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نمودج منزل قائد الرحبة بالسويقة امام جسر سيدي راشد ومدخل باب الجابية سوق الدعارة بقسنطينة

Avant / après.


La maison Gaïd E’Rahba, une maison traditionnelle qui fait partie du patrimoine national, dont le projet de réhabilitation était confié à la Direction de la culture, pour la convertir en galerie d'art au RDC + un café musicale de Maalouf aux étages ; avec galerie d’exposition des instruments traditionnels. Dont l’inauguration allait coïncider avec l’événement de 2015 : « Constantine capitale arabe de la culture ».
Le chantier de réhabilitation a commencé en novembre 2010 avec comme maitre d’œuvre l'architecte Benhamiche Youcef et chef de projet: Mme Samira Haoui (étude lancée en 2008), et l’entreprise Tadjrouna Kacem chargé de l’exécution des travaux. Les travaux évoluaient normalement, jusqu’en octobre 2012, date d’arrêt du chantier par la direction de la culture (expiration du délai des travaux), le temps de préparer les avenants de contrats pour continuer les travaux. Seulement cet intermède durait de plus en plus longtemps, l’entreprise n’ayant pas été payé ne pouvait plus assurer le salaire du gardien de chantier, et la maison est restée abandonnée et délaissée, et par l’entreprise et par le maitre de l’ouvrage, sans que Nous propriétaires nous ne soyons au courant. Durant ce temps la maison est restée accessible, et est devenu un lieu où les activités illicites et interdites se démultipliaient.
Nous avons saisi par écrit le Directeur de la culture, les services de sécurité, ainsi que Le Wali, pour dénoncer les conditions inquiétantes du chantier (voir courriers), mais rien n’a été fait.
Jusqu’au vendredi 22/11/2013, et après 13 mois d’arrêt de chantier, une bande de pilleurs ont accédé à la maison pour la vandaliser de ses matériaux à valeur patrimoniale (d’époque ottomane), qui étaient entreposés (colonne en marbre, Zeleij, portes, heurtoires…), en plus des matériaux de dépose (tuiles, briques) et la couverture provisoire et les étayements qui assuraient sa protection et stabilité. Une plainte a été déposée et l’enquête suit son court. un crime irréversible envers le patrimoine national en générale , et la mémoire familiale de nos ancêtres en particulier.
Aujourd'hui les chapiteaux et colonnes authentiques ont été retrouvé tant bien que mal, grâce à l'aide de quelques habitants, qu'ils trouvent ici l'expression de notre sincère gratitude. Seulement le chantier est toujours à l'abandon, et dans l'indifférence la plus totale des autorités en charge.
Avec l'arrivée du nouveau directeur de la culture de la wilaya de Constantine, nous reprenons l'espoir d'un redressement de situation...(à suivre)
Le chantier de réhabilitation a commencé en novembre 2010 avec comme maitre d’œuvre l'architecte Benhamiche Youcef et chef de projet: Mme Samira Haoui (étude lancée en 2008), et l’entreprise Tadjrouna Kacem chargé de l’exécution des travaux. Les travaux évoluaient normalement, jusqu’en octobre 2012, date d’arrêt du chantier par la direction de la culture (expiration du délai des travaux), le temps de préparer les avenants de contrats pour continuer les travaux. Seulement cet intermède durait de plus en plus longtemps, l’entreprise n’ayant pas été payé ne pouvait plus assurer le salaire du gardien de chantier, et la maison est restée abandonnée et délaissée, et par l’entreprise et par le maitre de l’ouvrage, sans que Nous propriétaires nous ne soyons au courant. Durant ce temps la maison est restée accessible, et est devenu un lieu où les activités illicites et interdites se démultipliaient.
Nous avons saisi par écrit le Directeur de la culture, les services de sécurité, ainsi que Le Wali, pour dénoncer les conditions inquiétantes du chantier (voir courriers), mais rien n’a été fait.
Jusqu’au vendredi 22/11/2013, et après 13 mois d’arrêt de chantier, une bande de pilleurs ont accédé à la maison pour la vandaliser de ses matériaux à valeur patrimoniale (d’époque ottomane), qui étaient entreposés (colonne en marbre, Zeleij, portes, heurtoires…), en plus des matériaux de dépose (tuiles, briques) et la couverture provisoire et les étayements qui assuraient sa protection et stabilité. Une plainte a été déposée et l’enquête suit son court. un crime irréversible envers le patrimoine national en générale , et la mémoire familiale de nos ancêtres en particulier.
Aujourd'hui les chapiteaux et colonnes authentiques ont été retrouvé tant bien que mal, grâce à l'aide de quelques habitants, qu'ils trouvent ici l'expression de notre sincère gratitude. Seulement le chantier est toujours à l'abandon, et dans l'indifférence la plus totale des autorités en charge.
Avec l'arrivée du nouveau directeur de la culture de la wilaya de Constantine, nous reprenons l'espoir d'un redressement de situation...(à suivre)
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La maison Gaïd E’Rahba, une maison traditionnelle qui fait partie du patrimoine national, dont le projet de réhabilitation était confié à la Direction de la culture, pour la convertir en galerie d'art au RDC + un café musicale de Maalouf aux étages ; avec galerie d’exposition des instruments traditionnels. Dont l’inauguration allait coïncider avec l’événement de 2015 : « Constantine capitale arabe de la culture ».
En effet, le chantier de réhabilitation a commencé en novembre 2010 avec comme maitre d’œuvre le BET Benhamiche Youcef et chef de projet: Mme Samira Haoui (étude lancée en 2008), et l’entreprise Tadjrouna Kacem chargé de l’exécution des travaux. Le chantier était complexe comme tous les chantiers de réhabilitation, et les travaux évoluaient tant bien que mal, jusqu’en octobre 2012, date d’arrêt du chantier par la direction de la culture (expiration du délai des travaux), le temps de préparer les avenants de contrats pour continuer les travaux. Seulement cet intermède durait de plus en plus longtemps, l’entreprise n’ayant pas été payé ne pouvait plus assurer le salaire du gardien de chantier, et la maison est restée abandonnée et délaissée, et par l’entreprise et par le maitre de l’ouvrage, sans que Nous propriétaires nous ne soyons au courant. Durant ce temps la maison est restée accessible, et est devenu un lieu où les activités illicites et interdites se démultipliaient.
Au vu de l’état de fait, nous avons essayé de nous présenter à la direction de la culture pour trouver une solution (même provisoire soit-elle), seulement la personne en charge de ce dossier n’était pas disponible pour discuter avec les propriétaires, prétextant que ses interlocuteurs se limitaient à l’entreprise et au maître d’œuvre uniquement. (nous signalons tout de même, qu'en présence de membres de l’association des propriétaires comme témoin, cette architecte a fait preuve de dépassements verbaux injustifiés).
Au vu de la situation qui s’aggravait de plus en plus, et n’ayant plus d’interlocuteurs directs, nous avons saisi par écrit le Directeur de la culture, les services de sécurité, ainsi que l’ex Wali (Monsieur Badaoui), pour dénoncer les conditions inquiétantes du chantier (voir courriers du 13/03/2013), mais rien n’a été fait.
Jusqu’au vendredi 22/11/2013, et après 13 mois d’arrêt de chantier, une bande de pilleurs ont accédé à la maison pour la vandaliser de ses matériaux à valeur patrimoniale (d’époque ottomane), qui étaient entreposés (colonne en marbre, Zeleij, portes, heurtoires…), en plus des matériaux de dépose (tuiles, briques) et la couverture provisoire et les étayements qui assuraient sa protection et stabilité. Une plainte a été déposée et l’enquête suit son court. un crime irréversible envers le patrimoine national en générale , et la mémoire familiale de nos ancêtres en particulier.
Aujourd'hui les chapiteaux et colonnes authentiques ont été retrouvé grâce à l'aide de quelques habitants, qu'ils trouvent ici l'expression de notre sincère gratitude. Seulement le chantier est toujours à l'abandon, et dans l'indifférence la plus totale des autorités en charge.
Avec l'arrivée du nouveau directeur de la culture de la wilaya de Constantine, nous reprenons l'espoir d'un redressement de situation...(à suivre)
En effet, le chantier de réhabilitation a commencé en novembre 2010 avec comme maitre d’œuvre le BET Benhamiche Youcef et chef de projet: Mme Samira Haoui (étude lancée en 2008), et l’entreprise Tadjrouna Kacem chargé de l’exécution des travaux. Le chantier était complexe comme tous les chantiers de réhabilitation, et les travaux évoluaient tant bien que mal, jusqu’en octobre 2012, date d’arrêt du chantier par la direction de la culture (expiration du délai des travaux), le temps de préparer les avenants de contrats pour continuer les travaux. Seulement cet intermède durait de plus en plus longtemps, l’entreprise n’ayant pas été payé ne pouvait plus assurer le salaire du gardien de chantier, et la maison est restée abandonnée et délaissée, et par l’entreprise et par le maitre de l’ouvrage, sans que Nous propriétaires nous ne soyons au courant. Durant ce temps la maison est restée accessible, et est devenu un lieu où les activités illicites et interdites se démultipliaient.
Au vu de l’état de fait, nous avons essayé de nous présenter à la direction de la culture pour trouver une solution (même provisoire soit-elle), seulement la personne en charge de ce dossier n’était pas disponible pour discuter avec les propriétaires, prétextant que ses interlocuteurs se limitaient à l’entreprise et au maître d’œuvre uniquement. (nous signalons tout de même, qu'en présence de membres de l’association des propriétaires comme témoin, cette architecte a fait preuve de dépassements verbaux injustifiés).
Au vu de la situation qui s’aggravait de plus en plus, et n’ayant plus d’interlocuteurs directs, nous avons saisi par écrit le Directeur de la culture, les services de sécurité, ainsi que l’ex Wali (Monsieur Badaoui), pour dénoncer les conditions inquiétantes du chantier (voir courriers du 13/03/2013), mais rien n’a été fait.
Jusqu’au vendredi 22/11/2013, et après 13 mois d’arrêt de chantier, une bande de pilleurs ont accédé à la maison pour la vandaliser de ses matériaux à valeur patrimoniale (d’époque ottomane), qui étaient entreposés (colonne en marbre, Zeleij, portes, heurtoires…), en plus des matériaux de dépose (tuiles, briques) et la couverture provisoire et les étayements qui assuraient sa protection et stabilité. Une plainte a été déposée et l’enquête suit son court. un crime irréversible envers le patrimoine national en générale , et la mémoire familiale de nos ancêtres en particulier.
Aujourd'hui les chapiteaux et colonnes authentiques ont été retrouvé grâce à l'aide de quelques habitants, qu'ils trouvent ici l'expression de notre sincère gratitude. Seulement le chantier est toujours à l'abandon, et dans l'indifférence la plus totale des autorités en charge.
Avec l'arrivée du nouveau directeur de la culture de la wilaya de Constantine, nous reprenons l'espoir d'un redressement de situation...(à suivre)

Photo de Mme Bani Kherouatou - Louadfel devant la porte de Dar Gaid Errahba, au début des années 50




Zahia Ferdjioui Une ville qui perd ses



repaires qui se fige
Elle devient ville fantôme ville des Raouhaniyates!
Dommage pour Constantine
Elle devient ville fantôme ville des Raouhaniyates!
Dommage pour Constantine
Toujours aucune nouvelle concernant la reprise des travaux de restauration.
Photos de Kaddour Kherouatou le 6/9/2016
Photos de Kaddour Kherouatou le 6/9/2016


Les monuments historiques de Constantine a l'instar de Dar Gaid Errahba sont victimes d'un massacre à grande échelle de la mémoire collective, dû essentiellement à l'incompétence des maîtres d'ouvrage à gérer le projet dans toutes ses phases. حسبنا الله و نعم الوكيل
Palestine 1965
Hadj goufla Abderahmane (a g) ET gaide rahba Mohamed Salah kharouato

https://www.facebook.com/pg/gaid.errahba/about/?ref=page_internal
هناك تعليق واحد:
منزل قائد الرحبة بالسويقة حامي بيوت الدعارة برحبة الجمال
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