الجمعة، ديسمبر 29

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Algérie Télécom à El Khroub (Constantine)

Des abonnés dénoncent une mauvaise qualité des services

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le 16.10.17 | 12h00 Réagissez

C’est une image qui reflète clairement la dégradation des services d’Algérie Télécom à El Khroub. Elle nous a été transmise par des abonnés de la cité 1200 logements, qui dénoncent le laisser-aller manifeste régnant dans les lieux.

Une armoire téléphonique ouverte aux vents, des câbles apparents et des déchets de toutes sortes. «Cette situation dure depuis des mois, et les câbles sont exposés au mauvais temps, mais aussi aux rongeurs, ce qui explique aussi la dégradation des lignes ; chose que nous avons signalée à maintes reprises aux services d’Algérie Télécom, mais sans résultat», déplore un abonné.
Ce dernier soutient aussi que même les doléances adressées ne sont pas prises sérieusement en charge. «Moi personnellement, ma ligne téléphonique est en dérangement depuis le mois d’août dernier, causant des perturbations dans la liaison ADSL. Malgré toutes les réclamations quasi quotidiennes adressées au service concerné et même au directeur de wilaya d’Algérie Télécom, la situation n’a guère changé et jusqu’à ce jour je suis toujours sans liaison téléphonique», affirme-t-il.
Pour notre interlocuteur, à l’instar des autres abonnés qui connaissent le même calvaire, la situation va de mal en pis. «Au vu de la dégradation de l’armoire téléphonique, qui est un exemple parfait du laisser-aller des services concernés, peut-on encore parler de qualité de service avec des responsables dont l’inertie n’est plus à démontrer», conclut-il.                  
 
Arslan Selmane

Constantine

Réalisation d’un village touristique dédié à l’artisanat

Un village touristique dédié à l’artisanat sera implanté dans la nouvelle ville Ali Mendjeli (Constantine), a appris l’APS, du vice-président de la Fédération des métiers et de l’artisanat. L’idée de réaliser ce projet, premier du genre dans la wilaya, émane de «la nécessité de préserver le patrimoine culturel et les métiers ancestraux de l’artisanat qui sont en voie de disparition», a indiqué Hassen Ben Si Zerara, soulignant qu’une superficie de 70 000 m2 a été réservée pour la concrétisation de ce projet.
D’une enveloppe financière de 2,9 milliards de dinars, ce méga village touristique est composé de 2 000 locaux, d’une salle d’exposition s’étendant sur 1700 m2, d’une aire de jeux et de plusieurs autres commodités. Le même responsable a également souligné que ce village englobe un centre de formation réservé à l’artisanat pour les jeunes apprenants doté de pavillons d’hébergement. En plus de la création de près de 4500 postes d’emploi permanents, la concrétisation de ce projet permettra de booster les secteurs du tourisme et de l’artisanat et contribuera à promouvoir le savoir-faire de la ville des Ponts, a-t-on noté.
 

Dégradation de la Cité Benboulaïd (Constantine)

Les habitants dénoncent

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le 31.10.17 | 12h00 Réagissez


Les riverains évoquent l’effondrement de plusieurs murs de soutènement de la cité sous le double effet du glissement de terrain et de l’érosion du sol.

Construite au début des années 1960 et composée uniquement d’immeubles, la cité Benboulaïd se dégrade inexorablement. Les bâtiments jamais repeints et aux façades jaunies par le temps ne sont plus qu’un amas d’appartements superposés où tout manque. Les jours de pluie sont vécus comme un calvaire par les habitants qui voient leurs murs et plafonds infiltrés par la pluie.
«Nous avons sollicité à maintes reprises les services de l’OPGI pour des travaux d’étanchéité, mais ces derniers ne sont jamais intervenus», nous assure l’un des résidents. En plus des innombrables fuites dans le réseau d’alimentation en eau potable, les habitants évoquent également l’effondrement de plusieurs murs de soutènement de la cité sous le double effet du glissement de terrain et de l’érosion du sol que connaît cette partie de la ville.
Les escaliers de la plupart des immeubles, qui tombent en ruines, et dont certains se sont carrément écroulés, constituent une autre préoccupation pour les habitants. Ces derniers souhaitent qu’une expertise soit effectuée par les services de l’OPGI pour constater l’étendue des dégâts occasionnés par les intempéries, mais aussi par le manque d’entretien de leur cité.
Une cité dont l’état de dégradation est tel, estiment-ils, qu’elle ne peut plus permettre une vie décente à ses occupants. Certains parmi ces habitants souhaitent d’ailleurs que leurs logements soient considérés comme précaires par les autorités pour pouvoir bénéficier d’une opération de recasement dans le cadre du programme de wilaya de résorption de ce type d’habitat.
 
F. Raoui

Centre hippique de Constantine

Le blocage d’une nouvelle association soulève des questions

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le 29.10.17 | 12h00 Réagissez

Le climat délétère persiste au club hippique de Constantine (CHC) à cause d’une situation qui ne cesse de se compliquer. Actuellement les adhérents font l’objet de plusieurs décisions qualifiées d’abusives, de la part de l’association qui gère le club, avec le consentement des administrations concernées.

Ce pourquoi les propriétaires des chevaux et les cavaliers réclament l’intervention du wali, Abdessamie Saïdoun, pour leur rendre justice contre le traitement qui leur est reservé par l’administration et l’association qu’ils jugent illégale.
Rappelons que tout a commencé au mois de décembre dernier, lorsque les adhérents ont dénoncé des travaux d’aménagement illicites au sein du centre.
Ces travaux menés par l’association consistent à exploiter une partie du centre (notamment les écuries), pour réaliser un projet privé aux visées lucratives. Dans le même objectif, un espace de sport et de loisirs destiné aux jeunes de la cité Boussouf, à savoir le terrain Mateco, a été complètement rasé par l’association susmentionnée, sans qu’il y ait une autorisation officielle des administrations concernées, à l’instar de la commune et la DJS. Bizarrement, les initiateurs de ce projet d’investissement n’ont fait l’objet d’aucune poursuite judiciaire pour destruction des biens de l’Etat. « Cette transgression flagrante des lois ne pourrait avoir lieu sans la création d’une association illicite en août dernier.
L’association a été créée suite à une assemblée générale ordinaire tenue en l’absence des membres fondateurs du club, sans l’affichage de la date de sa tenue et au manque des documents relatifs à la réglementation en vigueur au niveau du CHC», a rappelé une source du club, qui a affirmé que tout a été planifié en catimini. A cause de cette effervescence particulière et ces dépassements flagrants, l’ancien wali, Kamel Abbes, avait demandé aux adhérents de créer une nouvelle association et a suspendu les travaux au sein du centre. Il a également transféré la gestion des lieux à l’office public omnisport de wilaya (OPOW). Malheureusement cette décision n’a pas réglé le problème.
 
Recours à la justice  
En février, les membres du club ont déposé un dossier pour la création d’une nouvelle association au niveau de la direction de la réglementation et des affaires générales (DRAG). A ce jour, il n’y a eu aucune suite. «Notre déception fut grande quand les services de la DRAG nous ont avoué qu’ils attendent l’approbation du wali pour nous accorder l’agrément. Ont-ils reçu des instructions des hautes instances pour couvrir l’investisseur concerné ? Pour qu’elle raison la DRAG a refusé de nous fournir l’agrément dans les délais fixés par la réglementation ?» s’interroge notre source.
En octobre, les membres du club ont déposé plainte contre l’ancienne association pour la non-conformité de son statut et contre les services de la DJS pour la validation de l’assemblée générale et les élections tenues en l’absence de tous les propriétaires. La première audience aura lieu aujourd’hui (dimanche ndlr) au tribunal de Constantine. Le problème a pris d’autres dimensions. Ce n’est plus une question de sport mais plutôt d’un détournement. L’OPOW a exprimé son penchant à l’investisseur et a envoyé des mises en demeure, dont El Watan détient une copie, aux propriétaires des chevaux pour libérer les lieux. Dans le même document, le motif de cette mise en demeure est la non-affiliation à n’importe quelle association.
Est-ce une manière d’éloigner ceux qui ont osé sauver ce sport et ce lieu prisé par les familles constantinoises, et qui risque d’être bradé ? «C’est un travail de fond que l’administration a mené contre nous. Quels intérêts  pour la DRAG, la DJS et l’OPOW dans tout cela ? Nous avons une vingtaine de chevaux de compétition et de race, qui doivent être abrités dans des lieux convenables. Apparemment, ce n’est plus une question de sport», a fulminé l’un des adhérents. Et de poursuivre qu’une commission de la fédération équestre algérienne devrait être dépêchée à Constantine, il y a plus d’une semaine. A ce jour, elle est toujours attendue. Pour quelles raisons les instructions de l’ancien wali et celles du ministre n’ont pas été prises en considération par l’administration de Constantine ? Pourquoi avoir peur d’une association sportive ? Y a-t-il des intérêts en danger ? N’est-il pas temps d’ouvrir une enquête sur l’ancien gestionnaire, qui n’est autre que l’association illicite de ce club ? N’est-il pas temps de leur demander un bilan financier, moral et sportif des 8 ans écoulés ?
 
Yousra Salem

Des équipements bientôt ouverts

 

Le wali annule un spectacle controversé

mercredi 25 octobre 2017
 
 La rencontre a apporté de nouveaux éclairages sur une partie de l’histoire du nationalisme en Algérie

Fouiller la mémoire oubliée de l’UDMA

 

Les vaches et les chiens errants pullulent

 

S.O.S. d’une famille sinistrée

mardi 24 octobre 2017

Le wali piégé par son administration

 

Constantine

S.O.S. d’une famille sinistrée

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le 25.10.17 | 12h00 Réagissez


Une famille sinistrée, habitant la rue Torki Youcef, dans le quartier de l’Emir Abdelkader (ex-Faubourg Lamy) à Constantine, a tout perdu suite à un incendie qui ravagé sa maison le 9 octobre dernier. Le père de famille, chômeur et sans ressources, lance un appel aux âmes charitables pour toute sorte d’aide, en espèces ou en nature. Contacter Mohamed-Chérif Naïli au n°0779453573.

Réseau d’évacuation des eaux pluviales à Constantine

Les conséquences des travaux bâclés de la Seaco

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le 21.10.17 | 12h00 Réagissez

On ne cessera jamais de déplorer l’état indescriptible du réseau d’évacuation des eaux pluviales à Constantine qui, après chaque averse, transforme les artères de nombreux quartiers de la ville en mares géantes et provoque même des inondations qui rendent les routes impraticables.

Une situation qui résulte d’une gestion hasardeuse de la part des services de la Société de l’eau et de l’assainissement de Constantine (Seaco), qui a toujours montré ses limites en matière de curage des avaloirs durant la période d’été. Les Constantinois auront remarqué que des dizaines d’avaloirs n’ont pas été visités depuis des mois, et d’autres sont devenus quasiment non fonctionnels. Les travaux bâclés menés par les services de la même société ou par les entreprises sous-traitantes sont une autre preuve de ce désastre causé dans les cités de la ville.
A la cité CNEP de Djebel Ouahch, le problème des avaloirs non entretenus est devenu un véritable cauchemar pour les riverains, qui dure depuis bientôt une dizaine d’années. C’est le même scénario qui se répète durant la saison des pluies. La situation s’est dégradée encore plus après les premiers travaux réalisés, il y deux ans, pour la réfection d’une conduite d’alimentation en eau potable, avec une mauvaise remise en état des lieux et des conséquences catastrophiques.
Le même film s’est reproduit après une nouvelle opération de réhabilitation d’une conduite bouchée, menée durant le mois de juillet dernier, et qui a fini par causer aussi des dégâts aux avaloirs situés le long de la chaussée passant à proximité du marché couvert.
Les pluies qui se sont abattues sur la ville dans la nuit de jeudi à hier ont mis à nu toutes les défaillances de ces travaux. Et le mal durera encore.

 
Arslan Selmane

Sidi Mabrouk

Les règles de l’urbanisme à nouveau foulées aux pieds

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le 19.10.17 | 12h00 Réagissez

En matière de non-respect de l’environnement et des règles régissant la construction de maisons individuelles, d’aucuns semblent se placer au-dessus des lois. Fouler aux pieds ces règles est désormais devenu pour certains un sport national.

’L'exemple de ce citoyen qui a engagé des travaux pour transformer un appartement situé au rez-de-chaussée d’un immeuble, précisément au niveau du bloc A 2 de la cité Laassifer à Sidi Mabrouk supérieur, en local commercial est à ce titre des plus éloquents.
Comme nous avons pu le voir, en effet, ce citoyen indélicat a entamé des travaux pour creuser un trou d’une soixantaine de centimètres de diamètre environ sur la façade de l’immeuble, en détruisant au passage un mur porteur afin de construire, semble-t-il, des escaliers (alors que l’immeuble en possède déjà) pour aménager un accès privé à son futur local. Des travaux qui risquent, soulignons-le, de fragiliser la structure même du bâtiment et mettre ainsi en péril la vie de ses occupants. Ce genre de pratiques est malheureusement devenu monnaie courante à Constantine, où les infractions semblables sont légion.
Des pratiques encouragées, il est vrai, par le laxisme affiché par les autorités concernées, qui ferment les yeux sur ces dépassements. A noter cependant qu’en le cas présent, le comité de la cité Laassifer, qui a alerté les services de l’urbanisme de ce qui se tramait dans le quartier à réussi à les faire réagir, un peu tard malheureusement, puisque le mal est déjà fait. Mais toujours est-il que ces derniers auraient notifié, hier, a-t-on appris, au propriétaire de l’appartement de cesser les travaux.  
 
F. Raoui

Projet des 6200 logements à El Khroub (Constantine)

Le wali s’engage dans une course contre la montre

Le wali de Constantine, Abdessamie Saïdoun, est passé à la vitesse supérieure dans sa course contre la montre pour concrétiser ses promesses et livrer une partie des 3000 et 3200 logements sociaux, situés à Massinissa et Aïn Nehas, dans la commune d’El Khroub.
Vu la lenteur des travaux constatée, le wali s’est rendu, hier, sur les deux chantiers pour discuter une résiliation à l’amiable avec l’un des entrepreneurs, chargé des travaux de VRD et d’un mur de soutènement du projet de 3200 unités de Aïn Nehas. «Vous passerez vers 15h (hier –ndlr) à l’OPGI et vous allez renoncer à l’aménagement de 2000 logements, afin que vous puissiez achever le reste des travaux des 1200 appartements. Je constate que vous êtes incapable d’accélérer la cadence des travaux et nous livrer les projets dans les délais déterminés», a-t-il dit à l’entrepreneur.
Les entrepreneurs activant sur les deux sites n’ont pas pu convaincre le wali, malgré le taux d’avancement des travaux de terrassement et des différents réseaux, variant entre 70 et 80%. La situation qui prévaut sur les chantiers de Massinissa et Aïn Nehas renseigne sur le laisser-aller qui règne dans ce secteur dans la wilaya et la complaisance manifestée par l’administration envers certains entrepreneurs. «J’ai remarqué que plusieurs projets ont été octroyés à un seul entrepreneur. Ce dernier n’a pas pu assurer toutes les tâches et renforcer les chantiers en même temps, c’est la raison pour laquelle nous avons procédé à une résiliation à l’amiable pour engager d’autres entreprises et réduire les délais», a déclaré le wali à la presse.
Et de conclure : «Une grande partie sera livrée à la fin de 2017 et le reste durant le premier trimestre de 2018. Pour ce qui est des équipements publics, nous avons demandé le feu vert de la tutelle pour réaliser quelques établissements scolaires, particulièrement à Massinissa.»
 
Yousra Salem

Cité des Peupliers

Des escaliers d’immeuble en ruine

Des habitants de la cité des Peupliers, dépendant du secteur urbain des Mûriers, n’ont eu de cesse ces dernières années de se plaindre pour attirer l’attention des autorités sur la situation alarmante dans laquelle se trouvent certains de leurs immeubles, notamment les bâtisses A et C. Les résidents évoquent à ce propos l’absence d’un réseau d’évacuation des eaux pluviales dans leur la cité. Une situation qui a provoqué, selon eux, en plus des effets conjugués du glissement de terrain que connaît cette partie de la ville et de l’érosion des sols, l’effondrement du mur de soutien du bâtiment A. Les escaliers en ruine de quasiment tous les immeubles de la cité et les risques qu’ils peuvent engendrer constituent une autre préoccupation pour les habitants, lesquels souhaitent qu’une équipe d’experts se rende sur les lieux pour constater l’étendue des dégâts. Ils précisent en outre avoir signalé à maintes reprises tous ces problèmes au délégué du secteur urbain, dont dépend administrativement leur cité, ainsi qu’au directeur de l’OPGI, mais rien n’a été fait pour y remédier. Les habitants s’interrogent, d’autre part, sur le fait que leur cité n’a jamais bénéficié, à l’instar d’autres parties de la ville, d’une opération de réhabilitation, alors qu’elle en a un besoin crucial.
 
F. Raoui

Constantine

Acquisition de quatre ponts-bascules mobiles

Quatre ponts-bascules mobiles destinés au contrôle du poids des véhicules circulant sur le réseau routier de la wilaya de Constantine ont été récemment acquis par l’Epic de wilaya chargée de l’entretien de la voirie et de l’éclairage public, Voirep, a-t-on appris auprès de la directrice générale de cette entreprise. Ces équipements de dernière génération, homologués par l’Office national de métrologie légale (ONML), sont dotés d’un système wifi intégré permettant le transfert des résultats de pesage de la plateforme vers l’indicateur du poste de pesage, a précisé Karima Benmati, détaillant qu’une formation théorique et pratique d’une durée d’un mois, assurée par des ingénieurs de l’Epic Voirep, vient d’être lancée au profit des éléments de la gendarmerie et de la police nationales pour l’apprentissage des bases essentielles d’utilisation de ces pèse-essieux mobiles.
La même source a fait remarquer que ces ponts-bascules mobiles seront opérationnels «juste après la clôture de la session de formation», ajoutant qu’une campagne de sensibilisation à travers les médias locaux et sur les routes de la wilaya de Constantine «sera lancée prochainement avec la participation de tous les intervenants». Mme Benmati a également ajouté que l’opération de pesage, qui va être lancée sur tous les axes routiers et autoroutiers de la wilaya, vise essentiellement à éliminer la surcharge, une des causes des accidents de la circulation et de la dégradation des routes. Qualifiant cette opération d’«importante à grand impact socio-économique», Mme Benmati a ajouté que le principal objectif visé est «de réduire le nombre alarmant des accidents, de préserver le patrimoine routier et de diminuer le coût des opérations d’entretien de la voirie». Dans les détails, la directrice générale de Voirep a indiqué que les véhicules dont la charge dépasse le poids autorisé de 20% accélèrent le vieillissement et l’usure des chaussées qui dureraient «deux fois moins longtemps».

Les Zinzins décryptent Constantine»

es familiers des rendez-vous du café Riche retrouveront leurs «Zinzins», ce jeudi, pour une nouvelle édition inscrite au registre d’un retour sur le patrimoine urbain de Constantine. La libre parole sera ainsi accordée à Nourredine Khalfi, architecte- urbaniste et l’une des sentinelles de la société civile constantinoise, qui traitera de «l’urbanisme et l’aménagement du territoire de la ville de Constantine». Ce cycle constantinois devra se poursuivre le 2 décembre prochain, avec la réception au «Forum Constantinois» de Abderrahmane Khelifa, spécialiste des questions de patrimoine, auteur d’un beau livre sur Constantine – La Cité céleste- qui reviendra sur l’histoire du long cours de la cité du Vieux Rocher. Le temps musical de ce jeudi sera assuré par Mohamed Hamdi, l’une des figures de proue de la nouvelle génération du chaâbi à Constantine.


LES ZINZINS DU CAFÉ RICHE
Jeudi 16 novembre 2017 à 16h30
Au programme :
   - La semaine de Amor Chabbi
   - En toute liberté avec Nourredine Khalfi
   - Tout en musique avec Mohamed Hamdi

nstantané

Un livre noir des édiles

Lamentablement, les élus de Constantine, ceux de l’APC, ont mis, lundi, un point final à leur mandat du déshonneur. A l’illégitimité originelle et aux scandales à répétition ayant ponctué les 5 années de leur «gestion», les 43 élus de Constantine ajouteront à leur actif, comme legs à la population et à leurs successeurs une ardoise de 116 milliards de centimes. Cette somme représente le déficit qui menace déjà l’équilibre du budget de l’exercice 2018, tel que présenté et voté dans le budget prévisionnel lors de la session extraordinaire tenue lundi. Un cadeau empoisonné pour l’Assemblée qui sera «votée» dans une semaine. Un perfide cadeau d’adieu à la population constantinoise, laquelle est en rupture irréparable avec ses édiles.
Pendant 5 années, cette Assemblée dominée par le FLN (version Belkhadem d’abord et Ould Abbes ensuite) a pris tout son temps pour casser les acquis fragiles de cette commune et déstructurer et ses services et sa composante humaine. La délégation des missions fondamentales de la commune à des Epic créés in vitro par le cabinet d’un ancien wali a déplacé le centre de contrôle des fonctions, et surtout des budgets communaux, loin de l’Hôtel de Ville. L’échec des opérations de valorisation des biens communaux générateurs de revenus, à l’image de la gare routière Est et le marché de gros du Polygone, est tout aussi imputable à l’équipe de Mohamed Rira. Ce sont autant de glissements qui achèvent de dessaisir la commune de ses moyens et hypothèquent structurellement son avenir. Si les comptes se retrouvent aujourd’hui dans le rouge, c’est parce que l’APC a navigué à vue depuis le début.
Ce naufrage est le résultat logique d’un partage des postes de responsabilité (et du devenir de la ville) entre de petits épiciers sans consistance. C’est aussi le résultat des résolutions traîtresses adoptées en assemblée contre des miettes distribuées en salaires. Ce qui chagrine davantage la rue est de voir ces gens partir dans l’impunité totale, certains ayant même profité scandaleusement de leurs postes. Si la rue pouvait se faire justice avec ses propres tribunaux, les verdicts ne seraient pas cléments. Mais à défaut de pendre ces malheureux, dressons leur un livre noir pour immortaliser leur incompétence et leur trahison.
 
Nouri Nesrouche

Brèves....

Un nouveau bidonville rasé à Daksi
Onze bidonvilles ont été rasés hier par les engins de la commune de Constantine lors d’une opération coup-de- poing menée par les services techniques,de l’APC, accompagnés par un dispositif sécuritaire important. L’opération a ciblé le lieudit Chaâbani, situé entre Oued El Had et Daksi, où des indus occupants étaient venus ériger de nouvelles baraques sur le site d’un ancien bidonville dont les occupants avaient été relogés récemment. Selon un communiqué émanant du cabinet du maire, ces nouvelles constructions illicites ont été érigées en un temps record dans une tentative de mettre les autorités devant le fait accompli et prétendre au relogement. Un stratagème qui a longtemps donné des résultats à des populations sans scrupules.            R. C.

Ouverture d’un musée dédié au défunt M-T. Fergani
Un musée dédié au maître du malouf, le regretté El Hadj Mohamed Taher Fergani, a été ouvert jeudi soir au deuxième étage du palais de la culture Mohamed Laïd Al Khalifa de Constantine. Retraçant les principales séquences du parcours artistique de Fergani, ce musée contient des centaines de photos du défunt, plusieurs instruments musicaux qu’il utilisait, ses disques et enregistrements, certaines de ses affaires personnelles et les attestations d’honneur et trophées qui lui ont été décernés tout le long de son parcours. Ce musée comprend également un pavillon d’honneur orné du violon cher à El Hadj Fergani, la médaille de l’Ordre de mérite national «Achir» que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, lui avait décernée et une lettre signée par le chef de l’Etat en signe de reconnaissance pour sa contribution pendant sept décennies dans le domaine artistique au se

 
 Un mur porteur a même été détruit afin d’aménager un accès privé à ce futur local.
 
 À Djebel Ouahch, c’est le même scénario qui se répète depuis des années


Le blocage d’une nouvelle association soulève des questions


 
 Les escaliers de la plupart des immeubles constituent de véritables dangers
































Saïda : Une stèle dédiée à Ahmed Medeghri

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le 04.11.17 | 12h00 Réagissez

Les journées du 31 octobre et 1er novembre ont été marquées par un riche programme bien concocté eu égard à l’importance de l’événement exceptionnel ; à savoir, la célébration du 63ème anniversaire du déclenchement de la lutte de libération nationale le 1er novembre 1954. L’événement qui a le plus marqué cette célébration, est la réalisation d’une stèle dédiée à Ahmed Medeghri sur la place en face de la wilaya.
Cette stèle tant attendue par la population a drainé un grand nombre de citoyens en présence des responsables civils et militaires de la wilaya venus assister à la cérémonie. Ahmed Medeghri est né le 23 juillet 1934. Originaire de Saïda où il passa toute son enfance, il réussit à obtenir son bac en 1954 à Mascara. Il rejoint ensuite le maquis de la wilaya V. En 1962, il devient ministre de l’Intérieur. Il est décédé en 1974 à l’âge de 40 ans.
 
Sid Ahmed

Notes gonflées pour des ministres recalés

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le 13.12.17 | 12h00 Réagissez

Un nouveau scandale éclabousse l’administration de l’université Alger 1 Benyoucef Benkhedda et concerne trois personnalités dont : le ministre des Relations avec le Parlement, Tahar Khaoua, l’ex-ministre de la Solidarité nationale, Mounia Meslem, et un procureur adjoint, Mohamed A.

En effet, le tribunal administratif de Bir Mourad Raïs a émis, le 22 novembre dernier, un jugement en annulant de façon partielle les résultats des délibérations les concernant dans l’un des modules qu’ils étudient dans le cadre d’un Master en droit. Ce qui leur est reproché c’est d’avoir réussi à obtenir leur année de formation théorique dans une classe de Master à la faculté de droit d’Alger, sans jamais avoir assisté à un seul cours. Cette affaire aurait pu passer inaperçue, si ce n’est le courage et l’abnégation d’un enseignant soucieux de rendre des comptes, tout en refusant une complicité passive, dont a fait preuve l’administration de la faculté Benyoucef Benkhedda.
Tout a débuté avec une plainte déposée contre l’administration de l’université Alger 1, l’accusant de favoritisme au profit de ces deux personnalités politiques. Le plaignant, Mahmoud K., a souligné dans sa plainte que ces étudiants ont été propulsés sans qu’ils n’aient assisté à un seul cours du module de droit pénal durant toute l’année.
Par la suite, l’enseignant du module a saisi la justice, en prouvant à la cour que ces étudiants d’un «autre rang» ont bénéficié de l’indulgence de l’administration de la faculté Benyoucef Benkhedda afin de passer en deuxième année de Master. Sans s’inquiéter de l’importance d’assister aux formations préparatoires, essentielles à la conception d’un mémoire.
D’ailleurs, l’enseignant plaignant a accusé l’administration de falsification des listes de délibération en supprimant les noms des deux ministres. Selon lui «La mention “recalé” devait être inscrite devant leurs noms», ce qui n’a pas était le cas. Puisque leurs noms ont été mentionnés dans les listes finales collées sur les tableaux d’affichage. D’après ces listes, les deux personnalités avaient réussi leur année avec des notes surestimées. La cour du tribunal administratif de Bir Mourad Raïs a pu consulter les notes «gonflées» des deux ministres, en ayant la preuve de leurs multiples absences. De nombreuses interrogations ont été émises à propos de leurs résultats dans les autres modules.
Faten Hayed

’accusé placé en détention préventive Réagissez

mercredi 20 décembre 2017

Sétif : Le parc aquatique transformé en lieu de débaucheRéagissez

mardi 19 décembre 2017
La statue de Aïn El Fouara vandalisée

La statue de Aïn El Fouara vandalisée Réagissez

lundi 18 décembre 2017

Sétif : Une scabreuse affaire de licenciement secoue Djezzy Réagissez

jeudi 14 décembre 2017

Sétif : La municipalité à l’épreuve du marchandage Réagissez

mercredi 13 décembre 2017
 
 La capitale des Hauts-Plateaux paie annuellement 150 millions de dinars 
 rien que pour l’éclairage public.

Le solaire pour réduire les factures salées

mardi 12 décembre 
 
























































































































































 
 Une armoire téléphonique, dites-vous ?   

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