اخر خبر
Les travaux de l’édifice bâti en 1903 traînaient depuis 2012Réception imminente de la mythique Grande PosteAprès plusieurs années de retard, les travaux de restauration de la mythique Grande Poste d’Oran située au niveau de la place Maghreb (ex-La Bastille) seront bientôt achevés, a-t-on constaté hier sur place.
Les responsables des travaux ont levé le voile sur le «new look» de la Grande Poste qui va égayer à nouveau la place Maghreb, parallèlement avec l’achèvement imminent de la réhabilitation de la placette, où rappelons-le les responsables ont éradiqué les kiosques situés dans ce site pour donner plus d’espace et une touche de modernité à cette partie de la capitale de l’Ouest, à l’instar de la place Kahina abritant l’autre monument phare de la ville, en l’occurrence la Bibliothèque municipale (ex-Cathédrale).
En plus de son importance historique, la Grande Poste d’Oran est un poumon des transactions postales. Depuis le début des travaux de restauration, la pression a été mise sur celle de Saïm Mohamed (ex-Saint Charles) et El Moudjahid (Miramar).
Après l’engagement d’une entreprise étrangère, les travaux de restauration de la Grande Poste d’Oran se sont accélérés, et ce, après un retard flagrant accusé par l’entreprise qui avait obtenu le marché en 2012, rappelle-t-on. Le contrat avec cet opérateur a été résilié en juin 2015 pour non-respect des délais de livraison du projet qui enregistrait à l’époque un taux d’avancement de 42% seulement.
Certes, l’opération de réfection de ce chef-d’œuvre architectural est compliquée et délicate, mais cette entreprise n’a pas été à la hauteur tout comme celle qui avait été engagée au début des travaux de restauration de l’Hôtel de ville, et qui a vite montré ses limites.
Parmi les autres raisons du retard, la difficulté du transfert des réseaux de télécommunications et du choix d’une entreprise apte à se conformer à l’étude de restauration pour préserver les caractéristiques architecturales de cet édifice bâti en 1903. Pour rappel, la décision de fermeture de la Grande Poste d’Oran jugée dans un état de délabrement avancé, avait été prise en novembre 2011. Implantée au boulevard Mohamed Khemisti, au centre-ville d’Oran, sur une superficie de 765 mètres carrés, la Grande Poste regroupe une recette principale, plusieurs services et 20 guichets qui accueillaient des milliers de citoyens quotidiennement. Cette bâtisse fut le théâtre d’une action historique, le 4 avril 1949, entreprise par un groupe de moudjahidine héros de la cause nationale dont Ahmed Benbella, Hocine Ait Ahmed, Hamou Boutlélis et Belhadj Bouchaib. Cette action spectaculaire s’était soldée par la saisie d’un butin qui avait permis l’acquisition d’armes pour le déclenchement de la glorieuse Révolution du 1er Novembre 1954.Jalil Mehnane
دفاعه طالب السلطات العمومية التدخل العاجل:
الصحفي تامالت على وشك الموت
الاثنين 22 أوت 2016 126 0
ناشد دفاع الصحفي محمد تامالت السلطات العمومية لإنقاذ الصحفي المسجون بالمؤسسة العقابية بالقليعة من الموت وهذا بعد 45 يوما من إضرابه عن الطعام.
وقال الدفاع في بيان أن المتهم تقدم أمام هيئة المحكمة منحنيا ومنهكا لا يستطيع الوقوف لتتم إدانته بعقوبة عامين حبسا نافذة وعندها ارتأى الدفاع عدم اللجوء إلى الطعن بالنقض أملا في استفادته من تخفيض العقوبة مثل غيره من الجانحين المحكوم عليهم بأحكام نهائية، كان عبارة عن كتلة من اللحم ملفوفة في قماش ملقاة على كرسي، فاقدا للذاكرة والنظر، وأنه كان في حالة شبه غيبوبة، عندها قرر دفاعه الطعن بالنقض ليتمكن من تجديد رخصة اتصال لزيارته أملا في مساعدته على التوقف عن الإضراب عن الطعام.
وفي ختام البيان الذي تحصلت جريدة "الحياة" على نسخة منه قال الدفاع أنه يستغيث ضمائر السلطات العمومية أن يستعجل حسن التصرف مع الصحفي محمد تامالت المحبوس الموشك على الهلاك بما تراه واجبا قانونيا وإنسانيا.
وقال الدفاع في بيان أن المتهم تقدم أمام هيئة المحكمة منحنيا ومنهكا لا يستطيع الوقوف لتتم إدانته بعقوبة عامين حبسا نافذة وعندها ارتأى الدفاع عدم اللجوء إلى الطعن بالنقض أملا في استفادته من تخفيض العقوبة مثل غيره من الجانحين المحكوم عليهم بأحكام نهائية، كان عبارة عن كتلة من اللحم ملفوفة في قماش ملقاة على كرسي، فاقدا للذاكرة والنظر، وأنه كان في حالة شبه غيبوبة، عندها قرر دفاعه الطعن بالنقض ليتمكن من تجديد رخصة اتصال لزيارته أملا في مساعدته على التوقف عن الإضراب عن الطعام.
وفي ختام البيان الذي تحصلت جريدة "الحياة" على نسخة منه قال الدفاع أنه يستغيث ضمائر السلطات العمومية أن يستعجل حسن التصرف مع الصحفي محمد تامالت المحبوس الموشك على الهلاك بما تراه واجبا قانونيا وإنسانيا.
ـ
-
Ain Temouchent Le Centre universitaire renforce ses capacités pédagogiquesPas moins de 1.450 places pédagogiques renforceront, à la fin du mois de septembre prochain, le centre universitaire Belhadj Bouchaib d’Ain Temouchent, a annoncé le wali Hamou Ahmed Touhami à l’issue d’une visite d’inspection des chantiers relevant du secteur de l’enseignement supérieur.
Ces chantiers portent sur la réalisation de 4.000 places pédagogiques. Les travaux confiés à une entreprise privée, en avril écoulé, à la suite de la résiliation, en décembre 2015, du contrat aux torts d’une autre entreprise, enregistrent un taux d’avancement de 80 pour cent au niveau de deux blocs pédagogiques, a indiqué le responsable de l’exécutif, lors de cette visite effectuée, dimanche, au CUAT. Seuls les travaux de peinture et ceux du chauffage central restent à faire avant la livraison, prévue à la fin du mois prochain, a-t-on précisé.
Ce projet, inscrit en 2010 pour une enveloppe de 1, 956 milliard DA, a enregistré un retard conséquent, surtout au niveau de l’entité « A », dont l’entreprise a fait l’objet de trois mises en demeure, rappelle-t-on. Cette entité A porte sur la réalisation de 17 salles de cours, neuf salles de travaux dirigés, trois amphithéâtres, cinq laboratoires, neuf bureaux et cinq salles pour enseignants. Une fois livrés, ces infrastructures permettront au centre de renforcer ses capacités d’accueil de 4.000 places, actuellement, à 5.450 places à la fin du mois prochain, améliorant les conditions d’accueil de plus de 10.000 étudiants, anciens et nouveaux, attendus sur place, à l’occasion de la rentrée universitaire 2016/2017, a-t-on fait savoir. Une autre tranche de 2.000 places pédagogiques enregistre un taux d’avancement normal, a encore ajouté le wali, précisant que 2.000 autres places sont encore à l’étude préalablement à leur lancement en travaux pour porter les capacités totales du CUAT à 10.000 places. Par ailleurs, les travaux de réalisation du restaurant universitaire de 800 places enregistrent un taux d’avancement de 90 pour cent. Le projet sera livré à la fin du mois prochain, a-t-on indiqué.
Ces chantiers portent sur la réalisation de 4.000 places pédagogiques. Les travaux confiés à une entreprise privée, en avril écoulé, à la suite de la résiliation, en décembre 2015, du contrat aux torts d’une autre entreprise, enregistrent un taux d’avancement de 80 pour cent au niveau de deux blocs pédagogiques, a indiqué le responsable de l’exécutif, lors de cette visite effectuée, dimanche, au CUAT. Seuls les travaux de peinture et ceux du chauffage central restent à faire avant la livraison, prévue à la fin du mois prochain, a-t-on précisé.
Ce projet, inscrit en 2010 pour une enveloppe de 1, 956 milliard DA, a enregistré un retard conséquent, surtout au niveau de l’entité « A », dont l’entreprise a fait l’objet de trois mises en demeure, rappelle-t-on. Cette entité A porte sur la réalisation de 17 salles de cours, neuf salles de travaux dirigés, trois amphithéâtres, cinq laboratoires, neuf bureaux et cinq salles pour enseignants. Une fois livrés, ces infrastructures permettront au centre de renforcer ses capacités d’accueil de 4.000 places, actuellement, à 5.450 places à la fin du mois prochain, améliorant les conditions d’accueil de plus de 10.000 étudiants, anciens et nouveaux, attendus sur place, à l’occasion de la rentrée universitaire 2016/2017, a-t-on fait savoir. Une autre tranche de 2.000 places pédagogiques enregistre un taux d’avancement normal, a encore ajouté le wali, précisant que 2.000 autres places sont encore à l’étude préalablement à leur lancement en travaux pour porter les capacités totales du CUAT à 10.000 places. Par ailleurs, les travaux de réalisation du restaurant universitaire de 800 places enregistrent un taux d’avancement de 90 pour cent. Le projet sera livré à la fin du mois prochain, a-t-on indiqué.
Tiaret
146 établissements scolaires alimentés en gaz propaneQuelque 146 établissements scolaires des zones éloignées de la wilaya de Tiaret seront alimentés en gaz propane cette année a-t-on appris auprès de la direction locale de l’énergie.
Le responsable du secteur, Miloud Boudjela, a indiqué que ces établissements sont implantés dans les zones éloignées et non raccordées au réseau de gaz naturel de 39 communes. La wilaya de Tiaret, rappelle-t-on compte 42 communes. Le responsable a précisé que ces établissements, des écoles primaires pour la plupart, seront alimentés en gaz propane à l’aide de bonbonnes ou de citernes. Les APC doivent réserver des emplacements à cet effet et assurer les équipements adéquats au sein des écoles. Dans ce sens, 120 écoles seront alimentées par le biais de bobonnes de propane de 35 kg alors que 26 établissements disposeront de citernes. Le coût de l’opération a été estimé à près de 160 millions DA. Elle porte sur l’acquisition de 101 bonbonnes, 45 citernes et plus de 1.100 chauffages.
La wilaya de Tiaret compte 54 lycées, 135 CEM et 509 écoles primaires. Cette région des hauts-plateaux est réputée pour ses hivers rugueux.
146 établissements scolaires alimentés en gaz propaneQuelque 146 établissements scolaires des zones éloignées de la wilaya de Tiaret seront alimentés en gaz propane cette année a-t-on appris auprès de la direction locale de l’énergie.
Le responsable du secteur, Miloud Boudjela, a indiqué que ces établissements sont implantés dans les zones éloignées et non raccordées au réseau de gaz naturel de 39 communes. La wilaya de Tiaret, rappelle-t-on compte 42 communes. Le responsable a précisé que ces établissements, des écoles primaires pour la plupart, seront alimentés en gaz propane à l’aide de bonbonnes ou de citernes. Les APC doivent réserver des emplacements à cet effet et assurer les équipements adéquats au sein des écoles. Dans ce sens, 120 écoles seront alimentées par le biais de bobonnes de propane de 35 kg alors que 26 établissements disposeront de citernes. Le coût de l’opération a été estimé à près de 160 millions DA. Elle porte sur l’acquisition de 101 bonbonnes, 45 citernes et plus de 1.100 chauffages.
La wilaya de Tiaret compte 54 lycées, 135 CEM et 509 écoles primaires. Cette région des hauts-plateaux est réputée pour ses hivers rugueux.
Ain Temouchent Le Centre universitaire renforce ses capacités pédagogiquesPas moins de 1.450 places pédagogiques renforceront, à la fin du mois de septembre prochain, le centre universitaire Belhadj Bouchaib d’Ain Temouchent, a annoncé le wali Hamou Ahmed Touhami à l’issue d’une visite d’inspection des chantiers relevant du secteur de l’enseignement supérieur.
Ces chantiers portent sur la réalisation de 4.000 places pédagogiques. Les travaux confiés à une entreprise privée, en avril écoulé, à la suite de la résiliation, en décembre 2015, du contrat aux torts d’une autre entreprise, enregistrent un taux d’avancement de 80 pour cent au niveau de deux blocs pédagogiques, a indiqué le responsable de l’exécutif, lors de cette visite effectuée, dimanche, au CUAT. Seuls les travaux de peinture et ceux du chauffage central restent à faire avant la livraison, prévue à la fin du mois prochain, a-t-on précisé.
Ce projet, inscrit en 2010 pour une enveloppe de 1, 956 milliard DA, a enregistré un retard conséquent, surtout au niveau de l’entité « A », dont l’entreprise a fait l’objet de trois mises en demeure, rappelle-t-on. Cette entité A porte sur la réalisation de 17 salles de cours, neuf salles de travaux dirigés, trois amphithéâtres, cinq laboratoires, neuf bureaux et cinq salles pour enseignants. Une fois livrés, ces infrastructures permettront au centre de renforcer ses capacités d’accueil de 4.000 places, actuellement, à 5.450 places à la fin du mois prochain, améliorant les conditions d’accueil de plus de 10.000 étudiants, anciens et nouveaux, attendus sur place, à l’occasion de la rentrée universitaire 2016/2017, a-t-on fait savoir. Une autre tranche de 2.000 places pédagogiques enregistre un taux d’avancement normal, a encore ajouté le wali, précisant que 2.000 autres places sont encore à l’étude préalablement à leur lancement en travaux pour porter les capacités totales du CUAT à 10.000 places. Par ailleurs, les travaux de réalisation du restaurant universitaire de 800 places enregistrent un taux d’avancement de 90 pour cent. Le projet sera livré à la fin du mois prochain, a-t-on indiqué.
Ces chantiers portent sur la réalisation de 4.000 places pédagogiques. Les travaux confiés à une entreprise privée, en avril écoulé, à la suite de la résiliation, en décembre 2015, du contrat aux torts d’une autre entreprise, enregistrent un taux d’avancement de 80 pour cent au niveau de deux blocs pédagogiques, a indiqué le responsable de l’exécutif, lors de cette visite effectuée, dimanche, au CUAT. Seuls les travaux de peinture et ceux du chauffage central restent à faire avant la livraison, prévue à la fin du mois prochain, a-t-on précisé.
Ce projet, inscrit en 2010 pour une enveloppe de 1, 956 milliard DA, a enregistré un retard conséquent, surtout au niveau de l’entité « A », dont l’entreprise a fait l’objet de trois mises en demeure, rappelle-t-on. Cette entité A porte sur la réalisation de 17 salles de cours, neuf salles de travaux dirigés, trois amphithéâtres, cinq laboratoires, neuf bureaux et cinq salles pour enseignants. Une fois livrés, ces infrastructures permettront au centre de renforcer ses capacités d’accueil de 4.000 places, actuellement, à 5.450 places à la fin du mois prochain, améliorant les conditions d’accueil de plus de 10.000 étudiants, anciens et nouveaux, attendus sur place, à l’occasion de la rentrée universitaire 2016/2017, a-t-on fait savoir. Une autre tranche de 2.000 places pédagogiques enregistre un taux d’avancement normal, a encore ajouté le wali, précisant que 2.000 autres places sont encore à l’étude préalablement à leur lancement en travaux pour porter les capacités totales du CUAT à 10.000 places. Par ailleurs, les travaux de réalisation du restaurant universitaire de 800 places enregistrent un taux d’avancement de 90 pour cent. Le projet sera livré à la fin du mois prochain, a-t-on indiqué.
Tiaret
146 établissements scolaires alimentés en gaz propaneQuelque 146 établissements scolaires des zones éloignées de la wilaya de Tiaret seront alimentés en gaz propane cette année a-t-on appris auprès de la direction locale de l’énergie.
Le responsable du secteur, Miloud Boudjela, a indiqué que ces établissements sont implantés dans les zones éloignées et non raccordées au réseau de gaz naturel de 39 communes. La wilaya de Tiaret, rappelle-t-on compte 42 communes. Le responsable a précisé que ces établissements, des écoles primaires pour la plupart, seront alimentés en gaz propane à l’aide de bonbonnes ou de citernes. Les APC doivent réserver des emplacements à cet effet et assurer les équipements adéquats au sein des écoles. Dans ce sens, 120 écoles seront alimentées par le biais de bobonnes de propane de 35 kg alors que 26 établissements disposeront de citernes. Le coût de l’opération a été estimé à près de 160 millions DA. Elle porte sur l’acquisition de 101 bonbonnes, 45 citernes et plus de 1.100 chauffages.
La wilaya de Tiaret compte 54 lycées, 135 CEM et 509 écoles primaires. Cette région des hauts-plateaux est réputée pour ses hivers rugueux.
146 établissements scolaires alimentés en gaz propaneQuelque 146 établissements scolaires des zones éloignées de la wilaya de Tiaret seront alimentés en gaz propane cette année a-t-on appris auprès de la direction locale de l’énergie.
Le responsable du secteur, Miloud Boudjela, a indiqué que ces établissements sont implantés dans les zones éloignées et non raccordées au réseau de gaz naturel de 39 communes. La wilaya de Tiaret, rappelle-t-on compte 42 communes. Le responsable a précisé que ces établissements, des écoles primaires pour la plupart, seront alimentés en gaz propane à l’aide de bonbonnes ou de citernes. Les APC doivent réserver des emplacements à cet effet et assurer les équipements adéquats au sein des écoles. Dans ce sens, 120 écoles seront alimentées par le biais de bobonnes de propane de 35 kg alors que 26 établissements disposeront de citernes. Le coût de l’opération a été estimé à près de 160 millions DA. Elle porte sur l’acquisition de 101 bonbonnes, 45 citernes et plus de 1.100 chauffages.
La wilaya de Tiaret compte 54 lycées, 135 CEM et 509 écoles primaires. Cette région des hauts-plateaux est réputée pour ses hivers rugueux.
Après son classement au titre de site protégé Sidi El Houari attend son plan de sauvegarde
L’Algérie compte à ce jour, trois secteurs sauvegardés, à savoir celui de la Casbah d’Alger (2012), de la Vieille ville de Constantine (2014), ainsi que celui du vieux quartier de Sidi El Houari à Oran (2015).
A ce jour, seuls les sites d’Alger et de Constantine bénéficient d’un plan de sauvegarde, alors que celui d’Oran attend encore la mise en place de cet instrument juridico-urbanistique.
Dans ce contexte, il convient de rappeler que le décret exécutif portant création et délimitation du secteur sauvegardé du quartier de Sidi El Houari avait été publié au Journal Officiel de la République Algérienne (JORA) paru le 08 février 2015, et ce, en application des dispositions de l’article 42 de la loi n° 98-04 relative à la protection du patrimoine culturel.
Selon l’un des articles de cet instrument juridique, le quartier de Sidi El-Houari est considéré comme un “centre historique vivant”. Ce quartier qui concentre à lui seul le gros des sites et monuments historiques de la wilaya d’Oran est considéré comme “un ensemble immobilier urbain homogène caractérisé par la diversité de son tissu architectural et urbain”.
Il y a lieu de noter qu’il existe dans ce quartier du vieux Oran, d’innombrables sites et monuments historiques, datant de différentes périodes, dont certains sont déjà classés, à l’image de Palais du Bey et de la Mosquée du Pacha (classés en 1952).
D’une superficie de 70 ha et 39 ares, le secteur sauvegardé du quartier historique de Sidi El Houari est délimité comme suit : au nord, par le port d’Oran (le vieux port). A l’est, par l’Oued Ruina, le théâtre de verdure, la place 1er Novembre 1954, la place Ben Daoud et le quartier Derb. Au sud, également par la place Ben Daoud, quartier Derb, ainsi que par le ravin de Ras El Aïn, la cité Sidi El Houari et le terrain Hadj Hassan. A l’ouest, par la forêt de Murdjadjou, la route Sandid Fatima et la route Bab El-Hamra.
B.Salim
L’Algérie compte à ce jour, trois secteurs sauvegardés, à savoir celui de la Casbah d’Alger (2012), de la Vieille ville de Constantine (2014), ainsi que celui du vieux quartier de Sidi El Houari à Oran (2015).
A ce jour, seuls les sites d’Alger et de Constantine bénéficient d’un plan de sauvegarde, alors que celui d’Oran attend encore la mise en place de cet instrument juridico-urbanistique.
Dans ce contexte, il convient de rappeler que le décret exécutif portant création et délimitation du secteur sauvegardé du quartier de Sidi El Houari avait été publié au Journal Officiel de la République Algérienne (JORA) paru le 08 février 2015, et ce, en application des dispositions de l’article 42 de la loi n° 98-04 relative à la protection du patrimoine culturel.
Selon l’un des articles de cet instrument juridique, le quartier de Sidi El-Houari est considéré comme un “centre historique vivant”. Ce quartier qui concentre à lui seul le gros des sites et monuments historiques de la wilaya d’Oran est considéré comme “un ensemble immobilier urbain homogène caractérisé par la diversité de son tissu architectural et urbain”.
Il y a lieu de noter qu’il existe dans ce quartier du vieux Oran, d’innombrables sites et monuments historiques, datant de différentes périodes, dont certains sont déjà classés, à l’image de Palais du Bey et de la Mosquée du Pacha (classés en 1952).
D’une superficie de 70 ha et 39 ares, le secteur sauvegardé du quartier historique de Sidi El Houari est délimité comme suit : au nord, par le port d’Oran (le vieux port). A l’est, par l’Oued Ruina, le théâtre de verdure, la place 1er Novembre 1954, la place Ben Daoud et le quartier Derb. Au sud, également par la place Ben Daoud, quartier Derb, ainsi que par le ravin de Ras El Aïn, la cité Sidi El Houari et le terrain Hadj Hassan. A l’ouest, par la forêt de Murdjadjou, la route Sandid Fatima et la route Bab El-Hamra.
B.Salim
Les meilleures conditions leur ont été réservées
7000 hadjis décolleront à partir de l’aéroport Ahmed BenbellaDepuis jeudi dernier, l’aéroport international Ahmed Benbella vit au rythme du hadj 2016, ce jour-là, le premier groupe de pèlerins a quitté le pays pour rallier l’Arabie Saoudite plus précisément Médine pour le début des rites du 5ème pilier de l’Islam. Selon nos sources, la valse des hadjis au niveau de l’aéroport d’Es-Sénia continuera jusqu’au début septembre avec en tout, 7000 pèlerins venus de toutes la région Ouest qui décolleront d’Oran.
Pour en arriver à maîtriser le flux des familles, la direction de l’aéroport en collaboration avec la police des frontières a mis toutes les dispositions afin que tous les hadjis soient pris convenablement en charge, suite aux instructions du Premier ministre Abdelmalek Sellal et du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa, qui ont mis l’accent sur les conditions de départ et de séjour des Algériens aux Lieux Saints de l’Islam.
«Comme vous voyez, le départ des hadjis se déroule comme prévu, et dans de bonnes conditions, et cela grâce aux efforts fournis par l’ensemble des structures au niveau de cet aéroport, les hadjis ont affiché leur satisfaction et ont constaté une nette amélioration par rapport aux années précédentes, et cela nous réjouit», dira un responsable de l’aéroport Ahmed Benbella.
De son côté, l’Office national du hadj et de la omra (ONHO) redouble d’effort afin de mettre tous les moyens à la disposition de la délégation algérienne.
La pression est également pesante sur les 60 agences de tourisme qui prennent en charge les 16.360 pèlerins au niveau national, dans le cadre du hadj 2016.
Cette année, les agences de voyages ont remplacé les pèlerins dans toutes les opérations relatives au hadj à commencer par le paiement du coût du pèlerinage à la réception du passeport avec visa, ainsi que le billet d’avion pour les Lieux Saints.
Les rites du hadj de cette année seront un test pour les agences engagées par l’ONHO, en cas de défaillance, elles recourent à de lourdes sanctions allant à l’exclusion.
Les responsables algériens ont parié cette année sur des conditions de séjour confortables et sans tracas, avec la mise en place d’un nouveau système numérique, de transport et d’hébergement des pèlerins, avec à la clé, un bracelet électronique «Made in Algeria» qui permettra de localiser la position du hadji depuis son départ vers les Lieux Saints à son retour au pays.
En plus, la tenue unifiée des hadjis algériens facilitera leur orientation. Pour ce qui est de l’encadrement, une caravane du hadj a initié les pèlerins à l’accomplissement des rites. Elle a sillonné pratiquement 14 wilayas du pays.
Jalil Mehnane
7000 hadjis décolleront à partir de l’aéroport Ahmed BenbellaDepuis jeudi dernier, l’aéroport international Ahmed Benbella vit au rythme du hadj 2016, ce jour-là, le premier groupe de pèlerins a quitté le pays pour rallier l’Arabie Saoudite plus précisément Médine pour le début des rites du 5ème pilier de l’Islam. Selon nos sources, la valse des hadjis au niveau de l’aéroport d’Es-Sénia continuera jusqu’au début septembre avec en tout, 7000 pèlerins venus de toutes la région Ouest qui décolleront d’Oran.
Pour en arriver à maîtriser le flux des familles, la direction de l’aéroport en collaboration avec la police des frontières a mis toutes les dispositions afin que tous les hadjis soient pris convenablement en charge, suite aux instructions du Premier ministre Abdelmalek Sellal et du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa, qui ont mis l’accent sur les conditions de départ et de séjour des Algériens aux Lieux Saints de l’Islam.
«Comme vous voyez, le départ des hadjis se déroule comme prévu, et dans de bonnes conditions, et cela grâce aux efforts fournis par l’ensemble des structures au niveau de cet aéroport, les hadjis ont affiché leur satisfaction et ont constaté une nette amélioration par rapport aux années précédentes, et cela nous réjouit», dira un responsable de l’aéroport Ahmed Benbella.
De son côté, l’Office national du hadj et de la omra (ONHO) redouble d’effort afin de mettre tous les moyens à la disposition de la délégation algérienne.
La pression est également pesante sur les 60 agences de tourisme qui prennent en charge les 16.360 pèlerins au niveau national, dans le cadre du hadj 2016.
Cette année, les agences de voyages ont remplacé les pèlerins dans toutes les opérations relatives au hadj à commencer par le paiement du coût du pèlerinage à la réception du passeport avec visa, ainsi que le billet d’avion pour les Lieux Saints.
Les rites du hadj de cette année seront un test pour les agences engagées par l’ONHO, en cas de défaillance, elles recourent à de lourdes sanctions allant à l’exclusion.
Les responsables algériens ont parié cette année sur des conditions de séjour confortables et sans tracas, avec la mise en place d’un nouveau système numérique, de transport et d’hébergement des pèlerins, avec à la clé, un bracelet électronique «Made in Algeria» qui permettra de localiser la position du hadji depuis son départ vers les Lieux Saints à son retour au pays.
En plus, la tenue unifiée des hadjis algériens facilitera leur orientation. Pour ce qui est de l’encadrement, une caravane du hadj a initié les pèlerins à l’accomplissement des rites. Elle a sillonné pratiquement 14 wilayas du pays.
Jalil Mehnane
Les travaux de l’édifice bâti en 1903 traînaient depuis 2012Réception imminente de la mythique Grande PosteAprès plusieurs années de retard, les travaux de restauration de la mythique Grande Poste d’Oran située au niveau de la place Maghreb (ex-La Bastille) seront bientôt achevés, a-t-on constaté hier sur place.
Les responsables des travaux ont levé le voile sur le «new look» de la Grande Poste qui va égayer à nouveau la place Maghreb, parallèlement avec l’achèvement imminent de la réhabilitation de la placette, où rappelons-le les responsables ont éradiqué les kiosques situés dans ce site pour donner plus d’espace et une touche de modernité à cette partie de la capitale de l’Ouest, à l’instar de la place Kahina abritant l’autre monument phare de la ville, en l’occurrence la Bibliothèque municipale (ex-Cathédrale).
En plus de son importance historique, la Grande Poste d’Oran est un poumon des transactions postales. Depuis le début des travaux de restauration, la pression a été mise sur celle de Saïm Mohamed (ex-Saint Charles) et El Moudjahid (Miramar).
Après l’engagement d’une entreprise étrangère, les travaux de restauration de la Grande Poste d’Oran se sont accélérés, et ce, après un retard flagrant accusé par l’entreprise qui avait obtenu le marché en 2012, rappelle-t-on. Le contrat avec cet opérateur a été résilié en juin 2015 pour non-respect des délais de livraison du projet qui enregistrait à l’époque un taux d’avancement de 42% seulement.
Certes, l’opération de réfection de ce chef-d’œuvre architectural est compliquée et délicate, mais cette entreprise n’a pas été à la hauteur tout comme celle qui avait été engagée au début des travaux de restauration de l’Hôtel de ville, et qui a vite montré ses limites.
Parmi les autres raisons du retard, la difficulté du transfert des réseaux de télécommunications et du choix d’une entreprise apte à se conformer à l’étude de restauration pour préserver les caractéristiques architecturales de cet édifice bâti en 1903. Pour rappel, la décision de fermeture de la Grande Poste d’Oran jugée dans un état de délabrement avancé, avait été prise en novembre 2011. Implantée au boulevard Mohamed Khemisti, au centre-ville d’Oran, sur une superficie de 765 mètres carrés, la Grande Poste regroupe une recette principale, plusieurs services et 20 guichets qui accueillaient des milliers de citoyens quotidiennement. Cette bâtisse fut le théâtre d’une action historique, le 4 avril 1949, entreprise par un groupe de moudjahidine héros de la cause nationale dont Ahmed Benbella, Hocine Ait Ahmed, Hamou Boutlélis et Belhadj Bouchaib. Cette action spectaculaire s’était soldée par la saisie d’un butin qui avait permis l’acquisition d’armes pour le déclenchement de la glorieuse Révolution du 1er Novembre 1954.Jalil Mehnane
جريمة الاعتداء بسلاح ناري بالشلف تكشف:
الجاني مستشار الرئيسين هواري بومدين و زروال
الاثنين 22 أوت 2016 219 0
واطنو بلدية بني حواء بولاية الشلف، حادثة الاعتداء التي تعرض لها الشاب المغترب ببريطانيا (كمال .م) 39 سنة ، وكان بطلها الإطار المتقاعد برئاسة الجمهورية في عهدي الرئيسين هواري بومدين ولامين زروال المسمى (ميلود . م).
وبحسب شهود عيان فإن الحادثة التي شهدتها منطقة برج القايد بذات المدينة، أمسية السبت الفارط، تعود حيثياتها حينما طلب الجاني من الضحية تمكينه من المرور لمقر إقامته بعد أن ركن الشاب المغترب سيارته بالقرب من منزله، هذا الأخير دعاه للتريث، الأمر الذي اعتبره المتقاعد من رئاسة الجمهورية بالاستفزاز، فلم يتوان لتهديد الضحية بإشهار سلاحه الناري، وهو ما اعتبره الضحية ذلك بمجرد تهديد لا غير قبل أن يبادر في توجيه عيار ناري نحو رجل الضحية الأيمن ويده اليسري، ليدخل بعدها حامل السلاح في حالة هستيرية ويوجه 6 رصاصات في أنحاء مختلفة من جسم ضحيته الذي بقي قابعا في بركة من دماء أمام مرأى الجيران ، تطلبت نقله نحو المؤسسة الاستشفائية في حالة حرجة .
ليفر بعدها الجاني الفرار نحو الغابة قبل أن تتمكن بعدها مصالح الدرك من توقيفه، وأفادت التحريات الأولية أن الجاني يتواجد بالمنطقة لقضاء عطلته، وقد حجزت مصالح الأمن السلاح الناري، فيما أفادت مصادر أن وكيل الجمهورية لدى محكمة تنس طالب باتخاذ الإجراءات القانونية مباشرة بعد الحادثة.
وأكدت مصادر موثوقة أن الحادث راجع لخلاف متواتر بين العائلتين منذ عقود من الزمن بسبب ملكية عقار ، وأن حادثة إطلاقه النار على إثر بعد أن ركن الشاب المغترب سيارته بالقرب من منزله الواقع ببلدية بني حواء الساحلية بالشلف كانت النقطة التي أفاضت الكأس من النزاع الحاصل ، هذا الأخير دعاه للتريث ، الأمر الذي اعتبره المتقاعد من رئاسة الجمهورية بالاستفزاز ، فلم يتوان في استعمال سلاحه.
وبحسب شهود عيان فإن الحادثة التي شهدتها منطقة برج القايد بذات المدينة، أمسية السبت الفارط، تعود حيثياتها حينما طلب الجاني من الضحية تمكينه من المرور لمقر إقامته بعد أن ركن الشاب المغترب سيارته بالقرب من منزله، هذا الأخير دعاه للتريث، الأمر الذي اعتبره المتقاعد من رئاسة الجمهورية بالاستفزاز، فلم يتوان لتهديد الضحية بإشهار سلاحه الناري، وهو ما اعتبره الضحية ذلك بمجرد تهديد لا غير قبل أن يبادر في توجيه عيار ناري نحو رجل الضحية الأيمن ويده اليسري، ليدخل بعدها حامل السلاح في حالة هستيرية ويوجه 6 رصاصات في أنحاء مختلفة من جسم ضحيته الذي بقي قابعا في بركة من دماء أمام مرأى الجيران ، تطلبت نقله نحو المؤسسة الاستشفائية في حالة حرجة .
ليفر بعدها الجاني الفرار نحو الغابة قبل أن تتمكن بعدها مصالح الدرك من توقيفه، وأفادت التحريات الأولية أن الجاني يتواجد بالمنطقة لقضاء عطلته، وقد حجزت مصالح الأمن السلاح الناري، فيما أفادت مصادر أن وكيل الجمهورية لدى محكمة تنس طالب باتخاذ الإجراءات القانونية مباشرة بعد الحادثة.
وأكدت مصادر موثوقة أن الحادث راجع لخلاف متواتر بين العائلتين منذ عقود من الزمن بسبب ملكية عقار ، وأن حادثة إطلاقه النار على إثر بعد أن ركن الشاب المغترب سيارته بالقرب من منزله الواقع ببلدية بني حواء الساحلية بالشلف كانت النقطة التي أفاضت الكأس من النزاع الحاصل ، هذا الأخير دعاه للتريث ، الأمر الذي اعتبره المتقاعد من رئاسة الجمهورية بالاستفزاز ، فلم يتوان في استعمال سلاحه.
ليست هناك تعليقات:
إرسال تعليق