تتحجب.
مالكم كيف تحكمون؟ ألهذا الحد صرتم فاسدين؟!
سبحان الله، الواحد يفسد ويضيع، وهذا وارد جدا، فالله يهديه.
لكن الغريب كيف أنكم تدافعون عن الفاسدين والمنحلين وتحاربون المتدينين ثم تدعون ربكم أن تموتوا على فراش الطاعة!
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2015/08/07 على 10:39
29بعض النساء يتناولن الشيشة على الشواطئ فاين نحن.
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2015/08/07 على 10:45
30عندنا وزارة السباحة فقط وليس وزارة السياحة والصناعات التقليدية ولقد قاموا بطرداحد الباعة للمنتوجات التقليدية امام شاطئ تابع لفندق.
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2015/08/07 على 10:52
31لا غلو في الاسلام, خليكم من المظاهر و اعبدوا الله في اماكن العبادة, عندنا مساجد اكثر
من المتوسطات و الثانويات, الجاهل عمره ما كان مؤمنا, انما يقوم بمظاهر الغلو في الاسلام الا الجهلة, يدهبون للسباحة وسط العائلات بلحي كالعتاريس و يتظاهرون باداء
الصلاة في الشواطئ, انظروا الى افعالهم, انكر الافعال يقوم به هؤلاء اشباه المسلمين
الله يهدينا و يسخط المتظاهرين بالاسلام,
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kamel - algerie2015/08/07 على 11:07
32tu parles de manque de mosquées? parles plutôt de manque de toilettes publiques, manque de restaurants, manques d'hygiène, manques de respect'' et manque de sécurité dans les plages. si tu veux prier en paix, restes chez toi, prends un bain dans ton baignoire, imbecile.
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nasro - tiaret2015/08/07 على 12:16
33اهان الله قوما اهانو صلاتهم.......اذهبو الى دبي لترو الاحتفاظ بالصلاة ; المصليات في كل مكان (مصليات حقيقية ليست كمصلياتنا......والفاهم يفهم)
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mehdi mountather - Algérie2015/08/07 على 12:35
34Ces forts séismes en Congo et en Afrique de sud la canicule et les inondations en Algérie punition d'ALLAH aux gouvernements africains d'appliquer la charia islamique aujourd’hui pour éviter leurs fin et la fin des africains par ces punitions d'ALLAH les séismes plus 6 les inondations tsunami volcan tempête de sable météorite typhon tornade la canicule plus 60 degré feu de forêt les virus les accidents de la route de train crash d'avion naufrage nudisme a la plage normal un tsunami
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رد بالك2015/08/07 على 13:14
35للأسف الشديد، الأسبوع الماضي صليت في مدينة بن عبد المالك رمضان (ويليس) وفي الطرق قبل الصلاة بدقائق رأيت الآلاف من الرجال في الشواطئ يضيعون الصلاة. لقد كنت متأخرا ورأيت الوضع...
إذا كانت صلاة الجمعة لا تهم هذا الشعب فلماذا لا يعلنها مسيحية وينتهي الأمر؟
تضيعون الصلاة وتجهلون في رمضان وتتعرون في الصيف وتزطلون في الشتاء. ماذا بقي من خماج الكفار لم تفعلوه؟
ثم لما الواحد يموت يقولون لك: صلوا عليه فهو مرحوم!!! مرحوم بالمنكر اللي داره حياته كاملة، حاسبين الدين زعاقة.
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سنوسي رضوان - الجزائر2015/08/07 على 13:39
36من فيه خوف الله فلا يدهب الى الشاطئ وان اراد الدهاب فلينتضر حتى شهر جانفي
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احمد2015/08/07 على 14:45
37مزال مرحتش للبحر بالرغم من انوا بعيد علي ب 20 كلم
في الخرجة تاع الصيف الواحد اروح في غرضوا وكونوا بني عريان راحوا
امر راه محبسلي مخي في الجزائري تسالوا ودقولوا انت مسلم اقولك ايه صح يا سيدي مثلا مثلا قضية كما هاذي وعلاه التبرج التبرج مكانش في الاسلام اه اه عادي اقولك انت متخلف الغرب طلعوا للقمر وانت تحوس على البحر هههه الله يهدينا قاع
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mohamed2015/08/07 على 15:19
38الى الذين يقولون بان من اراد الصلات مايجيش للبحر على حسابكم نتوما اللي يحب يصلي الصلاة في وقتها ما يبحرش كامل وانتوما باينين ما تصلوش وباينة عليكم من هذوك اللي يروح يبحر مع اخته و امه وهي شبه عارية
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2015/08/07 على 17:03
39يفترض بالمسلم ان يبعد عن مواطن العري فلا يجلس فيها اما ان يجلس و يقول افسحوا لي المجال لاصلي فهذا من النفاق
غياب شبه تام للمساجد والمصليات يوقع مرتادي البحر في حرج
"
العري" يحرم المصطافين من أداء الصلاة بشواطئ وهران
ف. عشابة
وعليه، تلتمس الفئة المعنية من السلطات المعنية، تشييد مصليات في الوقت الحالي، لغرض أداء الصلوات براحة، تفاديا لأي مغريات. حيث إن القادم إلى شواطئ عاصمة غرب البلاد، يلفت انتباهه أداء المصطافين لصلواتهم على السجادات بالرمال وسط جمع من المارة من مرتادي الشواطئ. وهو الفعل الذي يتأسف له ويحسب على السلطات المعنية، التي حرصت على توفير الحراسة والأمن ومحاربة ظاهرة تأجير الشواطئ وحظائر السيارات، متناسية أهم شيء ألا وهو توفير مكان لائق للعبادة، الذي تفتقر إليه معظم الشواطئ إن لم نقل جميعها، كما يتحمل المواطن جزءا من ذلك بسبب لا مبالاته وعدم طلبه ذلك خاصة أن أهم يوم في الاصطياف هو يوم الجمعة من حيث عدد مرتادي الشواطئ.
وتفتقر معظم الشواطئ إلى المصليات على الأقل في موسم الاصطياف، ما يجعل الغالبية تقع في الحرج أثناء أداء الفرائض. حيث يتجه المصطافون إلى افتراش سجاداتهم على الرمال للعبادة، لكن في المقابل يكونون غير قادرين على إتمام الصلاة بسبب كثرة المشاهد غير الأخلاقية، وكثرة المارة الذين يقطعون الصلاة.
وأمام هذه الحقائق، يناشد بعض المصطافين المعنيين توفير أماكن للعبادة على شاكلة مصليات تكون لائقة ونظيفة. نقلنا هذا الانشغال إلى أحد الإطارات بنظارة الشؤون الدينية في عنابة فقال إن الأمر تم التفكير فيه. ورأى أن بناء مساجد غير ممكن لأنها ستكون شاغرة في بقية الفصول ولكن تم طرح إمكانية وضع خيمة جميلة في كل شاطئ والاقتراح موجود حاليا لدى مصالح وزارة الشؤون الدينية التي لن تكون طرفا وحيدا في القضية.
Des chalets à la place des hôtels à Boumerdès
le 07.08.15 | 10h00
Réagissez
Délimitées en 1988, les onze zones d’extension touristique qui longent le littoral de la wilaya de Boumerdès demeurent presque vierges.
A défaut de projets touristiques, certains sites abritent des chalets
et des constructions à usage d’habitation. C’est le cas à Corso,
Boudouaou El Bahri, Sablière, Figuier, Seghirat… des localités
balnéaires qui connaissent un grand déficit en infrastructures
d’accueil.
Occupés pendant longtemps à gérer les effets du terrorisme et du séisme de 2003, les responsables concernés ont attendu jusqu’à 2014 pour lancer les études d’aménagement de ces endroits magnifiques qui s’étendent sur 47 38 ha, dont 20% sont constructibles. Ce retard reste à l’origine du blocage de nombreux projets touristiques, dont pas moins d’une centaine ont été validés par le Calpiref depuis plus de trois ans. Même les chalets ont été pour beaucoup dans cette situation.
Certaines de ces habitations provisoires sont implantées au bord de la mer sur des sites qui devaient accueillir des infrastructures hôtelières et des centres de vacances équipés de toutes les commodités. Le projet du village touristique devant être réalisé par le groupe saoudien Sidar à Zemmouri semble tombé à l’eau. Idem pour celui prévu par des investisseurs koweitien à Seghirat ou encore celui projeté à Boudouaou El Bahri par Siaha.
Constructions illicites
Ces projets, d’une capacité de 20 lits environ, pourraient hisser la wilaya au rang de véritable pôle touristique, mais tout porte à croire que cela ne sera jamais concrétisé. Malgré cet échec, l’actuel directeur du tourisme, M. Zoulim, se montre très optimiste quant à l’avenir du secteur au niveau local. Selon lui, les études des ZET sont à la troisième phase, soulignant que l’Etat a dégagé 150 millions de dinars pour ce faire. M. Zoulim parle de 11 hôtels qui sont en cours de réalisation au niveau de ces ZET, dont 4 à Boumerdès, 4 au Figuier, 2 à Zemmouri et 2 autres à Cap Djinet. Une fois en service, ces infrastructures porteront la capacité d’accueil de la wilaya de 3200 à 5700 places.
Cependant, la tâche des responsables du secteur s’avère très complexe, notamment au niveau des ZET où l’on compte des constructions illicites, comme à Cap Djinet et au Figuier. «On y a recensé deux types de construction ; certaines ne répondent à aucune norme d’urbanisme, mais il y en a d’autres qui étaiet construites bien avant la délimitation des ZET», explique le même responsable.
Selon lui, la lutte contre cette urbanisation sera enclenchée dès l’approbation du plan d’aménagement touristique. «On a reçu déjà pas moins de 9 demandes de reconversion d’habitations en hôtels, dont 3 à Cap Djinet, 3 à Boumerdès et une autre à Boudouaou El Bahri», a-t-il précisé.
Occupés pendant longtemps à gérer les effets du terrorisme et du séisme de 2003, les responsables concernés ont attendu jusqu’à 2014 pour lancer les études d’aménagement de ces endroits magnifiques qui s’étendent sur 47 38 ha, dont 20% sont constructibles. Ce retard reste à l’origine du blocage de nombreux projets touristiques, dont pas moins d’une centaine ont été validés par le Calpiref depuis plus de trois ans. Même les chalets ont été pour beaucoup dans cette situation.
Certaines de ces habitations provisoires sont implantées au bord de la mer sur des sites qui devaient accueillir des infrastructures hôtelières et des centres de vacances équipés de toutes les commodités. Le projet du village touristique devant être réalisé par le groupe saoudien Sidar à Zemmouri semble tombé à l’eau. Idem pour celui prévu par des investisseurs koweitien à Seghirat ou encore celui projeté à Boudouaou El Bahri par Siaha.
Constructions illicites
Ces projets, d’une capacité de 20 lits environ, pourraient hisser la wilaya au rang de véritable pôle touristique, mais tout porte à croire que cela ne sera jamais concrétisé. Malgré cet échec, l’actuel directeur du tourisme, M. Zoulim, se montre très optimiste quant à l’avenir du secteur au niveau local. Selon lui, les études des ZET sont à la troisième phase, soulignant que l’Etat a dégagé 150 millions de dinars pour ce faire. M. Zoulim parle de 11 hôtels qui sont en cours de réalisation au niveau de ces ZET, dont 4 à Boumerdès, 4 au Figuier, 2 à Zemmouri et 2 autres à Cap Djinet. Une fois en service, ces infrastructures porteront la capacité d’accueil de la wilaya de 3200 à 5700 places.
Cependant, la tâche des responsables du secteur s’avère très complexe, notamment au niveau des ZET où l’on compte des constructions illicites, comme à Cap Djinet et au Figuier. «On y a recensé deux types de construction ; certaines ne répondent à aucune norme d’urbanisme, mais il y en a d’autres qui étaiet construites bien avant la délimitation des ZET», explique le même responsable.
Selon lui, la lutte contre cette urbanisation sera enclenchée dès l’approbation du plan d’aménagement touristique. «On a reçu déjà pas moins de 9 demandes de reconversion d’habitations en hôtels, dont 3 à Cap Djinet, 3 à Boumerdès et une autre à Boudouaou El Bahri», a-t-il précisé.
Ramdane Koubabi
2015/08/06 على 20:52
1Benghebrit est un danger juste sur votre journal qui soutient l'arabisation et les intégristes. Sincèrement l'enseignement en Arabe ou bien en Dialecte ne me concerne nullement. Pauvre algérien tu n'es ni ARABE ni MUSULMAN dis moi tu appartient à quelle tendance. .
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SoloDZ2015/08/06 على 20:53
2أعتقد ان الرسائل التي مررها الجزائريون لأصحاب القرار على وجه الخصوص بشأن وزيرة التربية المثيرة للجدل عبر صفحات الشروق هي اكثر بكثير من تلك التي قيلت على فايسبوك و مواقع اخرى و اقوى صدى و اثرى من ناحية النقاش وتبادل الافكار و الئى و وجهات النظر نتمنى فقط ان تلقى هذه الصيحات و الرسائل و الصرخات آذان صاغية في الوقت المناسب مادام هناك بعض الوقت و يكون بعد القرار المنتظر بشغف بتغيير على مستوى المنصب الاول في وزارة التربية يكون دخول مدرسي يسوده العزيمة و الحيوية و السعادة و راحة البال و خاصة الإستقرار
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بلقاسم - الجزائر2015/08/06 على 20:57
3لا تأبهي بهم .....يا نورة......إن الجهل ضلالات و ظلمات........وفي الظلام يكثر نباح الكلاب.......
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نصرو الجزائري - ارض الاحرار2015/08/06 على 20:57
4بل العكس تماما على ارض الواقع فالاغلبية ترى في بن غبريط سيدة قوية ومجتهدة وصبورة وتسعى للحوار لكن هناك من يسعى لازاحتها لاسباب شخصية واخرى ايديلوجية رغم انها لم تكفر عندما ارادت اعادة هيبة العامية الجزائرية وكانت جريئة بفتحها لهذه القضية الجزائرية 100//100ولم تسىء للغة العربية بل اكدت مرارا انها باقية ولن تمحوها الايام والنين لكن هناك من يريد للجزائر ان تكون عربية لاجزائرية في الوقت الذي يسعى العرب الى تقوية وتصدير لهجاتهم بكل الاشكال ونحن نتلقفها عبر الاعلام وبات حتى صغارنا لايعرفون غيرها بديلا
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نصرو الجزائري - ارض الاحرار2015/08/06 على 20:59
5هذا دون الحديث عن الجانب الديني الذي ياتينا بطرق ملتوية ولهجات اذابت انتماءنا وشخصيتنا وهندامنا وتفكيرنا وكسرت اللحمة والخصوصية الوطنية لصالح سائر البلدان العربية الا الوطن
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عبد الرحيم - الجزائر_12015/08/06 على 21:02
6في نضري التدريس بالعامية أكاديمي ورد لمحو الامية للكبار فتم خلطه مع شرح المدرسين بالعامية فوقع استغلال من السلطة التي ترغب في تمويه لكي تتجنب مطالب رفع الاجور أغلبية المطالبين معيدن بكالوريا أو لم تكن لهم تخصصات حسب رغباتهم أتركوها الدخول المدرسي أما تنجح أو تفشل و ينسحب المديرين و المستشارين لانهم كبروا و كبرت عليهم الجزائر و جددوا بنفس جديد
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2015/08/06 على 21:07
7ارحلي لا نريد من يعبث بهويتنا هويتنا اغلئ من كل شيء ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي ارحلي.....................................................
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إطار في التربية - الجزائر2015/08/06 على 21:10
8للأسباب الآتية لن تستطيعوا إزاحة بن غبريت:
1 ـ لأنها تلمسانية من بلد أصحاب السعادة والقرار
2 ـ يدعمها لوبي فرنكوفيلي على مستوى كل دوائر السلطة ودواليبها
3 ـ تحظى بتقدير كبير من فرنسا لأنها وسيلة فعالة لتمكين لغتها وثقافتها
4 ـ العروبيون والإسلامويون في مرحلة ضعف بل انهيار ، بعد خسرانهم لمصداقيتهم المزعومة
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Feryaki - Algerie2015/08/06 على 21:16
9Les algeriens demandent a Benghebrit de degager QUEL KHORTI ils fallait titrer les charlatans des tenebres demandent a Benghebrit de degager c est plus juste parce qu elle est sur la bonne voie et menace leur ideologie retrograde
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SOFIANE - algerie2015/08/06 على 21:19
10mada bina li raho yahder 3la lwazira y9olena niveau ta3o berk kanit ,parce que kayen nass rahi tahder w homa maya3refoch ydiro jomla b foss7a ,w bach tahedro f wa7ed lazem au moins ykone 3andek niveau ta3o w machekitch kayen wa7ed yel7a9ha meli rahom yahedro
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- سطيف2015/08/06 على 21:23
11بئس القوم انتم يا اولاد فرنسا يا ابناء الرجال البص ، علمناكم الكتابة و القراءة و جعلنا لكم (بلاصة) امكنة في البعير و الاحمرة و البغال التي تضحكون عليها استهزاء بالعرب و اخذوكم اسياد العالم آنذااك الى الاندلس و حدود فرنسا بوردو و جنوب ايطاليا ،و لولاهم لما رايتم العالم و الدنيا ، و الآن تحاربون لغتهم و حضارتهم لتمكين اعداء الاسلام من السيطرة و الاستعمار و سلب الثروات و القهر و الذل و الفقر ، هل تدرون ما تفعلون بمكركم في دواليب الادارة المسيطرون عليها بايعاز من ديغول القديم و الجديد ،..يتبع
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- سطيف2015/08/06 على 21:32
12...من اجل هواء باربس فرنسا ان تشمو عليله المعفن بنتانة افعالكم او من اجل شقة من مال المقهورين فيالجزائر بسياسة الاعدل في توزيع الثروات ، يحكمنا بالتزوير اناس لا يفقهون شيئا بلغة الجزائر ام يعرفوها و يتنكرون لها بالرغم من القسم على احترام الدستور و مؤسسات الدولة ، لكن في الامور المصيرية لا ديمقراطية و لا شورى و لا رحمة بثوابت الامة ،يمكرون بالخبث في جناح الظلام لتمرير مشاريع فرنسية و لو على الاغلبية الساحقة المنومة و المغيبة عمدا او بالجهل ،ارى ان الحل هو ان نغير العاصمة من الجزائر و جعله
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أميرة - alg2015/08/06 على 21:32
13جاءت لتطبق اصلاحات بن زاغو ولتفرض الفرانكوفونية واضح أنها من أصل يهودي وتصريها بأن طلبة المساجد ضعاف في اللغة العربية هو دليل على اصابتها بالخرف لأن هؤلاء الطلبة هم الذين صقل القرآن ألسنتهم وأنار فكرهم أما هذه الوزيرة وأمثالها فهم حبيسو العهد الاستعمار ي ولغته العفنة التي لا ترقى الى مستوى الانجليزية ولا الألمانية ولا غيرهما..
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Sans Pitié2015/08/06 على 21:34
14لا اتقبل الفكرة لانها اتت من سيدة لا تعرف الا للغة فولطير لوكانت تحسن على الاقل اربع لغات
Je dis qu'elle le verbe facile dans la langue de Moliere,reste a savoir si elle differencie entre les modes subjonctif,conditionnel,l'imperatif et l'indicatif pour cela j'en doute
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بلقاضي - سدراتة_ الجزائر2015/08/06 على 21:36
15هذه الوزيرة لها مواصفات المستشارة الألمانية ميركل . شخصية قوية , قدرة على القيادة , مع مستوى علمي لا غبار عليه. مع بعض المعاناة في التواصل باللغة العربية إلا انها أثبتت تمكنها من هذه اللغة في وقت قصير. يبدو أنها غير مرتبطة بالفساد و السلوك الأنتهازي. فهي من عائلة لا تحتاج إاى الامتيازات المجانية. أرجو أن تكون رئيسة الجزائر خلفا لحبيب الجماهير ذو القلب الطيب و جامع الفقير على وزن فعاعيل . وعلى قول الشاعر أرجو أن تكون الوزيرة للعربية كباحث عن درر هذه اللغة الجميلة. ومساعدا لجعلها لغة بحث وعصر.
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- سطيف2015/08/06 على 21:36
16و جعلها في وسط الجزائر الشاسعة ليسود العدل في الحكم ، لا تمييز و لا عنصرية ، و لا تحكمنا اقلية فرنكفونية مرتبطة بفرنسا ارتباطا لا نظير له منذ 1962 ، لقد بلغ السيل الزبي و لا بد ان نغير هذا الواقع ، هيا لنتحرك في كل المجالات و ندافع عن ثوابتنا و مستقبل ابنائنا و مستقبل ثرواتهم المسيطر ة عليها هذه الفئة المستقورة و مسيرة الف تبدا بخطوة
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salim - bladi2015/08/06 على 21:42
17لا ينبغي بأي حال من الأحوال معارضة الوزيرة لأنها أسست اقتراحاتها على ما يقوله الخبراء في مجال البيداغوجيا أما نباح الجهال و خلطهم ما بين الأمور ما هو إلا عصبية مقيتة تضر و أضرت قبل اليوم بمنظومتنا التربوية .
الوقوف أمام النظريات العلمية التي أثبتت سلامتها معناه جر منظومتنا الى عالم المجهول أين يفتح المجال لأصحاب "الحروز" العبث بمستقبل أبنائنا . و هؤلاء نعرفهم جيدا و لا يحسنون إلا الخلط بين مختلف المفاهيم و التاريخ يشهد أنهم لا ينتجون إلا هرطقات و خرافات لم تنفع لا الدين و لا الدنيا
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Shakespeare2015/08/06 على 21:49
18منذ 1999 عشنا ثلاثة مراحل :
-مرحلة التزوير : الانتخبات
-مرحلة النهب: سونطراك 1-2-3-4-5 -الطريق السيار-الخليفة وووووووووووووو
-و مرحلة التعفن الاخلاقى: حماية المراة ,و منحة المطلقات,استراد الخمور و اخرا التعليم
هذه النتيجة لنضام غير شرعى و بدون مشروع اجتماعى
Merci Pouvoir, pour vos cadeaux
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مواطن - باتنة 2015/08/06 على 21:49
19أنا يظهرلي الجهة صاحبة تعيين الوزراء سحارين عباقرة في الشعوذة دوخو الشعب و الطبقات السياسية ورجعوهم ميقدروش حتى يريكلاميو على مصير البلاد وزير سرق وهرب وزير يسب الشعب ويرخص بيع الخمر جهارا نهارا وزيرة فضحوها في البرلمان على المباشر بالسرقة و بالأدلة وزير يقول نلعب كرة القدم مع عمي توفيق ثلاثة مقابلات في الأسبوع وعلاش الشعب قالك قداش تلعب من مقابلة مع عمك توفيق يخي حالة وصلنالها و الأخيرة قالت لازم نقريو التلاميذ بالدارجة المهم هذو كامل لو جاء هواري بومدين حي يتبول عليهم 7سنوات مايشحوش.
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DOSTOEISKI2015/08/06 على 21:58
20Qui s'est cette BENGHBRIT elle est meconnue par les Algeriens je pense seul BOUTEFLIKA l'a connu
Comment BOUTEFLIKA ose t-il parachuter des gens sans qu'ils aient une certaine légitimité d'appartenance idéologique
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allaoua - batna2015/08/06 على 21:59
21ايها المعربزون الجزائريون ماذا فعلتم انتم من اجل اللغة العربية... السنتكم طويلة وفقط... اليهود اليوم يتقنون احسن منكم بكثير لغتكم العربية الفصحى و يعلمونها لكم..
بالله عليكم هل انجزتم وهل لديكم قاموس عربي مثل اسيادكم في المشرق... انتم تستوردون الافلام المدبلجة المكسيكية والتركية...قولو الحقيقة.. ليست لديكم لغة عربية فصحة بمعنى الكلمة... ماعندكم والو...
ان كنتم غاشي ابحثوا عن تفسيير القرآن الكريم للعلامة ابن باديس . برلامانيون ورؤساء احزاب لايعرفون المطالعة بل مدمنون على الافلام المدبلجة.
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2015/08/06 على 22:01
22عن قريب ستلحق بنت غبريط ببن يونس . الاوضاع الاقتصاديه المتعثره بسبب تدني اسعار البترول . و تأخر الدوله عن الوفاء بالتزاماتها بتحسين الوضع المادي للمواطن بل فرض ضرائب جديده و كثره وعود الوزراء التي لم تتحقق خاصه في مجال السكن كلها مجتمعه تجعل من تمسك السلطه ببنت غبريط مغامره غير مأمونه النتائج .
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فريد من الجزائر - الجزائر2015/08/06 على 22:14
23ارحلي ...ارحلي ...ارحلي ...ارحلي نقولها بصوت مرتفع ويجب ان يسمعها من يعنيه الامر ...واياكم وتحدي هذا الشعب فالقلوب وصلت الحناجر وما تقوم به عصابة بن غبريت هي القطرة التي ستفيض الكاس وعندها لن يلومنا احد فقد انذرنا الجميع ...لا يجب ان نبقى ظاهرة صوتية اعطونا برنامج او مكان للتجمع واعلان موقفنا بقوة وفي الميدان ...ان بقينا ظاهرة صوتية فلن تتحرك شعرة من تلك العصابة لانهم احترفوا تحدي الشعب ولا يعطونه اية قيمة ..علينا ان نثبت لهؤلاء من نحن وبطريقة سلمية وحضارية ..وعلى جريدة الشروق مساعدتنا ..
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omar2015/08/06 على 22:16
24C'est le complot des profs médiocres et incompétents contre une ministre compétente et respectable qui fait parfaitement bien son travail. Ben Bouzid est resté 20 ans au ministère et pas un seul prof a eu le courage de le contrer ou de faire la grève ! C'est de la pure lâcheté de s'en prendre à Benghabrit parce qu'elle est une femme
Tenez bon madame la ministre votre cause vaincra contre les profs fainéants qui passent leur temps à faire des grèves !
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اطمئنوا ايها المتآمرون2015/08/06 على 22:17
25اطمئنوا سترحل الوزيرة مادامت على الحق لن يتركوها لحظة واحدة وهل سيتركونها تقوي شوكة الجزائريين وتنهي خلافهم وتجمعهم على هويتهم وهم الذين ظلوا يعملون لسنوات على تشتيتهم مشرقا ومغربا كل يغني ليلاه التي قد تكون السعودية او مصر او سوريا لكنها بالطبع لن تكون الجزائر
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ahcene - alger2015/08/06 على 22:19
26Je vous combattrais jusqu"à la fin! regardez l'article raciste , sectaire et haineu du minable mohamed el hassani . Les arabes et les musulmans ont is encore de l'avenir dans ce pays?
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فارس - الجزائر2015/08/06 على 22:24
27...أصبح حلمي اقالة بن خبريط أكتر من أحلامي الشخصية
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مختص في التعليم - الجزائر2015/08/06 على 22:30
28عندها الحق لماذا تكون الاعادة في السنة الاولى وماذنب التلميذ في ذالك (مسكينة ابغات تنقذ البراءة من الاعادة والتسرب)
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فريد من الجزائر - الجزائر2015/08/06 على 22:31
29قلت من اشتكى لعصابة بن غبريت رعمون بان التلميذ الجزائري لا يستطيع تعلم لغة اجدادنا ولغة القران واللغة الرسمية للجمهورية الجزائرية ...كنت انتظر ان تقترح هذه الامية تعليم اللغة الانجليزية الاولى في العالم والعلم بدل اللغة الفرنسية التي لا مستقبل لها ومهددة في عقر دارها ويكرهها معظم الشعب الجزائري وتعليمها فاشل جدا في مدارسنا لان المفروض مكروه..عصابة فافا لم تكتفي بتجهيل شعب كامل في اللغة الانجليزية وبكل وقاحة ارادوا تجهيله في لغة وطنه والغريب انهم مصممون على جريمتهم ويبررونها بالكذب والفبركات
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و لا تحزني2015/08/06 على 22:34
30لا تحزني يابن غبريط و لا تهني، الحكمة تقول: ﻳﺘﻜﻠﻢ ﺍﻟﻨﺎﺱ ﻋﻨﻚ ﻓﻲ 3ﺣﺎﻻﺕ:
1- ﻋﻨﺪﻣﺎ ﻻ ﻳﻤﻠﻜﻮﻥ ﻣﺎ ﺗﻤﻠﻚ
2- ﻭﻋﻨﺪﻣﺎ ﻳﻌﺠﺰﻭﻥ ﺍﻥ ﻳﻜﻮﻧﻮﺍ ﻣﺜﻠﻚ
3- ﻭﻋﻨﺪﻣﺎ ﻻ ﻳﺴﺘﻄﻴﻌﻮﻥ ﺍﻟﻮﺻﻮﻝ ﺍﻟﻴﻚ
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فريد من الجزائر - الجزائر2015/08/06 على 22:36
31لقد اوجدوا مشكلة من العدم وجعلوا منها قضية خطيرة ومصرون اصرارا غريبا على تطبيق افكارهم السوداوية في حق ابنائنا..لالة بن غبريت بررت جريمتها بالتسرب المدرسي..ههه تصوروا هذه الجاهلة كل يوم تطلعنا بحكاية اسخف من سابقتها..التسرب المدرسي ان وجد فسببه سياستك التعليمية الفاشلة وسببه حد القر الذي بلغته العائلات الجزائرية والتي جعلتها عاجزة حتى عن شراء ابسط الادوات والكتب المدرسية ناهيك عن توفر مصاريف النقل والاكل والملابس..حد الفقر لشعب يعيش فوق ارض باطنها ذهب واظاهرها الماس ولكن سياساتكم وعبث من اتى بك
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الهلالي2015/08/06 على 22:37
32لا تأبهي يا معالي الوزيرة للمتآمرين و المحرضين على رحيلك و خاصة نقابات الإضرابات المتواصلة لأنك لم تركعي لهم , فلم ينسوا ما فعلته بهم و هم الآن يريدون الإنتقام منك فلا تهني و تضعفي أمامهم
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متأمل2015/08/06 على 22:40
33مع السلامة بن غبريط .....باي باي .......ارجوك ارحلي
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فريد من الجزائر - الجزائر2015/08/06 على 22:41
34والسياسات الفاسدة التي اتت بك ووضعتك على راس وزارة التربية والتعليم في جزائر الاستقلال وانت الامية الجاهلة للغة الرسمية للبلد ..تلك السياسات هي السبب الرئيسي ليس في التسرب المدرسي فقط ولكن في تسرب اموال الجزائريين بالملايير الى حسابت عصابات الداخل والخارج ...سياسات من اتى بك هي من اوصلت بلدنا الى التفكير في الاستدانة وقبل عامين كان يمسح ديون الافارقة ...هل رايتم عبثا واستهتارا مثل هذا ...وياتيك بعض الجهلة ليعطوا الموضوع بعدا عنصريا ...ابدا الموضوع يتعلق بمواجهة مخطط استعماري ونحن سنواجهه ولن
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Grentino - Algerie2015/08/06 على 22:42
35Nous ne pouvons meme pas produire notre casse croute par contre nous sommes les champions du monde de l insulte et du denigrement quelle idiotie nous sommes la risee du monde
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فريد من الجزائر - الجزائر2015/08/06 على 22:45
36ولن نسمح لعصابة فافا بتنفيذ جريمتها ....سكتنا على سرقة اموالنا لاننا خفنا على مصير وطننا ولكن ما فائدة الوطن بدون كرامة ...هذه المرة والله يا احنا يا نتوما واقولها بالدارجة حتى يفهمها اولئك الجهلة جيدا ...لقد لعبتم كثيرا وحان الوقت لنرد لكم الصاع صاعين ..والسلام.
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القول قول شيكسبير2015/08/06 على 22:52
37قال شيكسبير: "اننا بحاجة للاختلاف احيانا لمعرفة ما يخفيه الاخرون في قلوبهم، قد تجد ما يحعلك في ذهول,
و قد تجد ما يجعلك تنحني له احتراما" .
ذُهِلت من بشاعة حملتك يا شروق، و أنحني احتراما لِرُقي و صلابة بن غبريط و من معها من نساء و رجال الوطن.
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ali - alg2015/08/06 على 22:52
38كيف يمكن لمن لا تجيد نطق جملة باللغة العربية أن تتفلسف علينا وتعلمنا كيف ندرسها. تصوروا معي لو أن وزير التربية لا يتقن الفرنسية ويقترح أفكارا لكيفية تعلمها.
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محمود - الجزائر2015/08/06 على 22:56
39إذا قلنا أن بن غبريط لا تحسن اللغة العربية فهل الوزراء الذين سبقوها يتقنوننها لا بن بوزيد ولا آخر ما عدا علي بن محمد و عمار صخري, ولم يتكلم أحد
وحتى الذين ينتقدونها لا يتقنون الفصحى سواء كانوا معلمين او اساتذة يتكلمون مع التلاميذ بالعامية ناهيك عن الأخطاء النحوية و الصرفية و الإملائية,
اتركوها تعمل ونحن كلنا لسنا أكثر وطنية منها,
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متأمل2015/08/06 على 22:58
40سيدتي الوزيرة مع كل احترماتي لشخصك..لكن الحق يقال ان مستواك في اللغة العربية ضعيف جدا بسبب دراستك باللغة الفرنسية لذلك انت تعتبرين ان الطفل يصعب عليه تعلم اللغة العربية الفصحى بناءا على تجربة مررت بها فوضعت لها اسقاطا على كل التلاميذ وعممتيها على باقي المجتمع ...هذا المقترح خطأ ..هناك اطفال يتقنون الفصحى ويرجع السبب في ذلك الى الابوين وليس للعامية فمعاملة الابوين لاطفالهم هي اكبر مساهم في ارتفاع مستوى التلميذ...اعطيك مثلا هنالك عائلات تعلم ابناءهم الفرنسيةفالنتائج كانت جد ضعيفة في اللغة العربية
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ملاحظ2015/08/06 على 22:58
41إن استهداف اللغة العربية من قبل الوزيرة و من يشد عضدها إنما هو استهداف للإسلام و لغة الإسلام و ماذا ننتظر من لسان متلعثم لا يجيد النطق بلغة القرآن و على ما يبدو فهي ردة فعل قوية على هؤلاء الذين هاجموا عاميتها المتكسرة هي و الوزير الأول و نحن نحذرها من مغبة هذا الاتجاه الفرنكوفوني ففي الوقت الذي يتزاحم فيه الأروبيون و الحمد لله على الإسلام و على اللغة العربية تريد بن غبريط غضب الله عليها أن تقضي على هويتنا و لكن هيهات لمن يريد ذلك.
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س س ع2015/08/06 على 23:05
42الوزيرة مصرة على تعليم الأبناء بالعامية أملا في قتل العربية، وموازاة مع ما يحدث في المغرب منذ شهور، حيث نفس الطلب تم مناقشته، لنتأكد يقينا أن المخابرات الفرنسية هي التي تراقب الوضع وتأمر وما عليكم يا علماء إلا التطبيق.
لكن لماذا تحارب فرنسا العربية؟ لأن العربية هي مهد القرآن والحديث، وكلما علم المواطن لغته كلما قرأ كتب الفقه، وتابع القنوات المعربة وترك المفرنسة الماجنة، وفرنسا لا تقبل هذا الوضع.
فعن طريق أبنائها تسن القوانين وتحارب المعارضين وتسفه المعربين وتكرم المفرنسين انتهاك تاما للاسلام
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العباسي - الجزائر ارض الله2015/08/06 على 23:19
43هزلة الفيسبوك رجع يسقط حكومات و وزراء الفيسبوك هادا هو من ادكى نار الفتنه في عدة دول اراد الغرب اسقاطها وفي غردايه و عين صالح اليوم بن غبريط وغدا يعلم الله
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mohaa47 - غارداية..............الجزائر2015/08/06 على 23:21
44ارحلي يا بن غبريت هذا المنصب أكبر منك................................نحن لا نريدك وزيرة للتربية ....................لأن العربية لغة القرآن و لغة أهل الجنة ..............للأسف الشديد لا و لن تستطعي تكوين جملة بسيطة باللغة العربية ..
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hayat - Blida2015/08/06 على 23:34
45اول مرة تعين وزيرة فحلة بقاو غير الجزاييرين اللى يبكيو على الرداءة ويحبوها تقعد
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نور2015/08/06 على 23:34
46ما هذا الفساد ارجعوا الى نظام المدرسة في الثمانينات
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Omar - Africa the great2015/08/06 على 23:42
47انا نطلب منها ترحل هذا شعب ما يتعلم ما يخدم...
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العباسي - الجزائر ارض الله2015/08/06 على 23:43
48هادا ضلم يجب على الشعب الجزائري ان يرحل لانه يتكلم هاد اللهجه و العاميه بهاد الخرجات بدات ترجع بلاد ميكي سبحان الله باغيين تردوها قبليه كل واحد يجدبد من جهه
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غيور على الجزائر - الجزائر الحرة2015/08/07 على 00:17
49أنصح كل الذين يساندون بن غبريط و الذين يعادونها أن يبحثوا عن مقالة للكاتب العظيم مصطفى صادق الرافعي بعنوان ( اللغة و الأمة ) و أنصحهم أن يقرأوه بتمعن و دقة. و هنالك ستقول فرقة قل جاء الحق و زهق الباطل إنّ الباطل كان زهوقا. تجدون المقالة في كتابه وحي القلم. رحلة ممتعة في القراءة.
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mohammed - france toulouse2015/08/07 على 00:18
50يجب على الأساتذة والمعلين بلإضراب ضد هذه الملعونة كما قاموا به مطالبين الزيادة في الأجور و إلا مصلحة تلاميذنا لاتهمهم
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aissa - Djelfa2015/08/07 على 00:21
51لم افهم كيف ان الطفل الذي ولد في بيئة عرية حتى ولو دارجة ونشأ يسمع كل ماحوله بالعربية من تلفاز وراديو وشارع ورسوم متحركة وكل هذا تصدمه العربية في الاولى والثانية ولاتصدمه الفرنسية التي حشروها غصبا في السنة الثانية رغم ان الطفل لم يسمع عنها ابدا الا ابناء الوزيرة طبعا.
انها تريد ازاحة العربية الفصحى وجعل الفرنسية مكانها كلغة اكاديمية والابقاء على الدارجة كلغة تواصل فقط
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3amiya2015/08/07 على 00:37
52slt mtmanyinha troh wybadloha b rajl ahsan
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mioud - oran2015/08/07 على 00:42
53لا تهم القرارات ادا كانت نيتها مخلصة و تريد الخير للبلاد و التربية خاصة ان اجتهدت و اخطات فلها اجر فكم من شخص ملتح و يلبس قميس و يدعي العفة و الوقار و هو خبيث .
ان كانت مخلصة فوفقها يا الله و ان كانت غير ذلك اي تحطيم المدرسة الجزائرية و تنفيد اجندات و اوامر خارجية فارنا فيها يا الله عجائب قدرتك و اجعل كيدها في نحرها
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جزائري - بشار2015/08/07 على 00:43
54بن غبريط ليست وحدها بل هناك من يدعمها ترأسهم حنون التي أصبح لسانها كالمقصلة لا يسلم منه إلا من يحملون نفس توجهاتها كذلك بعض الصحف الناطقة بالفرنسية المحسوبة على بعض الجهات التي تعادي كل ماهو عربي إسلامي وهي مجندة من أطراف خارجية وداخلية تحضر لمشروع فرنسة الجزائر تعليميا كما فرنسوها ثقافيا حاربهم بومدين لكنهم استعادوا السيطرة على دواليب السلطة لإعادة بعث مشروع أمهم الفرنسية التي أحسنت تربيتهم وتدريسهم وفق ما يخدم مصالحها وكما قال سيدنا علي حين سكت أهل الحق عن الباطل توهم أهل الباطل أنهم على حق .
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محمد - العاصمة2015/08/07 على 00:51
55الى الامام يا وزيرة لا تسمعى الى الاوميين لا يفهمون شى سوة المصالح الشخسية فالتعليم فى تدهور خريجى الجامعات لا يعرفون حتى كتابت اساهم فغيرى ولا تسمعى الى احد فنحن معك من اجل تطوير التعليم الحقيقى
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hocine - London2015/08/07 على 00:51
56لا احد انتفض ما عدا من لم يفهم ما يدور حوله، معظم المعارضين لا يملك المستوى اللائق حتى للفهم و منهم صحفيو الشروق ذوي المستوى المنحط ، ما تسعى الوزيرة اليه هو عمل حقيقي للنهوض بطبقة متعلمة و مثقفة اي القضاء على طبقة "المعظم" التي تتكلمون عنها و تركيب عقول تستعمل للتفكير لابنائنا في المستقبل.
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فريد من الجزائر - الجزائر2015/08/07 على 00:58
57بن غبريت رامون انتاعك ليس لا تحسن اللغة الرسمية للجمهورية الجزائرية بل ترتكب مجازر حين تتحدث بها ...لماذا تريدون تغطية الشمس بالغربال مع ان فاقد الشيء لا يعطيه ...اعطني بلدا واحدا بل قرية واحدة في العالم وزراؤها يجهلون لغتها الرسمية ..هذه الوزيرة ظنت نفسها فعلا انها وزيرة وهي امية وجاهلة بدل ان تستحي على نفسها وجهلها راحت تتدخل في امور اكبر منها بكثير ..وامور خطيرة جدا تتعلق بمستقبل اولادنا ..اذا كانت معقدة من جهلها للغة العربية فلتتعلمها او تستقيل ..اما جريمة تعليم الدارجة فلن تمر ان شاء الله..
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arabisant - algerie2015/08/07 على 01:04
58مليون ونصف المليون من الشهداء ماتوا فى ساحة المعارك ضد المستعمر الفرنسى من اجل اقامة دول جزائرية ديمقراطية اجتماعية مستقلة فى اطارها العربي الاسلامى فيا خفافيش الظلام ان اجدادى استشهدوا لكى تكون العربية احد مقومات هذه الامة بفضلهم تمكنتم اليوم من العيش فى كنف الحرية وتوليتم اعلى المناصب فى الدولة وها انتم تطعنونهم طعنا اشد واقسى من رصاصة العدو الفرنسى التى قتلوا بها الا ايها الاشياء المتحركة تذكروا ان التاريخ لم يرحم فرنسا ولن يرحم اذيالها لقد هزمتم وستهزمون و تولون الادبار كما فى كل مرة
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ياسين2015/08/07 على 01:34
59ترسيم مسعى بن غبريط سيمضي على القطيعة النهائية بين عقلاء و شرفاء هذا الشعب و بين النظام لن يكون بعد ذلك أي مجال للحوار أو للمهادنة و ستدخل المعارضة في مرحلة جديدة ستسقط فيها " أخلاقيات" و " أعراف" المعارضة
المساس بمبادئ الدولة و الدستور و بيان أول نوفمبر هو إهانة ستتطلب منا الخروج عن الحيز "القانوني" و شق عصا الطاعة و البحث عن تحالفات من جهات أخرى تضمن لنا ما لم يضمن لنا نظامنا و سلطتنا
أما أن تظنون أننا سنكتفي بالسكوت و سنتوراى و نقبل بالأمر الواقع فذلك لن يحصل أبدا صوتنا سيصل لمن يسمعه
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BOUTAHAR ABDELLATIF - BBA2015/08/07 على 01:43
60il est temps de le dire
clairement
nettement
Et à haute voix
BEN GHEBRIT RAMOUN
prends ta valise
إرحلي
dégage
out
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Hamlaoui - Alger2015/08/07 على 03:08
61Ce ne sont pas les bni oui oui qui manquent en algerie , qu'est ce qu'il a fait Benbouzid durant 14 ans ? RIEN ! CETTE DAME FAIT DU BON TRAVAIL , fouttez lui la paix , nous sommes avec elle , nous la soutenons , et quoi encore !!!
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MAZEGHRABE Améziane2015/08/07 على 04:13
62Ce que vous excellez de dans l’art de déformer toute vérité!! Au contraire il y a une véritable campagne de . Il y a beaucoup de pages sur le net qui la soutiennent et défendent ses propositions . Allez sur sa page officielle et vous saurez de quoi je parle. Il n y a que les ignares de votre torchons qui ne le font pas pour la simple raison qu'ils ne regardent pas plus loin que le bout de leurs nez.
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سلطان فريد - الجزائر2015/08/07 على 05:22
63عَجُوزُ النَّحْسِ إِبلَيْسٌ يَرَاهَا ** تُعَلِّمُهُ الْخَدِيعَةَ فِي السُّكُوتِ
تَقُودُ مِن السِّيَاسَةِ أَلْفَ بَغْلٍ ** إِذَا انْفَرَدَتْ بِخَيْطِ الْعَنْكَبُوت
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medabounada - chlef2015/08/07 على 06:12
64الاشكال الخطير في وزيرتنا انها لا تعرف اللغة العربية للتواصل وهي لا تفقه ماتقول ولو وظفت العامية وليست المشكلة في كونها امراة تخيلوا لو تكلم وزير المالية باللغة العربية او العامية او فيرها هل كان المشكل ليثار العملية التربوية الناجحة لن تكون بدون وسيلة تواصل فعيب ان يسخر التلميذ المبتدئ من لغة وزيرته اعطوها اي وزارة وارحمونا حتى ولو كانت المالبة فنحن الفقراء لم يؤثر فينا ما صنعه شكيب خليل لكن السيدة الغيريطة تنحر لغتنا العربية وتقتل ابناءنا.
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حسين - سوق أهراس 2015/08/07 على 06:26
65قــول إبــــن خــــلــــــدون فـــــاســـمـــعــوا
عــلـــى ظـــهــور الـــجــمــال أتـــــــــــــــــوا
وبـــإســم الإســــلام غـــــــــــــــــــــــــــــزوا
ولــرايـــة التـــــعــــريـــب رفــــــــــــــــــــعوا
إذا عـــربـــت خـــربــــــت فــاحـــــــــــــــذروا
قــتــلــوا وفــــعــلــــوا مـــا فــــــعــــــــــــلوا
ولأكـــســيـــل الأمـــازيـــغــي غــــــــــــدروا
زوروا الـــــتـــاريـــــخ وحـــــــــــــــــــــــــرفوا
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حمودي - dz542015/08/07 على 06:33
66يبدو لي ان هذا التحامل لا معنى له امام كفائة وثقافة هذه المرأة التي عينتها السلطة الجزائرية في ظل ما يجري في العالم من تحولات والتي اساسها المنظومة التربوية المسؤولة عن تخريج اما جيل فاسد ارهابي(وهذا ما لامسناه في تسعينات القرن الماضي) او جيل صالح مثقف ينهض ببلاده في كل مجالات التقدم ولازدهار والتنمية لهذا عليكم بالصبر. انشري يا شروق
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2015/08/07 على 07:07
67الحل هو مقاطعة مدارس وزارة بن غبريط ..ولتكن سنة او سنتين بيضاء.....الى ان تنتهي بن غبريط الى مزبلة القمامات الايديولوجية الغربية الصهيونية الاستكبارية
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brahim - algerie2015/08/07 على 07:17
68on vous soutien madame benghebrit; vou faite un tres bon travail merci
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IDJAAFER - idjaafer algerie2015/08/07 على 07:18
69تدريس العامية أثار حفيظة البعثيين والعروبيين في الجزائر الذين بعشقون عنتر بن شداد وتاريخ العرب في الجاهلية في بلاد شبه الجزيرة العربية وينكرون عنا الجزائريين الحقيقين تاريخ بلدنا مسينيسا ويوغرطة والكاهنة إنه إنكار للحقيقة ورفض للواقع وبحث عن المجهول وإستيراد غير مقبول لتاريخ وتراث لاعلاقة لبلدنا به.
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betka - tiareti2015/08/07 على 07:41
70بنغبريت هي الامل الكبير لاصلاح االلمدرسة الجزاءرية-لان منذ ثلاثيين سنة و المدرسة تنتج الارهاب و المستوى الدنيء--فحان الوقت لكسب المعركة باءذن الله.انشر من فضلك.لان السكوت عن الباطل من اجل اغغراض فهو كفر.
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كرايتون العجيب2015/08/07 على 07:54
71ان الخطر الحقيقي على الجزائر هو حمداش و علي بلحاج و ارهابي الأمس الذين فتحت لهم منابر الاعلام عى مصراعيها
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كامورا2015/08/07 على 07:58
72على أساس أننا باللغة العربية قد سبقنا اليابان و ألمانيا و أمريكا
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كامورا2015/08/07 على 08:00
73الذين يدافعون بشراسة عن اللغة العربية لا يجيدون تكوين جملة واحدة سليمة بالعربية
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2015/08/07 على 08:01
74quand j eatait au cem , mon enseigante d arabe defendait bcp cette langue et elle m a fait aime l arabe ,des annees après je la rencontre à alger elle m informe q elle a envoyé ses enfants en france pour s installer labà car il ne reste rien dans ce bled .je me souviens q elle haissait la france et tous ce qui est français , q elle hypocrisie!
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بلقاسم - الجزائر2015/08/07 على 08:03
75قولي الهم ...اهنا ايموت قاسي .....دزوا امعاهم ...لخبر....اجبوه اتوالا..................................أنا .....الجزائر................خير منكم.....يا جهلة....
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كامورا2015/08/07 على 08:06
76أذكروا لي أي شيء اخترعه العرب غير الدواوين الشعرية ؟؟؟؟
كل العلوم المنسوبة الى الحضارة الاسلامية اخترعها مسلمون من غير العرب....
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gabli hakim - algerie2015/08/07 على 08:14
77الكل خطر على ثوابت الأمة . أغلب الجزائريين يتباهون بالتحدث باللغة الفرنسية .حتى من طرف أبسط الناس .فما بالك ببن غبريط و جماعتها . وقف المجتمع كله ضد الأساتذة وداعما لبن غبريط ورآى فيها المرأة الحديدية .فهاهي النتيجة .اللهم أصلح حال الأمة
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كامورا2015/08/07 على 08:14
78ها قد بدأ المشعوذون في الهجوم على الوزيرة...
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كامورا2015/08/07 على 08:15
79قافلة بن غبريط تمر و الكلاب المسعورة تنبح
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كرايتون العجيب2015/08/07 على 08:23
80يقول تعالى :"و لا تنابزوا بالألقاب"
و يقول رسول الله "عليه الصلاة و السلام" :
"ليس المؤمن بالطعان ولا اللعان ولا الفاحش ولا البذيء"
لاحظوا تعليقات المسلمين كلها شتم للوزيرة و سب و بهتان و كلام بلا دليل و تنابز بالألقاب...أهذا ما تعلمتموه في الدين؟؟؟؟؟
لماذا لا تطيعون أمر الله الذي حرم البهتان و التنابز بالألقاب ؟
يقول تعالى :"{أَفَتُؤْمِنُونَ بِبَعْضِ الْكِتَابِ وَتَكْفُرُونَ بِبَعْضٍ فَمَا جَزَاءُ مَنْ يَفْعَلُ ذَلِكَ مِنْكُمْ إِلَّا خِزْيٌ فِي الْحَيَاةِ الدُّنْيَا وَيَوْمَ الْقِيَامَةِ"
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kamelkamel - algerie2015/08/07 على 08:30
81TIRA LBALOU MARKA BIT
CRAZATOU TONOBIL COUPATOU MARS MARS
hada wach thab lghabtita louladna
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- SIDI BEL ABBES2015/08/07 على 09:00
82Je réponds à tous ceux qui aboient après l'arabisation :si vous n’avez pas une culture générale ce n'est pas le problème de l'arabisation ni même celui du "CORAN" donc je vous rends connaissance que c'est grâce à la civilisation ARABE que la médecine , les maths , la physique , la chimie et la sociologie ont connue une grande apogée au temps des BIACIDES et maintenant les sois disant "civilisés" les enseignent dans leurs universités ; en 2015 les lauréats des universités françaises en master s
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عبد القادر - الجزائر2015/08/07 على 09:01
83قطع الله لسانك المتلعثم يا بن غبريط هل العامية من ثوابت الامة الجزائرية ورحتي تتجرئين على لغة القرآن الكريم على لغة الاثني عشر مليون مفردة أضف إلى ذلك الدستو ر ينص على ان اللغة العربية هي لغة البلادولكن هذا كله من تبعات العهدة الرابعة اللهم اكفينهم بما شئت فإنهم طغو وبغو واكثروا في الارض الفساد
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karim - jelfa2015/08/07 على 09:07
84اظن ان من الواجب ان يرحل هو بعض صحافي الجريدة الكريمة الدين يثرون الفتنة دعوا الوزيرة تخدم
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عزوز - dz622015/08/07 على 09:10
85احذروا من الانجرار وراء هذه الحملة المسعورة والتي تنيسنا في الاهم والمهم والكل رافع لمعاول الهدم وليس البناء والكل سيحاسب يوم القيامة لتغليطه الراي العام حاربوا الفساد وامفسدين قبل اتحاربوا اهل العلم اللهم اهديهم.
ملاحظة : لماذا لا تنشرون التعليقات الراي الاخر لماذا يا شروق اشرقي بالعدل كلنا جزائريين
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حمودي - dz542015/08/07 على 09:17
86من وراء كل هذا التهويل الا مبتغ لمنصب ومآرب خاصة تفوح منها رائحة الانانية اتركوا عنكم هذا الموضوع
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- SIDI BEL ABBES2015/08/07 على 09:20
87SIUTE
Je disais que les lauréats des universités françaises sont des Algériens qui ont été formés dans l'école ALGERIENNE avec l'ARABISATION ? VOUS SAVEZ pourquoi nous sommes du tier-monde?parceque et MALHEUREUSEMENT vous et vos semblables font partie de notre cher pays qui a sacrifiés des HOMMES oui des HOMMES (NOS MARTYRS) pour des chiens qui se sous éstiment viennent mettre en cause notre IDENDITE ALGERIENNE ,ARABE et MUSULMANE . pour términer , je dis que je suie professeur de let
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2015/08/07 على 09:26
88قالك من بكري سيدي مليح زادو لهواء والريح من بكري الواحد يجري باش يتعلم العربية الفصحى وحابين ننساو الدارجة والعامية زيدو دخلونا الدارجة باش لمخير يعود لا يشكل جملةمفيدة علاش راكم تدمروا فينا خليو العربية في حالها واحنا في حالنا العربية راهي لغة الرب قبل ان تكون لغة العباد وباش نديروا ونقروا حاجة لازم استفتاء وشكرا
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ramdani - algerie2015/08/07 على 09:27
89غالبية الفايسبوكيين اي الجزائريين خطر على الجزائر وليست بن غبريط وحدها والا فكيف نفسر التخلف والجهل الذي نعيشه ومن هم المجرمين الذين امتلأت بهم السجون والإرهابيين الذين لا زالوا يهاجمون قوات الامن ومن هم تجار المخدرات والمستهلكين لها ومن هم المهربين عبر الحدود من هم المتحايلين على دولتهم وقوانينها من اجل التهرب من واجباتهم ومن هم المزورين للعملة ومختلف الوثائق ومن هم المحرضين عل العنف والكراهية ...إنهم جزائريون ومتواجدون في كل مكان في الإدارات والشوارع والوزارات والمؤسسات والمساجد .....
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أمين - الجزائر2015/08/07 على 09:30
90ben ghebrit a jusqua maintenant fais que des constats et quel constat :-au sud du pays on etudie l'arabe dés jeune age mais avec de pietre résultats en plus c'est les derniers en algerie
donc ya un probleme de l'enseignement de cette langue et des autres langues n'en paralant pas -
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اميمة - تبسة2015/08/07 على 09:31
91سيدتي الوزيرة العامية خطر على ابناءنا و على لغة الاسلام كيف ستدرس العامية و نحن في الجزائر لدينا لهجات متعددة فحذاري فديننا في خطر فنحن مسلمين من غير اسلام فلا نزيد من الطين بلة
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2015/08/07 على 09:44
92هل هذا هو مستواكم كلام سوقي لا يرقى لمستوى النقاش بهذه الطريقة أنتم تفسدون على لغة القرآن طريقها لتكون البديل الحقيقي للغات الأخرى، وبحمقكم وجهلكم ستفتحون الطريق واسعا أمام التغريبيين لأنهم متحضرون أكثر منكم ، ويحسنون لغة الحوار التي تدعون أن الإسلام أرساها ، فأين هي من أخلاقكم ، تبا للأفكار المتحجرة التي تريد واد المنظومة التربوية الجزائرية
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احمد ع الق - الجزائر2015/08/07 على 09:50
93هي فعلا تنفذ مشروعا استرتيجيته تفتيت البلد علي أساس اللهجات وعليه فهي شرعت في تفعيل مشروها والدليل الردود التعصبية التي تنشر هنا وهناك من أناس غير منضبطين شأنهم كشأنها،،فلترحل وفي أقرب الأجال ولتعتذر للشعب هذه العبثية الانتقامية,,التي تريد أحياء ماعجز عنه الاستعمار ورد الاعتبار لليهود الذين قتلوا أجدادنا وآباءنا ونهبوا بلادنا
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عمار عصمان - الجزائر2015/08/07 على 09:50
94من المستحسن كل اسرة تمسك ابناءها في المنزل اي عصيان مدني ......لان ابناءنا سوى تعلموا او لم يتعلموا فهم (حيطيست ) فيجب مقاومت الاقلية الحاكمة بالاغلبية المحكومة لان هده الطريقة محرجة وسهلة هده الاقلية الحاكمة (هي مدية علينا للرحى )
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boudaoud.b - ain temouchent2015/08/07 على 10:02
95madame la ministre courage et continuer ce que vous faites est tres benefique pour notre education nationale qui subit les coups bas de ce qu ne veulent pas voir les choses evoluer .on est avec vous et avec une ecole .moderne.
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guellil - mascara2015/08/07 على 10:10
96يا الوزيرة لانكي لا تستحقين التسييد،، انت خطر على نفسك و على المجتمع الجزائري، فعلى نفسك تسعين لتحقيق مطامع اللوبي الفرنسي لأن حليبها اعطاك الفطام ضد المساجد و الكتاتيب التي كانت في يوم ما و ما زالت منبر الإشعاع الفكري و العلمي ، و منها تخرج علملماء اجلاء امثال عبد الحميد بن باديس، و الأمير عبد القادر رحمهما الله، و هم كثر، أما فلكونك خطر على المجتمع الجزائري ، فلا تعرفين ختى النطق بالدارجة فما بالك بالعربية، و لهذا حتى اردت من الجزائريين و خصوصا البراءة من الأطفال تعلم الدراجة تحطيما لهم.
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علال - تنس (الشلف)2015/08/07 على 10:10
97الذين يقولون لكِ إرحلي أيتُها المرأة الحديدية,أُقسِمُ بالله أنهم لا يفقهون في ميدان التربية أي شئ.
نعم أنتِ علي حق ,نحنُ دولة مُتخلِفة و تطوِير ميدان التربية يكون في لُغات أجنبِية وخاصةً الُغة الإنجلِزية.
لا ترحلي يا بن غبريط أيتُها المرأة الحديدية ,شعب الجازائر تُديرُه أيادي لا تُحِبُ الخير لِهذا الوطن الغالي.
-واصلي في مهاهكِ أيتُها الوزيرة’ إذا رَحَلتي سوف تكون خسارة كبيرة في ميدان التعليم في الجزائر وانا مُتأكِد علي قولي هذا.
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فيصل-حاسي مسعود2015/08/07 على 10:10
98لا ترحلي يا بن غبريط, لا ترحلي واشنانا في الحساد
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ALIMED - ALGER2015/08/07 على 10:11
99إن أصحاب الطرح الناعق بضرورة التدريس بالعامية في الابتدائي بعيدون كل البعد عن البحث العلمي اللساني الرصين والمؤسس، وغير متمكنين من آليات البحث في السياسة اللغوية الصحيحة، وهو طرح يعبر عن السذاجة المنكرة في معالجة الإشكالات اللغوية. لأنه إن كان ثمة إشكال بيداغوجي يجب أن يعالج بيداغوجياً من طرف البيداعوجيين، وليس من قبل إديولوجيين يحملون أحكاماَ مسبقة أكبر من ذهنيتهم الضيقة...! لأنه من الناحية البيداغوجية،في طور تعليمي يتكفل بتأسيس اللغة كالابتدائي لا يمكن تعلم لغة ما إلا باللغة نفسها.
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djemoui - algerie2015/08/07 على 10:12
100le probleme est chez le president est ce le president parle l'arabe lorsque en visite dans unautre paye
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محمود - الجزائر2015/08/07 على 10:16
101Il appartient à ta sœur. Satisfait maintenant?
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منال - تلمسان2015/08/07 على 10:16
102....هذي المخلوقه لاتمثلنا...ارحلي وعودي لفرنسا....رمعون أنت خطر على أولادنا
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عائشة - الهامل2015/08/07 على 10:18
103ياأهل العلم وياأهل الجزائر الأحرار بن غبريط خطر على الجزائر ...لانريدها
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بن عزوز - المسيلة2015/08/07 على 10:20
104....بن غبريط ارحلي لانريدك
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2015/08/07 على 10:24
105عندنا الاطفال يتفنون في استعمال الهواتف النقالة والحواسيب في سن الست سنوات ويقومون بثبيت البرامج المختلفة باستعمال اللغة العربية الفصحى واللغات الاجنبية وحتى الرسوم المتحركة تزيدهم من التحكم في اللغة العربية .
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وهران - وهران2015/08/07 على 10:24
106....عيب وعار على كل من يحارب لغة القران،بن غبريط أعرفها جيدا تكره العربية وجاءت للقضاء عليها ،خاطر عندها عقدة من زماااان،وأيضا أسيادها الفرنسيين قالولها عند الضوء الأخضر وسنحميك،المهم هذه المرأة خطر على أبناءنا،لانريد هؤلاء الخونه
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عقون - magicdz2015/08/07 على 10:25
107يبدو الامر ليس بهين عندما يتعلق الامر بمستقبل اجيال والمسؤولية لاهل الاختصاص الذين لم نسمع رايهم حتي الساعة وسكوتهم فتح الباب واسعا لذوي النية السيئة والنتقامية ليقولون مايشاؤون ومن راي نترك الامر لذوي الاختصاص ولا تداويني بالتي هي الداء يا حبيبي.
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salim - bladi2015/08/07 على 10:26
108أنا جاد فيما قلته و مقتنع به ولي عليه أدلة .
إن ما ذهبت إليه من اقاويل شيء مضحك ومبكي في آن واحد و كونك تقول عن الوزيرة امية ارى فيه قلة التربية و استخفاف بالجمهورية .
اعود الآن الى مقترحاتك : اقول لك إن هم الفريق الذي يشتغل في ملف التربية هو ما قلته بالإضافة الى امور اخرى ؛ لكن الإعلام المغرض وجه الإهتمام الى نقطة واحدة و هي ادراج الدارجة .
هناك من يقول ان الوزيرة لا تحسن العربية : نعم هذا صحيح و لكن ليست الوزيرة التي ستعلم ابناءكم العربية . أطباءنا لا يعرفون العربية فلماذا تذهبون اليهم اذن
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bakreti - mostaganem2015/08/07 على 10:33
109لماذا كل هذه الضجة
العالم في تطور مستمر و أنتم تنتقدون
الوزيرة محقة في كلامها
اليست الدارجة لغة تواصل من الناحية البيداغوجية
لا يوجد في الجزائر شخص يتحكم في اللغة العربية نحويا و صرفيا
أتركوا الوزيرة تعمل و المنظومة الحالية هي منظومة بن بوزيد
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ABDALLAH - algreie 2015/08/07 على 10:38
110je suis algerien et je ne vous ai pas autrise de parler au mon nom .alors ne dite pas
les ALGERIENS .
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2015/08/07 على 10:46
111المدرسة ملك للشعب ، وابن غبريط ماهي الا وسيلة في يد جهة في السلطة
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http://www.echoroukonline.com/ara/articles/251345.html
الجزائريون ينتفضون على فايسبوك:
ارحلي... يا بن غبريط!
جربوعة قدور
ولم تسلم حتى صفحة الوزيرة على موقع "فايسبوك" من التعاليق الساخرة والرافضة للقرار من خلال معظم تعاليق متابعي صفحة الوزيرة، حيث كتبت إحدى متابعات الصفحة واصفة إياها بـ"المعقدة من العربية" وقالت:
"عقدتك اللغة العربية لأنك لا تتقنينها ولم تجدي من يوقفك عند حدك"، في حين كتب معلقٌ ثان على نفسالصفحة أيضا أن القرار الذي جاءت به الوزيرة كان بعد استقبالها خبراء من فرنسا نصحوها باستعمال اللغة العامية ثم يتمّ استبدالها مع الوقت بالفرنسية، مثلما هو حاصل في العديد من البلدان الإفريقية، التي يستعمل سكانها لهجات محلية، في حين إن اللغة الفرنسية هي اللغة الرسمية، سواء في الإدارات والمؤسسات الرسميةالأخرى.
معلق آخر قال مازحا على صفحة الوزيرة: "إنها صفحة غير حقيقية لأن معالي الوزيرة لا تعرف الحديث باللغة العربية الفصحى".
من جهة أخرى، ندد رواد الموقع أيضا بتصريح الوزيرة التي زعمت فيه أن "طلاب المساجد والمدارس القرآنية ضعيفو المستوى"؟! حيث أمطروها بسيل من التعاليق الساخرة بالإضافة إلى نشر صور وفيديوهات لطلاب المدارس القرآنية، خاصة صور عبد الرحمان فارح، المتوج أصغر حافظ للقرآن في العالم، كما قاموا بنشرصور الناجحين الأوائل في شهادة الباكلوريا وشهادة التعليم المتوسط الذين يحفظ جلهم القرآن وهم من رواد المدارس القرآنية المنتشرة في الوطن، مطالبين الوزيرة بشرح كيفية تحصّل هؤلاء على أعلى المعدلات في جميع المواد وحتى اللغات الحية؟
واعتبر رواد ومتابعو أكبر الصفحات الجزائرية، على موقع "فايسبوك" على غرار صفحة "واحد اثنان ثلاثة.. تحيا الجزائر" وصفحة "المنظمة الجزائرية لمناهضة الشيتة والشياتين"، وزيرة التربية "خطراً على النظام العام"، إذ كانت جلّ التعاليق تندّد بالقرار، مطالبين الرئيس بوتفليقة بتنحيتها، مثلما قام بتنحية بن يونس بعدأن قرّر الترخيص ببيع الخمور.
وفي السياق، نشر الدكتور أحمد بن نعمان مقالاً في صفحته على الموقع، معتبرا قرار الوزيرة "مشروع الفرنسيين" وعلى رأسهم الرئيس الفرنسbiza est encore loin :
Les touristes ? Ils n’ont qu’à aller dormir à la belle étoile !
le 07.08.15 | 10h00
Réagissez
«Aucun investissement dans les ZET n’a été concrétisé depuis leur classement en 1988», nous révèle un cadre du ministère de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat. 174 zones ont été validées avant que deux d’entre elles soient déclassées.
33 autres ZET ont été approuvées en 2009 et 2010. Jusqu’à présent, 205
Zones d’expansion touristiques (ZET) ont été choisies et approuvées par
le ministère de tutelle, ce qui représente 53 000 hectares au total.
Ces zones sont de grandes assiettes de terrain où étaient censées être implantées des infrastructures touristiques diverses, selon les ressources touristiques de la zone en question.
«Sur les 205 ZET approuvées au total, plus de 150 sont en cours d’étude pour élaborer des plans d’aménagement, car depuis 2011, les plans d’aménagement sont devenus obligatoires avant de céder les terrains aux investisseurs, précise Nordine Nadri, directeur de l’Agence nationale du développement du tourisme (ANDT).
Sur les 150 ZET en cours d’étude, 21 plans d’aménagement touristiques ont été approuvés par décrets exécutifs en 2013 et 2014, telles que les ZET d’El Aouana à Jijel, Cap Ivi, à Mostaganem, Azeffoun et Sidi Khelifa, à Tizi ouzou, El Marsa, à Skikda. 13 autres ZET soumises par les APW seront approuvées par arrêté du ministre avant fin 2015. 32 autres sont à la dernière phase d’étude et seront approuvées avant la fin de l’année en cours ou au plus tard durant le premier trimestre de l’année 2016», ajoute Noredine Ladri.
Blocage
Mais l’exploitation de la majorité de ces zones touristiques traîne. D’après le gérant d’une agence de voyages spécialisée dans le tourisme réceptif (spécialisée dans l’accueil des touristes), «les infrastructures existantes ne sont pas conformes aux normes internationales que recherche le touriste étranger. Dans un tel état, il est impossible de recevoir des touristes étrangers dans notre pays», assure-t-il.
Et de donner pour exemple les infrastructures existantes avant 1988, telles que les Andalouses à Oran et le complexe touristique de Sidi Fredj, pour la région algéroise.
Dans certaines wilayas, les zones désignées depuis 1988 sont toujours à l’abandon, car les soumissionnaires pour les lots de terrain n’ont jamais eu de suite à leurs demandes, «ni favorables ni défavorables», assure cet investisseur dans la wilaya de Jijel, qui souhaitait ériger un grand complexe. Dans la zone de Tigzirt, à Tizi Ouzou, c’est le même scénario.
Ce jeune investisseur n’arrive pas à digérer sa déception. «Je travaillais pour une chaîne hôtelière internationale, je gagnais très bien ma vie. Quand j’ai su que les responsables de mon pays voulaient relancer le tourisme, je suis revenu pour construire un hôtel de cinq étoiles.
Toute l’étude est faite, mais les autorités me bloquent toujours, c’est injuste», dénonce-t-il. Nadri précise que «les dossiers approuvés en 1988 devraient être relancés par les walis et les président d’APC, car l’établissement de plans d’aménagement pour chaque ZET est une étape indispensable avant de céder les terrains.»
Classement
Mais avant d’être classées ZET, les zones sélectionnées par les autorités locales passent par plusieurs étapes. «La première action est l’affichage dans la commune concernée durant un mois, dès le premier jour du lancement de l’étude, afin d’annoncer la mise en œuvre du plan d’aménagement de la ZET. Par la suite, un bureau d’études évalue et diagnostique notamment la délimitation et les contraintes techniques de la ZET.
Durant la même période, les représentants des secteurs publics (Domaines, les travaux publics, la Conservation foncière) sont sollicités pour donner leur avis qui sera par la suite soumis au bureau d’études.
Ce dernier peut développer des variantes d’aménagement.» Une fois la proposition de plusieurs variantes faite, la wilaya est sollicitée pour choisir une variante d’aménagement. «Le bureau d’études va enfin élaborer un plan d’aménagement et un règlement urbanistique : définir les coefficients d’occupation au sol et le coefficient d’emprise au sol et le gabarit), selon la variante retenue par la wilaya.
Par la suite, c’est le dossier d’exécution des voiries et réseaux divers (VRD) qui prend le relais. Le plan d’aménagement doit être affiché dans la commune concernée pendant 45 jours pour mettre les habitants au courant et s’assurer qu’il n’y a pas d’opposition ou de meilleure proposition sur un registre de doléances.
Tout le dossier doit être par la suite soumis à l’APC dans un premier temps pour délibération et par la suite à l’APW qui doit donner son avis dans un délai qui ne doit pas dépasser les 15 jours, à compter de la date de réception du dossier. Le wali doit, par la suite, donner son avis et joindre le dossier complet de la ZET pour être transmis par courrier officiel au ministre pour approbation.
Quand le plan d’aménagement de la ZET est approuvé, il vaut permis de lotir. Enfin, le wali peut libérer les terrains pour les investisseurs dans le cadre de la concession», ajoute Noredine Nadri.
Alternative
Et c’est durant l’étape où les investisseurs déposent leurs demandes pour bénéficier d’assiette de terrain que tout se joue. Plusieurs investisseurs dénoncent «la sélection par affinités», car dans la zone touristique d’Azeffoun par exemple, «les terrains n’ont pas été cédés équitablement selon les projets présentés».
Selon la même source, «une bonne partie du littoral est cédée à un important capitaine d’industrie de la région». Une source au sein du ministère de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat nous a assuré que «le ministre actuel, Amar Ghoul, a installé, il y a deux semaines environ, une commission chargée de recueillir tous les blocages que rencontrent les investisseurs désireux de se lancer dans des projets touristiques.
Cette commission travaille avec les directions régionales basées dans toutes les wilayas».
Un autre cadre du ministère de l’Intérieur nous a confié que «le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a donné des instructions au ministre du Tourisme afin de relancer tous les projets touristiques bloqués sur tout le territoire national», ce qui peut être une alternative pour les recettes du pays pour combler le «creux» causé par la chute libre des prix du pétrole.
En attendant le deuxième quota qui sera approuvé incessamment qui comporte un lot de 10 ZET, notamment à Aïn Ouerka, à Naâma, à Aïn Témouchent et à Adrar. Les investisseurs attendent que toutes les promesses «soient transformées en autorisations d’exploitation pour libérer le secteur touristique qui est victime de la bureaucratie».
Ces zones sont de grandes assiettes de terrain où étaient censées être implantées des infrastructures touristiques diverses, selon les ressources touristiques de la zone en question.
«Sur les 205 ZET approuvées au total, plus de 150 sont en cours d’étude pour élaborer des plans d’aménagement, car depuis 2011, les plans d’aménagement sont devenus obligatoires avant de céder les terrains aux investisseurs, précise Nordine Nadri, directeur de l’Agence nationale du développement du tourisme (ANDT).
Sur les 150 ZET en cours d’étude, 21 plans d’aménagement touristiques ont été approuvés par décrets exécutifs en 2013 et 2014, telles que les ZET d’El Aouana à Jijel, Cap Ivi, à Mostaganem, Azeffoun et Sidi Khelifa, à Tizi ouzou, El Marsa, à Skikda. 13 autres ZET soumises par les APW seront approuvées par arrêté du ministre avant fin 2015. 32 autres sont à la dernière phase d’étude et seront approuvées avant la fin de l’année en cours ou au plus tard durant le premier trimestre de l’année 2016», ajoute Noredine Ladri.
Blocage
Mais l’exploitation de la majorité de ces zones touristiques traîne. D’après le gérant d’une agence de voyages spécialisée dans le tourisme réceptif (spécialisée dans l’accueil des touristes), «les infrastructures existantes ne sont pas conformes aux normes internationales que recherche le touriste étranger. Dans un tel état, il est impossible de recevoir des touristes étrangers dans notre pays», assure-t-il.
Et de donner pour exemple les infrastructures existantes avant 1988, telles que les Andalouses à Oran et le complexe touristique de Sidi Fredj, pour la région algéroise.
Dans certaines wilayas, les zones désignées depuis 1988 sont toujours à l’abandon, car les soumissionnaires pour les lots de terrain n’ont jamais eu de suite à leurs demandes, «ni favorables ni défavorables», assure cet investisseur dans la wilaya de Jijel, qui souhaitait ériger un grand complexe. Dans la zone de Tigzirt, à Tizi Ouzou, c’est le même scénario.
Ce jeune investisseur n’arrive pas à digérer sa déception. «Je travaillais pour une chaîne hôtelière internationale, je gagnais très bien ma vie. Quand j’ai su que les responsables de mon pays voulaient relancer le tourisme, je suis revenu pour construire un hôtel de cinq étoiles.
Toute l’étude est faite, mais les autorités me bloquent toujours, c’est injuste», dénonce-t-il. Nadri précise que «les dossiers approuvés en 1988 devraient être relancés par les walis et les président d’APC, car l’établissement de plans d’aménagement pour chaque ZET est une étape indispensable avant de céder les terrains.»
Classement
Mais avant d’être classées ZET, les zones sélectionnées par les autorités locales passent par plusieurs étapes. «La première action est l’affichage dans la commune concernée durant un mois, dès le premier jour du lancement de l’étude, afin d’annoncer la mise en œuvre du plan d’aménagement de la ZET. Par la suite, un bureau d’études évalue et diagnostique notamment la délimitation et les contraintes techniques de la ZET.
Durant la même période, les représentants des secteurs publics (Domaines, les travaux publics, la Conservation foncière) sont sollicités pour donner leur avis qui sera par la suite soumis au bureau d’études.
Ce dernier peut développer des variantes d’aménagement.» Une fois la proposition de plusieurs variantes faite, la wilaya est sollicitée pour choisir une variante d’aménagement. «Le bureau d’études va enfin élaborer un plan d’aménagement et un règlement urbanistique : définir les coefficients d’occupation au sol et le coefficient d’emprise au sol et le gabarit), selon la variante retenue par la wilaya.
Par la suite, c’est le dossier d’exécution des voiries et réseaux divers (VRD) qui prend le relais. Le plan d’aménagement doit être affiché dans la commune concernée pendant 45 jours pour mettre les habitants au courant et s’assurer qu’il n’y a pas d’opposition ou de meilleure proposition sur un registre de doléances.
Tout le dossier doit être par la suite soumis à l’APC dans un premier temps pour délibération et par la suite à l’APW qui doit donner son avis dans un délai qui ne doit pas dépasser les 15 jours, à compter de la date de réception du dossier. Le wali doit, par la suite, donner son avis et joindre le dossier complet de la ZET pour être transmis par courrier officiel au ministre pour approbation.
Quand le plan d’aménagement de la ZET est approuvé, il vaut permis de lotir. Enfin, le wali peut libérer les terrains pour les investisseurs dans le cadre de la concession», ajoute Noredine Nadri.
Alternative
Et c’est durant l’étape où les investisseurs déposent leurs demandes pour bénéficier d’assiette de terrain que tout se joue. Plusieurs investisseurs dénoncent «la sélection par affinités», car dans la zone touristique d’Azeffoun par exemple, «les terrains n’ont pas été cédés équitablement selon les projets présentés».
Selon la même source, «une bonne partie du littoral est cédée à un important capitaine d’industrie de la région». Une source au sein du ministère de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat nous a assuré que «le ministre actuel, Amar Ghoul, a installé, il y a deux semaines environ, une commission chargée de recueillir tous les blocages que rencontrent les investisseurs désireux de se lancer dans des projets touristiques.
Cette commission travaille avec les directions régionales basées dans toutes les wilayas».
Un autre cadre du ministère de l’Intérieur nous a confié que «le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a donné des instructions au ministre du Tourisme afin de relancer tous les projets touristiques bloqués sur tout le territoire national», ce qui peut être une alternative pour les recettes du pays pour combler le «creux» causé par la chute libre des prix du pétrole.
En attendant le deuxième quota qui sera approuvé incessamment qui comporte un lot de 10 ZET, notamment à Aïn Ouerka, à Naâma, à Aïn Témouchent et à Adrar. Les investisseurs attendent que toutes les promesses «soient transformées en autorisations d’exploitation pour libérer le secteur touristique qui est victime de la bureaucratie».
Bouzid Ichalalene
biza est encore loin :
Les touristes ? Ils n’ont qu’à aller dormir à la belle étoile !
le 07.08.15 | 10h00
Réagissez
«Aucun investissement dans les ZET n’a été concrétisé depuis leur classement en 1988», nous révèle un cadre du ministère de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat. 174 zones ont été validées avant que deux d’entre elles soient déclassées.
33 autres ZET ont été approuvées en 2009 et 2010. Jusqu’à présent, 205
Zones d’expansion touristiques (ZET) ont été choisies et approuvées par
le ministère de tutelle, ce qui représente 53 000 hectares au total.
Ces zones sont de grandes assiettes de terrain où étaient censées être implantées des infrastructures touristiques diverses, selon les ressources touristiques de la zone en question.
«Sur les 205 ZET approuvées au total, plus de 150 sont en cours d’étude pour élaborer des plans d’aménagement, car depuis 2011, les plans d’aménagement sont devenus obligatoires avant de céder les terrains aux investisseurs, précise Nordine Nadri, directeur de l’Agence nationale du développement du tourisme (ANDT).
Sur les 150 ZET en cours d’étude, 21 plans d’aménagement touristiques ont été approuvés par décrets exécutifs en 2013 et 2014, telles que les ZET d’El Aouana à Jijel, Cap Ivi, à Mostaganem, Azeffoun et Sidi Khelifa, à Tizi ouzou, El Marsa, à Skikda. 13 autres ZET soumises par les APW seront approuvées par arrêté du ministre avant fin 2015. 32 autres sont à la dernière phase d’étude et seront approuvées avant la fin de l’année en cours ou au plus tard durant le premier trimestre de l’année 2016», ajoute Noredine Ladri.
Blocage
Mais l’exploitation de la majorité de ces zones touristiques traîne. D’après le gérant d’une agence de voyages spécialisée dans le tourisme réceptif (spécialisée dans l’accueil des touristes), «les infrastructures existantes ne sont pas conformes aux normes internationales que recherche le touriste étranger. Dans un tel état, il est impossible de recevoir des touristes étrangers dans notre pays», assure-t-il.
Et de donner pour exemple les infrastructures existantes avant 1988, telles que les Andalouses à Oran et le complexe touristique de Sidi Fredj, pour la région algéroise.
Dans certaines wilayas, les zones désignées depuis 1988 sont toujours à l’abandon, car les soumissionnaires pour les lots de terrain n’ont jamais eu de suite à leurs demandes, «ni favorables ni défavorables», assure cet investisseur dans la wilaya de Jijel, qui souhaitait ériger un grand complexe. Dans la zone de Tigzirt, à Tizi Ouzou, c’est le même scénario.
Ce jeune investisseur n’arrive pas à digérer sa déception. «Je travaillais pour une chaîne hôtelière internationale, je gagnais très bien ma vie. Quand j’ai su que les responsables de mon pays voulaient relancer le tourisme, je suis revenu pour construire un hôtel de cinq étoiles.
Toute l’étude est faite, mais les autorités me bloquent toujours, c’est injuste», dénonce-t-il. Nadri précise que «les dossiers approuvés en 1988 devraient être relancés par les walis et les président d’APC, car l’établissement de plans d’aménagement pour chaque ZET est une étape indispensable avant de céder les terrains.»
Classement
Mais avant d’être classées ZET, les zones sélectionnées par les autorités locales passent par plusieurs étapes. «La première action est l’affichage dans la commune concernée durant un mois, dès le premier jour du lancement de l’étude, afin d’annoncer la mise en œuvre du plan d’aménagement de la ZET. Par la suite, un bureau d’études évalue et diagnostique notamment la délimitation et les contraintes techniques de la ZET.
Durant la même période, les représentants des secteurs publics (Domaines, les travaux publics, la Conservation foncière) sont sollicités pour donner leur avis qui sera par la suite soumis au bureau d’études.
Ce dernier peut développer des variantes d’aménagement.» Une fois la proposition de plusieurs variantes faite, la wilaya est sollicitée pour choisir une variante d’aménagement. «Le bureau d’études va enfin élaborer un plan d’aménagement et un règlement urbanistique : définir les coefficients d’occupation au sol et le coefficient d’emprise au sol et le gabarit), selon la variante retenue par la wilaya.
Par la suite, c’est le dossier d’exécution des voiries et réseaux divers (VRD) qui prend le relais. Le plan d’aménagement doit être affiché dans la commune concernée pendant 45 jours pour mettre les habitants au courant et s’assurer qu’il n’y a pas d’opposition ou de meilleure proposition sur un registre de doléances.
Tout le dossier doit être par la suite soumis à l’APC dans un premier temps pour délibération et par la suite à l’APW qui doit donner son avis dans un délai qui ne doit pas dépasser les 15 jours, à compter de la date de réception du dossier. Le wali doit, par la suite, donner son avis et joindre le dossier complet de la ZET pour être transmis par courrier officiel au ministre pour approbation.
Quand le plan d’aménagement de la ZET est approuvé, il vaut permis de lotir. Enfin, le wali peut libérer les terrains pour les investisseurs dans le cadre de la concession», ajoute Noredine Nadri.
Alternative
Et c’est durant l’étape où les investisseurs déposent leurs demandes pour bénéficier d’assiette de terrain que tout se joue. Plusieurs investisseurs dénoncent «la sélection par affinités», car dans la zone touristique d’Azeffoun par exemple, «les terrains n’ont pas été cédés équitablement selon les projets présentés».
Selon la même source, «une bonne partie du littoral est cédée à un important capitaine d’industrie de la région». Une source au sein du ministère de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat nous a assuré que «le ministre actuel, Amar Ghoul, a installé, il y a deux semaines environ, une commission chargée de recueillir tous les blocages que rencontrent les investisseurs désireux de se lancer dans des projets touristiques.
Cette commission travaille avec les directions régionales basées dans toutes les wilayas».
Un autre cadre du ministère de l’Intérieur nous a confié que «le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a donné des instructions au ministre du Tourisme afin de relancer tous les projets touristiques bloqués sur tout le territoire national», ce qui peut être une alternative pour les recettes du pays pour combler le «creux» causé par la chute libre des prix du pétrole.
En attendant le deuxième quota qui sera approuvé incessamment qui comporte un lot de 10 ZET, notamment à Aïn Ouerka, à Naâma, à Aïn Témouchent et à Adrar. Les investisseurs attendent que toutes les promesses «soient transformées en autorisations d’exploitation pour libérer le secteur touristique qui est victime de la bureaucratie».
Ces zones sont de grandes assiettes de terrain où étaient censées être implantées des infrastructures touristiques diverses, selon les ressources touristiques de la zone en question.
«Sur les 205 ZET approuvées au total, plus de 150 sont en cours d’étude pour élaborer des plans d’aménagement, car depuis 2011, les plans d’aménagement sont devenus obligatoires avant de céder les terrains aux investisseurs, précise Nordine Nadri, directeur de l’Agence nationale du développement du tourisme (ANDT).
Sur les 150 ZET en cours d’étude, 21 plans d’aménagement touristiques ont été approuvés par décrets exécutifs en 2013 et 2014, telles que les ZET d’El Aouana à Jijel, Cap Ivi, à Mostaganem, Azeffoun et Sidi Khelifa, à Tizi ouzou, El Marsa, à Skikda. 13 autres ZET soumises par les APW seront approuvées par arrêté du ministre avant fin 2015. 32 autres sont à la dernière phase d’étude et seront approuvées avant la fin de l’année en cours ou au plus tard durant le premier trimestre de l’année 2016», ajoute Noredine Ladri.
Blocage
Mais l’exploitation de la majorité de ces zones touristiques traîne. D’après le gérant d’une agence de voyages spécialisée dans le tourisme réceptif (spécialisée dans l’accueil des touristes), «les infrastructures existantes ne sont pas conformes aux normes internationales que recherche le touriste étranger. Dans un tel état, il est impossible de recevoir des touristes étrangers dans notre pays», assure-t-il.
Et de donner pour exemple les infrastructures existantes avant 1988, telles que les Andalouses à Oran et le complexe touristique de Sidi Fredj, pour la région algéroise.
Dans certaines wilayas, les zones désignées depuis 1988 sont toujours à l’abandon, car les soumissionnaires pour les lots de terrain n’ont jamais eu de suite à leurs demandes, «ni favorables ni défavorables», assure cet investisseur dans la wilaya de Jijel, qui souhaitait ériger un grand complexe. Dans la zone de Tigzirt, à Tizi Ouzou, c’est le même scénario.
Ce jeune investisseur n’arrive pas à digérer sa déception. «Je travaillais pour une chaîne hôtelière internationale, je gagnais très bien ma vie. Quand j’ai su que les responsables de mon pays voulaient relancer le tourisme, je suis revenu pour construire un hôtel de cinq étoiles.
Toute l’étude est faite, mais les autorités me bloquent toujours, c’est injuste», dénonce-t-il. Nadri précise que «les dossiers approuvés en 1988 devraient être relancés par les walis et les président d’APC, car l’établissement de plans d’aménagement pour chaque ZET est une étape indispensable avant de céder les terrains.»
Classement
Mais avant d’être classées ZET, les zones sélectionnées par les autorités locales passent par plusieurs étapes. «La première action est l’affichage dans la commune concernée durant un mois, dès le premier jour du lancement de l’étude, afin d’annoncer la mise en œuvre du plan d’aménagement de la ZET. Par la suite, un bureau d’études évalue et diagnostique notamment la délimitation et les contraintes techniques de la ZET.
Durant la même période, les représentants des secteurs publics (Domaines, les travaux publics, la Conservation foncière) sont sollicités pour donner leur avis qui sera par la suite soumis au bureau d’études.
Ce dernier peut développer des variantes d’aménagement.» Une fois la proposition de plusieurs variantes faite, la wilaya est sollicitée pour choisir une variante d’aménagement. «Le bureau d’études va enfin élaborer un plan d’aménagement et un règlement urbanistique : définir les coefficients d’occupation au sol et le coefficient d’emprise au sol et le gabarit), selon la variante retenue par la wilaya.
Par la suite, c’est le dossier d’exécution des voiries et réseaux divers (VRD) qui prend le relais. Le plan d’aménagement doit être affiché dans la commune concernée pendant 45 jours pour mettre les habitants au courant et s’assurer qu’il n’y a pas d’opposition ou de meilleure proposition sur un registre de doléances.
Tout le dossier doit être par la suite soumis à l’APC dans un premier temps pour délibération et par la suite à l’APW qui doit donner son avis dans un délai qui ne doit pas dépasser les 15 jours, à compter de la date de réception du dossier. Le wali doit, par la suite, donner son avis et joindre le dossier complet de la ZET pour être transmis par courrier officiel au ministre pour approbation.
Quand le plan d’aménagement de la ZET est approuvé, il vaut permis de lotir. Enfin, le wali peut libérer les terrains pour les investisseurs dans le cadre de la concession», ajoute Noredine Nadri.
Alternative
Et c’est durant l’étape où les investisseurs déposent leurs demandes pour bénéficier d’assiette de terrain que tout se joue. Plusieurs investisseurs dénoncent «la sélection par affinités», car dans la zone touristique d’Azeffoun par exemple, «les terrains n’ont pas été cédés équitablement selon les projets présentés».
Selon la même source, «une bonne partie du littoral est cédée à un important capitaine d’industrie de la région». Une source au sein du ministère de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat nous a assuré que «le ministre actuel, Amar Ghoul, a installé, il y a deux semaines environ, une commission chargée de recueillir tous les blocages que rencontrent les investisseurs désireux de se lancer dans des projets touristiques.
Cette commission travaille avec les directions régionales basées dans toutes les wilayas».
Un autre cadre du ministère de l’Intérieur nous a confié que «le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a donné des instructions au ministre du Tourisme afin de relancer tous les projets touristiques bloqués sur tout le territoire national», ce qui peut être une alternative pour les recettes du pays pour combler le «creux» causé par la chute libre des prix du pétrole.
En attendant le deuxième quota qui sera approuvé incessamment qui comporte un lot de 10 ZET, notamment à Aïn Ouerka, à Naâma, à Aïn Témouchent et à Adrar. Les investisseurs attendent que toutes les promesses «soient transformées en autorisations d’exploitation pour libérer le secteur touristique qui est victime de la bureaucratie».
Bouzid Ichalalene
Les touristes ? Ils n’ont qu’à aller dormir à la belle étoile !
le 07.08.15 | 10h00 Réagissez
«Aucun investissement dans les ZET n’a été concrétisé depuis leur classement en 1988», nous révèle un cadre du ministère de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat. 174 zones ont été validées avant que deux d’entre elles soient déclassées.
33 autres ZET ont été approuvées en 2009 et 2010. Jusqu’à présent, 205 Zones d’expansion touristiques (ZET) ont été choisies et approuvées par le ministère de tutelle, ce qui représente 53 000 hectares au total.
Ces zones sont de grandes assiettes de terrain où étaient censées être implantées des infrastructures touristiques diverses, selon les ressources touristiques de la zone en question.
«Sur les 205 ZET approuvées au total, plus de 150 sont en cours d’étude pour élaborer des plans d’aménagement, car depuis 2011, les plans d’aménagement sont devenus obligatoires avant de céder les terrains aux investisseurs, précise Nordine Nadri, directeur de l’Agence nationale du développement du tourisme (ANDT).
Sur les 150 ZET en cours d’étude, 21 plans d’aménagement touristiques ont été approuvés par décrets exécutifs en 2013 et 2014, telles que les ZET d’El Aouana à Jijel, Cap Ivi, à Mostaganem, Azeffoun et Sidi Khelifa, à Tizi ouzou, El Marsa, à Skikda. 13 autres ZET soumises par les APW seront approuvées par arrêté du ministre avant fin 2015. 32 autres sont à la dernière phase d’étude et seront approuvées avant la fin de l’année en cours ou au plus tard durant le premier trimestre de l’année 2016», ajoute Noredine Ladri.
Blocage
Mais l’exploitation de la majorité de ces zones touristiques traîne. D’après le gérant d’une agence de voyages spécialisée dans le tourisme réceptif (spécialisée dans l’accueil des touristes), «les infrastructures existantes ne sont pas conformes aux normes internationales que recherche le touriste étranger. Dans un tel état, il est impossible de recevoir des touristes étrangers dans notre pays», assure-t-il.
Et de donner pour exemple les infrastructures existantes avant 1988, telles que les Andalouses à Oran et le complexe touristique de Sidi Fredj, pour la région algéroise.
Dans certaines wilayas, les zones désignées depuis 1988 sont toujours à l’abandon, car les soumissionnaires pour les lots de terrain n’ont jamais eu de suite à leurs demandes, «ni favorables ni défavorables», assure cet investisseur dans la wilaya de Jijel, qui souhaitait ériger un grand complexe. Dans la zone de Tigzirt, à Tizi Ouzou, c’est le même scénario.
Ce jeune investisseur n’arrive pas à digérer sa déception. «Je travaillais pour une chaîne hôtelière internationale, je gagnais très bien ma vie. Quand j’ai su que les responsables de mon pays voulaient relancer le tourisme, je suis revenu pour construire un hôtel de cinq étoiles.
Toute l’étude est faite, mais les autorités me bloquent toujours, c’est injuste», dénonce-t-il. Nadri précise que «les dossiers approuvés en 1988 devraient être relancés par les walis et les président d’APC, car l’établissement de plans d’aménagement pour chaque ZET est une étape indispensable avant de céder les terrains.»
Classement
Mais avant d’être classées ZET, les zones sélectionnées par les autorités locales passent par plusieurs étapes. «La première action est l’affichage dans la commune concernée durant un mois, dès le premier jour du lancement de l’étude, afin d’annoncer la mise en œuvre du plan d’aménagement de la ZET. Par la suite, un bureau d’études évalue et diagnostique notamment la délimitation et les contraintes techniques de la ZET.
Durant la même période, les représentants des secteurs publics (Domaines, les travaux publics, la Conservation foncière) sont sollicités pour donner leur avis qui sera par la suite soumis au bureau d’études.
Ce dernier peut développer des variantes d’aménagement.» Une fois la proposition de plusieurs variantes faite, la wilaya est sollicitée pour choisir une variante d’aménagement. «Le bureau d’études va enfin élaborer un plan d’aménagement et un règlement urbanistique : définir les coefficients d’occupation au sol et le coefficient d’emprise au sol et le gabarit), selon la variante retenue par la wilaya.
Par la suite, c’est le dossier d’exécution des voiries et réseaux divers (VRD) qui prend le relais. Le plan d’aménagement doit être affiché dans la commune concernée pendant 45 jours pour mettre les habitants au courant et s’assurer qu’il n’y a pas d’opposition ou de meilleure proposition sur un registre de doléances.
Tout le dossier doit être par la suite soumis à l’APC dans un premier temps pour délibération et par la suite à l’APW qui doit donner son avis dans un délai qui ne doit pas dépasser les 15 jours, à compter de la date de réception du dossier. Le wali doit, par la suite, donner son avis et joindre le dossier complet de la ZET pour être transmis par courrier officiel au ministre pour approbation.
Quand le plan d’aménagement de la ZET est approuvé, il vaut permis de lotir. Enfin, le wali peut libérer les terrains pour les investisseurs dans le cadre de la concession», ajoute Noredine Nadri.
Alternative
Et c’est durant l’étape où les investisseurs déposent leurs demandes pour bénéficier d’assiette de terrain que tout se joue. Plusieurs investisseurs dénoncent «la sélection par affinités», car dans la zone touristique d’Azeffoun par exemple, «les terrains n’ont pas été cédés équitablement selon les projets présentés».
Selon la même source, «une bonne partie du littoral est cédée à un important capitaine d’industrie de la région». Une source au sein du ministère de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat nous a assuré que «le ministre actuel, Amar Ghoul, a installé, il y a deux semaines environ, une commission chargée de recueillir tous les blocages que rencontrent les investisseurs désireux de se lancer dans des projets touristiques.
Cette commission travaille avec les directions régionales basées dans toutes les wilayas».
Un autre cadre du ministère de l’Intérieur nous a confié que «le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a donné des instructions au ministre du Tourisme afin de relancer tous les projets touristiques bloqués sur tout le territoire national», ce qui peut être une alternative pour les recettes du pays pour combler le «creux» causé par la chute libre des prix du pétrole.
بوضياف يصف قضية مستشفى قسنطينة بـ "الحادث المعزول"
"كفوا عن تشويه قطاع الصحة"
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برج بوعريريج: بوبكر مخلوفي / 23:15-5 أغسطس 2015
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دعا وزير الصحة وإصلاح المستشفيات، عبد المالك بوضياف، إلى الكف عن التهويل الذي فتحت المجال واسعا أمام ترويج إشاعات تمس بالدرجة الأولى القطاع الصحي، على خلفية قضية مصلحة التوليد بمستشفى قسنطينة التي وصفها بالحادثة المعزولة التي لا يمكن تعميمها، وهي قضية تم التكفل بها، حسبه.
في السياق ذاته، نفى وزير الصحة، الذي نزل ضيفا أمس على ولاية برج بوعريريج في زيارة تفقدية لقطاعه، ما روج له من عودة حملة تحديد النسل، قائلا إن الدراسة الأخيرة كشفت أن هناك مليونا و140 ألف مولود جديد، معلقا أن الأسرة الجزائرية هي الأدرى بظروف معيشتها. كما أكد بوضياف أنه تم توجيه أوامر لكل مديريات الصحة بتسخير الأطباء لمدة أسبوع لكل طور من الأطوار لفحص التلاميذ، وتشخيص الحالات العلاجية للتكفل بها مع بداية الموسم الدراسي.
وفي زيارته لعاصمة البيبان، حاول الوزير عبر مختلف المحطات التي حط بها الرد على احتجاجات المواطنين، واستيائهم من نقص الخدمات، مذكرا إياهم بالمجهودات المبذولة، واعدا باتخاذ قرارات من شأنها المساهمة في تحسين الوضع. وبمستشفى المنصور أمر بوضياف بفتح ثلاث مصالح جديدة هي الطب الداخلي وطب الأطفال والجراحة العامة، بالاعتماد على التوأمة الداخلية بين مستشفيات الولاية، قبل أن يرد على “الخبر” بأن قرار الإنشاء الذي يشمل كلا من مستشفى المنصورة وبرج غدير سيصل في أقرب الآجال، مضيفا أن ولاية برج بوعريريج بها أربع عيادات مغلقة سيتم فتح اثنتين منها، بينما تفتح الباقيتين بعد انتهاء أشغال التهيئة، وبمصلحة مرضى السرطان استمع لشكوى أحد المواطنين حول طريقة العلاج. وقبل مغادرته للمصلحة اتخذ قرار توسيع المصلحة إلى 30 سريرا والشروع في الاعتماد على آلية البطاقات العلاجية. ووعد الوزير بتوفير جهاز سكانير لمستشفى بوزيدي في أقرب الآجال، أما بالنسبة لمستشفى العظام فأشار إلى إعادة تقييمه بـ80 مليار سنتيم لإكمال الأشغال وتجهيزه، وقد وعد الوزير بفتحه قريبا.
وفي مصلحة الولادة استقبل المواطنون الوزير بالشكاوى من نقص التكفل وانعدام الأخصائيين وسوء المعاملة، ناهيك عن نقص التجهيزات ما فسره الوزير بردات فعل انطباعية للأولياء. وفي سؤال لـ”الخبر” حول تحويل الأمهات إلى العيادات الخاصة، أوضح عبد المالك بوضياف أن توجيه الأمهات إلى القطاع الخاص ممنوع.
وحول الإجراءات الجديدة المتخذة للقطاع، أوضح الوزير أن مصالحه قامت ببعث مصلحة خدمة المساعدة الطبية في حالات الطوارئ (الصامو)، والسعي لتوفير الاستشفاء المنزلي، وكذا فتح التكوين للأطباء العامين العاملين في مصالح الأمومة والاستعجالات ومصالح مرض السرطان.
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ليمين
11:59 - 6 أغسطس 2015
ياسيد الوزير على ما أظن ماكش عايش في الجزائر أنت بعيد كل البعد عن ميدانك من الأحسن لك ان تشوف خدمة وحدة أخرى
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ابن الواحة
10:46 - 6 أغسطس 2015
لما يتكلم الوزير يسكت شعيب لخديم امام هذه الفضائح كان على السيد الوزيران يحضر حبلا وينتحر على المباشر حتى يصدق المواطن ان الصحة بخير
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عزيز
9:28 - 6 أغسطس 2015
الحادث المعزوووول ؟؟؟؟؟؟؟ يبدو أنّ الوزير يعيش في المريخ، و من شوّه صورة قطاع الصّحة هم العاملون بهذا القطاع أنفسم.
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abdou
9:24 - 6 أغسطس 2015
طلب زيارات مفاجئة للوزير وليست وخاصة بمستشفى الأمومة ببرج بو عر ير يج ترى معناة الحوامل اليومية
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dlamel
9:15 - 6 أغسطس 2015
سيدي الوزير هاته ليست زيارة فجائية كما كنت تقول من قبل لأنك لو قمت بزيارة مفاجئة لرئيت مالم يدخل في البال خصوصا في مستشفى الأمومة EHS كارثة عضمى تحويل الحوامل الة العيادات الخاصة نقص النضافة سوء الأستقبال ......الخ حيث ان المديرة بالنيابة سخرت العمال قبل يومين لكي يقومو بعملية نضافة كبيرة واصلاح العتاد العطل منذ مدة واصلاح البلاط البلاستيك المقطع وتزيين المستشفى لكي تأتي انت وترى الجمال المزيف
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Amel BARHOUMI
9:8 - 6 أغسطس 2015
Non Mr Le Ministre,la situation est tres déplorable dans la majorité des etablissements hospitaliers. A titre d'exemple: l'hopital Ahmed Medeghri d'Ain-Témouchent ou la restauration des malades est misérable,le scanner ne fonctionne pas à cause de l'absence chronique du radiologue,des gestionnaires qui s'en foutent,l'ex.Sce des maladies infectieuses qui est envahi par les eaux usées etc...
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من جيجل
9:6 - 6 أغسطس 2015
السلام عليكم، أنا حامل في الشهر التاسع و ا بعد اجراء كافة الفحوصات تم توجيهي لمستشفى الطاهير يوم 01/08/2015 لأخد موعد اجراء عملية قيصرية في الفترة ما بين 10 و 15 أوث لكن المفاجئة ؟ الاجابة كانت من موظفة على مستوى غرفة المراقبة الطبية بحيث تقوم بالكشف على المريضات، اجابتها كانت : الطبيبة المختصة غير موجودة اليوم، أخدت عطلة سنوية ....... و نحن لا نأخد مواعيد للعمليات القيصرية قلت لها ما الحل ؟ فرفعت كتفها قائلة بالحرف الواحد دبري راسك الى متى ؟ نصيحتها هي التوجه الى العيادة "مصحة الشفاء " ، يتماطلون في العمل بالمستشفى و يحولون مرضاهم الى المصحة الخاصة لأنه لا يوجد حل ، من أين لي مبلغ 75000.00 دج لإجراء العملية في بلد يدعي العلاج المجاني لمواطنيه سيدي الوزير قطاعك يحتاج الى شرطي على رأس كل موظف للحراسة و المتابعة حسبنا الله و نعم الوكيل
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ناصر
7:30 - 6 أغسطس 2015
جريمة تنظيم النسل تطبقها الدولة الجزائرية سرا منذ مدة طويلة بإعطاءها تعليمات للمستشفيات بفرض العمليات القيصرية على المرأة التي تضع مولودها الأول ... ...وبهذا تحد من نسلها بدون وجع دماغ ولا حملات علنية ولا شئ...
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abwhb
5:4 - 6 أغسطس 2015
لماذا تغطي الشمس بالغربال ؟ لا يختلف اثنان حقيقةقطاع المرض كابوس مرعب خصوصا مصلحة التوليد حينمانأخذ المرأة اليها نتسول من مستشفى لمستشفى بوسائلنا الخاصة و في ظروف قاسية .... و كثير من الحوامل ولدن في السيارات.... مصالح التوليد في الواقع معطلة من زمن بعيد و هي محل فساد و رشوة و اهمال لا يسعني الا ان اقول حسبي الله و نعم الوكيل
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1:45 - 6 أغسطس 2015
non monsieur le ministre, certes c'est un cas, mais il y a des centaines de cas, en plus differents...monsieur le ministre les ALgeriens font des centaines de kilometres pour se soigner a ALger parece qu'ils n'ont rien chez eux...et pour trouver une place a Alger, il faut connaitre quelqu'un pour te trouver un lit a l'hopital... la qualite des soins est mediocre, les infirmiers negligeants, les hopitaux sales...enfin la liste est vraiment lourde...je pense que c'est vous de cesser de cacher la realite.
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Deux jeunes, qui n'ont pas encore atteint les 18 ans, ont été
appréhendés dans une affaire de cambriolage qui a ciblé le siège d'une
association culturelle. Les deux mis en cause, vu leur âge mineur, ont été
placés sous contrôle judiciaire après leur présentation avant-hier devant le
procureur de la République près le tribunal de Constantine, indique un
communiqué de la cellule des relations publiques de la Sûreté de wilaya. Dans
ce communiqué, on signalera que les présumés auteurs, qui ont été arrêtés à la
suite des investigations et des renseignements recueillis à ce sujet, ont subtilisé
plusieurs objets de l'intérieur du siège de l'association culturelle. Les
enquêteurs ont trouvé quelques objets volés en leur possession au moment de
leur neutralisation, et après obtention d'une autorisation de perquisition dans
le domicile de l'un des deux cambrioleurs présumés, on découvrira d'autres
objets volés, dont un réfrigérateur, un photocopieur, une imprimante, des
équipements informatiques, 6 cartables en cuir, une bouteille de gaz butane,
deux chauffages électriques, une machine à café... enfin tout un butin qui
laisse penser que le siège a été purement et simplement «déménagé» par les deux
cambrioleurs. On signale dans ce sillage que tous les objets en question ont
été récupérés par les enquêteurs qui les ont classés comme pièce à conviction.
Les deux présumés auteurs répondront, lors de leur comparution devant le juge,
de la charge retenue contre eux, le «vol à la casse» en l'occurrence.
شريمة - باتنة2015/08/06 على 21:21
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