الجمعة، يوليو 29

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Constantine. Réouverture de la gare routière est

Sera-elle fonctionnelle ?

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le 17.07.16 | 10h00 Réagissez

Après deux ans de fermeture, la gare routière Sahraoui Tahar est de Constantine  a été enfin inaugurée, hier, par Boudjema Talaï, ministre des Travaux publics et des Transports, lors de sa visite des différents projets dans la wilaya de Constantine.

Le transfert de la gestion de cette gare à la société de gestion de la gare routière d’Alger (Sogral) a été établi le même jour de la visite du ministre. Les taxis installés momentanément à la zone Palma, devront revenir vers cette gare afin de relancer les travaux de la gare routière ouest. Mais rien n’a été dit sur l’exploitation effective de cette gare.
A rappeler, que la gare routière Est a été fermée pour réhabilitation en 2014. L’opération a été financée par la commune de Constantine, maître de l’ouvrage, pour un montant de 32 milliards de centimes. Elle comporte l’aménagement du bâtiment des voyageurs, le bitumage de la chaussée, l’aménagement extérieur, l’éclairage public et l’acquisition de kiosques en préfabriqué.                

 
Y. S.

Constantine

Des coupures d’eau récurrentes dans la partie nord

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le 16.07.16 | 10h00 Réagissez

Des coupures d’eau récurrentes sont enregistrées depuis une dizaine de jours dans la partie nord de la ville, notamment aux cités Ziadia et Djebel Ouahch.

Selon un communiqué de la Seaco parvenu à notre rédaction, «ce problème d’approvisionnement est dû aux nombreuses interventions effectuées par les services techniques de la Seaco sur le réseau de ces cités depuis le 7 juillet dernier». Le même document cite ainsi «la réparation de fuites signalées sur les tranches A, B et C de Djebel Ouahch en passant par Ziadia et La Bum. Ainsi quatre fuites sur des branchements ont été réparées ainsi qu’un tronçon de conduite a été renouvelé».
Le communiqué de la Seaco ne précise pas la cause de ces fuites qui se multiplient depuis la fin du mois de Ramadhan, surtout au niveau de Djebel Ouahch où des travaux de branchement à une nouvelle conduite ont été réalisées il y a à peine quelques mois. Par ailleurs, les habitants concernés par ces coupures déplorent encore une fois l’impossibilité de joindre le centre d’appel de la Seaco, appelé pompeusement «centre de service des abonnés de la Seaco», à travers le 3025, et qui demeure curieusement injoignable durant toute la journée. 
Arslan Selmane

Affaire des 434 logements de l’UV5 à Ali Mendjeli (Constantine)

La wilaya abandonne les souscripteurs

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le 19.07.16 | 10h00 Réagissez

Il s’agit du plus ancien programme existant encore dans la wilaya, auquel les concernés se sont inscrits en 1991, alors que les travaux n’ont été lancés qu’en 2001.

La déception et l’attente des souscripteurs de l’ancienne formule LSP a atteint le sommum, particulièrement face aux dépassements des promoteurs, au laxisme et à la complicité des autorités. Parmi des milliers de victimes, des centaines de souscripteurs au programme de 434 logements LSP, à l’UV5 à Ali Mendjeli avec le promoteur Yekhlef Chaâbane, montent au créneau et lancent aujourd’hui un S.O.S. aux hautes instances, pour mettre fin à leur souffrance qui perdure depuis… 24 ans. Ils dénoncent aussi le soutien «injuste» du chef de cabinet de la wilaya au promoteur, manifesté, hier, lors d’une réunion avec les souscripteurs, tout en «leur incombant le retard des travaux».
A rappeler que ces citoyens se sont inscrits dans ce programme en 1991. Les travaux n’ont été lancés qu’en 2001. D’après les actes en possession des concernés, dont El Watan détient une copie, les logements devaient être achevés et attribués graduellement entre 2013 et 2015. Hélas, c’était trop beau pour être vrai. Selon Salim Saâdallah, représentant des concernés, en 2016, cette cité manque toujours de toutes les commodités et de VRD. Même les finitions à l’intérieur des appartements ne sont pas achevées.
Plus de dix ans après le lancement du chantier, le promoteur n’a pas respecté ses engagements et a demandé une augmentation de 200 000 DA. «Nous avons payé toutes nos redevances estimées à 250 millions de centimes. Nous sommes des locataires pendant des années avec des prix exorbitants. En plus, le promoteur n’a pas respecté les délais stipulés dans les actes de vente sur plan que nous détenons. Nous avons même proposé de contribuer avec notre argent pour lancer les travaux de VRD.
Qu’est ce qu’il veut encore ? C’est le ras-le-bol», a déclaré notre interlocuteur. Désespérées, ces familles qui ne voient pas le bout du tunnel ont occupé leurs appartements inachevés le 8 juillet dernier, sans passer par le promoteur. Ce dernier a déposé une plainte contre les occupants. S’en suivront des doléances et des mouvements de protestation, dont le dernier a eu lieu jeudi dernier devant le cabinet du wali. Leurs représentants ont pu se réunir avec le chef de cabinet du wali, lors d’une séance de travail tenue en présence des chefs de services de la direction de l’urbanisme et de la construction et la direction de logement de Constantine.
Le but était de trouver une solution définitive et imposer au promoteur d’achever les travaux restants, d’établir un PV et une étude sur l’état des lieux et déterminer les délais de livraison. Une commission technique devait effectuer une sortie sur site, dimanche dernier. Mais hier, alors que les malheureux souscripteurs s’attendaient à de bonnes nouvelles, le chef de cabinet leur a demandé de quitter les logements sans établir le PV de réunion prévu, et sans leur donner la moindre garantie de l’engagement du promoteur.
La confiance et la crédibilité des autorités locales, surtout le wali, semblent mises en cause par ce comportement. «Nous ne quitterons pas les logements sans un engagement écrit par la wilaya ou par le promoteur ; la confiance est perdue durant ces 24 ans d’attente et après les déclarations du chef de cabinet. Nous demandons que l’État soit à notre côté et que nos logements soient achevés», a conclu notre interlocuteur.
Yousra S.

Distribution fictive de logements sociaux le 16 avril

Sellal est-il au courant ?

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le 24.07.16 | 10h00 Réagissez
 
 Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) de Constantine
Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) de...

Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, est-il au courant des scandales dans la distribution des logements sociaux à Constantine ?

Est-il au courant que l’attribution des 1250 logements sociaux du 16 avril dernier n’était qu’une opération fictive organisée par les autorités locales ? Est-il au courant qu’on lui a communiqué de fausses informations à propos des différents programmes de logement en souffrance ? Hier, des dizaines de familles demandeuses de logements sociaux ont manifesté devant le cabinet du wali pour exprimer leur colère, dénoncer «l’audace des responsables locaux» et contester «la fausse information communiquée» dans les médias à propos de l’attribution des logements sociaux dans la wilaya.
Ces protestataires habitant la Kasbah, l’un des quartiers de la vieille ville de Constantine, sont inscrits dans le programme de 1250 logements sociaux à Ali Mendjeli. Après cette longue attente, ils ont fait l’objet d’un «relogement imaginaire», lors de la visite de Sellal dans la wilaya le 16 avril dernier. Cette opération, selon leurs dires, n’a été organisée que pour satisfaire l’hôte de la ville et camoufler l’incapacité des responsables. Ce qui a été montré par les chaînes de télévision de l’Etat et repris dans les communiqués officiels n’était en vérité que simulation. Du pipeau ! «Après l’attribution établie par le Premier ministre, nous avons nettoyé nos appartements afin de les occuper.
Une fois que le cortège ministériel a quitté les lieux, des éléments de l’OPGI et agents sécuritaires ont récupéré les clefs, fermé les portes et nous ont demandé de quitter les lieux… Pourtant nous avons signé les contrats de location auprès de l’OPGI. Pis encore, l’on a demandé d’attendre l’achèvement des logements à l’UV 20 après le mois de Ramadhan pour être relogés. Que signifie alors cette opération ?», a déclaré Nedjoua Rebïe, une mère de famille présente sur place. Pour sa part, Charif Abid, un autre demandeur, a affirmé qu’après leurs réclamations, le directeur de l’OPGI a refusé de les recevoir et le chef de daïra leur a demandé d’aller se plaindre auprès du wali !
 
Yousra Salem
 


Immeubles désaffectés de la cité Boudraâ Salah à Constantine

Le projet de démolition a-t-il été abandonné ?

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le 24.07.16 | 10h00 Réagissez

Le projet de démolition des immeubles désaffectés de la cité Boudraâ Salah, dont les 700 familles ont été relogées en juillet 2013, a-t-il été abandonné par les autorités de la ville ?

L’opération annoncée fin 2015 et programmée pour le début de l’année en cours a été annulée devant le mouvement de contestation initié par certains habitants de la cité, dont des squatters des immeubles désaffectés qui réclamaient leur relogement.
Un mouvement de protestation qui a dégénéré d’ailleurs en affrontement avec les forces de l’ordre, lorsque les protestataires ont fermé la RN 27, un axe névralgique situé à proximité de leurs bâtiments, à la circulation. Interrogé sur le sort réservé à ces bâtiments par les autorités de la ville, le chef de daïra de Constantine a déclaré récemment à El Watan que ce dossier était au niveau de l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI), lequel a désigné une entreprise de la wilaya de Chlef pour réaliser l’opération, mais il semblerait que l’entreprise en question a finalement jeté l’éponge face au mouvement de contestation des habitants et des dangers encourus par ses ouvriers. Pour rappel, depuis l’évacuation de leurs occupants les immeubles de la cité Boudraâ Salah se sont transformés en dépotoirs, en plus d’un lieu de débauche pour tous les désœuvrés des quartiers environnants.
Une situation qui n’a pas manqué de provoquer la colère des habitants des cités mitoyennes avec les immeubles désaffectés, lesquels n’ont eu de cesse, ces dernières années, de dénoncer cet état de fait et d’exiger des autorités locales la démolition de ces immeubles, ou tout au moins les sécuriser.
La terrible expérience vécue par une jeune femme, l’année passée, séquestrée et violée pendant 24 heures par 3 voyous dans l’un des appartements de cette cité, illustre bien la gravité des actes contraires à la morale qui se déroulaient sur ces lieux. Le fait de n’avoir pas éradiqué entièrement le site a permis également à une trentaine de familles de réoccuper des appartements désaffectés de la cité, en dépit du fait que les précédents occupants de ces logements aient été relogés. Un nouveau processus d’occupation des lieux a été ainsi amorcé, à l’instar de ce qui s’est produit au niveau du bidonville de la rue des Maquisards et de ceux de Djaballah et de la cité Meskine à Oued El Had, dont les habitants réclament à présent d’être relogés.
F. Raoui

Le calibrage de l’oued Boumerzoug quasiment achevé

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le 26.07.16 | 10h00 Réagissez


Les travaux de calibrage de l’oued Boumerzoug, un des principaux affluents du Rhummel, dont les crues ont été à l’origine d’accidents parfois mortels sont quasiment achevés, selon une source proche de la direction de l’hydraulique de la wilaya de Constantine. L’opération calibrage de cette rivière sur un linéaire de 11,1 kilomètres a été confiée, pour rappel, au début de l’année 2015 à une société chinoise pour un délai de vingt mois. L’autre volet que comporte le projet à savoir l’aménagement d’espaces de loisirs à proximité du stade Hamlaoui sur une superficie de près d’un hectare, connaît, cependant, un retard dans sa réalisation, précise la même source. 
F.R.

Crime de la rue Zaâbane

Le meurtrier était un coursier de la victime

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le 27.07.16 | 10h00 Réagissez

Après l’assassinat d’une dame, répondant aux initiales de H. A., âgée de 67 ans, mardi dernier, dans un immeuble de la rue Zaâbane, en plein centre-ville de Constantine, les services de la sûreté de wilaya ont appelé les citoyens à être plus vigilants et méfiants envers les gens étrangers qu’ils fréquentent, notamment les personnes âgées qui restent seules à la maison.

Lors d’une conférence de presse animée, lundi, au siège de la sûreté de wilaya par Mustapha Belmokre, chef par intérim du service de la police judiciaire, tous les éléments ont été donnés à la presse au sujet du crime qui a défrayé la chronique dans la ville depuis le 19 juillet en cours. L’on saura ainsi que le jour même, les services de la sûreté ont été alertés vers midi par l’époux de la victime. Ce dernier n’a pas pu accéder à son appartement fermé de l’intérieur, alors que sa femme ne répondait pas à ses appels téléphoniques.
Intervenant sur place, la police et les éléments de la Protection civile ont dû défoncer la porte, pour découvrir le corps inanimé de la victime, qui a reçu plusieurs coups de couteau sur la poitrine. Il n’y a eu aucun désordre dans l’appartement, selon le conférencier, et aucun objet n’a été volé. Sur place, la police scientifique a signalé des blessures sur les bras de la victime, conséquence d’une résistance de sa part. «D’après les empreintes et les témoignages recueillis durant l’enquête, on a pu identifier l’auteur du crime. Il s’agit de B. F., âgé de 33 ans, repris de justice, père de famille et exerce comme boucher à la rue Mellah Slimane, dans le quartier de Souika», a révélé le conférencier.
Le meurtrier est connu de la famille de la victime depuis environ 6 mois. Il faisait des courses à la défunte, malade chronique et ne pouvant se déplacer surtout qu’elle habite le cinquième étage. Elle restait souvent seule dans son appartement entre 8h et midi. Profitant de cette confiance, l’assassin a tenté de cambrioler la maison et tuer affreusement cette sexagénaire, vers 10h de la matinée du 19 juillet. Selon les témoignages des riverains, il a rendu une courte visite à leur voisine, avant de partir rapidement.
Ne s’attendant pas à une résistance de la part de sa victime, il l’a tuée, puis il a pris la fuite après avoir entendu les cris des voisins. Il sera arrêté en fin de semaine dernière à Biskra où il y a élu domicile avec sa femme et ses enfants. «Nous avons trouvé des traces de griffures sur le corps du coupable suite à la résistance de la victime. Cela a été prouvé par les analyses. Les témoignages et les empreintes prouvent qu’il est le meurtrier. L’accusé est passé aux aveux et nous a même expliqué la scène du crime.
Son but était de voler de l’argent et des objets valeur. Il a été présenté devant le procureur de la République», a déclaré Mustapha Belmokre. Le conférencier a souligné les difficultés rencontrées lors de l’enquête à cause du refus de certains voisins de témoigner. «C’est pourquoi nous demandons aux gens de ne pas retenir ce genre d’informations, car ils risqueront d’être poursuivis en justice pour complicité de meurtre», notera-t-il.        
Y. S.



Crime de la rue Zaâbane à Constantine

Le meurtrier était le coursier de la victime

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le 26.07.16 | 10h00 Réagissez

Après l’assassinat d’une dame, répondant aux initiales H.A., âgée de 67 ans, mardi dernier à la rue Zaâbane, en plein centre-ville de Constantine

, les services de la sûreté de wilaya ont appelé, hier, les citoyens à être plus vigilants et méfiants envers les gens étrangers qu’ils fréquentent, notamment les personnes âgées qui restent seules à la maison. Lors d’une conférence de presse animée au siège de la sûreté de wilaya par Mustapha Belmokre, chef par intérim du service de la police judiciaire, tous les éléments ont été donnés à la presse au sujet du crime qui a défrayé la chronique dans la ville depuis le 19 juillet en cours. L’on saura ainsi que le jour même, les services de la sûreté ont été alertés vers midi par l’époux de la victime.
Ce dernier n’a pas pu accéder à son appartement fermé de l’intérieur, alors que sa femme ne répondait pas à ses appels téléphoniques. Cette situation a suscité l’inquiétude et les suspicions chez le mari, qui n’a pas tardé à prévenir la sûreté de wilaya. Intervenant sur place, la police et les éléments de la Protection civile étaient contraints de défoncer la porte, pour découvrir le corps inanimé de la victime, portant plusieurs coups de couteau sur la poitrine.
Il n’y a eu aucun désordre dans l’appartement, selon le conférencier, et aucun objet n’a été volé. Sur place, la police scientifique a signalé aussi d’autres blessures sur les bras de la victime. Ce qui prouve une certaine résistance de sa part. «D’après les empreintes et les témoignages recueillis durant l’enquête diligentée par la police, on a pu déterminer l’identité du criminel. Ce dernier, répondant aux initiales B.F., âgé de 33 ans, est un repris de justice, père de famille et exerce comme boucher à la rue Mellah Slimane, dans le quartier de Souika», a révélé le conférencier.
Ce dernier a précisé que le meurtrier est connu de la famille de la victime depuis environ 6 mois, en gagnant leur confiance après avoir proposé ses services comme coursier auprès de la victime, malade chronique et ne pouvant se déplacer surtout qu’elle habite le cinquième étage.
La défunte restait souvent seule dans son appartement entre 8h et midi et demandait à l’accusé de lui faire des courses. Profitant de cette confiance, l’assassin a tenté de cambrioler la maison et tuer affreusement cette sexagénaire, vers 10h de la matinée du 19 juillet. Selon les témoignages des riverains, il a rendu une courte visite à leur voisine, avant de partir rapidement. Ne s’attendant pas à une résistance de la part de sa victime, il l’a tuée, puis, pris de panique après avoir entendu les bruits des voisins, il a pris la fuite.
Il sera arrêté en fin de semaine dernière à Biskra où il y a élu domicile avec sa femme et ses enfants. «Nous avons trouvé des traces de griffures sur le corps du coupable suite à la résistance de la victime.
Cela a été prouvé par les analyses. Nous avons des témoignages et des empreintes qui prouvent son implication dans ce crime. L’accusé est passé aux aveux et nous a même expliqué la scène du crime. Son but était de voler de l’argent et des objets valeur. Il a est présenté devant le Procureur de la République», a déclaré Mustapha Belmokre. Le conférencier ne manquera pas de souligner les difficultés rencontrées lors de l’enquête à cause du refus de certains voisins de témoigner. «C’est pourquoi nous demandons aux gens de ne pas retenir ce genre d’informations, car ils risqueront d’être poursuivis en justice pour complicité de meurtre», notera-t-il
Yousra S.

Projet de réhabilitation du chemin des touristes à Constantine

162 tonnes de déchets collectés sur le site

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le 27.07.16 | 10h00 Réagissez
 
 Le site mérite beaucoup mieux
Le site mérite beaucoup mieux

Avant même la réalisation des travaux, il va falloir mener une importante opération de nettoyage des gorges du Rhumel, devenues une immense décharge.

L’incivisme de certains citoyens, notamment ceux habitant près des gorges du Rhumel, ne se gênant guère pour jeter toutes sortes de déchets dans le ravin, a donné une mauvaise image du site, tout en entravant aussi l’avancement de l’étude de réhabilitation du chemin des Touristes. Cet amer constat a été fait hier lors du conseil de wilaya.
Un rapport accablant a été présenté par Pierre Plotto, représentant du bureau d’études technique français Ingénierie des mouvements du sol et des risques naturels (IMSRN), chargé du projet de réhabilitation du chemin des Touristes et qui exerce en sous-traitance avec la Sapta. Ce rapport a montré que l’image de Constantine n’a jamais connu une dégradation pareille.
«Les déchets ménagers et l’insécurité posent un sérieux problème pour l’étude et les travaux sur ce site, nous avons transporté manuellement 162 tonnes de déchets métalliques, ce qui est inadmissible», affirme l’intervenant. «Nous avons découvert que les gens jettent des objets électroménagers dans les gorges du Rhumel, c’est incroyable. Nous demandons de revoir la gestion des déchets qui défigurent le site et les espaces verts sous les ponts et de sécuriser les lieux.
Mais aussi, de trouver une solution au problème des conduites des égouts, qui déversent le tout dans le Rhumel, ceci doit être réglé rapidement afin de pouvoir terminer les travaux», a-t-il expliqué. Le même responsable a déclaré qu’un budget supplémentaire de 220 millions de dinars est indispensable, en raison des différents imprévus survenus durant l’étude de ce projet qui s’avère très complexe, mais utile pour une ville au riche patrimoine naturel.
Yousra S.






CHU Ben Badis : Scanners en panne et IRM pour ceux qui ont le bras long

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le 28.07.16 | 10h00 Réagissez

Totalement dépassé par le nombre sans cesse croissant de malades, ployant sous sa réputation, parfois surfaite de centre hospitalier incontournable, le CHU Ben Badis de la ville de Constantine a grandement besoin d’une remise à niveau urgente.

Depuis des années, les malades hospitalisés dans cette structure sont obligés de se tourner vers le privé pour des analyses, mais surtout pour une IRM (Imagerie à résonance magnétique) ou un scanner (les deux scanners de l’hôpital étant en panne depuis des mois, comme nous l’a affirmé sur place le personnel médical du CHU), avec tout ce que cela implique comme dépenses contraignantes pour les patients, dont la plupart ne roulent pas sur l’or.
«Pour ce qui concerne l’IRM qui est fonctionnelle, il faudrait avoir des relations solides au CHU pour obtenir un rendez-vous», déplorent des malades hospitalisés. Sinon vous risquez d’entendre immanquablement la même réponse : «l’appareil est en panne». Chose que nous avons vérifiée nous-mêmes lors d’une récente visite à cet hôpital. Cela dit, il est incontestable que depuis quelques années «le grand hôpital», comme le surnomment toujours les Constantinois, donne des signes alarmants d’essoufflement.
Des signes qui ne sont pas palpables uniquement au niveau des services de l’imagerie médicale ou des analyses, mais également au niveau de certains services névralgiques, comme celui des urgences ou encore pour le centre anticancer et ses trois importants services où les travaux d’extension s’éternisent, malgré la réception de trois nouveaux accélérateurs.
Quoi qu’il en soit, il est regrettable de constater que le CHU Benbadis, avec ses 1562 lits techniques, mais aussi ses 1439 lits de passage (urgences et maternité), étouffe littéralement face à une demande débordante, et voit par ricochet sa réputation sérieusement entamée par la vétusté, voire l’inexistence, d’un plateau technique à même de répondre à la demande d’un établissement de cette envergure.
Pourtant, le CHU Ben Badis a bénéficié, il y a quelques années, d’une subvention de 520 millions de dinars destinée à rénover totalement son plateau technique. Mais où est donc passé tout cet argent ?                                                                                            
F. Raoui
 

Manifestation des habitants du bidonville Guettar El Aïch ( Constantine)

La RN3 libérée par les forces de l’ordre

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le 28.07.16 | 10h00 Réagissez
 
 Malgré toutes les campagnes d’éradication, les récidivistes reviennent toujours
Malgré toutes les campagnes d’éradication, les...


Les habitants du bidonville d’El Merdja, une excroissance de la localité de Guettar El Aïch, dans la commune d’El Khroub, ont fermé pendant toute la journée de mardi la RN3, reliant Constantine à Batna, via Aïn M’lila, pour dire non à la démolition de leur bidonville. Ce mouvement de protestation se voulait une action d’anticipation des habitants, après l’opération musclée de destruction, jeudi dernier, d’un bidonville de 35 maisons, au lieudit Quatre-Chemins, près d’Ali Mendjeli.
Le bidonville d’El Merdja est né il y a environ quatreans en une seule nuit, est-on tenté de dire. Des centaines de constructions en parpaings sont apparues aux abords de la route nationale, longeant l’oued, faisant penser à une action concertée pour mettre l’Etat devant le fait accompli.
De toute évidence, les locataires du bidonville sont pour la plupart étrangers à Guettar El Aïch et même à la wilaya. Le mouvement de mardi passé a pris de l’ampleur et a duré environ 24 heures.
Les usagers de la route étaient contraints de faire un grand détour par El Khroub, via Salah Derradji, avant de reprendre l’axe au niveau d’El Gourzi. Les habitants n’ont libéré la route qu’après l’intervention, hier matin, des services de la commune et la Gendarmerie nationale. Un impressionnant dispositif sécuritaire a été dépêché sur les lieux.
Des dizaines de fourgons blindés de la gendarmerie, environ 4 ambulances, des fourgons de la police et de la Protection civile ont été mobilisés sur place afin d’intervenir en cas d’accrochage. Heureusement, aucun dégât humain ou matériel n’a été signalé. Pour Abdelhamid Aberkane, président de l’APC d’El Khroub, ces personnes se trouvent dans l’illégalité.
«Ces gens issus des autres wilayas se sont installés anarchiquement, dans une zone inondable, sur les rives d’un oued, exposant leur vie au danger. Pis encore, ils ont fait de ce bidonville un investissement, louant des maisons à d’autres personnes dans l’espoir de bénéficier d’un logement social», a-t-il affirmé dans une déclaration à El Watan. Cette action de manifestation est une forme de chantage fait aux autorités. Pour le maire, il est temps que ces gens se rendent à l’évidence.
Car, selon lui, la destruction aura lieu tôt ou tard et elle est nécessaire pour mettre fin à ce phénomène qui s’inscrit dans un processus d’anarchie urbaine. «Il y a eu plusieurs opérations de démolition qui restent insuffisantes. Nous avons établi des mises en demeure à l’encontre de ces gens, mais en vain. Faute de moyens et de disponibilité de la force publique, l’opération a été différée à maintes reprises, mais elle aura sûrement lieu.
Nous n’autorisons personne à exploiter des sites pour construire anarchiquement», a-t-il déclaré fermement. M. Aberkane ajoutera que le relogement se fera à travers l’étude des dossiers et selon les priorités. Notons aussi que lors de l’un des conseils de wilaya, Hocine Ouadah, chef de l’exécutif, s’est engagé et a promis au maire d’El Khroub de prendre ce problème en charge, «si les services de la commune se trouvent incapables d’éradiquer les bidonvilles et les constructions illicites datant de plusieurs années».                                                                                      
Yousra S.
 
 
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Une semaine après sa disparition

Les parents de Nihal toujours sans nouvelles

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le 29.07.16 | 10h00 Réagissez
Les parents de Nihal toujours sans nouvelles

Il n’y a toujours pas de nouvelles de la petite Nihal Si Mohand, portée disparue depuis jeudi dernier à Aït Abdelouahab (Tizi Ouzou).

Une semaine après, la famille espère la retrouver saine et sauve. La population se mobilise et les services de sécurité poursuivent les recherches. El Watan Week-end a rencontré la famille éplorée.
Mercredi 27 juillet, sept jours se sont déjà écoulés depuis l’annonce de la disparition de Nihal, et les recherches se poursuivent encore.
La région d’Aït Toudert, dans la daïra de Ouacifs, n’en revient pas encore. La localité, paisible d’ordinaire, nous ouvre ses portes en ces circonstances inhabituelles. Nous traversons le chef-lieu de Ouacifs, très animé en ce début de journée, avant de prendre la route qui mène vers Aït Toudert. A plusieurs reprises nous demandons notre chemin aux rares passants.
A chaque fois, la même remarque : «Vous venez pour la petite fille enlevée la semaine dernière ? Continuez, c’est tout droit.» Certains ne manquent pas d’ajouter : «Inch’Allah ils vont la retrouver saine et sauve.» Il faut dire que cet événement qui a plongé dans le désarroi et la détresse la famille de Nihal a également secoué toute la population locale.
Les citoyens, choqués, ne parlent plus que de cela ; ils suivent régulièrement, de très près, l’évolution de la situation. Le fait est inédit dans la wilaya qui n’a enregistré aucun cas d’enlèvement d’enfant jusque-là. La région de Tizi Ouzou a connu plusieurs cas de kidnappings d’entrepreneurs et autres commerçants ces dernières années, où le phénomène a pris de l’ampleur, mais jamais aucun enfant n’a été ravi à ses parents.
La maison des grands-parents maternels de Nihal, où a eu lieu l’enlèvement ce fatidique jeudi 21 juillet entre 11h et midi, surplombe le chef-lieu de la commune d’Aït Toudert. De loin, nous apercevons les véhicules de la Protection civile, signe que nous sommes presque arrivés. L’endroit, entouré d’oliviers, semble inhabité, un calme presque inquiétant y règne. En plus des éléments de la Protection civile, ceux de la Gendarmerie nationale sont en nombre important sur les lieux. On le devine au nombre de véhicules au bord de la route.
On nous explique que ce dispositif n’a pas quitté la région depuis l’annonce de l’enlèvement de Nihal. Nous saluons quelques personnes assises à l’ombre, en contrebas de la chaussée, en compagnie des sapeurs-pompiers. Un jeune nous propose de nous mener vers la maison familiale. «Vous savez, nous sommes tous sous le choc. Ici, c’est un endroit tellement paisible...
On n’a jamais rien vécu de pareil, on n’est pas habitués à ce genre de situation», nous dit-il en nous montrant le chemin de la maison. Quelques marches irrégulières donnent directement sur l’entrée principale de la petite maison qui focalise l’intérêt depuis une semaine.

«Un homme masqué»
Deux enfants jouent en compagnie d’un homme d’un certain âge, qui s’avère par la suite être le grand-père maternel de Nihal. Il nous souhaite la bienvenue et nous invite à entrer par une autre porte, un peu plus bas.
La maison est pleine de femmes : les deux sœurs de la maman, des cousines, quelques proches. On nous oriente vers une pièce de l’autre côté de la cour. Les deux canapés qui s’y trouvent ne tardent pas à être occupés par des jeunes femmes attirées par notre visite.
On demande après la maman, qui ne tarde pas à apparaître. Sa deuxième fille d’un an et demi dans les bras, la jeune femme, la trentaine prend place sur une chaise. Son regard est fuyant et ses traits tirés trahissent de longues nuits sans sommeil. Mais elle dit «tenir le coup». Karima Si-Mohand n’attend pas nos questions pour commencer à relater la triste histoire.
Elle affirme d’emblée que «Nihal n’est pas du genre à parler ou à répondre à des inconnus». «Et puis, ma fille n’a pas pleuré, elle n’a pas crié, personne ne l’a entendue» dit-elle. La maman enchaîne et raconte les faits tels qu’ils se sont déroulés ce jeudi noir : «Nous sommes arrivés ici avec ma sœur, son mari et les enfants vers 11h.
Ces derniers jouaient dehors avec les autres au moment où ma sœur est moi-même sommes entrées. Les bagages étaient encore dans la voiture et, à la maison, il n’y avait que des femmes, comme aujourd’hui. Mes parents sont arrivés après la disparition, même si réellement on ne peut pas situer les événements puisqu’on ne sait pas au juste quand cela s’est produit.
A peine quinze minutes après notre arrivée, les trois enfants qui se trouvaient avec ma fille dehors sont venus dire que Nihal est partie.
Dans un premier temps, on pensait tous qu’ils continuaient de jouer, mais Nihal ne répondait pas aux appels. Elle n’était dans aucun coin de la maison. C’est là que nous avons commencé à nous inquiéter.» La jeune femme réajuste son foulard avant de continuer : «Les enfants m’ont dit que c’était une personne masquée qui s’était emparée de Nihal.
On pense plutôt que l’homme au masque qui s’en est pris à ma fille l’a endormie avant de l’emmener.» «Les trois enfants témoins sont petits, à peine âgés de quatre ans, ils ne peuvent donc donner plus de détails sur le ravisseur. Nous ne savons même pas au juste s’ils étaient un ou deux à enlever ma fille», ajoute la jeune maman.
«Depuis, aucune nouvelle ne nous est parvenue et nous n’avons reçu aucun contact des ravisseurs», dira la maman. Les recherches initiées par les proches de la famille, les voisins et autres citoyens du village quelques instants seulement après l’annonce de la disparition de la fillette n’ont malheureusement abouti à rien. «C’est comme si la terre s’était entrouverte et l’avait absorbée», s’exclame la grand-mère de Nihal. La maman enchaîne en disant que le non-aboutissement des recherches a décidé la famille à alerter la gendarmerie. Elle ajoute que les recherches, entamées l’après-midi du jeudi par les des éléments de sécurité, se sont étendues partout dans les environs, sans résultat.
Aucune piste n’est négligée
Nous apprendrons plus tard auprès du groupement territorial de la Gendarmerie nationale, à Tizi Ouzou, que la section de recherche locale a mobilisé tous ses éléments pour prendre en main les opérations sur le terrain. Les équipes de ce corps de sécurité ont passé au peigne fin la forêt environnante en utilisant des chiens renifleurs, sans succès.
La grand-mère de Nihal, au bord des larmes, profite du moment où sa fille déserte la pièce, pour nous parler du chagrin de cette dernière : «C’est très difficile et éprouvant pour elle, elle essaye d’oublier, d’avoir un moment de répit, puis d’un coup elle recommence à pleurer et à réclamer sa fille.
Nous essayons tous de la soutenir, moi-même je ne la quitte pas.» La petite Nihal était chez sa grand-mère à Chellala et, deux jours avant sa venue au village, elle a rejoint sa maman à Aïn Oussera pour le départ vers Aït Toudert, le jeudi 21 juillet. Toute la famille devait se réunir pour prendre part à une fête, mais le sort en a voulu autrement. Le papa, commerçant, était resté à Tiaret et ne viendra au village qu’après la triste nouvelle.
D’ailleurs, Mokrane Si-Mohand se limite à dire qu’il espère revoir au plus vite sa fille saine et sauve. L’endroit où a eu lieu l’enlèvement est situé en contrebas bas de la maison, sur les escaliers en ciment. Depuis le jour de la disparition de Nihal, la maison ne désemplit pas. On vient de partout pour exprimer son soutien à la famille.
La gendarmerie en charge de l’enquête ne néglige aucune piste. L’éventualité d’étendre les investigations à d’autres secteurs et dans la wilaya où habite la famille Si-Mohand n’est d’ailleurs pas écartée. Sur la route d’Aït Toudert, nous croisons des véhicules portant des affiches et la photo de Nihal, appelant la population locale à la mobilisation pour retrouver la petite fille d’Ath Ouacifs dont le séjour de fête au village n’aura duré qu’un quart d’heure.

Le plan d’alerte lancé

Le ministre de la Justice et garde des Sceaux, Tayeb Louh, a affirmé hier à Alger que l’enquête menée pour retrouver la fillette Nihal Si Mohand a été élargie dans le cadre du plan d’alerte qui consiste à utiliser tous les moyens, y compris les médias.
«Nous n’avons toujours pas retrouvé la petite Nihal, a indiqué M. Louh. Immédiatement après les faits, le parquet compétent a ouvert une enquête avec la police judiciaire en lançant le plan d’alerte pour une plus large investigation. Le procureur de la République territorialement compétent se chargera, lui, d’informer l’opinion publique des développements de cette affaire.»     APS
Tassadit Chibani

هناك 6 تعليقات:

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أرسلوا صورهم إلى أهاليهم عبر الفايسبوك
27 حراقا بينهم متهم بالقتل يصلون إلى سردينيا بإيطاليا
date 2016/07/25 views 18035 comments 9
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icon-writer إسلام بوشليق

وصل 27 حراقا، ينحدرون من القل بولاية سكيكدة وقسنطينة، فجر الأحد، إلى مدينة كاغالياري بجزيرة سردينيا الإيطالية، وكانوا قد غادروا شاطئا مهجورا يدعى بوقارون الأربعاء الماضي، متوجهين إلى شواطئ سردينيا بإيطاليا، ومنذ هذا التاريخ لم يظهر أي أثر لهؤلاء الشباب، البالغين من العمر ما بين 26 إلى 44 سنة، منهم طلبة جامعيون، وبطالون، وموظفون ببلدية القل، وحتى متهم بجريمة قتل شاب في المدينة الجديدة علي منجلي بقسنطينة حسب مصادر، سافروا على متن قارب تقليدي مجهز بمحرك فائق السرعة وجهاز توجيه، مستغلين تحسن الأحوال الجوية خلال الأيام الماضية، التي تميزت بطقس جميل هدّأ من اضطراب البحر.
http://www.echoroukonline.com/ara/articles/492870.html

غير معرف يقول...

http://www.echoroukonline.com/ara/articles/284688.html

صاحب رائعة "يا سارة"عبد الحكيم بوعزيز للشروق
سأقاضي بن الشيخ .. غيّبوني قهرا عن تظاهرة قسنطينة
date 2016/05/18 views 2277 comments 1

المالوف في طريق الانقراض سأطلقه وأغني"الواي الواي"

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icon-writer حاورته: إيمان. ب

مرت سنة عاصمة الثقافة العربية، بيضاء من دون أن يسجل الفنان المعروف عبد الحكيم بوعزيز، بصمته فيها بالرغم من أن فعالياتها جرت في مسقط رأسه وفي المدينة التي تغنى بها دائما، عبد الحكيم بوعزيز الذي طلّق تدريس الموسيقى ومارس التجارة، وسيفتتح قريبا قاعة سينما ومسبح للأطفال، استقبل الشروق اليومي فكانت هذه الدردشة.
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بدأت المشوار الفني في سن مبكرة..هل كانت الشهرة حلمك الأول؟

نعم بدأت الغناء في سن الخامسة عشر والمالوف كان حلمي منذ نعومة أظافري.

ما هي أول أغنية لك؟

أغنية "يا ليالي مضت" أديتها مع الشيخ التومي وهي أغنية من التراث الجزائري.

ماهي الأغنية التي حققت لك أكبر نجاح من بداية مشوارك الفني؟.

طبعا أغنية "سارة"... لم أحقق نجاحا مثل الذي حققته بأغنية راني نحبك يا سارة.

هل توجد سارة حقا ومن تكون؟

أعتذر لا يمكنني البوح بهذا السر لأي كان.

حدثنا قليلا عن حياتك الشخصية

لدي أربعة أبناء، ثلاث بنات وطفل، البنت الكبرى أستاذة بثانوية "حي حي المكي" والثانية متخرجة من كلية اللغات بجامعة قسنطينة والثالثة تدرس في السنة الأولى جامعي أما الطفل فهو آخر العنقود ومازال تلميذا.

يعد بوعزيز أكثر من غنى عن قسنطينة فهل أصولك تعود لهذه المدينة ؟

أنا ابن قسنطينة ولدت وترعرعت بها وكل عائلتي بها، لكن جذوري تعود لشلغوم العيد وأنا من عائلة راقية وكبيرة.

من هو الفنان الجزائري الذي تعتبره قدوة لك؟

أكيد الفنان القدير محمد الطاهر الفرقاني ولكنني أعتبره قدوتي في الفن فقط....

ومن الفنانين العرب؟

لا فن قبل وبعد السيدة أم كلثوم.

حيرنا غيابك خلال تظاهرة قسنطينة عاصمة الثقافة العربية؟

ضحك.. ورد أن تظاهرة قسنطينة عاصمة للثقافة العربية كانت مخصصة لفنانين معينين وليس لنا نحن أبناء المدينة، وإنني قد رفعت دعوى قضائية ضد بن الشيخ الحسين، لأننا اتفقنا معه على تحضير أغنية مشتركة تضم ثلاثين فنانا جزائري أعطى موافقته، وقمنا بتحضيرها وخسرنا أموالا طائلة منهم ما قدمته للموسيقيين وتعبنا حقا حتى تحقق الأغنية نجاحا كبيرا، لكن بن الشيخ قام بإلغاء الأغنية دون سابق إنذار ودون حتى تبليغنا بهذا القرار لنتفاجأ في آخر لحظة لذا قررت رفع دعوى قضائية لأطالبه بالتعويض.

ماهي مشاريعك المستقبلية؟

لدي مشاريع فنية ومشاريع تجارية، فسأطلق ألبومين بعد الشهر الفضيل إن شاء الله، الأول يتضمن أغاني من الفن الراقي والثاني تجاري.

ما رأيك في المالوف.. هل مازال له صدى كما كان في السابق؟.

طبعا لا.. فالمالوف في طريق الانقراض وأنا شخصيا سأطلقه لأدخل عالم "الواي واي" فهذا هو النوع الذي أصبح المستمعون يميلون إليه فقليل اليوم من يتذوق المالوف وكل مايهمني هوالغناء الذي ينال إعجاب المستمعين.

ما الأهم عند حكيم بوعزيز الفن أم التجارة؟

طبعا التجارة فأنا أفضل الربح السريع، لذا أنا بصدد التحضير لافتتاح سينما خاصة بالأطفال بعد ثلاثة أشهر، ولست أدري إن كانت السلطات الخاصة ستسمح لي أم لا.

ما هي أهم صفة عند عبد الحكيم بوعزيز؟

صراحتي فأنا إنسان جد صريح ولا يهمني رأي الآخرين.. المهم عندي هو قول الحقيقة.

ماذا يشتهي عبد الحكيم من الأكل القسنطيني؟

مع أن زوجتي مختصة في الطبخ التقليدي القسنطيني إلا أننى أحب المأكولات العصرية الخفيفة.
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قسنطينة
الأخبار
تظاهرة قسنطينة عاصمة الثق

غير معرف يقول...

http://www.echoroukonline.com/ara/articles/278518.html
لمزهر يكرم جمال دكار وزرماني وبشكري.. زتيلي يصرح
أبناء قسنطينة غيبوا بشكل مخز في تظاهرة "عاصمة الثقافة"
date 2016/03/27 views 1054 comments 0

التظاهرات الكبرى في العاصمة وتلمسان وقسنطينة سيرتها البيروقراطية

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icon-writer إيمان زيتوني

تأسف مدير المسرح الجهوي لقسنطينة محمد زتيلي، كون أبناء قسنطينة من المبدعين غيبوا في التظاهرة الثقافية الكبرى" قسنطينة عاصمة للثقافة العربية 2015"، بشكل مخز، مضيفا أن تنظيم التظاهرة الثقافية بكل من العاصمة، تلمسان وقسنطينة، سادتها البيروقراطية التي – حسبه - لا يمكن أن تصنع الحياة الثقافية أبدا.
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يتواصل النشاط الثقافي والأدبي لنادي المزهر المسرحي، بمسرح قسنطينة الجهوي من خلال تنظيمه للجلسات التكريمية الثالثة لأعمدة المسرح الجزائري، حيث حظي أمس ثلاثة فنانين صنعوا لحظات السعادة من العدم، هم حقا من الجيل الذهبي بالتكريم، عرفانا لما قدموه لمسرح قسنطينة بشكل خاص والمسرح الجزائري بشكل عام، منذ السبعينات إلى يومنا هذا، وهم بلا منازع ارتبط اسمهم بذاكرة مسرح قسنطينة، ويتعلق الأمر بكل من: "علاوة زرماني، نورالدين بشكري، وجمال دكار، وكان ذلك بحضور أصدقائهم، محبيهم، وهواة الفن الرابع، وبإشراف من مدير المسرح محمد زتيلي، الذين أكدوا أن سر نجاحهم في مشوراهم هو احترامهم لفنهم، وإخلاصهم في عملهم.
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وقد تطرق الممثل بوالدشيش كريم، ونور الدين مرواني، إلى مسيرة الفنانين الثلاثة، مبرزان إسهاماتهم العديدة التي مكنت مسرح قسنطينة من اعتلاء مكانة مشرفة، من خلال العودة إلى الذكريات الجميلة في السبعينات، وسط أجواء حميمية طبعتها الفرحة والسعادة.

وقد عبر الممثل، المخرج، والمؤلف جمال دكار، الذي شارك في عمل مشترك جزائري فرنسي حول ثورة التحرير، إلى جانب أعمال بارزة عديدة كان أولها دوره الرئيسي في مسرحية "حسناء وحسان" في كلمته التي ألقاها بالمناسبة عن فرحته الكبيرة بالتكريم الذي خص به بمعية رفقاء الدرب، وهم في خريف العمر، مشددا على أهمية عودة "المسرح الشعبي" إلى الواجهة الإبداعية.

وأما علاوة زرماني، فأكد أن سر نجاح مسرح قسنطينة الجهوي يكمن في أن فرقتهم كانت تضم حينها جامعيين.

ومن جهته شكر الممثل القدير والإدراي المحنك، نور الدين بشكري، التفاتة النادي، ليعود بالحضور إلى بداية مشوراه مع المسرح وبالتحديد نهاية سنة 1974، حيث بدأ كممثل متربص، ثم انطلق مع بقية الزملاء ليعتلي ركح مسرح قسنطينة الذي استقل في ذاك الوقت، من خلال عدة أعمال، موضحا بأن المسرح هو المدرسة الحقيقية للفنان، المسرح هو التربية، الكتابة الجماعية منحت لهم كفنانين مبتدئين ثروة فنية، ومن خلالها ساهموا في دفع عجلة المسرح.

غير معرف يقول...

تتوقع اوساط ثقافية رحيل البرجوازي محمد زتيلي الى دار الخلد بعد= رحيل عبد الرحيم مرزوق ويدكر ان محمد زتيلي خدم سلطة الرعيان ليعيش ادب الرعيان وشكرا مواطن بسيط
https://www.facebook.com/mohamed.zetili

غير معرف يقول...

شكون
بركات من العطاية
راهو حكى عليها امام الجمعة
وقال لبنات اللي قاعدين يدرو فيها ما يحطوش صورهم في الفيسبوك
https://www.facebook.com/mohamed.zetili

غير معرف يقول...

لمادا لم تصدر كتاب جول الشهيد الضحية عميرش علما ان عائلات عميرش من اكثر ضحايا العشرية الحمراء وعليه ارجوك بالعودة الى ارشيف الصحافة للبحث في اسرار جريمة اغتيال المناضل عميرش وللعلم غفان التكريم بمنح تسمية لاتكفي ارجوك حضر شريط حول حياة المناضل عميرش ابن الجزارين وشكرا مواطن قسنطينة
https://www.facebook.com/nadir.amireche/
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