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Forum africain d’investissements et d’affaires
Quand la presse publique boycotte Haddad et le FCE
Abdelmalek
Sellal a quitté la salle qui accueillait l’ouverture du Forum africain
d’investissements et d’affaires qui s’est ouvert, ce samedi 3 décembre, à
Alger, en plein discours d’Ali Haddad. (Crédit : Sidali Djarboub /
NEWPRESS ©)
Il y a encore quelques jours, le
Forum africain d’investissements et d’affaires, ouvert hier sous le
« haut patronage » du président Bouteflika, était présenté par les
médias publics comme l’événement de l’année. Face aux ambitions
africaines du Maroc, l’Algérie a décidé de sortir l’artillerie lourde en
allant sur un terrain qu’elle avait jusque-là abandonné au vision de
l’Ouest : l’investissement.
Mais l’incident du départ du Premier ministre et des membres du gouvernement pour des raisons de protocole semble avoir tout gâché. Hier, au journal de 20 heures de l’ENTV, l’événement a été relégué au second plan, après un sujet de plus de 8 minutes sur Ben Bella.
Le Forum africain d’investissements et
d’affaires n’a eu droit qu’à une petite minute d’antenne dont une partie
a été consacrée au passage du discours de Sellal évoquant le rôle de Bouteflika en Afrique. Rien sur le discours de Haddad ni sur les grandes ambitions du Forum et encore moins sur le FCE et les chefs d’entreprises, censés être en première ligne.
Même tonalité dans la presse écrite. El Moudjahid
consacre certes sa Une à l’événement. Mais c’est uniquement pour parler
du discours de Sellal. Dans un éditorial, le journal souligne : « Le
Forum africain de l’investissement et des affaires, qui se tient à Alger
depuis hier, a pour ambition de consolider la position diplomatique de
notre pays par une présence économique sur le continent ». Peut-être un
rappel en direction de Haddad qui a grillé la politesse au numéro 1 de la diplomatie algérienne Ramtane Lamamra, en prenant la parole avant lui, provoquant le départ du Premier ministre.
L’ambassadeur d’Algérie à Paris démis de ses fonctions
Amar Bendjemaa a été démis de ses fonctions d’ambassadeur d’Algérie à Paris, a-t-on appris de source bien informée.
Il était en poste depuis le 30 septembre
2013. Il avait remplacé à ce poste Missoum Sbih, remercié de manière
brutale lors de l’hospitalisation du président Bouteflika à Paris.
On ignore les raisons de ce limogeage.
ثنى على سلاّل وبرّر غياب بوشوارب وتعهد بتحمل المسؤولية
حدّاد يُراجع حساباته في هدوء ودبلوماسية !
ي.س
ردّ رئيس منتدى رؤساء المؤسسات، علي حداد، على كلّ من شكك في نجاح المنتدى الإفريقي للاستثمار الذي عقد منذ يوم السبت وإلى غاية اليوم، مؤكدا نجاحه قائلا :"لأول مرة ننجح في تنظيم مثل هذا الملتقى في الجزائر"، معترفا بأن المؤتمر قد تخلّلته بعض الأخطاء، على غرار الخطأ البروتوكولي الذي أغضب سلال، واعدا بأنه "سيعمل على تصحيحها في المستقبل".
وجاءت التصريحات عقب موجة الانتقادات الذي طالت تنظيم هذا الأخير لأول منتدى استثمار إفريقي بالجزائر، والذي حاول من خلاله جمع شتات الأفارقة على طبق اقتصادي واحد، خصوصا والحادثة التي شغلت بال الرأي العام حال مغادرة الوزير الأول، عبد المالك سلال، قبل الكلمة التي كان حداد بصدد إلقائها، ودافع حداد بشدة عن نجاح هذا مشروعه وجعل الفضل في ذلك لرعاية رئيس الجمهورية عبد العزيز بوتفليقة، كما لم ينس أن يشيد بدور الحكومة أيضا في ذلك قائلا بأنها “ساهمت في نجاحه” بشكل كبير، مفنّدا كل الادعاءات التي نمّت عن خلاف بين ابن الأفسيو، حداد، والحكومة.وفي سياق الغيابات التي شهدها اختتام المنتدى الإفريقي للاستثمار، خاصة من الوزير الأول، عبد المالك سلال، ووزير الصناعة والمناجم، عبد السلام بوشوارب، والتي فسّرها الكثيرون بأنها دليل واضح على الانشقاق “البائن” بين الحكومة و”ابنها المدلل” قال علي حداد في هذا الشأن، بأن علاقته مع سلال جدّ قوية، وبرّر غياب بوشوراب بأنه “مريض” مؤكدا أن غيابه كان لسبب صحي لا غير.
وحسب الكثيرين، لم تزل هذه التصريحات الضبابية التي تكتنف العلاقة الحقيقية الموجودة بين الحكومة وعلي حداد وحول حقيقة ما الذي حدث منذ بداية المنتدى، فقد اعتبر الكثيرون أن مثل هذه التصريحات كانت “دبلوماسية” أكثر منها حقيقية .
Forum africain d’investissements : entretien avec Ali Haddad
Ali Haddad, président du FCE. (Crédit : Sidali Djarboub / NewPress ©)
Le Premier ministre s’est retiré au moment où vous avez entamé votre discours. Les ministres et d’autres participants l’ont suivi. Que s’est-il passé ?
Rien ne s’est passé mis à part une
petite maladresse de l’animatrice concernant le déroulement du
programme. Dans le programme, le Premier ministre devait prononcer son
allocution avant de quitter la salle pour ses obligations
gouvernementales. L’animatrice devait l’annoncer avant de me demander de
monter sur scène. Sauf que quand elle a vu le Premier ministre
s’asseoir, elle a cru qu’il avait changé de programme et décidé
d’assister à toute la conférence. Elle m’a donc invité à monter sur
scène. J’avais moi-même cru que le programme avait changé. Donc,
j’entame mon discours et je n’ai pas vu ce qui s’est passé dans la salle
par la suite. J’étais très à l’aise. Et il n’était pas prévu que le
ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, intervienne.
Le retrait du Premier ministre au moment où vous avez entamé votre discours a suscité beaucoup d’interrogations. Est-ce qu’on peut se permettre ce genre de choses dans un événement aussi important pour l’Algérie ?
Au total, quatre parties organisent
l’événement : le ministère des Affaires étrangères en premier lieu
puisqu’il préside le comité, le ministère de l’Industrie, le ministère
du Commerce et le FCE. Pour ce qui est du FCE, je peux dire qu’il a très
bien fait son travail. Nous avons pu accomplir toutes les tâches qui
nous ont été confiées. Mais je vous rappelle que c’est la première fois
qu’un événement de cette dimension se tient en Algérie. Évidemment, nous
ne sommes pas hyper-professionnels. Le comité a décidé que tout soit
fait par des Algériens. Évidemment qu’il y a eu des maladresses et des
gens qui n’étaient peut-être pas contents. Pour moi, c’est une
réussite ! Je considère avoir fait mon devoir vis-à-vis de mon pays. La
salle était remplie. Les présents ont pu poser leurs questions. Un débat
a eu lieu. Pour moi, c’est le plus important. Le reste, ce sont des
maladresses et des erreurs qu’on doit éviter à l’avenir.
Qui n’a pas bien fait son travail ?
C’est l’animatrice qui n’a pas bien fait
son travail. (L’animatrice est fonctionnaire du ministère des Affaires
étrangères, NDLR).
Tout se passe donc bien avec le Premier ministère et le gouvernement ?
Très bien.
C’est le Premier ministre qui sera présent pour la clôture ?
C’est le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb, qui fera la clôture.
Certains pays sont absents du forum. Pourquoi ?
Nous avons invité 24 pays et ils sont
tous présents. Le comité n’a pas invité les présidents et les Premiers
ministres de ces pays car il s’agit d’un forum économique. C’est pour
cela que peu d’officiels étaient présents.
Donc, vous faites un bilan positif de la première journée ?
Pour nous, c’est parfait. Il y avait
plus de 200 exposants (algériens). Nous avons pu montrer les produits
algériens. Tout le monde était content. Beaucoup reste à faire. Nous
avons demandé aux gens de faire plus d’efforts pour qu’on puisse
exporter nos produits. Aujourd’hui, certains opérateurs vont signer des
contrats.
Pourquoi Issad Rebrab, PDG du premier groupe algérien Cevital, était absent hier ?
Une invitation du président du Forum des
chefs d’entreprises (FCE) a été adressée à Issad rebrab. La secrétaire
générale du FCE est là pour témoigner de l’acheminement de cette
invitation. Elle a même discuté avec le concerné qui lui avait expliqué
qu’il avait des engagements à l’international. On ne peut obliger
personne à assister au Forum.
Sur le même sujet :
Gouvernement – FCE : la crise
Forum africain d'investissement et d'affaires
©Sidali Djarboub / New Press
L’incident de samedi
à l’ouverture du Forum africain de l’investissement et des affaires a
provoqué un mini-séisme politique. Il inaugure une crise ouverte entre Ali Haddad et le premier ministre Abdelmalek Sellal.
En effet, selon nos sources, Ali Haddad a
sciemment ignoré le programme officiel du Forum et décidé de prendre la
parole juste après le premier ministre Abdelmalek Sellal, alors qu’il
n’était prévu qu’en quatrième intervenant après Ramtane Lamamra et Abdeslam Bouchouareb.
« Haddad ne pouvait pas ignorer le
programme. Il connaît très bien les règles du protocole. Il ne pouvait
pas parler avant Ramtane Lamamra et surtout il n’était pas prévu que
Sellal assiste à l’allocution du chef du FCE. Sur ces points, tout était
clair avant l’ouverture du Forum », affirme une source proche des
organisateurs.
Selon nos sources, Ali Haddad n’a pas
laissé beaucoup de choix à Abdelmalek Sellal. Ce dernier a pris la
décision de quitter la salle pour éviter un affront. « Certes, il y a
l’image de l’Algérie à l’étranger. Mais avant l’image de l’Algérie, il y
a la prééminence de l’État et de ses institutions. C’est plus important
que tout. Sellal ne pouvait rester sans réagir face à un tel affront »,
justifient-elles. Avec son coup de force, « Ali Haddad a cherché à
asseoir un peu plus le pouvoir de l’argent », accusent-elles. Pour
Sellal, la décision de quitter la salle est un signal fort envoyé aux
« oligarques » : « Il y a des limites à ne pas franchir ».
Dans cette affaire, Abdelmalek Sellal
n’est pas le seul à avoir été contrarié. Ramtane Lamamra, ministre
d’État, ministre des Affaires étrangères, est furieux. Pour lui,
l’incident constitue un véritable affront. Le patron de la diplomatie
est en effet en première ligne sur les dossiers africains sensibles,
notamment le Sahara occidental et le retour du Maroc au sein de l’Union africaine. L’homme avait besoin d’asseoir sa crédibilité face à ses interlocuteurs africains. C’est raté.
Les diplomates des AE ne digèrent pas
non plus l’affaire. Durant la préparation du Forum, le ministère des
Affaires étrangères, pourtant co-organisteur de l’événement, a été
« complètement dominé » par le FCE, selon les propos d’un proche du
dossier. « Les représentants du FCE ont fait preuve d’une incroyable
arrogance avec les diplomates chargés de préparer l’événement »,
affirme-t-il. « Ils nous ont empêchés de travailler », a confié un
diplomate à un des organisateurs.
Cette crise constitue le premier
véritable test pour Ali Haddad. Jusque-là, le patron du FCE a pu, sans
conséquences, enfreindre certaines règles avec les membres du
gouvernement. Mais cette fois, il a touché à un domaine sensible : la
diplomatie.
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