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e 14 février, pour la Saint Valentin, gagnez du vocabulaire !
Le dictionnaire du sexeLe dictionnaire du sexe - Pocket

Livre
« Dictionnaire des mots du Sexe»


Disponible aux éditions Pocket
Ecrit par : Agnès Pierron

Le plaisir des mots et les mots du plaisir : métaphores artisanales, animalières, florales, militaires, religieuses... les hommes – et les femmes ! – n'ont jamais manqué d'imagination pour parler de la bagatelle dans un langage parfois... fleuri. À demi-mot et en figures plus ou moins châtiées, l'inventivité de la langue érotise le quotidien.
Du plus précieux au plus familier, du plus littéraire au plus argotique, Agnès Pierron a recensé et classé de manière thématique plus de 5 000 expressions à travers 2 500 entrées. Un dictionnaire de vocabulaire érotique, ouvrage de référence à effeuiller page à page.


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http://serres-castet.blogs.larepubliquedespyrenees.fr/archive/2011/11/22/theatre-de-boulevard-sexe-arnaque-et-tartiflette.html

Théâtre de boulevard – Sexe arnaque et tartiflette

6.JPGCécile Batailler et Fabrice Schwingrouber  seront sur la scène du théâtre Alexis Peyret vendredi 25 à 21h00,  pour y interpréter " Sexe arnaque et tartiflette ", une pièce de leur composition, mise en scène par Eric Henon. Détestant le monde rural, une jeune cadre aux dents longues est missionnée par sa société pour venir faire signer un contrat véreux à un pauvre type au fin fond des Alpes.
Elle va user de tous les stratagèmes possibles et inimaginables pour arriver à ses fins dans les plus brefs délais. Mais une avalanche va changer le cours de son scénario et la contraindre à passer le week-end avec un couillon "de classe internationale" au pays des bouseux.
Réservations 06 09 76 24 30 - tarif 15 €


http://www.theatre-victoire.com/2014/11/la-guerre-des-sexes/





La guerre des sexes

Pascal Grégoire
Anne Cazenave et Nicolas Payero

Si le sexe est le ciment du couple, ça va être un beau chantier… Une comédie coquine et moderne de Pascal Grégoire.
Aujourd’hui, rien ne va plus, pour Pierre et Anne-Laure, après 5 ans de vie commune. Pierre, est un adulte qui refuse de grandir et de rentrer dans le système.
C’est un brillant écrivain, mais qui prend son temps. Dilettante ? Non ! Glandeur ou tire-au-flanc ? Oui ! Il s’intéresse à absolument tout et n’importe quoi (surtout n’importe quoi). Sa journée type se résume entre glandouille, console de jeu, sites pornos et poker en ligne, le tout en caleçon. Un vrai cadeau…
Anne-Laure, la trentaine flamboyante, est une avocate au tempérament de working-girl. Prise dans la tourmente d’une vie trépidante, elle est consciente qu’elle a quelque peu dû sacrifier son couple au profit de ses propres ambitions.
Alors, même si elle a négligé son couple, elle n’en demeure pas moins folle amoureuse de son Pierrot, qui est à l’opposé de son univers.
Amours de jeunesse, il y a 5 ans elle aimait son dilettantisme, mais maintenant l’exaspération a pris le pas sur l’admiration : « Mais tu vas grandir, bordel ! »
Aujourd’hui, elle décide de reprendre la main ! Épaulée par sa meilleure amie, Isabelle, sexologue, elle veut notamment redonner un nouveau souffle à leur libido en berne.
Car comme le dit Isabelle : « Si le sexe est le ciment du couple, commence par les fondations !  » Elle va donc utiliser toutes les cartes dont elle dispose pour reconstruire leur relation sur l’amour et la complicité, et avec beaucoup d’humour…
Entre « l’adulescent » et la working-girl, la guerre des sexes va donner lieu à des joutes verbales, situations cocasses et autres scènes de hautes volées, distillées par des protagonistes qui ont l’habitude de débattre et défendre leur terrain, chacun à leur manière. Iconoclaste !
« Adapté à un public supérieur à 15 ans »

Derniers commentaires
  1. Le 2015-01-30 11:27:41, deguilhema dit :
    Quelle belle soirée. On a beaucoup ri. Beaucoup d'élégance dans les textes. Jamais vulgaire et pourtant tout tourne autour du sexe. Les acteurs St très bons
  2. Le 2015-01-25 13:13:06, Nellottea dit :
    Un excellent exercice pour nos zygomatiques! Nous étions 7 de 27 à 70 ans et tout le monde a ri du début à la fin. Une pièce pleine d'énergie et des comédiens époustouflants qui communiquent bcp avec le public.Je ris encore de certaines répliques... Une pensée particulière pour les prestations de Rabbit et Pioupiou ;) Bref, n'hésitez plus, foncez passer un excellent moment!
  3. Le 2015-01-25 13:12:25, Aela33a dit :
    Ouille mes côtes!! Hilarant, caustique , interactif..... Bref 1h15 de fous rires à s'en donner mal aux cotes!!! Je leur recommande à tous ceux qui veulent passer un bon moment de rigolade...



http://serres-castet.blogs.larepubliquedespyrenees.fr/media/01/02/2275468103.JPG



http://www.sweetnessinthecity.com/tag/godefroy-gordet/

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Vu – Sang Sexe du Barbanchu

Je vous en ai parlé récemment, mes amis ont du talent et Godefroy à présenté sa dernière création, Sang Sexe vendredi dernier au Théâtre du Saulcy à Metz.
J’ai eu la chance de lire les textes avant, il y a bien longtemps, puisque Cook Papa devait faire partie du projet et les as abandonné en cours de route pour des raisons professionnelles. Le Lâche!
J’avais donc lu les textes, et j’avais du mal à imaginer comment ces mots, parfois durs, crus, violents, allaient pouvoir être mis en scène.
Sang Sexe ce sont deux écorchés à vif, qui se livrent jusqu’au plus profond de leur âme, dans leur aspect les plus sombres.
Sang Sexe
Je n’ai pas la prétention de livrer ici, une critique de théâtre, juste de vous faire part de mon sentiment sur cette pièce.
Durant toute la représentation, j’ai cherché à comprendre le mécanisme de scénographie. Je ne sais pas si mon interprétation est celle que souhaitait retransmettre Godefroy, mais j’ai laissé parlé mon cœur.
J’ai aimé ces personnages qui se présentent à nus devant nous, et revêtissent ensuite chacun leur costume le plus sombre pour laisser parler leurs émotions les plus vives et les plus douloureuses.
J’ai aimé les détails de mise en scène, les coulisses apparentes, les illustrations visuelles, la musique et plus particulièrement la comptine de Julie en ouverture de la pièce.
J’ai aimé la manière dont Cyril et Elodie ont porté le texte, lui donnant une sonorité différente de ce que j’avais lu, donnant vie à des mots, des émotions difficiles à interpréter. Elle en nymphomane, lui en travesti. Autant dire que leur jeu est bluffant de réalisme.
J’en suis sortie impressionnée, par la performance des acteurs, le travail de mise en scène, de création musicale et visuelle.
Vous avez manqué cette représentation? Espérons qu’ils nous offrent une séance de rattrapage durant l’été… J’espère que la compagnie du Barbanchu nous livrera de beaux projets dans l’avenir. En attendant, je vous invite à suivre leur actualité sur le page Facebook.
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Mes amis ont du talent – Godefroy & Julie

Sans leur jeter des fleurs, et pas uniquement parce qu’ils sont mes amis, mes amis ont du talent!
Après vous avoir présenté Lilie la semaine passé, j’aimerai vous emmener dans l’univers artistique de Godefroy Gordet et Julie Thielen. Duo de charme dans la vie, l’un et l’autre ont tout naturellement travaillé ensemble sur le nouveau projet théâtral de Godefroy dans la troupe du Barbanchu. Rencontre.
Godefroy, comment est née ta passion pour le théâtre?
Ma passion pour le théâtre est née dans mon enfance. En vacances, une pièce se jouait en plein air dans un amphithéâtre en ruine. J’avais 6 ans, ce spectacle m’a bouleversé. J’étais bouche-bée. Ma passion n’a cessé de grandir avec le temps et avec mes expériences; par mes lectures, les pièces dont j’étais spectateur, par mon travail à l’université et les gens qui m’y ont encadré, les enseignements que l’on m’a donné. En grandissant, plusieurs rencontres m’ont conforté dans l’idée de suivre cette voie. Aujourd’hui c’est la troupe du Barbanchu, ce collectif que nous avons construit, qui me porte et m’enthousiasme. Nous avons beaucoup d’envies, de rêves, et d’espoirs. Nos objectifs se dessinent à mesure que le temps passe. Nous sommes très optimistes.
Quel est ton parcours?
Très jeune je participai à plusieurs ateliers d’interprétation théâtrale, entre Thionville et Metz. J’ai fait un bac orienté théâtre. Deux années de formation encadrée par des personnes admirables qui sont devenues pour certains plus que des professeurs, un véritable soutien. J’ai ensuite suivi à l’université de Metz un cursus de trois années en arts du spectacle. Un parcours jalonné d’expérience en tant que comédien, et un cheminement vers mes débuts dans la mise en scène. Je suis parti à Paris pour une année de recherche durant laquelle je me suis pris d’affection pour le théâtre d’Howard Barker, un grand dramaturge anglais. A mon retour à Metz j’ai entrepris plusieurs créations, j’ai travaillé en tant qu’intervenant enseignant dans des lycées et pour le Studiolo à l’IRTS de lorraine. J’ai également collaboré à la mise en scène de plusieurs courts métrages. Je finis actuellement un master professionnel en scénographie durant lequel j’ai eu la chance d’effectuer un stage de 5 mois au festival Passages. Un festival de théâtre international, dirigé par Charles Tordjman, qui se déroule à Metz tous les deux ans. Je sors à peine de ce festival avec des souvenirs extraordinaires dans la tête. Aujourd’hui je me concentre exclusivement sur Sang-Sexe ma prochaine création.
Sang Sexe Barbanchu
Comment t’es venu l’idée de traiter le sujet?
L’inspiration est venue assez naturellement, il y a deux ans un ami me propose de présenter un texte pour un festival. Je me suis dit pourquoi pas l’écrire ce texte. C’était un bel exercice de dramaturgie pour moi. Ecrire en pensant à un comédien et à un contexte défini à l’avance, c’est une démarche particulière. Ça m’a vraiment inspiré. Le sujet quant à lui, vient du monde qui m’entoure. De ce que j’observe. Je passe un temps fou à observer le monde autour de moi. En trainant à droite à gauche, le jour ou la nuit, je trouve toute sorte d’inspiration, des gens, des lieux, des circonstances. Je me dis parfois que les dialogues ou les situations que l’on rencontre dans la rue ont une force théâtrale incroyable. Mon inspiration vient du réel.
Pour avoir lu les textes, dont l’écriture est plutôt crue, je suis très curieuse d’en découvrir la mise en scène. Quel a été ton parti pris?
Je monte deux monologues que j’ai écrits. Mon travail face au texte est donc très particulier. Je dois associer mes idées de dramaturge à mes désirs de metteur en scène en essayant de rester cohérent. Le texte a beaucoup changé, certaines phrases ont été supprimées, d’autres modifiées, parfois ce sont seulement sur des mots que les dilemmes persistent. En travaillant phrase par phrase, mot par mot, le challenge a été de trouver présence et interprétation à chaque moment de texte, de temps, de jeu, même (ou surtout) dans les plus brefs instants. L’avantage pour moi par rapport à ces deux monologues, c’est que je peux prendre autant de liberté que je le souhaite. Justement j’ai les moyens de jouer avec les mots.
Par rapport au parti pris à proprement parlé, j’ai cherché à épurer un maximum le dispositif scénique afin de laisser place à l’interprétation et faire résonner un maximum le texte. Le public fait entièrement parti du spectacle, les questionnements transitent dans la pièce entre l’équipe entière, les comédiens face à eux-mêmes ou face aux spectateurs, les spectateurs et le contexte théâtral, se rejoignent tous. L’idée est de placer chaque personne créant la situation théâtrale (Metteur en scène, comédiens, régisseurs, spectateurs…) au même niveau de questionnement, même si ceux-ci peuvent être différents. En bref, j’espère activer chez tous une sorte de conscience théâtrale. Malgré tout l’ensemble de la scénographie propose de nombreux sens et sous-sens différents. A chacun d’en faire son interprétation et de profiter de son statut de spectateur. Car finalement, lors de la représentation théâtrale, ne sommes-nous pas tous spectateurs ?
Sang Sexe Transexuel
Sang Sexe Nymphomane
Julie, quand et comment es-tu intervenue dans la conception sonore?
Godefroy a eu très tôt l’envie d’intégrer dans sa pièce une ambiance sonore. C’est aux prémices des répétitions qu’il m’a proposé de créer cette ambiance. Mon envie de création musicale me démangeait depuis longtemps, je n’ai donc pas hésité ! Les idées et l’inspiration me sont venues au fur et à mesure. Inconsciemment, j’étais beaucoup plus attentive à ce que j’entendais autour de moi car j’étais à la fois à la recherche d’une nouvelle mélodie et surtout de sons… J’ai rassemblé un grand nombre d’instruments et d’objets afin d’expérimenter. Il fallait ensuite voir si ces sons pouvaient coller ou non à l’ambiance de la pièce… Je me suis donc aidée des textes comme on lit une partition de musique pour que la mélodie raisonne. J’ai noté les endroits où l’on pourrait introduire les sons. Cette étape a été assez abstraite car je n’avais pas encore les moyens de voir si mes idées pouvaient fonctionner. La réelle conception sonore est arrivée plus tardivement. Puisqu’il fallait tenir compte du ton des monologues, je ne pouvais intervenir qu’une fois les bases construites et le jeu des comédiens en place. Alors j’ai assisté à quelques filages afin d’apercevoir les choses plus concrètement, ce qui a également été source d’inspiration. Je devais avoir un maximum de propositions et les essayer pour savoir si elles étaient exploitables ou non. J’ai essayé d’enregistrer les sons moi-même mais je n’ai pas le matériel adéquat, autrement dit la qualité était vraiment mauvaise… Je suis donc allée au studio d’enregistrement de Thomas Koeune, ingénieur sonore, musicien et ami du collectif. Là nous avons passé des heures à enregistrer les différentes pistes…
As-tu pris part à la création de la mise en scène?
Indirectement, oui ! Lorsque j’ai assisté aux filages, j’ai pu avoir un œil plus ou moins extérieur sur la mise en scène, puisque je n’avais pas assisté aux premières répétitions. J’ai pu donc faire part de mes impressions à Godefroy. Il est très ouvert aux propositions de tout un chacun et je n’ai pas hésité à lui faire part des miennes.
Comment vous sentez-vous à l’approche de la première?
G : Très bien. Les choses se passent bien, nous sommes dans les temps. C’est le 7 juin que la pression va monter.
J : Ce sera ma première expérience théâtrale et je serai en régie alors autant dire que je sens bien la pression qui monte !
Je vous donne rendez-vous le vendredi 7 juin, à 20h, Espace Bernard Marie Koltes à Metz pour la grande première! C’est gratuit, mais pensez à réserver : theatredusaulcy-reservation@univ-lorraine.fr
Y serez-vous?



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Sang-Sexe bientôt présenté au Luxembourg avec votre aide!


Souvenez-vous de mon ami Godefroy et de sa pièce Sang-Sexe qu’il a présenté en juin dernier.
Fort du succès de sa première présentation, la compagnie du Barbanchu fait voyager sa pièce Sang Sexe au Théâtre du Centaure à Luxembourg-ville les 20, 21 et 22 mars 2014.
Pour les aider dans le développement de leur projet, ils ont lancé une campagne de crowfunding qui servira à financer les trois représentations: frais de transport, de location et rémunérations de la troupe.
Sang Sexe
Leur objectif? Récolter 1000€ avant le 17 février prochain.
Parmi les compensations offertes, outre le baiser des comédiens vous pourrez obtenir un apéro, une affiche dédicacée, des invitations pour la répétition générale ou pour l’une des représentations.
Vous pourriez même obtenir le titre honorifique de coproducteur du spectacle inscrit sur les affiches et programmes et diner avec l’équipe du spectacle.
Personnellement, j’ai opté pour l’apéro, et vous?
Pour Noël, faites une bonne action, pour la Saint Valentin, déclarez-leur votre amour et soutenez leur projet!
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http://www.lepotcommun.com/2012/concerts/concert-fernand-pena-cafe-theatre-un-peu-de-sexe-samedi-8-septembre-2012/


Fernand Pena [Rock] + « Un peu de sexe ? » [Café-Théâtre] – Samedi 8 septembre 2012

08/09
2012
Concert Rock (Fernand Pena) et Café-Théâtre « Un peu de sexe ?  » (Séverine Robic)
à partir de 20h00 – Entrée 5 euros

Organisé par l’Association Lezarts.
Fernand Pena, chanteur, guitariste. Une voix qui ne laisse pas indifférent et fait penser à Jo Cocker, Chris Rea, Tom Waits, mais aussi Jeff buckley ou Robert Plant. Un style musical emprunt de la culture Rock « beat » seventies. Il commence sa carrière « pro » en 1968 !!! Golf Drouot, festivals, des centaines de concerts en groupe. .Dans son dernier projet musical « Ode to William Blake », il met son talent et son «métier » au service des textes de ce poète anglais du 18ème siècle. Reprises et chansons originales pour une soirée Rock.
Séverine Robic : Comédienne, animatrice, réalisatrice, le parcours de Séverine est pour le moins riche et varié. Après avoir réalisé un 1er court métrage bien accueilli en festivals, elle y prend goût et réalise une cinquantaine de vidéos souvent drôles et décalées. Mr Buzz frappera même à sa porte avec une vidéo d’un sosie de Michael Jackson très scotchant. Séverine a un vrai univers, amusant, pétillant, percutant et rafraîchissant. Elle revient sur les planches avec un seul en scène d’après Dario Fo. C’est une drôle de conférence, une leçon d’amour et de sexe, sans tabou ni vulgarité, un peu d’humanité…pas mal d’humour et beaucoup de tendresse pour ce seul en scène pas vraiment show, juste (un peu) chaud. Partons tranquilles… détendus… Laissons-nous aller à cette joyeuse thérapie de groupe.






http://www.lepotcommun.com/wp-content/uploads/2012/09/Lezarts-Un-peu-de-sexe.jpg


http://pressetchadienne.com/la-prostitution-a-ndjamena/




La métier du sexe à N’Djamena


prostitution-feminine-jeune-filles-bamakoiseDu sexe contre de l’agent ou autres avantages, la prostitution n’est pas un phénomène nouveau.  Mais par ce temps qui court à l’envers, cette pratique devient non seulement avilissante mais aussi et surtout dangereuse. À N’Djamena elle prend une ampleur de plus en plus inquiétante et se manifeste de diverses manières suivant les endroits. Aux Quartiers Harlem et Abena par exemple, les prostituées ont parfois moins de 16 ans.
Visite guidée…
Peau dépigmentée, cheveux multicolores et rondeurs en relief, les « go » que vous voyez là-bas sur l’avenue Bokassa sont des filles de joie. Elles se livrent aux rapports sexuels pour gagner de l’argent. C’est leur métier . Dans les quartiers populaires comme Chagoua, Moursal, Kabalaye, Ardep-Djoumal et Ambassatna, des belles demoiselles vivent en bande de cinq à six par chambre. Habillées souvent de manière à faire pisser un prêtre, elles se rendent dans les bars, night-clubs et autres lieux chauds pour vendre leur « article ». Douées pour la « provoc », elles ne ratent presque jamais leurs cibles. Une prostituée peut  gagner en moyenne trois clients par jour.
Au quartier Dembé, un groupe de femmes embauchent un « chomoroka » (un jeune homme femmelette) pour chercher des hommes à trique solide. Après une bonne pêche, le jeune homme est aussi bien payé. C’est ainsi qu’il gagne son pain.
À Moursal, des jeunes filles en situations difficiles sont hébergées gratuitement par un genre de tantines très gentilles. Elles sont logées, nourries et bien vêtues. C’est bien généreux. Mais en contre partie, ces demoiselles sont louées comme des juments à des cavaliers en quête de loisir. Ces soi-disant tantines transforment leurs domiciles en maisons de passe pour s’enrichir : le proxénétisme, c’est leur source de revenus.
Au centre ville, on trouve de vraies « Jagua nana » (Prostituées de haut niveau). Étrangères ou tchadiennes déguisées, celles-ci opèrent essentiellement dans les grands hôtels comme Novotel la Tchadienne, le Chari, le Palmerais, etc. où sont logés les touristes occidentaux pour la plupart.
Pour éviter quant à elles les répressions dans leurs quartiers, des filles musulmanes quittent la rue de 40m pour faire la bamboula dans les quartiers populaires. Sorties de chez leurs parents en voile, elles se trouvent en vêtements sexy dans les boites de nuit où elles ne sont pas aussi sages qu’à la maison.
Dans les établissements scolaires, à défaut d’aptitude intellectuelle, certaines gonzesses font de leur charme un atout efficace pour gagner de notes. C’est ce que les étudiants appellent NST (Notes Sexuellement Transmissible). Et cela paye plutôt bien. À la fin de l’année, ces cocotes se trouvent souvent avec de beaux bulletins et parfois un colis vivant au ventre. Les conséquences sont parfois dramatiques.
La part des hommes
Quoi qu’imputée généralement aux femmes, la prostitution n’est pas que féminine. À N’Djamena, on trouve aussi de beaux gars qui prêtent leur virilité à de grandes dames contre de l’argent. Et tout le monde sait que s’il a des prostituées, c’est parce qu’il y a des clients. Les meilleurs clients sont d’ailleurs parmi des responsables et pères de familles bien respectés et respectables. Le jour et lors des conférences, ces derniers sont les plus éloquents à fustiger les putes les traitants de tous les noms. Mais la nuit, tous les chats sont gris.
Nécessité ou simple folie?
Pauvreté, manque d’emploi, mariage raté ou problèmes avec les parents,… telles sont entre autres les causes déclarées de la prostitution. On remarque cependant que nombre de filles deviennent chasseuses de primes par leurs soifs insatiables pour les biens matériels. Elles veulent toujours être à la mode pour égaler Venus (la déesse de beauté). Et pour s’octroyer les fringues top modèles, elles s’offrent à tout appétit sexuel lucratif. Ainsi, à mesure que les besoins se crée, la prostitution prend corps chez nos sœurs. Et plus elles se prostitue, plus la jeune fille efface en elle ce qu’elle a de plus sacré et humain : sa vie et son honneur. Elle devient alors un vulgaire objet de plaisir, une simple gargoulette où n’importe qui peut venir puiser sa part de rafraîchissent.
L’atterrissage forcé
Aller s’éclater au boom, voler au septième ciel toutes les nuits, quel délice ! C’est la belle vie. On oublie la galère et la vie parait facile. Mais au bout de ces ébats se trouvent souvent de grandes désolations. La prostitution expose notre génération à des maladies dont les conséquences ne sont plus ignorées. « Rien qu’en pesant à ma cousine que j’ai vu mourir du SIDA, je frissonne et je crains d’avoir des cauchemars la nuit » déclare Madjé avant que deux grosses larmes ne viennent hachurer violemment ses belles joues.
Une minute de silence s’il vous plait. C’est l’heure de penser à tous les êtres chers qui nous ont quitté victimes de cette tragédie. Que leurs âmes reposent en paix. Et si leur cas devait nous servir d’AVERTISSEMENT
Par MINI-MINI Médard
(Reportage Paru dans le RAFTGUI Presse jeunes N°12 de Février – Mars 2002


http://www.pressegauche.org/spip.php?article19253


Elles ont fait reculer l’industrie du sexe !

Le modèle nordique


Sous la direction de Trine Rogg Korsvik et Ane Stø
Préface de Julie Miville-Dechêne,
présidente du Conseil du statut de la femme du Québec
– postface de Claudine Legardinier.
• Un enjeu important pour le Canada et le Québec.
• Le modèle nordique d’abolition de la prostitution : criminalisation des responsables de la prostitution d’autrui, les prostitueurs et les proxénètes.
• Comment lutter contre l’exploitation sexuelle ? Quelle stratégies déployer ?
En quoi le modèle nordique s’avère-t-il efficace pour combattre la prostitution, une industrie basée sur l’inégalité sociale, raciale et de sexe ? Depuis le 19e siècle, le mouvement féministe lutte pour l’abolition de la prostitution parce qu’elle est une institution qui pérennise l’ordre sexuel patriarcal. Ce livre brosse un portrait vivant de cette lutte dans les pays nordiques. En Suède, en Norvège et en Islande, les féministes ont réussi à faire adopter des lois pénalisant l’achat de services sexuels et le proxénétisme tout en décriminalisant les personnes prostituées. Le modèle nordique reconnaît que ceux qui payent pour du sexe – les prostitueurs – sont responsables de l’existence et du développement de ce qui est devenu une véritable industrie mondialisée. Ce modèle est actuellement étudié et discuté dans le monde entier. À quoi bon multiplier les objectifs de lutte contre les violences masculines ou le sexisme dans nos sociétés si le droit de les fouler au pied reste préservé dans la prostitution ? Comment ne pas interroger, après le droit de cuissage et le harcèlement sexuel (accès sexuel obtenu par le pouvoir), après le viol (obtenu par la force), la prostitution comme droit obtenu par l’argent ? Dans le modèle nordique, le corps n’est pas une marchandise et la prostitution constitue une atteinte à la dignité humaine.
Les lois criminalisant les prostitueurs ne sont pas tombées du ciel : elles sont le résultat de décennies de lutte de la part des féministes des pays nordiques. Dans ce livre, des militantes font état de leur combat pour abolir la prostitution. Elles nous expliquent en quoi consiste cette lutte et nous fournissent des indications précieuses sur les stratégies adoptées par leur mouvement, les alliances qu’elles ont tissées et les adversaires qu’elles ont dû combattre. Elles y dévoilent en particulier le rôle et la fonction du lobby favorable à la prostitution d’autrui et déconstruisent la légende selon laquelle le modèle nordique porterait préjudice aux personnes prostituées.
SOMMAIRE
Préface, Julie Miville-Dechêne
Introduction, Trine Rogg Korsvik et Ane Stø
La loi suédoise Kvinnofrid : ce que l’on sait de la violence masculine contre les femmes, Anna Jutterdal
Récit d’une lutte populaire, AstaHåland et Ane Stø«
Les choses ne sont pas toujours ce qu’elles paraissent » – rhétorique et politique dans le débat sur la prostitution, Anne Kalvig
Michetons et militantes dans la région same, Marit Smuk Solbakk
Les « féministes radicales » et le différend sur la prostitution, Tove Smaadahl
La lutte dans le parti gouvernemental pour la pénalisation des prostitueurs, Kirsti Bergstø
Une saga islandaise : la lutte pour criminaliser l’achat de services sexuels, Kolbrun Halldórsdóttir
Prends position, mec !, Hanne Helth
Prostitution et valeur commerciale des jeunes, Rachel Moran
La croisade du lobby pro-prostitution, Ane Støet Asta Håland
Appendice, Témoignage, Rebecca Mott
Postface, Claudine Legardinier
LES CODIRECTRICES
Trine Rogg Korsvik est une historienne norvégienne spécialisée dans l’histoire des mouvements de femmes. Sociologue, Ane Stø est la directrice du Groupe féministe norvégien
Kvinnegruppa Ottar (Groupe des femmes Ottar).
Julie Miville-Dechêne, la présidente du Conseil du statut de la femme du Québec, signe la préface, et la journaliste Claudine Legardinier la postface.
Traduit de l’anglais par Martin Dufresne
Coédition avec Syllepse (Paris)
m.editeur@editionsm.info
www.editionsm.info/
Personne ressource : Richard Poulin
Elles ont fait reculer l’industrie du sexe
 !











http://www.people-looks.com/7613/Sexe-2014-ete-hot-rire-au-cinema-Sophie-Tal-Zlatan-Laetitia-Letizia/2014-07-23


Mercredi, 23 Juillet 2014


Sexe 2014, été hot, rire au cinéma, Sophie, Tal, Zlatan, Laetitia, Letizia…

Revue de presse

Photo Précédente

Les Inrockuptibles et hors série de Public en kiosque cette semaine

Photo Suivante
Le sexe en 2014 et cet été en particulier, c'est LE SUJET de saison, cover-star du double numéro des Inrocks et du hors série de Public, avec Nabilla et Thomas en couverture.
Le succès des comédies françaises au cinéma fait l'objet de dossiers dans Télérama et Télé 2 semaines. Le nouveau départ de Sophie Marceau et Tal guest star du dixième anniversaire de Plus Belle La Vie font la une d'autres magazines télé.
Laetitia Casta a reçu Madame Figaro en Corse. Letizia d'Espagne est la reine star du gotha de l'été 2014. Hillary Clinton succède à une autre First Lady américaine à la une de Vanity. Julie Gayet ne sera pas cachée cet été, Zlatan sexy, la mode de l'audace chez Vogue Paris, notre mini kiosque par ici :


(Z.G)



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Nabilla Benattia Nabilla et Thomas passionnés, nouveau bébé...
Florence Foresti rédac chef, Nabilla et son...
Nabilla libérée, le séjour en prison de la...
Miss France 2015 et ses secrets, Nabilla...
Jenifer et bébé Joseph, Nabilla 1e photos en...







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https://lesbeauxlivres.files.wordpress.com/2012/05/sex-press-image.jpg






http://titrologie.imatin.net/journal/hebdomadaire/jeune-afrique/12725_sexe-business.html

Sexe business



http://www.france24.com/fr/20140327-2114-revue-presse-inter-ukraine-obama-ue-gaz-schiste-malaisie-mh370-secret-service-miami/



http://www.viva.presse.fr/les-maladies-ont-elles-un-sexe-170211

Maladies

Les maladies ont-elles un sexe ?

Les hommes et les femmes ne réagissent pas de la même manière face à la maladie et aux traitements. Et pourtant, c’est plus souvent sur les hommes que portent les recherches…


Par
Brigitte
Bègue
 
 

Les maladies ont-elles un sexe ?

© Mathilde Aubier
Dès la conception, hommes et femmes sont différents. Sur nos 23 paires de chromosomes, c’est celle des chromosomes sexuels – XX pour les filles et XY pour les garçons – qui change tout. Cette différence est « à l’origine des organes et des caractères sexuels propres à chaque sexe », comme l’écrit Peggy Sastre, docteure en philosophie des sciences, dans le Sexe des maladies (éd. Favre, 15 euros), et elle influe aussi sur l’expression de nombreux autres gènes qu’hommes et femmes ont en commun.
« Dans le foie, 70 % des gènes ne s’expriment (1) pas au même niveau selon le sexe, dans les muscles, c’est 30 %, déclare Claudine Junien, professeure de génétique médicale. La plupart de ces différences biologiques sont minimes, mais, additionnées les unes aux autres au cœur de nos cellules, ça devient important. » Et ces différences peuvent être déterminantes. Elles pourraient expliquer notamment pourquoi il y a quatre à cinq fois plus d’autistes garçons que filles, neuf fois plus de femmes atteintes de lupus et davantage de filles touchées par les maladies auto-immunes, pourquoi, à consommation équivalente de tabac et âge identique, les femmes ont plus souvent un cancer du poumon ou encore pourquoi les signes avant-coureurs d’un infarctus ne sont pas les mêmes…
C’est ce qui fait aussi que les médicaments agissent différemment selon le sexe. Dans son numéro d’août 2014, Science & Vie a montré que, à dose égale, l’organisme féminin élimine les psychotropes plus lentement que le masculin, qu’il suffirait d’une demi-dose de vaccin pour que les femmes soient protégées de la grippe contre une dose pour les hommes, que l’aspirine prévient plutôt la crise cardiaque chez les hom­mes et l’Avc chez les femmes…, ce qui, selon le magazine, devrait entraîner une différence de prescription de ce médicament.
La réponse aux traitements est également différente : une étude menée en Allemagne a révélé que, quel que soit le médicament, les femmes ont deux fois plus d’effets secondaires que les hommes. Les différences de métabolisme ne sont pas l’unique raison : à l’exception des troubles exclusivement féminins (ménopause, problèmes ovariens, etc.), les femmes sont les grandes oubliées de la recherche. « La majorité des essais cliniques sont réalisés sur des hommes et n’incluent qu’environ 30 % de femmes, c’est donc quand la molécule est commercialisée que l’on s’aperçoit de ce qu’elle produit sur l’organisme féminin », souligne Claudine Junien. Quant aux tests de laboratoire sur des animaux, les femelles y sont largement sous-représentées. Actuellement, seule une étude sur cinq s’intéresse aux deux genres. Motif : le cycle ovarien des femelles pourrait faire varier les résultats. Difficile aussi de tester de nouveaux produits sur des femmes en âge de procréer sans exiger qu’elles prennent une contraception, une femme enceinte devant éviter de prendre des médicaments.
« Le dimorphisme sexuel (2) n’est pas étudié, c’est dommage, car c’est un moyen de faire avancer la recherche et de mettre en évidence les facteurs de résistance ou, au contraire, de susceptibilité à une maladie et de mieux traiter les hommes et les femmes », regrette la généticienne. Les choses sont toutefois en train de changer. L’Institut national de la santé américain (Nhi) a décidé de ne plus financer les travaux qui ne rendraient pas compte des différences de sexe. Les contrats de recherche européens sont également en train de suivre le mouvement.
(1) L’expression des gènes est l’ensemble des processus par lesquels l’information qu’ils stockent est lue pour fabriquer les molécules qui auront un rôle actif dans le fonctionnement cellulaire.
(2) Ensemble des différences morphologiques entre les mâles et les femelles d’une même espèce.
Interview

« La parité, c’est que les femmes soient mieux soignées »

Entretien avec Claudine Junien, professeure de génétique.
Faut-il aller vers une médecine différenciée ?
Pour cela, il faudrait tenir compte des différences biologiques entre les hommes et les femmes, dans les études cliniques, et, si nécessaire, ne pas prendre en charge l’un et l’autre sexe de la même manière. En Suède et en Allemagne, les hommes et les femmes souffrant de maladies cardiaques sont d’ores et déjà accueillis dans des services distincts. Les Pays-Bas et l’Italie sont aussi ouverts à cette problématique, mais, en France, ces idées passent mal. On a une position complètement arriérée sur ce sujet.
Pourquoi ?
C’est difficile à comprendre, mais l’objectif de parité entre les hommes et les femmes y est certainement pour quelque chose. C’est dommage, car en niant ces différences, les femmes
sont négligées. Or, la parité, c’est qu’elles soient aussi bien soignées que les hommes.
Aux Etats-Unis, dans les années 1990, la Fda, l’agence américaine du médicament, a proposé
une formulation différente pour un somnifère, le Stilnox, dont il est prouvé qu’il se métabolise
deux fois moins vite chez les femmes et qu’elles sont trois fois plus nombreuses à somnoler quand elles en prennent. Cela n’a pas pu se faire car les féministes se sont insurgées en disant que c’était discriminatoire. Il faut dire que le laboratoire voulait faire un flacon bleu et un rose…

Selon le genre, des troubles distincts

Le système digestif
L’estomac des hommes se vide plus rapidement que celui des femmes mais, faute de progestérone,
il sécrète davantage d’acidité, ce qui les expose aux ulcères gastriques. Le cancer du pancréas frappe trois fois plus les messieurs que les dames. En revanche, les calculs à la vésicule biliaire sont plus fréquents chez les femmes. C’est pareil pour le syndrome du côlon irritable, qui concerne deux fois plus de filles et qui, hasard ou pas, était considéré jusqu’à il y a peu comme une maladie psychosomatique. Quant au cancer colo-rectal, si les hommes y sont un peu plus sujets que les femmes, il représente quand même le troisième cancer féminin.
La peau et les os
Les os diffèrent entre les sexes, et les femmes sont plus souvent atteintes d’arthrose : elles ont moins
de cartilage, leurs articulations s’usent donc plus vite. Après la ménopause, elles ont moins d’œstrogènes et perdent de la densité osseuse, d’où le risque d’ostéoporose. Un tiers des hommes sont concernés aussi par ce trouble. Mais l’ostéoporose est encore associée aux femmes et, pour une fois, les traitements sont inadaptés aux hommes. En ce qui concerne la peau, jusqu’à 6 mois, les garçons ont plus d’eczéma que les filles, c’est l’inverse à partir de 3 ans et jusqu’à l’adolescence. De même, l’acné est plus répandue chez les jeunes garçons mais prédomine chez les femmes à l’âge adulte. Et, entre 1980 et 2012, en France, le nombre de cancers de la peau a augmenté deux fois plus rapidement chez les hommes que chez les femmes et ils en meurent plus souvent. Explication ? Les femmes se font mieux dépister et leurs lésions métastasent moins.
Le cerveau
Le cerveau des garçons est 15 à 20 % plus gros que celui des filles, « parce qu’ils ne réussissent pas à élaguer des neurones excédentaires et/ou défectueux au cours du développement », écrit Peggy Sastre. Ce qui les prédisposerait à un risque plus élevé de maladies développementales, apparaissant durant l’enfance. A contrario, les femmes ont moins de cellules pour « compenser » certaines lésions apparaissant avec l’âge, comme celles de la maladie d’Alzheimer, dont l’incidence est plus élevée chez elles. Les hommes sont également plus souvent atteints de tumeurs du cerveau et l’autisme touche quatre fois plus de garçons que de filles sans que l’on sache vraiment l’expliquer. En revanche, les femmes sont deux fois plus souvent victimes de dépression, avec un pic avant la ménopause. En cause, la sérotonine, un neurotransmetteur qui régule l’humeur et varie en fonction du cycle menstruel.
Le cœur 
Longtemps considéré comme une maladie masculine, l’infarctus du myocarde commence à faire parler de lui au féminin. Et pour cause : les maladies cardio-vasculaires représentent désormais la première cause de mortalité chez les Françaises de plus de 65 ans. Elles sont pourtant encore sous-diagnostiquées. On sait aujourd’hui, en effet, que les symptômes de la crise cardiaque ne sont pas forcément semblables chez les hommes et les femmes : chez elles, des douleurs gastriques ou abdominales, des nausées… peuvent prendre le pas sur des douleurs thoraciques, moins intenses, plus vagues, que chez les hommes. Résultat : elles sont 29 % à bénéficier d’un électrocardiogramme dans
les dix minutes, contre 38 % des hommes. Or, le cœur des femmes est fragile, d’abord parce que leurs artères sont plus fines que celles des hommes et que, après l’âge de 50 ans, il n’est plus protégé par les hormones. Et la progression du tabagisme, de la sédentarité, du stress, du surpoids sont des facteurs de risques supplémentaires.







http://www.pubenstock.com/2014/aides-capote-sexe-campagne-prevention-presse-affichage-tv/


AIDES pour ses 30 ans sort une campagne diffusée sur de nombreux médias pour sensibiliser le grand public au geste de prévention le plus important contre le sida : le port du préservatif.
Depuis 1984, l’association AIDES lutte contre le sida en France et en Europe. Avec l’arrivée de la trithérapie, les comportements se sont relâchés, c’est pourquoi l’association insiste sur le port du préservatif qui reste le moyen le plus sûr de se protéger. Certains chiffres montrent que ce fléau touche tout le monde : C’est à 37 ans en moyenne que l’on découvre sa séropositivité, une part de plus en plus importante des plus de 50 ans est victime de ce virus depuis 2009, 37% des nouvelles contaminations touchent la communauté homosexuelle. En France, 2 jeunes de 15 à 24 ans sont touchés chaque jour.
Afin de sensibiliser une fois de plus, le grand public sur l’importance du port du préservatif, l’agence TBWA\Paris a construit toute une campagne qui se décline en télévision, presse et affichage. Une campagne montrant des personnes dénudées en train de s’occuper de manière pas très enthousiasmante : écossage de petits pois, tricot, puzzle, enfilage de perles. Il est clair qu’avec un préservatif la fête serait bien plus folle !
Tous les profils de cibles sont traités : Les jeunes hétérosexuels, homosexuels, il y a même un plan à 3 et un couple de seniors. La force de cette campagne est qu’elle ne moralise personne mais transmet un message fort avec humour : « Pas de préservatif, pas de sexe ». Le sexe étant bien plus palpitant que les activités qui nous sont présentées.
Cette campagne sera lancée dès aujourd’hui en TV (TF1, Canal+, Planète…), en affichage 4×3, en presse mais aussi sur le web.
Les affiches 4×3
Les annonces presse
Les spots
Perles

http://www.pubenstock.com/2014/aides-capote-sexe-campagne-prevention-presse-affichage-tv/

http://www.fpjq.org/presse-jeunesse-les-medias-pour-jeunes-ont-il-un-sexe/


Presse jeunesse : Les médias pour jeunes ont-il un sexe?



Par Marie-Andrée Amiot
Si les filles ont l’embarras du choix quand vient le temps de trouver un magazine à leur image, les garçons sont moins gâtés. «Ça n’existe pas des magazines seulement pour garçons», affirme tout de go Félix Maltais, éditeur du magazine scientifique pour enfants Les Débrouillards, qui compte presque autant de lectrices que de lecteurs. Les Québécoises de 9 à 19 ans peuvent feuilleter Cool, Adorable, Filles d’aujourd’hui et Elle Québec Girl, sans compter la ribambelle de magazines français et américains qui leur servent les potins d’artistes ou la recette miracle pour attirer le garçon de leurs rêves. Les gars n’ont à peu près rien. Mais ils ne s’en plaignent pas : la lecture ne les attire pas beaucoup et, quand ils lisent, ils préfèrent les romans aux magazines. Voilà du moins ce qu’affirment leurs parents, les bibliothécaires, les enseignants et les marchands de journaux!
Au dire d’éditeurs québécois, il serait suicidaire de publier un magazine pour eux. D’ailleurs, il n’est jamais venu à l’esprit de l’équipe d’Elle de se lancer dans l’édition masculine. «Ce n’est certainement pas un marché que j’attaquerais», confie Suzanne Goudreau, rédactrice en chef d’Elle Québec et du tout nouveau Elle Québec Girl. L’équipe de Filles d’aujourd’hui abonde dans ce sens. «Chaque fois qu’on a lancé un magazine généraliste pour hommes, les résultats ont été si décevants qu’on l’a retiré du marché», acquiesce Francine Trudeau, rédactrice en chef. Les plus célèbres, Homme et Nous, ont disparu sans laisser de traces.
Chez les filles, c’est tout le contraire. Soixante-quatorze pour cent des jeunes filles lisent très souvent des magazines, selon un rapport du Conseil du statut de la femme publié au printemps. Les maisons d’édition multiplient donc les magazines féminins. «Le marché des femmes est surreprésenté car, petites ou grandes, elles adorent le format magazine», précise Anne Darche de la maison montréalaise Allard-Johnson qui évalue les tendances.
Quels médias attirent les garçons? Les plus jeunes, jusqu’à 12-13 ans, se passionnent pour les périodiques dérivés de la BD (Spirou, Le Journal de Mickey, Kid Spaddle). Selon Marie Désilets, bibliothécaire responsable de la Centrale Jeunes à la Ville de Montréal, les jeunes aiment rire et s’amuser. Les sciences les intéressent aussi. Un peu plus de la moitié (55 %) des 40 000 lecteurs des Débrouillards sont des petits garçons de 9 à 12 ans. Les adolescents, s’ils lisent, achètent des revues spécialisées sur un sujet qui les allume : le sport, l’automobile, l’informatique, la musique, les jeux vidéo. Plus tard, ils choisissent les quotidiens et les périodiques qui traitent d’actualité. «Ce sont les mêmes que ceux lus par les hommes. Il n’y a donc rien de conçu spécialement pour eux», ont répété les personnes interviewées.
Mais les garçons ne dédaignent pas complètement le magazine pour filles. Comme leurs aînés, ils l’empruntent souvent. Selon Anne Darche, jusqu’au tiers du lectorat de certains magazines pour filles est en fait constitué de garçons. «Chez Filles d’aujourd’hui, par exemple, 33 000 des 36 000 exemplaires sont vendus par abonnement. Or, plusieurs garçons consultent le magazine qui traîne à la maison même si les sujets traités sont très féminins : courrier du cœur, maquillage, vedettes, mode, etc.» Peut-être préfèrent-ils les articles aux photos?
                                                -30-
Marie-Andrée Amiot est journaliste à La Presse.
_________________________
Vol. 26, no 9, octobre 2002


http://rue89.nouvelobs.com/rue69/2010/06/23/la-presse-a-t-elle-un-sexe-155645


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La presse a-t-elle un sexe ?

Camille | Mauvais genre



Des naturistes devant un rayon de magazines, dans le sud de la France, le 5 août 2009 (Régis Duvignau/Reuters).
Les magazines genrés nouvelle vague (Grazia, FHM, Envy, Men’s Health...), ou du canal historique (Marie Claire, Newlook), m’ont toujours posé problème. Depuis le début de ce blog, j’ai envie de lancer un débat sur ces magazines, sans jamais savoir par quel bout le prendre. Jusqu’à découvrir le site Web d’info généraliste Les Nouvelles News, dont le parti-pris est de parler à part égale des hommes et des femmes. Entretien avec sa fondatrice, Isabelle Germain.
Que pensez-vous des magazines genrés ?
Ils reproduisent et amplifient les stéréotypes de genre. Les nouveaux masculins, par certains côtés, sortent les hommes de la caverne en leur apprenant à prendre soin d’eux, mais ils ont de très faibles audiences. Dans la caverne, les hommes lisent plus volontiers L’Equipe ou « auto-moto-bidule » qui leur tient lieu de magazine genré.
Les féminins, eux, ont de très larges audiences [quand je lis que Biba émarge à 300 000 vendus, j’ai peur, ndlr] et livrent un prêt-à-penser/prêt-à-adhérer-aux-clichés.
Aux femmes, la mode, la beauté, la cuisine, les enfants ; aux hommes, le sport et les loisirs.
La presse féminine propose aux femmes un modèle de canon, superwomen, mère parfaite, cuisinière hors pair, décoratrice d’intérieur et ménagère, amante merveilleuse, sexy en diable... auquel elles ne peuvent ressembler. Donc, elles culpabilisent, perdent confiance en elles. Ronger l’estime de soi est le plus sûr moyen de soumettre un individu.
Faut-il brûler tous les magazines féminins ? Non, parce qu’en même temps, ils ont un côté léger, sympa, ils font rêver Cro-Magnonne au fond de sa caverne, bien peu encline à se morfondre sur sa condition de femme. Et après tout, elle est peut-être plus heureuse ainsi que les intellos tourmentées...
A noter, une différence de taille entre les féminins et les masculins. Pour elle, LA question centrale est : comment être la plus belle pour aller danser, lui plaire, l’exciter, le séduire, ne pas me le faire piquer par une rivale... Il y a même des magazines pour adolescentes qui expliquent comment réussir une fellation, au cas où elles n’auraient pas bien compris que leur raison d’être est de donner du plaisir à l’homme.
Pour lui, il y a un peu de ça aussi, ces magazines se demandent parfois comment la faire jouir. Mais le gros des pages sexe ressemble à la foire aux bestiaux avec force dossiers illustrés sur la femme la plus sexy, les plus beaux seins, les plus belles croupes...
Dans la presse féminine, elle apprend à lui plaire, se fait toute belle avec un bolduc autour de la tête ; dans la presse masculine, il choisit son cadeau.
D’où est venu ce constat que si la presse féminine rencontre un grand succès, c’est parce que les femmes ne peuvent pas s’identifier à la presse « standard » où le masculin est hyperreprésenté ?
Dans la presse d’information générale, la sérieuse, celle qui donne au citoyen les moyens de sa citoyenneté, les femmes sont sous-représentées et stéréotypées.
Sous-représentées : elles ne comptent que pour 18 % des personnes citées, les pages sport et économie aggravant ce phénomène.
Stéréotypées : femme de, fille ou mère du monsieur dont on parle, victime ou anonyme -une passante, une vieille dame, tandis que monsieur a souvent un nom, un prénom, un titre ronflant.
Du coup, elles ne se sentent pas vraiment concernées, et boudent ces journaux. L’info générale, c’est un truc de mec. La plupart de ces journaux ont une audience masculine à plus de 60%... Y compris les nouveaux pure players.
Votre constat, c’est que les hommes détiennent aujourd’hui le pouvoir politique et financier et laissent aux femmes le pouvoir domestique. L’information doit-elle représenter l’actualité de cette répartition ou précéder son évolution ?
Elle doit au moins refléter l’évolution. Aujourd’hui, l’information renvoie de la société une image bien plus sexiste qu’elle ne l’est en réalité. Et, comme disent les sociologues, chacun d’entre nous se conforme à ce qu’il voit dans les médias et en s’y conformant, le confirme.
En regardant dans le détail les chiffres des enquêtes sur l’image des femmes dans les médias, on voit par exemple que lorsqu’on interroge des retraités sur des sujets d’intérêt général, ce sont très majoritairement des hommes qui s’expriment alors que dans la vraie vie, il y a beaucoup plus de femmes que d’hommes retraités.
Idem pour la population cadre. A peu près 45% des cadres sont des femmes, mais dans les médias on ne voit que 8% de femmes parmi les cadres.
A la radio, sur 25 minutes de parole données à des « experts », 24 sont offertes à des hommes. L’info généraliste reste donc loin d’illustrer la réalité d’aujourd’hui.
Dans Les Nouvelles News, je ne sais pas si on précède une évolution, mais on présente une info garantie sans stéréotype sexiste. En ce sens, c’est de l’info engagée.
Mes commentateurs disent parfois que je nie les différences entre hommes et femmes quand je remets en cause les stéréotypes de genre. Vous interdisez-vous de traiter des sujets trop « genrés » pour ne pas faire de démontage de clichés ?
Il nous arrive de dénoncer des clichés à travers nos articles, mais ce n’est pas le cœur de notre propos. La parité, l’égalité hommes/femmes, nous ne voulons pas nous contenter d’en parler, nous voulons la mettre en pratique à travers le traitement de l’info que nous proposons.
Notre magazine d’info est en lui-même une remise en question des stéréotypes sexistes. Il ne théorise pas dessus, il met en pratique.
Exemple : quand nous faisons un sujet sur la parentalité, nous mettons en photo un homme avec ses enfants. Le concept est long à expliquer, à installer, mais je suis patiente.
Aller plus loin


http://rue89.nouvelobs.com/sites/news/files/styles/asset_img_full/public/assets/image/2010/06/2406_Presse_inside.jpg


http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19539614&cfilm=41116.html


http://next.liberation.fr/sexe/2012/05/07/sexpress-la-compil-sexuelle-de-la-presse-underground_817017?photo_id=421527




Le magazine «The East Village Other» est lancé en 1965 à New York et s'amuse via des illustrations psychédéliques à jouer avec les codes de la censure alors en vigueur. Sexe, drogue, alcool, armes à feu, tout y passe.
«Sexpress», aux éditions La Martinière.


«Sex Press», la compile sexuelle de la presse underground

(Mis à jour : )

Le livre de Vincent Bernière et Mariel Primois présente 200 pages d'illustrations de la presse underground entre 1965 et 1975, de New York à Los Angeles en passant par Londres, Paris et Sydney. Diaporama de quelques unes, photos et dessins mémorables.


Le magazine «The East Village Other» est lancé en 1965 à New York et s'amuse via des illustrations psychédéliques à jouer avec les codes de la censure alors en vigueur. Sexe, drogue, alcool, armes à feu, tout y passe. «Sexpress», aux éditions La Martinière.




http://www.persee.fr/renderPage/colan_1268-7251_1968_num_21_1_5083/0/710/colan_1268-7251_1968_num_21_1_T1_0041_0000.jpg



http://www.persee.fr/renderPage/colan_1268-7251_1968_num_21_1_5083/0/710/colan_1268-7251_1968_num_21_1_T1_0041_0000.jpg






http://www.lemeilleurdelapresse.com/sexe/


Publié le 14 décembre 2014 à 08h00 | Mis à jour le 14 décembre 2014 à 08h00

Histoires de baise

Non, ça n'est pas (plus) qu'une fantaisie de jeunes en quête de nouveauté,... (PHOTOMONTAGE LA PRESSE)
PHOTOMONTAGE LA PRESSE
Non, ça n'est pas (plus) qu'une fantaisie de jeunes en quête de nouveauté, sans, surtout, surtout, avoir à s'engager. À tous les âges nous vient un jour (un soir?) l'idée de coucher, pourquoi pas, avec un(e) ami(e). Celui (celle)-la qu'on aime déjà, avec qui on partage une certaine complicité, plus ou moins exploitée. Pour le meilleur, mais aussi pour le pire. Récits. Avis. Et mode d'emploi.
Non, ça n'est pas (plus) qu'une fantaisie de jeunes... (PHOTOMONTAGE LA PRESSE) - image 2.0
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FUCK FRIEND, MODE D'EMPLOI

Tout le monde, ou presque, a une histoire d'un soir, de quelques semaines, voire d'une vie, avec un ami. Certaines ont été merveilleuses, d'autres ont terriblement mal fini. Et d'autres, enfin, durent encore, parce qu'elles se sont transformées. L'ami, devenu amant, est devenu amour. Oui, c'est cliché, mais c'est ainsi. Exactement comme à Hollywood.
En effet, le sujet est archi exploité au cinéma. De When Harry Met Sally à The F Word, en passant par Sex Friends ou Friends With Benefits, le thème alimente à qui mieux mieux les comédies à l'eau de rose. Pour cause : il est non seulement très commun, mais hyper controversé. Alors, bonne ou mauvaise idée ?
À la lumière de nos discussions, il semble y avoir trois cas de figure.
LA TRÈS MAUVAISE IDÉE
« Les vraies grandes amies que j'ai eues dans ma vie, ça a fini en relations sexuelles. Et c'était une très mauvaise idée, parce qu'il est impossible de maintenir la relation d'amitié par la suite », lance Maxime, 27 ans. Visiblement, il n'est pas le seul de cet avis.
« Ça m'est arrivé. Et c'était une mauvaise chose. On ne se côtoie plus. Mon ami a eu envie de développer une relation, pas moi », raconte Marianne, 28 ans.
C'est d'ailleurs ce qui est arrivé à Sophie, 28 ans, qui est littéralement tombée amoureuse de son ami. Lui, pourtant, avait été très clair. « Il ne voulait pas de blonde. » Du coup, ils se sont mis à « se voir », bref, se texter régulièrement pour baiser, quasi dans l'instant. « Et la minute qu'on a couché ensemble, c'est devenu que ça. »
LA TRÈS BONNE IDÉE
À l'autre extrême, plusieurs ont aussi développé de très belles relations avec des amis. C'est le cas de Rémi, 31 ans. « Une amie avec qui je couchais est devenue ma blonde. Avec elle, il y avait une barrière qui était déjà tombée. »
Même son de cloche de la part d'Anne, 43 ans, en couple depuis pas moins de 17 ans avec un homme qui n'était à la base que son ami. « On avait une complicité. Ça a tout rendu facile. C'est comme si ça allait de soi. »
De soi? « Avec un ami, on dirait qu'on a peut-être moins de pudeur, notre amitié était basée sur l'humour, et on a transposé ça dans notre sexualité. »
L'EXCELLENT PLAN CUL
Pour Mimi, 50 ans, officiellement lesbienne, mais bi à ses heures (« je préfère les femmes, mais j'adore les hommes! »), coucher avec un ami, c'est tout simplement « the best! ». « Dommage que ce ne soit pas plus fréquent! »
C'est aussi avec des amis hommes qu'elle dit avoir eu les meilleures expériences du genre. « Coucher avec mes amies filles? On est trop proches. La ligne est trop mince. Tout de suite, on se demande si on veut une relation », déplore-t-elle. Avec les hommes? « Le sexe est plus facile. Ils ont appris à dissocier la sexualité de l'amour, croit-elle. C'est pour ça que j'ai un penchant pour les hommes. »
« Ça a quelque chose d'hygiénique. Mais c'est sûr qu'il faut être avec des gens matures. »
- Mimi, 50 ans
DE PLUS EN PLUS FRÉQUENT
La sexologue Sophie Brousseau voit de plus en plus de gens, début quarantaine, séparés, qui se retrouvent à fréquenter des « sex friends » et autres « amis VIP ». « Ils ont des besoins sexuels mais ne veulent pas s'engager de peur d'avoir de la peine. » Ce qu'ils cherchent? « De l'affection, après une peine d'amour. »
Son avis? « Bien sûr, cela satisfait certains besoins. On a tous une libido, un besoin d'affection, mais il faut que ce soit clair entre les deux. Parce que des fois, il y en a un qui tombe amoureux... »
Il faut dire que l'ami a le grand avantage d'être un terrain plus ou moins connu. Pas de bibittes ou de cadavres dans le placard à l'horizon.
« On est confortable avec un ami. Le risque, c'est qu'on peut aussi perdre un ami. »
« Est-ce que ça vaut la peine de perdre un ami pour du sexe? »
- Sophie Brousseau, sexologue
De son côté, la sexologue et auteure française Catherine Solano ne comprend pas trop le phénomène.
« Coucher avec quelqu'un comme si c'était un objet, ça n'est jamais une bonne idée », tranche-t-elle. D'où sa nuance : « On peut avoir une relation avec un ami. Cela peut être beau, même si c'est bref. » Avis aux intéressés : « On dit aussi que les meilleurs couples étaient à la base des amis », signale-t-elle. Ils seraient plus solides, explique la sexologue, à comparer aux couples qui se construisent sur des bases purement sexuelles, qui peuvent, disons, manquer de substance à long terme.
UNE « VUE DE L'ESPRIT »
Avec un ami, poursuit Catherine Solano, il y a a priori une certaine communion sur différents plans. « Ce n'est pas que sexuel, vous partagez des choses intellectuellement, artistiquement, la relation sera donc beaucoup plus riche. »
Et ne nous leurrons pas, signale-t-elle. Car qui dit relation sexuelle dit forcément, éventuellement, attachement.
« Le sexe crée un attachement, c'est fait pour ça! »
- Catherine Solano, sexologue
« On dit beaucoup que c'est l'ocytocine qui est l'hormone de l'attachement. Donc à chaque orgasme, vous vous attachez. C'est un attachement physiologique. Donc dire qu'on reste ami, c'est une vue de l'esprit. Ça n'est pas la réalité! »
D'où sa question : « À partir du moment où l'on s'entend bien amicalement et sexuellement, pourquoi ne pas sortir ensemble? On est arrivé à un truc très bizarre, comme si l'amour était tabou. Le sexe n'est plus tabou, mais l'amour l'est... »
FUCK FRIEND : 5 RÈGLES D'OR
1. On est très clair, dès le départ, sur nos attentes
2. On ne reste pas à dormir
3. On ne présente pas l'autre à sa famille
4. Si on fait une sortie ensemble, on ne s'affiche évidemment pas. Pas de tendresse. Pas de baiser. Vous n'êtes pas un couple, souvenez-vous.
5. On n'oublie jamais qu'il est toujours possible que l'un ou l'autre tombe amoureux de l'autre, ou surtout, de quelqu'un d'autre. Cela fait partie des règles du jeu.
Source : Sophie Brousseau, sexologue

LE MEILLEUR ET LE PIRE

Il y en a des bonnes et des moins bonnes. Et dans les deux cas, on a tendance à s'en souvenir longtemps. Peu importe le résultat, cela fait aussi de bonnes histoires à raconter. À vous de juger...
LES BONNES HISTOIRES DE MAUVAISE BAISE
« Ça fait très longtemps, j'étais à l'université. J'ai rencontré un gars. Il était super beau, ça n'avait pas de bon sens. Je ne sais toujours pas comment j'étais arrivée à coucher avec. Et puis dans le feu de l'action il m'a dit : j'aimerais ça te faire l'amour comme une femme... Tu vas voir, je vais être doux... Moi je lui ai dit : mais non, maudit bâtard! Attends chéri, mais ça n'a rien à voir! Il voulait tellement m'impressionner. Mais euh, tu es dans mon lit chéri, pis tu es un homme! »
« J'avais 20 ans. J'étais dans une auto, avec un chum récent. On était vraiment dedans. On était à côté d'une usine d'épuration d'eau, il y avait un petit interdit, bref, on se pouvait plus. Et là... les policiers sont arrivés! Mademoiselle, êtes-vous correcte? Ça t'arrête assez net... »
« Avec mon ex, elle voulait faire la grande affaire romantique avec des chandelles et de la musique. C'était juste trop. Ça m'a "turné off". Ça ne me tentait pas pantoute. On est partis à rire et finalement, on a fait autre chose... »
« Oh! Vous n'avez pas eu la chance de tomber sur le micropénis, vous... Ça m'est arrivé deux fois. Et... il faut que tu fasses semblant que ce n'est pas un micropénis! »
« J'étais allée voir mon chum en Europe. J'avais fait le voyage exprès pour le voir. J'étais là deux semaines. Mais il n'avait pas de job. Lui, il faisait l'amour. Mais pas moi... Il fallait toujours que j'aille me finir la job... C'était vraiiiiiiiment pas le fun... »
LES BAISES MÉMORABLES
« Bon, c'est un peu weird. C'était avec mon ex. Le sexe était toujours un peu bestial, rough, à la limite de la porno. Et puis un jour je me suis retrouvée à l'hôpital à cause d'un énorme torticolis. Et là, tout à coup, il a pris soin de moi. De retour à la maison, il m'a fait l'amour tellement dou-ce-ment. Il y avait de la tendresse, une jouissance extrême! C'est mon plus beau et gros orgasme à ce jour! Avec un torticolis! »
« Je venais d'apprendre que j'étais enceinte. De ma deuxième. Ce soir-là, on célébrait ça. Ça a été extraordinaire. Je m'en souviens encore. On pleurait les deux. On pleurait et on riait en même temps. »
« Cette fois-là, on n'a même pas fait l'amour. Il n'y a pas eu de pénétration. Mais on s'est découvert. Il y avait une vraie connexion physique et émotionnelle. On se touchait. Je l'aimais. Il y avait un vrai partage. »
« C'était avec un homme marié. Il trompait sa femme avec moi. Elle était partie en voyage. Et moi, je n'étais pas très à l'aise. On est allé chez lui, dans sa maison, il y avait les jouets de ses trois enfants par terre. Et moi je réalisais toute l'importance de ce qu'on faisait. J'ai compris bien des choses sur la fidélité, l'infidélité, ça m'a marquée. C'est avec cet homme-là que je suis devenue une femme. Tout d'un coup. »

UN BON COUP, C'EST...

Non, un bon coup, ça n'est pas une question de taille, de durée, ni même vraiment d'orgasme. C'est plutôt une affaire d'atmosphère, de complicité, de rire et de laisser-aller. En un mot : c'est quand franchement, on se sent s'abandonner...
« Un bon coup? C'est un mélange de tendresse, de bons préliminaires et de chimie. »
« C'est quelqu'un qui réussit à te sortir complètement de ta tête. Quand tu fais juste profiter du moment présent. Ce qui est assez rare. Ça n'arrive pas toutes les fois, en tout cas. »
« Ça n'est pas nécessairement dans la mécanique, mais plutôt dans le mood. »
« C'est un moment, il n'y a pas de standard. »
« C'est une complicité sexuelle, beaucoup dans le parler, les mots utilisés. »
« C'est l'état d'esprit. »
« Une personne sur la même longueur d'onde que moi. »
« C'est la vibe, le rire, moi le rire fait partie de la sexualité! »
« Un bon match, c'est quelqu'un qui te permet de te départir de tes tabous, de te laisser aller complètement. »
« C'est quand on fait quelque chose d'un peu subversif, une relation anale, l'amour dans une autre pièce. Quand on a des enfants et qu'on vit dans un 4 1/2, la salle de lavage, ça devient... quelque chose! »
« Quand je bande dans ma tête. »
« Quelqu'un qui ne va pas mentir sur la grosseur de sa graine, qui sera beau et charmant. Et qui ne cherche pas juste du sexe, finalement. »
« Je pense que c'est un abandon complet. Ça devient animal - pas au sens violent -, il y a une chimie, une communion. Être avec une femme qui ne va pas penser à la position de ses seins ou à son ventre pendant qu'elle fait l'amour. Une bonne baise, c'est une communion complète dans la communication. »
L'AVIS DE LA SEXOLOGUE SOPHIE BROUSSEAU
« Les plus beaux souvenirs sexuels sont souvent ceux qui nous ont fait vivre toutes sortes d'émotions, nous ont fait vibrer, c'est pourquoi ils sont plus marquants qu'un trip à trois, par exemple, où c'est mécanique, non sensuel et sans complicité entre les partenaires. Bien que nous entendons parler de toutes sortes de pratiques sexuelles, les gens ont, à la base, besoin de se sentir aimés, séduits, complices. [...] C'est pourquoi une personne peut être marquée par une relation sexuelle où tout semble s'arrêter, où une énergie sexuelle circule entre les deux partenaires. »


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Publié le 27 décembre 2014 à 08h01 | Mis à jour le 27 décembre 2014 à 08h01

Le cinéma L'Amour a 100 ans

L'édifice du cinéma L'Amour, qui s'est tour à... (PHOTO IVANOH DEMERS, LA PRESSE)
L'édifice du cinéma L'Amour, qui s'est tour à tour appelé Globe, Hollywood et Pussycat, a 100 ans cette année.
PHOTO IVANOH DEMERS, LA PRESSE

Silvia Galipeau
La Presse
Sans tambour ni trompette, le cinéma L'Amour a fêté ses 100 ans au mois d'octobre. Une occasion en or de tester vos connaissances sur ce bâtiment mythique et l'histoire de la censure au Québec, et de revisiter une salle que certains qualifient carrément de « patrimoniale ».

VRAI OU FAUX?

On passe devant depuis toujours. Machinalement, en remontant le boulevard Saint-Laurent. Sans jamais vraiment oser entrer. Il faut dire que le lieu a l'air minuscule, glauque et drôlement mal famé. Et pourtant. Cinq choses que vous devriez savoir au sujet de ce fameux cinéma.
1. LE CINÉMA L'AMOUR EST L'UN DES DERNIERS CINÉMAS PORNOS D'AMÉRIQUE DU NORD.
VRAI
Et surtout, le dernier cinéma tout court du boulevard Saint-Laurent, qui en a pourtant connu des dizaines au fil du XXe siècle. S'il reste encore quelques cinémas de quartier à Montréal (le Beaubien), peu ont gardé leur vocation d'origine comme L'Amour (notamment le Rialto, l'Outremont ou surtout le Château, désormais propriété du Centre chrétien métropolitain). L'Amour, né en 1914, s'est d'abord appelé le Globe (en l'honneur d'un théâtre shakespearien de Londres), avant de devenir le Hollywood dans les années 30. Puis dans les années 60, avec la chute de popularité de tous les cinémas (merci, télévision et exode des familles vers les banlieues), le Hollywood trouve une niche pour survivre, qui le maintient à ce jour en vie : le porno. Il s'appelle successivement le cinéma d'Orsay (quelques mois), puis le Pussycat (1969), avant d'être finalement baptisé L'Amour en 1981.
2. L'ARCHITECTURE ET LA DÉCORATION INTÉRIEURE DU CINÉMA L'AMOUR SONT ENCORE QUASI INTACTES.
VRAI
Pour le meilleur et pour le pire. Un peu comme si la salle avait été abandonnée quelque part dans les années 40 ou 50, sans avoir été retouchée depuis, fait valoir Justin Bur, président des Amis du boulevard Saint-Laurent. Ainsi, sachez que l'entrée a toujours été aussi étroite, ne laissant rien deviner de la grandeur (splendeur?) intérieure : une vaste salle de spectacle, décorée par l'artiste de l'heure, Emmanuel Briffa (qui a laissé sa griffe sur le Rialto et le Beaubien), munie d'un balcon en fer à cheval et de plusieurs corbeilles. On pouvait aux débuts asseoir quelque 900 personnes. Les bancs de la salle (qui assoit désormais de 200 à 300 personnes) sont d'ailleurs ceux qui, à l'origine, se trouvaient au balcon (avec des dossiers légèrement rafraîchis en 1985, usure oblige). Et la salle porte encore quelques traces de l'époque du cinéma muet, qui accueillait, on le sait, artistes et musiciens dans une ambiance cabaret. Ainsi en témoignent cette scène, devant l'écran, l'arrière-scène et, surtout, les loges, bien cachées, au fin fond d'un sous-sol poussiéreux.
3. DES FILMS EN YIDDISH ONT DÉJÀ ÉTÉ PROJETÉS AU CINÉMA L'AMOUR.
VRAI
Croyez-le ou non, mais ce même écran qui diffuse désormais des films mettant en vedette des she-males et autres secrétaires cochonnes, a déjà vu passer plusieurs titres yiddish. Car le cinéma était d'abord et avant tout une salle de quartier. Et à l'époque, quand L'Amour s'appelait le Globe, dans les années 10 et 20, donc bien avant l'arrivée des Portugais, ce coin du boulevard Saint-Laurent était le coeur du quartier juif. Le cinéma était d'ailleurs le haut lieu de diffusion de titres yiddish à Montréal. À l'époque, le yiddish était aussi la troisième langue parlée en ville.
4. SARAH BERNHARDT A DÉJÀ ÉTÉ EN SPECTACLE AU CINÉMA L'AMOUR.
FAUX
Légende urbaine. La grande Sarah Bernhardt a certes fait quelques apparitions à Montréal (neuf fois, précisément, indique Justin Bur, des Amis du boulevard Saint-Laurent), mais malheureusement jamais au Globe. Elle est plutôt passée à l'Académie de Musique (Centre Eaton aujourd'hui), au Théâtre Français (le Métropolis d'aujourd'hui) et à His Majesty's Theatre (rue Guy). En fait, et c'est peut-être de là que vient la confusion, la grande diva est certes passée au Globe... à New York. C'était en 1910. Le spectacle n'a été présenté qu'un seul soir, pour cause de scandale. Pensez-y : la sulfureuse comédienne y jouait le personnage de Judas, un spectacle également censuré à Boston, puis à Philadelphie.
5. NATHALIE PETROWSKI A DÉJÀ TRAVAILLÉ AU CINÉMA L'AMOUR.
VRAI
Et si vous êtes un fidèle lecteur de La Presse, vous le savez probablement déjà. La chroniqueuse a en effet écrit sur la question il y a quelques années, révélant son passé de candy-girl dans un cinéma porno pour payer ses études, au début des années 70.
>>> Lisez la chronique de Nathalie Petrowski, Mémoires d'une « candy-girl »
Mais elle n'est probablement pas la seule à être passée par la mythique salle. Au détour d'une conversation, le réalisateur et amoureux du boulevard Saint-Laurent Luc Bourdon glisse aussi qu'il a failli être « placier » au fameux cinéma. « Monsieur Pépin, le propriétaire du Pussycat à l'époque, m'avait offert un poste de placier. Mais je ne voulais pas, à 21 ans, être gérant d'une salle porno! »

L'AMOUR EN 4 DATES, 4 FILMS

1914 : Le Globe
Films yiddish Shver tzu zein a yidene (Difficile d'être juive)
1932 : Hollywood
Casablanca
1969 : Pussycat
Deep Throat
1981 : L'Amour
Nasty Nurses

PETITE HISTOIRE DE LA CENSURE AU QUÉBEC

Dur à croire. Et pourtant. Ce n'est pas parce que subsiste ici l'un des tout derniers cinémas pornos d'Amérique du Nord que le Québec a toujours été très porté sur la chose. Ni très ouvert d'esprit. Tout le contraire. Le saviez-vous? Nous avons longtemps été les champions de la censure. Plus puritains que le reste du Canada, de la Grande-Bretagne et des États-Unis réunis! Eh oui... Quelques dates en témoignent.
1913 : CRÉATION DU BUREAU DE CENSURE DES VUES
Ses « principes généraux » s'inspirent à la fois du British Board of Film Censors de l'Empire britannique et des voeux de contrôle plus strict formulés par l'Église catholique à l'égard de ce nouveau moyen dit « d'amusement populaire ». Tout en appartenant à l'État, le Bureau de censure est du coup très fortement contrôlé par l'Église.
En un an à peine, le Bureau refuse plus de films que l'Angleterre, les États-Unis et le reste du Canada réunis. Jusqu'à son abolition, le Bureau censurera pas moins de 8500 titres.
1927 : INTERDICTION AUX MOINS DE 16 ANS
Depuis les débuts du cinéma, l'Église rêve de fermer les salles de cinéma. Une occasion en or se présente en 1927 avec un tragique incident : l'incendie du Laurier Palace, qui emporte 78 spectateurs, essentiellement des enfants. On en profite alors pour interdire aux moins de 16 ans l'accès à « des salles obscures et malsaines ». Cet interdit perdure jusqu'en... 1967!
1967 : ABOLITION DE LA CENSURE
Avec la Révolution tranquille et à la suite de l'un des plus longs débats des annales de l'Assemblée législative du Québec (30 heures), la Loi sur le cinéma est adoptée. Finie, officiellement, la censure. Quoique... Parlez-en à l'ex-projectionniste de l'actuel cinéma L'Amour, qui se souvient encore avoir dû passer le ciseau, littéralement, dans bien des bobines de film, pour couper « le trop explicite »
1983 : NAISSANCE DE L'ACTUELLE RÉGIE DU CINÉMA
C'est à elle que l'on doit les classements de tous les films diffusés au Québec.
CENSURÉ!
Les Amants (Louis Malle, 1958), pour cause d'« infidélité conjugale ».
Et Dieu... créa la femme (Roger Vadim, 1956), parce que centré « sur la passion et le désir charnel ».
Hiroshima mon amour (Alain Resnais, 1959), coupé de 13 minutes sur à peine 90, pour ses scènes évoquant l'adultère.
Les enfants du paradis (Marcel Carné, Jacques Prévert, 1945), pour sa thèse « immorale, inacceptable, anti-familiale et glorifiant l'amour libre ».

L'AMOUR, UN MERCREDI SOIR, TARD

22 h, un mercredi soir de novembre. Last call au cinéma L'Amour, qui ferme ses portes tous les jours à 23 h. C'est la soirée trans.
Scusez notre naïveté, mais nous nous attendions à y voir un public travesti. Erreur.
Nous sommes à peine arrivés que la jeune et jolie caissière, au fort accent russe, nous regarde en souriant : « C'est votre première fois ici? » Elle a l'air ravi. Il faut dire que nous sommes avec un ami, qui a généreusement accepté de nous accompagner.
Or, les couples se font rares, ici, au cinéma L'Amour. Et ce, malgré les tentatives marquées et répétées de les attirer (l'entrée leur est gratuite les lundis, mardis et pour le « happy hour » les jeudis).
Certes, le cinéma a connu des jours plus glorieux. Des jours de fort achalandage. C'était dans les années 30 et 40. Des jours où le public s'habillait chic. Où le balcon était réservé aux riches, la salle, au monde ordinaire. De nos jours? Le balcon est déclaré zone VIP, réservée aux couples. C'est d'ailleurs l'une des rares « rénovations » qui aient ici été faites depuis l'ouverture du cinéma en 1914. Il y a dix ans, on y a construit une zone « réservée », à laquelle on accède en montant un long escalier sombre. Objectif? Attirer une clientèle nouvelle. Là-haut, on trouve quelques canapés rouges et deux salles « privées », pour un usage d'une durée maximale de 45 minutes, les « soirées chargées ». Mais y a-t-il encore des « soirées chargées » au cinéma L'Amour? Permettez-nous de douter.
VOYEUR
Lors de notre passage, ils étaient trois. Trois hommes d'un certain âge, dispersés dans la salle, à nous observer. Car à la minute où nous sommes entrés, le public n'avait plus d'yeux pour l'écran (qui diffusait pourtant en gros plan une programmation spéciale she-male, sans grand mystère ni poésie, si vous voulez notre bien humble avis). Le spectacle, c'était nous. Deux hommes se sont carrément postés à l'avant, dos à l'écran, pour nous observer. « On est des agaces », a glissé, amusé, notre complice. Parce que oui, bien évidemment, nous étions là en simples observateurs (voyeurs).
Robert, un grand maigre qui pourrait passer pour un client et qui fait aussi partie des meubles, après avoir été tour à tour projectionniste (à la belle époque des 35 mm), rénovateur, homme de ménage et, enfin, gérant, nous assure pourtant que quelque 70 personnes (presque exclusivement des hommes) viennent ici quotidiennement. Entre 11 h et 23 h, tous les jours, dit-il. La fin de semaine, le chiffre peut monter à 100. La preuve, il passe pas moins de deux heures, chaque soir, à faire le ménage.
Il faut comprendre que l'on ne va pas voir un film porno comme on va voir un blockbuster, nous explique le réalisateur Luc Bourdon, qui travaille sur le boulevard Saint-Laurent depuis 40 ans.
«Le cinéma porno, ç'a toujours été ça. On ne se retrouve pas à 200. Il y a toujours deux, trois ou quatre personnes, sauf que ça roule. Les gens entrent et sortent, au bout de 15 ou 30 minutes. C'est vraiment plus un lieu de rencontres et d'échanges de toutes sortes...»
Luc Bourdon,
réalisateur
Aux débuts des années 80, les spectateurs venaient davantage pour le film. « Ils n'avaient le droit de rien faire », se souvient Robert, qui travaillait à l'époque pour le père de l'actuel propriétaire, Steve Koltai. « La moralité, des policiers en civil, les checkait. ». De nos jours? La présence de poubelles aux quatre coins de la salle confirme que plus personne ne se prive.
ET LA PORNO SUR L'INTERNET?
Pourquoi se déplacer quand tous les films les plus olé olé sont disponibles, en un clic, sur l'internet? « Des chauffeurs de taxi, des financiers, des gérants de banque, toute sorte de monde viennent ici, affirme le gérant. C'est un lieu social. »
Un lieu social? « C'est comme un club social, confirme Luc Bourdon. Pour des hommes âgés, pour la plupart. C'est un lieu d'abord de rencontres et d'échanges. C'est sûr que la porno est bien présente. J'imagine que cela doit avoir quelque chose de plus thrillant... »
« Ce sont des gens très seuls. C'est très triste à voir... »
- Luc Bourdon, réalisateur
N'empêche que, malgré tout, le lieu possède un je-ne-sais-quoi de « patrimonial » (« entre beaucoup de guillemets »), « quasiment intact dans son abandon », poursuit-il.
Quant à savoir si l'internet va achever son cinéma, Robert (qui, pour la petite histoire, est aussi le petit-fils de l'artiste Guido Casini, à qui l'on doit le monument du square Cabot, au centre-ville, lequel, ça ne s'invente pas, a également collaboré à la décoration du cinéma L'Amour, au début du siècle dernier) jure que non.
« Moi, je vais mourir avant que ça ferme », tranche-t-il, visiblement amoureux de son cinéma, de son histoire, de son vécu, lequel n'a rien, mais rien à voir avec les « maudites bâtisses qui ont 22 crisses d'écrans, pas d'ambiance, et qui sont une insulte au vrai cinéma... »




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- La résurrection du magazine LUI dans Les Echos

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يؤديها شاب من عين صالح
أغنية ضد استغلال الغاز الصخري (فيديو)
الجمعة 30 جانفي 2015 الخبر أونلاين
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تتداول مواقع التواصل الاجتماعي فيديو منسوب لشاب من عين صالح بولاية تمنراست، يؤدي فيه أغنية يعارض فيها استغلال الغاز الصخري، عنونها "لا وألف لا للغاز الصخري"، ولقي الفيديو اعجاب رواد اليوتوب والفايسبوك، معتبرين ذلك ارقى طريقة لمناهضة استغلال الغاز الصخري.

باداء متميز بآلة العود يقول الشاب في أغنتيه "آ يا مكتشف لا تكتشف ابتعد من هنا، فهذا محيطنا"، في رد صريح لتصريحات المسؤولين من بينهم الرئيس بوتفليقة والوزير الأول عبد المالك سلال اللذان تحدثا عن حفريات لاستكشاف مخزون الغاز الصخري.

وتعرف مناطق عديدة بالجنوب احتجاحات منذ عدة أسابيع ضد استغلال الغاز الصخري تقودها منطقة عين صالح بتمنراست أين تجري أولى الحفريات لاستكشاف الغاز الصخري حسب التصريحات الرسمية، وكان رئيس الجمهورية قال أول أمس، أن استغلال الغاز ليس مطروحا في الوقت الراهن وكان قبله الوزير الأول قال أن الأمر يتعلق بدراسات ولن يتم استغلال الغاز الصخري قبل 2022 .




عدد القراءات : 4096 | عدد قراءات اليوم : 3242
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1 -
2015-01-29م على 23:58
من اروع ما يكون
2 - محمود
الجزائر العميقة
2015-01-30م على 7:43
يجب ان يتحرك الكل من عامة الناس , فنانين , علماء بمختلف تخصصاتهم , ........
هل اثار القنبلة النووية انتهى ام ما يزال لحد الان يدفع الشعب الجزائري ثمنه لحد الان ؟؟؟؟؟
3 - max
france
2015-01-30م على 9:44
يعطك صحة
4 - hamed
M'sila
2015-01-30م على 9:17
bravo à toi et à tous les habitants de AIN SALAH pour cette belle chanson . C'est un vrai méssage plein de politesse et de sagesse à tous nos résponsables . M
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أم أنهم فوق القانون؟
الجمعة 30 جانفي 2015 elkhabar
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 لا يزال بعض رؤساء الهياكل السابقين بالمجلس الشعبي الوطني، المنتخبون كنواب عن حزب جبهة التحرير الوطني، يحتفظون بالسيارات التي منحت لهم على أساس منصب رئيس لجنة بالبرلمان، رغم مرور 3 سنوات عن مغادرة هذه المسؤولية. ورغم أن القانون والعرف وحتى الأخلاق تلزمهم بإرجاع السيارات والتخلي عن الامتيازات بعد 6 أشهر من ترك المنصب، “فلا حياء لمن تنادي”. وهل إجراءات التقشف لا تعني هؤلاء؟ أم أنهم فوق القانون؟
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منتخب عبقري!
الجمعة 30 جانفي 2015 elkhabar
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 فاجأ منتخب بلدي بإحدى بلديات البليدة الشرقية بالرد على طلب ممثلي حي عتيق ربطهم بالغاز الطبيعي لشدة البرد بالقول “إن الأمر غير معقول ولا مقبول”، لأن طلب الاستفادة يعني فقط سكان “المدينة” دون سكان الريف. وحاول الرجل “العبقري” توضيح الأمور حينما فاجأهم وهو يحاضر ويحاول إقناعهم أن الغاز في تسميته “غاز المدينة” يدل على ذلك ولا وجود حسبه لـ«غاز الريف”. ممثلو السكان تبكموا أمام “عبقرية” صاحبنا، خاصة حينما استرسل في التوضيح وأخبرهم “..ولكن سنجتهد في الموضوع ونجد حلا لطلبكم، وعليكم بالصبر إلى أن نجد صيغة تخص سكان المناطق الريفية”. وربما غاب عن المنتخب العبقري أن تسمية “غاز المدينة” لم تعد موجودة في قاموس الطاقة والمناجم، بل أصبحت هذه الطاقة تسمى “الغاز الطبيعي”.
-



سقوط سور ثانوية والوصاية غائبة
الجمعة 30 جانفي 2015 elkhabar
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 منذ سقوط سور ثانوية جديدة ببئر التوتة، في العاصمة، قبل أسبوع، افتتحت قبل خمسة أشهر فقط، والّذي يبلغ طوله حوالي 50 مترا، لم تتحرّك المديرية الوصية ولا حتّى الشركة الصينية الّتي بنته قبل فترة قصيرة لإزالة ذلك الركام وإعادة بناء السور من جديد وفق المعايير اللازمة، لتجنّب وقوع انزلاقات التربة الّتي تهدّد بسقوط المدرسة.. القضية للمتابعة.
-




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تحت شعار “الاحترافية”!
الجمعة 30 جانفي 2015 elkhabar
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 يبدو أن وزير الاتصال لا يعبأ ولا يعير اهتماما لإذاعة تبسة الجهوية، بالرغم من كثرة زياراته للولايات، وتشدقه بإنجاز مقرات جديدة، وهو يسير الآن على خطى وزيرة الثقافة السابقة خليدة تومي، التي لم تطأ قدمها أرض ولاية الشيخ العربي التبسي خلال عهدتها الوزارية كاملة. وتبقى الولاية تأمل في زيارة من الوزير من أجل الوقوف على فضيحة تشقق وتصدع الجدران وتسرب المياه من أسقف مقر الإذاعة، أو أن “الاحترافية” عند ڤرين لا تشمل توفير الشروط اللائقة للصحفي بالقطاع العمومي من أجل رفع شعار “الإعلام الجواري”، ربما يوجد فقط في مخيلة أصحاب وفلاسفة لغة الخشب..
-





دردوري مطلوبة في القبة
الجمعة 30 جانفي 2015 elkhabar
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 يعاني سكان بلدية القبة، بالعاصمة، الذين يستخدمون شبكة الأنترنت السلكية لـ”اتصالات الجزائر” من انقطاعات متكررة تمتد أحيانا لأشهر، وتخص على حد سواء الهاتف والأنترنت. ونظرا لكثرة تردد المواطنين لإيداع شكاويهم تتحول المصلحة التقنية لوكالة “اتصالات الجزائر” بالمنطقة إلى سوق حقيقية يومي الاثنين والأربعاء، التي تصادف أيام الاستقبال، واضطر بعض السكان من جسر قسنطينة، بالنظر لغياب رد الفعل، إلى الاعتصام داخل المصلحة، إلى حين إيجاد حل لمشكلتهم. فهل وصلت الخدمة عند “اتصالات الجزائر” إلى حد عدم القدرة حتى على إصلاح أعطاب بسيطة وتسوية أوضاع عدد قليل من المشتركين؟ فماذا لو كان الطلب يشمل مئات الآلاف يا ترى؟
عدد القراءات : 828 | عدد قراءات اليوم : 671
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1 - Yacine Madani
الجزائر
2015-01-29م على 23:56
و الله تقريبا شهر هاتفي معطل رغم عدد الشكاوي و المناوشات معاهم لم يتم الاصلاح .. كارثة
-


لقطة ''الخبر''
الجمعة 30 جانفي 2015 elkhabar
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تحدى سكان سطيف الفنان الفرنسي فرانسيس دون سال فيدال، الذي نحت تمثال
عين الفوارة. اللقطة مأخوذة من حي دالاس، بوسط مدينة سطيف.
عدد القراءات : 2672 | عدد قراءات اليوم : 2353
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1 - maloma
miki
2015-01-30م على 9:49
لو دارو صورة مرا سطايفية بالملاية كان اجمل
-


http://www.elkhabar.com/ar/img/article_large_img/lakta_421195648.jpg






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http://www.fpjq.org/presse-jeunesse-les-medias-pour-jeunes-ont-il-un-sexe/




Presse jeunesse : Les médias pour jeunes ont-il un sexe?



Par Marie-Andrée Amiot
Si les filles ont l’embarras du choix quand vient le temps de trouver un magazine à leur image, les garçons sont moins gâtés. «Ça n’existe pas des magazines seulement pour garçons», affirme tout de go Félix Maltais, éditeur du magazine scientifique pour enfants Les Débrouillards, qui compte presque autant de lectrices que de lecteurs. Les Québécoises de 9 à 19 ans peuvent feuilleter Cool, Adorable, Filles d’aujourd’hui et Elle Québec Girl, sans compter la ribambelle de magazines français et américains qui leur servent les potins d’artistes ou la recette miracle pour attirer le garçon de leurs rêves. Les gars n’ont à peu près rien. Mais ils ne s’en plaignent pas : la lecture ne les attire pas beaucoup et, quand ils lisent, ils préfèrent les romans aux magazines. Voilà du moins ce qu’affirment leurs parents, les bibliothécaires, les enseignants et les marchands de journaux!
Au dire d’éditeurs québécois, il serait suicidaire de publier un magazine pour eux. D’ailleurs, il n’est jamais venu à l’esprit de l’équipe d’Elle de se lancer dans l’édition masculine. «Ce n’est certainement pas un marché que j’attaquerais», confie Suzanne Goudreau, rédactrice en chef d’Elle Québec et du tout nouveau Elle Québec Girl. L’équipe de Filles d’aujourd’hui abonde dans ce sens. «Chaque fois qu’on a lancé un magazine généraliste pour hommes, les résultats ont été si décevants qu’on l’a retiré du marché», acquiesce Francine Trudeau, rédactrice en chef. Les plus célèbres, Homme et Nous, ont disparu sans laisser de traces.
Chez les filles, c’est tout le contraire. Soixante-quatorze pour cent des jeunes filles lisent très souvent des magazines, selon un rapport du Conseil du statut de la femme publié au printemps. Les maisons d’édition multiplient donc les magazines féminins. «Le marché des femmes est surreprésenté car, petites ou grandes, elles adorent le format magazine», précise Anne Darche de la maison montréalaise Allard-Johnson qui évalue les tendances.
Quels médias attirent les garçons? Les plus jeunes, jusqu’à 12-13 ans, se passionnent pour les périodiques dérivés de la BD (Spirou, Le Journal de Mickey, Kid Spaddle). Selon Marie Désilets, bibliothécaire responsable de la Centrale Jeunes à la Ville de Montréal, les jeunes aiment rire et s’amuser. Les sciences les intéressent aussi. Un peu plus de la moitié (55 %) des 40 000 lecteurs des Débrouillards sont des petits garçons de 9 à 12 ans. Les adolescents, s’ils lisent, achètent des revues spécialisées sur un sujet qui les allume : le sport, l’automobile, l’informatique, la musique, les jeux vidéo. Plus tard, ils choisissent les quotidiens et les périodiques qui traitent d’actualité. «Ce sont les mêmes que ceux lus par les hommes. Il n’y a donc rien de conçu spécialement pour eux», ont répété les personnes interviewées.
Mais les garçons ne dédaignent pas complètement le magazine pour filles. Comme leurs aînés, ils l’empruntent souvent. Selon Anne Darche, jusqu’au tiers du lectorat de certains magazines pour filles est en fait constitué de garçons. «Chez Filles d’aujourd’hui, par exemple, 33 000 des 36 000 exemplaires sont vendus par abonnement. Or, plusieurs garçons consultent le magazine qui traîne à la maison même si les sujets traités sont très féminins : courrier du cœur, maquillage, vedettes, mode, etc.» Peut-être préfèrent-ils les articles aux photos?
                                                -30-
Marie-Andrée Amiot est journaliste à La Presse.
_________________________
Vol. 26, no 9, octobre 2002

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