الثلاثاء، يناير 5

الاخبار العاجلة لحدوث انفجار عنيف في ولاية سكيكدة ومدينة سكيكدة تعيش صدمة انفجار انبوب الغاز وسط مدينة سكيكدة والاسباب مجهولة

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سقوط قتلى في انفجار أنبوب غاز بمركب للتمييع بالمنطقة الصناعية في سكيكدة

Ain TemouchentPlus de 63.500 plants d’oliviers mis en terre en 2015 Pas moins de 63.505 plants d’oliviers ont été mis en terre à travers la wilaya d’Ain Temouchent, dans le cadre du programme complémentaire 2013 portant sur la plantation d’une superficie de 1.000 hectares d’oliviers, a-t-on appris lundi auprès de la direction des services agricoles (DSA).
Ces arbustes d’oliviers qui représentent une superficie de 317 ha en masse, ont bénéficié à 306 exploitations agricoles individuelles (EAI) et collectives (EAC), a indiqué Benaouda Boumediène, chargé des cultures pérennes à la DSA. La DSA a procédé, par ailleurs, à la distribution de 61.892 plants d’oliviers représentant une superficie de 310 ha en masse au profit de 274 bénéficiaires d’EAI et EAC, réparties à travers les 28 communes de la wilaya, a-t-on ajouté, précisant que les demandes reçues au niveau de la direction sont transférées aux subdivisions agricoles concernées, pour être honorées. Cette opération, qui s’ajoute au programme d’initiative locale ayant permis la mise en terre d’oliviers sur une superficie de 340 hectares, renforcera sensiblement la superficie oléicole totale de la wilaya d’Ain Temouchent qui passera de 9.400 actuellement à plus de 10.000 ha. Ce potentiel renforcera, également, la superficie oléicole productive estimée à 6.923 ha, a-t-on affirmé, invitant les investisseurs à lancer des unités de transformation et de conservation d’olives pour exploiter la totalité de la production de la wilaya estimée à plus de 121.000 quintaux cette année. Les cinq huileries et deux conserveries en exploitation à travers la wilaya ne peuvent pas atteindre cet objectif, a-t-on souligné rappelant que 50 pour cent de la production est transformé en huile. La DSA recense, par ailleurs, un nombre total d’un million d’oliviers dont la moitié en masse et l’autre en isolé. Cinq espèces d’olives sont répertoriées, à savoir la Sigoise qui, avec 55 pour cent, domine la filière, puisqu’elle donne aussi bien l’olive de table que celle destinée à la transformation en huile. Elle est suivie par le Chemlal (huile) 25 pour cent, l’Azeradj (20,5 pc) et la Manzoline (0,5 pc) qui est importée d’Italie, a-t-on fait savoir.
Ouargla
Campagne de lutte contre le commerce informel

La moitié des marchés anarchiques éradiqués La moitié des marchés anarchiques altérant le tissu urbain de la commune d’Ouargla ont été éradiqués, dans le cadre de la campagne de lutte contre le commerce informel menée depuis deux mois par les services de la commune, a-t-on appris lundi des responsables de cette collectivité locale. L’opération a permis durant cette période de déloger les commerçants informels installés dans les marchés de la ville, à l’exemple de Souk El-Hadjar ou de Souk-El-Had au cœur du vieux Ksar d’Ouargla, a précisé le président de l’Assemblée populaire communale, Abdelhamid Djezzar.
L’opération d’éradication du marché occupant l’esplanade du vieux Ksar d’Ouargla s’est heurtée à diverses contraintes nécessitant la prise de mesures coercitives lors de deux opérations successives pour déloger les commerçants concernés de ce lieu d’importance historique, devenu durant plusieurs années un lieu de commerce informel. Ces opérations ont été favorablement accueillies par les citoyens et usagers de la route traversant le site, et ont permis de rétablir l’image et la beauté des lieux et d’éliminer les aspects d’insalubrité et d’anarchie constituant des «points noirs» au cœur de la ville, du fait de l’exploitation par les commerçants informels des trottoirs et autres espaces publics. Devant le retour de certains vendeurs informels dans ces marchés, les services communaux projettent l’organisation d’une campagne d’assainissement en mobilisant les moyens humains et matériels nécessaires pour l’éradication des kiosques de commerce informel et le ramassage des déchets et détritus. M. Djezzar a fait état par ailleurs, dans le cadre de l’organisation des marchés locaux, du renforcement de ces espaces commerciaux en éclairage public, à l’instar du marché du vieux Ksar, un des sites historiques et archéologique de la région. 


Afin d’attirer les citoyens au crédit à la consommation La Renault Symbol sera accessible sans intérêts Le crédit à la consommation vient d’être relancé en 2016, dans sa nouvelle version spéciale «Made in Algeria». L’idée est considérée comme étant la baguette magique du gouvernement pour faire d’une pierre deux coups, à savoir l’accès du citoyen à certains types de produits d’une part et de promouvoir d’autre part le produit national. Selon les déclarations des hauts responsables de l’Etat, cette option animera la production nationale, en plus d’être une source de motivation pour les investisseurs locaux afin de perfectionner leur travail et faire ainsi face à la rude concurrence étrangère et aux exigences des Algériens.
Justement, les citoyens affichent une certaine réticence vis-à-vis de ce crédit où le cercle des produits concernés est fermé, seul le label «Mentouj Bladi» sera accessible. Selon les observateurs, si les Algériens ne montrent pas un vrai enthousiasme pour cette nouvelle formule du crédit à la consommation, c’est à cause du fameux taux d’intérêt qu’ils estiment excessif.
Afin de parer à ce refus qui se dessine de jour en jour, l’Etat a parié sur la seule voiture accessible via cette formule, la Renault Symbol de l’usine de Oued Tlélat, afin d’assurer la réussite de ce crédit à la consommation.
Ils sont même allés loin en déclarant hier que la Symbol sera accessible sans taux d’intérêt, un pas qui a pour but d’attirer le citoyen vers cette formule.
Ce partenariat qualifié comme gagnant-gagnant par la France et l’Algérie, symbolisé par l’usine RAP de Oued Tlélat, vient de sortir la 20.000e voiture.
Une cadence qui sera revue à la hausse cette année, avec l’entrée en vigueur du crédit à la consommation, surtout que la Symbol restera la seule voiture accessible via cette opération, de quoi inciter les responsables de la production à redoubler d’effort afin de satisfaire la demande qui sera sur une courbe ascendante. Dans une récente sortie médiatique, les patrons de cette unité de montage ont affirmé que toutes les mesures ont été prises par l’usine RAP afin de satisfaire la demande potentielle sur la Symbol en attendant de s’attaquer d’ici quelques mois à d’autres modèles de fabrication. L’usine RAP s’étend sur une superficie de 151 hectares, le site a coûté près de 50 millions d’euros et prévoit une augmentation des investissements jusqu’à 800 millions d’euros à moyen terme.
Alors que l’objectif fixé est d’atteindre un taux d’intégration nationale de 42% à l’horizon 2019. La conjoncture de l’économie nationale et les nouvelles mesures récemment décrétées par la loi de finances 2016 qui a largement diminué le nombre des importations de voitures, ce qui s’est reflété négativement sur le chiffre d’affaires des concessionnaires et au marché d’occasions, le prix des voitures a augmenté d’au moins 30 millions d’un seul coup. Une situation qui pourra faire les bonnes affaires des responsables de l’usine RAP de Oued Tlélat qui misent sur cette situation du marché pour vendre leur voiture ainsi que les nouveaux modèles qui seront mis sur le marché d’ici quelques mois. Seul bémol, le prix très élevé de la Symbol estimé à la vente ordinaire à 130 millions, un montant qui sera encore plus haut par facilité.
Le crédit à la consommation est un projet ambitieux qui risque d’être un énorme échec, si l’engouement des Algériens est faible, dans le cas échéant, ça sera un grand coup de pouce aux produits locaux.
Jalil Mehnane
Elles seront lancées dans les prochains jours par la SETRAM
De nouvelles formules pour lutter contre la fraude sur le tramwayLa SETRAM va lancer dans les tout prochains jours de nouvelles formules pour mieux lutter contre la fraude sur les rames du tramway d’Oran, a-t-on appris de sources concordantes.
Fini le temps des tickets vierges, les points de vente du tramway d’Oran vont dès les prochains jours procéder à la vente de tickets validés avec une durée de seulement deux heures dans le but de mettre un terme aux comportements inciviques de certains usagers de ce moyen de transport qui redoublent d’ingéniosité pour voyager gratis.
Pour les usagers qui ont pris l’habitude d’acheter des carnets pour bénéficier de remises, la direction de la SETRAM va mettre en vente des cartes d’abonnement hebdomadaires. il est à signaler que le nombre des brigades anti-fraude a augmenté et les effectifs des contrôleurs ont été renforcés ces derniers mois. Ainsi, une vingtaine de bridages sont opérationnelles sur les rames. Les effectifs des contrôleurs sont passés à 120.
Ces contrôleurs se relaient pour assurer un service continu sur les rames. La fréquentation du tramway d’Oran est en nette progresse depuis sa mise en service en 2013.
Entre 28.000 et 30.000 usagers fréquentent chaque jour ce moyen de transport à Oran pour se rendre au centre-ville ou aux deux universités de la ville (Es-Sénia et l’USTO). Ce moyen de transport compte de plus en plus d’adeptes parmi la population oranaise et nombreux sont les automobilistes qui garent leurs voitures pour se rendre au centre-ville à bord des rames du tramway pour éviter les embouteillages inextricables de cette zone de la ville. A. Saïd


La campagne de lutte contre le commerce informel s’étant essoufflée, le marché des voitures prend en otages les habitants de Saint EugèneIl était une fois l’espace public... 
En 2011, un certain mois d’août précisément, lorsque le Pre
mier ministre M. Abdelmalek Sellal, avait instruit les pouvoirs publics de déclarer la guerre au commerce informel, les citoyens avaient naïvement cru que l’Etat avait enfin décidé de mettre fin à ce fléau. 
Cependant, plus de 4 années après la mise en œuvre de cette décision, ce phénomène qui a gangrené tous les grands centres urbains du pays, y compris les localités les plus reculées, ne cesse de prendre de l’ampleur à telle enseigne que les tenants de cette forme illégale de commerce ont redoublé de férocité pour investir les sites que l’on croyait épargnés, comme les abords d’établissements hospitaliers, ceux des écoles et même les parties inférieures des structures d’ouvrages d’art, comme cela est notamment constaté dans une ville comme El Bahia où le commerce informel est roi. 
En effet, à quelques encablures de la capitale de l’Ouest, les adeptes du commerce illicite dont la prolifération a fortement contribué à enlaidir le paysage urbain de la cité chère à Ahmed Wahbi, Blaoui El Houari, Abdelkader Alloula, qui ont tant chanté son charme et sa beauté, se sont même enhardis pour squatter les abords du pont enjambant le CW 74 reliant Bir El Djir à Hassi Bounif, plus exactement au niveau du lieu-dit SOPAWO. 
Dans ce haut lieu de l’informel, chaque fin de journée, un gigantesque bouchon se forme sur plus d’un kilomètre, en raison de la présence massive de vendeurs occasionnels et du stationnement anarchique de leurs clients qui, pour un gain de quelques dinars, garent leurs véhicules pour s’y approvisionner, donnant du coup une légalité de fait à ce véritable chancre urbain où il n’est pas exclu que mêmes des responsables censés le combattre n’hésitent pas à y faire leurs emplettes. Cela se passe aussi au moment où les responsables locaux et les plus hautes autorités de l’Etat, multiplient les démarches pour doter El Bahia de structures dignes d’une grande métropole, à l’image des hôtels de haut standing, des trémies et autres projets structurants. Pourquoi Oran a-t-elle atteint un tel niveau de clochardisation, au point où même un hôpital comme celui de l’EHU 1er Novembre, a vu son esplanade envahie par des dizaines de commerçants illégaux dont l’effectif ne cesse de croître, face à la passivité des responsables locaux et des autorités locales ? (voir photo prise hier). Pourquoi aussi les courtiers du marché de voitures d’El Makarri (St-Eugène), continuent-ils de narguer les riverains et surtout les policiers, en squattant chaque jour que Dieu fait, les artères comme celles de Youbi Ali, (ex-rue Trollard), Bouaamama Ali (ex-rue Montgolfier), ou encore celle d’Abou Dirham, sans que les responsables locaux ne réagissent pour les y déloger définitivement et les contraindre par la force publique, à rejoindre le marché d’El Kerma qui a été réalisé à coups de millions de dinars pour justement éradiquer ce commerce qui cause tant de nuisance et de désagréments aux riverains ? Aussi, face à ces «intouchables» que sont les courtiers qui ont fini par dicter leur loi, les résidents des quartiers et cités affectés par cette activité, ont-ils décidé de se prendre en charge en protégeant leurs demeures par d’énormes bacs à fleurs ou encore par des sacs en jute remplis de débris de matériaux de construction, quand ce n’est pas tout simplement en y posant de gros blocs de pierre (voir photo prise hier). L’on pourrait citer d’autres exemples où les transgressions des règles élémentaires de l’urbanisme commercial et de l’urbanisme tout court, sont constatées et dénoncées par les citoyens qui attendent une réaction salutaire des responsables locaux pour les délivrer de leur cauchemar et de permettre du même coup à la capitale de l’Ouest de réussir son pari de se hisser au rang qui lui sied, mais qui est quotidiennement contrariée par les banu hilal des temps modernes.
A. Bekhaitia/Belhouari Salim 





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