الجمعة، أكتوبر 21

الاخبار العاجدلة لاعلان الدولة الجزائرية اشهار الافلاس الاقتصادي عبر بشائر قانون الافلاس المالي الجزائري ويدكر ان حكومة سلال التبديرية سوف لن تشيد المساكن ولا الطرقالت ولا المستشفيات لكنها سوف تبني الانتخابات البرلمانية لدولة فالسة وةيدكر ان الصرصور سلال اكتشف ان تخفيض الاجور و رفع اسعار الضرائب سوف يعوض اسعار الدهب الاسود وشر البلية مايبكي

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الاخبار  العاجلة   لاكتشاف الرسائل  الهاتفية   العاطفية  من اجل  مواصلة الحديث الهاتفي والجزائرين يكتشفون ان   الرسائل   الهاتفية  العاطفية مع شخصيات  مجهولة   اضحت من الغاز   المكالمات   الحزائرية الهاتفية ويدكر ان  الجزائري يفضل  الحوار العاطفي الهاتفي على اللقاء  العاطفي  خوفا من   نظرات المجتمع الجزائري المغلق ويدكر ان  الجزائري يخاف لقاء  عاشيقته  في الشارع   لكنه يفضل لقائها في  الاحياء  الجامعية ومداخل  الجامعات والمدن  الخارجية  الجزائرية وشر البلية مايبكي

نمادج من  الرسائل الهاتفية  الجزائرية 

Flexyli  stp 
Appelle  moi  stp
Flexyli  stb  200
اشكر   لك  الاخت  الكريمة  ما تفضلت  به   لكن تاكدي  اننا  نعمل  على عدة جبهات   لحماية 
عيد  ميلاد سعيد   كل سنة  انتي حلوة 
محطوظة  ان لي خالة اسمها وردة  حفظها الله  من بلاء وسوء 
Fatima  ana  nour dine  habibek  je  taime 
Fatima  j arrive  chez  toi  a   masi
Fatima    flexyli  stb  ton   amour   bon jour   je taime 
J ai pas   d argent 
Bonjour   fati   j arrive   a   masinsa   chez   toi  nour
نبكي على  الزهر  المعوج  مكان حتي  خبر  يفرح
Echoken  ntia
لو كنت  محلك  افعل نفس  الشئ 

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الاخبار   العاجدلة   لاعلان  الدولة   الجزائرية   اشهار  الافلاس  الاقتصادي    عبر بشائر   قانون  الافلاس  المالي  الجزائري ويدكر ان   حكومة  سلال  التبديرية   سوف لن تشيد  المساكن ولا  الطرقالت ولا المستشفيات لكنها   سوف تبني  الانتخابات  البرلمانية   لدولة فالسة وةيدكر ان   الصرصور   سلال   اكتشف ان  تخفيض الاجور و رفع  اسعار  الضرائب  سوف  يعوض  اسعار  الدهب الاسود وشر البلية مايبكي

En 2017, l’État ne construira ni logements, ni autoroutes, ni hôpitaux…

10:38  jeudi 20 octobre 2016 | Par Hadjer Guenanfa | Actualité  
 
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الاخبار   العاجلة لتهديم واجهة   الدرك  الوطني بساحة  سان جان بقسنطينة    بعد اكتشاف تشققات في جدران  البناية  الفرنسية ويدكر ان  الغباء العمراني  الجزائري كشف ان   الجزائر تهدم  بطريقة  البناء التقليدي في الارياف  حيث حضرت شاحنات  كهرباء  البلدية واغلقت الطرقات  ليتم هدم   الصنم  الفرنسي في  ستة ساعات  

 قسمة بين صباح ومساء الجمعة الاسلاميةوشر البلية مايبكي

  

 http://www.vitaminedz.org/fr/Constantine

 

 

 

 

 

 

Cartes postales de la gendarmerie
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uin 2007

La rue Abane Ramdame (ex Rouault de Fleury), au fond la gendarmerie

Photo Hubert Cotty
( mai 2007)

 http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/images/photo_du_mois/2007_06.jpghttp://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/images/photo_du_mois/2007_06.jpg

 http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LesImages/cartespostales/pyramide.htm

 

 

De la place de la Pyramide à la place de la Brèche
Photos Aïssa Benhaddouche

dsc05202.jpg (98874 octets) La pyramide
dsc05201.jpg (108115 octets) dsc05200.jpg (101260 octets) L'ancienne église du Sacré-Cœur dsc05205.jpg (95939 octets)
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dsc05250.jpg (56008 octets) dsc05249.jpg (54833 octets)
La gendarmerie
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L'ancienne rue Rouhault de Fleury et ses arcades
dsc05253.jpg (85172 octets) La place Lamoricière
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L'Hôtel Cirta
dsc05256.jpg (91730 octets) dsc05257.jpg (83944 octets)
L'ancienne avenue Pierre Liagre
dsc05269.jpg (92139 octets) La place de la Brèche : le théâtre et la poste.

 

 http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LesImages/photos/pyramide_breche.htm

 


Cartes postales de la pyramide
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http://adcha-cartes-postales-constantine.blogspot.com/

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الاخبار   العاجدلة   لاعلان  الدولة   الجزائرية   اشهار  الافلاس  الاقتصادي    عبر بشائر   قانون  الافلاس  المالي  الجزائري ويدكر ان   حكومة  سلال  التبديرية   سوف لن تشيد  المساكن ولا  الطرقالت ولا المستشفيات لكنها   سوف تبني  الانتخابات  البرلمانية   لدولة فالسة وةيدكر ان   الصرصور   سلال   اكتشف ان  تخفيض الاجور و رفع  اسعار  الضرائب  سوف  يعوض  اسعار  الدهب الاسود وشر البلية مايبكي

En 2017, l’État ne construira ni logements, ni autoroutes, ni hôpitaux…

10:38  jeudi 20 octobre 2016 | Par Hadjer Guenanfa | Actualité 
palais-du-gouvernement
L’État réduit fortement les investissements publics. Dans le projet de budget pour 2017 dont nous détenons une copie, les grands projets d’équipement sont quasiment absents. Ni grands centres hospitalo-universitaires, ni nouveaux programmes de logements, ni autoroutes…
Le budget de l’équipement est fortement impacté par la crise économique induite par la baisse des recettes de l’État, conséquence de la chute des prix du pétrole.
Prenons par exemple le bâtiment, l’un des moteurs de la croissance. Dans le tableau relatif au programme des projets pour 2017 réservés au ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme, on retrouve notamment l’acquisition foncière de la ville nouvelle de Sidi Abdellah à 15 milliards de dinars, l’étude et la réalisation de 71 CEM à 12,78 milliards de dinars ou encore l’indemnisation au titre des expropriations dans le cadre de la déclaration d’utilité publique de l’opération de réalisation de logements publics et d’équipements à Tébessa. Aucun nouveau programme de logements n’est prévu.


Glissements de terrain à Constantine: Cinq réservoirs d’eau potable menacés



Glissements de terrain à Constantine: Cinq réservoirs d’eau potable menacés




"Après le déboisement du chemin forestier pour la réalisation du pont Salah Bey, d’importants glissements de terrain sont survenus au niveau des lieux exploités présentant un grand danger pour toute la zone", a déclaré Ali Hammam, directeur des ressources en eau de la wilaya de Constantine (DRH), lors de la journée d’information sur les risques des catastrophes, organisée jeudi dernier au siège de la wilaya.

Cette rencontre régionale, qui entre dans le cadre de l’application de la politique nationale de la protection contre les risques majeurs et la gestion des catastrophes naturelles, a réuni les maires et les directeurs des différents secteurs de l’Est pour débattre ce problème en présence d’experts de différents centres de recherches.

L’intervention inattendue de Mr Hammam a embarrassé les responsables locaux et le représentant de la délégation nationale aux risques majeurs (DNRM).

Selon le DRH, le glissement de terrain survenu non seulement suite au déboisement, mais aussi à cause des travaux d’exploitation du terrain sur une profondeur de 25 m prend de l’ampleur et se propage petit à petit dans toute la région, au moment où les responsables concernés observent cette situation sans réagir.

Dans son intervention, le DRH a révélé que cinq réservoirs d’eau potable de 2.500m3 chacun sont sérieusement menacés.

«Si le glissement atteindra les réservoirs, environ 30.000 citoyens et des hôpitaux seront privés de l’eau potable», a-t-il averti.

Le même responsable fait allusion au manque de rigueur dans l’étude des travaux et du terrain qui a été établie par l’entreprise de réalisation Andrade Gutierrez, tout en soulignant que c’est une entreprise étrangère qui a fait les études.

D’ailleurs, certains chercheurs présents se sont demandé pourquoi les études et les recherches des universitaires algériens sur la nature du sol n’ont pas été prises en considération. Pourquoi on n’a pas fait appel à nos chercheurs et à nos universitaires afin qu’ils apportent leur savoir et donnent un plus pour les études établies? Pourquoi aucun responsable n’a soulevé ce problème il y a des années? Que feront les autorités alors que le projet est dans sa dernière phase?

Ce n’est pas tout, Ali Hammam a souligné aussi que ce même problème se pose au niveau du site de Bardo, après les travaux d’aménagement lancés dernièrement.

«En tant que responsable, j’ai remarqué des fissures du sol qui deviennent grandes, alors j’ai profité de cette occasion et j’ai mis en exergue ce phénomène afin que la délégation nous oriente vers des experts et des spécialistes dans le but de trouver des solutions et éviter les dégâts au bon moment», a-t-il déclaré à El Watan.

Pour conclure, et dans la même perspective de la prévention contre les risques majeurs et les catastrophes naturelles, un nouveau système d’annonce et d’alerte des crues sera mis en place au niveau des oueds dans toutes les wilayas prochainement.

Selon Aït Amara Ahcène, directeur de l’assainissement et de la protection de l’environnement au ministère des Ressources en eaux, ce système automatisé existe actuellement à Sidi Belabes et permettra la surveillance du niveau de l’eau dans les oueds et l’importance des crues.

Maintenant il est en période d’essai et il sera mis place à Constantine prochainement.

Yousra Salem




 

 http://www.vitaminedz.org/fr/Constantine/Taleb-djamel-eddine/26839/1.html

 http://www.vitaminedz.org/constantine-transport/Articles_0_4241969_25_1.html

Constantine Transport



Un accord a été passé, avant-hier, entre la Société d'exploitation du tramway (Setram) et l'Entreprise communale de transport urbain (ETC), pour l'adoption d'une carte d'abonnement de 1.500 dinars par mois, valable pour les deux moyens de transport.Ainsi, le citoyen peut utiliser sa carte d'abonnement pour aussi bien le tramway que les bus de l'ETC, contre le paiement de 1.500 dinars/mois, et ce à partir de la fin de mois d'octobre en cours. Cette carte donnera accès à son détenteur à tout le réseau de lignes desservies par les bus bleus de l'entreprise publique, d'une part, et au moyen de locomotion moderne de la ville, le tramway, d'autre part.Selon le directeur des Transports de la wilaya de Constantine, Farid Khélifi, cet accord intervient en exécution des instructions du ministre de tutelle qui ont été données aux deux sociétés publiques, la Setram et l'ETC, en vue de trouver une formule pour l'utilisation du billet unique. Et sous la supervision de la direction des Transports locale, ajoutera-t-il, les deux sociétés sont parvenues à un accord autour d'une carte d'abonnement de 1.500 dinars/mois, qui permettra aux citoyens d'utiliser l'un ou l'autre de ces deux moyens dans leurs déplacements. Sur les avantages de cette nouvelle mesure, qui est déjà entrée en vigueur à Alger depuis près de 15 jours, notre interlocuteur dira que le profit est grand pour le citoyen qui habite Ali Mendjeli et qui rencontre des difficultés à rejoindre le centre-ville de Constantine, la carte d'abonnement lui permet de prendre le bus jusqu'à la cité de Zouaghi Slimane et ensuite de monter dans le tramway, sans payer une 2e fois. Et d'expliquer que la formule a besoin d'un peu de vulgarisation auprès du public, car il sera facile de montrer par un simple calcul que le citoyen, qui se déplace souvent, a un grand intérêt à prendre un abonnement pour l'économie d'argent qu'elle permet. «Toutes les dispositions ont été prises pour que cette carte soit disponible au niveau des guichets de Setram, et ce au plus tard à la fin de ce mois d'octobre 2016», conclut le directeur des Transports.




كان يقترض من ضحاياه المال ويعيده بهامش "ربا" بلغ 15 مليونا

سنة نافذة وغرامة بنصف مليار لإمام سلب مواطنين ملياري سنتيم بقسنطينة

 

ب. عيسى

صحافي، ومدير المكتب الجهوي لجريدة الشروق بقسنطينة
 قضت محكمة الجنح بالخروب بولاية قسنطينة، زوال الخميس، بالسجن النافذ لمدة سنة واحدة، وتعويض لأحد الضحايا بـ 520 مليون سنتيم، إضافة إلى غرامة قدرها مليونا سنتيم، بتهمة النصب والاحتيال، التي توبع بها إمام مسجد الفتح بالخروب بولاية قسنطينة، المدعو الشيخ "ب. ع. ع"، الذي أمّ المصلين منذ سنة 2002، بعد متابعته من ستة مواطنين يقطنون بين الخروب وقسنطينة، اتهموا الإمام بالنصب عليهم وتجريدهم من مبلغ قارب ملياري سنتيم.

الغريب في القضية أن الإمام اعترف في المحاكمة الأولى التي جرت في السادس من أكتوبر الحالي، بأنه كان يقترض فعلا من المشتكين منه، وكان في كل مرة يردّ لهم أموالهم التي تتراوح ما بين 100 و150 مليون سنتيم بفائدة تبلغ أحيانا 15 مليونا في إطار ربا، باتفاق الإمام وضحاياه، إلى أن خنقت الديون الإمام، فقرر التهرّب من دائنيه بحجة أن مبالغ الربا، كانت مبالغا فيها. وعلى خلفية تناقض الإمام في أقواله، وصف وكيل الجمهورية القضية بالسابقة التي تهدد المجتمع، وتم التماس أربع سنوات نافذة في حق الإمام و10 ملايين سنتيم غرامة في حقه، ليتم النطق بالحكم النهائي الخميس.
الإمام "ب. ع. ع"، تم الاستغناء عنه من طرف نظارة الشؤون الدينية بقسنطينة، بعد أن باشرت المصالح الأمنية التحقيق معه، وكان الكثير من المصلين قد راسلوا الوزارة المعنية، وتحدثوا عن انشغال الإمام بالتجارة، حيث كان يبيع المكيفات ومواد البناء وحتى الملابس الرجالية والنسائية، وهو يتنقل إلى مدينة العلمة بسطيف وعين فكرون بولاية أم البواقي، ويتقرب من المصلين، الذين يُقبلون على سلعته، ظنا منهم أن سعرها زهيد، ووجد الإمام نفسه في وضع حرج أثناء المحاكمة أمام القاضي، لأن أحد ضحاياه، قدّم صكوكا من دون رصيد بمبالغ فاقت 450 مليون سنتيم، تؤكد أن الإمام أخذ أموالا ولم يردّها. 
خمسة من ضحيا الإمام قرّروا التنازل عن حقهم، بعد تدخل بعض الأئمة من رفقاء الإمام المتهم على أمل استرجاعها بالتقسيط من عائلته، بينما أصرّ الضحية السادس على استرجاع أمواله التي بلغت نصف مليار سنتيم، وهو ما دفع بالقاضي إلى إجبار الإمام المتهم على دفع مبلغ 520 مليون سنتيم كتعويض للضحية.


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    jc2016/10/20 على 17:11
    1
    سنة راحة مقابل مليار و نصف. مسكين
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    احمد البليدة2016/10/20 على 17:29
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    الله يهدينا ويهديه ورد حق كل واحد مسلوب
  • عبد القادر - الجزائر2016/10/20 على 22:37
    3
    انا هذا والله والله من أكبر اشراط الساعة ربنا يتوفانى بخير والسلام على الأمة
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    ابوزكريا - annaba2016/10/20 على 22:41
    4
    والله وقعت في نفس المشكلة مع امام بعنابة وكان مجرد دين فقط بيني وبينه منذ 2009 و أنا انتظر مالي دون جدوى و المبلغ يتعدى 100 مليون .. حسبي الله
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    2016/10/20 على 23:49
    5
    ضحكوني الأئمة الي زعمة دارو خير.
  • بلقاسم - الجزائر2016/10/21 على 00:00
    6
    والله الا انجح في العملية.....عطلة سنة مدفوعة الأجر بقيمة مليار ونصف......ما كانش مثلو....هذي ادبارت شكيب.....لما القاه في زاوية......
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    بائع الريح - هنا2016/10/21 على 00:41
    7
    أستنتج من هنا أن القانون الجزائري يعاقب المتعاملين بالربا.. فلماذا لا تتحرك المحاكم لمعاقبة كل مسؤولي البنوك العمومية، و وزير السكن و مدير مؤسسة الترقية العمومية الذين يلزمون المواطنين للتعامل بالربا لاقتراض أموال عمومية هي في الأصل أموال الشعب.... هههه دعوني أحلم
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    2016/10/21 على 03:12
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    إمام يعني الناس الكل ............. ههههه
 

Présidence : les budgets de l’alimentation et d’habillement explosent !

22:00  mercredi 19 octobre 2016 | Par Tewfik Abdelbari | Actualité 
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Combien coûtent l’habillement et l’alimentation à la Présidence de la République ? Le projet de budget de l’État pour 2017, dont TSA a obtenu une copie, donne un aperçu et beaucoup de détails : les dépenses annuelles pour le poste de l’alimentation vont bondir de 130% en 2017 pour atteindre 101,5 millions de dinars. C’est plus du double de l’année dernière (+57,5 millions de dinars).
Qu’est-ce qui explique un tel regain d’appétit ? Mystère. L’inflation en Algérie et la hausse des produits alimentaires ne justifient pas une telle augmentation. Cela dit, la majoration spectaculaire de ce budget peut être partiellement liée à la dépréciation du dinar : les produits importés coûtent plus cher depuis la baisse de la valeur de la monnaie nationale.
Mais là encore, c’est sans commune mesure avec la proportion de la hausse (130%) du budget. Et elle ne peut s’expliquer par une augmentation du nombre de réceptions de dirigeants ou représentants étrangers (ou nationaux). D’ailleurs, selon le document, le budget consacré aux réceptions est logiquement en recul de 10 millions de dinars, au vu de la réduction des activités officielles du président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
Le budget consacré à l’habillement est également en forte hausse à 44,11 millions de dinars, selon la même source. C’est 20,88 millions de dinars de plus qu’en 2016, soit une augmentation de 89,9% sur un an, précise le document. L’on ne retrouve pas d’explication de cette évolution.
La majorité des autres chapitres de dépense sont en baisse. Globalement, le budget consacré à la Présidence de la République est en recul de 1%, à 7,82 milliards de dinars en 2017.

Sellal modifie sa biographie officielle, mais…

08:35  lundi 25 avril 2016 | Par Rédaction | Confidentiel/Indiscrets 
Deux jours après la publication par TSA d’un papier sur les biographies de nos ministres, Abdelmalek Sellal a modifié la sienne. Dans le nouveau texte mis en ligne dimanche soir, plusieurs passages ont été supprimés.
Mais, dans la précipitation, les rédacteurs ont oublié des passages comme celui lié à l’organisation de la présidentielle de 1999. « Il organise les présidentielles d’Avril 1999 qui résultent sur l’élection de M. Abdelaziz Bouteflika à la magistrature suprême ». De même qu’on ne comprend pas pourquoi « Constantine » est mise entre guillemets. Encore un effort…

La pénurie de voitures touche les administrations publiques et les ministères

10:17  jeudi 22 septembre 2016 | Par Rédaction | Confidentiel/Indiscrets 
La pénurie de voitures neuves n’affecte pas uniquement le citoyen. Les administrations publiques et les institutions de l’État sont durement touchées par la baisse drastique des importations de véhicules. Plusieurs appels d’offres lancés par des ministères, la Banque d’Algérie, le MDN ont été boudés par les soumissionnaires, faute de véhicules chez les concessionnaires automobiles.

ENTRETIEN

Les vérités du promoteur M’hamed Sahraoui sur le renversement d’un immeuble à Alger

20:46  dimanche 16 octobre 2016 | Par Hadjer Guenanfa | Entretiens 
M'hamed Sahraoui ©TSA
M'hamed Sahraoui ©TSA
Architecte et promoteur immobilier, M’hamed Sahraoui est également président de l’Organisation syndicale nationale des promoteurs immobiliers. Dans cet entretien, il assène ses vérités sur l’affaire du renversement d’une bâtisse au sein de sa promotion immobilière, Urba 2 000 à El Achour sur les hauteurs d’Alger.

Pourquoi un bâtiment de deux étages s’est-il renversé vendredi dernier à Urba 2 000 ?

D’abord, il s’agit d’une petite bâtisse (R+2) qui était achevée à 90% (et non un immeuble de plusieurs étages). Vendredi 14 octobre, vers midi, les ouvriers chinois qui étaient sur le terrain du voisin sont partis déjeuner. À ce moment-là, la bâtisse a commencé à craqueler avant de se renverser. En fait, ce voisin promoteur, Eliès Hattou, s’est récemment installé et n’a rien à voir avec le projet d’Urba 2 000. Il a commencé à faire des terrassements inconsidérés derrière notre bâtisse avec une profondeur de douze mètres au pied de la construction. C’est comme quand vous faites un croche-pied à quelqu’un, il tombe.

Vous n’avez rien constaté durant les travaux de terrassement ?

Nous avons évidemment déposé plainte au niveau de l’APC (d’El Achour, NDLR). Le promoteur a été mis en demeure. Après une pause de plusieurs semaines, il reprend les travaux mais durant la nuit avec un poclain. Je vous signale que la capacité d’intervention d’une pelle mécanique est très importante. Il suffit de plonger la pelle et vous avez l’équivalent du chargement d’un camion. Donc il a complètement déshabillé mes fondations. Quand nous avons porté plainte, il n’avait pas encore atteint cette profondeur. Nous nous sommes rendu compte quand la bâtisse est tombée.

Comment cela se fait-il que les travaux de terrassement soient effectués au pied de la bâtisse ?

La bâtisse en elle-même constitue la clôture (d’Urba 2000, NDLR) et la limite du terrain.

Pourquoi le ministère de l’Habitat vous a-t-il donc retiré l’agrément ?

Le ministère de l’Habitant ne m’a rien retiré et il n’y a rien d’officiel là-dessus. En tout cas, je n’ai toujours pas été notifié. Comment enlever l’agrément à quelqu’un qui cumule 50 ans d’activité et qui est connu en Algérie et ailleurs. Quelqu’un qui a travaillé sur plus de 900 projets depuis 1968 sur lesquels il n’a eu aucun problème. Et puis, le retrait d’un agrément obéit à des règles et je suis bien placé pour le savoir. La suppression de l’agrément vient comme la finalité de l’enquête qui débouche sur un constat qui donne éventuellement lieu à des sanctions graduées qui vont du simple gel provisoire jusqu’à la suppression définitive de l’agrément. Elle ne peut pas être un préalable. Et il n’y a pas eu d’enquête.

L’enquête n’est-elle pas en cours ?

Pour le moment, il n’y a rien. Personne ne m’a contacté. D’ailleurs, ils ont peur de m’interroger parce qu’ils savent que je vais dire les quatre vérités. En fait, j’ai préparé le dossier avec le permis de construire et tous les autres documents dont les contrats avec le CTC (organisme national de contrôle des constructions). Pensez-vous que ce soit possible de poursuivre sur dix années un programme (sans autorisation) ? Et puis pourquoi dit-on qu’on va vérifier tous les projets de Sahraoui ? L’objet est la bâtisse qui s’est renversée ! Je vous rappelle aussi que quand la bâtisse s’est renversée, elle ne s’est pas désintégrée. Ce qui prouve qu’elle était solide !

Comptez-vous déposer plainte et contre qui ?

Oui, je déposerai plainte demain contre le personnage (le promoteur) qui s’est enfui.

Pourquoi avez-vous été pointé du doigt dans cette affaire ?

Il y a une malveillance claire. Vous savez la jalousie et la méchanceté des gens sont exceptionnelles. Les médias ont tout fait aussi pour entretenir ce sens au lieu de dire la vérité.

Cet incident a suscité le débat autour des normes des logements haut standing en Algérie. Pourquoi le taux de densité reste élevé dans ce genre de cités ?

Chez nous, le taux de densité est faible : sur 15 hectares, il y a 1 150 logements. Donc, il n’y a même pas 100 logements à l’hectare. Chez nous, il y a des espaces verts et des parkings. Dans le social, vous trouverez 150 logements dans un hectare.

Dans le social, le mètre carré ne coûte pas entre 250 000 et 300 000 DA…

Je n’ai jamais vendu le mètre carré à 300 000 DA. Même pas à 250 000 DA. Nous sommes parmi ceux qui ont les prix les plus bas en matière de promotionnel de qualité. Les Emiratis vendent à 520 000 DA le mètre carré à Sidi Fredj. D’autres le proposent à 400 000 DA. Nous, on est entre 150 000 et 160 000 DA. Les logements que nous avons vendus étaient entre neuf et onze millions de dinars.
ENTRETIEN

Mohcine Belabbas : « La justice devait se saisir après les accusations de Saâdani contre le général Toufik »

17:06  dimanche 16 octobre 2016 | Par Hadjer Guenanfa | Entretiens 
Belabbes - TSA
Mohcine Belabbes, Président du RCD (Photo : H.G.)
Mohcine Belabbas est le président du RCD. Dans cet entretien, il revient sur la décision de son parti de prendre part aux élections législatives et explique pourquoi l’option du boycott n’était pas tenable.

À quoi sert-il de participer à des élections alors que vous êtes convaincus qu’elles seront truquées ?

Au RCD et au niveau de l’ensemble des partis politiques algériens, on dénonce les fraudes électorales depuis l’avènement du multipartisme. Même des responsables politiques en place ont dénoncé les fraudes électorales. On se souvient du chef de l’État qui avait déclaré, à l’occasion d’un discours à la nation en 2011, que toutes les élections organisées en Algérie étaient des élections à la Naegelen. Par le passé, on a essayé (en participant) de peser pour réduire l’ampleur de la fraude et d’avoir le maximum de garanties. C’est ce qui explique le fait que la loi électorale ait été révisée à plusieurs reprises. Le pouvoir a cédé sur un certain nombre de demandes même si cela reste insuffisant. Je vous rappelle aussi qu’il est connu qu’un parti politique est fait pour participer à des compétitions électorales. Il arrive qu’un parti décide de boycotter. Mais c’est une exception et non pas la règle. À chaque fois qu’on a boycotté une élection, il y avait une conjoncture particulière.

Vous avez justement boycotté les élections de 2012. Qu’est ce qui a changé depuis quatre ans ?

En 2012 par exemple, nous avons essayé d’exploiter une conjoncture politique faite de révolte populaire et de mobilisation de la société civile. L’objectif était de peser en vue d’un changement profond. Cela n’a pas été le cas d’autant plus que les acteurs de l’opposition de l’époque n’ont pas joué le jeu. Cette mobilisation de 2011 et 2012 a contraint le pouvoir à opérer un certain nombre de réformes et de promettre une révision de la Constitution. Comme on l’avait prédit, ces réformes n’ont finalement pas répondu aux attentes des Algériens et ont même consacré des régressions. Mais depuis 2012, il y a eu une évolution. Le RCD a essayé de rallier à ses positions le maximum d’acteurs politiques de l’opposition sur des propositions concrètes notamment sur l’idée d’une instance nationale pour la gestion des élections qui est devenue une revendication essentielle de l’ensemble de l’opposition.

Le problème de manque de transparence demeure-t-il entier pour vous ?

Certes, la transparence n’est pas encore garantie. Cependant, nous n’avons jamais boycotté une élection juste pour une question de transparence des élections. Nous savons pertinemment que les élections ne seront pas transparentes à court terme parce qu’on a des étapes à passer pour faire avancer le combat. Et je pense que nous avons déjà fait avancer le combat sur beaucoup de questions. Un parti politique essaie d’exploiter une conjoncture politique pour peser sur le cours des événements. Ça ne sert à rien de rester sur une position en sachant qu’elle n’est pas rentable sur le plan politique. Au RCD, il y a un capital militant très important qui s’est renforcé depuis 2012 notamment à travers une aile jeunesse et une aile féminine. Ces militants sont très présents sur le terrain et sont déjà opérationnels. Ils veulent aller vers des compétitions et se battre contre les fraudes électorales et les dérapages de l’administration. Il y a eu un débat permanent au sein du RCD autour des élections. C’est ce qui a facilité la prise de décision lors du dernier conseil national. Ce n’était pas une décision par consensus et elle n’a pas été prise à l’unanimité. Il y a eu un vote.

Un boycott de toute l’opposition ne pouvait-il pas être très rentable sur le plan politique ?

Évidemment, un boycott de toute l’opposition pouvait peser sur le cours des événements. D’ailleurs, c’est ce que nous avons préconisé dès le mois de mai dernier en disant que la meilleure position pour l’opposition est un boycott collectif afin de contraindre le pouvoir à revoir sa démarche et donner un peu plus de garanties, voire engager des discussions avec l’opposition. Car c’est vraiment difficile de se permettre une élection qui est boycottée par l’ensemble de l’opposition. Et quand je parle de l’opposition, je ne cible pas seulement les partis politiques qui sont dans l’Instance de concertation et de suivi (Icso), il y a aussi les autres. Il se trouve que ce consensus n’a pas été construit.

Pourquoi ?

Chaque parti politique, et c’est de son droit, avait sa propre analyse de la situation et sa propre projection sur la base d’une réelle étude de terrain. À présent, il est confirmé que le pouvoir veut aller vers un système bipartite. C’est ce que nous avons compris à travers la nouvelle loi électorale qui complique davantage le travail de l’opposition. C’est la première fois que le pouvoir met en place une loi qui encourage les partis politiques à boycotter. Auparavant, on n’exigeait pas d’un parti politique d’avoir 4% (lors de la précédente élection) ou dix élus pour participer aux élections en prenant comme référence la dernière élection.

Ne constitue-t-elle pas une bonne mesure qui permettrait d’écarter les partis qui n’ont finalement aucune base militante ?

Le problème qui se pose avec la nouvelle loi est de prendre comme référence des élections truquées. S’il s’agissait d’une élection transparente organisée par une instance indépendante, le problème ne se poserait pas. Ils n’ont même pas fait l’effort de prendre comme référence les trois dernières élections comme cela a été le cas de la loi de Noureddine Zerhouni en 2007. En tout cas, il est clair qu’ils encouragent les partis politiques à boycotter. Nous sommes dans une tentative de concrétisation d’une démarche voulue par le chef de l’État depuis le début des années 2000 quand il avait dit qu’il faut aller vers un système bipartite (FLN-RND).

À quoi sert encore l’Icso si elle est incapable de permettre ce genre de consensus sur une question aussi importante ?

D’abord, l’Instance est formée d’un ensemble de partis politiques qui a boycotté l’élection présidentielle et d’un autre ensemble qui a participé à ces élections. Dès le départ, l’enjeu ce n’était pas d’avoir la même position par rapport aux élections. L’enjeu était se mettre d’accord autour d’un projet, de faire la promotion de sa plateforme et d’essayer de construire un rapport de force. En partie, les objectifs tracés pour cette instance ont été atteints. La plateforme existe. Nous ne sommes pas parvenus à construire ce rapport de force qui nous permette de peser pour contraindre le pouvoir à venir discuter, cela aussi est un fait. Cela ne veut pas dire qu’on n’a pas essayé de le faire.
Et puis, je ne crois pas que l’élection législative est un événement extraordinaire dans la vie d’une nation. Certes, c’est une compétition électorale à travers laquelle on élit les représentants du peuple. Sauf que dans notre pays, ce vote n’est pas transparent. Je rappelle aussi que nous ne sommes pas dans une situation où la majorité pèse dans le choix du Premier ministre. Chez nous, l’Assemblée populaire nationale valide des lois venues d’en haut. La majorité qui sera issue de l’élection ne pourra pas gérer avec son propre programme puisque la constitution dispose que le Premier ministre présente un plan d’action du programme du chef de l’État. Donc ce n’est pas vraiment une élection importante. Et puis, l’approche diffère d’un parti à un autre. Pour certains, une élection est toujours une occasion pour aller à la rencontre du citoyen puisque nous sommes dans un pays où quand un parti boycott, il n’a pas le droit de réserver des salles. D’autres estiment qu’il y a toujours possibilité d’exploiter la campagne et puis notre présence à l’assemblée pour faire la promotion du projet de la transition démocratique.

Le cabinet du président de la République a envoyé un courrier pour des consultations en vue de désigner Abdelwahab Derbal à la tête de l’Instance de surveillance des élections. Quelle a été votre réponse ?

Notre réponse est connue par le pouvoir et l’opinion publique puisqu’elle se trouve dans nos propositions. Notre parti a fait une offre politique très claire pour une nouvelle gestion électorale. Il s’agissait d’institutionnaliser une instance indépendante de gestion des élections et une instance d’observation des élections pilotée par des acteurs de la société civile. Cela n’a pas été le cas. L’instance de surveillance des élections n’est pas une nouveauté. Elle est même moins importante que celle qui existait dans le passé et qui était formée par des représentants de partis politiques
Ensuite, je ne vois pas comment on peut donner de la crédibilité à une instance dont le chef désigné est un ancien membre de l’exécutif et ancien conseiller du chef de l’État. Même si le choix de la personnalité n’est pas très important en soi. Des personnalités crédibles ont été désignées par le passé à la tête de l’instance et certaines ont même dénoncé la fraude électorale sans être entendues par la justice ou par le conseil constitutionnel. Aujourd’hui, tous les membres de l’instance sont désignés dans cette instance qui ne jouit d’aucune autonomie financière. En termes de délais, nous sommes déjà en retard.

Amar Saâdani a formulé de graves accusations contre le général Toufik notamment en ce qui concerne les émeutes à Ghardaïa où des militants du parti sont toujours détenus…

De tout temps, les hommes du système algérien se sont affrontés par un discours violent et même très violent. Ces dernières années, ces discours sont plus médiatiques puisqu’il y a des chaînes de télévision privées et les réseaux sociaux. La nouveauté est que les institutions notamment la justice ne se saisissent pas parce qu’il y a des propos graves avancés par ce responsable politique. La justice devait se saisir de ce dossier parce qu’il y a des citoyens et des militants emprisonnés dans la wilaya de Ghardaïa. Nous avons le droit de penser que ces militants ont été utilisés comme des boucs émissaires et c’est le cas. Ils croupissent dans des prisons depuis plus de deux ans. À ce jour, il n’y a pas eu de jugement.


Louisa Hanoune : « Le gouvernement est en train de préparer les conditions pour une explosion populaire »

14:26  vendredi 21 octobre 2016 | Par Hadjer Guenanfa | Actualité 
©sidali djarboub/NewPress
©sidali djarboub/NewPress
Louisa Hanoune dénonce la politique d’austérité du gouvernement et prévient contre les conséquences de sa « logique suicidaire » sur la stabilité sociale.
Dans un discours prononcé à l’ouverture des travaux de la commission nationale des étudiants de l’Organisation des Jeunes pour la Révolution du parti, la secrétaire générale du PT est revenue en détail sur le texte et les coupes programmés dans les budgets de chaque département ministériel notamment celui de l’Intérieur et de la DGSN.
« Au moment où on enregistre une augmentation des fléaux dont ceux liés à la drogue, la sûreté nationale perd près de 11 milliards de dinars de son budget ! La protection civile voit son budget diminuer. Le budget consacré à la lutte contre les incendies de forêts a également été revu à la baisse », a-t-il lâché en estimant que ces départements sont touchés par la « politique d’austérité et de façon violente ! ».
Louisa Hanoune pense que le pays se dirige vers « la récession » et donc vers « le chômage.
La patronne du PT cite des rapports américains qui indiquent que l’Algérie est jusqu’à maintenant immunisé contre Daech et que le nombre des Algériens ayant rejoint les rangs de l’organisation terroriste reste infime. Sauf que les choses ne vont pas rester ainsi si « cette politique barbare est appliquée », prévient-elle. Louisa Hanoune rappelle au gouvernement le printemps arabe et comment l’Algérie a pu en être épargnée notamment grâce à la politique sociale menée à l’époque.
« Quelle est donc cette logique suicidaire ? (…) La politique du gouvernement (aujourd’hui) est plus violente que les ordres du FMI dans les années 1990. Le gouvernement vient pour vider les poches de la majorité pour protéger les intérêts d’une minorité », dénonce-t-elle avant d’ajouter : « le gouvernement est en train de préparer les conditions d’une explosion populaire ». Pour elle, la chute du prix du pétrole a mis à nu la politique « du système qui nous gouverne ».
Mais « aucune politique destructive ne peut être une fatalité ! On peut changer le cours des choses », soutient-elle. La secrétaire générale du PT rappelle également le contexte dans lequel l’Algérie célébrera cette année le 62e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération. « Les étudiants ne peuvent permettre la destruction des principes de l’indépendance. Ils trouveront les formes pour organiser la mobilisation pour défendre leur avenir les principes de la révolution », conclut-elle.


المفتش الجهوي لناحية الجنوب الشرقي للشرطة من بسكرة:

"سلبيات" التكنولوجيا ضاعفت الإجرام

date 2016/10/20 views 5136 comments 8

icon-writer مراد. ب 

 

L’exemple du ministère de la Santé est aussi si éloquent. Aucun nouveau projet de réalisation d’un hôpital, d’un CHU ou d’un centre anti-cancer n’est à l’ordre du jour malgré le déficit enregistré en la matière. Le plus important projet inscrit sur la liste est relatif à l’acquisition d’équipements médicaux au profit de 13 polycliniques, sept hôpitaux et un service d’hémodialyse et un laboratoire d’hygiène » et s’élève à 3,65 milliards de dinars.
Au chapitre des réévaluations proposées en 2017, on note notamment une étude et la réalisation de sept hôpitaux à 2,27 milliards de dinars.
Même constat pour le ministère des Travaux publics et des Transports. Dans le programme des projets inscrits pour 2017 figure notamment la réalisation d’une piste Hass Tguert-Tiririne sur 495 Km (deuxième tranche) à cinq milliards de dinars et une autre piste relisant Tamanrasset à Azzaoua sur 292 Km  (deuxième tranche) évaluée également à cinq milliards de dinars. Pour ce département, les réévaluations proposées sont importantes. Il s’agit entre autres de cinq milliards pour le tramway de Ouargla,  4,1 milliards pour celui de Bel Abbès, et à cinq milliards pour l’étude et la réalisation du viaduc Trans-Rhumel de Constantine.
Pour le ministère des Ressources en eau et de l’environnement, aucun grand projet de construction de barrage n’a été inscrit au programme où on note des travaux de confortement de barrages à l’image de celui de Cheurfa II à 1,5 milliard de dinars. Parmi les projets en cours inscrit au chapitre des réévaluations, on peut citer notamment la construction du barrage de Tabbelout à Jijel à 11,4 milliards de dinars et la réalisation du transfert Tabellout-Draa Diss à sept milliards de dinars.
Pour le ministère de l’Industrie et des Mines, même constat. Aucun grand projet n’a été inscrit au programme. Même chose pour le département de la Jeunesse et des Sports qui a toutefois enregistré le projet d’étude, de suivi, de réalisation et d’équipement du stade OMS de Beraki à Alger au chapitre des réévaluations pour 7 milliards de dinars. Pour 2017, le département de Mohamed Aïssa n’a visiblement proposé aucun projet. On enregistre cependant l’inscription au chapitre des réévaluations du projet de suivi, de réalisation et d’équipement d’une mosquée pôle à Laghouat à 500 millions de dinars et le projet relatif à une autre mosquée pôle à Mascara à 710 millions de dinars. Mais le ministre des Affaires a déclaré le 8 octobre que les projets des mosquées pôles ont été gelés, faute d’argent.


المفتش الجهوي لناحية الجنوب الشرقي للشرطة من بسكرة:

"سلبيات" التكنولوجيا ضاعفت الإجرام

 كشف مراقب الشرطة، المفتش الجهوي لناحية الجنوب الشرقي للشرطة بورقلة، مساء الخميس، العلمي عبد السلام، في ندوة صحفية على هامش اختتام الأيام الإعلامية الوطنية لجهاز الشرطة ببسكرة، أن إنجاز مشاريع المراكز الأمنية المسجلة على مستوى الناحية عبر كل من ولايات ورقلة، بسكرة، الأغواط، إليزي، الوادي، غرداية، لم يمسها إلى حد الساعة ما يصطلح عليه بالتقشف.
 
وقال إن المراكز الأمنية المسجلة للإنجاز تسير وفق برنامجها المحدد من المديرية العامة للأمن الوطني، ضمن توسيع دائرة التغطية الأمنية المطلوبة والعادية، فيما أوضح بخصوص تحليله لتفشي أنواع الجرائم في الناحية الجنوبية الشرقية المعروفة سابقا بهدوئها، أن ذلك واقع خطير ساهمت في تفشيه بشكل أكبر الوسائط التكنولوجية وسلبيات الحضارة الحالية المشجعة على العنف، حيث اعتبر التصدي لهذا الواقع من الإجرام بوجوب تقوية جهاز المناعة الوطني من خلال معادلة الأسرة والمدرسة والتربية الاجتماعية، موضحا في ذات الإطار أن جهاز الشرطة في مرحلة تحضير لتوسيع العمل الأمني الوقائي عن طريق كاميرات المراقبة الحضرية التي يمكنها جعل حضور رجال الأمن والتغطية الأمنية فيما يتعلق بتفكيك قضائيا الجرائم المرورية وغيرها تحت السيطرة مستقبلا.
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وكان مراقب الشرطة المفتش الجهوي إلى جانب مراقب الشرطة رئيس أمن ولاية بسكرة والسلطات أشرفوا على اختتام التظاهرة الإعلامية الوطنية في طبعتها 66 التي أقامتها المديرية العامة للأمن الوطني بمنطقة الزيبان ووصفت من الفاعلين بالناجحة لما حققته من تقارب واحتكاك بين المواطن ورجال الأمن.


التعليقات
8

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    2016/10/20 على 20:28
    1
    ...سلبيات التكنولوجياضاعفت الاجرام....كلام لايقوله الا الفاقد لزمام الامر....الفاشل يجب ان يترك الميدان لمن هو افضل.و(قادر).......وماذا لو ان(الجزائر) مثل نيويورك...ماذا ستقولون...ستتهمون التكنولوجيا....
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    SoloDZ2016/10/20 على 20:48
    2
    لا يوجد سلبيات في التكنولوجيا فالتكنولوجيا نعمة حقيقية هناك فقط حسن استعمال وسوء استعمال حسب الشخص الذي يستعمل هذه التكنولوجية شخص ايجابي ام سلبي فهناك من يستعمل القرآن الكريم في الشعوذة فهل يعني هذا ان للقرآن المجيد سلبيات ؟!

 
الشيء الذي ضاعف الإجرام هو سياسة اللاعقاب لهذا وجب مضاعفة الغرامات المالية وزيادة العقوبات الجزائية
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yacine - alger2016/10/21 على 00:56
4
c'est incroyable je crois qu'on vit dans une jungle je me demande comment de simple voyous delinqaunt ont pu avoir devenir une force le citoyen honnrable eduqué respetueux des lois est devnu faible idiot meme un con meme un cadre de letat et meme un officier d'un corps constitué ne peut pas se defendre contre une agression meme un policier en serviec ou civil ne peut pas aider un autre citoyen en difficulté wallah c'est pas normal memela legitime defense n'a plus de sens un policier doit fuir un

الغريب - الجزائر2016/10/21 على 00:59
5
ليست التكنولوجية هي السبب و لكن السبب الرئيسي هو قعودكم علي قلوبنا بالقوة و النار وانتم و عائلتكم و من يدود في فلكم عيشين في بحبوحة اعطيني شيئ واحد صنعته الجزائر من سنة 1962 الي هذه الحظة حتي نفتخر به اما جيراننا برم ان كل الامكانيات متوفرة من الادمغة و الثروات.
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observateur - خنشلة الجزائر2016/10/21 على 06:57
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سكت دهرا ونطق كفرا...لا يا سي العلمي لو طبق الإعدام وكانت العقوبة قاسية وسميتم السجن سجنا بدل من نزل سترون النتيجة ...أصمت ودع التكنولوجيا لأهلها ....أنشري يا شروق كلمة حق
 









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