الخميس، يونيو 23

الاخبار العاجلة لفرض 25ضريبة جزافية جديدة على الجزائرين والجزائريين يدفعون ضريبة النوم والدعارة والمزابل والاقامة والموت لتدعيم خزائن سلال الفارغة والاسباب مجهولة

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الاخبار   العاجلة لفرض  25ضريبة   جزافية جديدة على  الجزائرين من طرف  البلديات  الفاشلة   والجزائريين   يدفعون ضريبة  النوم والدعارة والمزابل والاقامة والموت  لتدعيم خزائن سلال الفارغة والاسباب مجهولة
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Tairet
M. Sellal en visite de travail aujourd’hui dans la wilaya
Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, est attendu aujourd’hui jeudi dans la wilaya de Tiaret pour une visite de travail dans le cadre de la mise en oeuvre et du suivi du programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
Le Premier ministre accordera une importance particulière aux secteurs de l’agriculture et de l’industrie, piliers sur lesquels s’appuie la stratégie de développement multisectoriel de cette wilaya des Hauts-Plateaux et capitale du Sersou. M. Sellal entamera sa visite en se rendant à l’usine de production des véhicules de la Société algérienne pour la fabrication des véhicules «SAFAV-Mercedes Benz», ouverte depuis deux ans à Ain Bouchekif, dans le cadre d’un joint-venture entre le Ministère de la défense nationale, à travers son EPIC EDIV, la SNVI, le groupe émirati AABAR avec le groupe allemand DAIMLER (partenaire technologique). Toujours dans la commune d’Aïn Bouchekif, le Premier ministre mettra en service le périmètre d’irrigation de Sebaïne sur 1.326 ha et donnera le coup d’envoi de la campagne moisson-battage. Dans la commune de Sougueur, M. Sellal procèdera à la pose de la première pierre de la future raffinerie de Sidi Abed, un projet qui répondra aux besoins locaux en carburant et permettra la création de centaines d’emplois directs. Au chef-lieu de wilaya, il procèdera à la pose de la première pierre du complexe de montage de véhicules iraniens «Saipa», dans le cadre d’un partenariat initié par le Groupe Tahkout. Au cours de cette visite, le Premier ministre inaugurera un lycée de 1.000 places à Aïn Dzarit, une annexe de l’université à Sougueur et un centre de formation professionnelle à Medroussa. Dans cette même commune, il sera procédé à la mise en service du réseau de distribution du gaz de ville au profit de 1.781 foyers. Le Premier ministre sera accompagné, lors de cette visite, de plusieurs membres du gouvernement.

Résultats du BEM
Tissemsilt réalise 62,43 % de réussite
Le secteur de l’Education de la wilaya de Tissemsilt a enregistré une amélioration remarquable dans les résultats de l’examen du BEM pour cette année où selon les statistiques qui nous ont été fournies, il s’est classé deuxième au niveau des wilayas de l’Ouest algérien avec 62,43 pour cent, derrière la wilaya de Ain Temouchent. La même source a précisé que l’établissement Abou Bakr Seddik dans le village de Selmana s’est classé premier au niveau de la wilaya et parmi les premiers au niveau national avec une réussite de 100 %, malgré les conditions difficiles de la région et le manque de moyens, dont souffre cette région, les indicateurs avancent que 44 établissements sur les 65 que renferme la wilaya de Tissemsilt ont eu une moyenne supérieure au taux national, alors que 36 établissements ont réussi une moyenne supérieure à celle de la wilaya, le succès de 21 élèves avec une moyenne entre 18 et 20, à leur tête l’étudiante Hallali Marwa du CEM colonel Othmane de Tissemsilt avec 18,92, suivie de Bouchouka Hidaya Zohra avec 18,78 de moyenne et enfin en troisième position, Hadjar Adel avec 18,62 du CEM Mouloud Feraoun. Le classement des établissements a fait ressortir l’établissement d’Abou Bakr Seddik de Selmana en tête avec un cent pour cent sans conteste, suivi par le CEM Sahli Ben Bouzid de Tissemsilt avec 90,24 % et vient en troisième position, le CEM Zekkouda Ahmed avec 88,24 %. Enfin, le directeur de l’Education de la wilaya a fait savoir dans une brève déclaration que cette réussite est due principalement à la progression enregistrée dans le programme de la direction de l’Education qui a atteint ses objectifs en améliorant les résultats.
A.Nadour

Foisonnement illicite des plaques publicitaires occupant anarchiquement l’espace public
Un gisement fiscal inexploité par la commune d’Arzew
Malgré l’importance et le statut de la commune d’Arzew en matière d’industrie, de pétrochimie et de tourisme, cette dernière souffre énormément de l’absence de recouvrement des créances relatives aux droits d’occupation des surfaces publiques par des publicitaires «clandestins» dont les plaques, de différentes formes, couleurs et dimensions envahissent anarchiquement les murs de la ville. En effet, des façades et artères de la ville sont devenues des supports pour une publicité sauvage qui, une fois contrôlée et réglementée, générerait des fonds considérables pour la trésorerie de la commune.
Annoncer l’ouverture d’un cabinet médical ou d’avocat, l’arrivée sur le marché de nouveaux produits, vantant les qualités d’une marchandise, ou tout simplement par des flèches sur des panneaux indiquant la direction d’un garage pour mécanique, de parking ou de cybercafé avec bien en évidence la mention «ici photocopie», sont aujourd’hui des missions que jouent convenablement les murs de la ville qui gardent encore les meurtrissures et les séquelles de toutes les différentes campagnes électorales qu’ils ont abritées. Pour comprendre la prolifération de ces placards et autres affiches publicitaires sauvages qui recouvrent les murs des édifices publics et privés de la ville, il faut revenir à la période des années quatre-vingt, au moment de l’ouverture du marché et de l’économie nationale.
Cette ouverture ne fut pas accompagnée par l’organisation du marché de la publicité et des annonces. L’espace réservé à la publicité qu’offraient les journaux aux différents annonceurs, aussi bien publics que privés, ne peut à lui seul suffire à remplir la mission de réclame demandée. Il était, donc, nécessaire de recourir à la création de sociétés spécialisées dans les annonces et la publicité. Mais la situation de monopole qui prévaut dans le secteur a poussé bon nombre de projets naissants à mettre la clé sous le paillasson et jeter l’éponge.
L’apparition d’une nouvelle forme de supports, location des murs, de panneaux mobiles, l’espace sur les bus de transport et autres, a constitué une autre opportunité qui s’est avérée, elle également, très vite dépassée par les exigences d’un marché national et local en constante évolution. Actuellement, il existe une loi qui fixe les conditions de toute utilisation de l’espace public ou d’édifices situés sur la voie publique comme supports à des produits de publicité. Malheureusement, cette loi reste continuellement en confrontation et en opposition avec la réalité sauvage qui enlaidit les murs de la ville. Reste alors la publicité sauvage qui ouvre la voie à tous les excès.
En effet, au niveau de la ville d’Arzew, il existe plus de 20.000 plaques à usage publicitaire de différentes formes, couleurs et dimension, installées illégalement et anarchiquement au niveau des entrées des immeubles ou autres lieux d’activité professionnelle à l’image de médecins, d’avocats ou d’entreprises particulières. Cette frange de professions libérales, activant en marge de la loi régissant le créneau publicitaire, ne s’est jamais acquittée, dans le cas où cela est permis, des taxes relatives à l’utilisation des biens collectifs ou de l’espace public, indiquant la nature de leur profession ou le siège de leur lieu exercice. Concernant ces activités libérales, la loi est claire en ce sens, puisqu’elle indique, selon la discipline exercée, les dimensions et même la couleur du métal de la plaque sans pour autant préciser l’endroit de la pose. Ainsi, certaines enseignes professionnelles, très inesthétiques et hideuses, agressent la vue et défavorise le paysage et l’environnement immédiat. A l’image de cette plaque de dentiste qui «exhibe» une grosse molaire dégoulinant de sang ou celle de ce pharmacien qui montre dans ses «fresques» de mauvais goûts, un serpent aussi volumineux qu’un boa qui sort du cadre du logo attribué aux officines pharmaceutiques. Même les grandes façades des bâtiments, les poteaux d’éclairage public, les arbres situés sur les artères principales ne sont pas indemnes de ce fléau de la publicité sauvage.
Il existe une loi, une clause, qui octroie à la mairie 10 % du montant du contrat liant l’entreprise demandeuse de placards de publicité à l’annonceur qui agit sur son territoire, alors pourquoi ne pas intervenir énergiquement pour assainir ce marché de la publicité et exiger de véritables contrats entre toutes les parties contractantes pour faire renflouer les caisses de la commune. Cette interrogation a été posée par notre journal au maire de la ville d’Arzew, Ayache Mokhtar, qui a répondu qu’«effectivement, la commune souffre de cette anarchie publicitaire et elle est en cours de délibérer pour la mise sur pied d’une commission qui contrôlerait et réglementerait ce secteur». Dans le même registre, ajouterait le P/APC, la commune avait, déjà, interdit et fermé deux grandes plaques publicitaires lumineuses d’une agence de publicité qui ne s’est pas acquittée des droits réglementaires de la publicité envers la commune. M. Ayache a conclu par déclarer: «nous sommes en négociation avec une agence de publicité d’Alger pour la mise en place de ses panneaux à Arzew et nous invitons tous les autres partenaires désirant investir dans ce créneau à se rapprocher de notre commune».
D.Cherif

Le wali l’a annonce hier lors de la 2è session de l’APW
Retour d’Air France et ouverture d’une annexe du lycée international «Alexandre Dumas»
Une ligne directe Oran-Paris sera assuré, dès le 22 juillet prochain, par la compagnie aérienne française «Air France», a annoncé, mercredi, le wali d’Oran, lors de la deuxième session ordinaire de l’APW. Le wali d’Oran, Abdelghani Zaâlane a indiqué que des discussions ont eu lieu, dernièrement, avec les responsables de la compagnie aérienne française pour déboucher sur un accord, celui de l’ouverture d’une ligne Oran-Paris à compter du 22 juillet prochain et à raison de trois vols par semaine.
Les liaisons Oran-Paris sont essentiellement assurées par le pavillon national «Air Algérie» et la compagnie française «Aigle Azur» à raison de plusieurs vols par semaine, rappelle-t-on.
Par ailleurs, le même responsable a annoncé qu’une annexe du lycée international Alexandre Dumas d’Alger sera ouverte à Oran, dès la prochaine rentrée scolaire 2016/2017, en raison de la forte communauté étrangère se trouvant à Oran.
Plusieurs projets réalisés par des entreprises françaises et européennes ont été lancés à Oran, notamment le projet de l’usine Peugeot et, précédemment l’usine Renault, ainsi que plusieurs autres projets lancés par des sociétés françaises et européennes.
Le besoin en éducation, selon des programmes français, s’est fait grandement sentir pour les enfants de ces ressortissants, d’où la décision d’ouvrir cette annexe.

Les Castors
Les habitants dénoncent le vacarme
et les embouteillages
Certaines cités du quartier Les Castors, à l’exemple de la cité Grégorge, ne sont plus des cités résidentielles ou doit régner le calme et où il fait bon vivre comme au début de leur création dans les années 1970. Par la force des choses, le laisser-aller s’est installé et le laisser-faire a pris le dessus, au point où ces paisibles cités ont été transformées en zone d’activités commerciales ou règne l’anarchie et le vacarme. En effet, depuis déjà quelques années, le commerce de gros de pièces de rechange autos et engins, de pneumatiques et de denrées alimentaires ne cesse de se développer dans ces cités résidentielles au point où il commence à perturber sérieusement la quiétude de certains riverains par le vacarme et la difficulté de circuler dans les rues qu’il engendre. «C’était un quartier aux cités tranquilles où le calme
régnait, malheureusement, ce n’est plus le cas actuellement, nous ne pouvons même pas profiter d’une sieste, c’est une totale anarchie», se plaint un riverain. «Les véhicules des commerçants qui viennent des wilayas voisines pour s’approvisionner arrivent ici à partir de 5 heures du matin, ils stationnent n’importe où et n’importe comment sur la chaussée et sur les trottoirs, ils bloquent les accès de nos garages, ce qui cause souvent des disputes entre certains riverains et ces commerçants», ajoute cet habitant du quartier Grégorge, qui se demande ce qu’est devenu le projet de délocalisation de ces grossistes.
L’espace vert de la rue Meliani Brahim (cité Grégorge) est non seulement laissé a l’abandon et sert de décharge sauvage pour ces commerçants, même ses bancs ont été enlevés pour permettre le stationnement de leurs véhicules, avons-nous appris des riverains, qui souhaitent voir les services concernés de la commune intervenir pour mettre fin à cette pagaille. «Pour éviter de voir nos rues bloquées par des embouteillages à cause des stationnements sauvages, nous avons signé une pétition en 2012 que nous avons adressée à notre secteur urbain et par laquelle, nous avons suggéré l’installation de plaques de sens interdit dans certaines rues pour permettre la fluidité de la circulation automobile, mais en vain, nous n’avons même pas mérité une réponse et depuis la situation a empiré», expliquent ces habitants qui n’ont pas manqué d’évoquer les problèmes des autocars qui assurent le transport des voyageurs entre Oran et le sud du pays. «Moteur en marche, ces autocars stationnent sous nos fenêtres et sous les fenêtres d’une clinique de maternité à partir de 5 heures du matin, ils nous font perdre le sommeil et nous font respirer les gaz de leur échappement, dont les effets sont cancérogènes, ils continuent à stationner ici, alors qu’une importante gare routière vient d’ouvrir ses portes à deux pas de notre cité», s’expriment nos interlocuteurs inquiets qui ne savent plus à quel saint se vouer pour retrouver le calme perdu.
A.Bekhaitia





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