الأحد، يناير 10

الرسالة العاجلة الى المواطن المتقاعد رجل الاعمال خالد نزار انك تدفع ضريبة التضحية المجانية بالجزائر البيضاء

الرسالة العاجلة الى  المواطن  المتقاعد   رجل الاعمال خالد نزار   انك تدفع ضريبة  التضحية  المجانية بالجزائر  البيضاء 
اعتقد  ان  المواطن  المتقاعد  خالد نزار ورجل الاعمال  الجزائري وصديق الاسلاميين   يعارض تصريحات  الاموات   لمادا سكت عندما  تكلم ايت احمد    ان المواطن  المتقاعد  خالد نزار  يعيش   صدمات  نفسية وعداب   نفسي بسبب  دماء  الجزائر الحمراء    ولعلا تصريحاته  المتناقضة تكشف    صراعات  نفسية بين  جنرال   ومواطن  متقاعد اكتشف انه ربح الاموال وخسر  ارواح  الجزائريين  وعليه نرجو من  المواطن  المتقاعد   خالد نزار   ان  يكشف الوثائق الرسمية بدل تقديم   تناقضات  اعلامية و ان مواطن متقاعد  يعارض تصريحات الاموات   دليل على  العداب النفسي  يقلق الحياة الاجتماعية  للمواطن  المتقاعد خالد نزار   الدي ربح اموالخزينة الدولة  الجزائرية وخسر  مصداقية الشعب الجزائري علما ان تصريحات  المواطن المتقاعد صدرت في  صحيفة الشروق وليس  في مملكة نزار الاعلامية حيث  صحيفة الخبر  وقناة الخبر  فهل اكتشف  الزعيم ان  تزييف التاريخ يفضل في  صحف وقنوات  السعيد بوتفليقة بدل قنوات  خالد نزار الاعلامية وختاما  يانزار  انك معدب  بدماء الجزائريين  وتصريحاتك دليل  مرضك الاجتماعي   وانك تدفع ضريبة  التضحية بالجزائر  البيضاء من اجل ثراء  الجزائر الحمراء 
وشر البلية مايبكي
بقلم نورالدين  بوكعباش
مواطن بسيط   مهمش   منفي   في مدينة قسنطينة
قسنطينة في  10جانفي 

2016

http://www.algeriepatriotique.com/article/le-general-khaled-nezzar-precise-la-nature-de-ses-relations-avec-feu-hocine-ait-ahmed

Le général Khaled Nezzar précise la nature de ses relations avec feu Hocine Aït Ahmed

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L'ancien ministre de la Défense nationale, le général à la retraite Khaled Nezzar. Sid-Ali/New Press
L'ancien ministre de la Défense nationale, le général à la retraite Khaled Nezzar. Sid-Ali/New Press
On doit aux morts le respect et aux vivants la vérité. Surtout lorsque les médias s’adressent à notre opinion depuis longtemps désinformée. Mais avant d’aborder notre sujet, je tiens à présenter mes sincères condoléances à la famille de Si L’Hocine Aït Ahmed. La décence nous commandait à plus de retenue envers la mémoire du défunt. Alors que sa dépouille n’était pas rapatriée ni inhumée, des informations sans nombre – dont certaines constituent de flagrantes contre-vérités – inondaient les champs médiatiques. Certes, beaucoup ont écrit ou parlé sous l’emprise de l’émotion après la disparition du dernier des «neuf chefs historiques». Mais souvent derrière une apparente sincérité, se profilait l’arrière-pensée politicienne. Ces pratiques polluent davantage l’atmosphère trouble et l’opacité dans lesquelles pataugent nos concitoyens. C’est pourquoi j’ai évité de commenter à chaud certaines erreurs, quand bien même auraient-elles une portée historique. Durant la période de deuil, je m’étais astreint à la réserve qu’il convient d’observer face à la mort. Il est nécessaire maintenant – pour ne pas faire de ces affirmations fallacieuses et répétées des vérités établies – d’y apporter les indispensables rectificatifs. Feu Aït Ahmed, un des leaders de la Révolution, entrera dans l’histoire de l’Algérie contemporaine pour ses idées de démocrate et la non-compromission avec le pouvoir. Quant à son parcours, comme celui de tout moudjahid et homme politique postindépendance, il est du domaine public. S’agissant de faits importants marquant un moment charnière de notre histoire immédiate, j’ai le devoir de rappeler ce que j’ai rapporté dans mes ouvrages et, en la circonstance, mes différents rapports avec Aït Ahmed. La démission du président de la République, le 9 janvier 1992, faisait de l’armée l’arbitre de la situation. En tant que ministre de la Défense nationale, d’énormes responsabilités politiques allaient m’échoir. C’est ainsi que le soir même, j’ai invité Aït Ahmed à un entretien, comme j’ai invité d’ailleurs d’autres personnalités politiques ou de la société civile. Il fut le premier à être reçu. Accompagné de deux personnes, il m’est apparu bouleversé, répétant : «C’est un coup d’Etat ! C’est un coup d’Etat !» Je compris d’autant moins ce désarroi que je l’avais invité pour l’informer que la démission de Chadli était volontaire, qu’elle plongeait néanmoins le pays dans la crise, mais qu’un groupe planchait sur la question pour lui trouver la solution adéquate. Non convaincu, il repartit dans le même esprit. La seconde rencontre eut lieu aussitôt après l’interruption du processus électoral. Elle s’est déroulée à Dar El-Affia, toujours à ma demande. Le sachant soupçonneux, je le reçois à l’entrée. En faisant les cent pas, nous entamons la discussion à l’intérieur de l’enceinte ; il paraissait alors quelque peu décontracté, conseillant de revenir aux élections, non sans préciser toutefois que «ce qui est fait est fait».
Les deux autres rencontres eurent lieu en Suisse, à Genève, l’une en juin 1993, l’autre fin décembre de la même année. Toutes deux l’ont été à mon initiative, par l’entremise de mon conseiller politique, le général Mohamed Touati. Cette initiative entrait dans le cadre de mes attributions au sein du HCE. Le moment s’inscrivait aussi dans la période grave caractérisée par la mort tragique du président Boudiaf, un terrorisme en expansion et l’approche de la fin du mandat du Haut Comité d’Etat, fixé solennellement à fin décembre 1993 par la proclamation du Haut Conseil de sécurité du 14 janvier 1992. A la même époque et pour la même raison, je reçus d’autres personnalités politiques dont Ahmed Taleb El-Ibrahimi à qui je demandai de prendre attache avec Cheikh Sahnoun pour qu’il use de son autorité morale afin de calmer les esprits.
Je n’ai à aucun moment proposé à feu Aït Ahmed le poste de président de la République, contrairement à ce que les uns et les autres ont déclaré. Le général Touati avait pour mission précise de le convaincre de rentrer au pays fin 1993, pour participer à la transition démocratique et aider à la solution de la crise dans laquelle se débattait notre pays. Sa réponse négative fut, à mon sens, une nouvelle occasion manquée. Je me dois de préciser qu’aucune personnalité politique ne s’était proposé, à l’époque, de participer à cette transition, ce qui explique l’évolution du pouvoir. La désignation de Liamine Zeroual en août 1993 préfigurait mon choix volontaire de faire valoir mes droits à la retraite et le transfert de prérogatives importantes au nouveau ministre de la Défense nationale, conformément au serment fait par les membres du Haut Comité d’Etat (HCE) de ne briguer aucune fonction une fois le mandat de Chadli mené à terme. Et, en dernier ressort, Zeroual, contraint et forcé, se fit violence et pallia la dérobade de l’ensemble de la classe politique, FLN en tête. Il fut désigné chef de l’Etat par le Haut Conseil de sécurité et, deux ans plus tard, élu par une confortable majorité, au cours d’un scrutin libre et transparent que personne n’a ou ne saurait contester.
Tout au long de ma carrière militaire, je me suis interrogé sur la responsabilité de nos hommes politiques. Que ce soit à l’époque du PPA-MTLD, à l’aube de la Révolution en 1954, en 1962, la période trouble de l’indépendance, en 1992 et tout au long de la période qui s’en suivra, marquée par une gouvernance chancelante qui, malheureusement, perdure. En grande majorité, ces hommes se sont soustraits à leur devoir. Mais que nous enseigne l’Histoire ? Que le destin des sociétés humaines est conditionné par le rôle assumé par leur armée durant les moments décisifs. Pour n’être pas seule à avoir répondu présent à l’heure des périls extrêmes – comme l’ont fait de par le monde d’autres forces militaires –, l’ANP s’honore de son engagement pour défendre le socle vital du pays et les fondements de la République.
Pour terminer mon propos concernant feu Aït Ahmed, j’ai eu à le rencontrer une dernière fois au procès de Paris où les tenants du «qui tue qui» se sont acharnés à me harceler et à jeter l’opprobre sur l’armée algérienne pour le rôle qu’elle a assumé, en toute conscience, durant la décennie tragique. Parmi ces zélateurs du mensonge, je cite notamment l’inénarrable José Garçon, partenaire de l’Internationale socialiste (l’IS) à laquelle avaient adhéré le défunt et son parti. Cette organisation – l’Internationale socialiste – est l’héritière directe de l’Internationale ouvrière socialiste française (l’IOS), incarnée par le triumvirat Mitterrand, Rocard et Jospin, et dont le courant a embrassé la période de la guerre d’Algérie et celle qui a suivi l’indépendance.
Dans son témoignage en faveur de Habib Souaïdia et à charge contre moi, il fit des déclarations virulentes devant le tribunal de la XVIIe Chambre. Pour ma part, je n’ai soufflé mot et ai tenu à rappeler aux magistrats français qui dirigeaient l’audience mon respect pour nos chefs historiques dont lui-même. Treize années plus tard, pour restaurer la sérénité, le calme et la paix dans notre pays, je ne voudrais soulever de vaines critiques contre personne ni tenir rigueur à quiconque. L’Histoire appréciera et Dieu, Juge Ultime, statuera en définitive sur le comportement des mortels que nous sommes.
Le général à la retraite Khaled Nezzar

Commentaires
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L'internationale $ioniste il convient plutôt de dire et, quand ces individus se mêlent de vos affaires, vous pouvez être sur que les problèmes commencent et d'ailleurs cela continue ...
Une intervention un peu tardive. Le concerné est mort et ne peut répondre.
Je vous l’accorde, mais simplement je suis un spectateur de cette scène. J’étais responsable de la reconversion de l’armée, je suis tout à fait d’accord avec les idées que vous donnez, je les ai appliquées. Les services de sécurité dont on parle, parlons-en. Personnellement, je n’ai pas mis les œufs dans le même panier : j’ai créé la DGSE au niveau de la présidence, j’ai créé la DCE au niveau du chef d’état-major, j’ai créé le DRS au niveau du ministre de la Défense. J’ai dit à l’époque à la police, parce que la police n’avait pas encore ce qui était l’équivalent de la DST ici en France : « Prenez le temps nécessaire de former votre unité. » J’ai voulu le faire d’une manière classique. Je n’ai rien inventé, je ne réinvente pas la poudre. J’ai appris dans les écoles, j’essaie d’appliquer…
J’ai mené le même combat que vous. J’ai cassé la chape de béton. J’ai vécu au niveau des unités, avec des jeunes, et il y avait une chape de béton. Vous le savez très bien, M. Aït-Ahmed, il y avait des roitelets, ils existaient. On a réussi quand même. Seulement les événements politiques, malheureusement, nous ont entraînés dans une spirale dont je ne suis pas responsable, que ce soit 1988 ou 1991.
M. Nezzar. — M. le président, je voudrais tout d’abord remercier M. Aït-Ahmed d’avoir été présent aujourd’hui. Par sa présence, il nous a permis déjà d’élever un peu le débat et de discuter des problèmes qui se sont posés en Algérie depuis le début et qui viennent de très loin.
J’étais jeune à l’époque, très jeune. J’ai fait l’armée et j’étais un des aspirants les plus jeunes. Des gens ont écrit : « Qu’il cite ses promotions. » Alors je cite, j’ai pris des notes, comme à l’école, comme cela on ne peut pas oublier. [Inaudible.]
J’étais jeune à l’époque, j’ai milité et j’ai rejoint le maquis en 1957. Depuis, je n’ai jamais quitté mes unités, et, je le dis sous serment, je suis arrivé à Alger le 1er janvier 1985. Tout mon temps, je l’ai passé dans des unités de combat. Je suis un homme de terrain. Moi, je ne fais pas de politique…
M. Aït-Ahmed. — C’est tout le problème !
M. Nezzar. — Ma conviction et les circonstances m’ont attaché à la politique, mais je l’ai quittée dès que j’ai pu, parce que je ne suis pas politique.
J’ai un souvenir douloureux. En 1962, le 19 mars, je me souviens, lorsque vous avez fait la réunion du CNRA… [Inaudible.] Et M. Ali Haroun, dans son livre, a repris cette phrase qui est très bonne et qui disait : « C’est dommage pour ce CNRA qui a fonctionné pendant toute la révolution et qui, au dernier moment, au lieu de ramener la clé pour ouvrir la porte… » C’est vrai, je suis d’accord avec lui, vous en êtes un peu responsable, beaucoup en sont responsables. Nous étions jeunes à l’époque. M. Aït-Ahmed, je vous respecte beaucoup, vous êtes un « historique » pour moi, vous êtes un chef…
M. Aït-Ahmed. — Je ne le suis plus.
IL A BIEN FAIT CE QU'il avait cru bon pour le pays !
Il faudrait lire "Procès pour la verité" un livre coécrit par Khaled Nezar et Mohamed Maarfia pour mesurer tout l'acharnement contre Nezar et l'ANP par les tenants du "qui tue qui" lors du procés de Paris. Honte à tous ceux qui etaient appelés à la barre comme temoins à charge rivalisant entre eux pour blanchir les hordes integristes de leurs crimes et les imputer aux forces de securité Algeriennes notamment à l'ANP. Vive tous les officiers janvieristes.
Ce n’est pas de moi, mais de Mme GERMAINE TILLON
Je considérais les obligations de ma profession d’ethnologue comparables à celles des avocats, avec la différence qu’elle me contraignait à défendre une population au lieu d’une personne, « 1934-1940 : ethnologue dans les Aurès ».
Très cher frère et voisin de contrée je suis d’EL-MADHER et toi de SERIANA, une distance de 30 kms environs, mais ton passé est rempli d’égard et de respect dû à votre rang mon très cher frère, tu as été et tu restera l’homme et l’exemple vivant ; tu as su insuffler une vie meilleur à ton pays et ton peuple dans sa diversité d’Algérien et cela est pour nous un signe d’un homme engagé et responsable devant l’histoire de son pays et de son peuple !!!
Tu as mené un combat au risque de ta vie, mais ALLAH t’a préservé celle-ci, Dieu merci, que tu es toujours parmi nous, « une bibliothèque » , vivante de nos jour pour contredire les faussaire de l’histoire d’Algérie et humilier son brave peuple, celui du Nif et de la bravoure, tu as réussi d’inscrire ton nom en lettres d’Or dans l’histoire de notre très chère patrie, « ALGERIE MON AMOUR », l’homme qui a été élevé sous l’ail du Burnous de son Maitre HOUARI BOUMEDIENE, RAHIMOUH ALLAH, OUA KOUL MINE SABAKOUH !!!
Je suis Chaoui et fier de l’être, mais sans concession aucune, je n’ai pas écrit ce texte pour vous faire plaisir, mais votre passé et votre engagement pour notre pays fait de toi un homme au sens du mot, mais cette horde d’hyènes croques morts, vous êtes et vous resterez digne du nom que vous portez, que plaise où non aux détracteurs !!!!
Cordialement : Un Algérien Chaoui d’ici et d’ailleurs !!!
A monsieur anonyme,petite leçon de géographie l'Algérie c'est 2.381.741 kilomètres carrés et le Sahara et donc son pétrole appartient à l'Algérie et donc aux Algériens,800 milliards dépenser vous dite,peut-être,mais sur un point je vous rejoins,les hôpitaux,les écoles,les logements sociaux,les autoroutes,les tramways,le métro l'armement pour l'ANP,etc etc cela coûte cher et de plus même des pays développés exploitent le pétrole pour leur développement à moins que vous ne soyez pas Algérien monsieur l'anonyme.....
bravo mon général,l Algérie a encore besoin d hommes comme vous .vous n étés pas de ceux qui des leur fin d activité se murent dans leur silence craignant de faire réapparaitre d anciens dossiers dans lesquels ils sont compromis .vraiment votre courage n a d égal que votre dignité

هناك 3 تعليقات:

غير معرف يقول...


alrrisalat aleajilat 'iilaa almuatin almutaqaeid rajul al'aemal khalid nizar 'innak tadfae daribat alttadhiat almujaniat bialjazayir albayda'
'aetaqid 'ann almuatin almutaqaeid khalid nizar warajul al'aemal aljazayiri wasadiq al'iislamiiyn yuearid tasrihat al'amwat lmada sakat eindama takallam ayt 'ahmad 'ann almuatin almutaqaeid khalid nizar yaeish sadamat nafsiatan waeidab nafsi bsbb dima' aljazayir alhamra' walaeala tasrihatih almutanaqidat takshif siraeat nafsiatan bayn jiniral wamuatin mutaqaeid aiktashaf 'annah rbh al'amwal wakhasir 'arwah aljazayiriiyn waealayh narju min almuatin almutaqaeid khalid nizar 'an yakshif alwathayiq alrrasmiat bdl taqdim tanaqudat 'iielamiat w 'ann muatin mutaqaeid yuearid tasrihat al'amwat dalil ealaa aleiddab alnnafsi yaqlaq alhayat alaijtimaeiat lilmuatin almutaqaeid khalid nizar aldy rabbah amwalkhzynt alddawlat aljazayiriat wakhasir misdaqiat alshshaeb aljazayiri eilmaan 'ann tasrihat almuatin almutaqaeid sadarat fi sahifat alshshuruq walays fi mamlakat nizar al'iielamiat hayth sahifat alkhubar waqanat alkhubar fahal aiktashaf alzzaeim 'ann tazyif alttarikh yufaddil fi suhuf waqanawat alssaeid butafliqat bdl qanawat khalid nizar al'iielamiat wakhatamaan yanzar 'innak maedab bidama' aljazayiriiyn watasrihatik dalil mrdk alaijtimaei wa'innak tadfae daribat alttadhiat bialjazayir albayda' min ajl thra' aljazayir alhamra'
washarr albalyat maybki
baqallam nurialdyn bwkebash
muatin basit muhimmash manfi fi madinat qsntyn
qasntint fi 10janfy
2016
Message urgent pour les citoyens, homme d'affaires à la retraite Khaled Nizar vous payez l'impôt en Algérie libre sacrifice blanc
Je pense que le citoyen retraite Khaled Nizar et l'homme-algérien islamistes et ami opposent les remarques morts Pourquoi silencieuse Ait Ahmed quand il a parlé a dit le citoyen à la retraite Khaled Nizar vivent un traumatisme psychologique et moi Aadab à cause du sang de l'Algérie rouge et Ola remarques contrastées révéler les conflits psychologiques entre le général et le citoyen pris leur retraite a découvert qu'il a remporté l'argent et les âmes perdues Algériens Nous espérons donc que le citoyen retraite Khaled Nizar de révéler les documents officiels au lieu de fournir les contradictions de médias et qu'un citoyen retraité opposition à de morts remarques la preuve de Alaadab psychologique préoccupé par la vie sociale du citoyen, à la retraite Khaled Nizar mon profit papa Amwalkhozanh l'Etat algérien et la crédibilité perdue du peuple algérien noter que les déclarations de citoyens retraités faites dans journal lever et pas dans le royaume de Nizar médias, où de nouvelles de journal chaîne leader d'Al Khobar-ce qui a découvert la falsification de l'histoire de préférence dans les journaux et les chaînes Said Bouteflika à la place de Khalid Nizar canaux et des médias Eanzar Enfin, vous MADB le sang des Algériens et vos déclarations guide de la maladie sociale et vous payez sacrifier fiscale en Algérie blanc pour la richesse de l'Algérie rouge
Et le mal fléau Maepki
Par Noureddine Bokaabac
Simple citoyen marginalisée exil dans la ville de Constantine
Constantine en Janvier 10
2016

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وزير الدفاع الأسبق الجنرال المتقاعد خالد نزار يُواصل شهاداته لـ"الشروق" / الجزء الثاني
أنا من أوقف الانتخابات.. وبلخادم حلّ البرلمان!
date 2016/01/09 views 19166 comments 161
http://www.echoroukonline.com/ara/articles/268479.html

غير معرف يقول...

CV DE TLIBA:
CE ZÉRO OUED SOUF
EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE:
VIDEUR À ANNABA 4 ANS
MILITANT DU FIS 6 ANS
TRAFIQUANT PENDANT AU MOINS 20 ANS
RÉALISATINS:
IL A NETTOYÉ LES BOTTES DE SAID 100%
IL A APPRIS À LIRE 12 PHRASES EN ARABE
IL A PERCÉ DANS UN CERCLE DE VOYOUS COMME LUI
BONJOUR ET MERCI AUX GENS DE ANNABA