الجمعة، أكتوبر 14

الاخبار العاجلة لمطالبة رجال قسنطينة من نساء قسنطينة غنيمة الزكاة في حصة فتوي قسنطينة ويدكر ان رجال قسنطينة يعتقدون ان نساء قسنطينة يملكون اموال قارون ومن غريب الصدف ان زوج طلب من زوجته غنيمة الزكاة اداعيا وشر البلية مايبكي




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الاخبار  العاجلة  لمطالبة رجال قسنطينة  من نساء  قسنطينة  غنيمة  الزكاة   في حصة فتوي قسنطينة ويدكر ان  رجال قسنطينة يعتقدون ان نساء  قسنطينة يملكون اموال قارون ومن غريب الصدف ان زوج طلب من زوجته  غنيمة الزكاة   اداعيا وشر البلية مايبكي
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الاخبار   العاجلة  لغلق  المسارح الجزائرية وطرد  عمال مديريات  الثقافة وتشريد  مدراء  المراكز الثقافية في المدن  الجزائرية بعد اعلان وزيرالثقافة  الجنسية الجزائرية عن انتهاء عهد البحبوحة  المالية ومدير مسرح قسنطينة  يعرض  عتاد  مسرح قسنطينة  في المزاد العلني يسوق الرمبلي من اجل ضمان اجور عمال مسرح قسنطينة والاسباب مجهولة





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الاخبار  العاجلة لحصول ابن الاخضر الابراهيمي وزير الخارجية الجزائري السابق على جائزة مهرجان  عنابة السينماتئي ويدكر ان مهرجان عنابة السينمائي نظم من اجل منح جائزة سينمائية لابن الدبلوماسي الجزائري لخضر الابراهيمي  والاسباب مجهولة
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الاخبار  العاجلة لطلاق نساء  قسنطينة من اطرف ازوجاهم بسبب مكالماتهم الهاتفية في برامج اداعة قسنطينة والاسباب مجهولة

















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الحساب الرسمي للاعلامية ليلى بوزيدي على انستغرام يضم حوالي 130 صورة به اكثر من 3200 مشترك

القناة الرسمية للاعلامية ليلى بوزيدي على اليوتيوب بها كل أرشيفها و جديدها تضم ما يقارب 500 فيديو بأكثر من مليون مشاهدة
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إحذروا !! تطبيقات جديدة تسرق بياناتكم الشخصية

01 أكتوبر

ظهرت في عالم التكنولوجيا والاتصالات الرقمية، مؤخرًا تطبيقات للهواتف الذكية كسرت سرية البيانات الشخصية لمستخدمي هذه الفئة من الهواتف، فبعد تنصيب التطبيق على هاتفك الذكي، تصبح جميع بياناتك الشخصية متاحة للجميع و لكن السؤال كيف يتم ذلك ؟  نتعرف على الإجابة في هذا التقرير للزميل رمزي وافي.





Nommée à ce poste puis réaffectée

Une directrice d’école interpelle Nouria Benghabrit

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le 28.09.16 | 10h00 Réagissez

Une directrice réaffectée et une autre qui arrive, l’école Grani Abdelkrim de Grarem, à Constantine, se retrouve avec deux chefs d’établissement.

Enseignante depuis 24 ans dans la wilaya de Mila, Souad Boulatrous a concouru au poste de directrice d’école. Après sélection, elle a subi une formation d’une année à l’Institut national de formation des fonctionnaires de l’éducation nationale, Meriem Bouattoura, de Constantine.
«En fin de stage, j’ai été classée 4e selon le degré de mérite à l’échelle de la wilaya de Mila et première à l’échelle de la daïra de Grarem», dira-t-elle, PV de classement faisant foi.
Et partant, soutiendra-elle, le critère de classement en premier lieu et l’intérêt de l’établissement en second déterminent le choix de l’établissement scolaire vers lequel sera désigné le fonctionnaire. «Cette démarche réglementaire en pratique dans les concours et sélections a conduit le directeur de l’éducation de Mila à me désigner au poste de directrice de l’école primaire Grani Abdelkrim, située au centre-ville de Grarem Gouga, par la décision du 30/07/2016 n° 621», raconte Mme Boulatrous.
Jusque-là, les choses se déroulent on ne peut mieux pour elle. L’école en question se situe à 200 m de chez elle. Elle prendra sa fonction en tant que chef d’établissement scolaire en date du 31/08/2016 et entame la préparation de la rentrée scolaire. Le jour même, elle sera surprise de voir arriver une autre personne, appuyée d’une décision de nomination au même poste. L’école Grani s’est retrouvée avec deux directrices à sa tête.
«Après une semaine de blocage, le directeur de l’éducation m’a envoyé une autre décision d’affectation dans une autre école», dira la concernée qui pointe du doigt le premier responsable du secteur. Selon elle, «le directeur de l’éducation de Mila a commis une violation des règles et un abus d’autorité. Il n’a tenu compte ni du classement qui est un critère déterminant dans le choix de l’établissement scolaire ni de l’intérêt de l’établissement convoité eu égard au statut et les conditions sociales du fonctionnaire».
Contacté par nos soins, le directeur de l’éducation de la wilaya de Mila, Mohamed Louafi, a insisté sur le fait que «le seul critère d’affectation est l’intérêt de l’établissement». Pour le cas présent, notre interlocuteur renvoie cette situation, pour le moins confuse, à «une erreur administrative». Selon lui, après la réunion du conseil pour l’orientation et l’affectation de 58 directeurs,  Mme Boulatrous a été nommée à la tête de son établissement actuel. «C’était juste une erreur», a-t-il seriné.
Mme Boulatrous, qui n’est nullement convaincue par les arguments de la direction de l’éducation, a usé de toutes les voies légales de recours. Elle se dit «flouée dans son droit» et a saisi la ministre de tutelle, Nouria Benghabrit, sur son cas qu’elle qualifie d’«abus de pouvoir», en l’interpellant pour la «rétablir dans son poste d’origine». 

N. D.



إنطلاقة باهتة لمسابقة فوارة شو

 






Salon international du tourisme

Défection des exposants étrangers

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le 28.09.16 | 10h00 Réagissez

La première édition du Salon du tourisme, qui a rassemblé de nombreux opérateurs nationaux, a laissé le public sur sa faim.

On attendait beaucoup de cette première édition du salon international du tourisme, inauguré, hier, au Palais de la culture Mohamed-Laid Al Khalifa, surtout que l’annonce de la participation d’opérateurs de quatre pays (Tunisie, France, Émirats arabes, Turquie) a attiré de nombreux curieux, qui n’ont pas manqué d’afficher leur déception, après une défection inexpliquée de ces invités.
Le deuxième fait à noter est la mauvaise exploitation du Palais Al Khalifa, choisi pour abriter cet évènement, bien que l’établissement offre tous les espaces nécessaires, mais ces derniers sont restés quasiment vides. On a par contre choisi de placer les exposants dans le hall exigu et sur la rampe réservée uniquement pour la circulation du public. Ce qui a donné lieu à des scènes aberrantes, avec des artisans placés dans l’embarras, au beau milieu du hall de circulation et dans des lieux incommodants, alors que des salles spacieuses sont restées vides au deuxième étage. Avec une exploitation judicieuse des espaces, le salon aurait pu offrir de meilleures conditions aussi bien pour les exposants que pour les visiteurs mis à l’étroit.
Sans vouloir trop critiquer cette initiative, qui demeure tout de même louable, sans ces fâcheux désagréments, au vu des efforts fournis par les organisateurs, dont la direction du tourisme, le club des opérateurs du tourisme et l’office local du tourisme, l’évènement a permis de réunir de nombreuses agences de tourisme, des établissements touristiques et des investisseurs nationaux dans le secteur, venus de plusieurs wilayas. Une aubaine pour le public, en majorité profane, mais surtout avide de connaitre les potentialités touristiques des wilayas présentes et les services proposés en matière d’hébergement.
Ce qui dénote que les Algériens sont bien intéressés de connaitre leur pays, s’ils trouvent un sérieux travail d’information et de vulgarisation, mais surtout de promotion du produit touristique algérien qui demeure encore méconnu, contrairement à ce qui se fait dans les pays qui deviennent des destinations préférées pour nos compatriotes.
La satisfaction a été tout de même du côté des nombreux exposants, dont certains sont présents pour la première fois à Constantine, dont les représentants d’agences et d’établissements touristiques venus de Msila, Ghardaïa, Bejaia, Ouargla, Souk Ahras et Batna. «Cette participation a été une grande opportunité pour nous afin de faire connaitre nos produits et attirer une clientèle de la région de Constantine et de l’Est algérien qui n’ont pas eu l’occasion de visiter notre établissement», confie le représentant d’un hôtel privé. Il demeure tout de même certain que le développement du tourisme en Algérie ne sera pas pour demain, et que beaucoup reste à faire pour rendre les produits locaux plus attractifs et plus compétitifs en matière de prix et surtout de qualité des prestations.                            

Arslan Selmane

Occupation des dépendances collectives des biens de l’OPGI

Une pratique illégale banalisée

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le 28.09.16 | 10h00 Réagissez

Des constructions illicites sur les terrasses des bâtiments, des caves transformées en logements et bien d’autres aberrations, tout cela met l’OPGI face à ses responsabilités.

Dans des cités de la périphérie de la ville ou encore dans des immeubles cossus du centre-ville, des familles démunies squattent les terrasses des immeubles pour s’y installer et occuper certaines dépendances collectives, allant parfois jusqu’à y élever des abris de fortune. Une pratique illégale en constante croissance. Au niveau d’une seule cité, celle du 17 Octobre 1961 (Ex-Ciloc), des habitants citent une quarantaine de logements illicites construits sur les terrasses des immeubles. Tout porte à croire par ailleurs que les lieux occupés de cette manière ne peuvent l’être qu’avec la complicité des locataires même des immeubles.
Un père de famille avec deux enfants à charge avoue s’être installé dans une buanderie sur la terrasse d’un immeuble d’une cité HLM à Sidi Mabrouk avec l’accord tacite des autres locataires. On soutient même que certains versent un «loyer» pour acheter le silence des autres, afin d’occuper des parties communes d’immeubles transformées en logements. Les buanderies ne sont d’ailleurs pas les seuls locaux occupés illégalement, puisque des caves sont également habitées et des vide-ordures dans bon nombre de cités sont transformés en locaux commerciaux.
Il ne fait pas de doute que ce phénomène des occupations illégales des espaces communs d’immeubles, ainsi que l’installation de gros réservoirs d’eau ou la démolition de murs porteurs dans des appartements du rez-de-chaussée, occasionnent non seulement des désagréments, mais des risques réels.
La surcharge des terrasses avec des constructions illicites menace, selon des experts en bâtiment, la structure elle-même sans parler, disent les locataires, des fils électriques tirés des lignes d’approvisionnement en énergie sans passer par un compteur, qui constituent un danger permanent. Il serait utile de préciser d’autre part que nous avons tenté à maintes reprises de joindre la cellule de communication de l’OPGI de Constantine pour connaître leur position sur ce phénomène et éventuellement le nombre de cas d’occupation illégale enregistrés, mais les responsables de l’office n’ont pas souhaité s’exprimer à ce sujet.                                                               
F. Raoui




لبعض اضطر إلى المغادرة

تجويع وتشريد الفنانين يطبع افتتاح مهرجان سينما الفلم المتوسطي

 لم يسر الكثير من نجوم الفن السابع فوق سجاد مهرجان عنابة للفيلم المتوسطي في طبعته الثانية بسبب عدم حضور الكثير من الأسماء إلى التظاهرة التي طبعها سوء التنظيم والتسيير، وحسب الكواليس فإن بعض الفنانين اضطروا إلى المغادرة بسبب الاستقبال السيئ، حيث تفاجأ فنانون بعدم التكفل بهم وغياب الإطعام والنقل إلى الفندق حيث بعد مدة زمنية من الانتظار في الشارع، وفضل البعض الاستعانة بسيارات الأجرة لنقلهم إلى فندق صبري.




Occupation des dépendances collectives des biens de l’OPGI

Une pratique illégale banalisée

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le 28.09.16 | 10h00 Réagissez

Des constructions illicites sur les terrasses des bâtiments, des caves transformées en logements et bien d’autres aberrations, tout cela met l’OPGI face à ses responsabilités.

Dans des cités de la périphérie de la ville ou encore dans des immeubles cossus du centre-ville, des familles démunies squattent les terrasses des immeubles pour s’y installer et occuper certaines dépendances collectives, allant parfois jusqu’à y élever des abris de fortune. Une pratique illégale en constante croissance. Au niveau d’une seule cité, celle du 17 Octobre 1961 (Ex-Ciloc), des habitants citent une quarantaine de logements illicites construits sur les terrasses des immeubles. Tout porte à croire par ailleurs que les lieux occupés de cette manière ne peuvent l’être qu’avec la complicité des locataires même des immeubles.
Un père de famille avec deux enfants à charge avoue s’être installé dans une buanderie sur la terrasse d’un immeuble d’une cité HLM à Sidi Mabrouk avec l’accord tacite des autres locataires. On soutient même que certains versent un «loyer» pour acheter le silence des autres, afin d’occuper des parties communes d’immeubles transformées en logements. Les buanderies ne sont d’ailleurs pas les seuls locaux occupés illégalement, puisque des caves sont également habitées et des vide-ordures dans bon nombre de cités sont transformés en locaux commerciaux.
Il ne fait pas de doute que ce phénomène des occupations illégales des espaces communs d’immeubles, ainsi que l’installation de gros réservoirs d’eau ou la démolition de murs porteurs dans des appartements du rez-de-chaussée, occasionnent non seulement des désagréments, mais des risques réels.
La surcharge des terrasses avec des constructions illicites menace, selon des experts en bâtiment, la structure elle-même sans parler, disent les locataires, des fils électriques tirés des lignes d’approvisionnement en énergie sans passer par un compteur, qui constituent un danger permanent. Il serait utile de préciser d’autre part que nous avons tenté à maintes reprises de joindre la cellule de communication de l’OPGI de Constantine pour connaître leur position sur ce phénomène et éventuellement le nombre de cas d’occupation illégale enregistrés, mais les responsables de l’office n’ont pas souhaité s’exprimer à ce sujet.                                                               
F. Raoui

SNTA de Constantine : Les retraités peinent à se faire entendre

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le 29.09.16 | 10h00 Réagissez

La section syndicale des retraités de la SNTA de la commune de Constantine monte de nouveau au créneau pour exiger que les revendications sociales des travailleurs retraités, soumises depuis 2012 à la direction du complexe SNTA d’El Khroub, soient prises en compte.

Des revendications pour lesquelles ladite direction continue de tergiverser, selon Mohamed Lifa, président du bureau syndical, ce qui a contraint ces travailleurs retraités à intenter une action en justice pour recouvrer des droits qu’ils estiment légitimes. Des droits qui s’articulent autour de trois points revendicatifs : l’annulation de la note mise en vigueur le 17 mai 2012 portant suppression de la ration de cigarettes dont bénéficient depuis 50 ans les retraités de l’entreprise, la régularisation du personnel retraité victime d’erreurs administratives avec indemnisation rétroactive depuis 2007 sur l’expérience professionnelle (IEP) et enfin leur permettre de bénéficier, comme cela a été le cas depuis plus de 40 ans, de la mutuelle sans obligation de cotisation de 1% du salaire.
Les représentants des travailleurs retraités de la SNTA, qui se sont déplacés en début de semaine à notre rédaction, soulignent, pour rappeler les faits, avoir intenté une action en justice à l’encontre de la direction de la SNTA d’El Khroub en 2014. Le tribunal de Constantine avait désigné à l’époque un expert pour évaluer le taux des indemnités sur l’expérience professionnelle et la valeur en espèces de la ration de cigarettes dont devraient bénéficier les retraités de la SNTA.
Les conclusions de cet expert jugées impartiales ont été récusées, soulignent ces travailleurs, et une plainte a été introduite le 19 septembre au tribunal de Constantine afin de les dénoncer. Les travailleurs retraités de la SNTA lancent, à ce titre, un appel pressant à la justice afin qu’elle les rétablisse dans leurs droits. Il convient de préciser que nous avons essayé de joindre par téléphone le directeur du complexe SNTA d’El Khroub afin d’obtenir des éclaircissements sur cette affaire, mais nos tentatives sont restées vaines.
F. Raoui

Les anciens locaux de la DJS attribués au CSC

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le 01.10.16 | 10h00 Réagissez
 

L’on vient d’apprendre que le siège de la direction de la jeunesse et des sports (DJS) de la wilaya de Constantine, domicilié auparavant à la rue Benazouz Mostafa dans le quartier de Bellevue, vient d’être transféré à la cité Filali.

Jusque-là, l’information semble tout à fait ordinaire, mais ce qui l’est beaucoup moins est que le wali de Constantine vient d’attribuer les anciens locaux de la DJS, propriété des Domaines de l’Etat, à une société commerciale régie par les dispositions
du code du commerce, en l’occurrence la société club sportif de Constantine (CSC) et ce en contradiction avec les dispositions de la loi domaniale. L’on a appris également, de sources généralement bien informées, que le DJS de Constantine a été suspendu par le chef de l’exécutif pour s’être opposé à cette décision.
F. Raoui

Glissements de terrain à Constantine

Cinq réservoirs d’eau potable menacés

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Après le déboisement du chemin forestier pour la réalisation du pont Salah Bey, d’importants glissements de terrain sont survenus au niveau des lieux exploités présentant un grand danger pour toute la zone», a déclaré Ali Hammam, directeur des ressources en eau de la wilaya de Constantine (DRH), lors de la journée d’information sur les risques des catastrophes, organisée jeudi dernier au siège de la wilaya.
Cette rencontre régionale, qui entre dans le cadre de l’application de la politique nationale de la protection contre les risques majeurs et la gestion des catastrophes naturelles, a réuni les maires et les directeurs des différents secteurs de l’Est pour débattre ce problème en présence d’experts de différents centres de recherches. L’intervention inattendue de Mr Hammam a embarrassé les responsables locaux et le représentant de la délégation nationale aux risques majeurs (DNRM). Selon le DRH, le glissement de terrain survenu non seulement suite au déboisement, mais aussi à cause des travaux d’exploitation du terrain sur une profondeur de 25 m prend de l’ampleur et se propage petit à petit dans toute la région, au moment où les responsables concernés observent cette situation sans réagir. Dans son intervention, le DRH a révélé que cinq réservoirs d’eau potable de 2500m3 chacun sont sérieusement menacés.
«Si le glissement atteindra les réservoirs, environ 30 000 citoyens et des hôpitaux seront privés de l’eau potable», a-t-il averti. Le même responsable fait allusion au manque de rigueur dans l’étude des travaux et du terrain qui a été établie par l’entreprise de réalisation Andrade Gutierrez, tout en soulignant que c’est une entreprise étrangère qui a fait les études. D’ailleurs, certains chercheurs présents se sont demandé pourquoi les études et les recherches des universitaires algériens sur la nature du sol n’ont pas été prises en considération. Pourquoi on n’a pas fait appel à nos chercheurs et à nos universitaires afin qu’ils apportent leur savoir et donnent un plus pour les études établies ? Pourquoi aucun responsable n’a soulevé ce problème il y a des années ? Que feront les autorités alors que le projet est dans sa dernière phase ?  Ce n’est pas tout, Ali Hammam a souligné aussi que ce même problème se pose au niveau du site de Bardo, après les travaux d’aménagement lancés dernièrement.
«En tant que responsable, j’ai remarqué des fissures du sol qui deviennent grandes, alors j’ai profité de cette occasion et j’ai mis en exergue ce phénomène afin que la délégation nous oriente vers des experts et des spécialistes dans le but de trouver des solutions et éviter les dégâts au bon moment», a-t-il déclaré à El Watan. Pour conclure, et dans la même perspective de la prévention contre les risques majeurs et les catastrophes naturelles, un nouveau système d’annonce et d’alerte des crues sera mis en place au niveau des oueds dans toutes les wilayas prochainement.
Selon Aït Amara Ahcène, directeur de l’assainissement et de la protection de l’environnement au ministère des Ressources en eaux, ce système automatisé existe actuellement à Sidi Belabes et permettra la surveillance du niveau de l’eau dans les oueds et l’importance des crues. Maintenant il est en période d’essai et il sera mis place à Constantine prochainement.                              
                                                                    

Yousra Salem

Transport vers Aïn abid

La galère des usagers

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le 04.10.16 | 10h00 Réagissez

C’est à un véritable parcours du combattant que sont soumis quotidiennement les usagers des transports en commun désirant se rendre de Constantine à Aïn Abid ou vice versa.

La desserte de cette ligne n’étant par assurée par les transporteurs depuis des lustres, les habitants de Aïn Abid sont contraints de faire une escale à El Khroub pour pouvoir rallier, en bus ou en taxi, leur domicile ou bien se rendre à Constantine ou encore se rabattre sur les bus assurant la desserte Guelma-Constantine - s’ils ne sont pas pleins à craquer - lorsque ces derniers s’arrêtent à Aïn Abid.
Une situation pour le moins compliquée pour les citoyens résidant à Aïn Abid, notamment ceux qui doivent se rendre au quotidien à leur travail à Constantine. Ces derniers se voient obligés de débourser beaucoup plus, en plus du temps et de l’énergie qu’ils doivent consacrer chaque jour pour trouver un moyen de transport. Des habitants d’Aïn Abid nous ont confié, en outre, que cette situation a été portée à la connaissance des autorités d’Aïn Abid depuis plusieurs années, mais leur promesse pour l’ouverture d’une ligne de transport reliant directement Aïn Abid à Constantine n’a toujours pas été respectée.
F. Raoui










جيجل: وادي الكبير يجلب إليه عشاق أسماك المياه العذبة




Des noms et des lieux

Bab El Djabia, un repère historique en perdition

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le 04.10.16 | 10h00 Réagissez

 

Pour les Constantinois, le site de Bab El Djabia demeure un repère historique.

Pour les touristes étrangers, c’est le point de départ pour la découverte de la vieille ville et de ses vestiges. De vieux documents photographiques remontant à l’époque coloniale attestent de l’existence de cette porte, remontant à l’époque turque, dans la partie basse de la ville, près de l’endroit qui verra la construction du pont Sidi Rached. Son nom, Bab El Djabia, était lié, selon certaines descriptions, à un bassin ou un ruisseau (El Djabia), utilisé par les passants pour se désaltérer et faire leurs ablutions.

La porte séparait les remparts de la ville montant vers Bab El Oued, sur l’actuelle place de la Brèche, de ceux descendant vers le ravin. Citée par Louis Régis qui l’avait décrite comme «une petite poterne» lors de son voyage à Constantine en 1880, elle sera démolie des années plus tard, lors des travaux d’aménagement de la ville. Bab El Djabia est aujourd’hui le principal accès vers Souika à partir de pont Sidi Rached ou la rue Zaâbane, ex-Viviani, là où se dressait autrefois un grand marché sur le site de l’actuelle Place Kerkeri, mais aussi un marché de dattes et de foin situé juste en face. Bab El Djabia servait aussi pour désigner tout le quartier s’étendant jusqu’aux limites d’El Batha et Echatt.
Il sera appelé plus tard Souika, un quartier traversé par une longue artère que les Français avaient baptisée la rue Perrégaux, du nom du général Alexandre Charles Perrégaux, officier de l’armée française qui avait pris part au second siège de Constantine. Le 12 octobre 1837, au même moment où le général en chef de l’expédition Damrémont fut tué sur l’actuelle place de la Pyramide (Place colonel Amirouche), après avoir reçu un boulet en pleine poitrine, Perrégaux fut atteint d’une balle dans la tête. Il succombera le 6 novembre 1837 en mer lors de son évacuation vers la France. La rue portera après l’indépendance le nom de Slimane Mellah dit Rachid, un enfant de la ville, membre du groupe des 22, qui avait préparé le déclenchement de la Révolution de 1954.
Le quartier à vocation commerçante est toujours animé, surtout durant le Ramadhan, la fête de l’Achoura et du Mawlid grâce à ses innombrables boucheries et échoppes de fruits secs, mais aussi les étals occasionnels de vendeurs de pétards.
Aujourd’hui, la belle image de Bab El Djabia avec ses charmantes maisons arabes bien agencées, où il faisait bon vivre, n’est qu’un vague souvenir. Le quartier a perdu une bonne partie de son tissu urbain. Ce qui a survécu aux démolitions organisées se dégrade. Hormis cinq maisons réhabilitées en 2008, le reste semble condamné à disparaître à cause des aléas du temps et de la bêtise humaine. Des siècles d’histoire qui risquent d’être perdus à jamais.
Arslan Selmane

أكد أن جهات توظف مواطنين لإثارة البلبلة لدى المكتتبين

تبون: هناك أطراف تسعى لاستغلال “ملف السكن” لضرب استقرار الجزائر

 

اتهم وزير السكن والعمران والمدينة، عبد المجيد تبون، أطرافا لم يسمها باستغلال "ملف السكن"، بهدف ضرب استقرار الجزائر، مؤكدا أن مصالحه تعرف جيدا من يقف وراء حملة التضليل التي تستهدف القطاع من خلال توظيف مواطنين لا يملكون ملفات سكن لإثارة البلبلة وسط المكتتبين.
وقال تبون، اليوم الخميس، على هامش الأسئلة الشفوية في مجلس الأمة، “بعض الوقفات تنظم هنا وهناك، ونحن نعرف من يقف ورائها، ومن ورائها ليس المواطنون لأنهم يدركون جيدا أنهم يتعاملون مع رجال يوفون بوعودهم”، مشددا على أن أزمة السكن في الجزائر، تعرف طريقها إلى الزوال.

Des noms et des lieux

Bab El Djabia, un repère historique en perdition

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le 04.10.16 | 10h00 Réagissez

 

Pour les Constantinois, le site de Bab El Djabia demeure un repère historique.

Pour les touristes étrangers, c’est le point de départ pour la découverte de la vieille ville et de ses vestiges. De vieux documents photographiques remontant à l’époque coloniale attestent de l’existence de cette porte, remontant à l’époque turque, dans la partie basse de la ville, près de l’endroit qui verra la construction du pont Sidi Rached. Son nom, Bab El Djabia, était lié, selon certaines descriptions, à un bassin ou un ruisseau (El Djabia), utilisé par les passants pour se désaltérer et faire leurs ablutions.

La porte séparait les remparts de la ville montant vers Bab El Oued, sur l’actuelle place de la Brèche, de ceux descendant vers le ravin. Citée par Louis Régis qui l’avait décrite comme «une petite poterne» lors de son voyage à Constantine en 1880, elle sera démolie des années plus tard, lors des travaux d’aménagement de la ville. Bab El Djabia est aujourd’hui le principal accès vers Souika à partir de pont Sidi Rached ou la rue Zaâbane, ex-Viviani, là où se dressait autrefois un grand marché sur le site de l’actuelle Place Kerkeri, mais aussi un marché de dattes et de foin situé juste en face. Bab El Djabia servait aussi pour désigner tout le quartier s’étendant jusqu’aux limites d’El Batha et Echatt.
Il sera appelé plus tard Souika, un quartier traversé par une longue artère que les Français avaient baptisée la rue Perrégaux, du nom du général Alexandre Charles Perrégaux, officier de l’armée française qui avait pris part au second siège de Constantine. Le 12 octobre 1837, au même moment où le général en chef de l’expédition Damrémont fut tué sur l’actuelle place de la Pyramide (Place colonel Amirouche), après avoir reçu un boulet en pleine poitrine, Perrégaux fut atteint d’une balle dans la tête. Il succombera le 6 novembre 1837 en mer lors de son évacuation vers la France. La rue portera après l’indépendance le nom de Slimane Mellah dit Rachid, un enfant de la ville, membre du groupe des 22, qui avait préparé le déclenchement de la Révolution de 1954.
Le quartier à vocation commerçante est toujours animé, surtout durant le Ramadhan, la fête de l’Achoura et du Mawlid grâce à ses innombrables boucheries et échoppes de fruits secs, mais aussi les étals occasionnels de vendeurs de pétards.
Aujourd’hui, la belle image de Bab El Djabia avec ses charmantes maisons arabes bien agencées, où il faisait bon vivre, n’est qu’un vague souvenir. Le quartier a perdu une bonne partie de son tissu urbain. Ce qui a survécu aux démolitions organisées se dégrade. Hormis cinq maisons réhabilitées en 2008, le reste semble condamné à disparaître à cause des aléas du temps et de la bêtise humaine. Des siècles d’histoire qui risquent d’être perdus à jamais.
Arslan Selmane

Constructions illicites : Vaste opération de démolition

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le 06.10.16 | 10h00 Réagissez
 
	Plusieurs lieux concernés par ces mesures seront ciblés
Plusieurs lieux concernés par ces mesures seront ciblés
 

La dilapidation du foncier s’est considérablement développée durant les deux derniers mandats municipaux sous la coupe du FLN, où nombre de lotissements illicites ont été construits impunément.

Pour mettre un terme aux constructions et aux extensions illicites de commerces et d’habitations, les secteurs urbains de la commune de Constantine ont été instruits par la mairie de prendre les mesures qui s’imposent, afin d’en finir avec l’anarchie qui caractérise la majeure partie des quartiers de la ville, apprend-on de la cellule de communication de l’APC. Les services concernés au niveau des secteurs urbains devront procéder au recensement des habitations ayant empiété illicitement sur l’espace public et dresser des mises en demeure à l’encontre des contrevenants.
L’opération concernera également les commerces d’alimentation générale, les magasins de vêtements, de meubles et d’électroménager et autres drogueries et quincailliers installés notamment à la périphérie de la ville, à l’instar des cités de Oued El Had, Daksi, l’Onama, cité El Bir et autres. Il a été constaté dans ces lieux que nombre de commerçants indélicats se sont accaparé des espaces à proximité de leurs boutiques pour exposer diverses marchandises, se réservant ainsi de larges places sur la voie publique.
Ces derniers ont agi durant des années en toute impunité en l’absence d’une action de dissuasion de la part des services communaux, lesquels ont brillé par leur nonchalance en dépit de toutes les mesures prévues par la loi, interdisant ce genre de pratiques. Les secteurs urbains doivent veiller aussi à l’éradication des baraques de vente de fruits et légumes installées illégalement sur la voie publique. Après l’opération de démolition qui a touché, début septembre, des constructions illicites à Naadja S’ghira, une deuxième descente a été menée mardi ciblant les quartiers de Sissaoui et d’El Ménia.
Elle sera suivie d’actions similaires, selon l’APC de Constantine, dont les inspecteurs de l’urbanisme ont, par ailleurs, dressé un nombre considérable de procès-verbaux depuis le début de l’année pour des transgressions en matière d’urbanisme. Les infractions recensées concernent des constructions érigées sur des terres appartenant à l’Etat, celles sans permis de lotir et autres élargissements illicites.
Compte tenu de cette offensive, on s’interroge s’il s’agit là d’un sursaut des services communaux, après des années de léthargie et de bradage du foncier. Une dilapidation qui s’est considérablement développée, faut-il le rappeler, durant les deux derniers mandats municipaux sous la coupe du FLN, où nombre de lotissements illicites ont été construits sans que les autorités locales ne bougent le petit doigt. Pour illustrer cet état de fait, nous citerons comme exemple les lotissements situés à El Berda, Naâdja S’ghira, El Gammas, Sissaoui et Ledjdour, au terrain Benabdelkader à proximité de Zouaghi et bien d’autres.
Si aujourd’hui cette ville est ainsi défigurée, cela est dû pour beaucoup au laxisme des autorités, mais, faut-il le souligner, la faute incombe également à une certaine catégorie de «notables» de la ville, qui n’hésitent pas à user de leur influence pour obtenir des passe-droits. En érigeant de somptueuses villas dans des lotissements illicites, au mépris de la loi, comme c’est le cas au niveau du terrain Benabdelkader pour ne citer que cet exemple. Ces derniers ont contribué largement à la saignée que subit le foncier à Constantine. 
F. Raoui

وزير التعليم العالي والبحث العلمي الطاهر حجار :

الطالب الجزائري يتلقى تكوينا أكاديميا جيدا لكنه عاجز ميدانيا

date 2016/10/13 views 7082 comments 7

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icon-writer ب. بوجمعة


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عاب وزير التعليم العالي والبحث العلمي، الطاهر حجار، على الطالب الجزائري عجزه عن ولوج عالم الشغل بسبب نقص تكوينه الجيد حتى يتمكن من الاندماج في عمله بعد التخرج. وقال حجار: هذه حقيقة يجب الاعتراف بها، فالطالب يخضع لتكوين أكاديمي في المستوى لكن في الجانب التطبيقي فهو عاجز تماما عن اقتحام عالم الشغل، هذا الأمر يتطلب حسبه تفتح الجامعة ومؤسسات التعليم العالي على مختلف القطاعات الاقتصادية والاجتماعية.

وأكد الوزيرعلى هامش توقيع اتفاقية تعاون بين الشركة العامة للخدمات البحرية ومدرسة الدراسات العليا للتجارة بالقطب الجامعي بالقليعة في ولاية تيبازة، الخميس، أن هذه الاتفاقية تندرج ضمن انفتاح الجامعة على المؤسسات الصناعية والاقتصادية والتجارية ومختلف المؤسسات. وهذا التعاون يتمثل في التكوين أو تقديم خبرة أو أي عمل يطلب من وزارة التعليم العالي والبحث العلمي، كما يدخل ضمن التوصيات التي انبثقت عن الندوة الوطنية المنظمة شهر جانفي 2016 التي ركزت على انفتاح الجامعة على المحيط الاقتصادي والاجتماعي وأيضا مرافقة مؤسسات التعليم العالي لمختلف القطاعات على غرار ما نقوم به مع بقية الوزارات، واتفاقية اليوم لتكوين 25 إطارا لصالح المجمع في إطار التعليم العالي المتخصص وسيتوج بشهادة تمنحهم صفة التخصص بإشراف أساتذة من الجامعة والمجمع وفق برنامج مشترك وهو تكوين تحت الطلب.
وبخصوص تسييس الجامعة الجزائرية واستغلاها من قبل بعض التنظيمات والأحزاب السياسية، استعدادا للمواعيد الانتخابية المقبلة، أوضح الوزير أن الانتماء الحزبي أو الانخراط في أحزاب سياسية أمر يكفله الدستور للأستاذ والطالب، أما النشاط الحزبي بالجامعة فهو ممنوع بقوة القانون ولن نسمح باستغلال الحرم الجامعي من قبل الأحزاب أو الجمعيات أو التنظيمات.
وفيما يتعلق بالتصنيفات التي تصدرها بعض الهيئات غير الحكومية الدولية، جدد حجار موقفه منها وقال: آخر تصنيف لهيئة دولية وضع جامعة جزائرية ضمن ألف جامعة الأولى في العالم، غير أن موقفي منها هو تصنيف تجاري وإشهاري لا علاقة له بالجانب العلمي أو الأكاديمي.

ياسي حجار تضحك على روحك ولا على الناس تكوين جيد ولكن لا فائدة فيه في الميدان.
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bilal - alger2016/10/13 على 21:52
5
ماذا تنتظر من حكومة يحكمها العجزة وكذلك اعداء النجاح موجيدين في كل مكان فالغرب ليسو عباقرة ونحن اغبياء هم يدعمون الفاشل
حتى ينجح ونحن نحارب الناجح حتى يفشل


  • على 21:10
    1
    بطبيعة الحال طلابنا عاجزين ميدانيا لأنه لا يوجد ميدان أصلا، فما عدى الوظيف العمومي الذي يمتص النسبة الكبرى من الخرجين لا يوجد عالم شغل ولا مؤسسات محترمة ولا بنية اقتصادية بإمكانها امتصاص الكم الهائل من الطلبة، في البلدان المتطورة عندما يتخرج الطالب يكون عبارة عن مادة خام يعمل النسيج المتنوع من البنى الاقتصادية على صقله وإبراز مهاراته عن طريق التكوين، أما عندنا مصيره الوظيف العمومي في أحسن الأحوال الذي يحوله إلى كائن خمول كسول يعيش حياة الروتين والفراغ الرهيب.
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    د أبو أكرم - البهجة2016/10/13 على 21:16
    2
    لا سيدي الوزير،
    نحن الأن في منتصف أكتوبر هناك الكثير من الجامعات لم تشرع فيها الدراسة !!! ترى كم يتبقى من الوقت عن عطلة الشتاء ؟ دون الحديث عن العطل الخاصة بالامتحانات و عطلة الربيع و و
    سيدي الوزير، هناك العديد من التخصصات التي يعتبر التطبيق أو العمل المخبري أو الورشات أساس التكوين فإن طلبتها لا يجرون ولا حصة واحدة في السنة فيها ! وأقصد الأعمال التطبيقية ! TPs كل تكوينهم نظري!!!
    هناك ضعف في اللغات بجامعاتنا ! فطلبتنا أحاديي اللغة للأسف !
    جامعاتنا تسلم شهادات فقط ولا تضمن تكوينا نوعيا
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    د أبو أكرم - بهجة2016/10/13 على 21:36
    3
    Justement عاجز ميدانيا لأن تكوينه كان نظريا فقط
    لا أعمال تطبيقية ولا مشاريع ورشات ولا تربصات ميدانية !
    التكوين في جامعاتنا نظري فقط ! ومدة هذا التكوين ضئيلة جدا ! 5 أشهر صافية !!!
    السبب أننا نعتمد على الكم أي كم مقعد بيداغوجي ؟
    كما أن التقويم و طريقة النجاح غير سليمة فلا مستقبل لجامعاتنا إلا بنظام الوحدات ! النظام السنوي بالتعويض بنقطة إقصائية 5/20 تمثل كارثة بأتم معنى الكلمة
    هذه هي أسباب عجز الخريجين عندما يتجهون إلى الميدان أو العمل

Centre commercial Chaâbani à Daksi

Un casse-tête pour les autorités

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le 10.10.16 | 10h00 Réagissez
 

Situé à proximité du siège de l’Office national des statistiques (ONS), le centre commercial Chaâbani à Daksi compte près de deux cents locaux commerciaux dont la majorité est à l’abandon.

Il constitue à cet égard une véritable énigme, d’autant que dans le quartier de Daksi et celui mitoyen des frères Abass l’informel a pignon sur rue. Des quartiers où des centaines de vendeurs ambulants exercent depuis des années en toute impunité, alors que ce centre doté de toutes les commodités pourrait, en y introduisant quelques menus aménagements, contribuer à éradiquer ces marchés et pourquoi pas y accueillir les vendeurs.
Pour en revenir au centre commercial Chaâbani, 80% des 174 locaux affectés à leurs bénéficiaires demeurent fermés. Pis encore, certains de ces locaux, comme nous avons pu le constater sur place, et comme nous l’ont confirmé des habitants des quartiers environnants, servent la nuit tombée d’abri aux délinquants qui les ont transformés en lieux de débauche et de beuverie. Les bouteilles d’alcool vides et autres immondices laissés par ces voyous dans des magasins «éventrés» du centre témoignent des soirées bien arrosées qui doivent s’y dérouler, et ce, en dépit du mur d’enceinte haut de deux mètres qui l’entoure et de l’immense portail qui en protège l’accès.
La présence d’organismes publics comme le Centre national d’assurance chômage (Cnac), les sièges de l’entreprise de wilaya d’entretien de la voirie et éclairage public l’Epic Voirep et de l’établissement public de la propreté et de la santé publique (Proprec) sur les lieux, dont la protection est assurée nuit et jour par des sociétés de gardiennage, ne semble pas d’autre part dissuader outre mesure ces délinquants. Interrogée sur cette situation, une source proche de la direction du patrimoine de la wilaya nous a avoué que le cas de ce centre commercial est devenu un véritable casse-tête pour les autorités, lesquelles envisagent sérieusement d’en transformer une partie en marché des fruits et légumes après l’éradication programmée des marchés informels de Daksi et Oued El Had.
F. Raoui

Université Rabah Bitat

L’insécurité devient un sérieux problème

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le 10.10.16 | 10h00 Réagissez
 
	Le déficit en transport a toujours été une source de désagréments pour les étudiants
Le déficit en transport a toujours été une source de...

Les affrontements entre des étudiants et des chauffeurs clandestins, survenus jeudi dernier à l’intérieur de l’université Rabah Bitat (Constantine 3) d’Ali Mendjeli, continuent toujours de faire des remous.

Parmi les étudiants, ces incidents ne sont pas passés sans réactions, alors que sur les réseaux sociaux les commentaires et les condamnations n’on cessé d’animer les débats. Selon les informations glanées auprès de certaines organisations estudiantines, une action de protestation devra être organisée au sein de l’université, sans qu’aucune date ne soit avancée.
Probablement pour des raisons liées à des concertations à mener entre les différentes parties, à condition que les divergences et les tentatives de récupération soient mises de côté, parce qu’il s’agit d’un sérieux problème d’insécurité qui menace aussi bien les étudiants et les enseignants. «Il faut que les autorités interviennent pour chasser ces fraudeurs de cet espace, car ils n’ont de respect pour personne ; en plus de cela, ils ne cessent d’agresser verbalement les étudiantes, sans oublier leurs agissements vulgaires devant le portail de l’université», s’expriment des internautes sur facebook.
La passivité des agents de sécurité, qui semblent agir avec la connivence des fraudeurs, est également dénoncée par tous les intervenants. L’incident survenu jeudi dernier ayant mis aux prises une étudiante à un agent de sécurité a été la goutte de trop, surtout que le phénomène de l’insécurité à l’université Constantine 3 ne date pas d’aujourd’hui. Il remonte, selon les étudiants, à l’année d’ouverture des premiers campus. «Nous souffrons beaucoup en matière de transport, sans parler des mauvais comportements des chauffeurs des bus universitaires qui n’en font qu’à leur tête en refusant de prendre les étudiants, alors qu’il leur arrive souvent de ne pas respecter les horaires, c’est cela qui a ouvert le champ aux chauffeurs clandestins qui ont trouvé toute la liberté pour imposer leur diktat face au laxisme des services des œuvres universitaires», dénoncent des étudiants sur la Toile.
Tout cela se passe alors que l’administration de l’université, première responsable de la sécurité des étudiants, semble adopter la politique de l’autruche. Après les incidents de jeudi dernier, où les chauffeurs clandestins n’ont pas hésité à investir l’espace même de l’université pour venir en aide à un agent de sécurité, rien ne semble rassurer ni les étudiants ni les enseignants. La situation qui prévaut aujourd’hui devant l’entrée de l’université Rabah Bitat avec ces étrangers qui y circulent en toute quiétude et ces fraudeurs qui agissent en toute impunité, interpelle les autorités pour une réaction ferme. L’intervention de la gendarmerie qui a chassé les fraudeurs des lieux n’est pas la mesure qui mettra fin à ce problème qui devient de plus en plus inquiétant. «Si les autorités n’interviennent pas de manière radicale, on risquera de voir des choses plus graves à l’université Rabah Bitat», avertit un enseignant.
Arslan Selmane

Centre commercial Chaâbani à Daksi

Un casse-tête pour les autorités

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Situé à proximité du siège de l’Office national des statistiques (ONS), le centre commercial Chaâbani à Daksi compte près de deux cents locaux commerciaux dont la majorité est à l’abandon.

Il constitue à cet égard une véritable énigme, d’autant que dans le quartier de Daksi et celui mitoyen des frères Abass l’informel a pignon sur rue. Des quartiers où des centaines de vendeurs ambulants exercent depuis des années en toute impunité, alors que ce centre doté de toutes les commodités pourrait, en y introduisant quelques menus aménagements, contribuer à éradiquer ces marchés et pourquoi pas y accueillir les vendeurs.
Pour en revenir au centre commercial Chaâbani, 80% des 174 locaux affectés à leurs bénéficiaires demeurent fermés. Pis encore, certains de ces locaux, comme nous avons pu le constater sur place, et comme nous l’ont confirmé des habitants des quartiers environnants, servent la nuit tombée d’abri aux délinquants qui les ont transformés en lieux de débauche et de beuverie. Les bouteilles d’alcool vides et autres immondices laissés par ces voyous dans des magasins «éventrés» du centre témoignent des soirées bien arrosées qui doivent s’y dérouler, et ce, en dépit du mur d’enceinte haut de deux mètres qui l’entoure et de l’immense portail qui en protège l’accès.
La présence d’organismes publics comme le Centre national d’assurance chômage (Cnac), les sièges de l’entreprise de wilaya d’entretien de la voirie et éclairage public l’Epic Voirep et de l’établissement public de la propreté et de la santé publique (Proprec) sur les lieux, dont la protection est assurée nuit et jour par des sociétés de gardiennage, ne semble pas d’autre part dissuader outre mesure ces délinquants. Interrogée sur cette situation, une source proche de la direction du patrimoine de la wilaya nous a avoué que le cas de ce centre commercial est devenu un véritable casse-tête pour les autorités, lesquelles envisagent sérieusement d’en transformer une partie en marché des fruits et légumes après l’éradication programmée des marchés informels de Daksi et Oued El Had.
F. Raoui




Instantané

Pas de larmes pour les orphelins du cabinet

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le 10.10.16 | 10h00 Réagissezr

Panique à bord chez les zélateurs, les laudateurs et tous les indignes commis de l’Etat qui doivent leurs postes à l’unique «vertu» de la «chitta».

Un wali qui s’en va, un nouveau qui s’installe, c’est toujours un moment d’incertitude et de peur parmi cette clientèle obséquieuse. Une faune qui s’est développée ces dernières années à Constantine, pour devenir féroce et incontournable, soufflant le chaud et le froid dans les couloirs de l’administration locale. Vous voulez rencontrer le wali ? Vous devez montrer patte blanche ; vous êtes étranger aux bonnes affaires, passez votre chemin ! En plus des cadres de l’exécutif, de plus en plus faibles et incompétents, parachutés miraculeusement dans cette wilaya exsangue, une couche recrutée localement s’est formée autour de ce pôle de décision et de distribution de la rente qu’est le cabinet du wali. Leur métier consiste à introduire chez le patron uniquement des personnes «envoyées» par les cousins, les pontes, les associés… Bref, la grande famille prédatrice.
A l’exception de quelques protestataires reçus dans le cadre de la préservation de la paix sociale et l’ordre public, tous les autres damnés de la terre sont renvoyés. L’exemple du groupe d’universitaires qui ont tenté l’année dernière de rencontrer Hocine Ouadah pour lui exposer des soucis professionnels est édifiant : fin de non-recevoir. Le wali préfère les gens utiles. Il se déplace en personne pour accueillir au salon d’honneur de l’aéroport des chanteuses chouchoutées par Alger et refuse une simple entrevue à un libraire en détresse, menacé de fermer boutique à jamais.
Aujourd’hui, Ouadah est parti, mais ses lieutenants, préposés au guichet et autres ouvreuses, sont toujours là, en quête d’un renouvellement de bail du seuil du cabinet. Méduses affolées, ils multiplient les conciliabules et les calculs pour s’informer sur le nouveau locataire du cabinet wilayal et se prémunir tant que faire se peut d’une éventuelle éjection. Une chose est certaine : Constantine et les Constantinois ne pleurent jamais sur le sort de ces petites gens, orphelins du cabinet.    
Nouri Nesrouche




Les habitants d’oued el had expriment leur ras-le-bol

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C’est le ras-le-bol au niveau de la cité Frères Abass. Les habitants de ce quartier populaire, plus connu sous le nom de Oued El Had, niché entre Sidi Mabrouk supérieur et la rivière Sarkina, montent, de nouveau, au créneau pour dénoncer ce qu’ils qualifient d’abandon total de leur cité.

Sur place, des représentants de l’association de quartier nous accompagnent pour nous montrer ce qui fait leur désarroi. L’état lamentable de la route et des différentes voies d’accès, toutes cabossées et de plus submergées par les eaux usées, constitue l’une de leurs principales préoccupations. Ils nous ont dit à ce propos : «Depuis la fin des travaux de réhabilitation du réseau AEP de la cité il y a trois années, toutes les rues, à quelques rares exceptions, sont devenues des pistes impraticables. Y circuler en voiture relève de la prouesse. De plus l’incessant ballet de véhicules soulève de gros nuages de poussière, rendant l’atmosphère irrespirable. Le délégué du secteur urbain de Sidi Mabrouk, dont notre quartier dépend, nous avait pourtant assuré que la réfection et le goudronnage des rues devaient commencer juste après l’achèvement des travaux.
Ceux-ci ont été achevés depuis des années mais rien n’est encore fait.» Les représentants des habitants dénoncent, par ailleurs, le marché informel qui se tient depuis des lustres, chaque après-midi, en plein milieu de leur cité. L’insécurité, le charivari provoqué par les vendeurs, les embouteillages, jusqu’aux trottoirs squattés par les commerçants sont autant de désagréments évoqués par les riverains.

F. Raoui

À la veille de l’installation du nouveau wali de Constantine

Des associations font leur rentrée

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le 11.10.16 | 10h00 Réagissez

Mohamed Lattafi, à la tête d’une coordination du mouvement associatif, qui regrouperait, selon lui, plus de 400 associations constantinoises, a fait hier sa rentrée sociale lors d’une conférence de presse organisée au siège de la coordination.

Un peu brouillon et parfois incohérent, le conférencier a réussi tant bien que mal à faire passer des points importants qui correspondent à la mission du groupement d’associations, en tant qu’acteur incontournable dans la vie publique.
D’abord l’actualité : la Cour suprême a enfin statué en faveur de Lattafi dans l’action intentée contre lui par l’ancien wali de Constantine et actuel ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf. En 2009, et à la suite d’une conférence de presse de la coordination où des points noirs sur la gestion de la wilaya avaient été soulevés, Boudiaf avait, en effet, poursuivi le conférencier pour «diffamation». Lattafi affirme aussi avoir subi, et de manière permanente, toutes sortes de pressions de la part des autorités et leurs relais.
Sur quoi, avait enchaîné un président d’une association de quartier (Boussouf), en exprimant sa terreur face à ces pressions et sa demande, plutôt curieuse, adressée aux autorités, pour avoir plus «d’affection» à l’égard des associations ! Cette intervention, si elle a mis au jour la lassitude et l’état d’âme dans lesquels se trouvent de nombreuses associations constantinoises, n’a pas manqué de jeter l’incohérence sur le discours de la coordination et dévoiler la perplexité qui mine le donquichottisme associatif. Moins résigné, Lattafi a souligné que la coordination «est toujours là» ! Après avoir fait le procès des organisateurs de l’événement Constantine 2015, et cité pêle-mêle des exemples d’échec des politiques de développement local (distribution de logements à l’arrêt, effondrement de la Souika, bradage de la salle Zénith), il s’est arrêté sur les perspectives et la position de la coordination.
Cette dernière prépare un «projet de la cité» qui sera présenté, a-t-il dit, au nouveau wali. Il s’agit d’une plateforme de propositions touchant aux domaines social, culturel et sportif, et ayant comme objectif d’améliorer la vie des citoyens. Les expériences précédentes, si malheureuses, ne semblent pas avoir dissuadé Lattafi de revenir à la charge, ce qui est normal. Car à la différence de l’individu qui peut être influencé par ses déceptions, une organisation militante doit faire preuve de persévérance et de patience.
C’est ce qui manque à Constantine, laquelle s’est retrouvée orpheline de ses défenseurs à l’heure où la bourse des agressions externes et des trahisons internes a explosé. A ce sujet, le conférencier fera remarquer qu’aucun bilan de Constantine 2015 n’a été présenté, qu’aucun wali ne daigne faire le bilan de son travail avant son départ, que les représentants de la wilaya, notamment ses députés, n’ont rien fait pour Constantine et qu’ils «ne s’affichent qu’au Marriott». Quoi d’autres ? Lattafi a eu cette phrase timide mais si honnête : «Nous avons une part de responsabilité par notre silence.» Une confession qui interpelle tous les esprits normalement constitués.

Nouri Nesrouche

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الشعب يريد!

إذا صحّ ما تمّ تداوله على صعيد إعلامي وشعبي واسع، من أن بعض اللاعبين "المحترفين"، من الذين لا يتقن بعضهم حتى "السلام" باللغة العربية، ولا يزورون موطنهم إلا للعب الكرة بمقابل، قد ضغطوا على رئيس الاتحاد الجزائري الذي يمثل الدولة الجزائرية، لأجل تغيير مدرّب لا يتقن لغتهم "الأم" الفرنسية، فمعنى ذلك أننا بلغنا مرحلة ما بعد اليأس، حيث يصبح مدّ اليد للمنقذ انتحارا مع سبق الإصرار والترصد، بعد أن صار الاتحاد الجزائري، الذي يمثل الدولة، يبحث أيضا عن "السلم الاجتماعي" عند طائفة من جاليتنا في الخارج.
لقد تمسّكنا بآخر أمل في مهاجرينا، بعد أن عقرت المدرسة الجزائرية، في لعبة الكرة عن إنجاب مثل "بلماضي وبن عربية وزياني وعنتر يحيى وفيغولي وغولام"، فحققنا تأهلين متتاليين لكأس العالم، وصار مطلب الجزائريين تعميم التجربة في كل الرياضات، بل وفي كل المجالات العلمية والاقتصادية، وحتى السياسية، فربما نجد في النهر الفرنسي الصغير، ما لم نجده في البحر الجزائري الواسع، ولكن ما حدث قبل مباراة المنتخب الجزائري أمام الكامرون وبعدها، هو انزلاق يؤكد بأن العدوى السيئة تنتقل بسرعة من الجزائر إلى شمال البحر الأبيض المتوسط، ولا تنقل العدوى الحسنة، من فرنسا إلى جنوب البحر الأبيض المتوسط.
والذين قصفوا بالثقيل هذه "الكمشة" من اللاعبين، الذين استشرفوا ضعف السلطة الباحثة عن وهم "السلم الاجتماعي"، فمارسوا ليّ ذراعها، هم مُحِقون في "الرصاصات" الأولى من القصف، ولكنهم يقصفون أنفسهم عندما يدافعون عن اللاعبين المحليين ويحوّلونهم إلى "ملائكة"، وكلنا نعلم بأن المدرب في الجزائر لا يطرده اللاعبون فقط، وإنما حتى الأنصار، وحرّاس الملعب، وملتقطو الكرات. والحكاية هي عدوى، انتقلت من هنا إلى هناك، ولكنها تمارس هنا وليس هناك، والمعادلة بسيطة جدا، فلاعب مثل فيغولي شرب من كؤوس التهميش في فرنسا وإسبانيا وأنجلترا، فظل كاظما لغيظه، وعندما وجد نفسه على الهامش في الجزائر مارس ما سمع عنه، وربما رآه من لاعبين محليين، تربوا على أن الحياة حقوق من دون واجبات، كأن يتقاضى لاعب الكرة نصف مليار سنتيم شهريا ولا يقدمّ قطرة عرق من جهده.
عندما نعلم بأن المدرب العالمي الإسباني غوارديولا تعلم اللغة الألمانية عندما درّب بايارن ميونيخ، وتعلم الفرنسي آرسن فينغر الإنجليزية عندما درّب آرسنال، وتعلم الإيطالي كابيلو الروسية عندما درّب منتخب روسيا، ويتعلم حاليا البوسني خاليولوزيتش اليابانية لأنه يدرب منتخب الساموراي، ويتعلم الأرجنتيني "هيكتور كوبر" اللغة العربية منذ أن باشر قيادة منتخب مصر، وظهر عقب فوز الفراعنة في الكونغو وهو يصيح بعربية سليمة: "تحيا مصر"، بينما يشترط "نجومنا" القادمون من فرنسا على المدرب الذي يقودهم أن يكلمهم بلغتهم "الأم" الفرنسية، عندما نعلم ذلك يمكننا أن ندرك بأننا في بلد لا يهمّ فيه المسؤول سوى مقعده، أما بقية المقاعد فهي في مهبّ الريح، التي تجري بما يشتهيه فيغولي وبراهيمي وغولام، المصابون بعدوى المحليين.


وزير الأشغال العمومية بوجمعة طلعي من تيبازة

سنتخذ إجراءات قانونية ضد عمال الترامواي المضربين

date 2016/10/13 views 605 comments 4

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هدد وزير الإشغال العمومية والنقل، بوجمعة طلعي، الخميس، باتخاذ الإجراءات القانونية ضد عمال "ترامواي الجزائر" الذين يشنون إضرابا غير شرعي عن العمل لعدم احترامهم للإجراءات المعمول بها قبل الدخول في إضراب. وقال إن حق الإضراب عن العمل يكفله الدستور شريطة احترام قوانين الجمهورية. وهو ما لم يلتزم به عمال ترامواي الجزائر الذين دخلوا في إضراب منذ ثلاثة أيام دون إشعار الوصاية بذلك.

وأكد الوزير بوجمعة طلعي في تصريح صحفي على هامش توقيع اتفاقية تعاون بين مدرسة الدراسات العليا للتجارة بالقطب الجامعي بالقليعة في ولاية تيبازة والشركة العامة للخدمات البحرية، أن بعض مطالب عمال الترامواي غير منطقية. وأعطى مثالا حول مطلب تخفيض ساعات العمل إلى أبع ساعات في اليوم. وأشار طلعي إلى الحوار الجاد الذي بذلته مصالحه في اللقاء الذي جمعها بمسؤولي الشركة أول أمس لإيجاد حل للحركة الاحتجاجية غير أنه هدد باتخاذ إجراءات ردعية لوقفها. كما كشف عن الإجراءات التي اتخذتها "سيترام" لضمان الحد الأدنى للخدمات بجلب عمال للترامواي من ولايات أخرى.
وبخصوص اتفاقية التعاون التي أبرمتها الشركة العامة للخدمات البحرية "جيما" ومدرسة الدراسات العليا للتجارة بالقليعة، أوضح وزير الأشغال العمومية والنقل، أنها تعني التكوين بعد التدرج في ميدان النقل البحري واللوجيستي، لا سيما أن الشركات والاقتصاد الوطني في حاجة إلى إطارات مؤهلة مزودة بالإمكانيات التقنية ذات المستوى العالي، وهي فرصة لتكوين الدفعة الأولى للمتخصصين في الميدان البحري، التي يبلغ عددها 25 طالبا. وأبرز الوزير أن ميزات هذه الاتفاقية تسمح لطلبة ما بعد التدرج الذين استفادوا من التكوين المتخصص من التوظيف المباشر بالمؤسسات المينائية والبحرية، مما سيسمح بسد العجز المسجل في الموارد البشرية المتخصصة بقطاع النقل. وفي السياق، أعلن الوزير طلعي عن انطلاق أشغال إنجاز الميناء التجاري الجديد بالحمدانية في شرشال، شهر مارس المقبل بعد إتمام الدراسات التقنية الخاصة به شهر جانفي المقبل على أقصى تقدير.

  • راس الوادي2016/10/13 على 20:47
    2
    ولماذا لم تتكلم عن المطالب المشروعة لعمال الترامواي و تعمقت في المطالب الغير منطقية حسب رأيك . السائق مثلا هو و كأنه في حالة سفر دائم و السفر قطعة من العذاب . فضلا عن ضغوطات الركاب .
  • author-figure
    مهضومي الحقوق2016/10/13 على 21:10
    3
    لايعرفون إلا لغة التهديد والوعيد وقطع الأرزاق , أعطوهم حقوقهم ثم حاسبوهم , أما عهد الإحتقار والإزدراء فقد ولى ولن يعود
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    فارس2016/10/13 على 21:21
    4
    ياو روح تلعب ما زلت بعقلية السبعينيات


Des noms et des lieux

il était une fois la caserne Boumaza

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le 12.10.16 | 10h00 Réagissez

à quelques encablures de Bab El Djabia, sur la rue Ahmed Zaâbane, un lieu continue de garder une place particulière dans la mémoire collective à Constantine.

La petite caserne de sapeurs-pompiers, située juste au-dessous de l’ex-université populaire servait avant la colonisation de marché de foin et de dattes, connue à l’époque par Rahbet Etteben ou Rahbet Ettemer. Elle fut durant des années l’unique unité de pompiers dans la ville de Constantine. Selon les témoignages d’anciens pompiers, cette unité a fonctionné comme centre de secours avec des volontaires jusqu’à 1944 où elle verra le recrutement d’une première promotion de sapeurs-pompiers professionnels. L’histoire retiendra que les premiers Algériens à avoir intégré le corps des pompiers à Constantine étaient Kaddour Mansour et Brahimi. Ils seront rejoints en 1945 par Mohamed-Salah Drissi, Lakhdar Dilmi et Matougui, puis le 1er février 1955 par Slimane Sissaoui et Ahmed Bouchemal. En 1957, on comptait déjà douze agents algériens dans cette unité.
Avec l’avènement de l’indépendance, l’adjudant Ahmed Bouchemal sera le premier chef de ce qui sera appelé désormais le centre de secours principal CSP, qui sera baptisé plus tard l’unité Abdelmadjid Boumaza, du nom d’un ancien cadre de la Protection civile. Située en plein centre-ville, tout près de la vieille ville, l’unité Boumaza a été toujours un lieu familier pour la population de Souika et des quartiers environnants, qui a été souvent «secourue» durant les pénuries d’eau potable.
Les Constantinois se rappellent encore de la sirène de cette unité, qui retentissait durant le Ramadhan pour annoncer la rupture du jeûne. Les anciens pompiers gardent encore les beaux souvenirs de l’équipe de volley-ball de cette unité, qui avait fait la fierté de la corporation et de la ville, en donnant à l’équipe nationale des joueurs de dimension internationale à l’image d’Abdelhamid Benkaïdia et Maâmar Boukhers. Le vieux terrain retiendra d’autres noms à l’instar de ceux de Salim Harkati, Ahmed Ferdi, Boudraâ, Drissi, Boutadjine, Boumeddous, Boukhemis, Matougui et autres. L’unité Boumaza continue d’assurer aujourd’hui sa mission dans un secteur des plus populeux dans la ville et dont les frontières s’étendent au-delà du centre-ville jusqu’aux cités de Ziadia, Békira, Djebel Ouahch et Bab El Kantara, avec tous les risques de glissement, d’effondrement, d’incendies et même des suicides surtout que l’unité s’est vu confier aussi tous les ponts de la ville.
Une unité dont les hommes ont toujours preuve de bravoure et de courage dans toutes les épreuves, et qui méritent un geste de reconnaissance, sans oublier de rendre aussi hommage aux cinq éléments de l’unité, morts en service commandé à la rue Larbi Ben M’hidi dans le fameux incendie qui a ébranlé toute la ville, dans la nuit du 11 au 12 août 1984.
Arslan Selmane

Installation du nouveau wali de Constantine

Les dossiers qui attendent Kamel Abbas

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le 12.10.16 | 10h00 Réagissez


Le nouveau wali de Constantine, Kamel Abbas, a pris, hier, ses fonctions à la tête de la wilaya.

Plusieurs dossiers d’importance l’attendent d’emblée. Celui qui a succédé à Hocine Ouadah, mesure, à n’en point douter, le volume de la tâche qui l’attend aux commandes de la troisième ville du pays, laquelle ville même avec un blanc-seing du gouvernement à la faveur de l’événement Constantine, capitale de la culture arabe, n’a pas réussi à se hisser au rang qui lui sied.
Un rendez-vous avec le développement raté en raison d’une gouvernance à l’emporte-pièce. L’harmonie de façade faisant office de ciment entre administration et institutions élues est partie en éclats. La collégialité n’a pas résisté à l’épreuve de la gestion publique. Particulièrement, avec l’auguste assemblée de la commune de Constantine. Les élus de la ville des ponts s’en sont arrivés à une rupture de ban avec le chef de l’exécutif. Hocine Ouadah, en raison des retards dans les chantiers, n’a pas été tendre avec les locataires de l’hôtel de ville, dont le maire et un élu ont eu maille à partir avec la justice. La nouvelle équipe n’a pas eu plus de chance. Séance tenante, ces membres auront droit souvent à un lot de réprobation, frisant l’humiliation à telle enseigne qu’ils boycotteront et les sorties d’inspection et les conseils de wilaya. Les canaux de la communication se sont tus. Une situation de blocage en est née et dont l’unique perdant  n’est autre que le citoyen.
Le volet logements représente, à lui seul, un dossier explosif tant son traitement a manqué de célérité. Constantine, dotée d’un programme de plusieurs milliers d’unités, bute sur leurs distributions pour des raisons variables. Le programme de la résorption de l’habitat précaire a focalisé les intentions. Il a pris le dessus dans la gestion locale. S’il a débarrassé la ville d’une ceinture de bidonvilles, il a prolongé l’attente des bénéficiaires des logements sociaux, renvoyant leur préoccupation aux calendes grecques. Hormis l’attribution d’un peu plus d’un millier d’unités à El Khroub, celle des 3000 à Constantine ne se fera pas avant la fin de l’année 2017, selon l’ex-wali, et l’échéance n’est pas confirmée. Nonobstant des centaines de préaffectations, les demandeurs de logements sociaux sont toujours en attente.
Des rassemblements se tiennent chaque semaine, tantôt face à l’institution du boulevard JF Kennedy, tantôt devant le siège de la daïra. Des citoyens dont la patience a été usée jusqu’à la corde viennent crier leur désarroi et tenter de comprendre le retard inexpliqué dans leur relogement. Le programme du logement dans la capitale de l’Est, tous segments confondus, s’apparente à un terrain miné. Bénéficiaires ou souscripteurs sont tous mécontents et le font savoir. Le nouveau chef de l’exécutif a hérité d’un lourd dossier auquel vient s’ajouter une multitude de chantiers, ouverts dans le cadre de la manifestation Constantine, capitale de la culture arabe et mis sous le tapis depuis.
Naïma Djekhar

عدما كُنّ يختبئن في المراحيض العمومية والأماكن المغلقة
جزائريات "يفتخرن" بحمل السجائر في الأماكن العمومية!
نادية سليماني
2016/10/12

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قررت بعض المدخنات الخروج بسيجارتهن إلى العلن، فصرن يحملن السيجارة بين أصابعهن الناعمة، في الشوارع والطرقات وداخل السيارات، على مرأى من الجميع، بل ويشترين السيجارة من أكشاك بيع التبغ، حتى الواقعة منها في أحياء شعبية، غير مباليات بنظرة المجتمع.
هي فتاة تبدو في منتصف العشرينيات، محجبة، صادفناها عند كشك بيع التبغ والحلويات بشارع رئيسي ببلدية حسين داي، فالفتاة طلبت سيجارتين من البائع من نوع مارلبورو، خبأت سيجارة في جيب سروال الجينز وأشعلت الأخرى بطريقة احترافية، ثم انطلقت تسير بسيجارتها في زقاق ضيق بحسين داي، غير مبالية باستغراب البعض... أما رُؤية السّائقات المدخنات فتلك أصبحت منظرا مألوفا في مجتمعنا.
"الشروق" نزلت إلى الشارع، حيث سألنا بعض المواطنين عن مصادفتهم نساء مُدخنات في أماكن عمومية، فأكد لنا "كريم"، الذي يعمل صحفيا، أنه كان يسير منذ أشهر قرب فندق السفير وسط العاصمة، فاقتربت منه فتاة تبدو في الثلاثينيات، كانت ترتدي ملابس محتشمة، ليتفاجأ بطلبها، حيث سألته: "هل تملك ولاعة؟"، كريم ظن في البداية أنها تحتاج الولاعة لقضاء حاجة معينة، لكن عندما لمح السيجارة في يدها، أجابها مباشرة وبغضب: "لا أملك ولاعة"، رغم أن محدثنا من المدخنين وكان يحمل ولاعة في جيبه، وعندما سألناه عن سبب رفضه وحتى غضبه، أوضح أنه لا يتقبل فكرة أن تدخن المرأة أصلا، حتى ولو كانت مثقفة وحتى ولو في الخفاء، فما بالك بامرأة تسير في الشارع حاملة سيجارة.

مُدخّنات يصفن مُنتقديهن بالتخلف والانغلاق 
وإلى وقت غير بعيد، كانت النساء المدخنات لا يجرؤن البتة على الظهور بسيجارتهن إلى العلن، ويفضلن الاختباء داخل المراحيض العمومية أو مراحيض المؤسسات خاصة بالجامعات، للتمتع بتدخين سيجارة ولو بين القذارة، فغالبية المراحيض النسائية خارجا، غارقة في روائح السجائر، كما أن بعض الرجال المتزوجين يجهلون إلى اليوم أن زوجاتهم من المدخنات... (م) من ولاية داخلية، متزوجة بالعاصمة، منذ خمس سنوات، أكدت لنا أن زوجها يجهل إلى اليوم أنها تدخن، وعن سبب إدمانها السجائر، قالت: "تعلمت السلوك في إقامة جامعية بالعاصمة، لأن زميلاتي في الغرفة كن مدخنات، ولم أتمكّن من الإقلاع عن الظاهرة السيئة، فهمّي اليومي قبل زواجي كان انتهاز فرصة غياب الأهل من المنزل لتدخين سيجارة، وبعد زواجي لم أجرؤ على مصارحتي زوجي، ولا أزال إلى اليوم أدخن في غيابه، خاصة أنني لم أرزق بأولاد بعدُ...".
وفي حديثنا مع بعض المدخنات وغالبيتهن من الموظفات، اكتشفنا اقتناعهن بما يقمن به، إلى درجة أنهن وصفن من ينتقدهن "بالتخلف والانغلاق". (رانيا)، موظفة بإحدى الوزارات في 33 من عمرها، تقول إن التدخين جزء من شخصيتها المتفتحة والعصرية، وإنها لن تقبل بعريس يجبرها على تركه...!! أما (س)، أستاذة جامعية، فلا ترى مانعا في تدخين المرأة في الشارع أو المقهى، مؤكدة أنها نفسها تدخن في قاعة الأساتذة بالجامعة، وأن تدخين المرأة لا علاقة له بأخلاقها... فيما استغربنا من رد طالبة ثانوية، ترى أن التدخين يزيد من أنوثتها، حسبما أكده لها مُقرًّبون!!

مختص اجتماعي: المرأة لجأت إلى التدخين لتزيد من فرص مساواتها مع الرجل
اعتبر المختص الاجتماعي أوقاسي إسماعيل، أن خروج المرأة للعمل في السنوات الأخيرة، ومزاولة كثير منهن وظائف كانت حكرا على الرجال فقط، وتقبل المجتمع للظاهرة، جعلهن يطمحن في مزيد من الحرية والتمرد على العادات الاجتماعية، بعدما أصحبن شركاء للرجل في جميع المجالات. وأكد المختص أن تركيبة المجتمع الجزائري تجعله لم ولن يتقبل تدخين النساء في الأماكن العمومية مهما علا منصبهن الاجتماعي، لأن الظاهرة يُنظر إليها على أنها تمرد على أخلاق المجتمع. ويضيف: "مهما التزمت المرأة بحسن الأخلاق، فمجرد حملها سيجارة يجعل المجتمع ينظر إليها بدونية واحتقار...". وتأسف المتحدث لكون المدخنين سواء كانوا نساء أم رجالا يجهلون تحريم التدخين شرعا، لأنه إضرار بالنفس التي حرم الله أذيتها، خاصة على المرأة التي تنجب وتربي أجيال المستقبل

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1
2016/10/12
والراه المشكل ؟ حتى في القرى إدخنو وحتى جداتنا قديما كن يدخنن ويستعملن الشمة احيانا والبعض منهن لازال . المرأة العاملة المدخنة التي تعيل أسرتها افضل بكثير من اخيها الماكث في البيت ينتظر منحة أبيه أو أمه . وجهة نظر
2
Anaya
2016/10/12
بشع! بشع جدا منظر المرأة و هي تدخن ناهيك عن الرائحة الكريهة التي تنبعث منها (le tabac froid )...أين الأنوثة؟
عالم ثالث! !! ناس تحاول كل الطرق للإقلاع عن التدخين لأنها عادة سيئة و مضرة بالصحة و ناس تتباهى بذلك !
3
momo
algerie
2016/10/12
اذا كان حلالعلى الرجل فهو حلال على المراة وان كان حرام فغلى الاتنين
4
العباسي
الجزائر ارض الله
2016/10/12
اغلبية الجزائريين ينضرون الى المراة من تدخن انها خارجا الطريق
5
الغريب
الجزائر
2016/10/12
وضعنا ديننا وراء ظهورنا و اتبعنا الغرب.قال رسول الله صلى الله عليه وسلم: "لتتبعن سنن من كان قبلكم حذو القذة بالقذة حتى لو دخلوا جحر ضب خرب لدخلتموه" في روايات الحديث: (قلنا يا رسول الله اليهود والنصارى؟ قال: فمن؟ ) وهذا التشبيه في المتابعة (شبرا بشبر وذراعاً بذراع) في رواية: حذو القذة بالقذة كناية عن شدة الموافقة لهم في المخالفات والمعاصي .ثم إن هذا اللفظ خبر معناه النهي عن اتباعهم وعن الالتفات إلى غير الإسلام .حتى لو دخلوا جحر ضب لدخلتموه" مبالغة في الاتباع لهم،
6
سمير
2016/10/12
لا يهم سواءا كانت امرأة او رجل, المهم ان للتدخين اضرارا وخيمة على جسم الانسان و هذا الذي يجب ان يكون الهدف السامي من المقال. اما ان تتذكروا الدين و الصحة و التقاليد و المحافظة و,,و,,و بمجرد ان الطرف الاساسي فيها هو المرأة فهذا تمييز اقل وصف له هو انه انه قرو-وسطي.
7
اسامة
2016/10/12
لالا والله ربحت تبا لك يا بوتفليقة جبتنا قوانين الملحدين كالمساواة بين الرجل والمراة وفساد المجتمع
8
انيس
2016/10/12
زمان كان الرجل يتزوج مع امرءة محترمة تاع بيت واليوم يتزوج مع نادية راجل الانوثة مكاش وترجعلك الف كلمة في ثانية
9
واقعية
2016/10/12
لا شفتها و لا سمعت بيها اذا .... لا تعليق
10
الونشريسي
2016/10/12
اولا لابد ان نعرف اصل التخين.*ومامضاره؟وحكمه في الشرع؟وهل هو خروج عن ا عراف المجتمع؟ وهل كان متداول بينهن خفية؟وهل هو اليوم ظاهرة؟كيف نجد العلاج؟...
11
bili
2016/10/12
حق من حقوق المراة المزعوم
12
2016/10/12
نتمنى لبعض النساء والبنات الهداية والإقتلاع عن التدخين كليا وتركه ومن تصف أنا التدخين المرأة هو نوع من التفتح والعصرنة أقول لهم العصرنة الحقيقية ليست في التدخين بل في أشياء التي تفيدك وتفيد الذين من حولك وتدخين يفعل العكس تمام أدخلي على موقع مايسببه التدخين من أمراض ومنها سراطان الرئة ولا أريد أن أتكلم على الخطر الذي قد يصيب الجنين لنساء الحاملات والتفتح الحقيقي شيئ لاتعرفيه ولن تعرفيه معناه لأنكي تضنين أن التدخين هو التفتح.
13
حروشي
ALGERIA
2016/10/12
المراة المدخنة تشبه كثيرا قصة الضفدعة الغبية.
14
امازيغي جزائري
الجزائر
2016/10/12
ليس جريمة ان تدخن المرأة , المجتمع هو الذي يرى بنظرة غريبة الى المراة المدخنة و على العموم هذه مسألة شخصية و لا دخل لأحد فيها . بالمناسبة المراة المدخنة لها شخصية قوية .
15
2016/10/13
D'apres l'article, il est rare de trouver une femme qui fume ouvertement dans la rue. Donc l'auteur de cet article exagere en fnous faisant croire qu'il y a feu a la maison.
16
متصرف
راس الوادي
2016/10/13
قوة الرأة في ضعفها و ليس في وقاحتها .
17
جلال
الجزائر
2016/10/13
عند زواجي اكتشفت ان زوجتي تدخن, لم أتقبل الامر مع البداية لكن مع مرور الوقت صرت أشتري لها السجائر لكن هي تدخن بالبيت فقط أو عندما نسافر خارج الجزائر
18
جلال
الجزائر
2016/10/13
أنا زوجتي تدخن و لا أرى حرجا في ذلك
19
Mohamed El Djazaeri
Algerie
2016/10/13
سلام الصحفية التي كتبت هذا المقال هي في الواقع لا تدري و لا تعرف بان من جداتنا من كن يدخن و ما كان هناك حرج في المجتمع الجزائري فما يجوز للرجال فهو حلال على النساء و الواقع العربي مر و لا يستطيع ااجزائريون ما داموا عرب الخروج من الانكماش و التخلف الا اذا عادوا الى هويتهم الامازيغية دون تركهم للاسلام الذي جاء للناس كافة .فالاتراك مسلمين و الافغان مسلمين الى اخره ....فنحن لا بد من ان نعترف بان للمراة الامازيغية حرية و شخصية مخالفة للمراء العربية و الرجل الامازيغي كذالك فهو يختلف عن العربي سلوكا
20
sa
alger
2016/10/13
تدخين المراة و لو سرا دلالة على على سفورها و فجورها و غضب الله عليها الله يحفظ أمتنا و بناتنا منهن
21
مسيلمة الكذاب
مدخن
2016/10/13
التدخين مفيد للصحة و للقلب و الشرايين و مفيد كذلك للمكحلة.
22
Algérien
Algérie
2016/10/13
راح المجتمع (إذا صلحت المرأة صلح المجتمع).
23
noureddine
oujda
2016/10/13
التدخين ممنوع يا أستاذة الجامعية في قاعة الأساتذة ، كأستاذ علي أن أكون قدوة للتلاميذ ،لا أدخن ولاأتمنى أن يدخنوا .
24
سمراء
biskra
2016/10/13
نشعر بالعار من اخبار كهده عن مراة جزائرية
قبل تكلم عن تحلف نتكلم عن دين
خاصة ان لا فائدة للتدخين بل اضرار
في تعليقاتكم لا تحكمو علي كل نساء انهم متشبهات هي عين قليلة فقط
25
karimus
alger
2016/10/13
لا تدخين للنساء ولا للرجال فالمشكل صحي أ تحبس هنا (تريدون حلال عليكم و حرام عليهم)
26
الغريب
الجزائر
2016/10/13
ما مني التخلف و الانغلاق و ما معني التقدم و الانفتاح و علي من الانفتاح و علي من الانغلاق.
27
Hicham
ORAN
2016/10/13
شيء مقرف. أنا رجل و لم أضع في حياتي سيجارة واحدة في فمي, التطور و التقدّم و الرقيّ في الوقاية و النظافة و الجهل و التخلف في إتّباع أهل الأهواء و القذارة
28
2016/10/13
التدخين حرام مثل الرجز والخمر و الميسر أحب من أحب و كره من كره
محمد
29
عبد الكريم
الجزائر
2016/10/13
نصيحتي لأخواتي أن يبتعدن عن هذا الطريق الذي ليست له نهاية إلا خراب الجسم و محطته سريرفي المستشفى. و هذا طريق مشوا فيه الأوروبيات و الغربيات من جامعيات و غيرهن فدمرهن و قضى على أنوثتهن فأصبح لهن صوت خشن و ما إلى ذلك مثل الرجل مع توترهن الدائم و الملفت للإنتباه. و لكن ليس كل الغربيات يفعلن هذا، و هذا بشهادتي فمنهن من يحافظن على نظافت أجسادهن .و أنتن المسلمات ، عندكن الكثير من الحلول لتجنب هذه الآفة، من الإرتباط بحبل الله، و قدوتكن زوجات رسول الله و الصحابيات و ما عانين معه في طريق الدعوة إلى الله
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عبد الكريم
الجزائر
2016/10/13
يا أخواتي أنتن لم تعانين مثل الصحابيات و زوجات النبي صلى الله عليه و سلم فلقد شردن، و مشين في الغزوات لا من أجل مشاكل الدنيا الفانية، و لا من أجل منصب، و لا من أجل شاب تتزوجه. فعرفن الله فنرصهن و أعلى من شأنهن. فاحذرن من إستدراج الشيطان شيئا فشيئا تبدأن بسجارة فتصبحن مدمنات في النهاية، و ثمت الطامة الكبرى فتصبحن تنفقن أموال طائلة للإقلاع عن التدخين فلا تسطعن فالحذر كل الحذر.
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عبد الكريم
الجزائر
2016/10/13
و الله الذي لا إله إلا هو، الخاسر الأكبر هو المدخن لا غيره من من يراه، سواء كان من العائلة أو من غيرها من الناس. فلا يغرنكن أحد ، و الموضة الآن في الغرب هو الإبتعاد عن التدخين. فمن يذهب إلى أوروبا يجد قوانين صارمة لمن يدخن في الأماكن العمومية و العمل.و المدخن ينظر إليه بنظرة إشمئزاز فلقد بقوا إلا دول العالم الثالث الذين ما زالوا متخلفين في تطبيق القوانين بجدية.
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2016/10/13
وعلاش بقات حرمه فلبلاد كعاد الرجل يسبغ شعرو كاش مبقا ياو قلتلكم البلد راحت
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عبد الكريم
الجزائر
2016/10/13
لا نكذب على أنفسنا. هذه نتيجة عدم تلقين و تعليم أبنائنا التخطيط و ملئ الفراغ أثناء في ساعات يومه. سواء عمل يدوي مفيد، مطالعة، ذكر، الكتابة أو أي هواية، زيارة مستشفى...إلخ
وقت الفراغ يفعل بالإنسان ما لا يفعله العدو بعدوه. إذا كان الإنسان لا يفعل شيئا في وقت فراغه مفيدا لنفسه أو لغيره يكون حتما عرضة لوساوس النفس الأمارة بالسوء و وسوسة الشيطان . أنظروا مثلا إلى الإنسان الألماني كيف يقضي وقته، عنده من العيب و العار إذا كان اليوم الموالي لا يعرف ماذا يفعل فيه.
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عبد الكريم
الجزائر
2016/10/13
الذي يدخن يعني ذلك أن له وقت فراغ مدمر غير مملوء بشيئ يعود عليه بالفائدة له و لدولته. أنظروا مثلا إلى الإنسان الألماني كيف يقضي وقته، عنده من العيب و العار إذا كان اليوم الموالي لا يعرف ماذا يفعل فيه. فما بالك نحن المسلمين الذي يحثنا رسولنا صلىالله عليه و سلم أن نغتنم خمسا قبل خمس من بينها شبابك قبل هرمك و فراغك قبل موتك. أين نحن من تطبيق تعاليم ديننا حتى لا نقع في حبال الشيطان.


شكّكت في "تغريداتها" وقالت إن هناك من يختبئ وراء اسمها..
بوشوشة: "أحلام ملاك، والزهايمر تهمة "مستغانمي"!
رابح. ع
2016/10/12

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بوشوشة لم تمثل في ثلاثية "كلمات" وحسابك مع عابد فهد وأمل عرفة؟؟
بعد تشكيك مؤلفة ثلاثيات "مدرسة الحب"، نور الشيشكلي، في أن تكون الروائية أحلام مستغانمي وراء التغريدات الأخيرة التي هاجمتها من خلالها على "تويتر"،بحجة "أنّ اللغة المستخدمة لم تكن لغة الأديبة التي اعتدناها". خرجت الفنانة الجزائرية أمل بوشوشة، لتشكك هي الأخرى في الأمر، مستبعدة في حوار أجرته معها جريدة "الرأي" الكويتية أن تؤثر هذه القضية في علاقتهما؟؟
في أول خروج إعلامي لها، منذ إثارة الكاتبة الجزائرية أحلام مستغانمي لقضية سرقة روايتها "الأسـود يليق بك"، قـالت أمل بوشوشة إن "مستغانمي وطن بالنسبة إليها"، متجّنبة بذلك أي صدام يضعها أمام المؤلفة التي سبق أن وضعتها على سُلم البطولات الدرامية ذات رمضان من عام 2012.
وكانت "بوشوشة" قـد رفضت التعليق عـلى الحملة التي شنّتها أحـلام عـلى مـا اعتبرتْه "سرقة" الكاتبة نور الشيشكلي لأفكار وجمل من روايتها المعروفة "الأسود يليق بك"، وتقديمها في إحدى ثلاثيات مسلسل "مدرسة الحب"، التي خرجت الروائية الجزائرية لتطالب بتغيير اسمها إلى "مدرسة السرقة"!!
وردا على الحملة التي شنّتها مستغانمي ضدها على "تويتر"،حيث كان عتب الأخيرة عليها كبيراً، أكدت "بوشوشة"في حوارها مع جريدة "الرأي" الكويتية أنه "لا أحد يمكن أن يعرف مَن يختبئ وراء الأسماء والصور على فضاء "السوشيال ميديا"، لكن أحلام ليس هناك أطيب من قلبها.. هي امرأة طيبة وجدعة، ومن حقها أن تدافع عن روايتها التي أعطت لها من وقتها وشغلها وتعبها. ولكن المحبين كثرٌ وأوصلوا الرسالة بطريقة خاطئة؟؟ أو ربما بطريقة فُهمت بشكل خاطئ"، مضيفة: "ولكنها عندما ستشاهد الثلاثية التي شاركتُ فيها ستكتشف الحقيقة، ويبقى الأمر المضحك هو أنني لم أشاهد ولا حتى "نصف حلقة" من مسلسل "مدرسة الحب".
من جهته،لم يمّرر جمهور بوشوشة هجوم أحـلام عليها مـرور الكرام، فخرج بعضهم ليدافع عن فنانته المفضلة قائلا: "لم نفهم لم تشن أحلام مستغانمي حربا على أمل بوشوشة، وهي أصلا لم تمثل في ثلاثية "كلمات" لعابد فهد وأمل عرفة التي سُرقت منها روايتها؟؟" مضيفين: "أمل مثلث في ثلاثية "حنين"، فما دخل أمل في الموضوع.. الظاهر أن أحلام أصابها زهايمر؟؟

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علجية
Alger
2016/10/13
عيب وعار عليكن أنتن من نفس البلد فلا تقعن في نفس اخطاء أشباه السياسيين دياولنا اللي ضحكوا علينا الأمة واللي مايسوى بنشر غسيلنا في الخارج عيب عيب كبير...!؟
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مهدي
2016/10/13
تحية الى الاخت امال بوشوشة من جمهورها بي مدينة عين الترك ;ولاية وهرانالجزائرية حيث نشئت .

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