اعتقد ان المواطن المتقاعد خالد نزار ورجل الاعمال الجزائري وصديق الاسلاميين يعارض تصريحات الاموات لمادا سكت عندما تكلم ايت احمد ان المواطن المتقاعد خالد نزار يعيش صدمات نفسية وعداب نفسي بسبب دماء الجزائر الحمراء ولعلا تصريحاته المتناقضة تكشف صراعات نفسية بين جنرال ومواطن متقاعد اكتشف انه ربح الاموال وخسر ارواح الجزائريين وعليه نرجو من المواطن المتقاعد خالد نزار ان يكشف الوثائق الرسمية بدل تقديم تناقضات اعلامية و ان مواطن متقاعد يعارض تصريحات الاموات دليل على العداب النفسي يقلق الحياة الاجتماعية للمواطن المتقاعد خالد نزار الدي ربح اموالخزينة الدولة الجزائرية وخسر مصداقية الشعب الجزائري علما ان تصريحات المواطن المتقاعد صدرت في صحيفة الشروق وليس في مملكة نزار الاعلامية حيث صحيفة الخبر وقناة الخبر فهل اكتشف الزعيم ان تزييف التاريخ يفضل في صحف وقنوات السعيد بوتفليقة بدل قنوات خالد نزار الاعلامية وختاما يانزار انك معدب بدماء الجزائريين وتصريحاتك دليل مرضك الاجتماعي وانك تدفع ضريبة التضحية بالجزائر البيضاء من اجل ثراء الجزائر الحمراء
وشر البلية مايبكي
بقلم نورالدين بوكعباش
مواطن بسيط مهمش منفي في مدينة قسنطينة
قسنطينة في 10جانفي
2016
http://www.algeriepatriotique.com/article/le-general-khaled-nezzar-precise-la-nature-de-ses-relations-avec-feu-hocine-ait-ahmed
Le général Khaled Nezzar précise la nature de ses relations avec feu Hocine Aït Ahmed
Les deux autres rencontres eurent lieu en Suisse, à Genève, l’une en juin 1993, l’autre fin décembre de la même année. Toutes deux l’ont été à mon initiative, par l’entremise de mon conseiller politique, le général Mohamed Touati. Cette initiative entrait dans le cadre de mes attributions au sein du HCE. Le moment s’inscrivait aussi dans la période grave caractérisée par la mort tragique du président Boudiaf, un terrorisme en expansion et l’approche de la fin du mandat du Haut Comité d’Etat, fixé solennellement à fin décembre 1993 par la proclamation du Haut Conseil de sécurité du 14 janvier 1992. A la même époque et pour la même raison, je reçus d’autres personnalités politiques dont Ahmed Taleb El-Ibrahimi à qui je demandai de prendre attache avec Cheikh Sahnoun pour qu’il use de son autorité morale afin de calmer les esprits.
Je n’ai à aucun moment proposé à feu Aït Ahmed le poste de président de la République, contrairement à ce que les uns et les autres ont déclaré. Le général Touati avait pour mission précise de le convaincre de rentrer au pays fin 1993, pour participer à la transition démocratique et aider à la solution de la crise dans laquelle se débattait notre pays. Sa réponse négative fut, à mon sens, une nouvelle occasion manquée. Je me dois de préciser qu’aucune personnalité politique ne s’était proposé, à l’époque, de participer à cette transition, ce qui explique l’évolution du pouvoir. La désignation de Liamine Zeroual en août 1993 préfigurait mon choix volontaire de faire valoir mes droits à la retraite et le transfert de prérogatives importantes au nouveau ministre de la Défense nationale, conformément au serment fait par les membres du Haut Comité d’Etat (HCE) de ne briguer aucune fonction une fois le mandat de Chadli mené à terme. Et, en dernier ressort, Zeroual, contraint et forcé, se fit violence et pallia la dérobade de l’ensemble de la classe politique, FLN en tête. Il fut désigné chef de l’Etat par le Haut Conseil de sécurité et, deux ans plus tard, élu par une confortable majorité, au cours d’un scrutin libre et transparent que personne n’a ou ne saurait contester.
Tout au long de ma carrière militaire, je me suis interrogé sur la responsabilité de nos hommes politiques. Que ce soit à l’époque du PPA-MTLD, à l’aube de la Révolution en 1954, en 1962, la période trouble de l’indépendance, en 1992 et tout au long de la période qui s’en suivra, marquée par une gouvernance chancelante qui, malheureusement, perdure. En grande majorité, ces hommes se sont soustraits à leur devoir. Mais que nous enseigne l’Histoire ? Que le destin des sociétés humaines est conditionné par le rôle assumé par leur armée durant les moments décisifs. Pour n’être pas seule à avoir répondu présent à l’heure des périls extrêmes – comme l’ont fait de par le monde d’autres forces militaires –, l’ANP s’honore de son engagement pour défendre le socle vital du pays et les fondements de la République.
Pour terminer mon propos concernant feu Aït Ahmed, j’ai eu à le rencontrer une dernière fois au procès de Paris où les tenants du «qui tue qui» se sont acharnés à me harceler et à jeter l’opprobre sur l’armée algérienne pour le rôle qu’elle a assumé, en toute conscience, durant la décennie tragique. Parmi ces zélateurs du mensonge, je cite notamment l’inénarrable José Garçon, partenaire de l’Internationale socialiste (l’IS) à laquelle avaient adhéré le défunt et son parti. Cette organisation – l’Internationale socialiste – est l’héritière directe de l’Internationale ouvrière socialiste française (l’IOS), incarnée par le triumvirat Mitterrand, Rocard et Jospin, et dont le courant a embrassé la période de la guerre d’Algérie et celle qui a suivi l’indépendance.
Dans son témoignage en faveur de Habib Souaïdia et à charge contre moi, il fit des déclarations virulentes devant le tribunal de la XVIIe Chambre. Pour ma part, je n’ai soufflé mot et ai tenu à rappeler aux magistrats français qui dirigeaient l’audience mon respect pour nos chefs historiques dont lui-même. Treize années plus tard, pour restaurer la sérénité, le calme et la paix dans notre pays, je ne voudrais soulever de vaines critiques contre personne ni tenir rigueur à quiconque. L’Histoire appréciera et Dieu, Juge Ultime, statuera en définitive sur le comportement des mortels que nous sommes.
Le général à la retraite Khaled Nezzar
J’ai mené le même combat que vous. J’ai cassé la chape de béton. J’ai vécu au niveau des unités, avec des jeunes, et il y avait une chape de béton. Vous le savez très bien, M. Aït-Ahmed, il y avait des roitelets, ils existaient. On a réussi quand même. Seulement les événements politiques, malheureusement, nous ont entraînés dans une spirale dont je ne suis pas responsable, que ce soit 1988 ou 1991.
J’étais jeune à l’époque, très jeune. J’ai fait l’armée et j’étais un des aspirants les plus jeunes. Des gens ont écrit : « Qu’il cite ses promotions. » Alors je cite, j’ai pris des notes, comme à l’école, comme cela on ne peut pas oublier. [Inaudible.]
J’étais jeune à l’époque, j’ai milité et j’ai rejoint le maquis en 1957. Depuis, je n’ai jamais quitté mes unités, et, je le dis sous serment, je suis arrivé à Alger le 1er janvier 1985. Tout mon temps, je l’ai passé dans des unités de combat. Je suis un homme de terrain. Moi, je ne fais pas de politique…
M. Aït-Ahmed. — C’est tout le problème !
M. Nezzar. — Ma conviction et les circonstances m’ont attaché à la politique, mais je l’ai quittée dès que j’ai pu, parce que je ne suis pas politique.
J’ai un souvenir douloureux. En 1962, le 19 mars, je me souviens, lorsque vous avez fait la réunion du CNRA… [Inaudible.] Et M. Ali Haroun, dans son livre, a repris cette phrase qui est très bonne et qui disait : « C’est dommage pour ce CNRA qui a fonctionné pendant toute la révolution et qui, au dernier moment, au lieu de ramener la clé pour ouvrir la porte… » C’est vrai, je suis d’accord avec lui, vous en êtes un peu responsable, beaucoup en sont responsables. Nous étions jeunes à l’époque. M. Aït-Ahmed, je vous respecte beaucoup, vous êtes un « historique » pour moi, vous êtes un chef…
M. Aït-Ahmed. — Je ne le suis plus.
Je considérais les obligations de ma profession d’ethnologue comparables à celles des avocats, avec la différence qu’elle me contraignait à défendre une population au lieu d’une personne, « 1934-1940 : ethnologue dans les Aurès ».
Très cher frère et voisin de contrée je suis d’EL-MADHER et toi de SERIANA, une distance de 30 kms environs, mais ton passé est rempli d’égard et de respect dû à votre rang mon très cher frère, tu as été et tu restera l’homme et l’exemple vivant ; tu as su insuffler une vie meilleur à ton pays et ton peuple dans sa diversité d’Algérien et cela est pour nous un signe d’un homme engagé et responsable devant l’histoire de son pays et de son peuple !!!
Tu as mené un combat au risque de ta vie, mais ALLAH t’a préservé celle-ci, Dieu merci, que tu es toujours parmi nous, « une bibliothèque » , vivante de nos jour pour contredire les faussaire de l’histoire d’Algérie et humilier son brave peuple, celui du Nif et de la bravoure, tu as réussi d’inscrire ton nom en lettres d’Or dans l’histoire de notre très chère patrie, « ALGERIE MON AMOUR », l’homme qui a été élevé sous l’ail du Burnous de son Maitre HOUARI BOUMEDIENE, RAHIMOUH ALLAH, OUA KOUL MINE SABAKOUH !!!
Je suis Chaoui et fier de l’être, mais sans concession aucune, je n’ai pas écrit ce texte pour vous faire plaisir, mais votre passé et votre engagement pour notre pays fait de toi un homme au sens du mot, mais cette horde d’hyènes croques morts, vous êtes et vous resterez digne du nom que vous portez, que plaise où non aux détracteurs !!!!
Cordialement : Un Algérien Chaoui d’ici et d’ailleurs !!!
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