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الاخبار العاجلة لاكتشاف الوزير قرنونة حمدونة وزير الاتصال الورقي الجزائري صحافة الفايسبوك في الانترنيت والوزير قرنونة يطالب صحافيي الفايسبوك بالانخراط في الصحافة المكتوبة الورقية مجانا بدل نشر اخبار اعلامية صحيحة ويدكر ان وزير الاتصال الورقي يخاف من الانترنيت والقنوات الخاصة والاداعات الخاصة ولايسبعد اوساط سياسية ان يطالب وزير الاتصال الورقي الجزائري من الجزائرين بعدم استعمال بطاقات الدفع الالكتروني مستقبلا لكونها لاتتطابق مع قانون الاعلام الجزائري ومنت غريب الصدف ان وزير الاتصال الورقي الجزائري يهدد الفايسبوك بالغلق الالكتروني وشر البلية مايبكي
شدد على ضرورة التأكد من مصدر الخبر قبل نشره ... ڤرين :
''الصحفي مسؤول عما يقوله في الفايسبوك ''
- كتب بواسطة: ع/ت
دعا وزير الاتصال حميد ڤرين، الصحفيين إلى الالتزام بالمسؤولية والاحترافية لا سيما في المواضيع المتعلقة بالجريمة، مشيرا أن الصحفي مسؤول عما يقوله في الشبكات الاجتماعية .
وأوضح ڤرين في كلمته الافتتاحية لندوة حول (الجريمة مسؤولية الجميع) التي نظمت بمناسبة الاحتفال بالذكرى الـ 25 لتأسيس إذاعة القرآن الكريم أنه بالرغم من (حث الصحفيين عدة مرات على ضرورة الالتزام
بالاحترافية والمسؤولية عند بث الخبر، إلا أنه لم نتوصل إلى تغيير أسلوب البعض منهم).
وأضاف ڤرين أن الصحفي مسؤول عما يقوله في مواقع التواصل الاجتماعي، معتبرا أن الاحترافية تتطلب التأني والتأكد من مصدر الخبر، لاسيما في التغطيات المتعلقة بالمجتمع وبالمأساة التي عاشتها العائلات الجزائرية خلال الأشهر الماضية.
كما أكد ڤرين أن التكوين يعتبر أحسن طريقة للالتزام بمواصفات الصحفي المحترف، مذكرا بتنظيم 40 ندوة تكوينية لصالح الصحفيين أطرها أساتذة أجانب ذوو خبرة من فرنسا، كندا وسويسرا و تونس، تم خلالها التطرق إلى موضوع (الاحترافية وأخلاقيات المهنة).
واعتبر الوزير أن التكرار قاعدة في الاتصال لتمرير الرسالة الإعلامية، مشيرا إلى ملاحظة بعض التحسن وفق الدراسة التي أجرتها الوزارة.
وبحسب ڤرين فإن هذه الدراسة توصلت إلى أن التسرع والحماس الذي يجر بعض الصحفيين إلى نشر مقالات دون التأكد من مصدرها ناتج عن تأثير شبكات التواصل الإجتماعي (تويتر وفايسبوك).
وقال في هذا الصدد إن الحرية المطلقة التي تتيحها الشبكات الإجتماعية في بث الأخبار حيث يكون صاحب الخبر صحفيا ورئيس تحرير ومسؤول النشر في آن واحد، لها تأثير على الصحفي الذي يلجأ إلى هذه المواقع لينشر أخبارا غير مؤكدة، داعيا الصحفيين إلى الالتزام بالمسؤولية والتأكد من المعلومة من مصدرها لا سيما مع قطاع العدالة أو الاجهزة الأمنية كالدرك والأمن الوطنيين ومصادر أخرى. وأضاف قائلا لا بد أن تكون المعلومة موثوقة، لأن الصحفي يمكن أن يكون سببا في الحزن كما يمكن أن يكون سببا في الفرح، كما دعا إلى اختيار الوقت المناسب لبث الخبر والأسلوب المناسب لذلك.
Sidi Bel Abbès
Le manque d’enseignants se pose toujours Les associations des parents d’élèves sollicitéesUne cinquantaine de postes d’enseignants du cycle primaire de
meure toujours inoccupés, tandis que pour le cycle moyen et secondaire, 90% de la centaine d’enseignants issus des autres wilayas ont retiré leurs affectations et sont attendus à rejoindre leurs postes.
Un délai de 10 jours à compter du 29 septembre leur est accordé, avant de les remplacer par d’autres de la liste de réserve. Pour ce qui est du cycle primaire, l’abstention des nouveaux recrutés ayant signé leur PV d’installation et retardé à se présenter à leur établissement après les 4 jours qui leur ont été accordés, a fait hausser le nombre de 286 à 325 enseignants portés sur la liste d’attente convoqués pour les remplacer. Le problème se pose pour la section 10 au sud de la wilaya, et les localités déshéritées, à savoir Marhoum, Ras El Ma, Mérine, Khachba et autres localités de l’est, l’ouest et le nord de la wilaya où à la date du 3 octobre, les postes d’enseignants des classes primaires étaient toujours inoccupés.
Un mois s’est écoulé depuis la rentrée scolaire et jusqu’à l’heure, les établissements de la wilaya de Sidi Bel Abbès des trois paliers accusent toujours un déficit en personnel éducatif, indiquera M. Khorsi Amine Mostapha coordinateur de wilaya du SNAPEST, qui soulignera que le recours à la liste de réserve n’est pas la solution adéquate et ne règlera pas ce sérieux problème, et aura un impact négatif sur le rendement des concernés. Selon l’interlocuteur, le recrutement national d’enseignants est l’erreur fatale des décideurs et va se répercuter sur l’année scolaire. Les enseignants des autres wilayas refusent leur affectation à Sidi Bel Abbès au motif de l’éloignement et du manque de transport vers ses établissements. Pour régler le problème, la direction de l’Education a réservé le dortoir du CEM Djilali Liabès, pour héberger ces enseignants, sans leur réserver la restauration. «Un nouveau recruté ne va encaisser son salaire qu’après peine et des mois d’attente et n’aura pas les moyens pour se prendre en charge», fera-t-il indiquer. «Le recrutement local aurait réglé tout problème», a-t-il estimé. Le coordinateur du SNAPEST estime que la solution pour l’épineux problème du manque d’enseignants est du ressort des associations de parents d’élèves. Ces dernières doivent se manifester et agir rapidement auprès des décideurs et demander des prises de dispositions rapides, avant que ne le premier trimestre ne s’écoule inactif et se répercute sur les élèves.
Fatima A.
Le manque d’enseignants se pose toujours Les associations des parents d’élèves sollicitéesUne cinquantaine de postes d’enseignants du cycle primaire de
meure toujours inoccupés, tandis que pour le cycle moyen et secondaire, 90% de la centaine d’enseignants issus des autres wilayas ont retiré leurs affectations et sont attendus à rejoindre leurs postes.
Un délai de 10 jours à compter du 29 septembre leur est accordé, avant de les remplacer par d’autres de la liste de réserve. Pour ce qui est du cycle primaire, l’abstention des nouveaux recrutés ayant signé leur PV d’installation et retardé à se présenter à leur établissement après les 4 jours qui leur ont été accordés, a fait hausser le nombre de 286 à 325 enseignants portés sur la liste d’attente convoqués pour les remplacer. Le problème se pose pour la section 10 au sud de la wilaya, et les localités déshéritées, à savoir Marhoum, Ras El Ma, Mérine, Khachba et autres localités de l’est, l’ouest et le nord de la wilaya où à la date du 3 octobre, les postes d’enseignants des classes primaires étaient toujours inoccupés.
Un mois s’est écoulé depuis la rentrée scolaire et jusqu’à l’heure, les établissements de la wilaya de Sidi Bel Abbès des trois paliers accusent toujours un déficit en personnel éducatif, indiquera M. Khorsi Amine Mostapha coordinateur de wilaya du SNAPEST, qui soulignera que le recours à la liste de réserve n’est pas la solution adéquate et ne règlera pas ce sérieux problème, et aura un impact négatif sur le rendement des concernés. Selon l’interlocuteur, le recrutement national d’enseignants est l’erreur fatale des décideurs et va se répercuter sur l’année scolaire. Les enseignants des autres wilayas refusent leur affectation à Sidi Bel Abbès au motif de l’éloignement et du manque de transport vers ses établissements. Pour régler le problème, la direction de l’Education a réservé le dortoir du CEM Djilali Liabès, pour héberger ces enseignants, sans leur réserver la restauration. «Un nouveau recruté ne va encaisser son salaire qu’après peine et des mois d’attente et n’aura pas les moyens pour se prendre en charge», fera-t-il indiquer. «Le recrutement local aurait réglé tout problème», a-t-il estimé. Le coordinateur du SNAPEST estime que la solution pour l’épineux problème du manque d’enseignants est du ressort des associations de parents d’élèves. Ces dernières doivent se manifester et agir rapidement auprès des décideurs et demander des prises de dispositions rapides, avant que ne le premier trimestre ne s’écoule inactif et se répercute sur les élèves.
Fatima A.
Ain Temouchent
Les études des nouvelles lignes Beni Saf-SBA et Beni Saf-Ghazaouet Port achevées
Les études des projets de nouvelles lignes ferroviaires devant relier, respectivement, Beni Saf à Sidi Bel Abbes et Beni Saf au port de Ghazaouet, ont été achevées, apprend-on, mardi, du wali d’Ain Temouchent.
«Ces projets visant le renforcement des infrastructures de base de la wilaya, ont vu leurs études achevées à cent pour cent après leur présentation aux autorités locales qui ont émis des réserves entièrement prises en charge par les techniciens de l’Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (ANESRIF) d’Alger», a précisé le wali, au cours d’une émission diffusée, mardi, par la radio locale. Hamou Ahmed Touhami a également mis l’accent sur l’importance de la concrétisation de ces deux lignes ferroviaires appelées à «concourir au développement de la wilaya qui connait, depuis la fin de l’année écoulée, un essor particulier dans le domaine de l’investissement», a-t-il indiqué. S’agissant de la première ligne reliant Beni Saf à Sidi Bel Abbes, les autorités locales ont opté pour la troisième variante de l’étude qui porte sur une distance de 64,042 km et touchera un maximum de villes en passant par Ain Temouchent, Châabet El L’ham, El Malah, Hammam Bouhadjar, la RN 96, Tessala et, enfin, Sidi Bel Abbes. La nouvelle ligne renforcera les moyens de transport dans la wilaya, particulièrement, au niveau des zones touristiques à l’instar de Hammam Bouhadjar et El Malah. Elle se distingue par l’absence de contraintes majeures au niveau du terrain traversé. La seconde étude relative à la liaison entre les ports de Ghazaouet et Beni Saf (85 km) pour une vitesse de 220 km/h, permettra de relier ces deux importantes infrastructures portuaires, facilitant le transport des voyageurs et des marchandises entre ces deux cités, et de là vers l’Europe. Une ligne maritime relie le port de Ghazaouet à la ville espagnole d’Almeria, rappelle-t-on.
Les études des nouvelles lignes Beni Saf-SBA et Beni Saf-Ghazaouet Port achevées
Les études des projets de nouvelles lignes ferroviaires devant relier, respectivement, Beni Saf à Sidi Bel Abbes et Beni Saf au port de Ghazaouet, ont été achevées, apprend-on, mardi, du wali d’Ain Temouchent.
«Ces projets visant le renforcement des infrastructures de base de la wilaya, ont vu leurs études achevées à cent pour cent après leur présentation aux autorités locales qui ont émis des réserves entièrement prises en charge par les techniciens de l’Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (ANESRIF) d’Alger», a précisé le wali, au cours d’une émission diffusée, mardi, par la radio locale. Hamou Ahmed Touhami a également mis l’accent sur l’importance de la concrétisation de ces deux lignes ferroviaires appelées à «concourir au développement de la wilaya qui connait, depuis la fin de l’année écoulée, un essor particulier dans le domaine de l’investissement», a-t-il indiqué. S’agissant de la première ligne reliant Beni Saf à Sidi Bel Abbes, les autorités locales ont opté pour la troisième variante de l’étude qui porte sur une distance de 64,042 km et touchera un maximum de villes en passant par Ain Temouchent, Châabet El L’ham, El Malah, Hammam Bouhadjar, la RN 96, Tessala et, enfin, Sidi Bel Abbes. La nouvelle ligne renforcera les moyens de transport dans la wilaya, particulièrement, au niveau des zones touristiques à l’instar de Hammam Bouhadjar et El Malah. Elle se distingue par l’absence de contraintes majeures au niveau du terrain traversé. La seconde étude relative à la liaison entre les ports de Ghazaouet et Beni Saf (85 km) pour une vitesse de 220 km/h, permettra de relier ces deux importantes infrastructures portuaires, facilitant le transport des voyageurs et des marchandises entre ces deux cités, et de là vers l’Europe. Une ligne maritime relie le port de Ghazaouet à la ville espagnole d’Almeria, rappelle-t-on.
Hospitalisation à domicile Une formule de soins au service des cancéreux Il est 9h00. L’équipe de l’hospitalisation à domicile (HAD) au CHU d’Oran est déjà prête à entamer sa journée, sillonnant les quartiers de la ville, pour soulager des malades qui n’ont plus la force de se déplacer vers les structures sanitaires. L’ambulance est garée devant le service d’oncologie. Les malades pris en charge par cette unité sont des cancéreux, dans un état avancé. Par respect aux malades concernés, le véhicule ne porte aucune indication sur la nature des patients concernés. La pudeur des malades ne souhaitant pas afficher leur mal devant les yeux curieux des voisins a conduit l’administration à effacer la mention «service oncologie», peinte sur les portières du véhicule.
A l’intérieur de ce dernier, se trou
ve une équipe cent pour cent fé
minine: une jeune infirmière, une psychologue et une ambulancière, Hanane, la seule femme à conduire une ambulance dans toute la région Ouest du pays. C’est le Dr Fatma Zerrouki qui se charge de présenter à l’APS son service. Avec cinq autres médecins généralistes, deux infirmières et une psychologue, l’unité HAD relevant du service d’oncologie du CHUO, se rend chaque jour au chevet de cinq à six malades, se trouvant à un stade avancé de leurs cancers, pour leur prodiguer des soins palliatifs.
Les malades pris en charge par cette unité, créée en mars 2015, sont à 90% des personnes âgées, rongées par la maladie et pour qui les traitements habituels (chimiothérapie et radiothérapie) ont été jugés inutiles et inefficaces par les médecins. Malgré le soleil radieux de cette journée d’un automne débutant, l’atmosphère dans le véhicule est un peu tendue. Toute le long du trajet, l’équipe est peu bavarde. Les visages sont crispés et les regards pensifs. Côtoyer la maladie, la souffrance et la mort au quotidien laisse inexorablement des traces.
A l’intérieur de ce dernier, se trou
ve une équipe cent pour cent fé
minine: une jeune infirmière, une psychologue et une ambulancière, Hanane, la seule femme à conduire une ambulance dans toute la région Ouest du pays. C’est le Dr Fatma Zerrouki qui se charge de présenter à l’APS son service. Avec cinq autres médecins généralistes, deux infirmières et une psychologue, l’unité HAD relevant du service d’oncologie du CHUO, se rend chaque jour au chevet de cinq à six malades, se trouvant à un stade avancé de leurs cancers, pour leur prodiguer des soins palliatifs.
Les malades pris en charge par cette unité, créée en mars 2015, sont à 90% des personnes âgées, rongées par la maladie et pour qui les traitements habituels (chimiothérapie et radiothérapie) ont été jugés inutiles et inefficaces par les médecins. Malgré le soleil radieux de cette journée d’un automne débutant, l’atmosphère dans le véhicule est un peu tendue. Toute le long du trajet, l’équipe est peu bavarde. Les visages sont crispés et les regards pensifs. Côtoyer la maladie, la souffrance et la mort au quotidien laisse inexorablement des traces.
Une école pour apprendre le sens de la vie
«Ce service est une véritable école pour qui veut apprendre des leçons de la vie», ajoute Dr Zerrouki, avant de se presser de donner les dernières instructions. Elle informe le reste de l’équipe que c’est le Dr Bouhalouan qui va finalement diriger la mission. Ses obligations professionnelles et sa responsabilité l’obligent à rester sur place. Dès que le Dr Bouhalouan ait pris place dans le véhicule, l’ambiance change. Bon causeur, avec un contact facile, l’équipe se lâche, oubliant presque la présence d’une journaliste. Le trajet entre le CHU et le quartier d’Eckmuhl, où réside le premier patient de la journée, était riche en discussions. Le Dr Bouhalouan fait preuve d’un grand sens de communication et d’ouverture. Une qualité qui s’est confirmée tout au long des visites chez les différents patients. Très proche des malades, il s’occupe d’eux comme on s’occupe de sa propre famille. Il masse les mains de Rabia, embrasse El hadja Zineb, enlace El Hadj Dahou. D’emblée, on constate que le comportement de ce praticien est sincère, mû par un réel sentiment de compassion et de générosité. «Des qualités indispensables pour pouvoir continuer à travailler dans notre service», souligne Djamila, la psychologue. «Il faut aussi avoir de la force», rétorque Imen, l’infermière
de 25 ans. «A chaque fois qu’un patient meure, je me fais la promesse de ne plus m’attacher aux malades et d’avoir avec eux un rapport purement professionnel. Mais, je finis toujours par m’attacher, par tisser des liens avec eux et me chagriner à chaque fois que quelqu’un nous quitte», confie-t-elle, émue. Il est vrai qu’il est difficile de ne pas s’attacher aux malades. Ces derniers et leurs familles partagent tellement de choses avec les membres de l’équipe HAD. Leurs souffrances et leurs malheurs, leurs peurs et angoisses, mais aussi de bons moments, du rire, des anecdotes, de la nostalgie... La visite de l’unité HAD est loin d’être purement technique. Les membres de l’unité HAD finissent toujours par s’investir affectivement et émotionnellement. Les patients et leurs familles le leur rendent bien. Les yeux remplis de reconnaissance et de soulagement de les voir débarquer, les malades et leurs proches se lancent souvent dans des kyrielles de «Daaoui El Kheir», ne sachant comment remercier ces «anges gardiens» qui leur épargnent tant de peines. Khalti Yamina en témoigne. Elle s’occupe de son époux de 72 ans, atteint depuis deux années d’un cancer de la prostate, avec des métastases osseuses. Avant la prise en charge du malade par l’unité HAD, elle était contrainte de déplacer son époux, grabataire, dans une ambulance privée, qui lui coûtait jusqu’à 18.000 DA. Une fortune pour une famille qui n’a pour seul revenu qu’une mince retraite. «Les filles (en parlant des infirmières) m’ont vu négocier avec l’ambulancier devant le service de l’oncologie. Elles sont venues me proposer une prise en charge à domicile. Cela fait maintenant un an que l’équipe vient à domicile prodiguer à mon époux les traitements nécessaires», explique-t-elle. El Hadj Dahou, du haut de ses 89 printemps, souffre d’un cancer du poumon. Il semble bien se porter. Vivant avec sa femme, son fils benjamin et sa petite famille, El Hadj Dahou ne peut pas se plaindre de ses conditions de vie. Sa bru est aux petits soins. «C’est ma deuxième infirmière», dit-il, tout fier d’avoir une personne aussi dévouée à ses côtés.
de 25 ans. «A chaque fois qu’un patient meure, je me fais la promesse de ne plus m’attacher aux malades et d’avoir avec eux un rapport purement professionnel. Mais, je finis toujours par m’attacher, par tisser des liens avec eux et me chagriner à chaque fois que quelqu’un nous quitte», confie-t-elle, émue. Il est vrai qu’il est difficile de ne pas s’attacher aux malades. Ces derniers et leurs familles partagent tellement de choses avec les membres de l’équipe HAD. Leurs souffrances et leurs malheurs, leurs peurs et angoisses, mais aussi de bons moments, du rire, des anecdotes, de la nostalgie... La visite de l’unité HAD est loin d’être purement technique. Les membres de l’unité HAD finissent toujours par s’investir affectivement et émotionnellement. Les patients et leurs familles le leur rendent bien. Les yeux remplis de reconnaissance et de soulagement de les voir débarquer, les malades et leurs proches se lancent souvent dans des kyrielles de «Daaoui El Kheir», ne sachant comment remercier ces «anges gardiens» qui leur épargnent tant de peines. Khalti Yamina en témoigne. Elle s’occupe de son époux de 72 ans, atteint depuis deux années d’un cancer de la prostate, avec des métastases osseuses. Avant la prise en charge du malade par l’unité HAD, elle était contrainte de déplacer son époux, grabataire, dans une ambulance privée, qui lui coûtait jusqu’à 18.000 DA. Une fortune pour une famille qui n’a pour seul revenu qu’une mince retraite. «Les filles (en parlant des infirmières) m’ont vu négocier avec l’ambulancier devant le service de l’oncologie. Elles sont venues me proposer une prise en charge à domicile. Cela fait maintenant un an que l’équipe vient à domicile prodiguer à mon époux les traitements nécessaires», explique-t-elle. El Hadj Dahou, du haut de ses 89 printemps, souffre d’un cancer du poumon. Il semble bien se porter. Vivant avec sa femme, son fils benjamin et sa petite famille, El Hadj Dahou ne peut pas se plaindre de ses conditions de vie. Sa bru est aux petits soins. «C’est ma deuxième infirmière», dit-il, tout fier d’avoir une personne aussi dévouée à ses côtés.
Accepter la terrible «sentence»
La visite chez El Hadj Dahou, résidant à Haï Salam (ex-Saint-Hubert) a duré presque une heure, le temps de l’examiner et de lui administrer une perfusion contenant un corticoïde pour l’aider à mieux respirer. Une heure de partage, durant laquelle l’octogénaire raconta, avec beaucoup d’humour et une pointe de nostalgie, l’histoire de ses quatre mariages et ses onze enfants. «J’ai eu de quoi composer une équipe de foot au grand complet» s’exclame-t-il en riant. Si les deux premiers patients ont l’air de «bien s’accommoder « de leur maladie, le cas n’est pas le même pour tout le monde. «Ce sont ceux qui n’acceptent pas leur maladie ou qui vivent des conflits familiaux, qui se portent le plus mal», rappelle Djamila, la psychologue. Jusque là, l’humour et la convivialité était au rendez-vous, mais la troisième visite s’annonce un peu plus difficile. Dr Bouhelouan prévient que la prochaine patiente ne se porte pas aussi bien que les précédents. Yamina, 59 ans, atteinte d’un cancer du sein, n’a pas pu vaincre la maladie malgré plusieurs thérapies. Après des métastases osseuses, les médecins ont décidé d’arrêter les traitements et de se contenter de soins palliatifs. Le terrible mal a rongé les os de cette pauvre femme. Demeurant en position allongée depuis plus d’un an, ses nerfs lâchent. Elle n’en peut plus. Ses crises de nerf se multiplient et nourrissent ses conflits avec son fils, avec qui elle a une relation déjà mitigée. Son enthousiasme n’est pas à son top vis-à-vis de l’équipe. Elle lui reproche «de ne rien changer à sa situation». Elle ne veut pas admettre qu’elle est condamnée. Elle supplie le Dr. Benhaloun de l’aider à décrocher une prise en charge à l’étranger. Lui n’ose pas lui dire la réalité des choses. La générosité et la compassion des membres de cette équipe ne pallient pas une formation pour la prise en charge psychologique de personnes condamnées. Djamila n’est titulaire que d’une licence en psychologie clinique. Elle aimerait bien être formée pour affronter ce genre de situations. Une formation qui lui permettra de se positionner par rapport à beaucoup de choses, en l’occurrence la décision d’annoncer ou non le diagnostic au malade. La condamnation est taboue chez les familles. Elle le reste avec les membres de l’équipe. Annoncer un cas désespéré, la mort prochaine d’un malade est une mission éprouvante pour tous. «La majorité des familles demandent aux médecins de ne pas révéler la triste réalité au malade pour les préserver», indique le Dr Benhaloun, estimant que cacher la vérité risque d’installer entre le malade et sa famille un décalage tel que chacun le vivra de part et d’autre comme un mur de silence, isolant notamment le malade. En l’absence d’un code ou d’un consensus ou même d’une formation adaptée, l’équipe HAD est contrainte de se plier à la volonté des familles du malade. Faisant la réalité, être parfois contraint de mentir pour ne pas choquer, pour ne pas blesser. Incontestablement, l’unité HAD reste une initiative à saluer et surtout à multiplier. «Tous les services spécialisés dans les maladies chroniques devraient avoir des unités semblables», estime Dr Benhaloune, regrettant qu’une seule ambulance ne suffit pas pour le service oncologie, qui a besoin de plus de moyens pour mieux prendre en charge ces malades qui en ont le plus grand besoin.
La visite chez El Hadj Dahou, résidant à Haï Salam (ex-Saint-Hubert) a duré presque une heure, le temps de l’examiner et de lui administrer une perfusion contenant un corticoïde pour l’aider à mieux respirer. Une heure de partage, durant laquelle l’octogénaire raconta, avec beaucoup d’humour et une pointe de nostalgie, l’histoire de ses quatre mariages et ses onze enfants. «J’ai eu de quoi composer une équipe de foot au grand complet» s’exclame-t-il en riant. Si les deux premiers patients ont l’air de «bien s’accommoder « de leur maladie, le cas n’est pas le même pour tout le monde. «Ce sont ceux qui n’acceptent pas leur maladie ou qui vivent des conflits familiaux, qui se portent le plus mal», rappelle Djamila, la psychologue. Jusque là, l’humour et la convivialité était au rendez-vous, mais la troisième visite s’annonce un peu plus difficile. Dr Bouhelouan prévient que la prochaine patiente ne se porte pas aussi bien que les précédents. Yamina, 59 ans, atteinte d’un cancer du sein, n’a pas pu vaincre la maladie malgré plusieurs thérapies. Après des métastases osseuses, les médecins ont décidé d’arrêter les traitements et de se contenter de soins palliatifs. Le terrible mal a rongé les os de cette pauvre femme. Demeurant en position allongée depuis plus d’un an, ses nerfs lâchent. Elle n’en peut plus. Ses crises de nerf se multiplient et nourrissent ses conflits avec son fils, avec qui elle a une relation déjà mitigée. Son enthousiasme n’est pas à son top vis-à-vis de l’équipe. Elle lui reproche «de ne rien changer à sa situation». Elle ne veut pas admettre qu’elle est condamnée. Elle supplie le Dr. Benhaloun de l’aider à décrocher une prise en charge à l’étranger. Lui n’ose pas lui dire la réalité des choses. La générosité et la compassion des membres de cette équipe ne pallient pas une formation pour la prise en charge psychologique de personnes condamnées. Djamila n’est titulaire que d’une licence en psychologie clinique. Elle aimerait bien être formée pour affronter ce genre de situations. Une formation qui lui permettra de se positionner par rapport à beaucoup de choses, en l’occurrence la décision d’annoncer ou non le diagnostic au malade. La condamnation est taboue chez les familles. Elle le reste avec les membres de l’équipe. Annoncer un cas désespéré, la mort prochaine d’un malade est une mission éprouvante pour tous. «La majorité des familles demandent aux médecins de ne pas révéler la triste réalité au malade pour les préserver», indique le Dr Benhaloun, estimant que cacher la vérité risque d’installer entre le malade et sa famille un décalage tel que chacun le vivra de part et d’autre comme un mur de silence, isolant notamment le malade. En l’absence d’un code ou d’un consensus ou même d’une formation adaptée, l’équipe HAD est contrainte de se plier à la volonté des familles du malade. Faisant la réalité, être parfois contraint de mentir pour ne pas choquer, pour ne pas blesser. Incontestablement, l’unité HAD reste une initiative à saluer et surtout à multiplier. «Tous les services spécialisés dans les maladies chroniques devraient avoir des unités semblables», estime Dr Benhaloune, regrettant qu’une seule ambulance ne suffit pas pour le service oncologie, qui a besoin de plus de moyens pour mieux prendre en charge ces malades qui en ont le plus grand besoin.
Un stade sans gradins et des spectateurs debout au milieu
des branches mortes et des détritus à Gdyel
Les supporters méritent plus de respect
Cela fait au moins une année que le stade communal du 5-Juillet 1962 a été réalisé a Gdyel, revêtu de gazon artificiel. Le stade abrite fréquemment des rencontres de football entre les équipes de différents clubs en présence de dizaines de supporteurs debout derrière le muret de clôture, sur lequel, est érigé un grillage et au milieu de branches mortes résultant d’une opération d’élagage qui a eu lieu depuis au moins six mois.
En effet, réalisé à coup de millions de dinars, l’important stade communal de football du 5-Juillet 1962 de la localité de Gdyel n’est pas équipé de gradins, les nombreux spectateurs qu’il accueille sont contraints de suivre les matchs debout à travers le grillage qui se dresse sur le muret de clôture. Ce qui a le plus retenu notre attention est le manque d’entretien, pour ne pas dire le laisser-aller révoltant qui règne au niveau du pourtour du terrain de jeu où des dizaines de branches mortes résultant d’un élagage qui a eu lieu depuis au moins six mois, jonchent le sol, ça et là, au pied du muret de clôture, que les spectateurs sont contraints de piétiner pour suivre une partie de foot au risque de se blesser. Devant une telle situation, il est à se demander si les responsables concernés sont conscients de l’image que cela donne d’eux auprès des
Centaines de spectateurs qui viennent au stade de toutes parts. Par respect au sport, aux spectateurs et à la localité, n’est-il pas
possible d’enlever toutes ces branches au moment même de l’élagage afin de permettre d’être plus ou moins à l’aise, en attendant des jours meilleurs où se concrétiseront peut-être des gradins ?
A.Bekhaitia
des branches mortes et des détritus à Gdyel
Les supporters méritent plus de respect
Cela fait au moins une année que le stade communal du 5-Juillet 1962 a été réalisé a Gdyel, revêtu de gazon artificiel. Le stade abrite fréquemment des rencontres de football entre les équipes de différents clubs en présence de dizaines de supporteurs debout derrière le muret de clôture, sur lequel, est érigé un grillage et au milieu de branches mortes résultant d’une opération d’élagage qui a eu lieu depuis au moins six mois.
En effet, réalisé à coup de millions de dinars, l’important stade communal de football du 5-Juillet 1962 de la localité de Gdyel n’est pas équipé de gradins, les nombreux spectateurs qu’il accueille sont contraints de suivre les matchs debout à travers le grillage qui se dresse sur le muret de clôture. Ce qui a le plus retenu notre attention est le manque d’entretien, pour ne pas dire le laisser-aller révoltant qui règne au niveau du pourtour du terrain de jeu où des dizaines de branches mortes résultant d’un élagage qui a eu lieu depuis au moins six mois, jonchent le sol, ça et là, au pied du muret de clôture, que les spectateurs sont contraints de piétiner pour suivre une partie de foot au risque de se blesser. Devant une telle situation, il est à se demander si les responsables concernés sont conscients de l’image que cela donne d’eux auprès des
Centaines de spectateurs qui viennent au stade de toutes parts. Par respect au sport, aux spectateurs et à la localité, n’est-il pas
possible d’enlever toutes ces branches au moment même de l’élagage afin de permettre d’être plus ou moins à l’aise, en attendant des jours meilleurs où se concrétiseront peut-être des gradins ?
A.Bekhaitia
L’encadrement est assuré par les services de la Sureté de wilaya 130 stadiers en formation Pas moins de 130 stadiers sont en formation sur l’organisation, le maintien de l’ordre et la prévention contre la violence dans les stades, encadrée par les services de la Sûreté de wilaya d’Oran, a-t-on appris mardi du chef du service de l’ordre public auprès de la Sûreté de wilaya.
Le commissaire divisionnaire Benamar Brahimi a souligné, lors d’une rencontre sur le redéploiement des policiers dans les stades, que cette opération inscrite dans le cadre d’une initiative pilote concrétisée dans certaines wilayas, dont Oran, en application des orientations de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), permettra des dispositifs préventifs importants contre la violence dans les stades selon les normes internationales en vigueur. Les stadiers désignés par des clubs de football d’Oran bénéficient d’une formation supérieure en matière d’orientation et organisation des supporters et des comportements à adopter pour encadrer des matchs.
La durée de la formation peut atteindre 9 mois, selon le commissaire divisionnaire qui a affirmé que la contribution de ces stadiers relevant des clubs sera complémentaire avec d’autres services intervenants, dont la police, la protection civile et la direction des stades.
Le plan de redéploiement des policiers dans les stades a été abordé à cette occasion, de même que les objectifs tracés par les services de la Sûreté nationale portant sur le retrait du rôle d’organisation pour se consacrer à l’aspect sécuritaire au niveau des stades et autres infrastructures sportives lors des compétitions.
Cette rencontre, à laquelle ont assisté des représentants de la ligue de football de la wilaya d’Oran, des présidents de clubs et des associations sportives, a été ponctuée par des recommandations, dont l’appel à accélérer la promulgation des dispositions d’application de la loi du sport et le renforcement des mécanismes de collaboration, de communication et de concertation entre tous les partenaires au sein des stade
أويحيى يكشف المستور السبت المقبل
ينشط الأمين العام للأرندي، أحمد أويحيى، السبت المقبل، ندوة صحفية يتطرق فيها إلى المسائل والقضايا المتعلقة بحزبه ومواقفه من التطورات في الساحة الوطنية والدولية. وحسب مقربين من الأرندي، فإن أويحيى سيتحدث عن كل شؤون الحزب بشفافية تامة وسيفضح الأطراف التي تسعى إلى زعزعته، من خلال خلق الإشاعات وإثارة الفتن بين المناضلين وقياديي الحزب.
أزمة السيارات تزعزع العلاقة بين الأفسيو وبلعايب
طالب نائب رئيس منتدى رؤساء المؤسسات، محمد بايري، وزير التجارة بختي بلعايب بالاستقالة على خلفية تصريحاته الأخيرة ضد اللوبيات. وقال مسؤول الأفسيو إن تأكيد وزير التجارة سيطرة لوبيات على نشاط الإستيراد لا أساس له من الصحة، مضيفا أن الوزير موجود في منصبه لتطبيق القانون والإجراءات وإن لم يستطع فعليه بالاستقالة. غير أن مصادر أخرى أكدت أن سبب هذا التوتر هو محاولة الوزير تسريع عملية إستيراد السيارات الأقل من 3 سنوات، وهو ما اعتبره بايري تهديدا لتجارته خصوصا وأنه سيفتتح مصنعا لصناعة سيارات إيفيكو العام المقبل.
"لافاش كيري" تستهتر بصحة الجزائريين
بعد إصدار وزارة التجارة قرارا بحجز وسحب حصص من جبن علامة البقرة الضاحكة من فئة العلب المستديرة من الأسواق، أعلنت شركة "بال الجزائر" المسوقة لجبن "لافاش كيري" أنها علمت بالقرار من الصحافة الوطنية، بعد ظهور أعراض عسر في الهضم مست عددا من التلاميذ بمدرسة ابتدائية ببلدية المنصورة في برج بوعريريج. وأضافت الشركة أن هذه التعفنات لا تشكل خطرا على الصحة حتى في حالة تناولها عن طريق الخطأ، وهو ما أغضب عشرات المواطنين الذين تساءلوا كيف لهذه التعفنات ألا تسبب مشاكل صحية لمستهلكيها رغم الروائح الكريهة المنبعثة منها، فهل هذا نوع من السخرية والاستهتار بالجزائريين؟
جيجليات يطالبن بتجريم اللباس الفاضح
قام عدد من الناشطات في المجتمع المدني بولاية جيجل، أول أمس، بتنظيم وقفة احتجاجية للمطالبة بالاحتشام في اللباس وإشراك الأئمة في مكافحة ظاهرة اللباس الفاضح، وهي الوقفة التي لقيت استحسان شريحة واسعة من المواطنين بعاصمة الكورنيش الذين طالبوا مسؤولي الولاية بتبني هذه الفكرة للقضاء على كل الظواهر المشينة التي شهدتها ولايتهم مؤخرا.
هل سينجح سعداني في استبعاد أصحاب الشكارة من تشريعيات 2017؟
كشف عمار سعداني، الأمين العام لجبهة التحرير الوطني، أن حزبه سيقطع الطريق أمام أصحاب "الشكارة" في الانتخابات التشريعية القادمة.. وهي التصريحات التي استقبلها الجزائريون بالكثير من الشك، وأن فترة 7 أشهر لن تكون كافية لاستبعاد أصحاب الشكارة من الحزب خصوصا وأنهم أضحوا أصحاب نفوذ في الحزب العتيد.
par A. E. A.
Une collision entre un véhicule léger et un camion est survenue hier, dans la commune de Benbadis, faisant un mort. Selon le chargé de communication de la protection civile, le capitaine Abderrahmane Lagraa, l'accident s'est produit vers 7h30. Deux véhicules sont entrés en collision. Le conducteur du véhicule léger a été blessé et évacué vers par la protection civile, à la polyclinique de Benbadis pour des soins complémentaires. Malheureusement et malgré les efforts du staff de permanence, la victime a succombé à ses blessures. Tandis que le chauffeur du camion s'en est sorti indemne, selon la même source.
par A. Z.
Mis en cause dans une affaire de vente illicite de psychotropes, un dealer a été interpellé ces derniers jours à Ali-Mendjeli. Selon un communiqué de la cellule des relations publiques de la sûreté de wilaya, l'exploitation de renseignements fiables par les policiers a permis de neutraliser le dealer de stupéfiants dont le domicile a été perquisitionné sur autorisation du procureur de la République et où l'on découvrira 79 comprimés Tigretol 200 mg. A l'issue des procédures pénales, le mis en cause, âgé de 24 ans, a été présenté devant le parquet, souligne le communiqué de la sûreté de wilaya.
Soulignons que le phénomène de vente de comprimés psychotropes et de stupéfiants prend une dimension alarmante.
Il ne se passe pas un jour sans que les services de sécurité ne fassent état de saisies de ce poison que représentent ces comprimés psychotropes, écoulés auprès des jeunes.
doit y avoir de gros fournisseurs qui approvisionnent régulièrement ces jeunes dealers, qui ressuscitent très vite sur le terrain, car dès que l'un d'entre eux est neutralisé, il est rapidement remplacé par un autre.
par A. Mallem
Hier, dès cinq heures du matin, les habitants du quartier El-Menia, situé en contrebas de la Ville des Ponts, sur la double voie rapide conduisant à Hamma-Bouziane, Jijel et Mila, ont été réveillés par lees bulldozers de la mairie qui ont lancé une opération de démolition de plateformes, magasins et habitations illicites, construits sur le côté droit de la route. Selon les informations recueillies à l'APC et auprès des habitants, l'opération a vu la mobilisation des services de l'assainissement et des moyens généraux de la commune, de la logistique des secteurs urbains de Boudraa Salah et de Sidi-Rached ainsi que des éléments de la Gendarmerie nationale.
En somme, beaucoup de monde qui, ajouté au nombre de curieux, s'était massé de part et d'autre de la voie rapide, a provoqué une situation anarchique et la voie a été tout simplement barrée. C'est pourquoi le cortège du wali qui se rendait en visite dans la daïra de Zighoud-Youcef a dû rebrousser chemin pour rejoindre la nationale 5 qui passe par Sidi-M'cid et la cité de Bekira.
Les démolitions se poursuivaient encore l'après-midi. Entre-temps, on a appris que pendant la matinée d'hier, 5 constructions illicites ont été démolies dont des magasins et une habitation de 4 étages. L'après-midi, 3 autres constructions illicites allaient être rasées.
Les habitants du quartier ont affirmé qu'il n'y a pas eu de réaction collective de leur part pour protester ou couper la route. «Parce que l'opération a visé uniquement des constructions illicites érigées sur des parcelles qui ont été vendues à des particuliers par un propriétaire foncier. Celui-là même dont la bâtisse, de 4 étages, a été rasée».
En somme, beaucoup de monde qui, ajouté au nombre de curieux, s'était massé de part et d'autre de la voie rapide, a provoqué une situation anarchique et la voie a été tout simplement barrée. C'est pourquoi le cortège du wali qui se rendait en visite dans la daïra de Zighoud-Youcef a dû rebrousser chemin pour rejoindre la nationale 5 qui passe par Sidi-M'cid et la cité de Bekira.
Les démolitions se poursuivaient encore l'après-midi. Entre-temps, on a appris que pendant la matinée d'hier, 5 constructions illicites ont été démolies dont des magasins et une habitation de 4 étages. L'après-midi, 3 autres constructions illicites allaient être rasées.
Les habitants du quartier ont affirmé qu'il n'y a pas eu de réaction collective de leur part pour protester ou couper la route. «Parce que l'opération a visé uniquement des constructions illicites érigées sur des parcelles qui ont été vendues à des particuliers par un propriétaire foncier. Celui-là même dont la bâtisse, de 4 étages, a été rasée».
par A. Mallem
Au cours du programme marathonien de sa visite d'inspection qu'il a effectuée hier dans la daïra de Zighoud-Youcef, le wali de Constantine, M. Hocine Ouadah, a dû faire face aux représentants de la société civile organisés dans une «commission de suivi des revendications des citoyens de la ville de Zighoud-Youcef», qui ont cherché à le contacter pour lui remettre la liste contenant les revendications des habitants.
Au début, indiquent-ils, ils ont été empêchés de voir le wali. Ils ont protesté bruyamment et ont réussi à faire sortir le wali de la salle où il se reposait. Il est donc venu à leur rencontre, les a écouté et pris les lettres concernant la liste des revendications qu'ils ont élaborées à son intention.
Parmi les faits saillants de sa visite dans cette daïra, il y a cette halte effectuée au chantier de construction du nouveau tribunal de Zighoud-Youcef, projet dont le taux de réalisation atteint environ 95%. Là, il a dû constater que des réserves importantes ont été enregistrées, entre autres le revêtement du sol par un carrelage de mauvaise qualité et mal posé encore, ainsi que des infiltrations d'eau au sous-sol. Constatant ces imperfections substantielles, le wali a ordonné à l'entrepreneur en charge de la réalisation d'y remédier dans un délai d'un mois, faute de quoi il sera poursuivi en justice.
Le wali qui s'est rendu dans quelques quartiers de la ville pour s'enquérir des problèmes d'AEP. Il présidera une opération d'adduction de gaz naturel dont ont bénéficié 81 familles du village de Mihoubi, dans le quartier Essalam. Il aura aussi à inspecter le chantier de réalisation de l'Institut national de formation dans le secteur de l'hôtellerie et du tourisme. Il posera également la première pierre d'un projet de 800 logements publics locatifs (LPL) faisant partie d'un programme de 1000 logements dont a bénéficié la ville. Ces logements sont implantés au lieudit Bordj Benmatti qui servait auparavant de base à Cojaal et a été par la suite récupéré par la mairie. Dans la zone d'activités, le wali a constaté que les travaux d'aménagement ne se déroulent pas au rythme souhaité. Il invitera aussitôt les responsables à accélérer la cadence par la multiplication des équipes et l'allongement des horaires de travail.
L'autre projet d'envergure lancé à Zighoud-Youcef consiste à alimenter les cités 330 logements LPL et 60 logements participatifs en eau potable. Ces deux cités qui ont été habitées il y a plus deux ans maintenant ne sont pas raccordées au réseau d'AEP. Ce projet qui a été lancé hier par le wali va remédier à ce problème vital dans un délai de deux ou trois mois au maximum.
Notons pour terminer que le wali s'est rendu au chantier de construction de la maison de la culture de la ville, projet qui a été lancé dans le cadre de l'évènement «Constantine, capitale de la culture arabe 2015» et dont le taux de réalisation n'a encore pas dépassé 45% à l'heure actuelle.
par A. El Abci
Plus de 70 souscripteurs au programme de logements Cnep Immo', ont investi, avant-hier, avec femmes et enfants, leurs appartements situés à l'unité de voisinage (UV17) de la nouvelle ville Ali Mendjeli' et ce, pour protester contre les lenteurs dans l'octroi des clés qui leur aurait permis de s'y installer d'une manière officielle. Les souscripteurs concernés ont avoué s'être résolus à cette action, après bien des hésitations et c'est dans la contrainte que finalement ils ont franchi le pas, «car la décision n'a pas été facile à prendre», ajoutent-ils. Selon le président de l'association des souscripteurs aux logements Cnep Immo', Taher Boulkout, les concernés affectés, par tirage au sort, à l'UV 17, ont organisé, depuis le début de l'année jusqu'à maintenant, pas moins de cinq rassemblements, devant le site des logements à l'UV en question, pour faire état de leur ras-le-bol de la situation qu'ils vivent et à laquelle «ils ne comprennent absolument rien», disent-ils. De même qu'ils se sont déplacés, plusieurs fois, au siège de la direction régionale de la Cnep Immo' à la cité Daksi', pour demander juste de plus amples explications sur leur cas, mais sans résultat. Pire encore, poursuivra-t-il, la direction a refusé de les recevoir. Et, le même scénario risque de se répéter pour les souscripteurs de l'UV 13, qui sont dans le même cas, à savoir que la majorité d'entre eux possède, tout aussi bien les actes de propriété que les PV de remise des clés. Et c'est fort de tout cela, que ces derniers ont décidé de lancer, déjà, des appels sur facebook, donnant rendez-vous aux 256 souscripteurs de ladite UV, jeudi prochain, pour occuper les appartements et de s'y installer. Et notre interlocuteur, d'indiquer, dans ce cadre, qu'il compte voir, aujourd'hui même, le chef de la Sûreté de wilaya ainsi que le chef de cabinet du wali, pour les mettre au courant de cette action d'envahissement des logements et de leur demander d'être compréhensifs. Car la plupart, notera-t-il, de ces citoyens sont des fonctionnaires ou des commerçants respectables, mais qui en ont marre d'attendre et qui ne supportent pas de payer des loyers, qui coûtent les yeux de la tête, alors que leurs logements sont prêts et qu'ils ont les actes de propriété en poche.
Et si les choses restent en l'état, ce sera l'UV 18 (1.464 appartements) et l'UV 10 (700 logements) qui sont également achevés, et qui risquent d'être prises d'assaut à leur tour par les bénéficiaires, affirmera-t-il.
Et si les choses restent en l'état, ce sera l'UV 18 (1.464 appartements) et l'UV 10 (700 logements) qui sont également achevés, et qui risquent d'être prises d'assaut à leur tour par les bénéficiaires, affirmera-t-il.
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