Cheikh Raymond Leyris
Voici la musique de notre bien aimé Raymond:
Cheikh Raymond Leyris (27 juillet 1912 - 22 juin 1961 à Constantine) un musicien juif de musique Malouf (ou arabo-andalouse).
Il œuvra pour la paix entre les communautés musulmanes et juive de Constantine.
Il est assassiné le 22 juin 1961 sur la Place Négrier de Constantine au milieu du marché juif.
Il est assassiné le 22 juin 1961 sur la Place Négrier de Constantine au milieu du marché juif.
Mal hbibi malou
Partie 1
Hokm El Bey Soirée
1954 Partie1
Reportage
Tâl 'Adâb Bia -
"Ma souffrance a trop duré
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Mal hbibi malou
Partie 2
Hokm El Bey Soirée
1954 Partie2
Ghezzali Hafi
Insiraf mahboubati
+ Farakouni
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Djessa
Errahaoui
Dhalma -
L'injuste
El-brague
Poète
Amazight
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http://lesjuifsdeconstantine.com/index.php/les-rues-de-constantine/10-les-rues-de-constantine/39-rue-thiers
Rue Thiers
La Rue Thiers était perpendiculaire à la rue grand en son début, en face de la Maison de Sidi Fredj Halimi et aboutit perpendiculairement à la rue de France.
En montant, sur la droite, se trouve le Crédit Municipal dont le caissier principal été David Nakache (zal), père du grand champion Alfred Nakache (zal).
VILLE DE NETANYA 1
Netanya et la thora :
Cliquez ici pour accéder au site du RAV HAI DESIRE ELBEZE (זצייל)
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http://www.djelfa.info/vb/showthread.php?t=708266
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http://benbadis.org/vb/showthread.php?t=9487
الماسونية لمن لا يعرفها
Lorsqu’on retrace l’historique du Lionisme en Algérie, on peut être agréablement surpris et ressentir parfois quelques amertumes.
Agréablement surpris lorsqu’on découvre une existence ancienne de clubs dans certaines villes , dès l’installation de cette association en Algérie.
Ressentir de l’amertume quand on constate la disparition de certains d’entre eux, effaçant ainsi toute représentation du lionnisme dans ces villes.
Cinq années après son introduction en Europe notamment en Suède, en France et en Suisse,, le Lionnisme fait son entrée en Afrique en février 1953, et c’est bien le Club Alger Doyen qui en fut le précurseur le 23 Février de cette même année, parrainé par le Club de Vichy. Arrivés à Alger nos amis du Lions Club Vichy Doyen emmenés par leur président fondateur Roger Dilon et accompagnés du Délégué international l’américain Tony Delage créèrent ‘’Algiers Club’’ puis se rendirent par train à Oran ou fut crée Oran Doyen enfin ils se rendirent à Casablanca et Rabat ou les clubs de ces deux villes furent crées.
Il faut rendre hommage aux trois leaders initiateurs du Lions Clubs en Afrique, Fernand AMODĖ d’Alger Doyen, Gaston ANDUZE-ACHER d’Oran Doyen et Pierre MOUILLEFARINE de Casablanca Doyen ainsi qu’à Roger DILON fondateur du lions clubs Vichy Doyen parrain d’Alger Doyen et au Délégué international l’américain Tony DELAGE initiateur du Lions Clubs en Europe et en Afrique.
Le Délégué International Tony Delage (à gauche) et le premier Président fondateur du Club Alger Doyen Fernand Asmodé
Après avoir lancé le LIONSCLUBS en Europe dès 1948,Tony Delage vint à Alger en février 1953 pour lancer
le premier lions club d’Algérie et d’Afrique
ALGER DOYEN
Alger Doyen eut sa charte approuvée par le siège international le 27 mars 1953 et se trouve donc le doyen des clubs africains ;il sera suivi d’Oran Doyen,de Rabat Doyen de Casablanca Doyen en avril et mai 1953 puis de Brazaville en 1954,Bangui ,Dakar, Yaoundé et Abidjan en 1955 , de Conakri, N’Djamena en 1956 et de Madagascar en 1957 .
La CHARTE d’Alger Doyen
en date du 27 Mars 1953
La dernière visite d’un Président International eut lieu en mars 2003
En mars 2003 le Président de la République Abdelaziz BOUTEFLEKA reçoit le Président International K.Kay Fukushima et le gouverneur Mohamed Mokrani
ETRE LION
L'humanisme, cette propension de tout être humain à se préoccuper naturellement de son prochain est en fait un comportement aussi vieux que l'humanité elle même.
Simple comportement de solidarité grégaire des peuples primitifs, c'est devenu un idéal, une philosophie et une doctrine, l'Humanitarisme, que pratiquent ceux qui se soucient du bien être de leurs semblables où qu'ils se trouvent, sans distinction de race, ni de culture, ni de religion.
Melvin Jones, un jeune assureur de Chicago aux Etats Unis en a consacré le concept à travers le principe que:
"L'on n'a rien fait dans sa vie tant que l'on n'a pas fait quelque chose pour autrui"
et en a concrétisé l'action en constituant ce qui devait- en quelque décennies seulement - devenir la plus formidable organisation de Clubs Service à l'échelle planétaire, avec
· quelques 1 500 000 membre,
· dans près de 45 000 clubs,
· à travers 208 pays et territoires de par le monde,
· et ayant un statut d' Observateur à l'ONU :
" L'Association Internationale des Lions Clubs "
plus connue sous son appellation anglo-saxonne de
" Lions Clubs International "
Constituée aux Etats Unis en 1917, l'Association prenait une dimension internationale dès 1920 avec la création de clubs hors des Etats Unis, dans de nombreux pays et contrée dont l'Afrique
Un Club Service n'est pas, par définition, une association caritative. C'est la réunion de femmes et d'hommes animés d'un esprit de service et par la volonté d'aider leurs prochains, en consacrant un peu de leur temps et de leurs capacités, financière, professionnelle et relationnelle, pour porter une assistance multiforme à ceux qui œuvrent plus directement à la réalisation d'actions humanitaires.
Le Nom
Le nom officiel de l'Association est: "Association Internationale des Lions Clubs "ou " Lions Clubs International "
L' Emblème
L'emblème officiel de l'Association a été adopté lors de la convention de 1919 et sert de moyen de reconnaissance de tous les Lions à travers le monde.
Il comprend un "L " de couleur OR sur un fond circulaire de couleur POURPRE ou BLEUE , bordé d'OR et portant
* sur chacun des cotés gauche et droit, un profil de LION tourné vers l'extérieur,
* en haut l'inscription " LIONS ",
* et en bas l'inscription " INTERNATIONAL
La Devise
La devise de l'Association , symbolisant on ne peut mieux la mission de ses membres, est " NOUS SERVONS " en anglais " WE SERVE ".
Le Slogan
Son slogan est:"LIBERTY, INTELLIGENCE,OUR NATION'S SAFETY " signifiant : "Liberté, Compréhension, Sauvegarde de nos Nations".
Les Couleurs officielles
Lors de la fondation de l'Association en 1917, les couleurs POURPRE et OR ont été choisie comme couleurs officielles; le pourpre symbolisant la loyauté envers ses amis , l'intégrité de cœur et d'esprit, et l'or, la sincérité des motifs, la tolérance, la pureté de la vie et la générosité matérielle et spirituelle envers les nécessiteux.
La raison d'être
Lorsque, plus de 400 ans avant l'ère chrétienne, les Athéniens, partant de l'observation du mode de vie de peuplades asiatiques apparemment moins développées qu'eux, créèrent le concept de Démocratie, ils fondèrent ce nouveau mode de fonctionnement social sur trois principes cardinaux:
- La liberté de chacun qui ne se conçoit que dans le respect très rigoureux des règles communautaires,
- La concorde, à savoir, l'harmonie résultant de la compréhension et de la bonne entente entre les membres de la communauté,
- Le civisme, qu'ils définirent comme l'engagement, voire l'obligation faite à chacun, de faire passer les intérêts de la Cité, autrement dit la communauté, avant les siens propres.
Ce n'est donc pas sans raisons que nombre des dictionnaires de la langue française définissent de nos jours le CIVISME comme
" le dévouement d'un citoyen pour sa patrie"
(Larousse édition 1972 et 1977, Robert édition1986 )
Et ce sont ces mêmes principes cardinaux qui fondent la raison d'être et l'action de l'Association à savoir:
- La liberté de chacun qui garantit celle de tous,
- La compréhension des autres pour vivre avec eux en harmonie,
- Le service de sa patrie, pour en assurer la sauvegarde
qui se résument dans son slogan
"Liberté,Compréhension,Sauvegarde de nos Nations"
LIONS = Liberty,Intelligence,Our Nation's Safety
L'action d'un Lion s'inscrit d'abord dans son propre environnement immédiat; sa famille, son cercle d'amis, ses relations sociales et professionnelles, puis plus largement sa communauté, sa ville, son pays; en un mot sa Patrie.
Et, partant, l'action de l'Association vise donc à promouvoir le CIVISME, en encouragent l'Homme quel qu'il soit et dans quelque communauté où il vive sur terre
- à inscrire tous les actes de sa vie privé ou publique, civile ou professionnelle dans une recherche permanente de la qualité et de la compétence, et dans la pratique de principes moraux les plus élevés,
- à œuvrer pour l'élévation du bien être moral, social, culturel et civique de sa communauté sans chercher d'autre récompense pour cela que la satisfaction d'avoir été utile aux autres,
- -à servir loyalement et avec abnégation d'abord et avant tout sa propre patrie dans le respect des règles communautaires et des principes fondateurs historiques, socioculturels et identitaires de celle-ci.
Ces principes étant universels, l'Association n'est donc pas, comme elle pourrait l'apparaître, une organisation supranationale mais bien au contraire un mouvement civique universel qui se développe dans le respect et la promotion des valeurs propres à chaque communauté, et grâce à la compréhension intercommunautaire.
Elle se veut le creuset où peuvent être débattus, dans le respect de l'autre, tous les sujets d'intérêt public sauf ceux de politique partisane et de religion.
La pratique de ces principes est résumée dans la charte des Règles de Conduite des Lions.
Le Lionisme n'est pas un cercle réservé à des initiés; il est, bien au contraire, ouvert à tous les femmes et hommes de bonne volonté qui souhaitent être utiles à leurs semblables.
Le but de l'Association étant de promouvoir le Civisme, tout bon Lion se fait un point d'honneur d'en parler autour de lui et de chercher à recueillir l'adhésion de personnes dans lesquelles il estime reconnaître d'évidentes qualité de cœur et d'esprit, et dont il parrainera l'adhésion au sein de son club.
Ci contre après une action d’aide ophtalmologique pratiquée par le past gouverneur Mohamed Mokrani, nous reconnaissons à gauche le regretté Ahmed Marouf qui fut le doyen des lions d’Algérie ainsi qu’à l’extrême droite le past gouverneur Hadj Ghozali qui contribua au renouveau du Lions Clubs d’ Algerie au cours des années 1990
Les développements du Lions Clubs en Algérie
Succédant à Alger Doyen, plusieurs autres clubs ont vu le jour à travers le territoire national.
- Oran Doyen le 24.04.1953.
- Oran Mediterranée le 03.12.01955.
- Mostaganem le 05.05.1957
- Annaba ou ex Bône le 18.05.1957
- Tlemcen le 10.05.1958
- Béjaia ou ex Bougie le 20.06.1959
- Ghardaia le 03.02.1962
- Ain Temouchent le 23.02.1963
- Constantine le 23.06.1968.
On enregistrait ainsi pas moins de 10 clubs à la fin des années 60.
A fin 1973, seuls 07 clubs demeuraient en activité : Alger Doyen, Oran Doyen, Oran Méditerranée, Mostaganem, Tlemcen, Annaba et Constantine.
Ces 07 clubs qui constituaient alors le sous district Algérie, comptaient à la fin décembre 1973, un effectif de 119 membres sur un effectif global du district Maghreb de 888 membres.
Rattaché au District 401 Maghreb, constitué également des sous districts Maroc et Tunisie, le sous district Algérie relevait alors de la tutelle d’un Vice Gouverneur.
Après quelques années difficiles dues aux restrictions imposées au mouvement associatif par le régime du parti unique, l’Association des Lions Clubs d’Algérie sut préserver ses activités puis au bout de huit années de difficultés , et dès l’avènement de la loi consacrant la liberté et le droit d’association, et grâce à la volonté résolue des clubs encore actifs, elle connut un nouvel essor.
Ainsi, en 1989 naissait le Club Oran El Bahia puis l’année suivante à Alger, le Club Alger Ryadh, venant s’ajouter à la famille lionnistique.
En 1991, ce fut au tour des Clubs Sidi Bel Abbes Doyen et Oran l’Emir.
En 1992, Alger s’enrichissant d’un nouveau club, Alger Yasmine.
En 1994 et 1995, naissaient Sidi Bel Abbes Espoir et Tlemcen.
Cette progression intense se poursuivit en 1996 et 1997, qui virent se créer pas moins de 11 clubs :
- 1996 : Alger –Méditerranée, Oran-Murdjadjo, Tizi Ouzou –Doyen et Ain Temouchent.
- 1997 : Annaba, Sidi Bel Abbes-Soleil, Oran-Bel-Air, Adrar-Touat, Beni Saf- Sur Mer,Alger-Casbah et enfin Oran-Andaloussia.
En 1995 naissait le district 415 Algérie suite à la restructuration du District 401 Maghreb.
A cette date , 11 clubs Lions activaient en Algérie. A la fin du mandat de notre ami, past Gouverneur, Salah Mohamed Lahbib, en 1996, le mouvement Lionnistique en Algérie comptait pas de moins de 26 clubs dont 4 clubs Leos (jeunes Lions).
1997-1998 a vu la famille Lionistique se renforcer de 05 nouveaux clubs : Sidi Bel Abbes Iris, Alger Citadelle, Béjaia Gouraya, Oran La Colombe et Oran Phoenix.
La création de pas moins de 09 clubs Leos , prouve combien notre mouvement a pu susciter l’intérêt et l’engouement de notre jeunesse.
A la fin de l’année 1999, la famille lionistique en Algérie était constituée de 34 clubs dont 11 clubs féminins, 15 clubs masculins et 08 clubs mixtes ainsi que de 09 clubs Leos.
En janvier 2013 la famille lionistique comprend les 34 clubs suivants dont 15 clubs mixtes,9clubs féminin et dix clubs masculins.
ALGER CASBAH,ALGER DOYEN,ALGER EL GHALIA,ALGER EL KETTANI,ALGER GAYA UNIVERSITAIRE,ALGER ICOSIUM,ALGER LA CITADELLE,ALGER LIBERTE
ALGER LUMIERE,ALGER MEDITERRANEE,ALGER THANINA,ALGER ZHIRA,ALGER ZIRI,BEJAIA GOURAYA UNIVERSITAIRE,BLIDA LA ROSE,BLIDA LA SOURCE, CONSTANTINE DOYEN,MOSTAGANEM LA SALAMANDRE,MOSTAGANEM MAZAGRAN,MOSTAGANEM……., ORAN AMEL,ORAN BEL AIR,ORAN BEL HORIZON
ORAN DOYEN,ORAN EL BAHYA,ORAN EL BESMA,ORAN EL MURDJADJO
ORAN MEDITERRANEE,ORAN PHOENIX,SETIF DOYEN,SETIF SITIFIS UNIVERSITAIRE,SIDIBEL ABBES IRIS ETERNEL,SIDIBEL ABBES SOLEIL ET ANNABA,
ALGER LUMIERE,ALGER MEDITERRANEE,ALGER THANINA,ALGER ZHIRA,ALGER ZIRI,BEJAIA GOURAYA UNIVERSITAIRE,BLIDA LA ROSE,BLIDA LA SOURCE, CONSTANTINE DOYEN,MOSTAGANEM LA SALAMANDRE,MOSTAGANEM MAZAGRAN,MOSTAGANEM……., ORAN AMEL,ORAN BEL AIR,ORAN BEL HORIZON
ORAN DOYEN,ORAN EL BAHYA,ORAN EL BESMA,ORAN EL MURDJADJO
ORAN MEDITERRANEE,ORAN PHOENIX,SETIF DOYEN,SETIF SITIFIS UNIVERSITAIRE,SIDIBEL ABBES IRIS ETERNEL,SIDIBEL ABBES SOLEIL ET ANNABA,
Le District 415 ALGERIE comprend aussi 10 LEO CLUBS
De nouveaux Lions Clubs sont en cours de création à Batna,Tiaret,Chleff,Relizane et Skikda.
On enregistre un turnover dans la constitution de notre District que seules, la stabilité et la pérennité, peuvent assurer le développement. Il est n’est pas opportun de signaler tous les clubs crées et dissous, l’essentiel est d’arriver à constituer une grande famille, répartie à travers le territoire national et que chacun de ces membres constitue un maillon de la chaîne de solidarité, au service des plus démunis, là où ils se trouvent.
Il est à signaler qu’en 2010 lors du bilan de l’opération ‘’SIGHT FIRST 2’’
les membres du Lions Clubs d’ALGERIE ont été classés à la treizième place en terme de contribution moyenne par Lion par rapport aux Lions de plus de 200 pays et territoire ayant contribué à l’opération ‘’SIGHT FIRST 2’’.
Le district atteindra et dépassera dès cette année le nombre minimum de 35 clubs ;l’objectif à poursuivre est d’atteindre et dépasser le niombe de 1250 membres afin de sortir du statut de District provisoire.
REDA AMRANI PAST GOUVERNEUR
http://lionsclubs-algerie.org/
http://www.tsa-algerie.com/20151112/razika-cherif/
http://onpartquand.fr/constantine-bilan/
http://www.easyvoyage.com/israel/culture
onstantine : Bilan de la semaine
Un peu d’histoire
Constantine est située au Nord-Est de l’Algérie, à environ 200 km de la frontière tunisienne et 200 km de la Kabylie plus au sud. Avec ses presque 500 000 habitants, Constantine fait partie des villes les plus importantes d’Algérie aux côtés d’Alger et Oran, elle est d’ailleurs capitale régionale de l’Est du pays. Surnommée « la ville aux 7 ponts », « la ville aux ponts suspendus » ou encore « la ville du vieux rocher », Constantine (de son ancien nom Cirta) est l’une des plus anciennes cités du monde.
Après la colonisation française et les « années noires » l’Algérie ne semble pas avoir su se relever correctement. Le gouvernement corrompu plonge le pays dans un status quo dont le peuple semble avoir du mal à se dépatouiller. Les maisons ne sont pas finies, il y a de nombreux chantiers dans toute la ville, les immeubles finis sont en mauvais état, rien ne semble avoir bougé depuis le départ des français. Seules quelques infrastructures comme le tramway, la mosquée, et d’autres bâtiments en plein cœur du centre-ville sont en bon état.
Constantine traditionnelle
Constantine est une ville traditionnelle. Un regard jeté sur moi à travers la fenêtre de la voiture, alors que j’étais en simple débardeur, m’a rappelé à l’ordre : en tant que femme, il faut couvrir les épaules et le décolleté. Donc mesdames, le T-shirt est de rigueur, sinon le foulard posé sur vos épaules fera l’affaire.
Toutefois, la religion n’est pas intrusive. Bien que quasiment toutes les femmes portent les robes traditionnelles et un foulard sur leurs cheveux, jamais je ne me suis sentie mal en ne couvrant pas les miens. Exception faite à la mosquée où, comme dans de nombreux autres lieux religieux dans le monde, il faut enlever nos chaussures et se couvrir la tête si on est une femme.
En revanche, quand nous avons passé la journée en bord de mer près d’Alger, je n’ai pas couvert mes épaules et personne ne m’a rien dit. J’imagine que plus on est proche de la capitale, moins les traditions sont fortes.
Le tourisme à Constantine
L’Algérie n’est pas un pays touristique. Alger semble malgré tout plus cosmopolite et plus ouvert mais quand même, on a croisé très peu d’européens. A Constantine, Arnaud ressentait les regards curieux qu’on lui jetait, a priori, je devais mieux me fondre dans le paysage 
Etant donné qu’il n’y a pas de tourisme, si on veut acheter quelque chose il est inutile de marchander et, comme vous pouvez vous en douter, il y a finalement peu de choses à faire et à voir. La ville est originale et intéressante, néanmoins, seulement quelques jours vous suffiront pour en faire le tour.
Autour de Constantine, il n’y a rien, c’est la campagne à perte de vue. Toutefois, s’il y a bien quelque chose qui doit valoir le coup d’œil ce sont les vestiges de la civilisations romaines que l’on peut trouver aux alentours!
Les romains se sont implantés dans le nord de l’Algérie et y ont érigé des cités entières. Nous devions aller à Timgad, l’un des sites les mieux préservés et les plus grands du pays mais malheureusement le sort en a décidé autrement (voir notre article précédent). Il y aussi le site de Tipaza, près d’Alger qui a l’air de valoir le détour mais là encore, faute de temps, nous n’avons pas pu nous y rendre.
Dommage, c’est légèrement frustrés, je dois l’avouer, que nous rentrerons en France sans avoir vu ces vieilles pierres. Les photos de ruines de cet article (merci Google Images) sont les cités en questions. Vous voyez ce qu’on a loupé?
Bref, tout ça pour dire que si un jour vous vous rendez en Algérie, il faut que vous alliez voir ces vestiges si la sécurité l’autorise.
La sécurité. Voici un point important que je souhaite aborder.
La sécurité en Algérie
Soyons francs, à aucun moment en nous baladant nous ne nous sommes sentis en danger ou quoi que ce soit. Jamais nous n’avons eu peur, jamais nous ne nous sommes inquiétés pour notre sécurité. En tant qu’expatrié, mon père doit suivre les recommandations de l’ambassade à la lettre : interdiction de sortir de la wilaya (préfecture) de Constantine autrement que par avion, toute balade dans la ville et la wilaya doit se faire en voiture et sinon, les seules villes accessibles sont Alger, Oran et Bejaïa en Kabylie.
Du coup, nous devions respecter nous aussi ces conditions. Nous rendre à Timgad, à 50km de Constantine, n’aurait donc pas été possible sans une escorte policière et un chauffeur. Seulement, à cause des attentats, l’escorte n’était plus en mesure de nous accompagner, nous n’avons donc pas pu nous y rendre.
Cette situation est particulière et ne sera certainement pas la réalité à laquelle vous serez confronté si vous décidez de venir dans le pays en tant que touriste « normal ». Je vous recommanderais cependant d’avoir un contact sur place pour venir car mis à part les grandes chaines hôtelières telles que Novotel ou Marriot, la ville ne possède pas vraiment de lieux adaptés à un séjour touristique. Alger semble y être plus propice. Sachez quand même qu’aujourd’hui, l’ambassade ne recommande pas de venir dans le pays sans avoir de raisons particulières.
Nous avons apprécié passer cette semaine dans cette ville et ce pays que nous ne connaissions pas. Ce fut dépaysant et en même temps nous nous sentions bien et regrettons simplement de ne pas avoir pu découvrir Alger comme nous avons pu visiter Constantine. J’aurais aussi aimé voir les sites romains. Malgré ça, ça fait du bien de se rendre dans ce pays et d’en voir la réalité. Ça aide aussi à comprendre certaines choses qui se passent en France, et ça, c’est bien!
Le Petit Coin Pratique
Pour vous rendre en Algérie il vous faudra obligatoirement un visa. Cliquez pour savoir comment l’obtenir.
Il y a des vols au départ de Paris et de Marseille directs pour Alger et pour Constantine. Le vol Marseille – Constantine dure 1h30 et vous coûtera aux alentours de 150€.
En Algérie on paye en Dinars. 1 € = environ 100 dinars
Certains comportements sont à éviter dans le pays :
En couple on ne se tient pas la main dans la rue.
- On ne s’embrasse pas non plus (c’est d’ailleurs puni par la loi)
- On ne peut pas prendre les administrations et leurs personnels (mairie, commissariat, agents, …) en photo.
- On évite de prendre les gens en photo
Et si jamais vous avez loupé …
- Notre première visite dans Constantine
- Notre visite authentique de la ville, accompagnée par Nadir
- La galerie photo complète
- La vidéo des belles gorges de Rhumel
… vous pouvez vous rattraper !
http://onpartquand.fr/constantine-la-ville-aux-7-ponts-premiere-decouverte/
Constantine, la ville aux 7 ponts : première découverte
En cette fin de mois de juillet, nous nous sommes octroyés une semaine de repos. L’occasion pour moi de reposer mon esprit avant de reprendre, en Août, le travail sur mon mémoire et l’occasion pour Arnaud de simplement inaugurer le début de ses vacances.
Mon père est, depuis quelques années maintenant, expatrié à l’étranger. Après un passage en Inde, c’est en Algérie que le travail l’a mené. L’occasion pour nous de lui rendre visite et de découvrir une (petite) partie de ce pays que nous ne connaissons pas.
« Bienvenue à Constantine, la température extérieure est de 35°, toute la compagnie Air Algérie vous souhaite un agréable séjour »
Ce 23 juillet, à 19h, après un atterrissage sportif, nous sortons de l’avion qui nous à emmené de Marseille à Constantine, notre ville d’attache pour la semaine à venir. Déjà, dans le bus qui nous conduit à l’aéroport, en longeant les pistes, on voit une cigogne, derrière elle, les montagnes aux tonalités vertes et jaunes se dressent. Pas de doute, nous sommes ailleurs. Dans la voiture pour rejoindre le centre-ville et aller dîner, nous voyons la ville, perchée, face à nous. Ça à l’air grand. Depuis la terrasse du restaurant, nous aurons une vue imprenable sur les montagnes, la ville en contrebas et le soleil couchant. L’entrée en matière est plutôt agréable.
Le vendredi et le samedi sont les deux jours de week-end en Algérie et le vendredi est consacré à la prière. Comprenez que rien n’est ouvert. Nous profiterons donc de ces deux jours pour nous reposer, nous retrouver et discuter de…voyages !
Constantine : sept ponts, un tramway, un palais.
Dimanche est notre premier « vrai » jour de découverte. Accompagnés de Lina, la femme d’un collègue expat’, nous sillonnons la ville à la découverte de ses différents points d’intérêts. Notre premier arrêt se fera non loin de la maison, à vrai dire seulement à quelques mètres de là : à la pharmacie ! En effet, Arnaud et moi, avons fait l’erreur de manger, comme mon père le fait si naturellement, le raisin nettoyé à l’eau du robinet… erreur de débutant, nous tombons très vite malade. Pas accablés pour autant, nos médicaments avalés, nous filons vers le tramway pour rejoindre le centre-ville.
Constantine est dotée d’un tramway depuis deux ans maintenant. Il est beau, il est propre, il ressemble de près au tramway parisien : et pour cause, il est français ! Je dois avouer que d’ailleurs, cette infrastructure urbaine dénote un peu du reste de la ville : à l’instar du viaduc transrhumel (dont je parlerais un peu plus tard) le tramway a l’apanage de la modernité, contrairement au reste de la ville!
Une fois dans le centre, nous sillonnons les rues et nous arrêtons au Palais d’Ahmed Bey. Ahmed Bey, le « dernier Bey de Constantine », fit construire ce palais en 1826. La construction fut terminée peu de temps avant l’arrivée de Napoléon III à Constantine, puisqu’elle est inaugurée par l’empereur en 1835. Le Bey est alors déchu de ses droits et de son autorité, dès lors, les français seront les régents de la province algérienne. Le palais est grand (plus de 5000 m2) malheureusement, nous n’en verrons que la moitié. Cette année, Constantine a été élue Capitale de la Culture Arabe, de nombreux travaux de rénovation sont donc entrepris aux quatre coins de la ville et une grande partie du palais (en fait tout l’étage) est inaccessible. Nous avons donc fait une visite « éclair » du palais, accompagnés d’une guide un peu trop nonchalante à mon goût. En gros, la visite s’est résumée à un tour du « jardin des palmiers », un tour du « jardin des orangers » et un passage devant le patio du harem.
Forcément, l’architecture du palais nous a rappelé la magnifique Alhambra de Grenade et le Real Alcazar de Séville cependant, le bâtiment est bien moins entretenu. Tout y est d’origine, mais, après ces nombreuses années, les peintures sont usées, les mosaïques cassées… dommage. La visite aurait pu être plus intéressante si nous avions pu visiter l’ensemble du palais et si les informations historiques avaient été plus fournies… pour être honnête, nous avons été un peu déçus.
Constantine : Les gorges de Rhumel, l’Oued et son monument aux morts
Après la visite, petite pause au café avant de reprendre la marche. Nous traversons le souk, dans l’ancien quartier juif. Tant de monde et de couleurs ! Je suis faible et nauséeuse, du coup je me sentais vite mal au milieu de cette cohue mais en y repensant, c’était tellement dépaysant ! Les gens s’arrêtent, se bousculent, se parlent au milieu de la rue étroite, des vendeurs ambulants présentent leurs tissus et leurs objets au milieu des gens qui s’attroupent à ses côtés. Les ruelles grimpantes sont denses et s’entremêlent, on n’en voit pas le bout. J’aimerais sortir mon appareil photo et capter l’ambiance qui se dégage de ce quartier, saisir l’instant et les couleurs de tous les voiles, foulards et robes que portent les femmes.
Malheureusement, je n’ose pas, donc je vous laisse imaginer ce que ça donnait.
Finalement, nous quittons la fourmilière, retrouvons des rues plus grandes, plus aérées et atteignons le pont Sidi M’Cid, celui qui nous permet de rejoindre le monument aux morts, perché en haut de la falaise. Sur le pont, nous profitons de la vue superbe sur les gorges et l’Oued qui passe au milieu.
Il est presque midi quand nous commençons la montée vers le monument aux morts. Il fait très chaud, le soleil cogne et nous n’avons pas de chapeau… deuxième erreur de débutant ! On arrive en haut essoufflés, contents de sentir le courant d’air et de trouver un peu d’ombre. A ce moment-là, je pense aux futurs treks qui nous attendent aux quatre coins du monde… on a vraiment besoin d’entraînement !
Le monument aux morts, ressemble aux édifices français tels que l’arc de triomphe. Les plaques à l’intérieur sont en partie cassées mais nous comprenons qu’elles rendent hommage aux morts français et algériens de la Grande Guerre. Depuis les marches du monument, on jouit encore une fois d’une vue panoramique sur la campagne algérienne.
Pause à la Grande Mosquée
Nous redescendons, retraversons le souk, reprenons le tramway et nous rendons à la Grande Mosquée Emir Abdelkader devant laquelle nous sommes passés plusieurs fois et qui est incontournable dans le paysage urbain. Nous resterons plus d’une heure dans la mosquée. Nous y sommes au frais, au calme. L’endroit nous apparaît comme un lieu de vie, dans lequel les gens viennent bien sûr pour prier, mais aussi pour se reposer, dormir, se balader avec leurs enfants. Nous y étions hors des heures de prières, nous nous sommes assis près d’un des nombreux poteaux de marbre qui traverse la grande salle pour discuter et nous reposer nous aussi. On a même fait des petites siestes entre deux discussions. Toutes les personnes qui passaient près de nous nous saluaient et nous souhaitaient la bienvenue à Constantine. Nous nous sentions bien.
Vers 15h30, nous sommes allés faire un tour sur l’immense terrasse (dommage, le jardin était tout sec et en travaux), et nous avons rejoint tranquillement la maison pour passer le reste de l’après-midi au frais.
Malgré le rythme soutenu de cette matinée, qui ne nous aura pas vraiment laissé la possibilité de « sentir » les lieux, nous avons apprécié découvrir la ville pour la première fois mais attendons avec impatience de pouvoir y retourner en prenant un peu plus notre temps, en allant un peu plus à notre rythme.
Dans le prochain article on vous parle de notre deuxième visite, plus authentique. En attendant, allez jeter un coup d’œil à la galerie photo! C’est par ici que ça se passe ==> Photo de voyage – Constantine
Restez connectés !
A très vite !
http://vsiaconstantine.canalblog.com/albums/constantine/photos/81293421-img_2553__copier_.html
ISRAËL : INFORMEZ-VOUS SUR LES FÊTES ET LES MANIFESTATIONS DU PAYS
Fêtes et manifestations
Fêtes juives (elles suivent le calendrier lunaire).
Rosh Hashana (Nouvel An).
Jour anniversaire de la Création du monde et jour du Jugement. Les hommes font leur examen de conscience. Rosh Hashana est suivi de dix jours de ''Repentir'' (Téchouva, le retour à Dieu).
Yom Kippour (le "Grand Pardon").
Après le repentir, vient le pardon : Yom Kippour conclut le Téchouva par un jeûne de 24 heures, consacrées à la prière et à l'absolution.
Soukkoth (la fête des tentes).
A l'occasion de la fête des récoltes, les juifs commémorent les temps de l'Exode où le peuple d'Israël, durant sa fuite d'Egypte, campait dans le désert sous des tentes précaires.
Simhat Torah (la "joie de la Torah").
A la fin de la semaine de Soukkoth, le jour de Simhat Torah marque la fin du cycle annuel de lecture de la Torah.
Hanoukkah (la fête des lumières). Célébration de la "lumière spirituelle", symbole du triomphe de la sainteté sur la force brutale.
Pourim (la fête des sorts).
Grand carnaval qui commémore la victoire d'Esther et de Mardochée, sur le roi de Perse.
Pessah, la Pâque juive.
Cette fête de sept jours rappelle la sortie d'Egypte. Le pain levé est banni, remplacé par le matzot, du pain azyme sans levain, souvenir de la manne, que Dieu offra à son peuple dans le désert.
Chavouoth (la Pentecôte).
Sept semaines après la Pessah, cette fête commémore l'épisode où Moïse reçut les Tables de la Loi sur le mont Sinaï.
Commémorations :Yom Ha Shoah (début mai).
Commémoration de la Shoah. Deux minutes de silence, à la mémoire des six millions de Juifs exterminés par les nazis.
Yom Ha Atzmaout (mi-mai).
Célébration de la naissance de l'Etat d'Israël (le 14 mai 1948).
Fêtes musulmanes (elles suivent le calendrier lunaire de l'Hégire)
Ras es-Sana (avril).
Le Nouvel An hégirien.
Mouloud (juillet).
Commémoration de la naissance de Mahomet.
Lailatul Miraj (novembre).
Rappelle l'ascension du Prohète vers le Paradis.
Le ramadan.
Un mois de jeûne entre le lever et le coucher du soleil.
Aït el-Fitr.
Fête la fin du ramadan.
Aït el-Kébir.
Chaque famille musulmane égorge un mouton, en souvenir du sacrifice d'Abraham.
Fêtes chrétiennes
Noël.
Les catholiques célèbrent Noël le 25 décembre, les orthodoxes le 7 janvier et les Arméniens le 19 janvier.
Pâques (mars-avril).
La Semaine sainte, qui se termine par le dimanche de Pâques, est programmée en fonction de la Pâque juive. Ainsi pour les catholiques, la fête a lieu, trois semaines avant Pessah. Pour les orthodoxes et les Arméniens, elle a lieu deux semaines avant.
Le Vendredi saint catholique, procession sur le chemin de croix de la Via Dolorosa, à Jérusalem.
Ascension.
Quarante jours après Pâques, les franciscains prient sur le mont des Oliviers à Jérusalem.
Pentecôte.
Cinquante jours après Pâques, les catholiques célèbrent la messe en l'église de la Dormition à Jérusalem.
Rosh Hashana (Nouvel An).
Jour anniversaire de la Création du monde et jour du Jugement. Les hommes font leur examen de conscience. Rosh Hashana est suivi de dix jours de ''Repentir'' (Téchouva, le retour à Dieu).
Yom Kippour (le "Grand Pardon").
Après le repentir, vient le pardon : Yom Kippour conclut le Téchouva par un jeûne de 24 heures, consacrées à la prière et à l'absolution.
Soukkoth (la fête des tentes).
A l'occasion de la fête des récoltes, les juifs commémorent les temps de l'Exode où le peuple d'Israël, durant sa fuite d'Egypte, campait dans le désert sous des tentes précaires.
Simhat Torah (la "joie de la Torah").
A la fin de la semaine de Soukkoth, le jour de Simhat Torah marque la fin du cycle annuel de lecture de la Torah.
Hanoukkah (la fête des lumières). Célébration de la "lumière spirituelle", symbole du triomphe de la sainteté sur la force brutale.
Pourim (la fête des sorts).
Grand carnaval qui commémore la victoire d'Esther et de Mardochée, sur le roi de Perse.
Pessah, la Pâque juive.
Cette fête de sept jours rappelle la sortie d'Egypte. Le pain levé est banni, remplacé par le matzot, du pain azyme sans levain, souvenir de la manne, que Dieu offra à son peuple dans le désert.
Chavouoth (la Pentecôte).
Sept semaines après la Pessah, cette fête commémore l'épisode où Moïse reçut les Tables de la Loi sur le mont Sinaï.
Commémorations :Yom Ha Shoah (début mai).
Commémoration de la Shoah. Deux minutes de silence, à la mémoire des six millions de Juifs exterminés par les nazis.
Yom Ha Atzmaout (mi-mai).
Célébration de la naissance de l'Etat d'Israël (le 14 mai 1948).
Fêtes musulmanes (elles suivent le calendrier lunaire de l'Hégire)
Ras es-Sana (avril).
Le Nouvel An hégirien.
Mouloud (juillet).
Commémoration de la naissance de Mahomet.
Lailatul Miraj (novembre).
Rappelle l'ascension du Prohète vers le Paradis.
Le ramadan.
Un mois de jeûne entre le lever et le coucher du soleil.
Aït el-Fitr.
Fête la fin du ramadan.
Aït el-Kébir.
Chaque famille musulmane égorge un mouton, en souvenir du sacrifice d'Abraham.
Fêtes chrétiennes
Noël.
Les catholiques célèbrent Noël le 25 décembre, les orthodoxes le 7 janvier et les Arméniens le 19 janvier.
Pâques (mars-avril).
La Semaine sainte, qui se termine par le dimanche de Pâques, est programmée en fonction de la Pâque juive. Ainsi pour les catholiques, la fête a lieu, trois semaines avant Pessah. Pour les orthodoxes et les Arméniens, elle a lieu deux semaines avant.
Le Vendredi saint catholique, procession sur le chemin de croix de la Via Dolorosa, à Jérusalem.
Ascension.
Quarante jours après Pâques, les franciscains prient sur le mont des Oliviers à Jérusalem.
Pentecôte.
Cinquante jours après Pâques, les catholiques célèbrent la messe en l'église de la Dormition à Jérusalem.
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