السبت، مايو 21

الاخبار العاجلة لاعلان ابناء قناة المغاربية في زيغود يوسف ثورة المزابل وبنت زيغود يوسف تقود مسيرات سكان زيغود واداعة قسنيطنة تقاطع احداث ثورة المزابل وووالي قسنطينة يهاجر قسنطينة الى المدية وسكان قسنطينة ينظمون الى مسيرة المزابل بارتداء الملابس الرياضية دات اللون الاسرائيلي وقوات الشرطةوالدرك تنظم الى صفوف المحتجين بعد اكتشاف مؤامرات سياسية لاهانة عائلة زيغود ويدكر انالمزبلة العصرية في زيغود يوسف منحت باوامر ولائية ورئيس دائرة زيغود يوسف يحر ض كلاب السلطة على شباب الفايسبوك وسكان زيغود يوسف يقاطعون رسميا اداعة قسنطينة بسبب تجاهلها لمطالب زيغود يوسف وقوات الدرك والشرطة تحاصر ثورة سكان المزابل في زيغود يوسف في انتظار قرارات سلال بانهاء مهام والي قسنطينة رسميا والاسباب مجهولة



Constantine - CET de Doghra Scènes d'émeutes à Zighoud Youcef
par A. Mallem
L'escalade dans la confrontation entre les manifestants et les forces de l'ordre, qui était, fortement, à craindre dans le mouvement de protestation, enclenché par la population de Zighoud-Youcef, s'est, malheureusement, produite mercredi dernier, au troisième jour des manifestations organisées et encadrées par une vingtaine d'associations de la société civile pour exprimer le rejet du centre d'enfouissement technique (CET) de Doghra. Mercredi, vers 17h, en effet, des échauffourées ont éclaté entre les protestataires qui tentaient de poursuivre les sit-in de protestation, devant le nouveau siège de la daïra et la police anti-émeutes qui a voulu les empêcher. Suite, donc, à une tentative d'évacuation des manifestants par la force, la confrontation violente s'est produite à coups de pierre lancées par les manifestants sur les policiers et ces derniers, ripostant par des grenades lacrymogènes. Selon des citoyens de la ville qui nous ont contactés, hier vendredi, les échauffourées se sont déroulées jusqu'à 1h, le jeudi et se sont étendues à plusieurs quartiers de la ville. « Le lendemain, expliquent-ils, l'artère principale de la ville de Zighoud-Youcef et quelques quartiers limitrophes ressemblaient à un véritable champ de bataille ». Et de poursuivre par la description de l'état des lieux, en disant que l'impact des grenades lacrymogènes, utilisées par les forces de l'ordre, contre les manifestants, les pierres lancées par ces derniers contre la police anti-émeutes, les pneus et autres objets hétéroclites brûlés, faisaient ressembler le centre-ville à un terrain où s'était déroulée une grande bataille. Les échauffourées se produisent, maintenant, chaque jour, à partir de 18h et font à chaque fois, de nombreux blessés parmi les manifestants et les policiers qui procèdent à des arrestations .

Jeudi, indiquent, encore, des témoignages d'habitants, des manifestants ont tenté de mettre le feu au logement du chef de daira situé dans la cité Ain-Fatma, sans provoquer de dégâts, puisque la Protection civile est intervenue immédiatement pour éteindre l'incendie naissant. Ce à quoi, disent ces citoyens, ce fonctionnaire de l'Etat qui, loin d'appeler au calme et tenter de parlementer pour apaiser la tension, dans ce mouvement de protestation qui est en train de s'amplifier et touche maintenant, toute la population de la ville et de ses environs, aurait au contraire, provoqué la colère des manifestants. Ces derniers ont organisé, selon les informations qu'ils nous ont données, deux marches de protestation, jeudi à travers l'artère principale de la ville et rédigé une pétition, dont nous détenons une copie, signée par toutes les associations et dans laquelle ils ont dénoncé, notamment, « le recours abusif à la force pour réprimer les manifestations pacifiques de la population, ainsi que l'attitude des autorités qui s'abstiennent de tout dialogue avec les protestataires ».

A la sortie de la prière du vendredi, un grand nombre de citoyens, se sont rassemblés en deux endroits, devant les sièges de la daira et de l'APC. Le groupe rassemblé dans ce second lieu a entamé, ensuite une marche en direction de la daira, avec à sa tête la fille du Chahid Zighoud-Youcef, des moudjahidate et des moudjahidine, brandissant leurs attestations et distinctions honorifiques, en clamant des slogans glorifiant les chouhadas de la guerre de Libération nationale. Les manifestants n'ont pas trouvé, cette fois, de forces de l'ordre, les attendant. N'empêche, pensent nos interlocuteurs, le conflit est en train de prendre des proportions insoupçonnables. Et à ce jour, rien n'indique que le dialogue va prendre le pas sur la confrontation. Interrogé, en effet, par une chaîne de télévision privée, lors de l'inauguration du Salon de l'emploi jeudi à Constantine, le wali, M. Hocine Ouadah, s'est contenté de déclarer que « si l'on cherche à faire de la politique, les élections sont encore loin ». Sur le refus de dialoguer avec les manifestants, le wali ne s'est pas prononcé. Mais il a ajouté qu'il est quasi impossible de fermer le CET de Doghra parce que celui-ci ne représente aucun danger pour la santé de la population de Zighoud-Youcef et que les études techniques et environnementales, faites avant le lancement du projet l'ont démontré. En ce qui concerne la délocalisation de certaines antennes administratives, le wali a répondu que de telles mesures sont indépendantes de sa volonté et qu'elles relèvent des tutelles propres à ces organismes.
 
L’association El Fadl institue une médaille à la mémoire
du défunt journaliste Bakhti Benaouda
Afin que nul n’oublie
Le club «Wahiou el mouthakafine» (esprit des intellectuels) de l’association culturelle «El Fadl» d’Oran a créé une «Médaille Bakhti Benaouda» pour perpétuer la mémoire de ce regretté homme de culture en signe de reconnaissance à ses contributions, a annoncé, mercredi à Oran le président du club.
En marge d’une conférence littéraire sur «la modernité et visions globales», organisée au siège du quotidien «El Djoumhouria» à l’occasion de la commémoration du 21ème anniversaire de l’assassinat de Bakhti Benaouda le 22 mai 1995 par les hordes terroristes, M. Abbès Benmassaoud a signalé que cette médaille décernée ce mercredi à la famille du défunt sera consacrée chaque année aux jeunes innovateurs et intellectuels qui ont émergé sur la scène culturelle.
Cette rencontre, à laquelle ont assisté des intellectuels, des universitaires et des journalistes, a été marquée par des témoignages évoquant les qualités humaines et professionnelles du défunt Bakhti Benaouda.
Le directeur général du quotidien «El Djoumhouria», Bouziane Benachour a qualifié le regretté qui exerçait comme journaliste dans ce journal avant de rallier la maison de la culture comme «projet» en matière d’écriture et de traduction.
Dans ce même ordre d’idées, l’universitaire Abderrahmane Zaoui a évoqué que le défunt fut l’un des fondateurs du département de traduction à l’université d’Oran, soulignant qu’il demeure «une flamme qui ne s’éteindra jamais».
Le défunt Bakhti avait organisé le premier sur la traduction et la différence en 1995.
Il était très actif dans l’animation de débats universitaires regroupant l’élite intellectuelle, a-t-il rappelé.
Bakhti Benaouda a aussi enrichi des revues par des articles littéraires sur la modernité et la critique et l’expression du texte, a enchainé le président de l’association «Ahbab El Djoumhouria», Mohamed Souali ajoutant que «le défunt avec ses riches idées pensait à l’après modernité et fut un projet culturel par excellence qui aimait voir l’Algérie heureuse». Organisée par l’association culturelle «El Fadl» et la maison et ladirection de la culture, cette rencontre a donnée lieu à des communications sur la modernité et à des lectures poétiques de la poétesse Oum Siham.
Prix des meilleurs doctorants décerné par le Forum des chefs d’entreprises
Les premiers lauréats primés à El Bahia
Les premiers lauréats du prix de la meilleure thèse doctorale, initié par le Forum des chefs d’entreprises (FCE), ont été primés, jeudi à Oran, à l’occasion de l’ouverture de la 2ème édition de la journée entreprise-université, organisée à l’occasion de la journée Nationale de l’Etudiant.
Ce prix récompense des travaux de recherche dont l’apport pour l’entreprise est avéré, s’agissant notamment de l’introduction, de l’amélioration ou de la généralisation d’un procédé de fabrication, la rationalisation du système de production, l’amélioration des systèmes de gestion, a expliqué Ali Haddad, Président du FCE.
Sur six thèses nominées, quatre ont été sélectionnées et primées. Le premier prix, d’une valeur de 1.000.000 DA est revenu à yes Bentrouche de l’université Mantouri de Constantine pour sa thèse «Investigation sur l’application du plasma froid dans la stérilisation».
Le second prix d’une valeur de 600.000 DA a été décerné à Belbahi Amine de l’université de Bejaia, pour sa thèse «Etude et modélisation d’un précédé de pasteurisation et de conservation de Déglet Nour fraîche».
Le troisième prix, d’une valeur de 400.000 DA, a été décerné à deux lauréats Boumedi Iriqti Amar (Université de Boumerdes) pour sa thèse «Elaboration interactive des matériaux de composite» et Mme Boumehdi Fatma (Ecole nationale d’informatique) pour sa thèse «SOA+D une méthode pour intégrer l’aspect décisionnel dans l’architecture orientée services».
Par ailleurs, des conventions ont été signées entre le FCE et plusieurs universités. Ali Haddad a relevé que «ces premières actions soulignent l’importance capitale que le FCE accorde au partenariat Entreprise–Université» et s’est dit prêt à suivre de très près l’évolution de cette relation pour parvenir à créer un lien «indissoluble, imbriquant étroitement les activités de nos entreprises et celles de nos universités et centres de recherche».
L’un des principaux objectifs de l’action de notre organisation est
de réaliser une connexion entreprise-université, de construire un véritable partenariat, durable et efficace, entre les deux», a-t-il ajouté.

  garage Nancy inondé par les eaux usées
Les responsables de l’OPGI interpellés
La ville d’Oran où le parc automobile a littéralement explosé ces dernières années, manque terriblement de garages et d’aires de stationnement des véhicules. Or, il se trouve que l’un des plus anciens et grands garages de voitures, le garage Nancy, appelé ainsi en raison de sa proximité avec la rue éponyme, et qui est implanté, signale-t-on au pied de l’immeuble Lyautey (Miramar), est inondé par les eaux usées, une situation qui du coup prive les automobilistes occupant cet immeuble d’une aire de stationnement. «Le sous-sol de ce garage est depuis des années inondé par les eaux usées, à la suite de l’éclatement des conduites d’évacuation», a indiqué l’un des résidents de cet immeuble qui a affirmé que la situation s’est gravement détériorée depuis que la conduite principale a éclaté laissant filtrer les eaux usées et les immondices. «La situation est telle, que des véhicules en stationnement sont restés piégés au niveau de cette aire de stationnement relevant du patrimoine de l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI)», a tenu à préciser notre source. Selon toujours notre source, les résidents de cette bâtisse qui paient pourtant, chaque année, des redevances locatives évaluées à pas moins de 25.608 dinars à l’OPGI, ont interpellé à maintes reprises les responsables de cet Office qui se sont même déplacés sur les lieux pour constater de visu l’ampleur des dégâts. «Depuis, nous attendons une réaction salutaire des responsables de l’OPGI pour mettre fin à cette mini-catastrophe écologique qui risque à terme de menacer sérieusement les fondations de cette bâtisse de plusieurs étages», a déploré notre source. Belhouari Salim

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