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الاخبار العاجلة لاكتشاف الجزائريين ان الصحف الجزائرية تروج للدعارة السرية عبر صفحاتها الاشهارية والاسباب مجهولة








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الاخبار العاجلة  لاكتشاف الجزائريين ان  الصحف الجزائرية تروج  للدعارة  السرية   عبر صفحاتها  الاشهارية والاسباب مجهولة
http://planetephotos.blog.tdg.ch/archive/2013/06/06/la-photo-du-jour-nabila-fait-vendre-le-sexe-aussi.html

06/06/2013

La photo du jour: Nabila fait vendre, le sexe aussi!

Matin def 2.jpg
La une de nos journaux est de plus en plus attrayante voir attirante pour accrocher l’œil du chaland, inciter la curiosité et aboutir à l’achat du canard. Déjà dans un paysage médiatique qui ne souffre aucunement de concurrence, il ne faut pas se fouler le poignet outre mesure ou se forcer à creuser les méninges pour pondre des articles qui feront mouche auprès des lecteurs. Les frasques de Nabila font vendre et le sexe aussi. Une vieille recette qui continue à faire ses preuves. Messieurs vous étiez combien aujourd'hui à user d’une règle pour mesurer la grandeur de…l’absurdité d’une telle une?



Nabilla a bien fait de la prison! Ah Bon!

DSC02019-sssss.jpgLes journalistes de Tamedia sont ces derniers jours sur la brèche. Leur employeur dont l’appétit va en grandissant les presse comme un citron pour obtenir d’eux le maximum de profit. Péril en la demeure dans le paysage suisse des médias. Après Genève et Lausanne le 4ème pouvoir a manifesté aujourd’hui à Zurich, histoire de mettre la pression sur les politiciens et les propriétaires du groupe de presse dont le monopole médiatique est effrayant du point de vu diversité d’opinions et information plurielle. Il est même question un certain moment de la disparition d’un des bijoux du groupe: “Le Matin”. Moi le premier, si c’est le cas je descendrai dans la rue manifester ma désapprobation face a une telle injustice. Qui va m’informer des derniers potins de nos vedettes favoris si le quotidien vitaminé à l’orange disparaitrait des étalages des marchands de journaux? Je m’insurge contre l’éventuelle  “suppression” du Matin, un journal utile au quotidien. DSC02014-sssss.jpgC’est grâce à ce même Matin que je connais tout ou presque de notre Nabilla cantonale. De sa taille de poitrine en passant par son poids en valeur médiatique, de son incartade judiciaire ou encore des confidences de ses copines jalouses…de son succès actuel et de ses généreuses formes. J’estime que je suis très bien informé sur le sujet. Pourquoi veut-on la peau du Matin qui par choix éditorial nous fait oublier l’espace d’un moment l’interminable crise que nous traversons avec son lot de misère, de chômage et de précarité? Bon nombre de lecteurs “non engagés” dans la vie “sociale” ne cherchent pas d’autres formes d’information. Regardez la photo prise cette semaine à la rue de Chantepoulet devant un kiosque à journaux. Ce passant est resté un bon bout de temps scotché devant la une de Paris Match et de Point de vue. Les médias à sensation ont encore de beaux jours devant eux!
Le courrier de Genève par exemple qui n’appartient pas au groupe Tamedia se bat depuis plusieurs années pour sa survie malgré des articles intéressants qui traitent de sujets d’actualité et de la vie quotidienne des genevois. Appels fréquents à des souscriptions de la part de ce quotidien qui malgré sa parfaite adéquation avec la réalité de son environnement peine à trouver son équilibre et lutte chaque année pour sa survie. Bon courage au Matin version Nabilla et aux autres titres du groupe Tamedia…
PS: toutes mes excuses aux lecteurs de ce blog. Le titre de cette note est racoleur dans le but avoué de ratisser large côté audience. 

Commentaires

Haykel EZZEDDINE, vous le pourfendeur de contradictions, semblez être arnaqué par le buz-business de vos médias favoris! car vous affirmez ici:

"C’est grâce à ce même Matin que je connais tout ou presque de notre Nabilla cantonale"

parlant d'une française d'origine algérienne habitante d'Annemasse
qui se fait allègrement passer pour originaire de Genève voire suisse

Gardez donc espoir: tant que votre désir de croire sans conteste une telle bluffeuse
restera partagé par tant de lecteurs du Matin,
celui-ci a encore de beaux jours devant lui. On a la presse qu'on veut, après tout!
Écrit par : Pierre à feu | 26/04/2013
Il faut lire entre les lignes Pierre
Écrit par : Haykel | 26/04/2013
Le type étant de dos, rien ne permet de dire qu'il n'est pas en train de vomir ...
Écrit par : Bulgroz | 26/04/2013
Haykel, j'avoue: c'était juste une envie de mettre les points sur ces i
à défaut.
Écrit par : Pierre à feu | 27/04/2013
Haykel, je ne vous savais pas amateur de pêche au tons !!
Écrit par : Corto | 27/04/2013
marre des médias qui font leur beurre sur cette bimbo
des fausses infos de la TDG pour attiser le chaland

marre des journaleux TDG sans déontologie qui continuent pour le buzz
de propager leurs infos sur prétendue appartenance suisse de cette gamine,
et ce aujourd'hui direct en titre(!) d'article tdg.ge:

"Nabilla compare Zahia à un «pigeon» sur Facebook,
La Genevoise continue de surfer sur son buzz planétaire"

ET %tamedia ou pas,
des journalistes faisant régulièrement passer Annemasse pour Genève...: on n'achète pas














http://planetephotos.blog.tdg.ch/media/00/00/643196962.jpg


http://ariniaina.mondoblog.org/2011/02/25/le-travail-du-sexe-nest-il-plus-tabou-a-madagascar/#comment-83828

http://ariniaina.mondoblog.org/2011/02/25/le-travail-du-sexe-nest-il-plus-tabou-a-madagascar/

Le travail du sexe n’est-il plus tabou à Madagascar?

Quand j’étais enfant, de temps à autre, mes parents nous emmenaient faire un petit tour de la ville pour voir Tanà la nuit. Notre endroit favori était le quartier appelé La Haute où l’on admirait les lumières de la capitale. Sinon, je me souviens qu’on passait aussi par les quartiers où j’ai remarqué des prostituées dans leurs petites tenues sexy essayant tant bien que mal de cacher leur visage pour qu’on ne puisse pas les reconnaitre. (N’empêche que certains des clients qui se seraient rapprochés les auraient sûrement reconnus).
Depuis, les temps ont changé. Plein de choses ont si vite évolué dans la vie des Malgaches. L’arrivée des nouvelles technologies, par exemple. Maintenant presque tous les jeunes adolescents ont leur propre téléphone portable souvent de dernier cri. Bref, le travail du sexe a également évolué. Le premier changement remarqué a été, je crois, l’arrivée des hommes (travestis) dans ce métier. Les travailleurs du sexe se sont « partagés » les emplacements entre eux (enfin, je suppose) parce qu’il y a un coin spécial pour les hommes et d’autres coins pour les femmes.  Ils se départagent même entre plus cher et moins cher. Ce sont des amis « habitués » qui m’ont expliqué.

Le deuxième changement que j’ai remarqué aussi est la naissance de plusieurs agences de prostitution dans le pays. Ces agences s’enregistrent en tant que « salons de massage ». Un ami, réceptionniste dans un grand hôtel à Tana, nous a fait savoir que l’hôtel où il travaille a déjà une sorte d’annuaire pour consulter le contact,  les services et le tarif de ces différents agences. Sinon, c’est toujours l’ami qui raconte, une fois le travail effectué, les « masseuses » passent à la réception et laissent leur carte de visite personnelle pour que, les prochaines fois, l’hôtel les appelle directement sans passer par les agences. C’est sûrement de là que les annonces de ce genre de service se multiplient de jour en jour dans les journaux locaux. Les jeunes femmes se ruent vers ce service de « massage » utilisant toutes sortes d’adjectifs qualificatifs  pour charmer la clientèle mais aussi pour battre la forte concurrence. Bon, j’ai dit « femmes » mais, en feuilletant les pages des journaux pour cet article, j’ai lu aussi une annonce certainement d’un homme.
Ce n’est pas tout. Dans les sites d’offres d’emploi gratuites maintenant, genre Jobmada  sur Moov Madagascar, il y a des agences « d’escort girl  » qui recrutent. Les filles recrutées travailleront pour des clients haut-de-gamme. Et la compensation va sans dire. L’heure [une petite correction] La journée est à 200 000 Ariary. C’est une bien grosse somme pour les Malgaches  qui  sont très nombreux à ne pas gagner cette somme en un mois. En Euros, ça fait à peu près 72,45. J’ai visité un de leurs sites web; chaque « agent » a un profil qui y est publié et avec les « talents » spécifiques de chacune. Quand j’ai dit évolué, je n’arrivais pas à croire que de là à se cacher le visage, les prostituées s’affichent maintenant aux yeux de tous… enfin… des visiteurs de ces sites.
Mon mari et moi étions récemment à Tamatave, une province sur la côte est de Madagascar. On était en train d’apprécier un bon jus de coco au bord de la mer. Il devait être 19 heures. Et voilà qu’en face de nous, une  4×4 se gara et quelques hommes chinois en sont sortis. A peine ont-ils mis pieds à terre qu’une ruée de prostituées les ont envahis. Il fallait le voir pour le croire. Elles se disputaient presque. Pas de chance pour elles, ces gars là n’étaient pas intéressés.
La meilleure? L’histoire s’est toujours passée à Tamatave. Un des collègues de mon mari (j’espère qu’il ne tombera pas sur cet article :D ) a ramené une très jeune fille à son bungalow. A peine si elle avait 18 ans, je dirai. Une petite jeune fille, assez jolie dont vous ne vous douteriez pas du tout si vous la rencontriez dans la rue. Et comment cet homme l’a déniché figurez-vous?… Facebook… Elle a un compte sur facebook où, selon ce collègue de mon mari, elle invite des tas d’hommes, elle publie des photos qui les font craquer et bien entendu, les invitent à « goûter » à ses services (payants bien sûr). Le rendez-vous a été même fixé depuis Antananarivo.
Est-ce  le monde qui change? Est-ce l’envie de survivre qui a entraîné tout ceci? Ou est-ce que le travail du sexe n’est tout simplement plus tabou?


  1. Je dirais que le monde change mais il faut avouer que les temps sont durs et tout le monde (ou presque) ne cherche qu’à survivre.
    Si le « massage » n’est plus tabou, c’est que les temps sont révolus, bien sûr il y a la technologie et peut-être aussi la mondialisation!
    200 000 ariary l’heure!!! ça doit être du travail bien fait :D
    et j’espère pour toi que ton pote ne va pas tomber sur ton blog :D :D
    • Il y a des gens qui ont fait des grandes écoles mais qui tombent facilement sous le charme de cette somme et choisissent ce métier. Elles s’imaginent mal s’assoir dans un bureau 8h par jour pour gagner combien à la fin du mois? 300 000? 400 000?
      Sinon, le p’tit gars devrait être content finalement puisqu’il a permis de filer un tuyau pour ce blog hé :D et que je le remercie :D
  2. prettyzoely
    les temps changent et heureusement ! j’espère tout simplement que ces travailleurs du sexe font bien attention quant aux MST, Sida, etc…
    à 200 000 ariary de l’heure, je comprends que les gens préfèrent faire cela, par les temps durs qui courent mais en même temps, c’est dommage qu’il faille passer par ça…Il n’y a pas de sot métier dit-on…
  3. Avec cette évolution technologique chacun l’utilise selon ses besoins. Mais je suis quand même surpris de voir de tel annonce passer dans des journaux. Chez nous c’est encore un tabou et c’est tant mieux pour tout le monde.
  4. C’est le plus vieux métier du monde, on peut les comprendre. C’est devenu très difficile de s’en sortir de nos jours et ces filles n’ont très souvent pas d’autres moyens de survie que leur corps… Malheureusement!
  5. Ah, Aria! je veux ajouté que cette prostitution est ce qui nous saute aux yeux. Mais ici à Lomé, il y a des filles, très souvent des élèves et étudiantes, qui ne s’affichent pas « officiellement ». Mais leur vie n’a d’autre qualificatif que le mot prostitution.
    Celles qui s’adonnent donc ouvertement sont je crois bcp plus cohérentes avec elles-mêmes!
    • Ah, oui. Merci pour ce petit rappel. C’est vrai, il y a des petites jeunes collégiennes et lycéennes qui s’y mettent. Souvent c’est pour pouvoir s’offrir de nouvelles modes que les parents ne peuvent pas acheter.
  6. lalaina
    le monde change et c’est triste de voir des jeunes filles faire le trottoir ou se cachant derrière un soit disant « massage » mais ce qui est plus désolant c’est de savoir que bon nombre d’entre elles le font pour pouvoir s’offrir des dernières tendances côté mode !!
  7. hery
    tu dois rester tjs tout près de ton mari alors surtout lors d’une mission en provinces sinon il sera sous la main d’une jeune et jolie jeune fille comme tu le dis et tu sera oubliée vite fait :-) lol !
    c’est cool ton blog !!!
    • Merci Laeticia
      Je n’ai pas cherché à choquer qui que ce soit. Je voulais juste partager les faits qui se passent dans mon pays. Je suis désolée que cela vous ait choqué.
      Pour ce qui est des droits des enfants, j’en suis une militante. Rassurez-vous, le sujet ici n’évoque pas d’enfants, pas de mineurs en tout cas. Il y a sûrement des cas où des mineurs se prostituent mais je n’ai pas plus d’informations là-dessus et ai préféré ne pas en parler.
  8. ikalakely
    Pour réagir à cet article très intéressant. A mon avis je c’est le contexte économique qui peut permettre cela. Pas besoin de se cacher puisque tout le monde est dans la galère. Pourquoi rester derrière un bureau quand on peut gagner vite en quelque temps. Les JH et les JF se vantent ensuite auprès des amis qui eux galèrent à la fin du mois!
    Ce qui est flagrant c’est d’utiliser les réseaux sociaux comme moyen de trouver des clients, c’est désolant et je crois que la sensibilisation doit être très forte sur ce côté.
    Ce qui est nouveau aussi ce sont les agences de prostitution. cela veut tout simplement dire que le métier s’officialise. J’espère tout simplement qu’il accompagne ces jeunes gens dans la protection (santé, juridique, etc) et pas que
    Bref..merci pour ce topo
    • Merci Ikalakely. Bref, disons juste que le monde évolue :D
      Sinon, je ne pense pas que le métier s’est officialisé pour autant et que les « agents » se protègent. Je crois que l’Etat fait semblant de fermer les yeux à ce propos.
  9. 1975jmr / jmrolland / 侯壮马
    Pour l’agence d’escort girl qui a fait sensation sur Tana en septembre 2010, lire la rubrique minutes de l’express de samedi 19 novembre… 2 vazaha arrêtés pour proxénétisme en ligne, mis en détention provisoire… En espérant que ce genre de fléau disparaisse…
  10. yvantsoa
    Les agences de massage pullulent dans toutes les villes de Mada et il y a certainement des raisons pour que cela arrive. On se demande bien s’il n’y a pas de loi ou de règles en vigueur les concernant! Certes ce sont des ressources faciles pour les jeunes filles sans diplômes (car ce métier n’en exige aucun), mais est-ce une solution pour aider ces pauvres filles? Je crois que le problème n’a presque plus de lien avec l’éducation. Tout le monde sait que les malgaches sont des gens strictes au niveau de l’éducation surtout des filles. Tout est désormais lié aux problèmes économiques. Tout le monde essaie tant bien que mal de s’en sortir. Si avant les parents étaient sévères, aujourd’hui ils poussent leurs progénitures à se vendre pour ne pas dire se prostituer pour mieux vivre! et je me demande bien où va-t-on comme ça?






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http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/05/20/mariage-gay-ce-qui-est-dans-la-loi-et-ce-qui-n-y-est-toujours-pas_3379906_3224.html

Mariage gay : ce qui est dans la loi, ce qui n'y est (toujours) pas
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/05/20/mariage-gay-ce-qui-est-dans-la-loi-et-ce-qui-n-y-est-toujours-pas_3379906_3224.html#6X8d3iKRqsDTytrZ.99



Mariage gay : ce qui est dans la loi, ce qui n'y est (toujours) pas
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/05/20/mariage-gay-ce-qui-est-dans-la-loi-et-ce-qui-n-y-est-toujours-pas_3379906_3224.html#6X8d3iKRqsDTytrZ.99

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Manifestation pour tous à Rennes, le 5 mai.

C'est fait. Après six mois de débats, souvent tendus, et de manifestations, la loi autorisant le mariage et l'adoption aux couples de même sexe a été promulguée par François Hollande samedi 18 mai, au lendemain de sa validation définitive par le Conseil constitutionnel.

Pour autant, les opposants ne désarment pas et cherchent à rassembler avant leur prochaine manifestation, le 26 mai, qui s'annonce importante. Pour ce faire, ils utilisent une nouvelle fois une série d'arguments déjà entendus, autour de la gestation pour autrui (GPA), de la marchandisation du corps humain ou des enfants qui seraient "privés d'un père et d'une mère". Des arguments qui sont partiellement, voire totalement, erronés.
1/ Mariage et adoptions autorisés aux couples de même sexe
Que dit la loi promulguée samedi ? Pour l'essentiel, elle ouvre droit aux couples de même sexe de contracter un mariage et d'adopter dans les mêmes conditions que les couples hétérosexuels. Par glissement, elle reconnaît les unions homosexuelles contractées à l'étranger avant l'entrée en vigueur de la loi française, et modifie quelques points, comme les règles d'attribution par défaut du nom d'un enfant, qui portera désormais les noms de ses deux parents accolés dans l'ordre alphabétique, sauf si ceux-ci souhaitent choisir un nom en particulier.
Premier point d'intoxication souvent entendu de la part des anti-mariage homosexuel : cette loi conduirait à "priver les enfants d'un père et d'une mère" (argument employé dans cet appel, par exemple). Or l'adoption est autorisée aux couples homosexuels aux mêmes conditions que les couples hétérosexuels.
Concrètement, il existe deux formes d'adoption : l'adoption simple, qui ne retire pas les liens de l'enfants à ses parents biologiques (elle concerne notamment les couples dont l'un des conjoints veut devenir parent légal de l'enfant biologique d'un autre conjoint), et l'adoption plénière, qui suppose que les parents biologiques ont renoncé à leurs droits sur l'enfant, de leur plein gré ou car la loi leur a retiré.
Le texte de loi ne modifie en rien cet état de fait. Les enfants adoptés de manière plénière, qu'ils viennent de pays étrangers ou qu'ils soient de France, ont nécessairement vu leurs parents renoncer à leurs droits sur eux. Quant à l'adoption simple, par définition elle ne "retire" aucun parent à l'enfant. On peut en outre rappeler qu'avant cette loi, les célibataires étaient autorisés à adopter de manière individuelle, sans que ne soit prise en compte leur sexualité.
2/ La GPA n'est toujours pas dans la loi...
Autre argument martelé, au point de devenir l'un des plus entendus : cette loi serait une première étape vers la gestation pour autrui (GPA). Il suffit de quelques clics pour trouver le terme "GPA" dans n'importe quelle communication de la Manif pour tous, comme le dernier appel en date, par exemple. Pourtant, là encore, il s'agit purement et simplement d'une construction réthorique efficace, mais que rien ne vient étayer.
La loi ne contient aucune référence à la gestation pour autrui, qui n'y est tout bonnement pas abordée. Qu'elle soit marchande ou non, la GPA, qu'on appelait naguère "mère porteuse", et que l'UMP a réfléchi à légaliser en 2008, est et reste illégale en France. François Hollande a exprimé à de nombreuses reprises son opposition à cette pratique, et la majorité n'envisage pas de la mettre en œuvre, d'une part, parce qu' elle est divisée sur le sujet, et d'autre part, parce qu'elle elle a été échaudée par les mois de mobilisation contre le mariage homosexuel.
>> Lire : La GPA en huit questions
3/ ... et rien n'indique qu'elle va être facilitée par la loi
Plus subtil, la communication de la Manif pour tous évoque aussi les "risques" que l'adoption de la loi présenterait, en "ouvrant la porte" à une reconnaissance de la GPA par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). Mais là encore, il s'agit d'une construction, créée de toutes pièces ou presque par un lobbyiste catholique. Il est en théorie possible d'envisager que la CEDH, si elle était saisie d'une demande d'un couple homosexuel français désireux d'avoir des enfants et débouté de toutes les procédures nationales, entende ces arguments, mais rien ne le garantit. La théorie des anti-mariage homosexuel est que la CEDH autoriserait la GPA si la fécondation médicalement assistée (improprement baptisée le plus souvent "PMA") était autorisée pour les femmes lesbiennes.
En réalité, rien ne permet de dire que la CEDH estimerait les choses de cette façon. Et encore faudrait-il qu'elle puisse trancher. Or il faudra pour cela un minimum de dix à quinze ans, soit le délai nécessaire pour qu'un couple français se porte en justice, épuise tous les recours (première instance, appel, cassation, question prioritaire de constitutionnalité) avant que la CEDH ne commence à examiner ce cas. Un couple désireux d'un enfant patientera-t-il aussi longtemps ?
>> Lire à ce sujet : L'argument européen hasardeux des anti-mariage homosexuel
4/ LA PMA renvoyée à 2014, peut-être
S'il est une victoire dont peuvent se targuer les anti-mariage homo, c'est bien le fait d'avoir fait reculer le gouvernement sur la question d'ouvrir l'assistance médicale à la procréation (la fameuse "PMA") aux couples lesbiens. A l'heure actuelle, les couples de femmes qui souhaitent des enfants sont pratiquement condamnés à aller à l'étranger pour obtenir cette aide. Elles revendiquent la possibilité d'avoir un droit légal à l'insémination artificielle.
Dans un premier temps, la loi devait ouvrir cette possiblité. Mais le gouvernement était divisé sur la question, polémique et qui suppose également une révision des lois relatives à la bioéthiques, et donc une procédure longue de débats publics. Le gouvernement a décidé de traiter la question à part dans une "loi famille", qui devait initialement être proposée dès le printemps 2013. Mais la mobilisation anti-mariage a repoussé cet horizon à l'automne, puis désormais à 2014. Et encore : François Hollande a conditionné l'adoption ou non d'une telle loi à l'avis du Comité national consultatif d'éthique. Si ce dernier se prononce contre cette loi, elle ne verra pas le jour. En réalité, le gouvernement ne semble pas pressé de repartir à l'offensive sur cette question, au grand dam des associations gays et lesbiennes.
5/ Filiation : derrière les fantasmes, pas ou peu de changements
Autre argument souvent entendu, le "bouleversement de la filiation" qu'introduirait cette loi. Pourtant, il n'y a quasiment rien dans la loi qui concerne la question de la filiation. Les opposants au texte ont souvent réduit cette question au remplacement des mots "père" et "mère" dans le code civil, qui ne sera finalement effectué qu'avec des ordonnances.
Jusqu'ici la filiation était établie soit de manière biologique soit de manière légale (en cas d'adoption ou de PMA, par exemple). L'évolution des mœurs, l'émergence des familles recomposées ont amené la loi à glisser de la filiation biologique vers une filiation plus affective, qui correspond à la société d'aujourd'hui. Mais il n'y a en réalité rien dans le texte qui "bouleverse" la filiation telle qu'elle existait avant.
Les couples homosexuels mariés pourront ainsi adopter de manière simple ou plénière, établissant une filiation juridique à la place de la filiation biologique, comme en cas d'adoption par un couple hétérosexuel. La PMA ne figurant pas dans la loi, elle n'est pas en cause, même si on peut rappeler qu'elle est permise aux couples hétérosexuels, justifiant d'un problème médical de procréation. Et que ces couples se placent eux aussi dans le cadre d'une filiation juridique.
>> Lire : Que change la loi sur le mariage homosexuel en matière de filiation ?
6/ Revenir sur cette loi, mission impossible ?
Au-delà de la manifestation du 26 mai, le mouvement s'interroge sur les suites à donner, en sachant que François Hollande n'a aucunement l'intention de supprimer cette loi. A droite, où l'on cherche à récupérer la dynamique de ce mouvement, certains évoquent pourtant une marche arrière législative en 2017. C'est ce qu'a proposé dans un entretien au Monde Jean-François Copé, président de l'UMP : "Quand nous serons revenus au pouvoir, il faudra réécrire ce texte pour protéger la filiation et les droits de l'enfant. Peut-être avec le recours au référendum." On l'a vu, ces deux points ne sont pourtant pas modifiés par la loi sur le mariage.
Un autre cadre de l'UMP, Guillaume Peltier, va plus loin encore, proposant pour sa part, sur RTL, un référendum visant à remplacer le "mariage pour tous" par une "stricte union civile" interdisant l'adoption. Ce qui paraît étrange, pour le moins : quid dans ce cas des couples homosexuels mariés ayant déjà adopté des enfants ? Outre cette incohérence, une "stricte union civile" autorisant l'adoption existe depuis 1998 : elle porte le nom de PACS.
En réalité, il sera très difficile, voire impossible, de revenir sur cette loi dans quatre ans, si la droite revient au pouvoir, car il existera des milliers de situations de fait de couples et de familles, impossibles à modifier juridiquement.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/05/20/mariage-gay-ce-qui-est-dans-la-loi-et-ce-qui-n-y-est-toujours-pas_3379906_3224.html#6X8d3iKRqsDTytrZ.99





http://www.rfi.fr/france/20120917-would-you-have-sex-with-an-arab-le-sexe-comme-instrument-politique-yolande-zauberman/



http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/rfi_large_600_338/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/zauberman_0_0.jpg

Would You Have Sex With an Arab ?» ou le sexe comme instrument politique

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C’est une belle surprise documentaire, un film aussi provocateur que son titre : Would You Have Sex With an Arab ? Yolande Zauberman dépeint un voyage en Israël, des rencontres avec des Juifs, des Arabes, dans des bars de Tel-Aviv, des ruelles de Jérusalem.
« Et toi, tu ferais l’amour avec un Arabe ? » Voilà la question que Yolande Zauberman a posée a des dizaines de jeunes Israéliens, lors de virées nocturnes dans les boites et les bars de Tel Aviv. Face à la petite caméra de Yolande Zauberman, les langues se délient, les tabous se délitent…. le mur du silence et des non-dits s’effondrent. Troublés, ils rient, hésitent, improvisent, s’étonnent de leurs propres réactions.
La plupart des réponses frappent par leur brutalité. « Ce serait trahir mon peuple » déclare une jeune femme. Une autre n’est pas contre le principe, mais déclare que c’est une utopie, quelque chose qui ne peut pas survenir dans la vie réelle. Même réticence du côté du côté des jeunes Arabes israéliens.
 
Peu à peu, une véritable réflexion se tisse au fil des rencontres. Pour tous ces jeunes, le sexe est un instrument politique. « C’était moi qui faisait la paix avec tout un peuple », déclare une jeune idéaliste. Dans les autres cas, la famille, le qu’en dira-t-on, voire un racisme très ordinaire semble ériger une barrière invisible. Preuve que l’amour peut briser les frontières, mais pas les frontières intérieures.


http://pressetchadienne.com/la-prostitution-a-ndjamena/



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Pour que vive à jamais la liberté de presse, brandissons encore plus haut le stylo !


http://pressetchadienne.com/wp-content/uploads/2015/01/954641-9-janvier-2015-450x387.jpg


http://pressetchadienne.com/la-prostitution-a-ndjamena/

La métier du sexe à N’Djamena

prostitution-feminine-jeune-filles-bamakoiseDu sexe contre de l’agent ou autres avantages, la prostitution n’est pas un phénomène nouveau.  Mais par ce temps qui court à l’envers, cette pratique devient non seulement avilissante mais aussi et surtout dangereuse. À N’Djamena elle prend une ampleur de plus en plus inquiétante et se manifeste de diverses manières suivant les endroits. Aux Quartiers Harlem et Abena par exemple, les prostituées ont parfois moins de 16 ans.
Visite guidée…
Peau dépigmentée, cheveux multicolores et rondeurs en relief, les « go » que vous voyez là-bas sur l’avenue Bokassa sont des filles de joie. Elles se livrent aux rapports sexuels pour gagner de l’argent. C’est leur métier . Dans les quartiers populaires comme Chagoua, Moursal, Kabalaye, Ardep-Djoumal et Ambassatna, des belles demoiselles vivent en bande de cinq à six par chambre. Habillées souvent de manière à faire pisser un prêtre, elles se rendent dans les bars, night-clubs et autres lieux chauds pour vendre leur « article ». Douées pour la « provoc », elles ne ratent presque jamais leurs cibles. Une prostituée peut  gagner en moyenne trois clients par jour.
Au quartier Dembé, un groupe de femmes embauchent un « chomoroka » (un jeune homme femmelette) pour chercher des hommes à trique solide. Après une bonne pêche, le jeune homme est aussi bien payé. C’est ainsi qu’il gagne son pain.
À Moursal, des jeunes filles en situations difficiles sont hébergées gratuitement par un genre de tantines très gentilles. Elles sont logées, nourries et bien vêtues. C’est bien généreux. Mais en contre partie, ces demoiselles sont louées comme des juments à des cavaliers en quête de loisir. Ces soi-disant tantines transforment leurs domiciles en maisons de passe pour s’enrichir : le proxénétisme, c’est leur source de revenus.
Au centre ville, on trouve de vraies « Jagua nana » (Prostituées de haut niveau). Étrangères ou tchadiennes déguisées, celles-ci opèrent essentiellement dans les grands hôtels comme Novotel la Tchadienne, le Chari, le Palmerais, etc. où sont logés les touristes occidentaux pour la plupart.
Pour éviter quant à elles les répressions dans leurs quartiers, des filles musulmanes quittent la rue de 40m pour faire la bamboula dans les quartiers populaires. Sorties de chez leurs parents en voile, elles se trouvent en vêtements sexy dans les boites de nuit où elles ne sont pas aussi sages qu’à la maison.
Dans les établissements scolaires, à défaut d’aptitude intellectuelle, certaines gonzesses font de leur charme un atout efficace pour gagner de notes. C’est ce que les étudiants appellent NST (Notes Sexuellement Transmissible). Et cela paye plutôt bien. À la fin de l’année, ces cocotes se trouvent souvent avec de beaux bulletins et parfois un colis vivant au ventre. Les conséquences sont parfois dramatiques.
La part des hommes
Quoi qu’imputée généralement aux femmes, la prostitution n’est pas que féminine. À N’Djamena, on trouve aussi de beaux gars qui prêtent leur virilité à de grandes dames contre de l’argent. Et tout le monde sait que s’il a des prostituées, c’est parce qu’il y a des clients. Les meilleurs clients sont d’ailleurs parmi des responsables et pères de familles bien respectés et respectables. Le jour et lors des conférences, ces derniers sont les plus éloquents à fustiger les putes les traitants de tous les noms. Mais la nuit, tous les chats sont gris.
Nécessité ou simple folie?
Pauvreté, manque d’emploi, mariage raté ou problèmes avec les parents,… telles sont entre autres les causes déclarées de la prostitution. On remarque cependant que nombre de filles deviennent chasseuses de primes par leurs soifs insatiables pour les biens matériels. Elles veulent toujours être à la mode pour égaler Venus (la déesse de beauté). Et pour s’octroyer les fringues top modèles, elles s’offrent à tout appétit sexuel lucratif. Ainsi, à mesure que les besoins se crée, la prostitution prend corps chez nos sœurs. Et plus elles se prostitue, plus la jeune fille efface en elle ce qu’elle a de plus sacré et humain : sa vie et son honneur. Elle devient alors un vulgaire objet de plaisir, une simple gargoulette où n’importe qui peut venir puiser sa part de rafraîchissent.
L’atterrissage forcé
Aller s’éclater au boom, voler au septième ciel toutes les nuits, quel délice ! C’est la belle vie. On oublie la galère et la vie parait facile. Mais au bout de ces ébats se trouvent souvent de grandes désolations. La prostitution expose notre génération à des maladies dont les conséquences ne sont plus ignorées. « Rien qu’en pesant à ma cousine que j’ai vu mourir du SIDA, je frissonne et je crains d’avoir des cauchemars la nuit » déclare Madjé avant que deux grosses larmes ne viennent hachurer violemment ses belles joues.
Une minute de silence s’il vous plait. C’est l’heure de penser à tous les êtres chers qui nous ont quitté victimes de cette tragédie. Que leurs âmes reposent en paix. Et si leur cas devait nous servir d’AVERTISSEMENT
Par MINI-MINI Médard
(Reportage Paru dans le RAFTGUI Presse jeunes N°12 de Février – Mars 2002



http://pressetchadienne.com/wp-content/uploads/2014/03/prostitution-feminine-jeune-filles-bamakoise-450x423.jpg


http://www.france24.com/fr/20140115-britanniques-demandent-journalistes-francais-sont-pas-fous/


Dernière modification : 15/01/2014

Après la conférence de presse de François Hollande, les journaux britanniques se montrent perplexes envers leurs collègues français, qui, à leur grand étonnement, ont eu du mal à interroger le président sur sa prétendue liaison avec une actrice.

Depuis plusieurs jours, les médias britanniques n'en finissent plus de se délecter des informations faisant état d'une liaison de François Hollande avec une comédienne française. Après avoir écrit de nombreux articles et publié de nombreuses caricatures, la presse d'outre-Manche s'interroge aujourd'hui sur la différence de traitement par rapport à la presse française.
Au lendemain de la conférence de presse du président Hollande, de nombreux journaux britanniques s'étonnent mercredi 15 janvier de voir que ce dernier n'a pas fait face à une rafale de questions à ce sujet. "Comme tout cela est étrange", estime ainsi le "Daily Telegraph", qui constate que les journalistes français ont laissé François Hollande parler d'une série de réformes économiques plutôt que de s'expliquer sur sa vie privée.

"Depuis des siècles nous avons raillé le stéréotype du Français obsédé sexuel. Alors qu'en réalité, ces âmes parfaitement abstinentes sont si peu portées sur le sexe que lorsque le sommet de l'État se trouve mêlé à un scandale comparable à l'affaire Clinton-Lewinsky, elles n'ont envie de parler que de sécurité sociale", poursuit le journal qui se demande également si ce sont les Français qui "sont fous, ou nous?".
"Une affaire bien française"
Même le très sérieux "Guardian" s'interroge, publiant en première page une photo du président Hollande au titre évocateur "Une affaire bien française". "Est-ce qu'il s'en serait sorti en Grande-Bretagne ou aux États-Unis? Peut-être pas", peut-on lire dans les colonnes du quotidien de gauche. "Mais n'en déplaise aux journaleux anglo-saxons, avec leurs tweets outragés, c'est ça la France".
De son côté le "Daily Mail" n'hésite pas à se moquer ouvertement des journalistes qui ont interrogé mardi le chef de l'État en les désignant comme "les plus invraisemblables bretteurs depuis l'inspecteur Clouseau", référence au héros gaffeur de "La Panthère Rose".

Pour le "Sun", la conférence de François Hollande a été également très décevante. Le tabloïd la qualifie d'ailleurs de "plus ennuyeux moment de la vie de n'importe qui". Selon lui, l'insistance du président sur le respect de sa vie privée est simplement une technique en usage parmi "les élites du monde entier depuis l'aube de la démocratie" pour "se laisser voir comme elles veulent être vues, pas comme elles le sont".
Avec dépêche AFP

François Hollande fait les gros titres de la presse britannique
  • "The Independent" a titré son article : "Comment un président en proie à un scandale sexuel a survécu à deux heures de questions sur l'économie".
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  • Une caricature de Peter Brookes publiée dans le Times. "Je voudrais vous parler d'économie", déclare François Hollande.
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  • Peter Brookes du "Times" met aussi en scène le scooter de François Hollande dans une autre caricature.
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  • L'image du casque de scooter est reprise dans ce dessin du caricaturiste Steve Bell pour le "Guardian".
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  • Steven Camley du "Herald Scotland" s'amuse de la discrétion de François Hollande sur sa vie privée.
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