الجمعة، ديسمبر 16

الاخبار العاجلة لاكتشاف نساء الجزائر ان رجال الجزائر يمارسون مهنة الطلاق العشوائي لمجرد خروج المراة الى الاسواق ويدكر ان المحاكم الجزئارية تشتكي من تفاهة قضايا الطلاق العشوائي ويدكر ان رجال الجزائر يعانون من امراض انفصام الشحصية والعقد النفسية ومن غريب الصدف ان رجال الجزائر يطلقون نساء الجزائر من اجل الخروج بدو استئدان الى الاسواق بينما يقوم رجال الجزائر بمخالطة العاهرات دون استشارة زوجاتهم وشر البلية مايبكي

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الاخبار   العاجلة   لاكتشاف   نساء  الجزائر ان رجال  الجزائر   يمارسون مهنة   الطلاق   العشوائي   لمجرد   خروج  المراة  الى الاسواق  ويدكر ان  المحاكم   الجزئارية تشتكي من   تفاهة  قضايا  الطلاق العشوائي ويدكر ان  رجال  الجزائر يعانون من امراض   انفصام  الشحصية والعقد النفسية ومن غريب  الصدف ان  رجال  الجزائر   يطلقون  نساء الجزائر من اجل  الخروج بدو استئدان  الى  الاسواق بينما  يقوم رجال  الجزائر   بمخالطة  العاهرات   دون  استشارة  زوجاتهم  وشر  البلية مايبكي
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الاخبار  العاجلة    لاكتشاف الجزائريين بوادر  الاطاحة    بوزراء سلال   والجزائريين يرشحون   وزير الصحة    لانهاء مهامه بعد فضيحة   دواء صديقه   زعيبط  ويدكر ان  زعيبط وبوضاف   اصدقاء   بامتياز   ويحتفظ سكان قسنطينة بلقاءات ودية  بين زعيبط  وبوضياف في قسنطينة ويدكر ان  وزير الصحة بوضياف   يملك اراضي  وعقارات بقسنطينة كما  يملك شركة الادوية   ومن غريب  الصدف ان  وزير  الصحة   من  اكثر  الشخصيات   الجزائرية  كدبا على  الجزائريين ويدكر ان  والي قسنطينة  السابق   
طلب من  احد المحامين  رفع دعوي قضائية  ضد مواطن  لكون المواطن من معارضي  الوالي بوضياف   وشاءت الصدف ان يعترف المحامي اان  رسائل المواطن   ضد الوالي  سبب انزعاجه  ويدكر ان  المحامي  عمل كعضو بالمجلس الولائي  بقسنطينة   ومنح لاخيه  جائزة  بن باديس فهل ادركتم  الحكم  الديكتاتوري   للوالي بوضياف  بقسنطينة وفي انتظار انهاء مهام  وزير الصحة  يتداول سكان  قسنطينة فضائح  الوالي بوضياف بقسنطينة وشر  البلية مايبكي
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الاخبار   العاجلة   لاكتشاف  الجزائريين  ان  مسرحية  دواء زعيبط   لعبة سياسية  هدفها   تسلية  الشعب  الجزائري عن احداث انهيار  الانظمة  العربية  النائمة  والاسباب  مجهولة
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الاخبار   العاجلة  لبحث للجنة  الولائية   لقسنطينة عن ارض شاغرة لدفن  سكان  قسنطينة  والاسباب مجهولة

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الاخبار    العاجلة    لاكتشاف   مستمعي قسنطينة عن   شكاوي   نسائية  من   الطلاق  العشوائي  لرجال قسنطينة ويدكر ان  رجال قسنطينة   يقبلون على الزواج  من اجل   وضع  خادمات  للوالدين   بينما  يواصلون  بحثهم  عن المتعة الجنسية  مع عاهعرات قسنطينة ويدكر ان  ان المدينة الجديدة  بقسنطينة اصبحت تلقب  بمدينة   عاهرات قسنطينة    خيث  تحولت  عمارات  المدينة  الجديدة الى بيوت  دعارة  شعبية   رسميا والاسباب مجهولة





Instantané : Sauver le cœur de la ville

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le 15.12.16 | 10h00 Réagissez


Le visage abominable du centre-ville de Constantine s’est montré dans toute sa «splendeur», hier, au nouveau wali de Constantine. En osant la marche entre la rue 19 Juin et la rue Larbi Ben M’hidi, Kamel Abbas a pu peut-être prendre la mesure du désastre et offrir ses sens aux agressions multiples auxquelles est livré le citoyen lambda quasi quotidiennement. Surpopulation, insalubrité, violence, auxquelles s’ajoutent les stigmates des chantiers de «Constantine, capitale de la culture arabe», de triste mémoire.
Le cœur historique de la ville de Constantine n’a jamais atteint un niveau pareil de clochardisation, n’en déplaise aux partisans de la moitié pleine du verre, qui, d’ailleurs, ont pour la plupart des responsabilités dans cette situation. M. Abbas n’a vu qu’une portion infime du centre-ville, il gagnerait, à notre sens, à refaire l’expérience pour mieux cerner la catastrophe et, qui sait, trouver des solutions pour extirper les fléaux qui rongent ce centre, à commencer par le commerce informel et l’activité commerciale en général, tellement excessive.
M. Abbas devrait aussi se méfier des cadres de son administration qui ont intérêt à dissimuler leur totale défaillance sur ce dossier, eux qui ont initié, ou du moins cautionné l’ensemble des opérations ratées, eux qui ont manqué d’intelligence quand il a été question de dégager des solutions globales et durables pour offrir une seconde vie à ce centre-ville, au moment où l’Etat pouvait encore mettre la main à la poche. Il y a dix ans, les autorités locales avaient initié un projet ambitieux pour la requalification du tissu urbain de Constantine, en associant un panel d’universitaires.
Cette initiative, même si elle a été justement critiquée, fut salutaire, parce qu’elle a permis de rompre avec la navigation à vue érigée en politique de gestion de la ville de Constantine. Elle fut, hélas, interrompue, dès le remplacement du wali, les universitaires ont été remerciés et les gestionnaires à court d’idées ont repris le pouvoir. 2015, fut leur chef-d’œuvre ! En témoignent le fameux mur d’eau, le mirador inutile et la structure en toc de la place des Martyrs, sans oublier la meute de chiens errants qui vient prendre des bains de soleil. Que choisira le nouveau wali ?


Nouri Nesrouche
 

Face à la défection des pouvoirs publics

Le centre-ville livré au commerce informel

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le 15.12.16 | 10h00 Réagissez
 
 Devant le siège de la BNA, un spectacle de désolation
Devant le siège de la BNA, un spectacle de désolation

La récente fermeture du vieux remblai avec l’évacuation de la multitude de camelots qui occupaient cet espace a, semble-t-il, contribué en grande partie à grossir les rangs des vendeurs informels de la place du 1er Novembre et Rahbat Ledjmal.

Le commerce informel à Constantine est des plus florissants. Un petit tour au centre-ville nous permet en effet de constater que celui-ci jouit d’une impunité quasi totale. Pratiquement toutes les artères et les moindres espaces sont squattés par des dizaines de vendeurs à la sauvette. Chaussettes bon marché, montres, vêtements, téléphones portables d’origine plus que douteuse, sont proposés aux badauds. Mais la Mecque en matière de vente informelle reste à n’en point douter la place du 1er Novembre et Rahbet Ledjmal, haut lieux du négoce des devises fortes, où les cambistes ont pignon sur rue à Constantine.
Mais pas uniquement, puisque des dizaines de vendeurs informels ont pris l’habitude de squatter cette place à longueur de journée pour finir par déborder sur les rues adjacentes. A noter, d’autre part, que les travaux qui devaient être effectués au niveau de ces rues dans le cadre de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe» n’ont toujours pas été achevés. Les gravats et l’amoncellement de matériaux de construction laissés sur place par les entreprises chargées de ces travaux sont toujours là pour en témoigner.
L’on peut remarquer par ailleurs que l’accès à la Banque nationale d’Algérie (BNA), située place du 1er Novembre, est devenu difficile. La raison en est la marée humaine qui vend et achète ces produits à même l’entrée de ladite agence bancaire. Les clients sont ainsi obligés de jouer des coudes pour y accéder, et ce, en dépit de la présence sur ces lieux d’une dizaine de policiers en tenue, dont l’unique mission visiblement est d’empêcher le stationnement des véhicules.
Nous avons pu remarquer d’ailleurs que la place en question est quadrillée par des barrières métalliques pour empêcher les véhicules d’y pénétrer, laissant le champ libre aux vendeurs informels d’y exercer leur activité en toute tranquillité, contribuant de ce fait à défigurer l’image déjà bien écornée de la ville. Une image que les autorités n’essaient pas d’améliorer. La récente fermeture du vieux remblai, avec l’évacuation de la multitude de camelots qui occupaient cet espace sans envisager une solution de rechange pour les absorber, a, semble-t-il, contribué en grande partie à grossir les rangs des vendeurs informels de la place du 1er Novembre et Rahbat Ledjmal.
Nombre de vendeurs à la sauvette que nous avons interrogés à cet endroit nous ont affirmé, en effet, qu’ils possédaient auparavant des étals de fortune au vieux remblai et qu’après sa fermeture, ne sachant où aller, ils ont dû se résoudre à se déplacer à Rahbet Ledjmal pour tenter de gagner leur vie. Une situation qui n’a pas manqué d’engendrer des tensions, nous ont-ils avoué, avec les vendeurs domiciliés sur place, qui voyaient d’un très mauvais œil ces nouveaux arrivants.
Ceci dit, le retour en force du phénomène du commerce informel au centre-ville de Constantine est dû avant tout au laxisme affiché par les autorités, lesquelles ferment les yeux sur ces pratiques. En se gardant de sévir contre ces vendeurs, par crainte d’éventuels débordements, ces mêmes autorités, qui tentent de préserver la paix sociale, le font finalement au détriment de l’image de la ville et de la tranquillité de ses citoyens.
F. Raoui



Mohamed Tamalt : La défense demandera dimanche le dossier médical complet

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le 16.12.16 | 10h00 Réagissez

«J’entamerai la procédure judicière à partir de dimanche» , a déclaré Amine Sidhoum, l’avocat de la famille de Mohamed Tamalt, journaliste freelance détenu depuis juillet dernier et en grève de la faim, décédé dimanche dernier.

«Nous voulons connaître la vérité et rien que la vérité sur les raisons de l’hospitalisation et du décès de Mohamed Tamalt», exige maître Sidhoum. «Le médecin légiste m’a fait comprendre que Tamalt était mort suite à une infection pulmonaire contractée par des germes hospitaliers. Je trouve que c’est dégradant de parler encore d’infections en 2016.» Et d’ajouter : «A partir de dimanche, nous allons formuler nos demandes officielles aux différents ministres et au procureur général, leur demandant le dossier médical complet du défunt depuis El Harrach jusqu’à son hospitalisation et son décès.
Le ministre de la Justice avait parlé de rapport d’autopsie. Nous concernant, nous pensons que ses conclusions sont insuffisantes. Il est nécessaire d’avoir tout le dossier médical, à commencer par le scanner, l’IRM, jusqu’au constat de décès. Nous ne pouvons nous limiter aux conclusions des médecins de Bab El Oued. Nous avons beaucoup d’experts qui peuvent, eux aussi, donner leur avis là-dessus.» Joint par téléphone, Abdelkader, le frère du défunt, déclare pour EL Watan Week-end que la famille Tamlat «compte sur ses avocats pour faire le suivi du dossier du défunt journaliste».
«Des avocats sont chargés de suivre l’affaire et de faire le nécessaire. La famille compte aussi sur le traitement médiatique de manière à faire toute la lumière et que la vérité éclate. Nous comptons sur l’appui des journalistes afin de faire toute la lumière sur l’affaire du décès de mon frère», explique-t-il. Sur la question de la collaboration de la tutelle, maître Sidhoum met en garde : «Si la tutelle ne remet pas le dossier, cela veut dire qu’elle a des choses à cacher.»
Associations
La mort du journaliste continue de susciter des réactions. Le front Line Defenders, le Rassemblement Action Jeunesse (RAJ), le Réseau des avocats pour la défense des droits de l’homme, EuroMed Droits avec ses membres en Algérie, la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme, SOS Disparus, CFDA et le Snapap appellent, dans un communiqué rendu public hier,  «les autorités algériennes à ouvrir une enquête indépendante, approfondie et transparente dans les plus brefs délais afin d’élucider les circonstances de la mort de Mohamed Tamalt».
Les mêmes associations et organsiations demandent à «libérer les défenseurs des droits humains et activistes de la société civile qui sont en prison pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression et de cesser le harcèlement judiciaire à leur encontre». Autre demande signée dans le communiqué  est de «garantir la liberté d’expression en conformité avec la Constitution algérienne et le Pacte international pour les droits civils et politiques, ratifié par l’Algérie».
Le collectif appelle également «l’Union européenne et ses Etats membres à contacter les autorités algériennes et leur faire part de leurs préoccupations quant aux circonstances de la mort de Mohamed Tamalt et de la nécessité d’une enquête impartiale et transparente».
Nassima Oulebsir







de même et vérifier l’authenticité de ces informations. Les gens sur qui il écrivait voulaient que Tamalt les laisse tranquilles, eux, leurs familles et leurs amis, car ils sont au pouvoir.
 
Meziane Abane
 









Saâd Bou

akba. Chroniqueur au quotidien El Khabar

L’affaire n’était qu’une histoire de règlement de comptes

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le 16.12.16 | 10h00 Réagissez


- Vous êtes le premier journaliste à avoir alerté l’opinion publique sur l’état de santé de Mohamed Tamalt et sur sa situation en prison.  Quel est votre ressenti depuis sa disparition ?
Je suis effondré. Je le considérais comme un fils. J’avais une relation particulière avec lui car il était étudiant à Londres avec mon fils. Je connais aussi sa famille avec qui j’entretiens de très bonnes relations depuis de longues années. Je savais que le pouvoir voulait conclure un accord avec lui. Certaines personnes voulaient que Tamalt cesse d’écrire sur elles en contrepartie d’un pardon et d’un retour sans problème en Algérie. Mais elles l’ont mis en prison.
Sa détention était arbitraire car il n’avait pas été inquiété à l’aéroport. Les services de sécurité l’ont interpellé près de chez lui, alors qu’il n’était pas poursuivi en justice. S’il y avait diffamation, c’était à la justice de le convoquer et de le juger, mais la sentence ne pouvait dépasser une simple amende. Le changement de prison dont il a fait l’objet a démontré que l’affaire n’était qu’une histoire de règlement de comptes et non une sanction.
Mais j’avais d’autres craintes. Je savais que s’il lui arrivait quoi que ce soit, cela enfoncerait encore une fois l’image du pays et pourrait nous mettre à nouveau face à la crise. C’est le pouvoir qui voulait lui régler son compte et c’est à lui de résoudre le problème.  Il a porté atteinte à la vie d’une personne et c’est à lui d’en assumer les conséquences.
- Dans l’une de vos chroniques, vous avez accusé certaines sphères du pouvoir d’avoir orchestré le retour de Tamalt dans le but de l’incarcérer. Vous avez même avancé des noms. Pensez-vous que Tamalt ait été piégé ?
C’est Tamalt lui-même qui me l’avait raconté quand on s’était vus, en février dernier à Londres. Il m’avait dit qu’il avait été contacté par deux personnes. La première était un député algérien établi en Algérie et le deuxième le chef de la sécurité de notre représentation à Londres. J’ai vérifié l’information pour le chef de la sécurité, mais je n’ai que les déclarations de Tamalt concernant le député, qui a d’ailleurs démenti cette information.
J’avais conseillé à Tamalt de ne pas les croire. Je lui avais dit qu’il pouvait seulement rentrer s’il avait les garanties du président de la République en personne. Mais il n’a pas voulu m’entendre. Il voulait retrouver sa mère et me disait qu’elle le pleurait chaque soir et qu’elle avait vraiment envie de le revoir. Maintenant, je ne peux vous dire s’il était piégé ou pas. Tout ce que je sais, c’est que si un Etat promet quelque chose, il est dans l’obligation de s’y tenir. Il s’agit là d’un Etat, qui doit respecter ses promesses.
- Peut-on inscrire l’affaire Tamalt dans le registre du délit de presse ?
Non, je ne le pense pas. Je suis convaincu que c’était un règlement de comptes. Même si on peut dire aujourd’hui que ses écrits ne répondaient aucunement aux règles de l’écriture journalistique, mais ils restent véridiques. Ce que publiait Tamalt (textes ou photos) sur sa page facebook était fondé à 99%.
On ne peut qualifier ses publications d’atteinte aux personnes, car ce qu’il partageait était vérifié. Ses informations étaient justes. Le juge devrait en faire de même et vérifier l’authenticité de ces informations. Les gens sur qui il écrivait voulaient que Tamalt les laisse tranquilles, eux, leurs familles et leurs amis, car ils sont au pouvoir.





الأربعاء 14 ديسمبر 2016



الخميس 15 ديسمبر 2016


هناك تعليقان (2):

غير معرف يقول...

Hicham Missabih
Hicham Missabih
الرئيس مشلول والشعب مذلول ومول الشكارة اسرق الغلة والمحصول وقيمة الدينار طاحت وصار قليل المدخول والعاقل أصبح مهبول والمستقبل راهو مجهول, تطلب حقك من عند المسؤول يقولك ارجع غدوة راني مشغول والفقاقير عايشين بالعدس والفول والملايير راهي عند سلال العتروس و شكيب خليل و الحاج عمار الغول ..
https://www.facebook.com/profile.php?id=100013061762686

غير معرف يقول...

الصحافة لاتحتاج الى تكريم وانما الحقيقة تصنع مصداقية الصحفي سيدتي اتمني ان يكرمك التلفزيون الجزائري لانك بنت التلفزيون اما تكريمات الاخرين قمجرد ديكور اشهاري وشكرا
Karima Abbad a ajouté 15 photos — avec Redouane Zine et Ahmed Adimi.
14 décembre, 22:04 · Alger, Wilaya d'Alger ·

حظيت بشرف المشاركة في الملتقى الوطني الثاني حول الإعلام الأمني الذي نظمه قسم الإعلام والإتصال بجامعة جيلالي اليابس بسيدي بلعباس بالتنسيق مع أمن ولاية سيدي بلعباس يومي 05 و 06 ديسمبر 2016، بمداخلة حول ''تجربتي الإعلامية في مجال التحقيقات الأمنية الشرطية''، حيث تم تكريمي بالمناسبة.....الملتقى الذي حضره خيرة الأساتذة و بعض الإعلاميين كان فضاءا رحبا للإغتراف من مختلف المناهل البحثية و الممارسات الميدانية في أحد أهم الحقول البحثية تخصصا ''الإعلام الأمني '' الذي أخذ مداه في القاموس