الاخبار العاجلة لاكتشاف الجزائريين ان لباس البيكني للسباحة عرف في اوروبا سنوات 1930وفيديو يكشف تاريخ الملابس الشاطئية ويكشف ان الاوروبين لبسوا الحجاب الاسلامي في الشواطئ قبل مسلمات اوروبا والاسباب مجهولة

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الاخبار  العاجلة لاكتشاف  الجزائريين ان  لباس البيكني    للسباحة  عرف في اوروبا سنوات  1930وفيديو  يكشف تاريخ  الملابس  الشاطئية ويكشف ان الاوروبين لبسوا  الحجاب الاسلامي   في الشواطئ  قبل   مسلمات اوروبا والاسباب  مجهولة
فيديو يبرز تاريخ  لباس الشواطئ  النسائية 

Malgré leur qualité défectueuse et nocive pour la santé
Les articles scolaires chinois surclassent le produit local
Dans un passé récent, les écoliers des différents cycles d’enseignement se limitaient à l’utilisation d’articles scolaires ne disposant d’aucun attrait distinctif, ou d’un quelconque signe distrayant, ou d’un d’éclat colorié et plaisant, comme c’est le cas actuellement avec des articles truffés de toutes sortes de systèmes enluminés et électroniques.
C’était l’époque des plumiers en bois, des porte-plume Sergent Major, des encriers et buvards et des cartables à bandoulière. Certes, les articles scolaires d’avant n’étaient pas esthétiques et plaisants mais avaient cette forme de rigueur, de sérieux et de fermeté dans le suivi du cursus scolaire de l’élève.
Ces dernières années, un nouveau phénomène s’est introduit dans nos mœurs et prend de l’ampleur à chaque rentrée scolaire. Cette nouvelle tendance est caractérisée par l’inondation des nombreux points de vente par différents articles scolaires importés de Chine, aux prix très abordables mais à la qualité douteuse. En effet, face à la rareté des produits locaux ou à leurs prix onéreux, ces articles d’importation, très variés, aux couleurs chatoyantes et aux formes et design très attractifs, sont cédés au grand bonheur des pères de familles, à des prix alléchants défiant les prix de la production locale. Jusque-là, dirait-on, les choses sont à l’avantage des écoliers et de leurs parents.
Mais l’autre revers de la médaille est tout autre, car ces produits, allant du simple crayon ou stylo sous forme de têtes d’animaux, au tablier-gadget, en passant par les diverses formes et qualités des cartables, à la calculette proposée en forme de console de jeux, ne laissant aucun élève insensible à sa manipulation pour satisfaire sa curiosité même en cours de classe. En sus des produits toxiques injectés dans certains tubes de colle, de l’allergie causée par la manipulation des pâtes à modeler protège-cahiers en plastique douteux, et des tabliers dont le tissu cause des démangeaisons, certains spécialistes en psychologie et en pédagogie scolaire jugent que ces articles jouets, malgré leur haute gamme de couleurs et de belles formes, ont un impact négatif sur l’élève en l’éloignant de toute attention, concentration et assimilation en cours de classe, surtout, précisent ces spécialistes, pour les élèves débutants en première année.
Ajoutant que le jeune écolier attiré par le côté divertissant de l’article, distrait et très peu attentif en classe. Suite à des enquêtes sur le terrain, ces pédagogues tirent l’alarme en taxant ce phénomène dévastateur de grand danger menaçant la qualité de scolarité des élèves.
Conscient de la gravité de la situation que génère la qualité jugée douteuse de ces articles scolaires, dont la manipulation est parfois nocive pour la santé, s’interrogent sur l’absence de contrôle sur l’importation de ces produits qui cachent leur dangerosité et leur nocivité sous le manteau des prix bon marché.
D.Cherif

A une quinzaine de jours de l’Aïd El Kébir, les troupeaux de moutons font déjà leur apparition Les maquignons se frottent les mains L’Aïd El Adha s’approche et les éleveurs commencent déjà à envahir les marchés et les points de vente fixés par la direction des Services agricoles, afin d’exposer leurs troupeaux aux Oranais. Et si les éleveurs se frottent les mains, car pour eux cette période de l’Aïd El Kébir, est la plus attendue de l’année, les citoyens eux, calculent déjà les frais notamment avec la rentrée scolaire et les récentes fêtes religieuses, en l’occurrence le Ramadhan et l’Aïd El Fitr. Selon les premières estimations des éleveurs, le prix du mouton coûtera cette année à partir de 4,5 millions de centimes, de quoi encore grever fortement le budget des citoyens aux revenus modestes qui n’arrivent plus à faire face aux vicissitudes de la vie et à s’adapter à l’érosion progressive de leur pouvoir d’achat. Un maigre revenu est synonyme d’un faible pouvoir d’achat, du coup, plusieurs ménages seront privés du sacrifice cette année, à l’instar de l’année dernière, lorsque le mouton s’était négocié à partir de 35.000 dinars. Pointés du doigt, les éleveurs nous mettent en exergue les mêmes prétextes chaque année. Selon eux, plusieurs facteurs sont à l’origine de la hausse du prix du mouton, dont l’alimentation et les manœuvres spéculatives qui, au final, jouent un rôle primordial et déterminant pour le prix du mouton. En effet, les courtiers ou ceux qui sont communément appelés les revendeurs, se procurent auprès des éleveurs un nombre important de têtes quelques mois, voire tout juste quelques semaines avant la fête du sacrifice, non sans s’octroyer une importante marge bénéficiaire aux prix à leur convenance, sans que les autorités concernées n’interviennent. Ces pratiques font que le prix du mouton prend l’ascenseur au fur et à mesure que l’Aïd approche. Une hausse vertigineuse que beaucoup de citoyens trouvent déloyale et abusive, ne correspondant nullement avec le pouvoir d’achat du citoyen, car beaucoup plus élevé que le SNMG (salaire national minimum garanti) du travailleur algérien, qui stagne à 18.000 DA. Pour ceux qui vont s’efforcer pour l’achat, le prix bas et l’endroit où ils trouveront la meilleure qualité, sont déjà sur toutes les lèvres. Pour les éleveurs, vivement la dernière semaine avant l’Aïd, où le rush des clients battra son plein. Théoriquement, pas moins de 100 points de vente de moutons à travers les 26 communes ont été désignés par la direction des Services agricoles qui a au passage interdit l’exposition informelle de moutons et leur déplacement en grand nombre dans les rues de la capitale de l’Ouest. Mais à l’instar des années précédentes, le cheptel sera exposé aux quatre coins de la wilaya, en dehors des points de vente réglementaires, chose que les responsables ne pourront pas gérer. Pour certains citoyens, «l’image des troupeaux de moutons aux abords de la route et dans les garages est désormais la saveur de cette fête religieuse». Par ailleurs, au fur et à mesure que l’Aïd El Kébir s’approche, l’ambiance commence à s’installer au niveau des quartiers de la ville, et une seule question est sur toutes les lèvres: quel sera le prix du mouton cette année ? Jalil Mehnane Programme «Idmaj» pour l’employabilité des jeunes Lancement de la 2ème édition De nouvelles sessions de formation ont été lancées dans le cadre de la 2ème édition du programme d’insertion des jeunes «Idmaj», a-t-on appris jeudi à Oran auprès de l’association Santé Sidi-El-Houari(SDH), qui pilote cette initiative. Cette nouvelle édition s’étend jusqu’au 30 septembre au profit de 120 jeunes de 16 à 35 ans de trois wilayas de la région Ouest du pays (Oran, Tlemcen et Sidi Bel-Abbès), a précisé la chargée de communication de SDH, Assia Brahimi, dans une déclaration à l’APS en marge d’une manifestation portes-ouvertes sur l’Ecole-chantier de son association. La formation «Idmaj» offre aux apprenants «une série de compétences favorisant leur intégration sociale et leur réussite au plan professionnel», a-t-elle expliqué. Organisé sous le slogan «Passeport pour la réussite» (PPR), le programme aide les jeunes dans les compétences fondamentales comme le développement personnel, la gestion des conflits, le travail en équipe, et la communication efficace. Le cursus comprend également d’autres notions importantes en rapport avec l’objectif «succès au travail», notamment en matière de choix de carrière, d’entretien d’embauche, de gestion de projets, et de code de conduite en milieu professionnel. La première édition de ce programme, clôturée en avril dernier, avait bénéficié à d’autres jeunes des trois wilayas citées ainsi que celles d’Alger, Timimoune, Biskra et Mascara, a-t-on rappelé. Initié avec le soutien de la Fondation internationale pour la jeunesse,»Idmaj» –intégration- a été réalisé avec l’appui de nombreux partenaires. Les candidats ont le choix entre plusieurs spécialités, dont la maçonnerie traditionnelle, la forge et ferronnerie d’art, la menuiserie, charpente et plancher de bois, la couture et habillage d’intérieur, la taille de pierre, l’enduit et peinture, l’électricité de bâtiment, et la plomberie.

 

Sidi Bel Abbès
Le maire de Sidi Bel Abbès est accusé d’être à l’origine
de leur débrayage
Les commerçants des fruits et légumes
ferment le marché de gros
Les commerçants des fruits et légumes ont ce vendredi placardé des banderoles sur leurs camions qu’ils ont mis sur calle devant le marché de gros et ont envahi la route, exigeant la présence du wali de Sidi Bel Abbès, pour leur trouver un dénouement au problème.
Les mandataires qui ont fermé le marché de gros sis au quartier Ofla, ont cessé toutes activités accusant le président de l’Assemblée populaire communale de Sidi Bel Abbès d’être à l’origine de leur débrayage, et lui font porter la responsabilité de toutes les répercussions qui s’en suivront. Selon le coordinateur de l’Union générale des commerçants et artisans algériens, le conseil d’administration ad hoc devait se réunir mercredi écoulé avec le P/APC mais la rencontre n’a pas eu lieu car les 7 membres du conseil ont refusé la présence de 24 mandataires invités par le maire à y assister.
Les mandataires ont réclamé l’application de la réglementation en vigueur, notamment le recrutement officiel d’un nouveau directeur pour l’établissement public et mettre fin aux fonctions du chef de sécurité, source de leurs désagréments, souligne l’interlocuteur.
Selon toujours la même source, le maire qui est seul habilité à désigner ou limoger le directeur du marché de gros, n’a pas jusque-là réagi aux nombreuses doléances qui lui ont été adressées par les mandataires et leurs représentants syndicaux depuis plus de trois mois, précisera-t-il et d’ajouter que son abstention laisse poser moult questions et le place en position de complice avec l’ex-directeur du marché et son chef de sécurité.
Le représentant des mandataires soulignera que le débrayage va rompre l’approvisionnement des marchés et des magasins des fruits et légumes et de ce fait conduira à la pénurie de ces produits et mettra dans l’embarras 350 000 âmes de la commune de Sidi Bel Abbès.
Il est à indiquer qu’un dispositif sécuritaire des éléments de la police, a été toutefois mobilisé sur place, afin de parer à tout imprévu, au moment où les mandataires sont décidés de poursuivre leur mouvement jusqu’à leur rencontrer avec le wali en congé, auquel ils font confiance, estiment-ils.
Fatima A.
Tlemcen
Affectation de 1422 logements sociaux locatifs à Boudjlida
Il y avait du monde mercredi à Boudjelida et pour cause, la remise des clés aux bénéficiaires des 1422 logements, mais avant cette remise, les bénéficiaires ont été réunis au centre des arts et des expositions de Koudia, dans la proche banlieue nord de Tlemcen, pour assister au tirage au sort de positionnement (bâtiments et étages) des logements. Supervisée par le chef de daïra M. Kouider Benadane, l’opération en question s’est déroulée en présence des responsables de l’OPGI, d’un huissier de justice et d’un effectif important d’agents de sûreté nationale pour prévenir tout débordement. Le chef de daïra a déclaré que cette démarche édictée par le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, vise à garantir toute la transparence à l’opération pour éviter toute contestation, indiquant au passage que les personnes handicapées détentrices de dossiers médicaux y afférents, ont été prioritaires pour occuper les logements du rez-de-chaussée, à cet effet, cette action s’inscrit en droite ligne avec les directives du wali qui a insisté pour que tout se déroule dans les meilleures conditions possibles, afin d’assurer aux attributaires une prise en charge convenable. OB.Stambouli