الأحد، أغسطس 21

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La fermeture du pont de Sidi-Rached à l'épreuve du terrain
par A. M.

Selon le chef du service transport de l'APC de Constantine, que nous avons contacté hier pour donner des éclaircissements sur les mesures immédiates qui seront prises dans le domaine de la circulation des piétons dans le centre-ville et vers la rive Est du Rhumel, «la cellule de suivi de la mise en application du plan de transport a pris en charge cet aspect et elle aura du pain sur la planche au courant de la semaine qui suivra la fermeture, dès aujourd'hui dimanche, du pont de Sidi-Rached pour travaux».

Par exemple, dira M. Bouarroudj, «nous allons nous concerter avec les services de la sûreté urbaine pour étudier les modalités de mise en place du dispositif d'organisation de la circulation et du stationnement dans les rues qui vont connaître un grand flux de véhicules, comme celle de Tatache Belkacem, au carrefour du Chuc, à la rue Ben M'hidi, avenue Aouati Mostefa et enfin l'avenue Rahmani Achour».

Dans chacune de ces artères, a-t-il expliqué, il y aura, de façon permanente, des agents de la circulation en faction pour organiser le flux des véhicules et veiller à empêcher les automobilistes de stationner dans les points frappés d'interdiction.

Parmi les autres tâches d'urgence dont s'occupera dès aujourd'hui la cellule de suivi, il y aura la mise en place de panneaux de signalisation de toutes sortes dans les différentes stations de taxis et des bus, notamment à la station Khemisti, qui pourrait connaître un encombrement avec l'évacuation des bus du Bardo.

«Jeudi prochain, a ajouté notre interlocuteur, la cellule se réunira pour faire l'évaluation des quatre journées d'application du plan de circulation et apporter les correctifs éventuels là où c'est absolument nécessaire».

Interrogé à propos de la circulation piétonne sur le pont de Sidi-Rached pendant les travaux de confortement, il a affirmé que celle-ci sera interrompue dans un premier temps. «La direction des travaux publics a pensé à ce problème, a dit M. Bouarroudj, en assurant que le pont sera rouvert à la circulation piétonne dès la fin de la première semaine, juste devant le chantier.

A partir de là, une passerelle sera mise en place à l'entrée du chantier par l'entreprise SAPTA chargée de la réalisation des travaux, et ce pour détourner les passants qui veulent rejoindre la RN 3 ou prendre les bus menant à El-Khroub, lesquels resteront encore à la station actuelle.

Pour ce qui est de la circulation piétonne au centre-ville dans l'axe place du 1er Novembre-place des Martyrs et place de la Pyramide, il s'est contenté de répondre que le problème est pris en charge dans le cadre du plan d'urgence et qu'il y aura certainement des aménagements, comme la pose de barrières pour obliger les passants à utiliser les passages souterrains après que ces derniers eurent été aménagés et sécurisés.

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5156897
Fermeture du pont de Sidi Rached: J-1
par A. Mallem

Jeudi dernier, la radio régionale a organisé une rencontre-débat qui a réuni les principaux opérateurs impliqués dans la mise en œuvre du nouveau plan de la circulation découlant de la fermeture, demain dimanche, du pont de Sidi Rached pour une durée de 70 jours. Etaient également invités sur le plateau les représentants des syndicats des taxieurs et du transport urbain. Quant aux citoyens, notamment ceux des quartiers qui seront touchés par ce plan, ils ont été invités à intervenir en direct par téléphone pour faire des propositions ou demander des explications aux responsables concernés.

Ouvrant le débat, le directeur des travaux publics de la wilaya, M. Amar Remache, a donné des explications détaillées sur la nature des travaux d'urgence qui seront menés sur le pont et dont les préliminaires viennent de commencer au niveau de la culée située au pied du plateau du Mansourah. «Toute circulation automobile et piétonne sera interdite sur le pont de Sidi Rached à partir de 3h du matin le dimanche 21 août», a-t-il dit. Interpellé sur le retard mis pour entamer des travaux de confortement sur cet ouvrage alors que des signes patents d'effondrement ont été signalés par les spécialistes et les citoyens qui habitent au dessous, l'intervenant s'est longuement étalé sur les problèmes connus par ce pont de pierre et ce depuis que celui-ci fut ouvert à la circulation en 1912. Il a déclaré que les problèmes connus par le pont de Sidi Rached tout au long de son histoire ont été tous, comme aujourd'hui, posés par le glissement du terrain du versant Est du plateau du Mansourah qui exerce une forte pression sur l'ouvrage.

«Le projet de confortement inscrit en 2008 pour la somme de 80 milliards de centimes n'a pu être réalisé car nous n'avions pas d'étude technique qui indique ce qu'il fallait faire», dira-t-il. «Et le 22 mai 2011, la wilaya a requis les services d'un expert italien très connu sur le plan mondial qui a fait des propositions plus réalisables ». Le DTP a donné des explications techniques sur la nature des travaux à réaliser, à court et à moyen terme, et pour dévier la circulation sur le pont de Sidi Rached. Il a cité dans ce cadre la proposition d'ériger une passerelle pour piétons d'une longueur de 73 mètres. Ce nouvel ouvrage qui sera construit sous le pont actuel, reliera l'avenue de Roumanie au Bardo en passant par Souika et le Remblai. Son coût a été estimé à 23 milliards de centimes. A propos des travaux de confortement, il a précisé qu'ils toucheront uniquement la culée Est du pont et consisteront, entre autres, au remplacement du joint «à grand souffle» de 30 centimètres qui absorbe la poussée résultant du glissement du terrain, et ce en remplacement de l'actuel, placé en 1979, qui a une durée de 30 ans et qui se trouve maintenant usé. Pour la bonne compréhension de l'explication qu'il a donnée, M. Remache a signalé que la pression résultant du glissement de terrain fait reculer le pont de 1 centimètre environ par an.

Le représentant de la commune est revenu sur le plan de transport élaboré par la commission communale le 11 août dernier en ajoutant uniquement, à propos des rues qui seront interdites à la circulation, que la commission de suivi sera sur le terrain le dimanche matin pour constater de visu les conséquences induites par le nouveau plan de la circulation et pour déterminer, au cas par cas, les endroits où le stationnement sera soit partiellement autorisé, soit carrément interdit. Beaucoup de citoyens des quartiers qui seront touchés, notamment Tatache Belkacem, rue Rahmani Achour et rue Aouati Mostefa, sont intervenus dans le débat pour demander des explications, des solutions pour le stationnement de leurs véhicules personnels et faire aussi des propositions. Quant aux représentants des syndicats des taxieurs et des transporteurs publics, ils se sont contentés de déclarer qu'ils n'ont pas le choix et qu'ils vont assumer leur part de responsabilité en sensibilisant leurs adhérents.

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5156847&archive_date=2011-08-20
فيما ألزم أصحاب سيارات الأجرة بالعمل داخل المحطات
الجمعة, 19 أغسطس 2011
عدد القراءات: 25 نحو إجبار الراجلين على استعمال انفاق وسط مدينة قسنطينة
وجهت لجنة المرور ببلدية قسنطينة تعليمات صارمة لأصحاب سيارة الأجرة للالتزام بالعمل داخل المحطات حتى تتمكن من تنظيم حركة المرور التي تطرأ عليها تغييرات جذرية بداية من يوم غد كما يجري التحضير لمنع الراجلين من السير خارج الأنفاق.
حيث أفاد مصدر من مصلحة النقل أنه تمت مطالبة ممثلي أصحاب سيارات الأجرة بضرورة احترام شروط العمل وبعدم التوقف خارج المحطات حتى لا يتسببوا في الازدحام ويؤثروا على سير حركة المرور في ظل التعديلات الأخيرة التي يفرضها قرار غلق جسر سيدي راشد، حيث أفاد المصدر أن هناك أكثر من أربعين محطة متواجدة داخل المدينة وبأحياء مجاورة والعمل بها يجنب حالة الاختناق التي عادة ما تحصل كون السيارات تجوب الأحياء بحثا عن زبائن خارج المحطات التي أصبحت عديمة الجدوى .
نفس المصدر قال بأنه تم تشكيل لجنة متابعة لمخطط النقل الجديد للتحكم فيما قد يطرأ من إختلالات خاصة بالنسبة للنقل بالحافلات، حيث أبدى الناقلون تخوفا من تحويل الحافلات المتواجدة بمدخل باردو إلى محطة خميستي لكن الإدارة ترى أن كل الإجراءات تم اتخاذها وأنه تم تقسيم المحطة لرواقين واحد خاص بحافلات القطاع العمومي وآخر للخواص، وبالنسبة لحافلات الخروب تقرر تأجيل التحويل الجزئي الذي يعتبر قرارا قديما رفض الناقلون تطبيقه سابقا حيث ستقوم اللجنة بمتابعة الأمر وفي حال تسجيل اختناق على مستوى باب القنطرة يتم التحويل.المرحلة التالية تكون تنظيم حركة الراجلين بوسط المدينة بوضع حواجز تحتم استخدام الأنفاق الأرضية ولكن بعد تهيئتها وتوفير الإنارة و المراحيض مع خلق نشاطات خفيفة تخلق الحركة بداخلها، حيث قال لنا المسؤول بأنه سيتم إستعمال حواجز لا تؤثر على المنظر العام بل وتضفي عليه جمالية خاصة على أن ينتشر عناصر من الشرطة لتطبيق القرار مثلما يحدث في المخطط الذي يدخل حيز التطبيق بداية من يوم غد. http://www.annasronline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=20697:2011-08-19-21-52-06&catid=35:2009-04-13-14-10-18&Itemid=2 ن/ك
Fermeture du pont de Sidi Rached: J-1
par A. Mallem

Jeudi dernier, la radio régionale a organisé une rencontre-débat qui a réuni les principaux opérateurs impliqués dans la mise en œuvre du nouveau plan de la circulation découlant de la fermeture, demain dimanche, du pont de Sidi Rached pour une durée de 70 jours. Etaient également invités sur le plateau les représentants des syndicats des taxieurs et du transport urbain. Quant aux citoyens, notamment ceux des quartiers qui seront touchés par ce plan, ils ont été invités à intervenir en direct par téléphone pour faire des propositions ou demander des explications aux responsables concernés.

Ouvrant le débat, le directeur des travaux publics de la wilaya, M. Amar Remache, a donné des explications détaillées sur la nature des travaux d'urgence qui seront menés sur le pont et dont les préliminaires viennent de commencer au niveau de la culée située au pied du plateau du Mansourah. «Toute circulation automobile et piétonne sera interdite sur le pont de Sidi Rached à partir de 3h du matin le dimanche 21 août», a-t-il dit. Interpellé sur le retard mis pour entamer des travaux de confortement sur cet ouvrage alors que des signes patents d'effondrement ont été signalés par les spécialistes et les citoyens qui habitent au dessous, l'intervenant s'est longuement étalé sur les problèmes connus par ce pont de pierre et ce depuis que celui-ci fut ouvert à la circulation en 1912. Il a déclaré que les problèmes connus par le pont de Sidi Rached tout au long de son histoire ont été tous, comme aujourd'hui, posés par le glissement du terrain du versant Est du plateau du Mansourah qui exerce une forte pression sur l'ouvrage.

«Le projet de confortement inscrit en 2008 pour la somme de 80 milliards de centimes n'a pu être réalisé car nous n'avions pas d'étude technique qui indique ce qu'il fallait faire», dira-t-il. «Et le 22 mai 2011, la wilaya a requis les services d'un expert italien très connu sur le plan mondial qui a fait des propositions plus réalisables ». Le DTP a donné des explications techniques sur la nature des travaux à réaliser, à court et à moyen terme, et pour dévier la circulation sur le pont de Sidi Rached. Il a cité dans ce cadre la proposition d'ériger une passerelle pour piétons d'une longueur de 73 mètres. Ce nouvel ouvrage qui sera construit sous le pont actuel, reliera l'avenue de Roumanie au Bardo en passant par Souika et le Remblai. Son coût a été estimé à 23 milliards de centimes. A propos des travaux de confortement, il a précisé qu'ils toucheront uniquement la culée Est du pont et consisteront, entre autres, au remplacement du joint «à grand souffle» de 30 centimètres qui absorbe la poussée résultant du glissement du terrain, et ce en remplacement de l'actuel, placé en 1979, qui a une durée de 30 ans et qui se trouve maintenant usé. Pour la bonne compréhension de l'explication qu'il a donnée, M. Remache a signalé que la pression résultant du glissement de terrain fait reculer le pont de 1 centimètre environ par an.

Le représentant de la commune est revenu sur le plan de transport élaboré par la commission communale le 11 août dernier en ajoutant uniquement, à propos des rues qui seront interdites à la circulation, que la commission de suivi sera sur le terrain le dimanche matin pour constater de visu les conséquences induites par le nouveau plan de la circulation et pour déterminer, au cas par cas, les endroits où le stationnement sera soit partiellement autorisé, soit carrément interdit. Beaucoup de citoyens des quartiers qui seront touchés, notamment Tatache Belkacem, rue Rahmani Achour et rue Aouati Mostefa, sont intervenus dans le débat pour demander des explications, des solutions pour le stationnement de leurs véhicules personnels et faire aussi des propositions. Quant aux représentants des syndicats des taxieurs et des transporteurs publics, ils se sont contentés de déclarer qu'ils n'ont pas le choix et qu'ils vont assumer leur part de responsabilité en sensibilisant leurs adhérents.



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