الأربعاء، يونيو 24

الاخبار العاجلة لانشاء مديرية الشؤؤن الاجتماعية بقسنطينة دار الحضانة للعجائزوالشيوخ حيث يوضع الابناء ابائهم في ديار حضانة الشيوخ صباحا ليغادروا ديار الحضانة للعجائزمساءا على طريقة دور حضانةالاطفال يدكر ان الصحافية امينة تباني اعلنت الافراح في النشرات الاخبارية بقسنطينة بعد الاكتشاف الجزائري الغريب لمديرية الشؤن الاجتماعية بقسنطينة وشر البلية مايبكي

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الاخبار العاجلة  لانشاء  مديرية  الشؤؤن الاجتماعية بقسنطينة دار الحضانة  للعجائزوالشيوخ حيث يوضع الابناء ابائهم في ديار حضانة الشيوخ صباحا  ليغادروا  ديار الحضانة للعجائزمساءا على طريقة دور حضانةالاطفال يدكر ان  الصحافية امينة تباني اعلنت الافراح في النشرات الاخبارية  بقسنطينة بعد الاكتشاف الجزائري الغريب  لمديرية الشؤن الاجتماعية بقسنطينة وشر البلية مايبكي



Collecte des ordures à Constantine : Rihani s’explique sans convaincre

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le 02.06.15 | 10h00 Réagissez


 Il a affirmé aussi que la commune vient de lancer un nouveau plan de collecte, mais les résultats ne vont pas apparaître du jour au lendemain. «En France, il leur a fallu 10 ans pour réussir leur plan de collecte, et les services concernés font leur rotation une fois sur trois jours, alors qu’en Italie, il a fallu 15 ans pour que leur plan de collecte réussisse», a-t-il déclaré. Pour justifier la mauvaise gestion des ordures ménagères, la P/APC a avancé l’emplacement du Centre d’enfouissement technique (CET) de Bougharb dans la commune de Benbadis et les longs trajets effectués par les camions de collecte chaque jour. «Nous attendons encore l’ouverture du centre de transfert au 13eKm, cela va tout changer», a-t-il expliqué.
Au moment où la ville de Constantine croule toujours sous les ordures, le maire Seif Eddine Rihani essaie de voiler la réalité en faisant une comparaison avec le système appliqué dans les grandes villes de l’Europe.

Certains s’interrogent comment sont gérés les 60 milliards de centimes consacrés par la commune pour la collecte des ordures et qui ne semblent pas suffire. Même le nouveau dispositif qualifié d’écologique, mis en place par la wilaya et la commune de Constantine dans les différents quartiers de la ville dans le but de lui donner un nouveau visage «propre», n’a pas donné satisfaction. Il s’agit de l’installation des centaines de poubelles aériennes, de corbeilles et de conteneurs métalliques.
Ces derniers, appelés «bornes d’apport volontaire» (BAV) importés de Turquie, devaient être enterrés dans des fosses qui lui sont destinées, et qui ont été déjà réalisées depuis des mois. Malheureusement, ce nouveau dispositif qui devait améliorer la gestion des déchets, en introduisant le tri sélectif, n’a donné aucun résultat, dans une ville qui souffre de ses ordures.
Ces dysfonctionnements sont la conséquence de la mauvaise planification et la navigation à vue des services de l’environnement. Alors que les fosses ont été creusées, et les BAV installées dans certains quartiers, on s’aperçoit que les engins de collecte n’ont même été pas réceptionnés. Cela s’appelle mettre la charrue devant les bœufs.Pour rappel, ce projet de renforcement du dispositif de la collecte et du nettoiement de la ville a été lancé au mois d’octobre 2013, par les services de la direction de l’environnement et les services de la commune de Constantine.
A propos du projet des BAV réalisé par la direction de l’environnement pour un montant de 243 millions de dinars, la directrice AblaSellalBelhocine nous a déclaré, auparavant, que la réalisation de ce projet ne dépassera pas les neuf mois. Selon la même responsable, la réception des camions grues étaient prévue pour le mois de février 2015. Jusqu’à présent, il n’y a aucune nouvelle sur ces engins.L’image qu’offrent ces bornes pleines d’ordures, d’où se dégagent des odeurs insupportables, est désolante. 
Yousra Salem



Madame Meghlaoui nous écrit

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le 03.06.15 | 10h00 Réagissez


Suite à l’article paru dans le quotidien El Watan le jeudi 14 mai 2015 à la page Constantine info sous l’intitulé suivant : «Construction illicite à Sidi Mabrouk, corruption ou laxisme des autorités ?» me visant moi particulièrement et mon mari, je tiens fermement, en usant de mon droit de réponse à apporter les précisions suivantes : L’auteur de l’article, en l’occurrence Mr Cheriet Nadir s’est fait plaisir à fabuler, sans réserve, ni retenue sur des faits non fondés. La dame Meghlaoui a obtenu un permis de construire, en bonne et due forme (voir document ci-joint), après avis conjoints des services de l’APC et de la DUC, donc point de suspicion.

Mr Cheriet n’ayant pas apprécié que la dame Meghlaoui érige une construction en face de lui, proposa au mari de lui vendre le terrain ; ce dernier déclina la proposition. Voyant sa proposition rejetée, Mr Cheriet se lança dans la conjuration et les intrigues, en ameutant dans un premier temps les voisins, puis les services de l’APC sans avoir qualité à le faire, contrairement à l’article 74 de la loi n°90-29 du 1/12/ 1990 relative à l’urbanisme qui prévoit que seul une association légale constituée par des statuts peut agir dans ce sens. Contrairement à ce que soutient Mr Cheriet, il n’y a pas de jugements exécutoires à l’encontre de la dame Meghlaoui. L’APC de Constantine a été déboutée de toutes ses instances devant le tribunal administratif (voir jugement ci-joint).
Mr Cheriet a été également débouté de toutes ses instances en référé quant à ses requêtes de surseoir aux travaux (voir arrêts ci-joint) et ce en appel devant la Cour. Où sont ces jugements exécutoires dont s’enorgueillie Mr Cheriet ?! Seul un jugement d’avant dire droit, désignant un expert est en sa faveur restant encore pendant, pas de reprise d’instance jusqu’à ce jour (voir jugement ci-joint). Suite à la plainte déposée contre X par l’APC, la dame Meghlaoui a été entendue comme témoin à l’instar de toute autre concernée par l’instruction, y compris Mr Cheriet. Donc point de personne haut placé qui soit derrière, ni de coup de fil comme le prétend.
Quand à la préoccupation de Mr Cheriet de cadre de vie dans son cher quartier Sidi Mabrouk et au non respect des normes d’urbanisme, il y a lieu de rappeler que pas ci loin de lui des tours s’élèvent parfois à des hauteurs dépassant les 6 étages sans qu’il ne soit inquiété. Notant que le même journal du 23/05/2015, dans le titre Cadre de vie à Sidi Mabrouk, l’a bien décrié. Point de rappeler Mr Cheriet, que la construction de la dame Meghlaoui consiste en un Bureau d’Étude réalisée conformément aux normes architecturales, donc loin d’être une verrue comme vous la qualifiez, comparée aux centres commerciaux foisonnant non loin de vous. Donc point «d’affaire Meghlaoui». 

Les précisions d’El Watan :
L’auteur de l’article en question n’est pas Mr Cheriet mais bel et bien deux journalistes qui ont apposé leurs signatures en bas du texte. Pour le reste, nous laissons aux lecteurs la liberté de juger et d’être convaincus ou non par les arguments de Mme Meghlaoui dans cette affaire qui n’est pas banale.  
Mme Meghlaoui Ouarda
 





lutte contre le tabagisme

Un centre de sevrage au CHU Benbadis

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le 03.06.15 | 10h00 RéagisseEn dépit de l’arsenal juridique mis en branle par l’Etat, le tabagisme prend des proportions alarmantes en Algérie. Les professionnels de la santé ne cessent de tirer la sonnette d’alarme, à leur tête le Pr. Zitouni, chargé par le chef de l’Etat de l’élaboration et du suivi du Plan national anti-cancer.
A Constantine aussi l’on s’inquiète fortement des effets néfastes et funestes du tabac, notamment au CHU Benbadis où l’on annonce l’ouverture prochaine d’un centre de sevrage qui dépendra du service d’épidémiologie et de médecine préventive. Ce centre aura pour mission de participer à aider et accompagner les fumeurs pour se «libérer» de l’addiction au tabac et contribuer à circonscrire la consommation de tabac.
C’est ce qu’a déclaré, à El Watan, le Pr. Zoughailèche, médecin chef de ce service tout en soulignant également que la problématique du tabagisme a fait l’objet, dimanche dernier, d’un débat au sein du service. «L’idée, en cette journée mondiale contre le tabac (le 31 mai, ndlr), était d’engager un débat mobilisateur pour lutter contre le tabagisme, mais surtout d’essayer de comprendre qu’est ce qui bloque ? Que peut-on faire au niveau de notre propre équipe pour empêcher un enfant de fumer et aider un adulte à arrêter ?» s’est interrogé le Pr. Zoughailèche.
A ce sujet, notre interlocuteur a été formel : «l’axe stratégique dans le Plan anti-cancer, c’est la lutte contre le tabagisme», et ce, en essayant notamment de comprendre, à travers, ce débat, les raisons réelles à l’origine de la multiplicité du nombre de fumeurs, et par conséquent celui des décès dus au tabagisme, malgré un arsenal de textes de loi dédiés à la lutte anti-tabac.
Malheureusement, ces textes n’ont jamais été, jusqu’à présent, appliqués. C’est le cas de l’instruction ministérielle n°1035 du 02 juin 2007, fixant les lieux publics où l’usage du tabac est interdit, ainsi que les modalités d’application de cette interdiction. L’on citera également le cas de l’instruction interministérielle n°02 du 19 septembre 2002, relative à la lutte contre le tabagisme en milieu scolaire.
Des instructions parmi un éventail de lois et de textes qui vont à contre sens de l’amère réalité. Les professionnels de la santé en sont de plus en plus conscients et souhaitent vivement que les autorités centrales se penchent sérieusement sur ce véritable phénomène social qui n’épargne même plus les enfants.
Lydia Rahmani




Cité Sakiet Sidi Youcef (Ex-Bum),

Le ras-le-bol des habitants

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le 03.06.15 | 10h00 Réagissez
 
	Le chantier s’est transformé au cours des années en un immense étang
Le chantier s’est transformé au cours des années en un immense étang


Chantiers à l’abandon, routes impraticables, trottoirs défoncés, insécurité et une pollution à grande échelle. C’est ce qui caractérise actuellement la cité Sakiet Sidi Youcef (Ex-Bum), située sur le boulevard de l’ALN. Laïb Mohamed, le président de l’association de quartier exprime à ce titre le ras-le-bol des habitants de la partie nord de la cité, regroupés en association baptisée «Bon voisinage et civisme».

Ces derniers s’indignent parce que rien n’a été fait pour leur cité, malgré les nombreuses démarches entreprises auprès des services de la commune et de la direction de l’environnement, mais toutes leurs requêtes sont restées sans suite à ce jour. Ils sont unanimes à déplorer la saleté et le laisser-aller dans lesquels est confinée leur cité. «Notre principale préoccupation concerne le chantier d’un centre commercial mitoyen à notre cité.
Les travaux qui ont débuté en 1997 ont été abandonnés avant l’achèvement du projet, dont le permis de construire a expiré en 2013, laissant le chantier en plan», explique le président de l’association. Situé sur un terrain accidenté formant une excavation, le chantier s’est transformé au cours des années en un immense étang large de 30 m où stagnent les eaux de pluie et celles provenant des fuites du réseau AEP qui ont également occasionné des dommages aux réseaux divers, notamment téléphonique desservant le quartier.

Des promesses non tenues
Le président de l’association de quartier évoque aussi le cas du bidonville Brighet situé en amont de la cité, près de l’école primaire Benayache Omar, qui a été évacué en 2013, sans que les autorités ne le démolissent entièrement. «Les quelques bâtisses, laissées en l’état, sont squattés quotidiennement par des voyous, ce qui leur fait craindre le pire du fait de la proximité de ce lieu avec l’école», témoignent les habitants.
Désabusés par les innombrables promesses jamais tenues par les autorités, les résidents, organisés en association se démènent seuls pour régler leurs problèmes. Ces derniers sont nombreux, notamment l’insécurité, l’éclairage public défaillant, les parkings et décharges sauvages et l’incivisme de certains commerçants.
Les représentants de l’association évoquent le comportement d’un commerçant ayant ouvert un café-restaurant près du tribunal de Ziadia, sans raccorder la conduite d’évacuation des eaux usées de son magasin au réseau existant, pour laisser celles-ci se déverser plus bas dans la cité. Le président de l’association  dénonce par ailleurs les agissements d’un entrepreneur chargé des travaux de décapage d’un lotissement situé en face de la mosquée Abdelaziz, lequel serait, selon les habitants, en train de se débarrasser des déblais de son chantier en contrebas de leur cité sur les berges d’Oued El Had.
F. Raoui




Nouvelle- ville Ali Mendjeli

Chute mortelle d’une fillette de 5 ans

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le 04.06.15 | 10h00 Réagissez


Une fillette âgée de 5ans, répondant aux initiales M.D., a trouvé la mort dans l’après midi de mardi dernier, en tombant du 4ème étage d’une tour de l’UV5 à la nouvelle ville Ali Mendjeli, apprend-on auprès des éléments de la Protection civile. La victime qui jouait au le balcon a fait une chute d’une hauteur d’environ 15 mètres n’avait aucune chance de s’en sortir, selon quelques témoins oculaires. Selon la même source, la dépouille a été déposée par les pompiers au niveau de la morgue de l’hôpital Abdelkader Bencharif de Ali Mendjeli.Une enquête a été ouverte pour déterminer avec exactitude le déroulement de ce drame qui vient d’endeuiller une famille. 

Yousra Salem


Les dames font le show

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le 04.06.15 | 10h00 Réagissez


Le 13e tournoi international de handball-Dames s’ouvrira à Constantine lundi prochain. Cette édition placée sous le signe de l’amitié se déroulera sur quatre jours, soit, du 8 au 12 juin, et ce, dans les salles OMS de Mansourah et de Zouaghi. Six sélections se disputeront le podium de cette compétition organisée par l’association sportive olympique de Constantine. Il s’agit de : l’OJSConstantine, l’AS Megrine (Tunisie), l’ACBobigny (France), le GSPAlger, l’EN (RDCongor) et une sélection d’Oran. Les matchs débutent à10h. 

Rédaction Constantine
 
 



Glissements de terrains

Le wali ignore tout !

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le 04.06.15 | 10h00 1 réaction


C’est dans son intervention, lors de la  journée d’étude sur l’évaluation des risques sismiques dans la région de Constantine, qui a eu lieu hier, à l’université Emir Abdelkader, que Hocine Ouadah, a exprimé son interrogation sur la situation actuelle de la ville, en se demandant si le séisme est la cause ou bien un facteur aggravant des glissements de terrains, tout en soulignant le manque d’études sur le sujet. Suite a cette intervention, le professeur en géologie de l’université de Constantine 1, Pr. Benazzouz, a pris la parole pour réagir, en précisant que Constantine a bien bénéficié de plusieurs études sismiques, et que le glissement de terrain est un phénomène qui ne date pas d’hier.

Des sondages ont eu lieu, même lors de la construction du Transrhumel, a-t-il dit. Il a également exprimé son souhait de voir la création d’un observatoire des glissements de terrains au niveau de la willaya de Constantine, afin d’établir une communication entre les travaux universitaires, les collectivités locales et l’exécutif, dans le but d’établir une banque de données algériennes, pour répondre au besoin de l’ingénierie nationale. Le professeur a également rassuré l’assistance en indiquant que jusqu’à présent, il n’y a aucune règle qui confirme que le séisme est une cause d’un glissement.
La réponse de l’universitaire a été perçue comme un affront au wali, d’où l’intervention d’un des collaborateurs de ce dernier qui a interpellé en aparté l’intervenant. Lors de cette rencontre, le projet de maillage 500m/500, de la ville a été présenté. Il s’agit d’une sorte de zoom qui permet de faire un inventaire complet du bâti et ainsi étudier la vulnérabilité, afin de faire une estimation globale du risque sismique.
Surtout que l’Algérie est considérée comme région sismique de par sa localisation géographique, car elle se trouve sur une bande sujette aux mouvements tectoniques des deux plaques eurasienne et africaine. Les différentes études sismologiques et géologiques démontrent que 70% de la partie nord du pays est soumise à l’activité sismique.  La journée d’étude est une sonnette d’alarme, pour sensibiliser aux risques du séisme, mais aussi pour l’établissement d’une stratégie de protection des individus et des biens, dans le cadre du développement durable.
Ilhem Chenafi
 
 
VOS RÉACTIONS 1
L'ours   le 08.06.15 | 12h45
 Le wali wait tout ,mais il fait:: L'igno
L'ignorant. , évidement que notre territoire entier est sous les coups sismique ,mais depuis notre indépendance quelqu'un de notre gouvernement aurai penser mieu que çe Wali à part blindé leurs compte à l'étranger afin de trouver une vie meilleur ? Lâ réponse est non . Prenons l'exemple du Japon , depuis longtemps toute construction sur le sol Japonais est antissismique , il suffit de s'y mettre comme eux , nous la matière première qui est le fer , maintenant au architectes de faire leurs travail ? Car attendez vous que d'autre séismes vont arrivés dans les années qui suivent et là ? Les dégâts seront importants et des pertes de vies . Pour y remédier et bien il faut construire des maisons antissismique , modèle Japonais . C'est coûteux mais c'est éfficace . Grâce à des ressorts fixer sur une dale en béton qui fait orrifice de planché sur plusieurs endroit et en dépends de la surface du planché de la construction et ces ressort vont rentré en action en cas de secousse ,permettant d'amortir les secousses latéraux et limiter l'écroulement de la maison , et d'autant plus de ressort au sol , d'autant lus d'amortissement et les résultats sont flamboyant et même utilisation pour des buldings et tout les bâtiments aussi donc le probleme au Japon est résolus depuis un demi siècle . Et nous dans cette affaire nous sommes indépendant depuis un demi siècle et nous sommes toujours au même point de départ , il serait temps d'y penser non?






APC de Constantine

Un bonnet d’âne en attendant la disparition

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le 04.06.15 | 10h00 2 réactions


Des faits divers de délinquance en guise d’actualité de l’APC de Constantine. En quelques semaines, les évènements se sont accélérés au sein de ce collège, à charge des élus :dépôt de plaintes contre le maire, pour agissements frauduleux et abus d’autorité, enquête policière contre lui, session ordinaire transformée en foire d’empoigne, agression d’un élu… bref, cette série glauque est ponctuée par le recours introduit depuis hier par huit élus de l’APC, opposés au maire et son clan, pour annuler la session. Que reste-t-il de cette assemblée des scandales et des conflits si ce n’est la réputation sulfureuse et un bonnet d’âne ?

Le wali a été destinataire cette semaine d’un recours introduit par les élus frondeurs concernant la session ordinaire houleuse du 22 mai dernier. El Watan avait rapporté le lendemain, la violence verbale et les accrochages qui avaient émaillé la rencontre. Les conditions spéciales, pour ne pas dire abominables,ont rendu les délibérations presque impossibles estiment les frondeurs qui attendent du wali l’annulation pure et simple de cette session. Pour toute réaction, le maire Sifeddine Rihani a traduit en conseil de discipline Moudir Barka, l’élu qui mène la fronde. Une procédure jugée illégale par les autres.
Qu’en est-il du fond du problème ? Les deux plaintes déposées par les opposants contre le président de l’APC, donnent de plus en plus d’inquiétude aux personnes ciblées. Le calme affiché par Rihani et le sursis qui lui est accordé par la lenteur de la procédure judiciaire sont trahis par le comportement nerveux dont il a fait preuve durant la session. Mieux.
L’agression physique dont a été victime M. Barka, de la part de l’ex-Mouhafedh et mentor de Rihani, cette agression, au cas où il est confirmée par la justice, est un signe de déstabilisation dans le camp qui a produit l’actuelle APC et qui fait en sorte de la couvrir. Faut-il rappeler que les six élus frondeurs (devenus huit) ont déposé deux plaintes contre le maire.
L’une pour l’affaire dite des 32 villas du promoteur DrisMeghraoui, et l’autre relative à un faux et usage de faux lié à une délibération de l’assemblée. Les procédures juridico-policières sont marquées d’une lenteur qui a poussé les plaignants à se poser des questions et à relancer le parquet par le biais de l’avocat. Par ailleurs, une autre question se pose, cette fois sur la passivité du wali face à ce dossier qui pourtant touche à la stabilité de la ville et son image.
L’administration de Hocine Ouadah a en effet les leviers nécessaires pour agir, notamment par le biais de l’inspection générale de la wilaya, mais elle ne l’a pas fait. Ailleurs, à Cherchell par exemple, l’APC vient d’être suspendue par le wali de Tipasa suite à la plainte introduite par un citoyen, un artisan, qui a dénoncé les actes incohérents de gestion.           
Nouri Nesrouche
 
 
VOS RÉACTIONS 2
walizou   le 04.06.15 | 17h12
 CARNAVAL
On n'arrête pas de nous relater de semaine en semaine les scandales de cette APC qui n'en est plus une. Les agissements de ce "Rambo" des temps modernes qu'est ce maire au dessus de tous, et que personne n'ose remettre à sa place, nous sidère. Et cette attitude du Wali qui est aux abonnés absents dans ce carnaval qui s'éternise au dépend de la gestion de la ville. On se demande à quoi rime cette attitude du " wait and see" de la plus haute autorité de la wilaya?
 
huron   le 04.06.15 | 13h00
 Où est passé le DON DE VIVRE ?
L’administration de cette ville fait couler tellement d’encre sans résultat tangible qu’on en vient à s’interroger sur la nécessité de prolonger le débat plutôt que de conclure que « Constantine, c’est foutu » !
Certes, d’aucuns remarqueront que l’époque prédispose au marasme, cet affaiblissement des forces morales aussi bien que vitales. Ils auront raison. Sauf à entendre la vox populi : « le malheur des uns ne fait pas le bonheur des autres ». Autrement dit, une ville doit rester maîtresse de son destin. D’autant plus quand elle est Constantine-Qacentina-Cirta plus de deux fois millénaire !
… Ah, que voici un discours naïf, donc inutile !
Tiens, voilà qui rappelle « Monte là-dessus tu verras Montmartre… Ou, compte là-dessus et bois de l’eau fraîche… Ou, parle toujours tu m’intéresses. Ou… tout ce que vous pourrez trouver comme expressions qui signifient qu’il n’y a rien de positif à attendre. Et peut-être même plus rien ! »
C’était en janvier de cette année, alors que le commissariat de la manifestation prévoyait d’organiser boulevard Belouizdad (ex-St Jean), des expositions de toiles de peinture réalisées par les étudiants de l’École des beaux- arts. Comme à Montmartre, célèbre quartier de Paris… Sans avoir à obtenir de visa, chouette, non ?
Aujourd’hui, ce « DON DE VIVRE », c’est quoi ? Un autre attrape-nigaud. Sans vexer personne : un autre attrape-couillon ?
A l’évidence, l’époque ne manque pas de spécialistes en ruses grossières cousues de fil blanc, que même un enfant de quatre ans ne s’y laisserait pas prendre ! Et pourtant ça marche… Quel âge a donc ce peuple ?... Et quelle considération lui portent ses « administrateurs » ?
Le « DON DE VIVRE » ?
« Le don de vivre a passé dans les fleurs ». *
C'est-à-dire que la mort a frappé !
Qu’il n’y a plus rien à faire !
Que si cela arrivait ici, Constantine-Qacentina-Cirta plus de deux fois millénaire ne serait plus qu’un cimetière !
Qu’il n’y aurait plus de Constantinois !
Plus d’APC !
Plus de wali !
Plus de presse locale !
… « Ils ont fondu dans une absence épaisse. »
Quel criminel événement en aurait voulu ainsi ?
Ni séisme, ni glissement de terrain, dont il est question à côté.
L’absence des hommes face à leur destin aurait suffi.
« DON DE VIVRE » ! « DON DE VIVRE » !! « DON DE VIVRE » !!!

* « Le cimetière marin » Paul Valéry.



Sidi Mabrouk

L’école des Frères El Achter envahie par les ordures

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le 04.06.15 | 10h0À moins de 20 m de l’entrée principale de l’école des Frères El Achter, à Sidi Mabrouk, des bacs à ordures en plastique, installés par les services de la voirie pour les déchets ménagers débordent littéralement de détritus de toutes sortes, à telle enseigne qu’une partie du mur d’enceinte de ladite école, fraîchement repeint, se retrouve dans une saleté déplorable.
 Car en plus des ordures entreposées à cet endroit par les riverains des cités limitrophes, notamment les habitants de la cité Laâsifer et ceux des rues Amar Zaouiche et Saïf Hout, et ce à n’importe quelle heure de la journée, s’ajoute le «produit» du ramassage quotidien des agents de la voirie chargés du nettoyage de ce quartier, lequel est également jeté au même endroit, et souvent brûlé sur place, ce qui a eu pour effet de noircir un grand pan du mur d’enceinte en question.
Précisons, en outre, que le quartier ne dispose en tout et pour tout que de 4 bacs collecteurs d’une capacité de 240 l chacun, un nombre nettement insuffisant au vu de la forte densité de la population y résidant. Une situation qui a suscité parmi les habitants de la cité mais également au niveau de la direction de l’école un profond sentiment de dépit face aux nuisances occasionnées à leur environnement immédiat, notamment l’aspect rebutant dans lequel se trouve à présent le quartier, les odeurs nauséabondes quasi permanentes et la fumée dégagée par les ordures brûlées sur place qui pénètre jusque dans les salles de classe et dans les maisons alentours.
Les habitants affirment, par ailleurs, avoir saisi à maintes reprises les responsables du secteur urbain de Sidi Mabrouk dont dépend ce quartier afin de déplacer les collecteurs entreposés à proximité de cette école vers un endroit plus approprié et, installer, éventuellement, au bas de chaque immeuble, à l’instar d’autres cités de la ville, des bacs à ordures de manière à lutter efficacement contre le dépôt sauvage des déchets ménagers, mais sans résultat. 
F. Raoui
 
 
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djarmouma   le 09.06.15 | 00h43
 dire la vérité même si ça blesse.
Je ne jette pas la pierre sur le gouvernement uniquement. Les gens manquent de civisme. Ils jettent les ordures de leur fenêtres, balcons. Même les sacs de poubelle sont balancés du haut des immeubles. A ces gens là, il est nécessaire de leur faire la leçon de morale leur expliqué le cas échéant, que l'insalubrité est nocive pour la santé. Je pense qu'ils manquent de civisme, et cela s'apprend. Je crois que des contraventions à leur encontre ne leur fera que tu bien, et leur apprendra ce qu'est la propreté. Il faut employer la force afin qu'ils sachent se comporter dignement.
 
Abonné au gaz   le 05.06.15 | 08h36
 l'or dure et l'argent corrupteur
les Algériens se sont mis à consommer pour près de 60 milliards de dollars par an de khourda... tous les déchets que génère cette consommation frénétique se retrouvent dans nos villes et dans la nature. de passage à Bou Saada en décembre dernier, j'ai constaté à l'entrée de la ville l'existence d'une immense décharge à ciel ouvert.l'air de la Kabylie est devenu irrespirable à cause des fumées chargées de dioxines et de furanes dégagées par la combution à l'air libre des sacs poubelles.les comités de villages n'ont rien trouvé de mieux pour réduire le volume des déchets qui y arrivent constamment. il faut de toute urgence saisir le problème à la base: éviter de fabriquer des déchets en consommant des produits sans emballage, trier à la source nos déchets dans les maisons pour en retirer la partie végétale et la valoriser en compost, incinérer dans des installations de valorisation thermique adéquates le reste et mettre en décharge contrôlées les résidus de mâchefers et du lavage humide des fumées. de quoi donner des sujets de recherches et de thèses à nos futurs polytechniciens afin de développer tout uh pan d'une nouvelle économie dite circulaire... Allah Aalam
 







Constantine : Waha investit l’aéroport contre le tabagisme

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le 07.06.15 | 10h00 Réagissez


La compagne a été assurée par les malades membres de l’association, qui n’ont pas hésitéà parler de leur vécu, trouvant ainsi une écoute active de la part des voyageurs, mais également de la part des employés de l’aéroport.Le stand a vu défiler des hôtesses de l’air, des stewards, le personnel de l’hygiène, et même les buralistes de l’espace.
Une journée de sensibilisation contre le tabagisme, a eu lieu à l’aérogare de Constantine, Mohamed Boudiaf, jeudi dernier. L’initiative est à mettre à l’actif de l’association WAHA de Constantine, d’aide aux malades du cancer.

«Agissons vite, agissons fort contre le tabac !», est le slogan de cette action, car pour WAHA, c’est de la jeune génération qu’il faut s’en soucier le plus.Selon des statistiques récentes,la situation est alarmante concernant la consommation de ce produit par les jeunes, d’autant plus que la majorité de notre société est juvénile.
D’après l’enquête (GATS 2010), la consommation de tabac à fumer est de 15% chez les personnes âgées de 15 ans et plus, de 27% chez les hommes et de 2,5% chez les femmes.
C’est dans une ambiance conviviale que s’est déroulée la journée de sensibilisation. Au tout début de la journée les voyageurs étaient timides et n’osaient pas poser des questions, mais au fil du temps, un climat chaleureux s’est installé.
Les animateursrappellaient que le tabac est nocif sous toutes ses formes : cigarette, chique, chicha, ..., et que même une petite dose est nuisible.
Waha a l’ambition d’élargir son action au milieu scolaire, en organisant des journées impliquant médecins et pédopsychiatres. Une cellule d’écoute est mise à la disposition du grand public depuis une année déjà.
Ilhem Chenafi



Visite du ministre de la culture : Mihoubi fait la leçon aux journalistes !

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le 08.06.15 | 10h00 Réagissez
ImprimerLors d’une conférence de presse animée ,hier, au siège du Commissariat de l’évènement Constantine, capitale de culture arabe 2015, Azzedine Mihoubi, ministre de la culture, n’a pas manqué de donner «quelques conseils» aux journalistes, particulièrement sur la manière de traiter l’information, articles et interviews…brèf, comment être professionnel !!!
A priori, le successeur de Nadia Labidi, en visite de deux jours à Constantine, ne semble pas satisfait de la qualité du traitement médiatique de l’événement culturel majeur de l’année par la corporation de la presse ? «Si j’étais encore journaliste, j’aurai fait tout un dossier d’interviews et portraits d’artistes… c’est ça le journalisme», a-t-il martelé. Et à lui d’égrener un chapelet de «précieux conseils aux journalistes», tout en faisant le parallèle avec les médias étrangers.
D’après ses déclarations, Azzedine Mihoubi incombe la responsabilité de la mauvaise médiatisation du programme de l’évènement culturel aux organes de presse. Et en réponse aux questions des journalistes, il expliquera que «le journaliste est censé chercher l’information là où elle est et n’attend pas  que le chargé de communication la lui fournisse». Deux mois après le lancement de l’évènement, il n’est nulle trace des affiches des spectacles et semaines culturelles programmés. De quelle médiatisation parle le ministre ?
Yousra Salem





Prêt sur gage à Constantine: Ramadhan ruineux pour les petites bourse

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le 08.06.15 | 10h00 2 réactions
 
	Des milliers de citoyens ont recours à cet établissement
Des milliers de citoyens ont recours à cet établissement


Des femmes sont contraintes d’engager leurs bijoux à l’agence de prêt sur gage, ou les vendre carrément en contrepartie d’un petit pécule. La seule agence de Constantine qui pratique le prêt sur gage, la Banque de développement local (BDL), comme nous avons pu le constater sur place hier, est prise d’assaut dès les premières heures de la matinée par des dizaines de personnes. Les bijoux sont pesés et pour chaque gramme d’or on prête jusqu’à 2000 DA sur un échéancier d’une année avec un taux d’intérêt de 7%.
Ramadhan demeure un événement redouté par les pères de familles qui doivent mettre la main à la poche pour faire face à de nombreuses dépenses. Avec un maigre salaire et la flambée des prix, il est difficile, même pour les bourses moyennes d’assurer.

A 8 h 30, heure de l’ouverture de l’établissement, situé rue Tatache Belkacem (ex-Thiers) il y’avait déjà à l’extérieur une file interminable, constituée essentiellement de femmes qui attendaient, pour certaines, depuis plus d’une heure. Pour passer le temps elles parlent de tout et de rien, mais surtout de la cherté de la vie et de la difficulté à subvenir aux besoins de leurs familles.
Chacune a sa propre histoire à raconter. Pour cette femme au foyer, son mari professeur dans un lycée, n’arrive plus à joindre les deux bouts. «Avec trois enfants à charge nous arrivons difficilement à boucler les fins de mois et ramadhan nécessite énormément de dépenses, ce qui m’a contraint à venir gager les quelques bijoux que je  possède. Je pourrai toujours rembourser le BDL pour lever le gage dès que notre situation financière nous le permettra». Dans le même registre, et concernant les femmes qui désirent vendre leurs bijoux, celles-ci trouveront toujours preneur, mais il faudra les sacrifier à des prix bien en deçà de leur valeur réelle, le malheur des uns, en effet, faisant souvent le bonheur des autres.
LE MOIS DES BONNES AFFAIRES
Le prix du gramme d’or de casse, qui avoisinait les 4200 DA il y a quelques semaines, a chuté pour atteindre les 3500 dinars, nous dit-on. Certains bijoutiers, qui maîtrisent l’art de la négociation, arrivent même à obtenir moins dans certains cas auprès de citoyens dans le besoin. Il est vrai que pour nombre de bijoutiers à Constantine, le mois de Ramadhan est synonyme de bonnes affaires. Il convient de signaler d’autre part que nous avons tenté d’obtenir des informations sur le prêt sur gages et l’accentuation de la demande à l’approche du mois de ramadhan auprès du directeur de la BDL mais celui-ci nous a expliqué qu’il n’était pas autorisé à parler à la presse sans l’accord de la direction générale de sa banque à Alger.
Nous devions donc lui adresser une demande, en précisant l’objet de l’entretien, laquelle devait être transmise à sa direction qui décidera quelles suites donner à notre demande. Face à la complexité de cette procédure, il faut dire que nous ne pouvions que baisser les bras. Tout commentaire sur cette situation nous parait d’ailleurs fortuit d’autant que nos interrogations sur le phénomène du prêt sur gages à Constantine ne tendaient en aucun cas à la polémique. 
F. Raoui
 
 
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djarmouma   le 09.06.15 | 00h31
 consommer modérément.
Certes c'est le ramadan, mais quand on n'a pas les moyens, on n'est pas obligé de consommer gros. Il faut savoir gérer son budget. Certains veulent faire mieux que son voisin en frimant, alors que sa situation financière est aux aguets. Non, il faut être raisonnable et ne pas dépasser l'insoutenable. A quoi bon, de faire comme l'autre, cela s'appelle de l'excès de zèle. je consomme selon mes moyens. Et puis manger de trop c'est la santé qui empathie.
 
L'ours   le 08.06.15 | 12h10
 Payement par carte bancaire sur le net
Si la situation se confirme et que le payement par carte via par le net se fait , je conseil à tous les consommateurs de demander un kit de sécurité de payement par carte car vous n'est és pas au bout de vos surprises , les escrots ont plus d'une longueur d'avance , par le le biais de l'informatique , peuvent accéder à vos coordonnées banquaire ,et il peuvent vous sous tirer de l'argent . Et ils peuvent aussi. Effectuer des achats â votre place puisqu 'ils ont tout vos coordonés par distance . Çe système à démarrer par des bandes très doués en informatique et il se branche à distance et ils ont vos coordonnés , çe système à détourner plusieurs milliards d'euro et jusqu'à présent les surdoués de l'informatique sont toujours dehors . Donc je conseille à tous les utilisateurs de carte bancaire de revoir leur agent commercial afin de vous donnez tous les conseilles pour sécuriser votre achat par le net .



Instantané : APC, la responsabilité des partis

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le 09.06.15 | 10h00 Réagissez


On le savait déjà de par le nombre dominant d’amateurs de la chose politique et de violation quotidienne des codes de fonctionnement et de bienséance qui font tradition depuis des décennies. L’APC de Constantine se distingue depuis quelques temps, cependant, par des alliances absurdes. En effet, le maire actuel, issu de la majorité FLN, est soutenu par des élus RND contre d’autres élus de sa propre formation politique.
L’actuelle assemblée populaire communale de Constantine défie tous les canons de la politique.

Dans le petit cercle de sympathisants avec lui, il se trouve aussi des élus du PT, du FNA, MSP et du MPA, qui changent de parti à chaque rendez-vous électoral, sans conviction. La caution active apportée à Seifeddine Rihani, par le RND et menée par le maire adjoint, Nabil Bousbaâ, est symptomatique de la disparition du politique, remplacé par l’affairiste.
Il n’existe en effet aucune raison pouvant justifier ce «mariage» avec le maire FLN, non reconnu certes, mais toléré par le Parti de Bensalah/Ouyahia. Certains cadres du RND,  à l’image de Toufik Laâroussi et Tahar Nouar, se sont même inscrits, en tant qu’élus à l’APC, dans la procédure visant la destitution du maire FLN.
En clair : le duel qui mine aujourd’hui l’hôtel de ville est animé par des élus qui peuvent être alliés à des adversaires politiques pour faire la guerre à des camarades de parti. Même des islamistes du MSP participent à ce jeu de rôles absurde ! Dans la situation actuelle qui enfonce la ville dans sa déchéance, les élus frondeurs, à l’origine de plaintes judiciaires contre le maire, se retrouvent dans la seule position valable politiquement et moralement.
Ces élus au nombre de six et auxquels se sont joints deux autres, ont pris leurs responsabilités pour se démarquer de la gestion actuelle des affaires de la cité et alerter l’opinion publique et les autorités administratives et judiciaires. En revanche, le silence opportuniste des partis membres de l’assemblée fait de ces derniers des complices dans la situation catastrophique de l’APC et les scandales qui risquent de se transformer en affaires criminelles.  
Nouri Nesrouche




Djebel Ouahche

Une fuite d’eau depuis … une année !

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le 09.06.15 | 10h00 Réagissez


Ce sont des centaines de mètres cubes d’eau potable qui sont perdus, chaque jour, pour se déverser au niveau de la route principale du quartier.
La route de Djebel Ouahche, aux environs du commissariat du douzième arrondissement, est transformée en piscine à ciel ouvert.

Les faits ne datent pas d’hier. Cela fait près d’une année que les services de la SDE ont effectué des travaux, afin de relier le transformateur, placé derrière la cité CNEP, à un autre transformateur placé nouvellement en face du fameux café Zitouna, avec un câble de haute tension. Conséquemment à ces travaux et par erreur, les services intervenant, ont causé des dégâts sur le réseau d’AEP provoquant des fuites d’eau.
Inquiets des désagréments causés par cette fuite et devant la dégradation de la situation depuis une semaine, des habitants du quartier, se sont déplacés à la SEACO, pour essayer de trouver une solution radicale à leur problème, mais cette dernière était catégorique à l’égard de cette affaire, affirmant que le problème ne relève pas de sa responsabilité, d’autant plus que c’est la SDE qui a fait les travaux, a-t-on déclaré. Les mêmes citoyens se sont déplacés alors à la SDE, mais celle-ci ne les a pas reçus.
Contactés par El Watan, la chargée de communication de la SDE a nié avoir reçu des réclamations à ce sujet. Entre temps, les riverains subissent quotidiennement ces désagréments et craignent le pire, à savoir une cross-connexion avec le réseau d’assainissement.





Relogement : Le vent de la contestation reprend à Constantine

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le 08.06.15 | 19h30 1 réaction


Après deux mois d’accalmie, «fruit» de l’accord tacite conclu entre les autorités et certains comités de quartier en vue d’éviter de montrer des signes de mécontentement pendant le lancement, ou du moins le début, de la manifestation Constantine, capitale de la culture arabe, le vent de la contestation semble avoir repris et de plus belle. Plus d’une centaine de citoyens représentants des habitants des bidonvilles de la cité Fellahi à Sarkina, de la Poudrière ( Sidi M’cid), ceux de la rue des Maquisards notamment ont tenu en effet, hier, un sit-in devant le cabinet du wali pour exiger leur relogement à la nouvelle ville Ali Mendjeli, où les 3000 logements qui leur auraient été affectés, selon leur propos, seraient prêts.

Ces derniers rappellent d’autre part, que leur transfert vers Ali Mendjeli a été retardé à plusieurs reprises depuis fin 2014. «Nous sommes fatigués d’attendre. Notre relogement est à chaque fois différé. Il devait avoir lieu en mars, en mai, puis en juin et maintenant on nous dit que l’opération a été retardée jusqu’au 20 juillet, c’est-à-dire après le ramadhan.
De qui se moque-t-on ? Les autorités nous grugent avec des promesses qu’elles sont incapables de tenir. Notre patience a des limites et là ils sont en train de nous pousser à des actions extrêmes», nous dira l’un des contestataires. N’ayant eu aucun vis-à-vis, ces protestataires exacerbés ont fermé d’ailleurs le boulevard J.F. Kennedy bloquant ainsi l’accès au centre-ville.
Ce mouvement de protestation a occasionné une perturbation de la circulation et a créé un énorme embouteillage ce qui a nécessité l’intervention des éléments de la sûreté pour disperser les manifestants dont des délégués, l’on vient de l’apprendre, ont été finalement reçus par le chef de cabinet du wali qui leur a promis, comme il est de coutume dans pareil cas, que leur relogement ne saurait tarder.
Par ailleurs, l’association Al Amel, des souscripteurs au projet de 100 logements LSP à Zighout Youcef ont pondu hier un communiqué annonçant la reprise des actions de protestation devant le cabinet du wali, après avoir constaté que leur projet est dans l’impasse en dépit des nombreuses promesses.
F. Raoui
 
 
VOS RÉACTIONS 1
djarmouma   le 09.06.15 | 00h12
 Décevant.
Il me semble que cette ville est toujours délaissée. Capitale de l'Est n'a pas retrouvé son développement depuis longtemps. Après une visite, j'ai été déçue de son environnement délabré. Rue et route défectueuses sans compter bien sur l'insalubrité qui m'a beaucoup laissé dans le désarroi . Pourtant c'est une belle ville d'art et d'histoire. Une ville comme celle-ci en Europe serait princesse. Mesdames et messieurs d'El watan prenez acte et aider moi à diffuser cet article. C'est une ville algérienne et qui appartient à ce beau pays.
 



Patrimoine : A la découverte des merveilles du Rocher

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le 09.06.15 | 10h00 2 réactions
 
	Les jeunes étaient au rendez-vous pour découvrir leur ville
Les jeunes étaient au rendez-vous pour découvrir leur ville


C’est grâce à un collectif de membres d’associations constantinoises qui œuvrent pour la créativité que, samedi dernier, l’antique Cirta a reçu ses enfants qui sont venus lui rendre visite, tous sans aucune exception étaient impatients de découvrir l’itinéraire maintenu secret pour la surprise, jusqu’au jour J. En effet, c’est un circuit audacieux qui a été présenté.
Un groupe de jeunes, tous membres d’associations diverses, a pris l’initiative d’organiser des sorties touristiques, dans les différents sites historiques de la ville, pour la majorité desquels, l’accès est devenu quasiment impossible du fait de l’insécurité et des risques d’accidents.
Ces jeunes ont bravé tous les risques pour redonner de l’espoir à leurs semblables, mais surtout le bonheur de découvrir Constantine sous un autre regard.

Une soixantaine de personnes ont participé a l’événement, ils se sont rassemblés au point de départ : le jardin de la brèche pour ensuite entamer la visite tant attendue.
En file indienne, l’ensemble est passé par le boulevard de l’abime, pour ensuite rejoindre les grottes qui relient le boulevard au pont de Sidi M’cid, profitant de la vue magnifique. Il n’y avait qu’à voir l’engouement des jeunes pour les photos pour comprendre qu’ils sont en manque de ce genre de sorties ! Le groupe a ensuite entamé la montée vers le Monument aux Morts, où certains ont découvert pour la première fois vue panoramique et imprenable.
Ce Monument reste sans doute parmi les sites les moins visités par la jeunesse locale et surtout par la gente féminine, dissuadée par l’insécurité. Sur les lieux, une pause photo s’impose.

SORTIR DES SENTIERS BATTUS
Pour la suite, les participants ont emprunté un parcours peu probable pour rejoindre Bab El Kantara. Effectivement, une grande surprise s’est inscrite sur le visage de chacun, en voyant la sortie se transformer en randonnée pour les amateurs de sensations fortes. Et c’est a ce moment la que l’esprit de solidarité et du partage a surgi.
Comme le terrain était accidenté, il a bien fallu aux randonneurs de l’entraide pour réussir la descente, et c’est le but des organisateurs qui nous ont confié que leur objectif majeur est de rapprocher les jeunes dans un cadre instructif et agréable. La balade n’est pas finie ! Un détour par les jardins de Sousse ou jardin du bey, ne pouvait être raté, mais hélas le jardin abandonné, est devenu refuge pour les délinquants. Un coin du paradis, clochardisé.
Pour le retour, ils ont choisi les escaliers du pont, qui donnent sur le Rhumel : cerise sur le gâteau. Au final, les participants ont passé trois heures et demie de découverte, de solidarité, de partage mais surtout de plaisir. Le collectif prévoit d’autres sorties prochainement. Le rendez-vous est toujours pris sur les réseaux sociaux.
 
Ilhem Chenafi
 
 
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L'échotier   le 13.06.15 | 13h19
 C'est bien
Mais où sont les touristes étrangers censés nous apporter des devises? Rien à l'horizon tant que notre société n'ait été éduquée pour les accueillir...
 
OAZ   le 10.06.15 | 17h23
 Bravo les jeunes!
C'est avec plaisir que je lis cet article. Bonne continuation.
Très cordialement,
OAZ
https://www.facebook.com/PourElHdaka




Constantine :Formation chez l’AJC

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le 10.06.15 | 10h00 Réagissez


L’association des journalistes du constantinois (AJC) qui regroupe des journalistes femmes, organise à partir d’aujourd’hui et durant deux jours, une session de formation intitulée : «Communiquer avec impact à travers l’Intelligence Emotionnelle». Ce n’est pas le premier évènement inscrit à l’actif de l’AJC qui cette fois-ci, s’implique dans le renforcement de la personnalité. Les participantes auront donc à suivre des cours sur des sujets utiles comme la conscience de soi, la maitrise de soi, la conscience sociale et la gestion des relations. La notion d’intelligence émotionnelle, devenue populaire, désigne «l’habileté à percevoir et à exprimer les émotions, à les intégrer pour faciliter la pensée, à comprendre et à raisonner avec les émotions, ainsi qu’à réguler les émotions chez soi et chez les autres» (Mayer &Salovey, 1997).                   

Rédaction Constantine



Constantine : Oued El Had obstrué par une décharge sauvage

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le 11.06.15 | 10h00 Réagissez


Ces derniers citent en exemple le comportement d’un entrepreneur indélicat ayant entamé des travaux de terrassement au niveau d’un chantier de construction de villas, ouvert il y a près de deux mois, sur une butte surplombant le boulevard de l’ALN juste en face de la mosquée Abdelaziz. Cet entrepreneur serait, selon les représentants des habitants de la cité Sakiet Sidi Youcef, en train de se débarrasser des déblais générés par ce chantier en contrebas de leur cité sur les berges d’Oued El Had.
Les habitants de la cité Sakiet Sidi Youcef montent de nouveau au créneau pour dénoncer à travers une correspondance adressée aux autorités de la wilaya, dont une copie nous a été remise par le président de leur association de quartier, les innombrables atteintes à l’environnement constatées aux abords de leur cité,notamment la prolifération des décharges anarchiques.

Des déblais qui auraient obstrué l’oued en question dans lequel coule les eaux usées des cités situées en amont de leur quartier et provoqué également le détournement du lit de l’oued lequel déverse désormais ses eaux usées à proximité de leurs demeures. Les représentants de l’association du quartier de Sakiet Sidi Youcef en appellent à l’intervention des autorités de la ville notamment à la direction de l’environnement pour mettre un terme à ces agissements qui mettent en péril leur santé et leur environnement immédiat.
F. Raoui




A l’approche du mois de Ramadhan

La crise de la petite monnaie s’aggrave à Constantine

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le 11.06.15 | 10h00 1 réaction


 Or, consommation rime forcément avec dépenses via des espèces sonnantes et trébuchantes. Afin de pallier le manque de petite monnaie, certains commerçants se sont ingéniés à… épargner des sommes considérables en pièces de 1, 2, 5, 10, 20 et 50 DA, pour rendre la monnaie à leurs clients, sans embarras et pour ne pas perdre de temps à en chercher chez les commerçants voisins.
A quelques jours du début du mois de Ramadhan, certains commerçants de la ville du Vieux Rocher s’organisent en conséquence, en pensant aux moindres détails, d’autant que ce mois sacré reste celui de la consommation par excellence.

«J’ai mis de côté l’équivalent de
200 000 DA en pièces de monnaie en perspective du mois de Ramadhan pour ne pas faire attendre les clients et perdre du temps, surtout durant les quatre dernières heures avant le f’tour, au cours desquelles les gens sont nombreux à acheter de la zlabia avant de rentrer chez eux», nous a confié un confiseur de Constantine.
Il n’est toutefois pas le seul à opter pour cette «pratique». Pâtissiers et vendeurs de qalbellouz ne sont pas en reste, nous dit-on, ce qui accentue le manque déjà patent de pièces de monnaie observé depuis plusieurs années.
Partant faire leurs «provisions» de pièces de monnaie, ces commerçants perturbent davantage le marché financier qui accuse déjà le contrecoup d’une pénurie qui perdure, d’autant que la Banque d’Algérie n’a plus émis de pièces de monnaie depuis celle de 200 DA en 2011, à l’occasion du 50e anniversaire de l’indépendance.
Du coup, chacun tente de trouver le bon filon pour amasser le maximum de pièces quitte à payer une «commission», une sorte de pourcentage pour service rendu. Cela dit, certains commerçants ont trouvé la parade en s’approvisionnant, laisse-t-on entendre, auprès des mendiants syriens qui arpentent les artères de la ville du matin jusqu’au soir. Ces derniers représentent une véritable source de pièces de monnaie variant généralement de 5 à 100 DA, nous dit-on.
Ce pactole non négligeable attire les convoitises de nombreux commerçants qui raflent quotidiennement ces pièces de monnaie en les échangeant contre des billets de banque. Cette pratique risque de faire des émules dans d’autres wilayas, où le problème de la rareté des pièces de monnaie se fait également sentir. 
Lydia Rahmani
 
 
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blackone   le 11.06.15 | 19h43
 une histoire à "deux sous"
Les dessous de la petite monnaie chez nous dépassent cette histoire " à deux sous" Lydia!
je signe et persiste que les deux chiffres après la virgule qui ont disparu des étiquetages :
http://www.elwatan.com/regions/est/actu-est/les-pieces-de-5-10-et-20-da-manquent-au-porte-monnaie-09-06-2015-296810_221.php
n'est pas fortuite mais savamment orchestrée.
 





Commune de Constantine

UGTA et SNAPAP revendiquent le départ du S.G

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le 14.06.15 | 10h00 Réagissez


Selon Mohamed Salah Sahali, SG de l’UGTA de la commune de Constantine, Nadir Bettine serait le premier responsable de tous les problèmes survenus au niveau de la commune et de l’administration, plus particulièrement ceux de la collecte des déchets. Notre interlocuteur a expliqué que le SG de la commune «procède avec certaine subjectivité tout entravant l’avancement de certains projets, car il est en conflit avec le maire Seif Eddine Rihani».
Des employés de la commune, membres de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) pour certains et  du syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP) pour d’autres, revendiquent le départ du secrétaire général de la commune de Constantine, en l’occurrence Nadir Bettine.

Le SNAPAP et l’UGTA, à travers un communiqué de presse, accusent M.Bettine de «mépriser» souvent les employés et d’entraver le fonctionnement des œuvres  sociales. «Il a créé une zizanie au sein des services à travers le favoritisme. Il refuse d’appliquer le nouveau projet de la structure organique de la commune établi par le wali le 17 juillet dernier. Cet organigramme compte 300 postes de travail et le SG a tout gelé en attendant le départ de cette assemblée. Et il n’a jamais pris en considération nos revendications.C’est pourquoi nous demandons son départ», a déclaré Mohamed Salah Sahali.
Contacté par téléphone, Nadir Bettine a rejeté toutes ces accusations. Il a affirmé que ces syndicats l’accusent de généralités et que la gestion de la commune ne les concerne pas. «Il n’est pas de mes prérogatives d’exécuter l’organigramme, tout autant que les points cités dans leur communiqué. Il y a des lois à respecter, et ces syndicats ne les connaissent pas. Concernant les promotions des employés, il y a une commission  paritaire qui le fait et selon des critères», a-t-il souligné.
Nadir Bettine qui s’interroge sur les réelles motivations de ces deux conclura :«À propos du conflit entre le maire et moi, c’est un problème qui ne les regarde même pas. Et la collecte des déchets c’est le problème de tout le monde et non pas seulement le SG. J’aurai souhaité qu’ils viennent discuter avec moi des problèmes des employés et comment améliorer la ville. En fait il ne s’agit que d’intérêts personnels».
Yousra Salem



فتحت النار على وزارة المالية وهددت بتنظيم مسيرة

هيئة المهندسين المعماريين تقرر وقف مشاريع السكن في 1جويلية

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الجزائر: رشيدة دبوب /   22:15-24 يونيو 2015


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اتهمت الهيئة الوطنية للمهندسين المعماريين وزارة المالية بتأخير المشاريع السكنية؛ لرفضها التوقيع على القرار الوزاري المشترك حول المخالصات المالية لمكاتب الدراسات والمهندسين المعماريين، رغم أنه قرار أمر به الوزير الأول، وهو الوضع الذي قرر بموجبه المجلس الوطني للهيئة توقيف المشاريع في الفاتح جويلية ردا على هذا التعسف.
حسب ما صرح به رئيس الهيئة، جمال شرفي، في لقاء خص به “الخبر”، فإن المشكلة بدأت منذ سنة عندما صرح وزير السكن عبد المجيد تبون أن المشاريع السكنية بمختلف صيغها لم يجد لها مكاتب دراسات لمتابعتها، بما فيها المكاتب العمومية التابعة إداريا للوزارة، وذلك بسبب القرار الوزاري المشترك رقم 17 الصادر في 1988، الذي يحدد كيفية المخالصات المالية لمكاتب الدراسات والمهندسين المعماريين، حيث لم يراجع هذا المرسوم من التاريخ المذكور، رغم أن الأجر القاعدي عرف زيادة بـ3 أضعاف.
تم بعدها، يضيف شرفي، إنشاء لجنة مشتركة بين هيئة المهندسين ووزارة السكن من أجل مراجعة استعجالية لنص القرار المشترك الممضى بين وزارة السكن والمالية. وخلصت اللقاءات بعد 6 أشهر من المناقشة، إلى تقديم نص قانوني يتلاءم مع متطلبات المرحلة الحالية، للتحكم الأحسن في المشاريع ولإعطاء المهندسين المعماريين جزءا من حقوقهم. وبعد إمضاء القرار المشترك من قبل وزير السكن، تم تحويله إلى وزارة المالية منذ كان الوزير جودي على رأس الوزارة، مرورا بالوزير جلاب، ووصولا إلى عبد الرحمان بن خالفة، حيث لم تتحرك وزارة المالية ولم تفرج عن القرار، ومن ثمة تحرير المشاريع التي تسير بوتيرة متباطئة.
وضع اتهم بموجبه شرفي وزارة المالية بالمماطلة في التوقيع على القرار، وخصّ المديرية العامة للميزانية بالذات بالاتهام، وقال إنها “أصبحت وزارة داخل وزارة، لم يستطع حتى الوزراء المتعاقبون التحكم فيها”. واستغرب المتحدث نفوذ هذه المديرية والقائمين عليها، على الرغم من أن المرسوم المذكور حظي بموافقة مسبقة من قبل الحكومة، إلا أنهم في كل مرة يسجلون أسبابا “واهية” للتأجيل، واعتبر ما يحدث عملا متعمدا هدفه إلحاق الضرر بالمهندسين.
واستدل ممثل المهندسين باللقاءات التي جمعتهم بوزارة المالية، آخرها اجتماع ترأس وفدهم الأمين العام لوزارة السكن، فيما ترأس وفد المالية مساعدة الأمين العام، وهو ما اعتبره المتحدث “إهانة”، لهذا قرر المجلس الوطني للهيئة إخطار جميع مكاتب الدراسات الوطنية والمهندسين المعماريين بوقف جميع الورشات الخاصة بالمشاريع السكنية والتجهيزات العمومية لجميع قطاعات الدولة في الفاتح جويلية؛ احتجاجا على “التعسف” الممارس من طرف وزارة المالية، على أن تصعّد بعدها بتنظيم مسيرة نحو وزارة المالية يشارك فيها 15 ألف مهندس معماري.
في المقابل، قال شرفي إن وزارة المالية تكيل بمكيالين، واعتبر تبريرات مسؤوليها حول تأخر الإفراج عن القرار وربطه بانخفاض أسعار البترول باطلة، وطالبها بإجراء مقارنة بين ما تقاضته مكاتب الدراسات الأجنبية في العشر سنوات الماضية، وما تتقاضاه المكاتب الجزائرية، فقد بلغ الغلاف المالي الذي تسلمته مكاتب الدراسات الأجنبية أكثر من 12 مليار دولار لإشرافها على مشاريع تتعلق بـ26 قطاعا، ولم يكن نصيب الجزائريين منها سوى 5 في المائة، ليتم تحويل النسب المتبقية نحو الخارج، بالرغم من أن المهندسين الجزائريين كان باستطاعتهم إدارة هذه المشاريع بعشر هذا المبلغ.
كما وجّه المتحدث دعوة لوزير المالية لمراجعة صفقة الدراسات بالنسبة لمشروع بناء مقر الوزارة، الذي سلم في 2007، أين سلم المشروع لمكتب دراسات أجنبي وكان باستطاعة مكاتب الدراسات الجزائرية القيام بذلك بغلاف مالي أقل، مع العلم، حسبه، بأنه لا فرق بينهم وبين الأجانب، “والمهندسون الجزائريون أثبتوا وجودهم في دول الخليج وأوروبا”. كما أن 99 في المائة من مكاتب الدراسات الأجنبية، حسب قوله، ينتهكون السيادة الوطنية، لأنه لا يوجد أي مكتب له اعتماد من هيئة المهندسين أو تصريح من وزارة الداخلية، بالإضافة إلى أنها تعمل بواسطة تأشيرة سياحية، ويستخدمون المهندسين الجزائريين كمطية عبر قانون الاستثمار، رغم أن هذا الأخير لا يخص قطاع الخدمات والمهن الحرة.
- See more at: http://www.elkhabar.com/press/article/83485/%D9%87%D9%8A%D8%A6%D8%A9-%D8%A7%D9%84%D9%85%D9%87%D9%86%D8%AF%D8%B3%D9%8A%D9%86-%D8%A7%D9%84%D9%85%D8%B9%D9%85%D8%A7%D8%B1%D9%8A%D9%8A%D9%86-%D8%AA%D9%82%D8%B1%D8%B1-%D9%88%D9%82%D9%81-%D9%85%D8%B4%D8%A7%D8%B1%D9%8A%D8%B9-%D8%A7%D9%84%D8%B3%D9%83%D9%86-%D9%81%D9%8A-1%D8%AC%D9%88%D9%8A%D9%84%D9%8A%D8%A9/#sthash.kmSwMcJA.dpuf



Tournoi de l’amitié à Constantine : le handball féminin à l’honneur

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le 15.06.15 | 10h00 Réagissez

Le treizième tournoi international de l’amitié de handball dames, a pris fin jeudi à Constantine après quatre jours de compétition, abritée par les deux salles omnisports de Zouaghi Slimane et Mansourah.

 L’AC Bobigny de France, le club de Megrine de Tunisie et le ENRD du Congo, ont été les invités de Constantine pour ce tournoi, alors que l’Algérie a été représentée par le GSP, l’OJS Constantine, et la Sélection d’Oran.
Trois équipes qui n’ont nullement démérité. En effet, c’est en toute amitié que s’est déroulé le tournoi. Les équipes se sont entrainées ensemble pour leurs matchs, permettant ainsi un échange d’expérience. C’est le GSP qui a remporté la finale, après les prolongations, face à l’équipe de Tunisie, qui s’est défendue jusqu’à la dernière minute avant de s’incliner sur le score de 32/28. Le public de la salle Zouaghi a eu droit à un match serré et plein de spectacle.
C’est une équipe constantinoise, fraîche et prometteuse, qui a disputé la petite finale face à l’équipe du Congo, en s’inclinant sur le score de 23/19. La rencontre pour les cinquième et sixième places s’est déroulée à la salle du Mansourah, entre l’AC Bobigny et la Sélection d’Oran. Cette dernière n’a eu aucune difficulté pour gagner le match. Ce tournoi a vraiment été un coup de booste pour les équipes, mais aussi pour les jeunes pratiquants de la discipline, qui étaient présents dans les gradins et même pendant les entrainements. 
Ilhem Chenafi


Session de l’APW de Constantine : où est passé l’argent de la wilaya ?

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le 15.06.15 | 10h00 Réagissez


Le président de la commission économique et financière, Nedji Bendjaballah, n’a pas manqué de dénoncer l’absence totale de l’administration à Constantine au niveau de certains secteurs, plus particulièrement en ce qui concerne l’inscription des projets. «Pour les équipements, l’argent est consacré pour les routes et les aides accordées pour les communes, rien de plus. J’espère que les responsables des secteurs vitaux proposent des projets pour améliorer la vie quotidienne du citoyen», a-t-il déclaré.
Beaucoup d’interrogations sur la destination de l’argent de la wilaya, dépensé en 2014, ont été soulevées hier par des élus de l’APW, qui sont intervenus suite à l’étude des dossiers du compte administratif de l’année 2014 et du budget supplémentaire de l’année 2015, lors de la seconde session de 2015 tenue au siège de la wilaya de Daksi.

Dans le rapport de la commission des finances, il est mentionné que l’APW n’a pas assez d’informations concernant les aides octroyés aux associations sportives et culturelles. Tout se fait dans l’opacité totale. Selon le même rapport, le taux de dépense des budgets de l’année 2014 est de 36 %. Un chiffre qualifié de ridicule. «Dans certains secteurs, on a insisté pour l’inscription de certains projets et demandé de grandes sommes d’argent, sans qu’il y ait de résultats concrets.
Par exemple les budgets accordés pour les projets communaux n’ont été consommés qu’à un taux de 31%». Pour sa part, l’élu FLN  Nadir Amireche a soulevé aussi le problème du manque de détails concernant les dépenses de gestion et des équipements. «La consommation des budgets ne reflète pas la réalité, il y a une différence énorme et flagrante entre les chiffres donnés et ce qui a été réalisé.
Il y a des sommes qui ont été dépensées sans que l’on sache leur destination», a-t-il déclaré. Il a affirmé aussi que l’argent de la wilaya a été dépensé dans les différents programmes de l’évènement culturel de l’année, pourtant il y a un budget débloqué par le ministère de la Culture.
«Le directeur de la culture a donné 3 milliards de centimes pour ses associations, mais malheureusement on n’a rien vu de leurs activités culturelles. On peut faire de la culture sans dépenser une telle somme. Et puis qui a donné les prérogatives au wali, au directeur de la culture, au DAL ou autres pour dépenser cet argent sans même pas prévenir l’assemblée», a-t-il fulminé. 
Yousra Salem





Semaines culturelles au Zénith de Constantine : des comportements d’un autre âge

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le 15.06.15 | 10h00 2 réactions


Toutes les délégations des wilayas qui y ont pris part ont d’abord déploré l’éloignement du lieu choisi pour la tenue des expositions et des soirées. Un lieu boudé par le public pour des raisons évidentes, notamment en l’absence de moyens de transport, alors que le palais Al Khalifa ou même la maison de la culture Malek Haddad offraient la possibilité d’être en plein centre-ville. L’autre fait que la plupart des participants ont soulevé demeure la mauvaise organisation au pavillon réservé aux expositions, et le mépris affiché par les agents du Zénith.
Les semaines culturelles organisées au Zénith de Constantine dans le cadre de la manifestation de 2015 se suivent et se ressemblent.

«Nous avons fait des centaines de kilomètres pour venir à Constantine avec tous nos affaires, notre matériel et nos œuvres pour avoir droit à un comportement déplorable de la part de ceux qui sont chargés de gérer cet espace», déplore un participant de la wilaya de Médéa rencontré ce samedi au Zénith.
Ce dernier rajoute : «samedi matin, nous avons fait le trajet de l’hôtel à El Khroub jusqu’à la salle, sans pouvoir accéder à nos stands, parce que l’on n’a pas encore nettoyé les salles, alors nous sommes revenus à l’hôtel et la matinée a été perdue, c’est vraiment dommage ce qui se passe ici». Un sentiment partagé par tous les membres de la délégation de Médéa, qui regrettent des agissements qualifiés d’irrespectueux et d’un autre âge.
Des scènes dont nous avons été témoins sur place. Ainsi, samedi vers 18h et au moment où le public commence à affluer vers l’exposition, les agents commencent à «chasser» les visiteurs et même les participants, rien que pour «fermer» les salles, avançant des prétextes fallacieux. «Excusez nous, nous allons fermer», lance un agent à l’adresse des visiteurs. «Je ne comprends pas pourquoi vous voulez nous faire sortir de la salle, alors que des gens intéressés sont venus de loin pour nous voir ?» s’interroge un artiste de Médéa.
Pour seule réponse l’agent lui réplique sèchement : «si vous avez des réclamations, vous n’avez qu’à les adresser aux responsables ; nous devons fermer». Alors qui sont ces responsables qui donnent des ordres pour faire sortir le public et les participants des salles d’exposition, pour remplir les salles de spectacles ? Est-vraiment logique que des artistes qui veulent, eux aussi, rester dans leurs stands avec les visiteurs, soient chassés de la sorte sans aucune politesse ? Où sont le respect et l’hospitalité messieurs les responsables du Zénith ? 
Arslan Selmane
 
 
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Cirta25   le 18.06.15 | 09h14
 Aucune surprise, malheureusement!
Ce comportement injustifiable montre à quel point toute personne en charge d'un lieu ou d'un événement culturel ne respecte pas 1% de ses devoirs et se donne le 'pouvoir' d'imposer ce qu'il veut car il ne court aucun risque d'être sanctionné par son 'supérieur' qui est lui-même défaillant car il doit son poste non à sa compétence mais aux appuis des sphères mafieuses qui siphonnent les deniers publics comme étant leurs propres biens. Hélas, chaque jour qui passe dans notre pays apporte son lot de désillusion et de gabegie, ceci est même valable dans les sphères universitaires ou la médiocrité domine.
 
L'échotier   le 15.06.15 | 15h06
 Triste
On nous a promis la culture arabe, nous l'avons dans toute sa splendeur : noirceur sans profondeur...
 



Parc urbain du Bardo à Constantine : pas de livraison pour le ramadhan

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le 15.06.15 | 10h00 2 réactions
 
	Le projet connaît plusieurs entraves bureaucratiques
Le projet connaît plusieurs entraves bureaucratiques


A moins d’une semaine de l’entame du mois sacré, cette promesse semble irréalisable, à considérer le faible taux d’avancement des travaux. Les propos du wali relèvent même de la chimère, compte tenu de l’arrêt actuel du chantier pour cause de mécontentement des intervenants. «Nous n’avons pas été payés depuis 7 mois», explique un sous-traitant, s’exprimant au nom de nombreux autres. «Le wali nous a garanti de régler ce problème sans donner de délai, mais à ce jour rien n’a été réglé.», poursuit-il.
Il y a environ un mois, et lors d’une visite sur les chantiers de Constantine 2015, le wali Hocine Ouadah, avait promis aux Constantinois de se balader dans le nouveau parc du Bardo dès le début du Ramadhan.

A l’instar d’autres projets qui connaissent les mêmes entraves bureaucratiques et peinent à être achevés, le projet du parc urbain du Bardo, confié à un groupement Algéro-espagnol pour un budget de 350 milliards de centimes (100 milliards pour la partie botanique), a été marqué par des retards dans le démarrage du projet et des défaillances remarquables.
Le maître d’ouvrage, à savoir la direction de l’environnement de Constantine, semble dépassé par ce projet suscitant des mécontentements tous azimuts, notamment du wali.
Du prix exorbitant de l’étude, confiée à un bureau italien, à la qualité et l’origine des arbres importés, et jusqu’à l’opportunité d’impliquer un partenaire étranger, qui a sous-traité pratiquement tout, plusieurs points sombres font taches sur ce projet. Le plus grave et qui menace sérieusement le projet c’est ce tassement différentiel du terrain et cette faille, qui se sont développés au cours des derniers mois du côté de l’ancienne école primaire. Un phénomène qui rappelle les nombreux avertissements sur la nature instable du terrain et pose la question sur l’existence ou non d’une étude géotechnique. 
Nouri Nesrouche
 
 
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Loukan   le 15.06.15 | 16h18
 C'est un remblai !
Il y aura toujours des glissements de terrain, Bardo étant constitué de remblais venant de l'arasement du Coudiat. Comme la brèche, l'emplacement de la poste, ... Construire des immeubles ou des choses en ... la suite
 
L'échotier   le 15.06.15 | 15h03
 Baklawa..
Comme toujours des promesses autour de projets bâclés et sans étude préalable. A la fin, un projet qui va durer 10 ans et qu'il faudra financer et auquel il faudra ajouter des enveloppes complémentaires pour permettre à certains barons de se sucrer au passage. Ainsi va l'Algérie, le pays où tout est possible, même l'impossible...




 
	Le projet connaît plusieurs entraves bureaucratiques






Création de classes pour les autistes à la rentrée : un espoir pour les enfants trisomiques à Constantine

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le 16.06.15 | 10h00 Réagissez


L’annonce de la ministre de la Solidarité nationale, de la famille et de la condition de la femme relative au projet de création de classes spéciales pour autistes dans les établissements scolaires a non seulement été bien perçue, mais a également donné de l’espoir aux parents d’enfants autistes, d’autant que le nombre de ces malades est estimé en Algérie à 150 000 cas. 
L’idée d’intégrer des enfants souffrant d’autisme léger dans les établissements scolaires à partir de la rentrée prochaine est salutaire à plus d’un titre, dans la mesure où les parents d’enfants souffrant de ce trouble du comportement étaient souvent désemparés, à défaut d’espaces éducatifs spécifiques.

A ce titre, les experts estiment que plus le diagnostic est établi précocement, plus vite l’enfant concerné peut bénéficier d’un suivi susceptible d’atténuer son mal et favoriser son insertion dans la société. D’où l’importance du projet de scolarisation des autistes, à condition de doter les établissements d’un encadrement spécialisé qualifié.
Pour d’aucuns, ce projet pourrait aussi faire le bonheur des enfants atteints d’autres maladies comme, par exemple, la trisomie 21. Une anomalie chromosomique congénitale, considérée comme l’une des maladies génétiques les plus communes, et dont les enfants qui en sont atteints n’ont pas toujours la chance de bénéficier d’une bonne prise en charge.
Partant, le projet d’intégrer des autistes légers dans les établissements scolaires pourrait être élargi aux trisomiques. Une éventualité qui serait fort bien accueillie par les associations œuvrant au profit de cette catégorie d’enfants en mal, parfois, d’encadrement.
«Ce serait une véritable évolution. Il faudrait néanmoins doter ces classes de matériel pédagogique et de personnel qualifié, notamment des psychologues et des orthophonistes», nous a affirmé Farida Aberkane, présidente de l’association Amel pour la lutte contre la trisomie 21. Cette association prend en charge, actuellement, 31 enfants trisomiques répartis en trois classes, au niveau de l’école Ibn Rochd de la commune du Khroub, grâce à un bon encadrement et du matériel pédagogique leur permettant d’assimiler l’enseignement de l’arabe et du français qui leur est dispensé.
Cela dit, outre le fait de saluer l’initiative de créer des classes spéciales pour les autistes, la présidente de l’association Amel préconise de «mettre très tôt les enfants trisomiques sur rails, à la crèche ou à l’école, pour qu’ils puissent être progressivement accompagnés et intégrés en vue d’une bonne insertion scolaire et sociale». 
Lydia Rahmani



Haï Aïn Sdari à Hamma Bouziane (Constantine) : l’absence de commodités très mal vécue par les habitant

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le 16.06.15 | 10h00 Réagissez


Sur place les représentants de l’association de quartier nous accompagnent pour nous montrer l’ampleur de ce qui fait leur désarroi. Ce qui attire l’attention d’abord, c’est l’état lamentable de la route et des différentes voies d’accès, toutes cabossées, et de plus submergées par la boue en hiver en l’absence d’un réseau d’évacuation des eaux de pluie.
Les habitants de Haï Aïn S’dari, un petit bourg situé sur une butte surplombant la ville de Hamma Bouziane, souffrent le calvaire au quotidien. Même si certains travaux urgents ont été entrepris dans le quartier par les autorités locales, pour améliorer leur cadre de vie comme l’installation de l’éclairage public, la récente réalisation d’un réseau d’évacuation des eaux usées qui faisaient cruellement défaut, beaucoup reste à faire, selon les habitants. 

L’alimentation en eau potable constitue également un souci crucial. Les habitants affirment ne recevoir le précieux liquide que quelques heures seulement par jour.Un riverain évoquera également l’apparition d’un phénomène presque inconnu jusque-là à Aïn S’dari : l’insécurité. «C’est vrai que cela n’atteint pas le degré de gravité enregistré à Constantine ou à Ali Mendjeli, mais l’on signale tout de même quelques délits comme les agressions ou la présence de dealers de psychotropes et de kif dans le quartier», souligne notre interlocuteur.
Les habitants évoquent également l’absence de lieux de loisirs et de terrain de jeux où les plus petits pourraient dépenser leur trop plein d’énergie.
En matière de couverture médicale il n’existe qu’un dispensaire dépourvu de tout. «Pour une simple consultation, l’on est contraints de couvrir plusieurs kilomètres pour nous rendre à Didouche Mourad ou Hamma Bouziane. Un déplacement très coûteux pour les habitants du quartier dont la majorité ne roule pas sur l’or», déplorent les habitants.
A Haï Aïn S’dari ce n’est pas uniquement les commodités qui font défaut, c’est aussi une situation géographique qui fait que le quartier, où tout manque, est excentré par rapport au chef-lieu de wilaya et Hamma Bouziane. Le transport est ainsi un véritable casse-tête. Le déplacement vers Hamma Bouziane ou Constantine est vécu quotidiennement comme un calvaire, notamment pour les enfants scolarisés.
En effet, en l’absence de moyens légaux de transport individuel ou collectif, les «fraudeurs» exercent en maîtres des lieux en assurant des navettes à leur guise et à des tarifs prohibitifs. «Nous voulons que notre quartier bénéficie, à l’instar des autres cités d’une opération d’amélioration urbaine, que l’on pense à nous pour une ligne de bus. Bref, que nous soyons considérés comme des citoyens à part entière», nous dira un représentant de l’association de quartier.
F. Raoui





Constructions illicites à El Khroub : 35 habitations démolies à Salah derradji

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le 17.06.15 | 10h00 Réagissez


les habitants concernés n’ont pas manqué d’exprimer leur colère au sujet de cette opération, car selon eux il y a des habitations plus anciennes se trouvant dans la commune d’el khroub, mais qui n’ont pas été ciblées. «nous avons été contraints de construire ces maisons parce que nous n’avons pas de logements ; nous avons déposé nos dossiers, il y a des années, et jusqu’à maintenant nos requêtes adressées aux responsables locaux sont restées sans suite», a déclaré un des propriétaires de ces maisons.
Trente cinq nouvelles habitations construites illicitement à salah derradji, dans la commune d’el khroub, ont été démolies hier matin par les services de la commune en présence de la force publique.

sollicité à propos de cette opération, le p/apc d’el khroub, abdelhamid aberkane, a précisé à el watan que «ces habitations ont été construites ces derniers jours et à une cadence incroyable; les travaux ont duré jour et nuit». «il s’agit d’une opération d’assainissement afin d’éviter la propagation des constructions anarchiques à la commune d’el khroub, je ne peux pas permettre que ce genre d’habitations existe.
j’ai donné un délai d’environ une semaine pour ces gens, et maintenant nous avons démoli 35 maisons illicites», a-t- expliqué. notre interlocuteur a rappelé que la commune a programmé un quota de 400 logements au profit des habitants de salah derradji, et qui sont en cours de construction. «il y a 250 logements ruraux à distribuer, dont 80 logements se trouvent à salah derradji, en plus de 120 autres habitations rurales situées à 50 km de salah derradji, au lieudit bourakba et 50 autres logements à chelia. je rappelle aussi qu’il y a un autre programme de 150 logements sociaux destinés entièrement aux habitants de salah derradji. les habitants auraient pu patienter un peu», a-t-il souligné. 
Yousra Salem



APC de Constantine : Les faux fuyants du maire

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le 17.06.15 | 10h00 2 réactions

Seifeddine Rihani aurait pu trouver mieux pour se tirer d’affaire. Mais comme il nous a habitués, il allume un pétard mouillé en rêvant de feux d’artifice.

 La levée de bouclier contre le secrétaire général de la commune, par l’intermédiaire de deux sections syndicales, est un ratage lamentable en matière de diversion.
Du niveau primaire de la manœuvre tactique. Les personnages ayant assuré le rôle d’allumer un contre-feu en tirant sur le SG, ont été pathétiques, tellement qu’ils ne maîtrisent pas la matière, ni le terrain sur lequel ils se sont mesurés à leur cible. En accusant le SG de bloquer les affaires de la commune, les responsables syndicaux ont avancé des arguments faibles et des dossiers vides.
D’ailleurs, les accusations des syndicats UGTA et Snapap n’ont pas trouvé écho auprès des employés. Pour les élus opposés au maire et dont le nombre a atteint 10, «le conflit au sein de l’assemblée s’est déplacé vers l’administration à l’instigation du président de l’APC qui, par cet agissement, vise à déstabiliser les différentes directions et les délégations communales, à leur tête le secrétariat général».
Dans une lettre adressée hier au wali de Constantine, ces opposants expliquent que Rihani en veut à Nadir Bettine, SG de la commune de Constantine, pour avoir refusé de modifier le PV de la session ordinaire tenue le 21 mai dernier, laquelle a été émaillée par de graves incidents ayant perturbé le déroulement des délibérations. Ils expliquent aussi les tenants et aboutissants de cette tentative désespérée de détourner l’opinion publique en pointant l’administration comme source de tous les maux de la commune. Le problème est politique.
L’assemblée actuelle est incompétente et le maire désigné par le parti majoritaire, le FLN, est incapable d’assumer ses responsabilités. Pire. Il fait l’objet de deux enquêtes judiciaires sur sa gestion. Et au lieu de se rattraper et déployer des efforts pour satisfaire la population, il préfère jouer des petits jeux amateurs dans les coulisses de l’APC. L’hôtel de ville du Boulevard Zighoud Youcef n’est jamais tombé aussi bas. 
Nouri Nesrouche
 
 
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huron   le 17.06.15 | 17h19
 Et si c'était une TRAHISON ?
Pourquoi cette question ?
Eh bien, qu’a fait ce maire pour la réussite de « Constantine capitale de la culture arabe 2015 » ?
Quel que soit le rôle assumé par la Ministre de la Culture, et par le commissaire de la manifestation, n’avait-il pas à engager tout son prestige personnel ( ?) : à entraîner/coordonner toutes les forces vives et le génie de la Municipalité et des Habitants pour la mise en valeur de Constantine-Qacentina-Cirta plus de deux fois millénaire, en même temps que pour l’honneur de l’Algérie qui l’a jugée digne d’être sa représentante internationale ?
N’a-t-il pas manifestement trahi sa mission et, ce faisant, sa Ville, et son Pays aussi ?
A ne rien voir bouger, ni au siège de la wilaya ni à Alger, malgré l’incompétence et l’absence du premier magistrat maintes fois dénoncées, à croire qu’il ne siège que pour assurer le déclin de cette Ville et la désespérance de ses Habitants, ne finirait-on pas par se poser la question d’une possible COMPLICITÉ DE TRAHISON ?
En effet, il échapperait à ce Pays que le délabrement de ses villes, dû à toutes sortes de négligences dans leur administration, de celle-ci en particulier, le donne à voir comme un pays arriéré, sans culture, sans ambition, et laisse entendre que ses habitants pourraient être des sous-hommes ?
De même, en ce Pays, la Presse serait libre mais on ne lui accorderait aucune considération, si bien que l’opinion, quel que soit son bord, serait vouée à rien : confer « parle toujours, tu m’intéresses » ou, plus culturellement, « monte là-dessus, tu verras Montmartre ! »
Cette réalité d’un président d’APC quasi diabolique, qui se désintéresse de la Ville dont l’Histoire et le Patrimoine lui ont été confiés, ainsi que du bien-vivre de cette Population, autrement dit d’un demi-million d’êtres humains, cette réalité serait « normale » aux yeux de la tutelle ?...
En plus de la TRAHISON, et d’une éventuelle COMPLICITÉ DE TRAHISON, les Constantinois devraient donc envisager que LEUR ROI » PUISSE ÊTRE FOU ?
Aucun responsable ne serait en mesure de réagir à cette situation contre nature où les institutions assureraient le désordre et le déclin plutôt que l’harmonie et le progrès d’une Cité, de ses Citoyens ? Cette Cité et ces Citoyens seraient-ils soumis à punition ? Pourquoi ? Et si cruellement ?
Vaste interrogation, possiblement condamnée aux oubliettes malgré la liberté déclarée de la Presse. Par-dessus tout, inexplicable déni urbain, social, historique.
 
L'échotier   le 17.06.15 | 12h54
 Le pire
Lorsque l'on joue dans la cour de la division et de la diversion, le boomerang finit toujours par revenir à l'envoyeur. Et ce Rihani, venu de nulle part sous la férule d'un FLN définitivement en mort clinique, se trouve désormais isolé. La seule porte de sortie qui, lui reste est un départ sur la pointe des pieds. S'il luin reste un peu d'honneur. Mais au FLN, l'honneur est une notion inconnue lorsque l'on est dirigé par un Saadanni, un repris de justice.
 



Constantine : Des habitants sans téléphone depuis des mois

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le 20.06.15 | 10h00 Réagissez


Ces derniers affirment, d’autre part, que ces coupures ont été signalées à maintes reprises aux services d’Algérie Télécom mais la situation n’a pas changé en dépit des assurances des responsables de ces mêmes services, quant à un rétablissement rapide des lignes en dérangement et de la connexion à internet.
Des citoyens résidant au quartier de Sidi Mabrouk supérieur, à la cité Benkhebab précisément, se plaignent des coupures du téléphone, mais aussi d’internet qui durent depuis plusieurs mois.

Interrogé à propos de ces perturbations touchant une partie du quartier de Sidi Mabrouk, un responsable du service de maintenance d’Algérie Télécom à Daksi explique ces coupures par les travaux d’installation de la fibre optique, menés actuellement dans le quartier. «Tous les abonnés de Sidi Mabrouk supérieur sont concernés par cette opération. Nous allons également procéder au fur et à mesure de l’avancement des travaux à un changement de numérotation.
Près d’un millier de lignes ont déjà basculé vers une nouvelle numérotation. L’opération suit son cours et devrait s’achever dans quelques mois», nous dira-t-il. Les clients d’A.T à Sidi Mabrouk supérieur devront donc s’armer encore de patience en espérant que les travaux en cours ne s’éternisent pas.      
F. Raoui
 






Projets de Constantine capitale de la culture arabe :

De nouvelles entreprises pour le pavillon des expositions et le musée d’art et d’histoire

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le 18.06.15 | 10h00 2 réactions


après le retard considérable enregistré dans les travaux de réalisation de ces deux projets, et l’arrêt des chantiers pendants des mois, l’on a décidé enfin de recourir à d’autres entreprises. il faut rappeler que plusieurs mises en demeures ont été adressées à l’entreprise espagnole, chargée de la réalisation du pavillon des expositions situé à proximité de l’aéroport mohamed boudiaf ; mais cette  fois ci  la wilaya passe à l’exécution et à la résiliation du contrat. «la procédure de résiliation est engagée envers l’entreprise défaillante. nous allons leur payer ce qu’ils ont fait et nous allons nous engager avec une autre entreprise», a précisé le wali.
les travaux de réalisation du pavillon des expositions à ain el bey, et du musée d’art et d’histoire à bab el kantara seront repris prochainement, a-t-on appris hier auprès de hocine ouadah wali de constantine lors de sa visite hebdomadaire aux chantiers de l’événement culturel de 2015.

ce pavillon des expositions, qui devrait être en face de la salle zénith, et occupant une surface de plus de 25 000 m², était le premier projet de ce genre dans toute la région est. sa livraison était prévue pour le début de l’année en cours. sa réalisation, lancée fin 2013, a connu beaucoup d’obstacles. cela avait commencé pas des problèmes du terrain, puis des retards dans la réception et le montage de la charpente métallique de la structure.
rappelons que l’administration a épuisé pratiquement tous les recours qu’autorise le code des marchés et aucun effort n’a été fait de la part de cette société espagnole, selon les déclarations du wali lors de ses sorties précédentes sur chantier. pour le musée d’art et d’histoire, ce sera aussi la même procédure, selon le wali. «l’entreprise belge s’est désistée officiellement, nous sommes en train de faire ce que nous appelons les états généraux et définitifs. on leur paye ce qu’on leur doit et on va engager une autre entreprise », a-t-il précisé.
Yousra Salem
 
 
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L'échotier   le 19.06.15 | 09h05
 Exil
On a marginalisé nos cadres et nos compétences et l'on se retrouve à la merci des entreprises étrangères qui nous font du chantage. C'est le résultat de la main mise des incompétents qui grenouillent à tous les étages du pays. Nos cadres, partis en exil, font le bonheur d'autres pays car ils sont reconnus pour leur talent par pour leur obédience à tel ou tel parti, à telle ou telle famille, à telle ou telle personnalité politique.
 
huron   le 18.06.15 | 10h12
 Désistements ?
Ça arrive assez souvent.
On a passé des marchés en dépit du bon sens... et de la réglementation ?
Ou il y a une autre explication, qui ne remonte pas à la surface ?
Ou peut-être un virus ?
Cela dit sans mauvaise part : quand on est aux commandes, aller dans le mur une fois c'est déjà beaucoup.
A force, à ce rythme, on peut craindre que l'issue soit les soins palliatifs..



Stationnement au centre-ville de Constantine

La galère des automobilistes

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le 21.06.15 | 10h00 2 réactions


Apparemment, les automobilistes constantinois ne sont pas près de trouver grâce aux yeux des autorités locales chargées de la circulation, en général, et du stationnement en particulier. Se garer, en effet, au centre-ville et à certains emplacements au niveau des cités périphériques, même pour quelques minutes, devient de plus en plus problématique pour le commun des gens. Soit il y est formellement interdit de stationner.
L’exemple le plus significatif pour illustrer cet état de fait, demeure l’état de siège prescrit à un quartier comme le Coudiat depuis plusieurs années.

Que ce soit devant les institutions ou administrations publiques, ou bien au niveau des principales artères de la ville, notamment au boulevard Zighout Youcef, la rue Aouati Mustapha, l’avenue de l’Indépendance, ou encore à proximité du CHU Benbadis et bien d’autres, l’on est immanquablement «pris en charge» par la multitude de gardiens autoproclamés qui y sévissent.
L’exemple le plus significatif pour illustrer cet état de fait, demeure, à n’en point douter, l’état de siège prescrit à un quartier comme le Coudiat, quadrillé depuis plusieurs années, et à longueur de journée, par une multitude de «parkingeurs» extrêmement zélés. Pour  pouvoir y stationner, il faut en effet montrer patte blanche. En plus de payer 50 DA, un tarif unique imposé depuis quelques mois au centre-ville par tous les «parkingeurs» qui se sont visiblement donnés le mot au sein de «la corporation» pour fixer ce droit de stationnement, il vous est exigé également de ne pas dépasser un certain laps de temps sous peine de devoir vous acquitter d’un supplément ou, comble du grotesque, vous faire réprimander par ces mêmes gardiens.
Expansionnisme
Ces agissements se déroulent d’ailleurs sous le regard indifférent, pour ne pas dire bienveillant, des agents de police affectés au quartier du Coudiat, lequel abrite comme chacun le sait le commissariat central mais également une majorité d’administrations, de sièges d’entreprises privées,- pour la plupart-, de CEM, de lycées … Bref, tout un ensemble d’établissements qui exige la présence quotidienne des citoyens venus dans ce quartier pour régler leurs problèmes administratifs ou tout simplement y travailler.
Cette attitude de la part de la police à l’égard des «parkingeurs» est mal ressentie par les constantinois qui voient leur patience mise à l’épreuve face à ce qui devient mépris institutionnel. En effet, et en plus de ce laxisme, la police s’est arrogée le droit d’occuper exclusivement de nombreuses rues du Coudiat. Une véritable politique d’expansion qui ne répond à aucun besoin de sécurité, mais simplement pour permettre aux agents de police de stationner leurs véhicules personnels.
Cela a commencé par la fermeture de toute la rue jouxtant le lycée El Hourria, côté nord, avant de s’étaler sur d’autres rues et tout récemment la réservation du coin faisant face au Musée Cirta. Bien entendu, les policiers ne sont guère inquiétés par les gardiens de parkings. La police n’a aucun droit sur ces espaces et sa politique n’est que égoïsme et mépris envers la population.                     
F. R.
 
 
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ramynaji   le 21.06.15 | 14h59
 L'Algerie est toujours en retard
Tous les pays ont des parcomètres c'est bénéfique pour l'état et d'éviter la haine entre les citoyens.
Les parkingeurs comme on les appelle, la majorité d'entre eux ont un casier judiciaire très sale. Tatoués, balafrés équipés d'une arme blanche, mots vulgaires et tout ce qui s'en suit. En dirait que les parkings leurs appartiennent .
Où est l'état ? Où est la justice ? Où sont les lois ?
Pauvre Algérie, on restera les derniers et çà va s'éclater un jour ou l'autre.
 
L'échotier   le 21.06.15 | 10h46
 Vers l'abime
L'illégitimité à tous les étages, voilà l'Algérie d'aujourd'hui. Et je ne veux même plus imaginer notre pays demain tant la descente aux enfers et patente et continue.




Malentendants et non-voyants : 100% de réussite à l’examen de l’enseignement primaire

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le 22.06.15 | 10h00 Réagissez

Le taux de réussite à l’examen de l’enseignement primaire est de 100% à l’école des enfants non-voyants et malentendants, affiliée au ministère de la solidarité nationale et de la famille.

 Les treize enfants scolarisés au niveau de l’établissement ont réussi l’examen avec brio. La totalité des scolarisés ont obtenus des mentions allant de très bien à excellent. Preuve de leur volonté. Le programme éducatif dispensé dans cet établissement est dicté par l’Education nationale, l’encadrement en outre  est assuré par un éducateur spécialisé dans l’handicap. Ces écoliers aux besoins spécifiques ont eu droit aux mêmes sujets d’examen que les élèves de l’enseignement normal sauf en ce qui concerne la durée des épreuves. Un temps supplémentaire leur a été accordé ainsi qu’un encadrement psychologique en cas de difficulté. Le tout pour leur assurer un bon climat.
 
Ilhem Chenafi
 






En dépit du stress hydrique : les prévisions de la production céréalière maintenues

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le 22.06.15 | 10h00 1 réaction
I

En dépit du stress hydrique qui a sévit durant les mois d’avril et mai derniers, les prévisions concernant la production céréalière dans la wilaya de Constantine sont maintenues.

Il est donc prévu une production estimée à 1,5 million de quintaux, tous types de céréales confondus. ces résultats ont été rendus publics à la faveur de la visite de travail effectuée par le ministre de l’agriculture, abdelkader kadi, à constantine, samedi dernier.
Selon les responsables du secteur, la wilaya qui occupe la sixième place à l’échelle nationale en la matière arrive à maintenir son rang avec une superficie emblavée de 67 000 hectares- alors qu’il ya quelques années elle était pionnière avec des résultats exceptionnels- grâce aux nouvelles technologies d’irrigation, à l’utilisation des intrants et particulièrement les programmes d’accompagnements tracés par la tutelle.
Le coup d’envoi symbolique de la campagne nationale de moissons-battage a été donné cette année, par le ministre abdelkader kadi, à partir de constantine, précisément d’une exploitation agricole, située dans la commune de ain abid à 40 km au sud-est de la wilaya. le choix de cette localité n’est pas fortuit puisqu’elle occupe le haut du classement avec un rendement pouvant atteindre 60 quintaux par hectare.
Le premier responsable du secteur a relevé que nonobstant les conditions climatiques, pour le moins défavorables, l’algérie projette de récolter pas moins de 43 millions de quintaux de céréales.
Une augmentation de 20% comparativement à la saison écoulée qui étaient de 35 millions de quintaux. dans le détail, la campagne moissons-battage de cette année touchera une superficie globale de 3,3 millions d’hectares dont 1,5 million d’hectares réservé au blé dur, un million de ha à l’orge, 600.000 ha au blé tendre et 100.000 ha à l’avoine, selon les statistiques communiquées par le département de kadi. 
N.D.
 
 
VOS RÉACTIONS 1
L'échotier   le 22.06.15 | 13h00
 Trituration
Comme d'habitude, la direction de l'agriculture va manipuler les chiffres pour dire que tout va bien madame La marquise. Mais les chiffres d'importation de blé viennent contredire cet optimisme béat. La seule réalité qui vaille, c'est le travail, pas la manipulation sans lendemain.



Décès de l’interniste Hakim Hitache : Une vie au service de la médecine

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le 22.06.15 | 10h00 2 réactions


Sur Facebook, les messages de condoléances et les hommages se succèdent pour rendre hommage et dire adieu à un homme engagé et dévoué envers ses pairs, qu’un second accident vasculaire cérébral a fini par avoir raison de sa combativité. «C’est une perte irréparable. C’est un homme comme on n’en rencontre pas beaucoup.
La corporation médicale constantinoise est en deuil. Dr Hakim Hitache, médecin interniste très connu à Constantine, est décédé samedi des suites d’un AVC.

Il a laissé ses proches et ses amis seuls. Sur le plan professionnel, il a lancé un grand nombre de conférences médicales et internationales et participé à des communications partout à travers le territoire national, et ce, malgré un premier AVC qu’il a fait il y a de cela 7 ou 8 mois», en parle avec beaucoup de chagrin et d’émotion son meilleur ami M. Zaâtri, chercheur universitaire.
Visiblement inconsolable, son ami a rappelé la grandeur d’âme du défunt, «toujours prêt à aider son prochain». «C’était un leader, il voulait redresser le système de santé. Il n’y en a pas beaucoup comme lui. Il ne dormait pas beaucoup et ne ménageait pas ses forces pour être toujours présent dans les congrès médicaux. Il mérite notre plus grand respect», a-t-il ajouté. Dr Bouchagour, médecin à l’EPH de la commune du Khroub garde de lui l’image d’un médecin «toujours à la page et qui va de l’avant». «C’était quelqu’un de très actif.
Il présentait des communications dans toutes les rencontres médicales. Il a beaucoup donné pour la formation des jeunes généralistes bien qu’il soit médecin libéral». Et de résumer : «la communauté médicale est aujourd’hui (hier, ndlr) en deuil». Tout au long de sa carrière, Dr Hitache, fils du célèbre avocat au barreau de Constantine, Me Abderrahmane Hitache, décédé en août 2001, a sillonné le pays et a participé à de nombreuses manifestations médico-scientifiques.
On lui doit surtout de nombreuses communications ayant trait à la diabétologie comme on lui reconnait également son engagement en faveur de la refonte du système de santé en Algérie à travers, notamment, une activité syndicale et la mise en place d’une association de médecins internistes. Il faisait également partie du conseil régional de l’ordre des médecins Le défunt était célibataire, né à Sétif, le 14 février 1961 et a poursuivi ses études à l’université de Constantine. Il a été enterré, hier, au cimetière central de Constantine où de nombreux citoyens et confrères l’ont accompagné à sa dernière demeure.  

 
Lydia Rahmani
 
 
VOS RÉACTIONS 2
chaoui ou zien   le 22.06.15 | 19h49
 Malheureusement..
Les AVCs n'emportent que les braves et les utiles.Les autres, ils vivent longtemps.
 
coucou   le 22.06.15 | 16h07
 allah yarhamou
allah yarhamou






Théâtre de plusieurs activités

Le palais de la culture El Khalifa non encore réceptionné

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le 22.06.15 | 10h00 Réagissez
 
	Façade extérieure du palais de la culture
Façade extérieure du palais de la culture


Comment peut-on organiser plusieurs manifestations dans le cadre de Constantine, capitale de la culture arabe dans un édifice dont les travaux ont été lancés, il y a plus d’une année, et ne sont toujours pas achevés? Selon une source proche du dossier, c’est dans la précipitation que l’ouverture de l’infrastructure fut décidée en dépit de beaucoup de malfaçons, relevées notamment dans les finitions. «Tout a été fait à la va-vite juste pour satisfaire les hautes instances et confirmer qu’on peut passer du garage au palais.
Le palais de la culture Mohamed Laïd El Khalifa est opérationnel depuis le 15 avril écoulé mais n’est toujours pas réceptionné et ne dispose d’aucune administration pour le gérer !

En y faisant un tour avec un spécialiste on peut remarquer beaucoup de malfaçons, notons à titre d’exemple le côté haut des marches en verre ou encore les salles des expositions», a déclaré notre source.
Cette dernière a affirmé aussi que la climatisation est inexistente à l’intérieur, particulièrement dans les salles des expositions où les jours de grosses chaleurs, il devient quasiment impossible d’y rester une demi heure, surtout avec l’afflux des visiteurs.«Il y a des expositions fort intéressantes, à l’instar de celles  du regretté Kamel Nezzar et des objets des royaumes Numides et auxquelles nous devons assurer l’entretien et la sécurité. Mais actuellement, les vitres sont sales et pleines de poussière parce que l’entreprise chargée du nettoyage n’a pas été payée depuis deux mois.
En plus, il n’y a même pas de caméras de surveillance, les gens touchent les objets de l’exposition sur le royaume numide et parfois les toiles», a regretté notre interlocuteur.
Structure … sans budget
A ce propos, nous avons contacté par téléphone Djamel Eddine Foughali, directeur de la culture, à Constantine, afin d’avoir plus d’explications concernant le palais El Khalifa et les problèmes relevés. «Certes, il y a quelques défauts enregistrés mais ils ne sont pas des problèmes primordiaux qui peuvent influencer sur le déroulement des différentes activités culturelles organisées au sein du palais», a-t-il tenté de rassurer.
Et à lui de préciser qu’actuellement, c’est la direction de la culture qui est en charge de la gestion de l’établissement. «Toutes les procédures administratives ont été achevées ; la décision de l’édification est au niveau du ministère dès que la validation se confirmera, tout changera et il va y avoir un recrutement d’une cinquantaine de personnes.
C’est nouveau pour nous car ce palais, il lui faut tout un budget. Cette infrastructure était indispensable à l’organisation des activités prévues dans le cadre de cette manifestation, c’est pourquoi elle a été réhabilitée en un temps record. Nous ne pouvons pas dire que tout est parfait, mais je vous assure que tout s’est fait dans les normes», explique le directeur de la culture.
 
Yousra Salem



Association Aquacirta

Un club pour protéger les espèces d’oiseaux

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le 23.06.15 | 10h00 Réagissez


Créée en 2006, présidée par Tarek Kermiche, cette dernière avait pour première mission la protection du chardonneret et la vulgarisation de l’aquaphilie parmi les jeunes.
Il faut avoir la passion et la patience pour aimer et apprendre l’ornithologie. Deux qualités que Karim Haddad tente d’inculquer aux membres du club qu’il anime au sein de l’association Aquacirta de Constantine.

Des activités qui se sont développées au fil des ans par la création des clubs pour l’aquaphilie, la protection de l’environnement et l’ornithologie. «Dès 2012, nous nous sommes fixés comme mission de donner les bases de l’ornithologie à nos adhérents et de leur faire apprendre les règles de cette science passionnante qui demande aussi des moyens pour le déplacement et l’observation des oiseaux», affirme Karim Haddad, diplômé en techniques agroalimentaires, chargé du club d’ornithologie de l’association.
Animé d’une bonne volonté, ce dernier mène sans relâche un véritable travail de recherche avec les membres actifs du club. «Nous avons lancé un grand projet de recherches sur tous les oiseaux observés dans la wilaya de Constantine, qu’ils soient migrateurs, sédentaires ou passagers, avec pour finalité d’établir des fiches techniques ornithologiques, permettant de mettre en place une base de données spécifiant toutes les espèces avec leur nomination latines, leurs caractéristiques et la date de leur découverte», explique notre interlocuteur.
Un travail titanesque et de longue haleine, puisque l’équipe du club compte dans son bilan déjà une centaine de sorties dans toutes les retenues collinaires de la wilaya, dont 20 sont encore en activité. «Nous avons découvert lors de nos sorties que plusieurs espèces d’eau, vivant dans les retenues collinaires, sont menacées à cause des agressions de l’homme dans les lieux de nidification, surtout que certaines personnes qui pratiquent la pêche dans ces lieux n’hésitent pas à prendre même les œufs pour la consommation personnelle, ce qui est formellement interdit », relate-t-il. «C’est un travail de sensibilisation de longue haleine que nous sommes en train de mener pour expliquer aux gens l’importance de préserver l’environnement dans lequel se trouvent ces espèces», poursuit-il.
C’est dans ce sens que le club, et grâce à des initiatives personnelles, vient de réaliser un premier guide des oiseaux d’eau de la wilaya de Constantine, avec la contribution de plusieurs sponsors et partenaires, dont le programme Bird Map qui vise à la création d’une base de données de l’avifaune Constantinoise, dans le cadre d’un microprojet associatif.
Un ouvrage qui a nécessité plusieurs mois d’observation et d’identification de ces oiseaux, et renferme 50 fiches avec photos, description de l’espèce, sa classification, son statut en Algérie et le lieu de son observation. L’ouvrage, qui compte également des photos et une carte des différents écosystèmes aquatiques de la wilaya de Constantine, est très riche en informations, et constitue un élément de base pour tous ceux qui veulent apprendre et aimer l’ornithologie. Une initiative qui n’est qu’à ses premiers pas, mais qui demeure très encourageante.
Arslan Selmane
 



De nouveaux projets pour l’AEP

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le 23.06.15 | 10h00 Réagissez


Les actions entreprises, destinées à accroître la capacité de mobilisation du précieux liquide, aussi bien en zones urbaines que rurales, ont nécessité un investissement public de 9,5 milliards de dinars, a déclaré à l’APS le même responsable. «L’opération engagée concerne les communes d’El Khroub, d’Ibn Badis, d’Aïn Abid et d’Ouled Rahmoune, au sud de la wilaya, et où seront réalisés 6 réservoirs d’une capacité totale de 37.000 m3, 70 km de conduites et 5 stations de pompage, ainsi que les communes de Didouche Mourad, de Zighoud Youcef, de Hamma Bouziane et de Constantine, au nord, où seront construits 4 autres réservoirs (140.000 m3), 40 km de conduites et 3 stations de pompage », a précisé M. Hammam.
De nouveaux projets visant à renforcer l’alimentation en eau potable aux populations des zones nord et sud de la wilaya de Constantine ont été lancés, a indiqué, dimanche, le directeur des ressources en eau, Ali Hammam.

« Ces différentes opérations permettront d’assurer une «alimentation ininterrompue» en eau potable à travers toutes les communes de la wilaya  jusqu’à 2050 », a-t-il affirmé, rappelant qu’à l’heure actuelle, le taux de couverture par le réseau d’eau potable dans la wilaya est de plus de 96 %.
 




Constantine : Le 1527 pour les urgences sociales

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le 24.06.15 | 10h00 1 réaction


La direction de l’action sociale de la wilaya de Constantine a mis à la disposition de la population une ligne téléphonique rouge, le 1527, consacrée au service d’intervention sociale d’urgence.

Ce nouveau service prend en charge les catégories vulnérables, notamment les sans-abri, les personnes âgées, les femmes victimes de violence, etc. Des médecins, des assistantes sociales, des psychologues et des éducateurs spécialisés prodiguent l’écoute ou l’intervention qu’il faut selon le cas. La ligne 1527, liée à un service basé à Hamma Bouziane, fonctionne pendant toute la journée, en attendant la mise en place d’un service H24, pendant toute la semaine, indique le communiqué de la direction.   
Rédaction Constantine
 
 
VOS RÉACTIONS 1
L'échotier   le 24.06.15 | 10h22
 Poudre aux yeux
Dans un pays aussi riche que le nôtre, la misère s'est installée au niveau de toutes les couches de la société. Une gouvernance défaillante a fini par créer les conditions de la disqualification et de la paupérisation de millions de gens. Aujourd'hui, on crée des fictions pour dire que l'on est attentif aux conditions des plus vulnérables. Les pyromanes jouent aux pompiers et la comédie des faux culs continue. De plus belle...
 




logement à Constantine : Protestation devant le siège de la daïra

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le 23.06.15 | 10h00 2 réactions


Ces protestataires, dont la plupart sont des présidents des associations de quartiers, habitent le côté inférieur du boulevard Belouizdad, la rue Abdelmalek Kitouni, la rue du 20 Août 1955 (Aouinet El Foul), le quartier des Maquisards, Kaïdi Abdallah, situés tous au centre-ville, ainsi que les bidonvilles de la cité Meskine, dans le secteur de Ziadia.
Des dizaines d’habitants des différents quartiers de la ville de Constantine se sont regroupés, hier matin, devant le siège de la daïra pour revendiquer plus d’éclaircissement concernant les programmes du relogement annoncés par les autorités.

«Nous avons fait l’objet d’un programme de relogement lancé en 2011 par l’ex-wali Noureddine Bedoui au profit des habitants des bidonvilles et des zones de glissement ; nous avons eu droit à des pré-affectations, mais depuis aucune décision ferme n’a été prise pour régler notre  situation», protestent-ils. «Depuis 3 ans, aucune promesse de la part des autorités locales n’a été tenue ; nous ne savons plus rien au sujet de notre relogement jusqu’à ce jour.», a déclaré un des protestataires.
«Le chef de cabinet nous a affirmé que la wilaya ne peut rien faire car ce problème relève de la responsabilité du chef de daïra ; mais ce dernier est toujours absent. Il refuse de nous recevoir. Maintenant ce sont les agents de sécurité qui font la loi au siège de la daïra», pestent-ils. Nous avons tenté hier de prendre contact avec le chef de daïra pour avoir sa version des faits.
Malheureusement, les agents de sécurité nous ont déclaré sèchement qu’il n’y avait personne. «Le chef de daïra est absent et les personnes habilités à vous répondre sont sortis maintenant», ont-il affirmé. Comment se fait-il que le siège de la daïra soit vide lors d’une journée réservée pour l’accueil du public, et par note officielle du wali ?
Yousra Salem
 
 
VOS RÉACTIONS 2
huron   le 23.06.15 | 15h46
 Une histoire diabolique !
Une chanson pour enfants nous permettra de comprendre la situation.
- Cette « situation » ne se limite pas à la question des logements : elle est générale ; depuis des décennies, comme une maladie chronique, elle mine Constantine… Constantine, exemple particulièrement symbolique puisque ville plus de deux fois millénaire, et Capitale de la Culture Arabe 2015, représentante de l’Algérie.
- La « question des logements » est en principe simple : pour construire il faut un terrain ; un projet d’architecte ; un financement ; une entreprise générale de construction (si elle sous-traite, ou si on traite par lots, elle reste responsable des travaux)… Ne pas oublier l’importance des réseaux et des équipements d’accompagnement : hélas, c’est la plaie des ensembles construits dans ce pays, où les opérations aboutissent trop souvent à « parquer » les gens dans des conditions de vie, d’hygiène et de sécurité déplorables.
- Voici les principaux « acteurs ». Le premier magistrat de Constantine, responsable de ses mésaventures courantes, et qui pourrait s’intéresser au logement de ses administrés. Le wali, qui ne manque pas de le rappeler fermement à l’ordre, mais sans réclamer sa destitution. Le wali lui-même, averti du caractère sensible des conflits ouverts en matière de logements et d’habitat (cf ses promesses de mi-avril). Néanmoins, l’absence du chef de daïra, hier, ne pouvait lui échapper.
-La chanson d’enfants résume à sa manière la situation (ici, une chèvre, surnommée « biquette », est tombée dans un trou) et le comportement des acteurs, tout en nous suggérant une solution.
On appelle un chien pour aller mordre la chèvre et la faire sortir du trou : le chien ne veut pas !
On appelle un loup pour manger ce chien qui ne veut pas mordre « biquette » pour la faire sortir du trou : le loup ne veut pas !
On appelle un bâton pour battre ce loup qui ne veut pas manger ce chien qui ne veut pas morde « biquette » pour la faire sortir du trou : le bâton ne veut pas !
On va appeler successivement le feu pour brûler le bâton ; l’eau pour éteindre le feu ; une vache pour boire l’eau ; un boucher pour tuer la vache : à chaque fois, chacun refusera et… « biquette » restera dans le trou !
Alors, on appelle le diable !... Il arrive et chacun va remplir le rôle qu’on attend de lui pour que » biquette », la chèvre, sorte enfin du trou !!!
Moralité.
Plus besoin de maire, de chef de daïra, de wali : appelez azrine, tout se mettra à fonctionner normalement.
 
L'échotier   le 23.06.15 | 11h01
 La fuite
La responsabilité dans notre pays se traduit par deux segments fort bien prisés par ceux qui sont chargés d'agir : le mensonge et la fuite. Et là, ils sont les champions du monde. Quel pays, est-ce d'ailleurs un pays lorsque l'on voit l'état de déliquescence dans lequel se trouvent nos villes et villages.



Boumerdès : Un jeune tue son ami pour une histoire de melon à Béni Amrane

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le 24.06.15 | 14h33 3 réactions


 
Cela s’est passé dans la soirée de mardi à Souiga, un village relavant de la commune de Béni Amrane, à 20 km au sud de Boumerdès. Un jeune, vendeur de melon, a poignardé mortellement son ami âgé  d’une trentaine d’années après une rixe autour d’une pièce de fruit que le tueur proposait à la vente, a-t-on appris de certains habitants de la région.

Ce crime a eu lieu peu avant la rupture du jeûne sous le regard ébahis de quelques villageois qui s’apprêtaient à faire leurs emplettes chez l’épicier du coin. L’assassin, âgé de 37 ans, aurait asséné un coup de coteau au cou de son ami en le tuant sur place.
Ce drame qui a choqué plus d’un suscite moult inquiétudes en raison de la facilité avec laquelle agissent certaines personnes pour ôter la vie à autrui.
Il y a un mois, un adolescent a tué son ami à coups de coteau à la cité des 800 Logements de Boumerdès pour une histoire de Chardonneret. Un crime qui avait été donc commis pour une raison banale, mais qui renseigne mieux sur le degré de la violence et les autres maux qui rongent la société.
R.Koubabi
 
 
VOS RÉACTIONS 3
la cartesienne   le 24.06.15 | 18h59
 violences
aucune empathie,les islamistes ont engendrer depuis 90 une societe des plus violente,et ca continue.societe malade...
 
vizirinfo   le 24.06.15 | 16h22
 Une generation barbare...
Aucun etat d`ame avec cette generation ...ils aiment la violence et le mal...meme la police est complice par leur inaction !!!pour remetre les pendules a l`heure ...une penition extreme ; une condamnation a mort !!!et une prison haute securite en plein desert pour les delis mineurs !!!
 
hengbeng   le 24.06.15 | 16h19
 ca doit etre faux
c est pas vrai, non, ca se peut pas, ca n arrive qu aux autres, un crime gratuit, comme ca en algerie, pays de hamadeche, madani mezrag, illustres hommes hors du commun, choisi et elu par Dieu le tout puissant pour defendre l islam , l algerie de tous les vices de la vie d ici bas, vous plaisantez ou quoi. l algerie terre de la khilafa islamia, bled elmilioun oua nasf chahid, elle a rempli le paradis en chouhada, en plein mois sacre de ramadhan, la securite militaire et le departement du contre espionnage doivent enqueter sur ces meurtres qui sentent la main de l etranger et les commanditaires seront traduits en justice tout comme abdlmoumen khalifa et mokhtar belmokhtar. enfin un pays ou il fait bon vivre puisqu il est relie directement par un tunnel interstellaire droit sur les jardine d eden, donc ou il fait bon mourir aussi, pour un chardon, pour une dellaa, ou une battikha, ou un rien, vu tous les suicides et les immolations recenses depuis un bout de temps, sans oublier la tragedie de la decennie noire, et qui a l air de revenir a grands pas.mais c est s il faut mourir pour aller au paradis , vaut mieux que ce soit le plus tot possible, alors au tour de hamadeche , madani mezrag, et les barbus, et si les poils etaient aussi bons ,ils pousseraient pas la ou il faut pas.

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