الاخبار العاجلة لقيام وفد اداعي من القناة الاولي الاداعية بزيارة عمل وتفقد لاداعة ولاية قسنطينة والاسباب مجهولة
Voilà le palais du Bey, dont la façade est neutre, et une vieille mosquée, sur une place rénovée.
Les carrelages sont magnifiques, j'ai éprouvé une grande frustration à ne pas pouvoir les mettre dans ma boite à images...pour les admirer à loisir...
Pour le reste...
Portes sculptées, fresques et carrelage...
Nous aurions aimé partager ce moment sur la place avec les chibani attablés, lisant le journal... Mais pas de place en terrasse, pas
... où se trouve un marché, de petites échoppes avec du pain d'orge, de grosses roues briochées, des épices en tous genres, et des étals avec des herbes, des racines, des baies, toutes bonnes pour la santé, mais on ne sait pas vraiment quels sont leurs bienfaits...
Nous traversons ce quartier qui tombe en ruines, et qui pourtant continue à être habité, et trouvons le fameux pont suspendu, le pont Sidi M'Cid.
Vue vertigineuse sur le Rhumel, prise du pont.
La circulation autour et dans la ville de Constantine est réputée
difficile, nous le constatons. Le terrain escarpé ne facilite pas les
choses.
Même s'il y a encore beaucoup de choses à faire, il semble que cela bouge : un téléphérique ultra moderne relie les deux rives, un tramway est en cours de réalisation, plutôt dans la ville basse, beaucoup de ponts enjambent le Rhumel, un autre est en construction...
Nous repartons vers Sétif, sous un ciel toujours aussi bas...
Sétif, est située sur les Hauts Plateaux, à 1100 mètres d'altitude.
Autant dire, temps froid et ensoleillé, quand ce n'est pas nuageux !
Nous faisons le marché.
Quelques prix...
Les klimontin sont délicieuses, les pommes de terre du désert itou...
De beaux légumes, des étals colorés et variés.
Je voulais voir l'hôtel Frantz Fanon.
Un réparateur de montres sur le trottoir, devant le théâtre, travail minutieux qui attire les badauds...
Cette statue tranquille et sereine, Ain Fouara, a été enlevée par les intégristes pendant les années de terrorisme. Les habitants de Sétif se sont mobilisés de telle sorte qu'ils ont exigé le retour de la belle, et ont eu gain de cause..
Les gens se font photographier à ses pieds, à côté, c'est une vraie institution à Sétif.
Nous passons par un jardin, en principe fermé, mais la porte étant entrouverte, Rika dit qu'on ne reste pas longtemps... La gardien accepte, en effet, des jardiniers taillent de grands tilleuls dans l'allée centrale.
Des stèles votives et funéraires jalonnant le chemin, ne peuvent que rappeler le passé romain de Sétif et de sa région.
Oui, nous sommes en Algérie !
Au dessus, un site romain laissé à l'abandon, dont certaines pierres ont servi à construire une maison...
http://automne-en-berberie.blogspot.com/2012/11/constantine-setif.html
Constantine, Sétif...
Une virée plein est, vers Constantine... Le soleil qui le matin tôt resplendissait, nous a laissées choir en cours de route, et nous a fait un ciel grise mine...
Dommage pour la lumière, pour les paysages grandioses qui se sont noyés dans la brume...
Cela veut dire que j'y reviendrai ! Avec le soleil !
Ville sise sur une roche scindée par l'oued Rhumel, et qui
a débordé de l'autre côté de la faille... D'où plusieurs
ponts qui enjambent le torrent en furie..
Les Constantinois sont très fiers de leur ville, peu ouverte au tourisme.
Plusieurs fois, on nous a saluées, tellement peu d'européens dans les parages !
Plusieurs fois, on nous a saluées, tellement peu d'européens dans les parages !
Voilà le palais du Bey, dont la façade est neutre, et une vieille mosquée, sur une place rénovée.
Le palais est devenu un musée, les lieux sont entièrement préservés, les
jardins luxuriants, le guide sympathique, mais les photos sont
interdites... Sauf, si on pose dessus !
Les carrelages sont magnifiques, j'ai éprouvé une grande frustration à ne pas pouvoir les mettre dans ma boite à images...pour les admirer à loisir...
Le jardin des palmiers, ou des orangers, luxe, calme et volupté...
Sauf qu'à l'époque, ce n'était pas si calme !Pour le reste...
Portes sculptées, fresques et carrelage...
Un aperçu des fresques sur les murs, relatant les voyages à La Mecque du
Bey. Il en a fait quatre, qui ont duré six à huit mois chacun...
Nous aurions aimé partager ce moment sur la place avec les chibani attablés, lisant le journal... Mais pas de place en terrasse, pas
envie d'être reléguées à l'intérieur...
Alors, on s'enfonce dans une ruelle de la Casbah...
Alors, on s'enfonce dans une ruelle de la Casbah...
... où se trouve un marché, de petites échoppes avec du pain d'orge, de grosses roues briochées, des épices en tous genres, et des étals avec des herbes, des racines, des baies, toutes bonnes pour la santé, mais on ne sait pas vraiment quels sont leurs bienfaits...
Nous traversons ce quartier qui tombe en ruines, et qui pourtant continue à être habité, et trouvons le fameux pont suspendu, le pont Sidi M'Cid.
Vue vertigineuse sur le Rhumel, prise du pont.
La vue au loin est parait-il
extraordinaire, mais elle est pour nous noyée dans la brume.
La roche est truffée de routes, de tunnels, il y avait même un chemin
qui longeait la faille, qui n'existe plus actuellement, qui devrait être
réhabilité...
Ainsi va la vie : certains préfèrent regarder la réalité en face, d'autres lui tournent résolument le dos...
Nous prenons un ascenseur qui nous dépose sur une passerelle enjambant
le Rhumel. De là, une vue sur une ancienne medersa de style
néo-mauresque qui accueille de temps en temps des expositions.
La vue y est imprenable !
La vue y est imprenable !
Même s'il y a encore beaucoup de choses à faire, il semble que cela bouge : un téléphérique ultra moderne relie les deux rives, un tramway est en cours de réalisation, plutôt dans la ville basse, beaucoup de ponts enjambent le Rhumel, un autre est en construction...
Sétif, est située sur les Hauts Plateaux, à 1100 mètres d'altitude.
Autant dire, temps froid et ensoleillé, quand ce n'est pas nuageux !
Nous faisons le marché.
Quelques prix...
Les klimontin sont délicieuses, les pommes de terre du désert itou...
De beaux légumes, des étals colorés et variés.
Je voulais voir l'hôtel Frantz Fanon.
J'en avais entendu parler lors d'une conférence sur lui à Oran.
Des rues, des avenues, des places, des lycées portent son nom, et il n'y a que cet hôtel, privé, qui l'arbore...
Cet hôtel date de 2006, et c'est celui que mes amis conseillent.
Un réparateur de montres sur le trottoir, devant le théâtre, travail minutieux qui attire les badauds...
Cette statue tranquille et sereine, Ain Fouara, a été enlevée par les intégristes pendant les années de terrorisme. Les habitants de Sétif se sont mobilisés de telle sorte qu'ils ont exigé le retour de la belle, et ont eu gain de cause..
Les gens se font photographier à ses pieds, à côté, c'est une vraie institution à Sétif.
Nous passons par un jardin, en principe fermé, mais la porte étant entrouverte, Rika dit qu'on ne reste pas longtemps... La gardien accepte, en effet, des jardiniers taillent de grands tilleuls dans l'allée centrale.
Des stèles votives et funéraires jalonnant le chemin, ne peuvent que rappeler le passé romain de Sétif et de sa région.
Un arbre amoureux d'une stèle, l'embrassant d'une branche câline...
Cette boule de marbre tourne sur elle même, uniquement portée par les jets d'eau...
Très belle fontaine !
Nous marchons ensuite le long du parc, où des fouilles ont été menées, jusqu'au musée.
Là, nous avons la chance d'admirer une magnifique mosaïque ''le triomphe
de Dionysos", datant du IIIème siècle après JC. Les tesselles sont de
toute petite taille, de 2 mm à 2 cm..., ce qui donne une définition très
fine du dessin.
Pas de photos, bien sûr, mais on nous donne un poster et un livret...
Une visite très complète du musée, avec un étudiant connaissant bien
son topo et un chercheur, qui ajoutait des détails pointus. Passionnante
visite...
Mons
Avant de quitter l'est, un dernier tour dans la vallée suisse...
Des suisses se sont installés vers 1880,en sont repartis une trentaine
d'années plus tard. Ils ont apporté leur savoir faire, ont créé une
minoterie, ont capté l'eau, et ont laissé une vallée luxuriante...
Au dessus, un site romain laissé à l'abandon, dont certaines pierres ont servi à construire une maison...
Un tout petit aperçu de l'Algérie romaine...
http://automne-en-berberie.blogspot.com/2012/11/constantine-setif.html
ليست هناك تعليقات:
إرسال تعليق