الاثنين، يوليو 11

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الاخبار   العاجلة لاعلان  الشخصيات السياسية الحداد   الرياضي بعد هزيمة الفريق   الفرنسي  والدولة  الجزائرية تقدم التعازي للرئيس  الفرنسي   والاسباب مجهولة





Eboulement dans un chantier de construction à Gambetta
Une catastropheévitée de justesse
Hier à trois heures du matin, un éboulement s’est produit dans un chantier de réalisation de 42 logements avec cave au niveau de la rue Bentabak
Djelloul (ex-rue Dauphiné) à proximité du rond-point Gambetta. Le bruit assourdissant provoqué par le sinistre était tel, que
certains riverains avaient pensé qu’il s’agissait d’un séisme, alors que d’autres avaient cru qu’il s’agissait d’une explosion de gaz.
En effet, hier à trois heures du matin, les habitants de la rue Bentabak Djelloul ont été réveillés par le bruit d’un important éboulement qui s’est produit dans une fouille de réalisation de travaux de construction de 42 logements, dont la profondeur dépasse dix mètres. Cet éboulement a provoqué l’affaissement d’une partie de la rue et aussi la colère des riverains, avons-nous constaté sur place. «A minuit, nous avions entendu des craquements, nous avions pensé qu’il s’agissait de chats sur la terrasse, mais à trois heures du matin, c’était un grand bruit qui avait fait vibrer nos maisons tel un tremblement de terre.
Nous sommes tous sortis en courant et ce n’est qu’une fois dehors que nous avions réalisé ce qui venait de se produire», raconte un père de famille, avant que d’autres riverains n’interviennent pour dire qu’ils craignent le pire pour leurs habitations. «Comme vous pouvez le constater, l’effondrement a dépassé l’axe de la rue, il n’est même pas à deux mètres du trottoir. Les vibrations résultant du passage des véhicules sur l’avenue principale peuvent provoquer un autre éboulement et mettre en danger notre vie, car nos habitations risquent le même sort», explique un autre père de famille. Sur les nerfs, de jeunes riverains ont pris à partie le promoteur et le conducteur de travaux qu’ils ont accusé de tous les maux. Ils n’ont échappé à un lynchage certain que grâce à l’intervention de la police qui se trouvait sur place pour sécuriser le lieu. «Cela fait plus d’une année qu’il creuse cette énorme fouille sans prendre les mesures de sécurité appropriées pour éviter une pareille catastrophe.
Maintenant, ce sont nos habitations qui sont en danger. Où sont-ils les responsables censés contrôler de tels ouvrages ?», s’interrogent des riverains. Un expert en la matière bien connu sur la place d’Oran, présent sur
les lieux dira: «les normes n’ont pas été respectées. Lorsqu’on
dépasse une certaine profondeur dans les fouilles, on doit conforter les parois en recourant à des micros-pieux et à la construction d’un mur afin d’éviter tout effondrement», a-t-il affirmé. Il est à noter que cet éboulement a provoqué la rupture des
canalisations de l’AEP, des eaux usées et du gaz de ville, ainsi que la rupture de câbles d’alimentation du courant électrique. Les services concernés de la SEOR et ceux de la SDO étaient sur place affairés à évaluer les dégâts.
A.Bekhaitia


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Constantine -Le calvaire des transports !
par A. Mallem
Après un congé «spécial» qui, dans certains cas, a dépassé les cinq journées consécutives à cause de la coïncidence de l'Aïd El-Fitr, avec la fête de l'indépendance et de la jeunesse ainsi qu'avec le week-end, la reprise du travail s'est faite hier pour l'administration et l'ensemble des secteurs d'activités. Une reprise difficile, il faut le dire, et fort agitée à certains égards, surtout au niveau des transports et les échos que nous avons recueillis hier matin ont fait état d'une «matinée infernale» vécue par les usagers sur différents axes, plus particulièrement celui de Constantine - Ali Mendjeli. Et dans ce domaine, ce sont les femmes travailleuses qui ont souffert le plus. «C'était insupportable et inhumain !», ont clamé des femmes fonctionnaires dans des administrations de la ville des ponts. «Par une chaleur approchant les 40°, nous sommes venues de Ali Mendjeli pour rejoindre nos postes, entassées comme des sardines, la majorité debout, mal à l'aise dans un bus de transport urbain privé ressemblant à une chaudière, roulant à petite allure et s'arrêtant à toutes les stations pour embarquer encore, et encore, d'autres passagers», se sont-elles lamentées.

Selon d'autres, la matinée a profité aux taxieurs réguliers ainsi qu'à ceux de la fraude qui se sont sucrés en imposant le transport à la course. «A la station terminale d'Ali Mendjeli, a affirmé une pharmacienne travaillant dans une officine au quartier Bouchama, les taxis étaient alignés l'un derrière l'autre et les chauffeurs fumaient tranquillement la cigarette en sirotant le café. Ils refusaient tout trajet «par place» où chaque passager est obligé de débourser 100 dinars au lieu des 80 qu'il paie en temps normal, lui préférant la «courça», comme ils disent, tout en imposant au passager le tarif de 600 dinars la course individuelle entre Ali Mendjeli et Constantine». Et un usager de cette ligne de s'élever contre ces «véritables actes de piraterie» qui apparaissent toujours au cours des périodes de tension.

C'est, à peu de chose près, les mêmes plaintes que nous avons entendues chez les usagers des lignes de Massinissa, d'El-Khroub ou de Aïn Smara, dans les deux sens. Et lorsque nous avons rapporté ces situations au président de la fédération locale des chauffeurs de taxis affiliée à l'UGCAA, M. Bouadi en l'occurrence, ce dernier a rejeté toute la responsabilité de ce comportement indigne sur «une poignée» de taxieurs, toujours les mêmes, qui ne sont pas affiliés à notre syndicat.

«Ces derniers profitent de ces occasions pour gagner plus d'argent sur le dos de l'usager en salissant la profession et en portant préjudice sur toute la corporation des taxieurs», s'est-il élevé de sa part contre ces pratiques malhonnêtes. Les usagers, quant à eux, font appel aux contrôleurs de la direction du transport leur demandant de redoubler d'activité au cours de ces périodes de tension et de sanctionner sévèrement tous les «actes de piraterie» des transporteurs, privés ou publics, qui ne respectent pas le règlement.



عبر إيفاد لجنة تحقيق إلى قسنطينة

الجزائر-  وجه النائب البرلماني لخضر بن خلاف نداء عاجلا إلى الوزير الاول عبد المالك سلال للتدخل لصالح التلميذة يتمية الأب بخصوص ضياع ورقة إجابة امتحان شهادة البكالوريا ، وذلك بإيفاد لجنة تحقيق مستقلة للتحقيق في القضية خاصة بعدما تأكد الجميع أن هناك نية مبيتة لتحميل المسؤولية للتلميذة وإبعاد تهمة ضياع ورقة الإجابة لمن استلموا هذه الأخيرة وتقصيرهم في القيام بواجبهم لحفظ ورقة الإجابة كما تنص القوانين.

وبحسب ما نشره، الأحد، لخضر بن خلاف عن لجنة الدفاع الوطني بالبرلمان "إنه توجه برسالة عاجلة التي أرسلها  الى الوزير الأول بخصوص ضياع ورقة اجابة امتحان شهادة البكالوريا لتلميذة ببلدية الخروب ولاية قسنطينة خاصة بعد ظهور بوادر لطمس معالم القضية وتحميل المسؤولية للتلميذة جميلة رميساء حركاتي والتضحية بها رغم قيامها بكل الاجراءات الادارية عند تسليمها الورقة للحراس وشهود العيان الذين أكدوا ذلك في كل مراحل التحقيق الاداري والقضائي ومواصلتها للامتحان في اليوم الموالي."
وأوضح بن خلاف في مراسلته  "إن التلميذة جميلة رميساء حركاتي التي كانت مترشحة نظامية لاجتياز شهادة البكالوريا الجزئية لدورة جوان2016 شعبة علوم تجريبية تحت رقم التسجيل 34049545 حيث وفي يوم22 جوان وهو اليوم ما قبل الاخير من الامتحان وبالمركز مولود قاسم ببلدية الخروب وبعد انتهائها من امتحان علوم تجريبية والحياة قامت التلميذة المعنية بتسليم ورقة الإجابة للحراس في القسم كما قامت بالاجراءات الادارية المخصصة لذلك (ترقيم الأوراق العشر والإمضاء على ورقة تسليم أوراق الاجابة) وخرجت من مركز الامتحان مطمئنة الى بيتها ولكن فوجئت في المساء بقدوم حارسين إلى بيتها وهما ينقلان لها خبر ضياع ورقة الاجابة".
وأشار إلى أن " هذه الورقة تؤكد المعنية بالأمر، كما يؤكد شهود عيان من التلاميذ، بأنها سلمتها إلى الحراس وأمضت على الوثيقة المخصصة لذلك وخرجت من مركز الامتحان كما سمح لها مواصلة الامتحان في اليوم الموالي والاخير بشكل عادي، لأن الذي يتغيب عن الامتحان أو لا يسلم ورقة إجابته يمنع من دخول الامتحان الموالي وهذا بحسب القوانين سارية المفعول. ضف إلى ذلك فالسؤوال الذي يطرح  -بحسب قول المتحدث- كيف يمكنها أن تخرج من القسم وهي تحمل ما يزيد عن عشر أوراق ولم ينتبه إليها أحد؟".
وأضاف "إنه وأمام تطور هذه القضية والمنعرج الذي أخذته من أجل طمسها،  لجأت الإدارة كالعادة إلى الحلول السهلة فعوض أن تقوم بالتحقيق والتدقيق في القضية  للأسف قامت بإلزام رئيس المركز والحراس في القسم بإمضاء محضر يؤكدون فيه عدم استلامهم ورقة التلميذة المعنية وذلك لطمس معالم القضية وتحميل المسؤولية للتلميذة وحدها رغم شهود العيان الذين أكدوا في كل مراحل التحقيقات الإدارية أو القضائية بأنهم شاهدوا التلميذة المعنية وهي تسلم ورقة الإجابة إلى الحراس في القسم قبل خروجها."





Constantine -Jet d'eau transformé en piscine: Les habitants de Zouaghi tirent la sonnette d'alarme
par A. M.
Face aux dangers représentés par les baignades des enfants dans les jets d'eau installés au milieu de la voie à circulation rapide, de nombreux résidents de la cité Zouaghi ont lancé, hier, un véritable signal d'alarme aux autorités leur demandant d'intervenir pour interdire ces baignades ou les fermer carrément en les asséchant.

«Les enfants sont totalement inconscients des risques qu'ils encourent avec la circulation automobile à grande vitesse qui se fait de part et d'autre du bassin qui est dépourvu de barrières de protection, preuve en est ces accidents mortels déjà enregistrés sur ce tronçon, ainsi que des dangers potentiels d'électrocution du fait que ces jets d'eau fonctionnent à l'électricité», a déclaré un parent qui avoue craindre une catastrophe, d'autant plus que le lieu n'est pas surveillé.

Cette montée au créneau des parents intervient au moment d'une forte canicule qui continue à accabler la population de l'Est, notamment les plus jeunes qui se trouvent sans occupation et sans moyens pour aller à la mer, et qui se mettent à la recherche de la moindre source de fraîcheur. Le manque patent d'infrastructures de baignade, ajouté à la chaleur et à l'oisiveté, fait que ces jeunes se dirigent tout naturellement vers ces jets d'eau qu'ils transforment en piscines. Au jet d'eau implanté dans le jardin du 18-Février de Zouaghi, nous avons rencontré, hier matin, de nombreux jeunes, ainsi que de moins jeunes, qui se débattaient, à grands cris et à moitié habillés, dans ce bassin, heureux de se rafraîchir. «Nous n'avons pas où aller, nous dit un enfant d'une dizaine d'années sorti tout ruisselant du bassin. Pour se rafraîchir durant ces journées de grosses chaleurs, il n'y a que la piscine olympique du stade Hamlaoui. Malheureusement, celle-ci est tout le temps occupée et il faut payer pour y entrer. Il faut aussi avoir les moyens pour se déplacer jusqu'à la mer qui se trouve à Skikda, à Collo ou à Jijel».

Et pour éluder la question d'hygiène, il rétorquera que l'eau du bassin est changée chaque jour. Un autre garçon d'une quinzaine d'années dira que cette occupation est tout de même plus saine et inoffensive que le fait de nager dans l'oisiveté du quartier, source, selon lui, de «machakel» (problèmes). Tout le groupe de baigneurs à la petite semaine qui nous a entouré de crier en chœur: «Qu'on nous ouvre des piscines dans le quartier !».

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