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بــقلـم : ش. س
يـــوم : 2015-08-30
بعد دخولهم في إضراب و أخبار عن مغادرة بعضهم البلاد
العمال الصينيون يشلون مشروع 4000 سكن بسعيدة
المصور : ش. س
مشروع 4000 وحدة سكنية و الذي كُلفت بإنجازه لشركة الصينية توقف عن العمل و هذا نتيجة خلاف بين المؤسسة المذكورة وصاحب المشروع فرغم الوتيرة العالية و المتقدمة في الانجاز و التي عرفت تقدما ملحوظا إلا أن هذا الإضراب و التوقف المفاجئ قد يعصف بالمشروع إذا واصل الصينيون إضرابهم و لم يتوصلوا إلى اتفاق مع صاحبهم
و يتوزع المشروع على 3 مواقع بكل من حي السلام 02 ، بوخرص و ظهر الشيح وكان الوالي السابق قد تدخل من أجل حل الإشكال الأول و الذي عرف طريقا للمفاهمة و الوالي الجديد جلول بوكرابيلة قبل عطلته كان قد عقد اجتماعا بحضور مسؤولي التسيير العقاري و مسؤولي الشركة الصينية الذين وعدوه بتدارك التأخر و تعويض العمال المضربين الذين غادر عدد منهم الورشات التي كانوا يعملون بها باتجاه الصين لتبقى أحلام طالبي السكن بسعيدة متوقفة على قرارات الشركة الصينية من اجل تسليم المشروع الضخم و الذي يعتبر حلا مؤقتا و يخفف من معاناة السعيديين الذين يعانون و يكابدون غلاء وارتفاع أسعار السكنات المخصصة للإيجار.
القضية تبقى للمتابعة في ظل عدم اتضاح الرؤى خاصة من طرف مسؤولي الشركة الذين سيدخلون في صراع آخر مع عمالهم الصينيين الذين لن يستسلموا هذه المرة باعتبار أن الإضراب قد شل كل الورشات المتواجدين فيها .
Ain Temouchent
Concours national de la meilleure plage
Rachgoun, Madrid et Chatt El Hilal
sur la liste des élues
Décidément, la commission de suivi et d’évaluation des plages de la wilaya d’Ain Temouchent, a élu les plages de Rechgoun 1, Madrid et Chatt El Hilal pour participer au concours national de la meilleure plage parmi les 20 sites qu’elle a visités ce week-end. Ayant obtenu l’étendard de mérite, les trois plages participeront au concours national de la meilleure plage.
Le barème établi par le ministère de tutelle prenait en compte tous les aspects en rapport avec la beauté du site, les conditions de vie dans les structures d’accueil, l’affluence des estivants, la sécurité des lieux de baignade, les appréciations des baigneurs et des vacanciers, les moyens de loisir, l’hygiène et la salubrité publique, la nature des aménagements existants et l’état des lieux des centres de colonies de vacances.
Elargie aux maires des villes côtières candidates, les chefs de daïras respectifs, le directeur du Tourisme et d’autres représentants désignés par l’arrêté de la constitution de la commission, qui avait à l’unanimité classé les trois plages selon l’ordre de mérite cité plus haut.
A noter que les deux premières appartiennent à la commune de Béni-Saf et la troisième à celle de Sidi Ben Adda. En sus, la commission de wilaya chargée du suivi et d’évaluation des plages a tenu compte d’autres préalables tels que le bon accueil des familles, les améliorations apportées en matière de l’alimentation de l’eau potable, l’assainissement des eaux usées, l’éclairage public et la sécurité des lieux de baignade et des baigneurs, ainsi que la couverture médicale et sécuritaire sur l’ensemble des plages. Quand la commission a bouclé son travail d’évaluation, les services de la protection civile qui y sont membres, avaient annoncé plus de 12 millions d’estivants qui ont foulé le sable des 20 plages que renferme la wilaya. A la seconde édition on prépare déjà les communes à se prendre en charge de bout en bout pour participer au concours, a-t-on appris.
Cela veut dire par déduction logique et simple que la gestion va revenir aux collectivités locales. Il s’agit de dépenses à engager et en contrepartie la régie de la commune côtière concède le service public de plusieurs lots et clauses diverses par adjudication qui seront publiées sur les colonnes de la presse nationale et sur site web du ministère de tutelle.
Pour l’heure, les choses sont en phase de préparation et de discussion mais ce qui est sûr, est d’apprendre qu’un décret exécutif portant mode de concession sera finalisé et publié avant la saison touristique 2016.
Cette disposition a figuré sur les informations rapportées par le ministre lors de sa dernière visite effectuée dans la wilaya d’Ain Temouchent quelques jours avant sa nomination à la tête de ce département ministériel qui regroupe aussi la pêche.
Place à l’innovation et au savoir-faire qui engrangent des recettes touristiques aux communes côtières.
B. Belhadri
Tissemsilt
Faute de nouvelles écoles
Des élèves du primaire des nouvelles cités dans l’impasse
Pour cette année scolaire, le secteur de l’éducation de la wilaya de Tissemsilt n’a toujours pas trouvé de solutions aux problèmes qu’endurent les habitants de la cité des 400 logements située à Ain Lorant à la sortie ouest de la ville de Tissemsilt, les renforcements visiblement dérisoires déployés par ce secteur n’ont pas chassé la peur des parents d’élèves qui est celle du problème de la bonne prise en charge, les parents d’élèves de cette partie de la ville évoquent encore une fois et dès maintenant le spectre de la délocalisation vers d’autres écoles lointaines de la domiciliation des élèves, la surcharge des classes et la difficulté pour leurs enfants et élèves d’atteindre les résultats escomptés dans de telles conditions, le retard accusé jusque-là dans la réception d’une école programmée pour la circonstance il y a plus d’une année rend la vie difficile aux parents qui devront dès maintenant penser à trouver une école pour caser leurs enfants et pour les petits bambins qui devront parcourir des kilomètres quotidiennement pour rallier leurs écoles respectives.
Ce même cas s’applique aussi aux élèves de la nouvelle cité de Ain El Bordj (Sidi Khelifa), le spectre est malheureusement toujours d’actualité, les parents affirment que les années passent, malheureusement elles se ressemblent, le changement souhaité n’a pas eu lieu cette année et les solutions ne semblent pas venir à travers ces nouvelles structures promises puisqu’elles paraissent réellement insuffisantes, le commun des habitants notamment les parents n’a pas apprécié l’état de la scolarisation au niveau de Ain El-Bordj et le nouveau groupement d’habitations de Sidi Khelifa, le renforcement des structures reste encore insuffisant et l’on s’attend comme d’habitude à un scénario semblable à celui des années passées, sinon pire, des exemples qui malheureusement reflètent encore une fois le problème du manque de structures scolaires au niveau des nouvelles cités distribuées et les difficultés que rencontrent les élèves où une bonne partie d’entre eux est orientée dans des écoles primaires très lointaines par rapport à leurs domiciles respectifs, une problématique qui n’a pas trouvé de solutions chez les décideurs qui à chaque fois, font ressortir une cause, une fois on parle de la défaillance des entreprises de réalisation, l’autre fois on parle d’une mauvaise étude d’évaluation de la part des services concernés mais en fin de compte, le résultat démontre clairement qu’aucune vraie stratégie n’a été adoptée pour finir une fois pour toutes avec ces problèmes qui refont surface avec chaque rentrée scolaire.
En somme, les indices prédisent que cette rentrée scolaire ne sera pas différente des précédentes et malheureusement si la direction de l’Education est pleinement impliquée dans cette situation, le rôle des associations de parents d’élèves et celui de la coordination de ces associations est pour beaucoup dans cette déplorable situation qui se répercute sur le résultat de leurs progénitures. A.Nadour
Le pan d’un balcon se détache d’un immeuble au centre-ville et blesse une fillette
Ce vieux bâti qui met en péril la vie des riverains
L’opération de réhabilitation du vieux bâti entre dans sa dernière phase.
Le pari qui fait la fierté des responsables de la ville, est pourtant loin d’être gagné, puisque les cas d’effondrement défrayent toujours la chronique, avec toute la colère qui suit des résidents furieux contre les responsables qui, selon eux, les auraient abandonnés dans des immeubles en péril, pour des raisons inexpliquées.
Ce péril menace parfois même les passants comme cela fut le cas au cours de la semaine dernière, au niveau de la célèbre rue Larbi Ben M’hidi, lorsqu’un pan de balcon qui s’est détaché d’un immeuble a blessé une fillette à l’épaule. Il faut dire que le pire a été évité de justesse, car l’accident aurait pu être plus grave.
Un tour à travers cette rue, ainsi que celles des Aurès (La Bastille), boulevard Maâta, ou encore la rue de Tlemcen, confirme la gravité du danger et confirme si besoin est, que beaucoup de travail reste à faire pour les responsables de la ville, car une bonne partie des immeubles constitue un réel danger pour leurs occupants notamment au centre-ville où a été recensé il y a une dizaine d’années le gros des bâtisses menaçant ruine. Selon un membre de comité de quartier, «Les résidents ont une grande responsabilité dans la détérioration de l’aspect général de la ville, dont les immeubles sont un musée à ciel ouvert, car laissant la façade sale et sombre. Laisser les choses en l’état, c’est laisser tout une mémoire de la ville partir en fumée», dira-t-il. Et d’ajouter:
«Heureusement que la dernière opération de restauration ait pu redonner une seconde jeunesse à ces immeubles, regardez du côté de la rue Khemisti et du boulevard de la Soummam, les immeubles sont de véritables chef-d’œuvres que beaucoup de jeunes Oranais n’ont découverts que dernièrement, et les photos balancées sur les réseaux sociaux en sont la preuve». Pour les responsables de la ville, l’opération n’est pas encore achevée, pour juger, car la dernière grande opération de relogement, a laissé quatre chantiers ouverts au niveau des quartiers mythiques d’Oran, en l’occurrence: El Hamri Médiouni, Ed-Derb et Sidi El Houari, qui vont subir selon des sources de la wilaya, un coup de lifting. Les travaux seront lancés incessamment après qu’un budget de près de 15 milliards DA ait été débloqué pour mener à terme l’opération de réhabilitation des vieilles bâtisses de ces quartiers. Une autre opération est prévue du côté du centre-ville, Plateau et Mers El Kébir, pour en finir avec le spectre des effondrements qui revient au-devant de la scène avec le début de la saison hivernale, lorsque quelques gouttes suffiront pour mettre des familles entières dehors. Pour les résidents du vieux bâti, vivement l’entame de l’opération de réhabilitation, et même de relogement, car cela est synonyme de quiétude et de sécurité, après des années passées avec la peur au ventre. Une meilleure coordination responsables-citoyens est donc primordiale à l’avenir pour éviter que ce travail vole en éclats après quelques années seulement, car l’insouciance de certains résidents qui n’alertent pas les responsables finit par mettre tout un immeuble ou un bâtiment en danger.
Jalil Mehnane
Pavillon 16 service ORL du CHUO
Faute de sanitaires, les femmes hospitalisées utilisent ceux des hommes
Nos lecteurs découvrent très souvent certaines situations plus étonnantes les unes que les autres, ce qui les amène à prendre contact avec notre rédaction pour faire part de ces conditions qui en principe n’ont pas lieu d’être. Dans l’après-midi de jeudi passé, c’est un homme dont l’épouse est hospitalisée au service ORL, pavillon numéro 16, qui s’étonne de l’absence totale de sanitaires dans l’aile où sont hospitalisées les femmes. Ce que nous avons constaté nous-mêmes sur place.
En effet, au niveau du pavillon numéro 16 du CHUO, l’aile où sont admises les femmes ne dispose pas de toilettes. Ainsi, du fait de cette contrainte, ces dernières sont contraintes de franchir et de traverser le long couloir de l’aile où sont hospitalisés les hommes pour se rendre aux toilettes situées tout à fait au fond. «Cette situation n’est quand même pas normale, voir une femme traverser ce long couloir d’au moins 20 mètres de l’aile réservée aux hommes pour se rendre aux sanitaires pour hommes, composés uniquement de deux cabinets comme vous pouvez constater, est une honte», affirment deux hommes que nous avons rencontrés sur place jeudi.
Avant d’accéder au couloir où se trouvent les chambres des hommes hospitalisés, nous avons constaté qu’il existe d’autres toilettes à mi-chemin entre l’aile des femmes et celle des hommes, tout près des chambres des femmes, plus précisément juste en face d’un bureau du service de ce pavillon, ce qui nous a amenés à nous renseigner auprès d’une infirmière, s’il était possible de nous y rendre, et ce, afin de nous assurer pour qui sont-elles destinées. L’infirmière nous a indiqué que celles-ci sont réservées au personnel de service et qu’il faut se rendre au fond du couloir, c’est-à-dire du côté où sont admis les hommes, des toilettes utilisées conjointement avec les femmes.
«Dans ce lieu, il n’y a que deux cabinets, imaginez qu’ils sont occupés par deux femmes au moment où, sans le savoir, un ou deux hommes attendent leur tour devant la porte. N’est-ce pas une honte ? Où est la pudeur dans tout cela», s’indignent nos interlocuteurs dont l’un était hospitalisé dans ce service.
A.Bekhaitia
Le marché des véhicules d’occasion ne cesse d’étendre ses tentacules
Les habitants d’El Makkari et de Bastié interpellent les pouvoirs publics
Apparu au tout début des années 2.000, le marché des voitures d’occasion d’El Makkari (Saint-Eugène) dont le site était localisé au départ au niveau de la rue Abou Dirham n’a cessé d’étendre ses tentacules. Depuis cette date les riverains ont toujours dénoncé l’implantation de ce marché illégal à proximité de leurs habitations, notamment en raison des multiples désagréments que cette situation leur cause dont la difficulté d’accès à leurs demeures n’est pas des moindres.
Malheureusement les tenants de cette forme de commerce, forts de l’impunité et de la passivité des services concernés, ont poussé l’outrecuidance jusqu’à prolonger le site d’exposition des voitures proposés à la vente pour s’étendre jusqu’au quartier voisin de Bastié.
Les riverains de ce quartier Bastié relevant du le secteur urbain Ibn Sina, qui ont de leur côté tenté de s’opposer à l’implantation de ce commerce à proximité de leurs logements ont, eux aussi dénoncé cet état de fait. Tout récemment, ils ont encore une fois lancé un appel aux autorités locales, pour procéder à l’éradication de ce marché de la honte qui se tient quotidiennement au niveau du boulevard principal non loin de l’arrêt du bus de la ligne B.
En effet, une centaine de véhicules d’occasion sont exposés à la vente chaque après-midi, au niveau de cette zone d’habitation, au grand dam des résidents qui veulent en finir avec les désagréments causés par cet espace commercial illégal. Par ailleurs, l’existence de ce genre de marchés informels à Oran, semble faire mal aux recettes du marché des véhicules d’El Kerma, qui n’arrive plus à attirer du monde.
Ce qui a obligé la direction chargée de la gestion de cette structure commerciale à ouvrir deux jours par semaine soit vendredi et samedi, pour espérer attirer les vendeurs des véhicules qui préfèrent les marchés informels de la ville comme celui des Castors notamment. A Bastié, les propriétaires de ces voitures n’hésitent pas à squatter les accotements tout au long d’une centaine de mètres. Ce qui agace vivement les riverains et les commerçants du quartier qui, pour lutter contre ce phénomène, sont obligés d’user de leurs propres moyens notamment par le dépôt de grosses pierres sur les trottoirs pour dissuader les vendeurs de stationner. «C’est chaque jour le même calvaire, le quartier étouffe à cause des dizaines de véhicules exposés à la vente, ce marché représente une véritable nuisance morale et sonore pour nous», dira un habitant. Notons également que la police avait mis il y a quelques mois des agents sur place, pour empêcher les vendeurs de stationner leurs véhicules. Toutefois, dès que les policiers sont absents, les lieux sont aussitôt réinvestis comme ces dernières semaines, selon des citoyens interrogés sur place et le nombre des véhicules proposés à la vente est en augmentation surtout durant les week-ends.
S. Messaoudi
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SLI CHKOUN ANTA WLA
ANTI BYNOU REHKEM
ANA NOUR TA
XIPHONE MERCI
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صباح سعيد
2015 سليمة
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salima
سلال: ندوة 15 سبتمبرالمقبل ستكون مخصصة لدراسة الوضع الاقتصادي للبلاد
29/08/2015 - 12:20
اعلن الوزير الاول عبد المالك سلال أمس السبت، انه سيتم يوم 15 سبتمبر المقبل عقد لقاء وطني لدراسة الوضع الاقتصادي للبلاد.
و اوضح سلال في كلمة له خلال اجتماع الحكومة بالولاة ان هذا
اللقاء سيجمع المجلس الوطني الاقتصادي و الاجتماعي مع خبراء اقتصاديين من
اجل دراسة الوضع الاقتصادي للبلاد.
و ذكر الوزير الاول ان هذا اللقاء الاقتصادي سيكون متبوعا
باجتماع اخر بين الحكومة و الشركاء الاقتصاديين و الاجتماعيين من اجل
"العمل على اعطاء دفع جديد للتنمية الاقتصادية و الاجتماعية" مضيفا ان كل
هذه الاجتماعات "تعطي صورة واضحة عن الشفافية التي تتعامل بها الحكومة مع
الوضع الاقتصادي للبلاد".
و شدد الوزير الأول على ان الهدف الاساسي للحكومة هو "تأمين
عبور الجزائر للعاصفة الاقتصادية الحالية لتحقيق النمو من دون المساس
بالمكتسبات الاجتماعيةوأيضا من دون اللجوء المفرط للاحتياطيات المالية
للبلاد".
و أشار في ذات الصدد إلى ان انتاج المحروقات الذي سجل تراجعا خلال السنوات الماضية سيعود تدريجيا الى الارتفاع ابتداء من 2016.
من جهة اخرى نوه سلال الى ان الجزائر لم تتأثر مباشرة
بتداعيات الازمة الاقتصادية العالمية و ذلك راجع الى "كون النظام المالي
الجزائري غير متصل بالنظام المالي العالمي".
لكن من جهة اخرى -يضيف الوزير الاول- "يقول المحللون ان الاقتصاد غير الشرعي يلعب دورا في مواصلة النمو الاقتصادي في الجزائر''.
و شدد في هذا السياق ان قرار السلطات باسترجاع الاقتصاد
الموازي او غيرالشرعي "لا يعني تبييضا للاموال فالقانون واضح" في هذا
الشأن"يقول السيد سلال.
تدابير تعديلية من أجل ترشيد الإنفاق العمومي
أكد الوزير الأول عبد المالك سلال أن الحكومة قررت تدابير
تعديلية من أجل ترشيد الإنفاق العمومي وتحكم أفضل في التجارة الخارجية
وتدفق رؤوس الأموال.
و قال الوزير الأول إن رئيس الدولة قد كان واضحا في تعليماته
إلى الحكومة قصد الحفاظ على القدرة الشرائية للجزائريين ومواصلة الجهد في
مجال النشاط الاجتماعي والبرامج في ميادين التشغيل والسكن والصحة
والتربية".
و أضاف أنه "و من أجل تقليص تدفق الواردات فقد تم تحديد
تعريف أكثر دقة بالنسبة للفروع التفضيلية ذات القيمة المضافة العالية
والقادرة على المساهمة في عصرنة البلاد وتحويل التكنولوجيا" مشيرا إلى أنه
تم القيام بعملية حول بنية وطرق تخصيص حصص الإستيراد.
و ذكر في هذا السياق أن "أحكام قانون المالية التكميلي لسنة
2015 وأحكام قانون المالية لسنة 2016 الذي يجري إعداده حاليا أخذت هذا
المنحى ألا و هو الاستعمال الأمثل لإيرادات ميزانية الدولة ودعم المؤسسات
وتسهيل الاستثمار إلى جانب تشجيع القطاع الوطني المنتج والبقاء ضمن أفق
النمو".
و اعتبرسلال أن استمرارية انخفاض أسعار البترول ستتمثل
نتائجها في انكماش موارد صندوق ضبط الإيرادات وتنامي المديونية العمومية
الداخلية.
و قال المتحدث ذاته إن "وضعية التوتر بالنسبة للمالية
العمومية أكثر مما ستكون عليه وضعية ميزان المدفوعات. وذلكم يستدعي القيام
بأعمال في مجال ترشيد النفقات العمومية وتطوير سوق رؤوس الأموال".
و اضاف أن "هوامش مناوراتنا الميزانية والمالية من شأنها أن
تسمح لنا بمواجهة الوضع برصانة ولكن يجب ألا يتم تقديمها لتبرير الأمر
الواقع. إن الأمر لا يستدعي أن يتملكنا الذعر ولا أن نستسلم إلى النوم
ولكنه يتطلب التحرك في الاتجاه الجيد بطموح وشجاعة".
ميزانية 2016 تتوخى نمو بنسبة 4,6 بالمائة
إلى ذلك، أكد الوزير الأول أن الحكومة ستقدم سنة 2016 ميزانية
تتوخى نمو بنسبة 4,6% مؤكدا أن النفقات الإجمالية ستسجل انخفاضا بنسبة 9%
وذلك دون عرقلة إنجاز برنامج السكن أو عمليات التوظيف.
كما أكد الوزير أن الحكومة ستقوم سنة 2016 بتقديم ميزانية
تتوخى تحقيق نمو بنسبة 4,6% (ارتفاع بنقطة مقارنة بسنة 2015) حيث ستكون
النفقات الإجمالية في انخفاض بسنة 9% وذلك دون عرقلة إنجاز برنامج السكن
(حيث تمت الموافقة يوم الأربعاء الماضي على صفقات إنجاز 22.000 وحدة) أو
عمليات التوظيف في قطاعي التكوين والصحة التي ستسجل فتح نحو 10.000 منصبا
ماليا جديدا.
و أضاف الوزير الأول قائلا "يجب أن نحسب أموالنا جيدا ولكن دون أن نسبب عطلا للمحرك الاقتصادي الذي يدعم التشغيل والقدرة الشرائية" .
المصدر: الإذاعة الجزائرية/ وأج
وفاة شاب حاول الانتحار حرقا بفرندة
لفظ مساء أول أمس شاب أنفاسه الأخيرة بمستشفى فرندة متأثرا بحروقه البليغة
بعد أن أقدم أول أمس على محاولة الانتحار حرقا. المصادر التي أوردت الخبر
ذكرت أن الشاب الذي يعاني من اضطرابات نفسية قام لأسباب مجهولة بإضرام
النار في جسده داخل مسكنه العائلي.
حيث وبعد تفطن العائلة للأمر قامت بإبلاغ مصالح الحماية المدنية التي تدخلت
لنقل الضحية إلى مستشفى المنطقة، غير أن الإصابات كانت خطيرة ولم يتمكن
الطاقم الطبي من إنقاذ حياته. للإشارة أن الشاب متزوج وأب لثلاثة أطفال،
كما يعمل حارسا بإحدى المؤسسات العقابية بسعيدة.
ق.ج
الأمن يفك طلاسم جريمة القتل ببئر الجير
امرأة وابنتيها يقتلن شيخا و ينكلن به لسرقة أمواله بوهران
نجحت مصالح الشرطة بالفرقة الجنائية التابعة للمصلحة الولائية للشرطة
القضائية لأمن ولاية وهران نهار أمس من فك لغز جريمة قتل ارتكبت مع سبق
الإصرار والترصد راح ضحيتها شيخ يبلغ من العمر 82 سنة على يد امرأة
وابنتيها اللتين تتراوح أعمارهما ما بين 19 و36 سنة، حيث وجهن له ضربات
بآلة حادة على مستويات مختلفة من الجسم، قبل أن يستولين على ممتلكاته ويلذن
بالفرار.
العملية جاءت تبعا لقضية اكتشاف جثة شخص يبلغ من العمر حوالي 82 سنة داخل
مقر مسكنه ببئر الجير بوهران. وإثر الشكوك التي حامت حول مصرعه، باشرت
مصالح الشرطة بالفرقة الجنائية التابعة للمصلحة الولائية للشرطة القضائية
لأمن ولاية وهران تحقيقا معمقا أفضى إلى فك لغز القضية المتعلق بتورط
امرأة وابنتيها البالغتان من العمر 36 و19 سنة على التوالي في جريمة القتل
السالفة الذكر، حيث مكنت التحريات والأبحاث من تحديد هويتهما وإلقاء القبض
عليهما. وحسب ما أكدته بعض المصادر، فإن الجناة خططن لقتله بعدما علمن بأن
الضحية مغترب، وقد قدم للاستقرار بمقر سكناه ببلدية بئر الجير، حيث علمن
بأنه يحوز على مبالغ مالية معتبر من الدينار والأورو، ليقررن إزهاق روحه
والاستيلاء على ممتلكاته، وهو ما هممن بتنفيذه ليلة الحادثة، ويلذن
بالفرار. وبعد تحويل جثته إلى مصلحة حفظ الجثث بمستشفى وهران الجامعي، أكد
التقرير الطبي بأن الضحية تعرض لاعتداء، الأمر الذي استدعى فتح تحقيق في
القضية وتوقيف المتورطات اللواتي سيحلن على العدالة لمباشرة الإجراءات
القانونية في حقهن صباح اليوم.
اسماعيل بن
أزمة التموين لم تُحل منذ عدّة أيام بمدريسة
رحلة البحث عن أكياس الحليب والخبز تتواصل بتيارت
تعرف بلدية مدريسة بولاية تيارت خلال هذه الأيام تذبذبا ونقصا في التموين
بمادتي الخبز والحليب، الأمر الذي تسبب في تذمّر وسخط العديد من المواطنين
الذين اشتكوا من مشكل تموينهم بهاتين المادتين الأساسيتين، وهو ما جعلهم
يتأثرون بهذه الوضعية، خاصة مع وقوفهم في طوابير أمام محلات بيع الخبز
والحليب وسط تذمّر وقلق في الأعصاب. وتعود أسباب نقص التموين بالنسبة لمادة
الخبز التي أضحت تتكرر خلال هذه الأيام الأخيرة مع نهاية شهر أوت -استنادا
لما ذكره المتحدث- إلى غلق العديد من المخابز وتفضيل العاملين بها والذين
أغلبيتهم من خارج البلدية الدخول في عطلة سنوية بسبب ارتفاع الحرارة ومشقة
العمل،
كما أرجع نفس المصدر هذه الوضعية إلى غياب ثقافة الاستهلاك لدى المواطنين
أنواع الخبز، ما يتسبب في خلق الكثير من الفوضى. وأمام هذه الوضعية
الاستثنائية، فقد لجأ العديد من المواطنين -في مجابهة لهذه الأزمة- إلى
التموين بخبز الدار أو ما يطلق عليه بـخبز الطاجين، هذا الأخير الذي يعرف
هذه الأيام رواجا كبيرا بين المواطنين، وذلك بالاعتماد في اقتنائه إماّ
جاهزا بالنسبة لربات البيوت العاملات أو تحضيره بالبيت بالنسبة للنساء
الماكثات بالبيت، وذلك لتجنيب أفراد عائلتها وفقا لما ذكرته إحداهن. هذا
ولا تزال أزمة التموين بمادة الحليب بالبلدية متواصلة، وذلك منذ عدّة أيام،
ما تسبب في تذمّر وسخط العديد من المواطنين الذين أنهكهم التنقل من محلّ
إلى آخر، ومن بلدية إلى أخرى للظفر بكيس واحد من الحليب. ويروي هؤلاء
يومياتهم مع كيس الحليب، وكيف أنهم يستيقظون باكرا للوقوف في طوابير لا
متناهية تحت أشعة الشمس واقع حال دفع بالمواطنين إلى التنقل إلى بلديات
مجاورة من أجل التزود بالحليب والخبز، أمّا فيما يتعلق بأزمة الحليب، فقد
أرجعها تجّار محلات بيع المواد الغذائية إلى خلل في توزيع هذه المادة من
منتجي الحليب، وأكد أحد المواطنين أنه اضطر في إلى قطع العديد من
الكيلومترات والتجول في مختلف أحياء البلديات المجاورة كفرندة بحثا عن
الحليب، مؤكدا أن هذا الشلل هو الذي يدفع بالمستهلك إلى شراء كميات كبيرة
وتخزينها، داعيا إلى اتخاذ إجراءات صارمة فيما يخص التجار المخالفين وفتح
تحقيقات معمقة في القضية.
غزالي جمال
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مواطنون يدمّرون حانة باستعمال جرافات ثم يحرقونها في تيزي وزو
عائلة الجناة تهرّب أحد الجرحى من المستشفى خوفا من قتله
شهدت قرية آيت موح أوسليمان بمنطقة آيت منداس التابعة لدائرة بوغني جنوب ولاية تيزي وزو، انطلاقا من صبيحة أمس، حالة طوارئ قصوى بعد إقدام حشود من سكان المنطقة وضواحيها على شن هجوم على حانة «سوترافو»، حيث قاموا بحرقها وتخريب كل محتوياتها وعتادها بالاستعانة بالآلات والجرافات، وهذا على خلفية إقدام أربعة أشقاء يشغلون في تلك الحانة التي يمتلكها والدهم بقتل المدعو «ا.رابح» البالغ من العمر 30 سنة بواسطة طعنات خنجر وبالضرب وإصابة شقيقه «الياس» صاحب الـ24 سنة بطعنات خطيرة أدخلته غرفة الإنعاش بعدما قاما بالنهي عن المنكر، حيث خرجا من بيتهما وطلبا من الجناة أن يكفوا عن التلفظ بالكلام بالبذيء. وكشفت مصادرنا عن حالة استنفار شامل في القرية بعد تدمير الحانة الواقعة في قلبها وتنشط فيها منذ عدة سنوات، وقد امتدت أجواء الرعب والترقب تلك إلى مستشفى بوغني، حيث تم تهريب أحد الجرحى المصابين وهو من أقارب الجناة، حيث هرّبته عائلته على جناح السرعة خوفا من أن يلحق به الغاضبون ويقتلوه. وقد طالب السكان الذين أرادوا من خلال هجومهم هذا إيصال رسالة والانتقام للضحيتين المعروفين بأخلاقهما الحميدة، بفتح تحقيق حول ظروف إعادة فتح تلك «المحشاشة» لأبوابها، حيث سبق أن أغلقتها السلطات، كما نددوا أيضا بغياب المصالح الأمنية وعدم أدائها لواجبها . بوضياف يقيل رئيـس مصلحة الأمراض الصدرية بمستشفى
مصطفى باشا بسبب قضية أخلاقية
إخراج المريضات كان يتم على أساس تحضير العشاء للبروفيسور
الجمال والسكن خارج العاصمة شروط اختيار الضحايا
قام وزير الصّحة والسكان وإصلاح المستشفيات عبد المالك بوضياف، بإقالة رئيس مصلحة الأمراض الصدرية على مستوى المركز الاستشفائي الجامعي لمصطفى باشا الجامعي «س.ن»، بسبب قيامه باستغلال مريضات لأغراض غير أخلاقية .وفي هذا الشأن، كشف مصدر رسمي من مبنى وزارة الصحة، أن بوضياف بلغته تقارير حول تجاوزات أخلاقية ارتكبها البروفيسور «س.ن» في حق مريضات كن خاضعات للاستشفاء على مستوى المصلحة، حيث اتخذ المسؤول الأول عن القطاع قرارا بتنحيته حفاظا على سلامة المرضى.وذكرت ذات المصادر، أن الوزير حقق شخصيا في القضية من خلال الاستماع إلى عمال المصلحة، مشيرة إلى أن المسؤول الأول عن القطاع، رفض أن تتم المتاجرة بضعف المريضات واستغلالهن في أغراض غير أخلاقية، كون المستشفى مكان آمن وهدفه الحفاظ على سلامة المرضى بالدرجة الأولى. واستنادا إلى المصادر نفسها، تعود حيثيات القضية إلى سنة 2008، حيث تم قبول المريضة «ك.ز» التي لم يتعد سنها آنذاك 20 سنة، منحدرة من ولاية بسكرة، كانت تتمتع بقدر من الجمال، وكانت تعاني من مشكل صحي لا يتطلب الدخول إلى مستشفى، إلى أن أصبحت المريضة مدللة رئيس المصلحة، لدرجة أنه كان يوفر لها الكم الكبير من الهدايا والملابس والتسريحات عند الحلاقة، التي كانت تعمل على مقربة من المستشفى، وكانت عاملة من المصلحة، تتولى مهمة تجهيزها.وحسبما ورد في تقارير مفتشي وزارة الصحة، الذين تنقلوا إلى المصلحة وجمعوا شهادات حية من الأطباء والعاملين هناك، فإن الفتاة كان يتم تجهيزها في المصلحة من لباس وماكياج وتسريح للشعر على مرأى من العاملين هناك، لتنطلق في المساء إلى شقة في ڤاريدي، على أساس أنها تقوم بتجهيز العشاء للبروفيسور، وفي إحدى المرات، دخلت المستشفى صباحا في حالة متقدمة من السّكر، حيث لمحتها والدتها التي كانت تبحث عنها، في تلك الحالة، لينشب خلاف كبير مع القائمين على المصلحة حول سبب خروج ابنتها من المصلحة، ووجودها بتلك الملابس فاقدة للوعي بسبب الخمر.وحسب شهادات العاملين، كانت الفتاة قد أسرّت للعاملة التي كانت تشرف على تجهيزها، بعد أن سألتها عن سبب قيامها بمثل هذه الأفعال، أنها كانت تعمل ذلك بدافع الامتنان، مقابل خدمة كبيرة أسداها لها البروفيسور.وذكرت المصادر ذاتها، أن «ك.ز» لم تكن المريضة الوحيدة التي انضمت إلى طابور العاملات في مطبخ رئيس المصلحة ـ على حد تعبيرهن ـ، بل توالت الحالات اللواتي كان غالبيتهن من خارج العاصمة، حيث كان اختيارهن يتم وفقا لعدة شروط، أوّلها الجمال الكبير وعدم الإقامة في العاصمة، إذ كانت الفتيات تبقين لمدة تتراوح ما بين شهر وشهرين، حتى أن خروجهن من المصلحة كان بدون رخصة، وهو الأمر الذي يتنافى مع شروط الاستشفاء.وكانت آخر ضحية لرئيس المصلحة، هي السكرتيرة الخاصة به، التي غادرت المستشفى نهاية السنة الماضية، بعد أن أصيبت بإنهيار عصبي حاد جراء ما تعرضت له، وبناءً على ذلك، قرر وزير الصحة إقالة رئيس المصلحة من منصبه، وتعيين بروفيسور آخر يعمل بالمصلحة ذاتها على رأسها.
Ain Temouchent
Concours national de la meilleure plage
Rachgoun, Madrid et Chatt El Hilal
sur la liste des élues
Décidément, la commission de suivi et d’évaluation des plages de la wilaya d’Ain Temouchent, a élu les plages de Rechgoun 1, Madrid et Chatt El Hilal pour participer au concours national de la meilleure plage parmi les 20 sites qu’elle a visités ce week-end. Ayant obtenu l’étendard de mérite, les trois plages participeront au concours national de la meilleure plage.
Le barème établi par le ministère de tutelle prenait en compte tous les aspects en rapport avec la beauté du site, les conditions de vie dans les structures d’accueil, l’affluence des estivants, la sécurité des lieux de baignade, les appréciations des baigneurs et des vacanciers, les moyens de loisir, l’hygiène et la salubrité publique, la nature des aménagements existants et l’état des lieux des centres de colonies de vacances.
Elargie aux maires des villes côtières candidates, les chefs de daïras respectifs, le directeur du Tourisme et d’autres représentants désignés par l’arrêté de la constitution de la commission, qui avait à l’unanimité classé les trois plages selon l’ordre de mérite cité plus haut.
A noter que les deux premières appartiennent à la commune de Béni-Saf et la troisième à celle de Sidi Ben Adda. En sus, la commission de wilaya chargée du suivi et d’évaluation des plages a tenu compte d’autres préalables tels que le bon accueil des familles, les améliorations apportées en matière de l’alimentation de l’eau potable, l’assainissement des eaux usées, l’éclairage public et la sécurité des lieux de baignade et des baigneurs, ainsi que la couverture médicale et sécuritaire sur l’ensemble des plages. Quand la commission a bouclé son travail d’évaluation, les services de la protection civile qui y sont membres, avaient annoncé plus de 12 millions d’estivants qui ont foulé le sable des 20 plages que renferme la wilaya. A la seconde édition on prépare déjà les communes à se prendre en charge de bout en bout pour participer au concours, a-t-on appris.
Cela veut dire par déduction logique et simple que la gestion va revenir aux collectivités locales. Il s’agit de dépenses à engager et en contrepartie la régie de la commune côtière concède le service public de plusieurs lots et clauses diverses par adjudication qui seront publiées sur les colonnes de la presse nationale et sur site web du ministère de tutelle.
Pour l’heure, les choses sont en phase de préparation et de discussion mais ce qui est sûr, est d’apprendre qu’un décret exécutif portant mode de concession sera finalisé et publié avant la saison touristique 2016.
Cette disposition a figuré sur les informations rapportées par le ministre lors de sa dernière visite effectuée dans la wilaya d’Ain Temouchent quelques jours avant sa nomination à la tête de ce département ministériel qui regroupe aussi la pêche.
Place à l’innovation et au savoir-faire qui engrangent des recettes touristiques aux communes côtières.
B. Belhadri
Tissemsilt
Faute de nouvelles écoles
Des élèves du primaire des nouvelles cités dans l’impasse
Pour cette année scolaire, le secteur de l’éducation de la wilaya de Tissemsilt n’a toujours pas trouvé de solutions aux problèmes qu’endurent les habitants de la cité des 400 logements située à Ain Lorant à la sortie ouest de la ville de Tissemsilt, les renforcements visiblement dérisoires déployés par ce secteur n’ont pas chassé la peur des parents d’élèves qui est celle du problème de la bonne prise en charge, les parents d’élèves de cette partie de la ville évoquent encore une fois et dès maintenant le spectre de la délocalisation vers d’autres écoles lointaines de la domiciliation des élèves, la surcharge des classes et la difficulté pour leurs enfants et élèves d’atteindre les résultats escomptés dans de telles conditions, le retard accusé jusque-là dans la réception d’une école programmée pour la circonstance il y a plus d’une année rend la vie difficile aux parents qui devront dès maintenant penser à trouver une école pour caser leurs enfants et pour les petits bambins qui devront parcourir des kilomètres quotidiennement pour rallier leurs écoles respectives.
Ce même cas s’applique aussi aux élèves de la nouvelle cité de Ain El Bordj (Sidi Khelifa), le spectre est malheureusement toujours d’actualité, les parents affirment que les années passent, malheureusement elles se ressemblent, le changement souhaité n’a pas eu lieu cette année et les solutions ne semblent pas venir à travers ces nouvelles structures promises puisqu’elles paraissent réellement insuffisantes, le commun des habitants notamment les parents n’a pas apprécié l’état de la scolarisation au niveau de Ain El-Bordj et le nouveau groupement d’habitations de Sidi Khelifa, le renforcement des structures reste encore insuffisant et l’on s’attend comme d’habitude à un scénario semblable à celui des années passées, sinon pire, des exemples qui malheureusement reflètent encore une fois le problème du manque de structures scolaires au niveau des nouvelles cités distribuées et les difficultés que rencontrent les élèves où une bonne partie d’entre eux est orientée dans des écoles primaires très lointaines par rapport à leurs domiciles respectifs, une problématique qui n’a pas trouvé de solutions chez les décideurs qui à chaque fois, font ressortir une cause, une fois on parle de la défaillance des entreprises de réalisation, l’autre fois on parle d’une mauvaise étude d’évaluation de la part des services concernés mais en fin de compte, le résultat démontre clairement qu’aucune vraie stratégie n’a été adoptée pour finir une fois pour toutes avec ces problèmes qui refont surface avec chaque rentrée scolaire.
En somme, les indices prédisent que cette rentrée scolaire ne sera pas différente des précédentes et malheureusement si la direction de l’Education est pleinement impliquée dans cette situation, le rôle des associations de parents d’élèves et celui de la coordination de ces associations est pour beaucoup dans cette déplorable situation qui se répercute sur le résultat de leurs progénitures. A.Nadour
Le pan d’un balcon se détache d’un immeuble au centre-ville et blesse une fillette
Ce vieux bâti qui met en péril la vie des riverains
L’opération de réhabilitation du vieux bâti entre dans sa dernière phase.
Le pari qui fait la fierté des responsables de la ville, est pourtant loin d’être gagné, puisque les cas d’effondrement défrayent toujours la chronique, avec toute la colère qui suit des résidents furieux contre les responsables qui, selon eux, les auraient abandonnés dans des immeubles en péril, pour des raisons inexpliquées.
Ce péril menace parfois même les passants comme cela fut le cas au cours de la semaine dernière, au niveau de la célèbre rue Larbi Ben M’hidi, lorsqu’un pan de balcon qui s’est détaché d’un immeuble a blessé une fillette à l’épaule. Il faut dire que le pire a été évité de justesse, car l’accident aurait pu être plus grave.
Un tour à travers cette rue, ainsi que celles des Aurès (La Bastille), boulevard Maâta, ou encore la rue de Tlemcen, confirme la gravité du danger et confirme si besoin est, que beaucoup de travail reste à faire pour les responsables de la ville, car une bonne partie des immeubles constitue un réel danger pour leurs occupants notamment au centre-ville où a été recensé il y a une dizaine d’années le gros des bâtisses menaçant ruine. Selon un membre de comité de quartier, «Les résidents ont une grande responsabilité dans la détérioration de l’aspect général de la ville, dont les immeubles sont un musée à ciel ouvert, car laissant la façade sale et sombre. Laisser les choses en l’état, c’est laisser tout une mémoire de la ville partir en fumée», dira-t-il. Et d’ajouter:
«Heureusement que la dernière opération de restauration ait pu redonner une seconde jeunesse à ces immeubles, regardez du côté de la rue Khemisti et du boulevard de la Soummam, les immeubles sont de véritables chef-d’œuvres que beaucoup de jeunes Oranais n’ont découverts que dernièrement, et les photos balancées sur les réseaux sociaux en sont la preuve». Pour les responsables de la ville, l’opération n’est pas encore achevée, pour juger, car la dernière grande opération de relogement, a laissé quatre chantiers ouverts au niveau des quartiers mythiques d’Oran, en l’occurrence: El Hamri Médiouni, Ed-Derb et Sidi El Houari, qui vont subir selon des sources de la wilaya, un coup de lifting. Les travaux seront lancés incessamment après qu’un budget de près de 15 milliards DA ait été débloqué pour mener à terme l’opération de réhabilitation des vieilles bâtisses de ces quartiers. Une autre opération est prévue du côté du centre-ville, Plateau et Mers El Kébir, pour en finir avec le spectre des effondrements qui revient au-devant de la scène avec le début de la saison hivernale, lorsque quelques gouttes suffiront pour mettre des familles entières dehors. Pour les résidents du vieux bâti, vivement l’entame de l’opération de réhabilitation, et même de relogement, car cela est synonyme de quiétude et de sécurité, après des années passées avec la peur au ventre. Une meilleure coordination responsables-citoyens est donc primordiale à l’avenir pour éviter que ce travail vole en éclats après quelques années seulement, car l’insouciance de certains résidents qui n’alertent pas les responsables finit par mettre tout un immeuble ou un bâtiment en danger.
Jalil Mehnane
Pavillon 16 service ORL du CHUO
Faute de sanitaires, les femmes hospitalisées utilisent ceux des hommes
Nos lecteurs découvrent très souvent certaines situations plus étonnantes les unes que les autres, ce qui les amène à prendre contact avec notre rédaction pour faire part de ces conditions qui en principe n’ont pas lieu d’être. Dans l’après-midi de jeudi passé, c’est un homme dont l’épouse est hospitalisée au service ORL, pavillon numéro 16, qui s’étonne de l’absence totale de sanitaires dans l’aile où sont hospitalisées les femmes. Ce que nous avons constaté nous-mêmes sur place.
En effet, au niveau du pavillon numéro 16 du CHUO, l’aile où sont admises les femmes ne dispose pas de toilettes. Ainsi, du fait de cette contrainte, ces dernières sont contraintes de franchir et de traverser le long couloir de l’aile où sont hospitalisés les hommes pour se rendre aux toilettes situées tout à fait au fond. «Cette situation n’est quand même pas normale, voir une femme traverser ce long couloir d’au moins 20 mètres de l’aile réservée aux hommes pour se rendre aux sanitaires pour hommes, composés uniquement de deux cabinets comme vous pouvez constater, est une honte», affirment deux hommes que nous avons rencontrés sur place jeudi.
Avant d’accéder au couloir où se trouvent les chambres des hommes hospitalisés, nous avons constaté qu’il existe d’autres toilettes à mi-chemin entre l’aile des femmes et celle des hommes, tout près des chambres des femmes, plus précisément juste en face d’un bureau du service de ce pavillon, ce qui nous a amenés à nous renseigner auprès d’une infirmière, s’il était possible de nous y rendre, et ce, afin de nous assurer pour qui sont-elles destinées. L’infirmière nous a indiqué que celles-ci sont réservées au personnel de service et qu’il faut se rendre au fond du couloir, c’est-à-dire du côté où sont admis les hommes, des toilettes utilisées conjointement avec les femmes.
«Dans ce lieu, il n’y a que deux cabinets, imaginez qu’ils sont occupés par deux femmes au moment où, sans le savoir, un ou deux hommes attendent leur tour devant la porte. N’est-ce pas une honte ? Où est la pudeur dans tout cela», s’indignent nos interlocuteurs dont l’un était hospitalisé dans ce service.
A.Bekhaitia
Le marché des véhicules d’occasion ne cesse d’étendre ses tentacules
Les habitants d’El Makkari et de Bastié interpellent les pouvoirs publics
Apparu au tout début des années 2.000, le marché des voitures d’occasion d’El Makkari (Saint-Eugène) dont le site était localisé au départ au niveau de la rue Abou Dirham n’a cessé d’étendre ses tentacules. Depuis cette date les riverains ont toujours dénoncé l’implantation de ce marché illégal à proximité de leurs habitations, notamment en raison des multiples désagréments que cette situation leur cause dont la difficulté d’accès à leurs demeures n’est pas des moindres.
Malheureusement les tenants de cette forme de commerce, forts de l’impunité et de la passivité des services concernés, ont poussé l’outrecuidance jusqu’à prolonger le site d’exposition des voitures proposés à la vente pour s’étendre jusqu’au quartier voisin de Bastié.
Les riverains de ce quartier Bastié relevant du le secteur urbain Ibn Sina, qui ont de leur côté tenté de s’opposer à l’implantation de ce commerce à proximité de leurs logements ont, eux aussi dénoncé cet état de fait. Tout récemment, ils ont encore une fois lancé un appel aux autorités locales, pour procéder à l’éradication de ce marché de la honte qui se tient quotidiennement au niveau du boulevard principal non loin de l’arrêt du bus de la ligne B.
En effet, une centaine de véhicules d’occasion sont exposés à la vente chaque après-midi, au niveau de cette zone d’habitation, au grand dam des résidents qui veulent en finir avec les désagréments causés par cet espace commercial illégal. Par ailleurs, l’existence de ce genre de marchés informels à Oran, semble faire mal aux recettes du marché des véhicules d’El Kerma, qui n’arrive plus à attirer du monde.
Ce qui a obligé la direction chargée de la gestion de cette structure commerciale à ouvrir deux jours par semaine soit vendredi et samedi, pour espérer attirer les vendeurs des véhicules qui préfèrent les marchés informels de la ville comme celui des Castors notamment. A Bastié, les propriétaires de ces voitures n’hésitent pas à squatter les accotements tout au long d’une centaine de mètres. Ce qui agace vivement les riverains et les commerçants du quartier qui, pour lutter contre ce phénomène, sont obligés d’user de leurs propres moyens notamment par le dépôt de grosses pierres sur les trottoirs pour dissuader les vendeurs de stationner. «C’est chaque jour le même calvaire, le quartier étouffe à cause des dizaines de véhicules exposés à la vente, ce marché représente une véritable nuisance morale et sonore pour nous», dira un habitant. Notons également que la police avait mis il y a quelques mois des agents sur place, pour empêcher les vendeurs de stationner leurs véhicules. Toutefois, dès que les policiers sont absents, les lieux sont aussitôt réinvestis comme ces dernières semaines, selon des citoyens interrogés sur place et le nombre des véhicules proposés à la vente est en augmentation surtout durant les week-ends.
S. Messaoudi
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