أعلن وزير الاتصال السيد محمد السعيد، أمس، بقسنطينة أن مشروع قانون السمعي البصري سيعرض على الحكومة، نهاية الأسبوع المقبل، وذلك لدراسته قبل تقديمه للنقاش بالمجلس الشعبي الوطني.
قال الوزير خلال لقائه مع الصحافة المحلية إن مشروع قانون السمعي البصري ''سيعزز المجال الإعلامي من خلال استثمارات خاصة وقنوات تلفزيونية موضوعاتية جديدة وذلك في إطار دفتر شروط واضح ومحدد''.
وأضاف الوزير، خلال ندوة صحفية، أمس، أن مهنة الصحافة تحتاج للاحترافية ومراعاة الأخلاق، بتنصيب بعض الهيئات على غرار سلطة الضبط للصحافة المكتوبة والتي لا يزال فيها البحث جاري عن 7 صحافيين منتخبين، من أجل تحرير بطاقة الصحافة المهنية، إلى جانب مجلس أخلاقيات المهنة.
وتحدث وزير الإعلام عن مشروع القانون الخاص بالإشهار، الذي أكد أنه يجب أن يخضع لضوابط شفافة ملزمة بالاحترام، كون هناك الكثير من الجرائد لا تتقيد بمساحة الإشهار التي يجب ألا تتعدى الثلث، ليليه مشروع قانون سبر الآراء المبرمجان للعرض على البرلمان في الدورة القادمة..
وكشف المسؤول الأول عن قطاع الإعلام، أن وجود 130 جريدة ناشطة حاليا لا يعكس واقعنا الحالي، منها ما تسحب 1000 نسخة يوميا فقط، مضيفا أن المجال لم يغلق ولا يزال منح الاعتمادات للجرائد الخاصة وفق القانون المعمول به
http://www.elkhabar.com/ar/watan/328785.html
قال إنه سيعزز المجال الإعلامي بقنوات تلفزيونية موضوعاتية جديدة
مشروع قانون السمعي البصري سيعرض على الحكومة الأسبوع المقبل
14 hours 4 minutes ago
صرح وزير الاتصال محمد السعيد
بقسنطينة أن مشروع قانون السمعي البصري سيعرض على الحكومة نهاية الأسبوع
المقبل وذلك لدراسته قبل تقديمه للنقاش بالمجلس الشعبي الوطني خلال دورته
الحالية. وأضاف الوزير خلال لقائه مع الصحافة المحلية على هامش زيارة
التفقد إلى قسنطينة أن مشروع قانون السمعي البصري سيعزز المجال الإعلامي من
خلال استثمارات خاصة و قنوات تلفزيونية موضوعاتية جديدة و ذلك في إطار
دفتر شروط واضح و محدد.
وأوضح محمد السعيد كذلك أن مشروع القانون
المتعلق بالإشهار الذي تم استكماله سيعرض بدوره في غضون الشهر المقبل على
الحكومة في انتظار ذلك المتعلق بسبر الآراء الذي سيأتي لاحقا، ولدى تطرقه
إلى سلسلة التدابير الموجهة لإعادة تنظيم وإضفاء مزيد من الاحترافيةس على
قطاع الاتصال أوضح الوزير أن الوزارة ستقوم قريبا باستحداث سلطة الضبط
للصحافة المكتوبة و كذا سلطة الضبط للسمعي البصري و المصادقة على القانون
الخاص بالصحفيين. وبعد أن تطرق إلى مشكل تمثيل الصحفيين الذي أخر تنصيب هذه
الهيئات، دعا محمد السعيد ممثلي هيئات الصحافة إلى تنظيم أنفسهم وتعيين
متحدثين باسمهم وذلك من أجل المضي قدما في الإصلاحات التي أدخلت على قطاع
الاتصال.وأوضح الوزير أنه مع اعتماد قانون السمعي البصري سيحقق قطاع الاتصال خطوة عملاقة نحو الأمام ضمن برنامجه الخاص بالتحديث و التنمية، وأضاف أن فتح المجال السمعي البصري الذي أقره رئيس الجمهورية يشكل في الوقت الحالي ممرا إلزاميا في ظل التغيرات التكنولوجية و كذا في مجال الاتصالات الحاصلة في العالم، مشيرا أن قطاع الاتصال زمدعو في الوقت الحالي للتطور حتى يكون في مستوى تطلعات الشعب.
وأكد الوزير أن قطاع الاتصال الذي لعب منذ الاستقلال دورا هاما من خلال مرافقة مختلف مراحل التنمية بالجزائر يواجه حاليا تحديين رئيسيين هما : أن يكون في مستوى تطلعات المواطنين و كذا تعزيز تطور المجتمع الجزائري. كما أوضح المتحدث، أنه جرت مناقشات لمنح محطتي الإذاعة و التلفزيون بقسنطينة مقرين جديدين سيكونان في مستوى مسعى التنمية المخطط له مشيدا بالجهود المبذولة محليا لمرافقة عملية تنمية قطاع الاتصال، وألح الوزير على جانبي التكوين و التجهيز لتجسيد عملية تنمية القطاع وعبر من جهة أخرى عن تأثره بالحدث الذي ألم بعائلتي الطفلين اللذين اختطفا مؤخرا وتم قتلهما بالمدينة الجديدة »علي منجلي«، معربا عن قناعته بأن العدالة ستكون صارمة عند إصدار حكمها على مرتكبي هذه الجريمة الغريبة عن ثقافتنا و عن قيمنا وكذا عن تربيتنا.
وعند تطرقه للتظاهرة الثقافية المنتظرة قسنطينة عاصمة الثقافة العربية لعام ,2015 ذكر وزير الاتصال أن هذه التظاهرة ستجلب إضافة ضمن إسهاماتالجزائر في التاريخ
http://sawt-alahrar.net/ara/national/9598.html
عدد القراءات: 107
Le 3 octobre 1958, le général de Gaulle arrive à Constantine, où dans un
discours prononcé sur la place de La Bréche, il va préciser son action
pour assurer révolution-politique, économique et sociale de l'Algérie,
ce que l'on appellera le 'Plan de Constantine'. Le Plan de Constantine
est un moment de la difficile histoire de la guerre d'Algérie, de la
patience que déploya le général de Gaulle pour amener par touches
légères et par ambiguïté constante l'armée à admettre la solution
d'indépendance comme seule possibilité d'aboutir à une solution de la
crise algérienne. Le Plan a été un élément de la politique gaullienne
qui apaisa les esprits tout en promouvant une politique très évolutive
dont le terme ne pouvait être que la souveraineté d'un nouvel Etat né
dans la mouvance du gaullisme.
Le discours et le plan de Constantine.
Le plan de Constantine
L
e
3 septembre 1958, en pleine guerre d’Algérie, le Général de Gaulle
annonça, depuis la Préfecture de Constantine, le lancement d’un plan de
développement économique et social de l’Algérie. Ce plan ne se situait
pas, à la manière des plans soviétiques, dans le cadre rigide d’une
économie administrée. C’était un plan «à la française», compatible avec
l’économie de marché, semblable à ceux qui avaient été conçus par Jean
Monnet puis par Pierre Massé quand, en Métropole, il avait fallu, après
1945, entreprendre la Reconstruction.
Les finalités du «Plan de Constantine» étaient claires. Ce Plan
visait, en quelques périodes quinquennales et malgré une démographie
galopante, à porter le niveau économique, social et culturel de
l’Algérie à un niveau européen. Dans le contexte de guerre de l’année
1958, il était un des éléments essentiels de la riposte politique au
FLN.Mais ce plan n’avait pas jailli fortuitement du rocher de Constantine. Il n’était pas né de l’imagination du nouveau Chef de l’Etat. Il était le fruit de longs travaux d’étude antérieurs. La nouveauté de l’annonce faite tenait donc moins à son contenu qu’au fait que, pour la première fois et au plus haut niveau, les objectifs de développement de l’Algérie étaient pris en considération. La première tentative en ce sens s’était située vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, alors qu’Alger avait été, durant près de deux années, le siège du Gouvernement provisoire de la République. L’opposition du Ministère des finances et le manque d’intérêt du Président n’avaient guère laissé à cette première tentative la chance d’aboutir. En Métropole, dans un pays ravagé par la seconde guerre mondiale, la Reconstruction s’était imposée comme impérativement prioritaire. Moins que jamais, l’Algérie n’intéressait Paris. Observons simplement, écrit Guy Pervillé (1), professeur d’Histoire contemporaine à l’université de Toulouse, que si le blocage des réformes politiques semble bien dû en grande partie aux pressions du «lobby algérien », l’insuffisance du programme de progrès économique et social paraît surtout imputable au gouvernement de la métropole. À Alger comme à Paris, le souci de sortir l’Algérie de son sous-développement continua cependant d’agiter les esprits. Mais un tel objectif était-il seulement à portée de l’économie française ? À quel niveau devrait se situer l’effort financier de la Métropole pour permettre à l’Algérie de décoller ? Un Conseiller d’État, Roland Maspetiol, fut chargé de trouver la réponse à ce genre de question toujours épineuse. Il présida les travaux d’un Groupe d’études des relations financières entre la Métropole et l’Algérie. Le «Rapport Maspetiol» fut remis au gouvernement en juin 1955. Ayant procédé à des comparaisons avec d’autres pays de taille et de développement comparables, il évaluait les investissements nécessaires. Compte tenu des efforts que l’Algérie était elle-même en état de consentir (2), il chiffrait la contribution qui devrait être celle de la Métropole. Il montrait ainsi que cet effort se situait à un niveau parfaitement soutenable (3) pour une France désormais engagée dans la brillante chevauchée des Trente Glorieuses. Cette évaluation de la contribution métropolitaine servira d’hypothèse aux Perspectives décennales, puis au Plan de Constantine. Plus tard, elle servira encore à dimensionner le niveau de l’aide financière que la France accordera à une Algérie devenue indépendante. La publication du « Rapport Maspetiol » souleva à Alger un vent de foi dans l’avenir. Sous la houlette de M. Tixier, directeur général des Finances, puis de son successeur, M. Yves Leportz, fort également du soutien de M. Salah Bouakouir, un brillant polytechnicien kabyle, qui fut successivement directeur général de l’Industrie (4), puis Secrétaire général du Gouvernement pour les Affaires économiques, une équipe enthousiaste de jeunes hauts fonctionnaires et de dirigeants d’entreprise s’engagea ardemment dans l’élaboration d’un document qui prit le nom de : Les Perspectives décennales du développement économique de l’Algérie. Destiné à démultiplier les orientations du rapport Maspetiol, cet ouvrage était plus analytique. Présenté aux autorités début 1957, c’est lui qui fournit l’essentiel du contenu du discours présidentiel du 3 septembre 1958. Début octobre 1958, pour mettre ce plan en œuvre, de Gaulle nomma Paul Delouvrier «Délégué général du gouvernement en Algérie». Paul Delouvrier était un brillant inspecteur des Finances qui avait fait carrière dans divers cabinets ministériels de la IVe République et qui, en 1946, avait travaillé auprès de Jean Monnet à la préparation du premier plan quinquennal français. Le Général lui donna mandat de « pacifier, administrer, mais en même temps transformer ». Paul Delouvrier alla rue Martignac, au Commissariat général du Plan, pour recruter Jean Vibert qui s’y occupait de l’Outre-mer. Dès le 31 octobre, il le nomma à Alger directeur du Plan et Secrétaire général de son instance consultative, le Conseil supérieur du Plan. Il demanda à Pierre Massé, successeur de Jean Monnet comme Commissaire général au Plan, de présider ce Conseil. La filiation entre le Plan de Constantine et les plans quinquennaux français apparaît ainsi comme ayant été particulièrement étroite. Le Plan était ambitieux. Il visait à « transformer la condition des hommes et spécialement celle des plus déshérités ». Il concernait tous les domaines: industrie lourde, industrie légère, agricul-ture, défense et restauration des sols (DRS), hydraulique, routes et ports, logement, enseignement, action sociale, etc. (5) La construction de logements y tenait une place particulière. L’exode rural et une rapide croissan-ce démographique créaient d’énormes besoins. A condition de concevoir des logements adaptés à la demande, aux mœurs, au climat et au niveau de solvabilité des candidats, la construction drainerait des ressources qui entraîneraient dans son sillage toutes sortes d’industries sous-traitantes (carrières, industrie du bâtiment, matériaux de construction, peintures, industrie du meuble, voiries et réseaux divers, etc). La construction était ainsi chargée d’être l’un des principaux moteurs de la croissance. Cette stratégie se révéla payante. En trois ans (1957-1960), le rythme des mises en chantier de logements fut multiplié par trois. Le financement en provenait pour l’essentiel du Fonds de dotation de l’habitat et des crédits de l’Habitat rural , deux rubriques inscrites au budget de l’Algérie. En pleine guerre, le bâtiment entraîna alors à sa suite, dans une croissance à deux chiffres, la plupart des indicateurs économiques. Les emplois créés devaient à leur tour alimenter les ressources. Seules certaines industries légères comme celles du secteur textile, n’entrèrent pas dans ce cycle vertueux. Dans l’enseignement, sur la même période, les effectifs d’enfants musulmans scolarisés furent multipliés par près de trois et ceux du secondaire furent majorés d’un tiers, passant de 37.500 en novembre 1957 à 49 300 en novembre 1960. Mais le 16 septembre 1959, les déclarations du Chef de l’État affichaient un retournement de politique. La confiance des entrepreneurs s’effondra. Les capitaux tentèrent de fuir. Bientôt, les disparitions et les enlèvements de civils allaient semer la panique dans les rangs des Européens qui choisirent la valise plutôt que le cercueil. Né trop tard, le Plan de Constantine n’avait survécu que trois ans… 2 Effort important mais nécessairement limité puisque le revenu moyen par tête des Français musulmans était modeste, que celui des Européens d’Algérie était sensiblement inférieur à celui des Métropolitains et que les immenses gisements de pétrole algériens, pas plus que ceux de gaz, n’avaient encore été mis en exploitation. 3 En Francs « lourds » de 1958, cette aide financière devait initialement être de 1 Milliard. En cinq années, elle devait progressivement s’élever à 2 Milliards. 4 Poste où il fut remplacé par l’Ingénieur général des Mines Colot. 5 Crédits votés par l’Assemblée algérienne. En revanche, les crédits HLM en provenance de la Métropole resteront confidentiels et ceux du Crédit foncier, à peine moins rares, resteront réservés à une étroite minorité bourgeoise d’ac-cédants à la propriété. http://www.africabib.org/rec.php?RID=187647887&DB=p http://ledestinduncapitaine-lefilm.fr/autres-rep-res/le-plan-de-constantine.html Plan de Constantine
Plan de Constantine
Le
Plan de développement économique et social en Algérie ou Plan de
Constantine (1959-1963) est un programme économique élaboré par le
gouvernement français en 1958 au plus fort de la Guerre d’Algérie après
l’arrivée au pouvoir du général De Gaulle. Visant à la valorisation de
l’ensemble des ressources de l’Algérie, ce plan était aussi destiné à
l’affaiblissement du FLN.
C’est
à Paul Delouvrier, un brillant inspecteur des Finances qui a fait
carrière dans divers cabinets ministériels de la IVe république que
revient la mission de le mettre en œuvre. Délégué général du
gouvernement en Algérie de 1958 à 1960, il doit conduire conjointement
la pacification.
La guerre puis l’indépendance ne permettront que des réalisations limitées et précipitées du plan initial.
Des
cités d’habitation destinées à la population « indigène » ont notamment
été construites sur le modèle des grands ensembles métropolitains à
Alger et dans d’autres grandes villes.
En métropole le plan de Constantine est à l’origine de la création du FAS: Fonds
d’action sociale (pour les travailleurs musulmans d’Algérie en
métropole et leurs familles), établissement administratif français
devenu le FASILD (Fonds d’aide et de soutien pour l’intégration et la
lutte contre les discriminations).
http://fronac.unblog.fr/2009/06/08/plan-de-constantine/
الاخبار العاجلة لمطالبة سكان قسنطينة رئيس الجمهورية بوتفليقة بتكريم ابن قسنطينة الراحل الطاهر حناش في احتفالات رئاسة الجمهورية والاسباب مجهولة |
ليست هناك تعليقات:
إرسال تعليق