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Lounis Yaou
à
Houna Qassantina
11 octobre, 13:43 ·
Nous avons le regret d'informer toutes nos amies et tous nos amis zinzins que la rencontre des Zinzins du Café Riche, prévue demain est reportée à une autre date pour des raisons administratives indépendantes de notre volonté. Nous nous excusons auprès de vous. Restons zinzins. A très vite.
https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=1466914730090190&id=1347021222079542
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Quand j’étais enfant, ma ville me faisait peur, elle est construite sur des morceaux de rochers et pour aller d’un endroit à un autre, il faut traverser des ponts, on est obligé. C’est surtout le pont suspendu qui marque une certaine angoisse dans l’esprit des enfants de Constantine, il tient par de gros câbles, des cordes métalliques qui bougent quand on passe, et si on regarde en bas, c’est le ravin. J’ai été très marqué par cette ville qui oblige à affronter sa peur.
Je garde aussi le souvenir des promenades le soir, avec mon père, je portais des sandales et des socquettes blanches, il me tenait la main dans les ruelles du quartier populaire, où il avait son salon de coiffure. Il était barbier et musicien, il y avait toujours une mandoline dans sa boutique. À la maison, quand il jouait du luth ou du violon, il ne voulait pas qu’on le dérange, j’étais souvent derrière les portes à écouter, pour moi, c’était des sons magiques.
Dans ma famille, la musique s’est transmise de génération en génération, mais pour mon père, c’était hors de question que j’en fasse un métier. Il appelait le musicien “un mendiant propre”, il voulait que ses enfants fassent des études. Je suis né en 1957 et déjà, dans les années 60 et 70 à Constantine, il n’y avait pas de concerts publics et les musiciens jouaient seulement quand il y avait un mariage ou une autre fête religieuse.
À l’école, j’étais connu pour être le musicien du lycée, j’avais monté un orchestre et on a eu des prix. J’étais plutôt bon élève mais l’année de mon bac, j’ai fait un acte inconscient, je ne me suis pas présenté aux examens. Je voulais partir à l’étranger, sauf qu’à l’époque, c’était très dur, parce que l’Algérie était un pays fermé. Par chance, en 1978, quelqu’un m’a proposé de partir à Grenoble pour trois mois pour faire des concerts pour les immigrés. J’étais un peu perdu, en fait, et aujourd’hui, je peux dire que c’était l’année où mon destin allait se faire.
Finalement je suis parti et mon Dieu, quand on arrive en France... Pour moi, c’était un monde magique, à tout point de vue. J’ai découvert la modernité : une société belle, les vitrines étaient belles, les femmes étaient belles, elles étaient libres. On pouvait parler, critiquer le gouvernement ouvertement. Ce qui pouvait réellement représenter le bonheur, c’était la France. Et en même temps, il y avait les souvenirs liés à la guerre, à la colonisation française en Algérie, beaucoup d’images dans ma tête. Je me souviens très bien que mon premier jour d’école, en 1961, des gens de l’OAS, l’Organisation Armée secrète, avaient mis une bombe à l’école et ils nous ont dit : "Retournez chez vous, le pays est en guerre." Moi j’étais traumatisé. On était tous tellement content d’aller à l’école et de découvrir un autre monde...
Chez nous, c’était un monde un peu archaïque, et l’école était une ouverture. Et puis ma maîtresse d’école, Madame Dusaillon, comme je l’aimais, Madame Dusaillon ! Quand on travaillait mal, elle nous donnait des coups, mais elle représentait pour nous quelque chose d’accessible et d’insaisissable.
Ma vie de musicien, je l’ai construite avec ça aussi. Pour moi, la musique n’est pas uniquement un texte, une mélodie, mais tout ce qu’il y a autour, la musique permet de se réconcilier avec son passé, de retrouver son identité, elle mélange l’intime et le politique.
Après ma visite à Grenoble, je suis retourné au bled et j’ai repris les études, parce que je ne me voyais pas jouer pour les mariages. J’ai étudié un peu la sociologie à l’université de Constantine parce que je ne voulais pas être seulement musicien, je voulais aussi avoir un instrument critique pour réfléchir sur ma musique, le Malouf.
Le Malouf est la musique d’un pays perdu. Son histoire remonte très loin, c’est une musique dite arabo-andalouse, parce qu’on considère que les paroles ont été écrites en Andalousie. Les juifs et les musulmans, chassés de l’Andalousie en 1492, se sont installés dans les pays du Maghreb. Leur musique s’est mélangée au répertoire local, mais les textes sont restés les mêmes. C’est pour ça qu’on retrouve les mêmes thématiques, du Maroc jusqu’en Libye : les jardins en fleurs, le paysage, le fait de courtiser les femmes.
Ecouter Taoufik Bestandji parler de la musique et des carnets de son père (8min15)
Je viens d’une famille de mystiques et l’un des capitaux les plus importants du mystique, c’est la musique. Déjà, mon arrière-grand-père était patron d’une des plus grandes confréries du Maghreb. Chaque confrérie suit la philosophie d’un saint. Le mystique est un guide spirituel, une fois par semaine, on se rencontre au sanctuaire pour chanter des textes sacrés, pour danser, c’est plus que du loisir, c’est une sorte de thérapie qui soulage la souffrance.
La ville de Constantine est une ville très symbolique du point de vue des communautés, elle abritait par exemple une des communautés juives les plus importantes du Maghreb. Elle était proche de la communauté musulmane, grâce à la musique. La musique engage à avoir des liens d’amitié ; nous partagions même certaines traditions, sauf celles qui avaient un lien avec la religion... Et encore, même à ce niveau-là, je trouve qu’il y a beaucoup de similitudes.
Après l’assassinat de Raymond Leyris en juin 1961, tous les juifs de Constantine sont partis. Il était un symbole, le plus grand musicien de musique Malouf dans les années 1950, il avait une mère catholique mais il avait été élevé par une famille juive, il avait appris la musique dans les foundok et il était aimé par les deux communautés : juive et musulmane. Son assassinat, c’était une façon de dire que l’Algérie devait être arabo-musulmane et puis voilà. Entre 1961 et 1962, tous les Juifs de Constantine l’ont compris, j’ai encore dans les yeux l’image des maisons vides, abandonnées.
Pour moi, en Algérie, c’était difficile, j’étais mal. En 1989, par le biais du Centre culturel français, j’ai rencontré le grand pianiste Pierre Barbizet, qui était aussi le directeur du Conservatoire de Marseille. Grâce à cette rencontre, je suis parti à Marseille pour faire des ateliers de musique andalouse, de Malouf.
La culture est le dernier souci du gouvernement algérien et donc j’ai décidé de vivre en France, où je pouvais être utile aux miens aussi. Je suis à l’origine de la réédition du disque de Cheikh Raymond Leyris, j’ai fait plusieurs concerts en son hommage avec Enrico Macias qui était son beau-fils et son élève. J’ai travaillé à la Maison de la Radio pour réaliser la première anthologie de la musique algérienne en cinq volumes...
Récemment, j’ai encore regardé dans le passé, pour connaître des histoires que je n’ai jamais vécues, mais qui font partie de moi : cette fois, je suis arrivé à Istanbul. Avant de devenir une colonie française, l’Algérie a été pendant des siècles sous domination turque. À Istanbul, j’étais comme un fou, errant à la recherche d’une partie de mon identité dans un lieu inconnu. Partout, j’ai cherché des gens qui portaient mon nom et finalement, j’ai découvert que Bestandji veut dire "jardinier". Et le bestandji–bachi était le jardinier qui gérait tous les jardins du sultan, il était aussi au courant de ses secrets. Quand le sultan était destitué ou mourait, tous les gens qui lui étaient très proches, dont le jardinier, étaient envoyés dans des provinces lointaines.
J’ai dit : “Ça, c’est une sacrée histoire !” On part du jardinier du sultan et on se retrouve en Afrique du Nord, dans la ville où je suis né, Constantine. Après, je suis allé la raconter à ma famille. Je raconte des histoires pour tisser des liens. Confronter ce qui a été séparé, c’est ma philosophie de la vie.
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" الأديبة ن.ب تفضح نوعا من الكتب
كتبت الاعلامية والاديبة الجزائرية نسيمة بولوفة في صفحتها حول نوع من الكتب الذي يصدره أصحابه رغم ضعف وهزال ما ينشر وخاصة كثرة الاخطاء اللغوية بشكل فضيع ومزعج‘ ووجهت اللوم لجميع المتدخلين في ترويج هذه المهازل‘ و اوحت بشكل ما الي ضرورة وضع ضوابط امام الناشرين لكي لا يتعاملوا مع الكتاب كسلعة ذات دخل ومردود مالي فقط‘ كما اوحت الي الناشئة بعدم التسرع والاستعجال في النشر طالما ان هذا لا فائدة منه وسرعان ما يتبخر الزبد فيذهب جفاء وما ينفع يمكث في الناس.
* الصورة بمسرح قسنطينة بداية
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Le nouveau Wali de Constantine
M. Abdessamie Saïdoun*
« Je suis un homme de terrain »
*M.Abdessamie Saïdoun (عبد السَّميع سعدون), est né le 25 juin 1961
Il a occupé le poste de Wali de Bordj Bouarreridj depuis juillet 2015 à ce jour !
🔹 Il a fait ses études secondaires au Lycée El Bettani à Larbaâ, 35 km à l'est de Blida.
... biographie incomplète
Bienvenue à Constantine Monsieur le Wali
L'association Numidi-arts recherches un électricien poir des travaux d'électricité générale ! Merci de nous contacter pour toute information
Inaugurée le 6 mai 1931, l'Exposition coloniale tente de promouvoir une image de la France impériale à l’apogée de sa puissance. Prenant la forme d’un immense spectacle populaire, véritable ville dans la ville, l’exposition s’étend sur plus de 1200 mètres de long et est sillonnée de plus de 10 kilomètres de chemins balisés.
Elle s’inscrit dans la tradition des Expositions universelles du XIXè siècle vouées à promouvoir la puissance des nations européennes. Consacrée exclusivement aux colonies, elle fut présentée du mois de mai au mois de novembre 1931, elle accueillit près de 8 millions de visiteurs pour 33 millions de billets vendus.
L’exposition souhaitait donner aux Français la sensation de se promener à l’intérieur d’une France qui ne se limiterait pas aux frontières de la métropole. Invité à faire “le tour du monde en un jour”, le visiteur pouvait découvrir chacune des possessions françaises au travers de pavillons s’inspirant d’architectures indigènes. L’Indochine était, par exemple, représentée par un pavillon à l’image et aux dimensions spectaculaires du temple cambodgien d’Angkor Vat. Le pavillon de l’Afrique occidentale française s’inspirait de l’architecture de la mosquée de Djenné au Mali.
Pour rendre l’événement plus vivant et attractif, des animations
étaient proposées aux visiteurs. Les spectacles de danse constituaient
l’une des attractions les plus prisées. Dans chaque section, des
habitants des colonies donnaient vie aux villages reconstitués. Des
artisans travaillaient sous les yeux du public, d'autres tenaient des
stands de souvenirs. Bien que le parti pris de l’exposition de 1931
n’était plus de se moquer des coloniaux, comme ce put être le cas lors
d’expositions coloniales antérieures, il s’agissait, malgré tout,
d’exhiber des hommes et des femmes pour mieux affirmer le pouvoir de la
France sur ces derniers.
Exotique, démesurée et fascinante, l’exposition se dématérialisait de nuit sous l’effet des jeux de lumière et des fontaines lumineuses, pour prolonger le rêve de voyage et l’appel d’un ailleurs idéalisé.
Au travers de cette vision idéalisée du monde colonial, transparaît l’idéologie impériale de l’époque promouvant la supériorité de l’Occident. La colonisation était dite pacificatrice, bénéfique aux développements technique, économique, intellectuel et humain des colonies.
Les pans moins glorieux étaient par contre passés sous silence. C’est ce que la contre-exposition intitulée “La vérité sur les colonies”, à laquelle participèrent les surréalistes, un groupe d’artistes et d’intellectuels parmi lesquels on compte Louis Aragon, Paul Eluard ou André Breton, tenta de dénoncer.
L’actuelle ligne 8 de métro a été prolongée jusqu’à l’ancienne porte de Picpus pour accéder à l’exposition coloniale. La nouvelle station s’est appelée “Porte Dorée”, évoquant l’orée du bois de Vincennes.
La statue d’Athéna, réalisée par Léon Drivier, qui surplombe
aujourd’hui la fontaine de la Porte Dorée, était à l’origine présentée
sur les marches du Palais. Déesse des arts, de l’industrie et de la
guerre, cette statue, haute de cinq mètres, coiffée d’un casque gaulois
symbolise la France coloniale et impériale. Elle sera déplacée, après
l’exposition coloniale sur la place Edouard Renard dans l’axe de la
Porte Dorée.
Situé en bordure du lac Daumesnil dans une enceinte de 8000 m², le temple bouddhique du bois de Vincennes se trouve dans l’un des vestiges de l’exposition coloniale : l’ancien pavillon du Togo et l’ancien pavillon du Cameroun qui a été restauré en 1977 et transformé en pagode.
Inauguré en 1934, le parc zoologique, situé au Nord-Est du lac
Daumesnil, fait suite au petit zoo temporaire aménagé lors de
l'Exposition coloniale dans lequel les visiteurs pouvaient voir des
animaux exotiques.
Enfin, il faut signaler, à l’autre extrémité du bois de Vincennes,
les vestiges d’un autre lieu de mémoire, le jardin d’Agronomie
tropicale, qui accueillit la première exposition coloniale parisienne en
1907, puis les troupes dites “indigènes” pendant la première guerre
mondiale.
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Houna Qassantina
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Taoufik Bestandji
Né en 1957 à Constantine, en Algérie
La musique d’un pays perdu
1957 : Naissance à Constantine, en Algérie.
1961 : Premier jour d’école avec Mme Dusaillon
1978 : Concerts pour les immigrés à Grenoble
1989 : Rencontre avec la communauté juive de Constantine en France
2005 : Le jardin du sultan
1961 : Premier jour d’école avec Mme Dusaillon
1978 : Concerts pour les immigrés à Grenoble
1989 : Rencontre avec la communauté juive de Constantine en France
2005 : Le jardin du sultan
Quand j’étais enfant, ma ville me faisait peur, elle est construite sur des morceaux de rochers et pour aller d’un endroit à un autre, il faut traverser des ponts, on est obligé. C’est surtout le pont suspendu qui marque une certaine angoisse dans l’esprit des enfants de Constantine, il tient par de gros câbles, des cordes métalliques qui bougent quand on passe, et si on regarde en bas, c’est le ravin. J’ai été très marqué par cette ville qui oblige à affronter sa peur.
Je garde aussi le souvenir des promenades le soir, avec mon père, je portais des sandales et des socquettes blanches, il me tenait la main dans les ruelles du quartier populaire, où il avait son salon de coiffure. Il était barbier et musicien, il y avait toujours une mandoline dans sa boutique. À la maison, quand il jouait du luth ou du violon, il ne voulait pas qu’on le dérange, j’étais souvent derrière les portes à écouter, pour moi, c’était des sons magiques.
L’année où mon destin allait se faire
Dans ma famille, la musique s’est transmise de génération en génération, mais pour mon père, c’était hors de question que j’en fasse un métier. Il appelait le musicien “un mendiant propre”, il voulait que ses enfants fassent des études. Je suis né en 1957 et déjà, dans les années 60 et 70 à Constantine, il n’y avait pas de concerts publics et les musiciens jouaient seulement quand il y avait un mariage ou une autre fête religieuse.
À l’école, j’étais connu pour être le musicien du lycée, j’avais monté un orchestre et on a eu des prix. J’étais plutôt bon élève mais l’année de mon bac, j’ai fait un acte inconscient, je ne me suis pas présenté aux examens. Je voulais partir à l’étranger, sauf qu’à l’époque, c’était très dur, parce que l’Algérie était un pays fermé. Par chance, en 1978, quelqu’un m’a proposé de partir à Grenoble pour trois mois pour faire des concerts pour les immigrés. J’étais un peu perdu, en fait, et aujourd’hui, je peux dire que c’était l’année où mon destin allait se faire.
Beaucoup d’images dans la tête
Finalement je suis parti et mon Dieu, quand on arrive en France... Pour moi, c’était un monde magique, à tout point de vue. J’ai découvert la modernité : une société belle, les vitrines étaient belles, les femmes étaient belles, elles étaient libres. On pouvait parler, critiquer le gouvernement ouvertement. Ce qui pouvait réellement représenter le bonheur, c’était la France. Et en même temps, il y avait les souvenirs liés à la guerre, à la colonisation française en Algérie, beaucoup d’images dans ma tête. Je me souviens très bien que mon premier jour d’école, en 1961, des gens de l’OAS, l’Organisation Armée secrète, avaient mis une bombe à l’école et ils nous ont dit : "Retournez chez vous, le pays est en guerre." Moi j’étais traumatisé. On était tous tellement content d’aller à l’école et de découvrir un autre monde...
Chez nous, c’était un monde un peu archaïque, et l’école était une ouverture. Et puis ma maîtresse d’école, Madame Dusaillon, comme je l’aimais, Madame Dusaillon ! Quand on travaillait mal, elle nous donnait des coups, mais elle représentait pour nous quelque chose d’accessible et d’insaisissable.
Ceux qu’on appelait les immigrés
C’était un peu comme le pays : pour l’Algérie, la France était accessible mais insaisissable, comme une mère qui a dominé et qui a disparu. Dans ma tête de jeune de 20 ans, j’avais toutes ces pensées, et à l’égard de la France, il fallait tout le temps composer avec cette double image : l’image de l’oppresseur et la fascination. Et puis, en arrivant à Grenoble, j’ai découvert les immigrés. Chez nous, ceux qu’on appelait les immigrés revenaient au bled une fois par an, ils arrivaient avec de l’argent, ils étaient bien habillés alors que nous n’avions même pas un jean. On avait l’image de gens complètement épanouis dans l’immigration et on découvrait, en arrivant en France, qu’ils étaient aussi dans la misère. Ils logeaient dans des endroits insalubres, certains étaient au chômage, certains buvaient, c’était vraiment la misère sociale. Pourquoi est-ce qu’ils en étaient là ? Et puis on a découvert aussi leurs enfants : des gens complètement déchirés qui ne parlaient pas arabe comme nous, qui comprenaient quelques mots. Et quand on jouait, ils disaient : "Qu’est-ce que c’est qu’ça ?" Ils ne comprenaient rien du tout. Par contre, leurs pères étaient dans la nostalgie, ça leur rappelait le bled.La musique Malouf
Ma vie de musicien, je l’ai construite avec ça aussi. Pour moi, la musique n’est pas uniquement un texte, une mélodie, mais tout ce qu’il y a autour, la musique permet de se réconcilier avec son passé, de retrouver son identité, elle mélange l’intime et le politique.
Après ma visite à Grenoble, je suis retourné au bled et j’ai repris les études, parce que je ne me voyais pas jouer pour les mariages. J’ai étudié un peu la sociologie à l’université de Constantine parce que je ne voulais pas être seulement musicien, je voulais aussi avoir un instrument critique pour réfléchir sur ma musique, le Malouf.
Le Malouf est la musique d’un pays perdu. Son histoire remonte très loin, c’est une musique dite arabo-andalouse, parce qu’on considère que les paroles ont été écrites en Andalousie. Les juifs et les musulmans, chassés de l’Andalousie en 1492, se sont installés dans les pays du Maghreb. Leur musique s’est mélangée au répertoire local, mais les textes sont restés les mêmes. C’est pour ça qu’on retrouve les mêmes thématiques, du Maroc jusqu’en Libye : les jardins en fleurs, le paysage, le fait de courtiser les femmes.
Ecouter Taoufik Bestandji parler de la musique et des carnets de son père (8min15)
Une famille de mystiques
Le Malouf est une façon mélancolique et enjouée de faire de la musique et de chanter. Il y a deux sentiments qui s’affrontent : d’un côté la mélancolie, une façon douloureuse de chanter, et de l’autre des sauts de gaîté... On dirait que c’est l’espoir qui vient toujours éviter à quelqu’un de se perdre dans la douleur. Chacun a une approche personnelle et chaque orchestre à sa spécificité.Je viens d’une famille de mystiques et l’un des capitaux les plus importants du mystique, c’est la musique. Déjà, mon arrière-grand-père était patron d’une des plus grandes confréries du Maghreb. Chaque confrérie suit la philosophie d’un saint. Le mystique est un guide spirituel, une fois par semaine, on se rencontre au sanctuaire pour chanter des textes sacrés, pour danser, c’est plus que du loisir, c’est une sorte de thérapie qui soulage la souffrance.
Les juifs de Constantine
Et puis j’ai aussi fréquenté les derniers foundok, c’était des lieux interdits, un peu cachés, des lieux pour consumer le temps dans le plaisir. J’ai le souvenir de beaux tapis, de coussins, d’oiseaux chanteurs, de l’odeur de la menthe, du basilic, de boissons alcoolisées. Parfois, il y avait des femmes, les foundok étaient aussi appelés des "hôtels pour jeunes célibataires", mais on y allait surtout pour jouer et apprendre la musique, il y avait des musiciens juifs et musulmans, c’était la musique Malouf, la même qu’on jouait dans les sanctuaires mais avec, cette fois, des textes profanes.La ville de Constantine est une ville très symbolique du point de vue des communautés, elle abritait par exemple une des communautés juives les plus importantes du Maghreb. Elle était proche de la communauté musulmane, grâce à la musique. La musique engage à avoir des liens d’amitié ; nous partagions même certaines traditions, sauf celles qui avaient un lien avec la religion... Et encore, même à ce niveau-là, je trouve qu’il y a beaucoup de similitudes.
Raymond Leyris
Pendant la colonisation, suite au décret Crémieux, tous les juifs algériens avaient obtenu un traitement de faveur qui n’était pas donné aux musulmans, ils avaient les droits des citoyens français, et avec l’indépendance, ils ont quitté l’Algérie. C’était une rupture brutale.Après l’assassinat de Raymond Leyris en juin 1961, tous les juifs de Constantine sont partis. Il était un symbole, le plus grand musicien de musique Malouf dans les années 1950, il avait une mère catholique mais il avait été élevé par une famille juive, il avait appris la musique dans les foundok et il était aimé par les deux communautés : juive et musulmane. Son assassinat, c’était une façon de dire que l’Algérie devait être arabo-musulmane et puis voilà. Entre 1961 et 1962, tous les Juifs de Constantine l’ont compris, j’ai encore dans les yeux l’image des maisons vides, abandonnées.
Pour moi, en Algérie, c’était difficile, j’étais mal. En 1989, par le biais du Centre culturel français, j’ai rencontré le grand pianiste Pierre Barbizet, qui était aussi le directeur du Conservatoire de Marseille. Grâce à cette rencontre, je suis parti à Marseille pour faire des ateliers de musique andalouse, de Malouf.
Trait d’union
Quand je suis arrivé, j’ai retrouvé la communauté juive de Constantine. Elle était restée très attachée à sa culture, très ancrée dans les traditions des pays du Maghreb, et j’étais dans cette situation de trait d’union, que j’appelle “l’entre-deux”, et il fallait que je leur raconte une histoire qui s’était interrompue pour eux en 1962. Le lien s’est fait grâce à la musique. La musique, parfois, n’a pas besoin des mots, elle a besoin tout simplement d’être partagée. Les mots blessent, on dit “on appartient, on n’appartient pas”, mais le discours de la musique ne blesse pas, au contraire, il permet de mettre un pansement pour guérir les blessures. Du coup, je me suis senti doublement responsable de la transmission de cet héritage musical.La culture est le dernier souci du gouvernement algérien et donc j’ai décidé de vivre en France, où je pouvais être utile aux miens aussi. Je suis à l’origine de la réédition du disque de Cheikh Raymond Leyris, j’ai fait plusieurs concerts en son hommage avec Enrico Macias qui était son beau-fils et son élève. J’ai travaillé à la Maison de la Radio pour réaliser la première anthologie de la musique algérienne en cinq volumes...
Le jardin du sultan
C’était tellement important pour moi ! C’était un acte fondateur dans mon travail et grâce à ça, j’ai pu mesurer la force de mon action sur les gens qui sont restés en Algérie. J’ai fait des concerts, des tournées, j’ai créé des orchestres de musique Malouf. Pendant de longues années, j’avais un orchestre de musiciens de Constantine, maintenant je travaille avec des musiciens qui viennent de Tunisie. Aujourd’hui, j’aimerais créer en France une école de musiques du monde et, encore une fois, être le trait d’union entre ici et ailleurs.Récemment, j’ai encore regardé dans le passé, pour connaître des histoires que je n’ai jamais vécues, mais qui font partie de moi : cette fois, je suis arrivé à Istanbul. Avant de devenir une colonie française, l’Algérie a été pendant des siècles sous domination turque. À Istanbul, j’étais comme un fou, errant à la recherche d’une partie de mon identité dans un lieu inconnu. Partout, j’ai cherché des gens qui portaient mon nom et finalement, j’ai découvert que Bestandji veut dire "jardinier". Et le bestandji–bachi était le jardinier qui gérait tous les jardins du sultan, il était aussi au courant de ses secrets. Quand le sultan était destitué ou mourait, tous les gens qui lui étaient très proches, dont le jardinier, étaient envoyés dans des provinces lointaines.
J’ai dit : “Ça, c’est une sacrée histoire !” On part du jardinier du sultan et on se retrouve en Afrique du Nord, dans la ville où je suis né, Constantine. Après, je suis allé la raconter à ma famille. Je raconte des histoires pour tisser des liens. Confronter ce qui a été séparé, c’est ma philosophie de la vie.
Pour en savoir plus sur l'immigration algérienne :
- Voir les ressources autour de l'exposition Vies d’exil - 1954-1962. Des Algériens en France pendant la guerre d’Algérie
...http://www.aquarium-tropical.fr/
https://twitter.com/b_stora?lang=fr
https://www.facebook.com/Houna-Qassantina-1347021222079542/
Lounis Yaou
Nous avons le regret d'informer toutes nos amies et tous nos amis zinzins
que la rencontre des Zinzins du Café Riche, prévue demain est reportée à
une autre date pour des raisons administratives indépendantes de notre
volonté. Nous nous excusons auprès de vous. Restons zinzins. A très
vite.
Pour
nos ami(es) qui seront devant la TV, un reportage sur les
manifestations du samedi 30 sera diffusé aujourd'hui durant le JT de 19h
sur canal Algérie.
Commentaires
L'équipe
de Houna Qassantina remercie tous ses partenaires des médias attentifs à
notre travail et qui lui donnent une visibilité et un bon écho ainsi
que nos mécènes qui chacun à sa manière soutien nos manifestations, à
savoir La famille Benbouhadja et L'équipe du Café Riche, la famille
Boulefkhad et l'hôtel Hocine, le quotidien El Watan, Louma prod et
Djeghloud Lazhar.
A tous merci
A tous merci
Commentaires
Rendez-vous demain matin sur Bonjour d'Algérie à partir de 8h sur Canal Algérie.
Un duplex consacré à la manifestation Houna Qassantina avec le journaliste Ismail belkaidia.
Soyez au rendez-vous
Un duplex consacré à la manifestation Houna Qassantina avec le journaliste Ismail belkaidia.
Soyez au rendez-vous
Nous sommes désolés de devoir reporter notre événement de demain des Zinzins du café riche pour problèmes administratifs.
Avec toutes nos excuses
L'équipe de Houna Qassantina
Avec toutes nos excuses
L'équipe de Houna Qassantina
Publications
Nous sommes désolés de devoir reporter notre événement de demain des Zinzins du café riche pour problèmes administratifs.
Avec toutes nos excuses
L'équipe de Houna Qassantina
في لقاء الكاتب و الشاعر محمد زتيلي بالاديبة الجزائرية نسيمة بولوفة ، كتب الاستاذ م.ز على صفحته : Avec toutes nos excuses
L'équipe de Houna Qassantina
" الأديبة ن.ب تفضح نوعا من الكتب
كتبت الاعلامية والاديبة الجزائرية نسيمة بولوفة في صفحتها حول نوع من الكتب الذي يصدره أصحابه رغم ضعف وهزال ما ينشر وخاصة كثرة الاخطاء اللغوية بشكل فضيع ومزعج‘ ووجهت اللوم لجميع المتدخلين في ترويج هذه المهازل‘ و اوحت بشكل ما الي ضرورة وضع ضوابط امام الناشرين لكي لا يتعاملوا مع الكتاب كسلعة ذات دخل ومردود مالي فقط‘ كما اوحت الي الناشئة بعدم التسرع والاستعجال في النشر طالما ان هذا لا فائدة منه وسرعان ما يتبخر الزبد فيذهب جفاء وما ينفع يمكث في الناس.
* الصورة بمسرح قسنطينة بداية
https://www.facebook.com/Houna-Qassantina-1347021222079542/?ref=py_c
https://www.facebook.com/QuasantinaTakraa/?ref=page_internal
Commentaires
Racha Elbahaa
الأمر
مغاير لما قيل.. لأن الكتاب الذين يستحقون أن تنشر أعمالهم مزالت أعمالهم
طوابير تنتظر الفرج و السبب واضح الا و هو ندرة تبني هته الاعمال من طرف
الدور الخاصه بالنشر و غلاء تكاليفها .. ماينشر غالبا لمن استطاع لمبلغ
النشر سبيلا 👌
https://www.facebook.com/Houna-Qassantina-1347021222079542/?ref=py_c
Une
très belle rencontre avec Benjamin Stora qui s'est déroulée ce samedi
30 septembre au Palais de la culture Mohamed Laid El Khalifa.
Un entretien public avec l'historien Benjamin Stora, son enfance constantinoise, son parcours professionnel.
Un entretien public avec l'historien Benjamin Stora, son enfance constantinoise, son parcours professionnel.
https://www.facebook.com/ConstantineCulture/
Constantine Culture est à : Constantine قسنطينة, avec Abdessamie Saïdoun.
M. Abdessamie Saïdoun*
« Je suis un homme de terrain »
*M.Abdessamie Saïdoun (عبد السَّميع سعدون), est né le 25 juin 1961
Il a occupé le poste de Wali de Bordj Bouarreridj depuis juillet 2015 à ce jour !
🔹 Il a fait ses études secondaires au Lycée El Bettani à Larbaâ, 35 km à l'est de Blida.
... biographie incomplète
Bienvenue à Constantine Monsieur le Wali
Nous
portons à la connaissance de tous nos amies/amis que notre espace
culturel Fen-Arts est opérationnel. Nous assurons des cours de langues
nationales Tamazighth et l'Arabe. Des langues étrangères Français,
Anglais, Allemand, Turc et bientôt l'Espagnol et l'Italien. Nous
proposons également des activités culturelles Théâtre, Musique, Danse
classique, Travaux manuels, dessin et peinture et Photos
et vidéo.Toutes celles et tous ceux qui souhaiteraient s'inscrire et/ou
s'informer peuvent se rapprocher de notre siège qui se trouve à la
cité Belhadj (en haut de la première rue après celle qui mène à la
clinique Nawfel. Contactez nous sur les numéros suivants : 0553 318 753
- 0771 241 374 - 0559 709 664 - 0772 177 458
L'association Numidi-arts recherches un électricien poir des travaux d'électricité générale ! Merci de nous contacter pour toute information
Lounis Yaou à Houna Qassantina
Nous
avons le regret d'informer toutes nos amies et tous nos amis zinzins
que la rencontre des Zinzins du Café Riche, prévue demain est reportée à
une autre date pour des raisons administratives indépendantes de notre
volonté. Nous nous excusons auprès de vous. Restons zinzins. A très
vite.
L’Exposition coloniale de 1931
Le Palais de la Porte Dorée a
été construit à l'occasion de l’Exposition internationale de 1931 : sa
vocation première fut d’être un musée des colonies, devant représenter
les territoires, l’histoire de la conquête coloniale et l’incidence de
celle-ci sur les arts. L’ancienne Salle des fêtes et les salons de
réception du Maréchal Lyautey, Commissaire général de l’exposition, et
de Paul Reynaud, ministre des Colonies, témoignent encore aujourd’hui de
ce passé.
Le Palais change ensuite plusieurs fois d’attribution, tout en maintenant l'Aquarium tropical présent depuis 1931, pour finalement abriter en 2007 le Musée de l'histoire de l'immigration.
Le Palais change ensuite plusieurs fois d’attribution, tout en maintenant l'Aquarium tropical présent depuis 1931, pour finalement abriter en 2007 le Musée de l'histoire de l'immigration.
Inaugurée le 6 mai 1931, l'Exposition coloniale tente de promouvoir une image de la France impériale à l’apogée de sa puissance. Prenant la forme d’un immense spectacle populaire, véritable ville dans la ville, l’exposition s’étend sur plus de 1200 mètres de long et est sillonnée de plus de 10 kilomètres de chemins balisés.
Elle s’inscrit dans la tradition des Expositions universelles du XIXè siècle vouées à promouvoir la puissance des nations européennes. Consacrée exclusivement aux colonies, elle fut présentée du mois de mai au mois de novembre 1931, elle accueillit près de 8 millions de visiteurs pour 33 millions de billets vendus.
“Le tour du monde en un jour”
L’exposition s’étendait depuis la station de métro Porte Dorée (anciennement Picpus) sur tout le bois de Vincennes. Le palais des Colonies, seul bâtiment construit pour survivre à l’événement, constituait le lieu de synthèse de l’exposition, présentant l’histoire de l’empire français, ses territoires, les apports des colonies à la France, ainsi que ceux de la France aux colonies.L’exposition souhaitait donner aux Français la sensation de se promener à l’intérieur d’une France qui ne se limiterait pas aux frontières de la métropole. Invité à faire “le tour du monde en un jour”, le visiteur pouvait découvrir chacune des possessions françaises au travers de pavillons s’inspirant d’architectures indigènes. L’Indochine était, par exemple, représentée par un pavillon à l’image et aux dimensions spectaculaires du temple cambodgien d’Angkor Vat. Le pavillon de l’Afrique occidentale française s’inspirait de l’architecture de la mosquée de Djenné au Mali.
Exotique, démesurée et fascinante, l’exposition se dématérialisait de nuit sous l’effet des jeux de lumière et des fontaines lumineuses, pour prolonger le rêve de voyage et l’appel d’un ailleurs idéalisé.
Au travers de cette vision idéalisée du monde colonial, transparaît l’idéologie impériale de l’époque promouvant la supériorité de l’Occident. La colonisation était dite pacificatrice, bénéfique aux développements technique, économique, intellectuel et humain des colonies.
Les pans moins glorieux étaient par contre passés sous silence. C’est ce que la contre-exposition intitulée “La vérité sur les colonies”, à laquelle participèrent les surréalistes, un groupe d’artistes et d’intellectuels parmi lesquels on compte Louis Aragon, Paul Eluard ou André Breton, tenta de dénoncer.
Les vestiges de l’exposition coloniale
L’Exposition coloniale a marqué durablement l’urbanisme de l’Est parisien. Les constructions n’étaient pas destinées à durer, il a fallu aménager le quartier de la Porte Dorée pour accueillir le public : l’avenue Daumesnil et le boulevard Carnot ont été élargis, la ligne de métro étendue, les boulevards Soult et Poniatowski transformés en voies de circulation rapide et le bois de Vincennes réaménagé.L’actuelle ligne 8 de métro a été prolongée jusqu’à l’ancienne porte de Picpus pour accéder à l’exposition coloniale. La nouvelle station s’est appelée “Porte Dorée”, évoquant l’orée du bois de Vincennes.
Situé en bordure du lac Daumesnil dans une enceinte de 8000 m², le temple bouddhique du bois de Vincennes se trouve dans l’un des vestiges de l’exposition coloniale : l’ancien pavillon du Togo et l’ancien pavillon du Cameroun qui a été restauré en 1977 et transformé en pagode.
Du 6 mai au 5 octobre 2008, la
première exposition temporaire était consacrée à la situation des
immigrants étrangers et coloniaux en France métropolitaine, en 1931.
Voir les pages de l'exposition “1931, Les étrangers au temps de l’Exposition coloniale
Voir les pages de l'exposition “1931, Les étrangers au temps de l’Exposition coloniale
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