Cheikh Raymond : tragique et magique
Le 22 juin 1961, un homme est assassiné d’une balle dans la nuque alors qu’il traverse le souk El Acer, en plein coeur de Constantine. Le meurtrier se fond aussitôt dans la foule et disparaît. Personne ne sait qui il est. Personne ne connaît ses motivations. Alors qu’une voiture transporte la victime agonisante vers l’hôpital, les passants, dont l’historien Benjamin Stora alors âgé de 11 ans, entendent un même cri : “Ils ont tué Raymond ! Ils ont tué Raymond !” Raymond Leyris meurt dans une rue de cette ville d’Algérie où il est né quarante-neuf ans plus tôt.
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الاخبار العاجلة لاكتشاف سكان قسنطينة المحل التجاري لليهودي ريمون في مدخل سوق العاصر متخصص في بيع القماش ويدكر ان محل القماش لصاحبة ريمون كان يبيع القماش ويتحول الى ملتقي لاهل المالوف في قسنطينة ومنغريب الصدف ان محل ريمون بسوق العاصر حفظ على طابعه الخشبي كما ان زوار سوق العاصر يكتشفون ان محل ريمون من ابرز محلات تجار القماش بسوق العاصر ولكن شاءت الصدف ان يغلق الفنان ريمون محلهفي حدود منتصف النهار ليغادر المحل رفقة ابنته وماكاد يصل الى المعبد اليهودي حتي اغتيل بسكين من طرف مجنون يدعي عمار لشقر فها كان عمار عامل بسيط في محل ريمون ام ان تجار سوق العاصر انتقموا ثقافيا من الفنان ريمون وفي انتظار كشف حقائق متجر ريمون للقماش وموسيقي المالوف بسوق العاصر يبقي الشارع اليهودي بقسنطينة من الغاز قسنطينة التاريخية والاسباب مجهولة
صور من متجر ريمون لبيع القماش بسوق العاصر تصوير نورالدين بوكعباش
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الاخبارالعاجلة لاكتشاف سكان قسنطينة ضريح صالح باي بين فوضي سوق العاصر والاسباب مجهولة
صور من مدخل مقبرة صالح باي بسوق العاصر قسنطينة
Souk El Acer
Le plus vieux marché de la ville et le
plus bouillonnant de consommation et d’animation est adossé à la
mosquée El Kettani. Souk El Acer reste l’exemple de la deuxième figure
architecturale et paradigmatique de la cité (médiévale, arabo-berbère-
ottomane).
http://babksantina.com/quartiers-arabes-.html
https://www.judaicalgeria.com/pages/constantine.html

https://www.judaicalgeria.com/pages/constantine.html
http://www.lesinrocks.com/musique/critique-album/cheikh-raymond-tragique-et-magique/
Cheikh Raymond : tragique et magique
A travers
une bio et un coffret, retour sur la vie tragique et l’oeuvre magique
du musicien algérien Cheikh Raymond, assassiné en 1961.
Le 22 juin 1961, un homme est assassiné d’une balle dans la
nuque alors qu’il traverse le souk El Acer, en plein coeur de
Constantine. Le meurtrier se fond aussitôt dans la foule et disparaît.
Personne ne sait qui il est. Personne ne connaît ses motivations. Alors
qu’une voiture transporte la victime agonisante vers l’hôpital, les
passants, dont l’historien Benjamin Stora alors âgé de 11 ans, entendent
un même cri : “Ils ont tué Raymond ! Ils ont tué Raymond !” Raymond Leyris meurt dans une rue de cette ville d’Algérie où il est né quarante-neuf ans plus tôt.
A quelques mois de la signature des accords d’Evian qui mettront un terme à la guerre d’indépendance, ce crime signe dans le sang la fin d’une époque. Dans les semaines qui suivent, le gros de la communauté juive constantinoise précipite son départ, l’acte ayant pour beaucoup valeur d’avertissement. Parmi eux figure un jeune guitariste, membre de l’orchestre que dirigeait Leyris, Gaston Ghrenassia, bientôt connu en métropole sous le nom d’Enrico Macias. En 2004, Macias consacrait un album hommage à ce maître dont il avait épousé la fille et qu’il appelait affectueusement “Tonton Raymond”.
Cheikh Raymond fut le grand artisan du renouveau de la musique araboandalouse constantinoise, le maalouf. Aujourd’hui, une anthologie en 3 CD réunit ses enregistrements réalisés entre 1937 et 1961, comblant un vide d’un demi-siècle qu’aucune réédition n’avait, même en partie, colmaté. Ainsi, la voix au timbre un peu nasal et aux mélismes aériens de Cheikh Raymond peut-elle à nouveau se faire entendre. Ainsi, ses pièces musicales ciselées avec la précision de l’orfèvre, délivrées avec la ferveur du musicien entièrement dévoué à son art, dispensent-elles à nouveau leurs arômes.
Les amateurs de son “vintage” seront servis. La plupart des prises ont été réalisées à l’aide d’un seul micro, installé dans le salon d’un appartement où vivait Sylvain Ghrenassia, inséparable violoniste du Cheikh et père de Gaston/Enrico. Parfois on perçoit au loin le cri d’un enfant ou le moteur d’un véhicule qui passe. On imagine le thé fumant dans des verres décorés d’arabesques, tandis que les musiciens accordent leurs instruments – oud, flûte, derbouka, violon, tambourin – dans une ambiance recueillie.
Cette vérité sonore tend à augmenter le charme d’un style musical que Leyris a patiemment façonné entre répétitions, fêtes familiales et concerts radiodiffusés, entre intimité et partage, pour lui conférer cette fluidité un peu surnaturelle. Car, aussi “roots” soientelles, ces plages ne relèvent pas du document sonore pour spéléologue des musiques du monde, mais bien d’un accomplissement autant professionnel que spirituel.
Les amateurs d’histoire seront également servis puisque la sortie de cette réédition s’accompagne de celle d’une passionnante biographie qui restitue la vie du musicien dans le contexte douloureux de la fin de la colonisation française. Bertrand Dicale, son auteur, y isole un à un tous les ingrédients qui composent ce cocktail explosif menant à l’assassinat de Cheikh Raymond. A la lecture de ce récit, on en mesure toute l’absurdité, on en ressent tout le scandale. Jamais expliqué, jamais revendiqué, le meurtre d’un homme peu connu pour ses prises de position politiques et qui, aimé du peuple, vivait en harmonie avec toutes les communautés suffit à prouver qu’un point de non-retour avait été atteint. Sans doute le plus cruel et le plus définitif des hommages jamais rendu à un musicien.
A quelques mois de la signature des accords d’Evian qui mettront un terme à la guerre d’indépendance, ce crime signe dans le sang la fin d’une époque. Dans les semaines qui suivent, le gros de la communauté juive constantinoise précipite son départ, l’acte ayant pour beaucoup valeur d’avertissement. Parmi eux figure un jeune guitariste, membre de l’orchestre que dirigeait Leyris, Gaston Ghrenassia, bientôt connu en métropole sous le nom d’Enrico Macias. En 2004, Macias consacrait un album hommage à ce maître dont il avait épousé la fille et qu’il appelait affectueusement “Tonton Raymond”.
Cheikh Raymond fut le grand artisan du renouveau de la musique araboandalouse constantinoise, le maalouf. Aujourd’hui, une anthologie en 3 CD réunit ses enregistrements réalisés entre 1937 et 1961, comblant un vide d’un demi-siècle qu’aucune réédition n’avait, même en partie, colmaté. Ainsi, la voix au timbre un peu nasal et aux mélismes aériens de Cheikh Raymond peut-elle à nouveau se faire entendre. Ainsi, ses pièces musicales ciselées avec la précision de l’orfèvre, délivrées avec la ferveur du musicien entièrement dévoué à son art, dispensent-elles à nouveau leurs arômes.
Les amateurs de son “vintage” seront servis. La plupart des prises ont été réalisées à l’aide d’un seul micro, installé dans le salon d’un appartement où vivait Sylvain Ghrenassia, inséparable violoniste du Cheikh et père de Gaston/Enrico. Parfois on perçoit au loin le cri d’un enfant ou le moteur d’un véhicule qui passe. On imagine le thé fumant dans des verres décorés d’arabesques, tandis que les musiciens accordent leurs instruments – oud, flûte, derbouka, violon, tambourin – dans une ambiance recueillie.
Cette vérité sonore tend à augmenter le charme d’un style musical que Leyris a patiemment façonné entre répétitions, fêtes familiales et concerts radiodiffusés, entre intimité et partage, pour lui conférer cette fluidité un peu surnaturelle. Car, aussi “roots” soientelles, ces plages ne relèvent pas du document sonore pour spéléologue des musiques du monde, mais bien d’un accomplissement autant professionnel que spirituel.
Les amateurs d’histoire seront également servis puisque la sortie de cette réédition s’accompagne de celle d’une passionnante biographie qui restitue la vie du musicien dans le contexte douloureux de la fin de la colonisation française. Bertrand Dicale, son auteur, y isole un à un tous les ingrédients qui composent ce cocktail explosif menant à l’assassinat de Cheikh Raymond. A la lecture de ce récit, on en mesure toute l’absurdité, on en ressent tout le scandale. Jamais expliqué, jamais revendiqué, le meurtre d’un homme peu connu pour ses prises de position politiques et qui, aimé du peuple, vivait en harmonie avec toutes les communautés suffit à prouver qu’un point de non-retour avait été atteint. Sans doute le plus cruel et le plus définitif des hommages jamais rendu à un musicien.
par F.Dordor
http://abidjan.net/qui/profil.asp?id=663
Nom: | Cheikh Raymond |
Occupation: | Artist Chanteur |
Biographie
Le 22 juin 1961, alors qu`il se rend au Palais de
Justice de Constantine (Algérie), Cheikh Raymond est assassiné. Plus
qu`un musicien virtuose, il était un symbole : celui de la tolérance, de
la réunion des communautés (juive, pied-noir et musulmane). 1961 : l`Algérie est en flammes. Face au référendum sur l`autodétermination lancé le 8 janvier, l`OAS (Organisation de l`Armée Secrète, des forces hostiles à l`Indépendance) est fondée clandestinement en Espagne ; quelques mois plus tard (le 22 mars), le putsch des généraux éclate à Alger mais le mois suivant commencent les négociations de paix à Evian. C`est dans ce contexte de guerre et de sang que Cheikh Raymond est assassiné le 22 juin, dans les rues de Constantine. En abattant le grand maître constantinois du mallouf, le coup de feu détruit aussi un symbole de tolérance, un homme qui, par son art, prouvait que les communautés juive, pied-noir et arabe pouvaient coexister dans une culture commune.De part ses origines, Raymond Leyris (dit "Cheikh Raymond") était un emblème de cette Algérie où se côtoyaient Islam, Judaïsme et Christianisme, sans véritablement fraterniser mais dans des rapports de bon voisinage. Il était le fils d`une Française et d`un jeune homme juif de Batna, tué lors d`une offensive sur le front de la Somme pendant la Première Guerre mondiale. Fruit d`une transgression culturelle, le bébé (né le 27 juillet 1912) est adopté par une famille juive de Constantine et grandit dans cette ville où se développait une musique aux confins de la musique savante et de la musique populaire, où se mêlaient mystique et poésie. Très vite, Raymond Leyris devient un maître du oud (luth arabe) et un chanteur aux multiples nuances. Ses capacités vocales exceptionnelles et sa virtuosité instrumentale lui attirent de son vivant la reconnaissance de ses contemporains qui lui décernent le titre de Cheikh et font que, aujourd`hui encore, il est considéré comme un grand maître. On raconte que lorsqu`il chantait à la télévision ou à la radio, les rues de la ville juive et arabe se vidaient. Paradoxalement à cette unanimité artistique, Cheikh Raymond est confronté à la déchirure entre communautés. Depuis les émeutes de Sétif en 1945 et la Toussaint Sanglante de 1954, les juifs se sentent de plus en plus menacés. Et l`assassinat du musicien marquera l`apogée de cette terreur, engendrant l`exode massif de ses coreligionnaires hors d`Algérie et même du Maroc (puisque qu`Hassan II avait alors déclaré qu`il n`était désormais plus en mesure d`assurer la sécurité de la communauté juive marocaine). Dans ce ciel bleu méditerranéen qui se couvrait de plus en plus de nuages, cet assassinat a déchiré l`orage, marquant un tournant décisif dans le processus de guerre. Et rien n`a changé puisque, aujourd`hui encore, lorsque son gendre et disciple Enrico Macias délaisse la variété pour revenir au mallouf de ses origines, des menaces émanent d`Algérie. Ce pays où il a fait bon vivre un jour, où résonnaient des musiques poétiques, tendres, mystiques et joyeuses. Mais c`était avant la guerre… Ou les guerres, on ne sait plus trop....
https://www.judaicalgeria.com/pages/constantine.html
CONSTANTINE
" La seule chose importante que j'ai vu jusqu'à présent, c'est Constantine...
Il y a un ravin démesuré qui entoure la ville.
C'est une chose formidable et qui donne le vertige. "
Gustave Flaubert, Voyage en Orient
Constantine - Vue d'avion sur le ravin et la ville
Etroit couloir de métal de 168 mètres de long, il vibrait sous l'effet du vent. Certains aviateurs casse-cou avaient tenté à plusieurs reprises de franchir son tablier ."
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/constantine-le-pont-de-sidi-m-cid-et-le-lycee-m-cid.jpg?fx=r_800_501
Constantine - Le pont de Sidi M'Cid et le lycée
C'était le lieu de promenade favori de tous les habitants, même si, l'été, le soleil se réfléchissant sur le carrelage blanc, il y faisait une chaleur accablante. "
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/constantine-la-poste-le-theatre.jpg?fx=r_800_494
Constantine - La poste et le théâtre sur la gauche


Construit entre 1863 et 1883, il fut inauguré le 6 octobre 1883
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/constantine-la-rampe-de-l-hotel-de-ville.jpg?fx=r_800_502
Constantine - Place de la Brêche 1909


Le soir, après diner, on faisait Caraman. Traduisez : on venait s'y promener entre copains bras dessus, bras dessous. "
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/constantine-rue-brunache-et-caraman.jpg?fx=r_800_499
" La Mairie de Constantine, grosse bâtisse rococco, à laquelle on accédait par un escalier monumental, était située boulevard Joly de Brésillon, corniche qui dominait la vallée et regardait à gauche le djebel Chattaba.
Le long de cette promenade, que prolongeait le boulevard bien nommé de l'Abime, se situaient plusieurs écoles de jeunes filles : l'école des Soeurs, l'école Jeanne d'Arc et plus loin vers le Koudiat, le lycée Lavéran.
Lavéran ? Ce médecin militaire, avait, en 1907, reçu le Nobel pour avoir découvert, quelques années plus tôt à Constantine, l'agent du Paludisme. "
image: https://www.judaicalgeria.com/medias/images/constantine-hotel-de-ville-1.jpg

Constantine - L'Hôtel de Ville
Ce ne fut terminé et bâti que vers 1930. On y éleva l'église du Sacré-Coeur, on y intalla les lycées, le musée Gustave Mercier et le lycée de jeunes filles. "
D'après Elisabeth Fechner ( Le pays d'où je viens, Calmann Levy - 1999 )
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/constantine-place-de-la-pyramide.jpg

Constantine - Le Pont El Kantara

Constantine - Le Pont Sidi Rached
Selon les différents documents d’archives françaises, le pont de
Sidi-Rached qui surplombe la zaouïa du saint patron de Constantine et sa
mosquée verte, a été réalisé entre 1907 et 1912 par l’ingénieur Paul
Séjourné. Dans un autre document, un autre ingénieur a secondé Séjourné
dans sa tâche. Il s’appellerait Aubin Eyraut et aurait suivi la
réalisation du pont avant d’intégrer l’université d’Oxford comme
professeur. Un troisième document donne la paternité du projet à Georges
Boisnier, un spécialiste des grands ponts.Cet ouvrage d’art sur lequel toutes les légendes possibles ont été tressées, aura coûté trois millions de francs français de l’époque (selon une comparaison des plus sommaires 60 millions d’euros actuels).
D’une hauteur de 107 m sur l’endroit le plus culminant, le pont de Sidi-Rached compte 27 arches et mesure en totalité 447 m. L’arche centrale est longue de 70 m et sépare treize autres d’une ouverture de 8 m et une dernière de 30 m.
Frère jumeau du pont Adolphe au Luxembourg, le pont de Sidi-Rached a été inauguré le 19 avril 1912, il serait durant cette période le plus haut ouvrage d’art du monde.
Le quartier juif de Constantine
Le plan de Constantine
Constantine...la petite Jérusalem...
"...Que savons-nous de son histoire ? Peu de choses, en vérité. Sous la férule ottomane, on peut imaginer la misérable vie, mais secrètement orgueilleuse, d'une communauté dhimmie de quelques milliers de personnes, trouvant le réconfort dans sa foi inentamée..." d'après Jean-Luc Allouche (Les juifs de d'Algérie)
"... Le souverain qui règne à la fin du XVIIIe siècle décide de faire raser le quartier de Sidi El-Kettani et ses pauvres masures branlantes, principalement occupées par des juifs. Il y fait construire une mosquée et une medersa, ainsi qu'une demeure particulière.
Les juifs doivent se reloger dans un quartier qui leur est désormais réservé, autour d'un ravin encombré de ruines, de petites friches à chèvres et d'habitations instables, en contrebas de la casbah.
Dans l'axe du ravin, les juifs bâtissent les futures rues Thiers et rue Grand. Ils n'ont pas le droit de vivre ailleurs, ni les musulmans de s'installer là...
...Le quartier juif est censément établi au nord-est de Constantine, mais les populations juive et musulmane s'intriquent dans l'espace étroit du nid d'aigle.
Le confinement des juifs souhaité par Salah Bey, contesté par les faits dès les premières années, ne survit guère à l'arrivée des Français, même si la majeure partie de la communauté vit dans ses contours anciens, dans un triangle dessiné grosso modo par les rues Thiers, Damrémont et Nationale.
Comme tous les quartiers de la ville, l'ancienne chahara - le quartier juif - de Constantine connait de profondes mutations. La grande synagogue de la rue Thiers, le Midrash, est édifiée dans les années 1880...
D'après Bertand Dicale (Cheikh Raymond).
image: http://www.judaicalgeria.com/medias/images/constantine-rue-danremont.jpg?fx=r_850_547
Constantine - La rue Damrémont
Constantine Quartier Juif rue Vieux
Constantine - Rue Vieux les Corps de métiers Arabes
Constantine - une rue du quartier des Juifs
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