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الاخبار العاجلة لاكتشاف الرسائل الهاتفية العاطفية من اجل مواصلة الحديث الهاتفي والجزائرين يكتشفون ان الرسائل الهاتفية العاطفية مع شخصيات مجهولة اضحت من الغاز المكالمات الحزائرية الهاتفية ويدكر ان الجزائري يفضل الحوار العاطفي الهاتفي على اللقاء العاطفي خوفا من نظرات المجتمع الجزائري المغلق ويدكر ان الجزائري يخاف لقاء عاشيقته في الشارع لكنه يفضل لقائها في الاحياء الجامعية ومداخل الجامعات والمدن الخارجية الجزائرية وشر البلية مايبكي
نمادج من الرسائل الهاتفية الجزائرية
Flexyli stp
Appelle moi stp
Flexyli stb 200
اشكر
لك الاخت الكريمة
ما تفضلت به لكن تاكدي
اننا نعمل على عدة جبهات لحماية
عيد
ميلاد سعيد كل سنة انتي حلوة
محطوظة
ان لي خالة اسمها وردة حفظها
الله من بلاء وسوء
Fatima ana
nour dine habibek je
taime
Fatima j arrive
chez toi a
masi
Fatima flexyli
stb ton amour
bon jour je taime
J ai pas d argent
Bonjour fati
j arrive a masinsa
chez toi nour
نبكي على
الزهر المعوج مكان حتي
خبر يفرح
Echoken ntia
لو كنت
محلك افعل نفس الشئ
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الاخبار العاجدلة لاعلان الدولة الجزائرية اشهار الافلاس الاقتصادي عبر بشائر قانون الافلاس المالي الجزائري ويدكر ان حكومة سلال التبديرية سوف لن تشيد المساكن ولا الطرقالت ولا المستشفيات لكنها سوف تبني الانتخابات البرلمانية لدولة فالسة وةيدكر ان الصرصور سلال اكتشف ان تخفيض الاجور و رفع اسعار الضرائب سوف يعوض اسعار الدهب الاسود وشر البلية مايبكي
En 2017, l’État ne construira ni logements, ni autoroutes, ni hôpitaux…
الاخبار العاجلة لتهديم واجهة الدرك الوطني بساحة سان جان بقسنطينة بعد اكتشاف تشققات في جدران البناية الفرنسية ويدكر ان الغباء العمراني الجزائري كشف ان الجزائر تهدم بطريقة البناء التقليدي في الارياف حيث حضرت شاحنات كهرباء البلدية واغلقت الطرقات ليتم هدم الصنم الفرنسي في ستة ساعات
قسمة بين صباح ومساء الجمعة الاسلاميةوشر البلية مايبكي
http://www.vitaminedz.org/fr/Constantine
Cartes
postales de la gendarmerie
• • •
uin 2007
La rue Abane Ramdame (ex Rouault de Fleury), au
fond la gendarmerie
Photo Hubert Cotty
( mai 2007)
Photo Hubert Cotty
( mai 2007)
http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/images/photo_du_mois/2007_06.jpg
http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LesImages/cartespostales/pyramide.htm
De
la place de la Pyramide à la place de la Brèche
Photos
Aïssa Benhaddouche
http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LesImages/photos/pyramide_breche.htm
Cartes
postales de la pyramide
• • •
http://adcha-cartes-postales-constantine.blogspot.com/
http://www.constantine-hier-aujourdhui.fr/LesImages/cartespostales/gendarmerie.htm
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الاخبار العاجدلة لاعلان الدولة الجزائرية اشهار الافلاس الاقتصادي عبر بشائر قانون الافلاس المالي الجزائري ويدكر ان حكومة سلال التبديرية سوف لن تشيد المساكن ولا الطرقالت ولا المستشفيات لكنها سوف تبني الانتخابات البرلمانية لدولة فالسة وةيدكر ان الصرصور سلال اكتشف ان تخفيض الاجور و رفع اسعار الضرائب سوف يعوض اسعار الدهب الاسود وشر البلية مايبكي
En 2017, l’État ne construira ni logements, ni autoroutes, ni hôpitaux…
L’État réduit fortement les
investissements publics. Dans le projet de budget pour 2017 dont nous
détenons une copie, les grands projets d’équipement sont quasiment
absents. Ni grands centres hospitalo-universitaires, ni nouveaux
programmes de logements, ni autoroutes…
| LIRE AUSSI : Police, hôpitaux, cantines scolaires, subventions… Le détail des dépenses de l’État prévues en 2017
Le budget de l’équipement est fortement
impacté par la crise économique induite par la baisse des recettes de
l’État, conséquence de la chute des prix du pétrole.
Prenons par exemple le bâtiment, l’un
des moteurs de la croissance. Dans le tableau relatif au programme des
projets pour 2017 réservés au ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme,
on retrouve notamment l’acquisition foncière de la ville nouvelle de
Sidi Abdellah à 15 milliards de dinars, l’étude et la réalisation de 71
CEM à 12,78 milliards de dinars ou encore l’indemnisation au titre des
expropriations dans le cadre de la déclaration d’utilité publique de
l’opération de réalisation de logements publics et d’équipements à
Tébessa. Aucun nouveau programme de logements n’est prévu.
Glissements de terrain à Constantine: Cinq réservoirs d’eau potable menacés
"Après le déboisement du chemin forestier pour la réalisation du pont
Salah Bey, d’importants glissements de terrain sont survenus au niveau
des lieux exploités présentant un grand danger pour toute la zone", a
déclaré Ali Hammam, directeur des ressources en eau de la wilaya de
Constantine (DRH), lors de la journée d’information sur les risques des
catastrophes, organisée jeudi dernier au siège de la wilaya.
Cette rencontre régionale, qui entre dans le cadre de l’application de
la politique nationale de la protection contre les risques majeurs et la
gestion des catastrophes naturelles, a réuni les maires et les
directeurs des différents secteurs de l’Est pour débattre ce problème en
présence d’experts de différents centres de recherches.
L’intervention inattendue de Mr Hammam a embarrassé les responsables
locaux et le représentant de la délégation nationale aux risques majeurs
(DNRM).
Selon le DRH, le glissement de terrain survenu non seulement suite au
déboisement, mais aussi à cause des travaux d’exploitation du terrain
sur une profondeur de 25 m prend de l’ampleur et se propage petit à
petit dans toute la région, au moment où les responsables concernés
observent cette situation sans réagir.
Dans son intervention, le DRH a révélé que cinq réservoirs d’eau potable de 2.500m3 chacun sont sérieusement menacés.
«Si le glissement atteindra les réservoirs, environ 30.000 citoyens et
des hôpitaux seront privés de l’eau potable», a-t-il averti.
Le même responsable fait allusion au manque de rigueur dans l’étude des
travaux et du terrain qui a été établie par l’entreprise de réalisation
Andrade Gutierrez, tout en soulignant que c’est une entreprise étrangère
qui a fait les études.
D’ailleurs, certains chercheurs présents se sont demandé pourquoi les
études et les recherches des universitaires algériens sur la nature du
sol n’ont pas été prises en considération. Pourquoi on n’a pas fait
appel à nos chercheurs et à nos universitaires afin qu’ils apportent
leur savoir et donnent un plus pour les études établies? Pourquoi aucun
responsable n’a soulevé ce problème il y a des années? Que feront les
autorités alors que le projet est dans sa dernière phase?
Ce n’est pas tout, Ali Hammam a souligné aussi que ce même problème se
pose au niveau du site de Bardo, après les travaux d’aménagement lancés
dernièrement.
«En tant que responsable, j’ai remarqué des fissures du sol qui
deviennent grandes, alors j’ai profité de cette occasion et j’ai mis en
exergue ce phénomène afin que la délégation nous oriente vers des
experts et des spécialistes dans le but de trouver des solutions et
éviter les dégâts au bon moment», a-t-il déclaré à El Watan.
Pour conclure, et dans la même perspective de la prévention contre les
risques majeurs et les catastrophes naturelles, un nouveau système
d’annonce et d’alerte des crues sera mis en place au niveau des oueds
dans toutes les wilayas prochainement.
Selon Aït Amara Ahcène, directeur de l’assainissement et de la
protection de l’environnement au ministère des Ressources en eaux, ce
système automatisé existe actuellement à Sidi Belabes et permettra la
surveillance du niveau de l’eau dans les oueds et l’importance des
crues.
Maintenant il est en période d’essai et il sera mis place à Constantine prochainement.
Yousra Salem
http://www.vitaminedz.org/fr/Constantine/Taleb-djamel-eddine/26839/1.html
http://www.vitaminedz.org/constantine-transport/Articles_0_4241969_25_1.html
Constantine Transport
Un accord a été passé, avant-hier, entre la Société
d'exploitation du tramway (Setram) et l'Entreprise communale de
transport urbain (ETC), pour l'adoption d'une carte d'abonnement de
1.500 dinars par mois, valable pour les deux moyens de transport.Ainsi,
le citoyen peut utiliser sa carte d'abonnement pour aussi bien le
tramway que les bus de l'ETC, contre le paiement de 1.500 dinars/mois,
et ce à partir de la fin de mois d'octobre en cours. Cette carte donnera
accès à son détenteur à tout le réseau de lignes desservies par les bus
bleus de l'entreprise publique, d'une part, et au moyen de locomotion
moderne de la ville, le tramway, d'autre part.Selon le directeur des
Transports de la wilaya de Constantine, Farid Khélifi, cet accord
intervient en exécution des instructions du ministre de tutelle qui ont
été données aux deux sociétés publiques, la Setram et l'ETC, en vue de
trouver une formule pour l'utilisation du billet unique. Et sous la
supervision de la direction des Transports locale, ajoutera-t-il, les
deux sociétés sont parvenues à un accord autour d'une carte d'abonnement
de 1.500 dinars/mois, qui permettra aux citoyens d'utiliser l'un ou
l'autre de ces deux moyens dans leurs déplacements. Sur les avantages de
cette nouvelle mesure, qui est déjà entrée en vigueur à Alger depuis
près de 15 jours, notre interlocuteur dira que le profit est grand pour
le citoyen qui habite Ali Mendjeli et qui rencontre des difficultés à
rejoindre le centre-ville de Constantine, la carte d'abonnement lui
permet de prendre le bus jusqu'à la cité de Zouaghi Slimane et ensuite
de monter dans le tramway, sans payer une 2e fois. Et d'expliquer que la
formule a besoin d'un peu de vulgarisation auprès du public, car il
sera facile de montrer par un simple calcul que le citoyen, qui se
déplace souvent, a un grand intérêt à prendre un abonnement pour
l'économie d'argent qu'elle permet. «Toutes les dispositions ont été
prises pour que cette carte soit disponible au niveau des guichets de
Setram, et ce au plus tard à la fin de ce mois d'octobre 2016», conclut
le directeur des Transports.
كان يقترض من ضحاياه المال ويعيده بهامش "ربا" بلغ 15 مليونا
سنة نافذة وغرامة بنصف مليار لإمام سلب مواطنين ملياري سنتيم بقسنطينة
ب. عيسى
صحافي، ومدير المكتب الجهوي لجريدة الشروق بقسنطينة
قضت محكمة الجنح بالخروب بولاية قسنطينة، زوال الخميس، بالسجن النافذ لمدة
سنة واحدة، وتعويض لأحد الضحايا بـ 520 مليون سنتيم، إضافة إلى غرامة قدرها
مليونا سنتيم، بتهمة النصب والاحتيال، التي توبع بها إمام مسجد الفتح
بالخروب بولاية قسنطينة، المدعو الشيخ "ب. ع. ع"، الذي أمّ المصلين منذ سنة
2002، بعد متابعته من ستة مواطنين يقطنون بين الخروب وقسنطينة، اتهموا
الإمام بالنصب عليهم وتجريدهم من مبلغ قارب ملياري سنتيم.
الغريب في القضية أن الإمام اعترف في
المحاكمة الأولى التي جرت في السادس من أكتوبر الحالي، بأنه كان يقترض فعلا
من المشتكين منه، وكان في كل مرة يردّ لهم أموالهم التي تتراوح ما بين 100
و150 مليون سنتيم بفائدة تبلغ أحيانا 15 مليونا في إطار ربا، باتفاق
الإمام وضحاياه، إلى أن خنقت الديون الإمام، فقرر التهرّب من دائنيه بحجة
أن مبالغ الربا، كانت مبالغا فيها. وعلى خلفية تناقض الإمام في أقواله، وصف
وكيل الجمهورية القضية بالسابقة التي تهدد المجتمع، وتم التماس أربع سنوات
نافذة في حق الإمام و10 ملايين سنتيم غرامة في حقه، ليتم النطق بالحكم
النهائي الخميس.
الإمام "ب. ع. ع"، تم الاستغناء عنه من
طرف نظارة الشؤون الدينية بقسنطينة، بعد أن باشرت المصالح الأمنية التحقيق
معه، وكان الكثير من المصلين قد راسلوا الوزارة المعنية، وتحدثوا عن انشغال
الإمام بالتجارة، حيث كان يبيع المكيفات ومواد البناء وحتى الملابس
الرجالية والنسائية، وهو يتنقل إلى مدينة العلمة بسطيف وعين فكرون بولاية
أم البواقي، ويتقرب من المصلين، الذين يُقبلون على سلعته، ظنا منهم أن
سعرها زهيد، ووجد الإمام نفسه في وضع حرج أثناء المحاكمة أمام القاضي، لأن
أحد ضحاياه، قدّم صكوكا من دون رصيد بمبالغ فاقت 450 مليون سنتيم، تؤكد أن
الإمام أخذ أموالا ولم يردّها.
خمسة من ضحيا الإمام قرّروا التنازل عن
حقهم، بعد تدخل بعض الأئمة من رفقاء الإمام المتهم على أمل استرجاعها
بالتقسيط من عائلته، بينما أصرّ الضحية السادس على استرجاع أمواله التي
بلغت نصف مليار سنتيم، وهو ما دفع بالقاضي إلى إجبار الإمام المتهم على دفع
مبلغ 520 مليون سنتيم كتعويض للضحية.
التعليقات
11
-
سنة راحة مقابل مليار و نصف. مسكين
-
احمد البليدة2016/10/20 على 17:29
2الله يهدينا ويهديه ورد حق كل واحد مسلوب
عبد القادر - الجزائر2016/10/20 على 22:37
3انا هذا والله والله من أكبر اشراط الساعة ربنا يتوفانى بخير والسلام على الأمة
-
ابوزكريا - annaba2016/10/20 على 22:41
4والله وقعت في نفس المشكلة مع امام بعنابة وكان مجرد دين فقط بيني وبينه منذ 2009 و أنا انتظر مالي دون جدوى و المبلغ يتعدى 100 مليون .. حسبي الله
-
2016/10/20 على 23:49
5ضحكوني الأئمة الي زعمة دارو خير.
بلقاسم - الجزائر2016/10/21 على 00:00
6والله الا انجح في العملية.....عطلة سنة مدفوعة الأجر بقيمة مليار ونصف......ما كانش مثلو....هذي ادبارت شكيب.....لما القاه في زاوية......
-
بائع الريح - هنا2016/10/21 على 00:41
7أستنتج من هنا أن القانون الجزائري يعاقب المتعاملين بالربا.. فلماذا لا تتحرك المحاكم لمعاقبة كل مسؤولي البنوك العمومية، و وزير السكن و مدير مؤسسة الترقية العمومية الذين يلزمون المواطنين للتعامل بالربا لاقتراض أموال عمومية هي في الأصل أموال الشعب.... هههه دعوني أحلم
-
2016/10/21 على 03:12
8إمام يعني الناس الكل ............. ههههه
Présidence : les budgets de l’alimentation et d’habillement explosent !
Combien coûtent l’habillement et l’alimentation à la Présidence de la République ? Le projet de budget de l’État pour 2017, dont TSA
a obtenu une copie, donne un aperçu et beaucoup de détails : les
dépenses annuelles pour le poste de l’alimentation vont bondir de 130%
en 2017 pour atteindre 101,5 millions de dinars. C’est plus du double de
l’année dernière (+57,5 millions de dinars).
| LIRE AUSSI : Basé sur un baril à 50 dollars : le Conseil des ministres approuve le projet de Loi de finances 2017
Qu’est-ce qui explique un tel regain d’appétit ? Mystère. L’inflation en Algérie et la hausse des produits alimentaires ne justifient pas une telle augmentation. Cela dit, la majoration spectaculaire de ce budget peut être partiellement liée à la dépréciation du dinar : les produits importés coûtent plus cher depuis la baisse de la valeur de la monnaie nationale.
Mais là encore, c’est sans commune
mesure avec la proportion de la hausse (130%) du budget. Et elle ne peut
s’expliquer par une augmentation du nombre de réceptions de dirigeants
ou représentants étrangers (ou nationaux). D’ailleurs, selon le
document, le budget consacré aux réceptions est logiquement en recul de
10 millions de dinars, au vu de la réduction des activités officielles
du président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
Le budget consacré à l’habillement est
également en forte hausse à 44,11 millions de dinars, selon la même
source. C’est 20,88 millions de dinars de plus qu’en 2016, soit une
augmentation de 89,9% sur un an, précise le document. L’on ne retrouve
pas d’explication de cette évolution.
La majorité des autres chapitres de
dépense sont en baisse. Globalement, le budget consacré à la Présidence
de la République est en recul de 1%, à 7,82 milliards de dinars en 2017.
Sellal modifie sa biographie officielle, mais…
Deux jours après la publication par TSA d’un papier sur les biographies de nos ministres, Abdelmalek Sellal a modifié la sienne. Dans le nouveau texte mis en ligne dimanche soir, plusieurs passages ont été supprimés.
Mais, dans la précipitation, les
rédacteurs ont oublié des passages comme celui lié à l’organisation de
la présidentielle de 1999. « Il organise les présidentielles d’Avril
1999 qui résultent sur l’élection de M. Abdelaziz Bouteflika à la
magistrature suprême ». De même qu’on ne comprend pas pourquoi
« Constantine » est mise entre guillemets. Encore un effort…
La pénurie de voitures touche les administrations publiques et les ministères
La pénurie de voitures neuves
n’affecte pas uniquement le citoyen. Les administrations publiques et
les institutions de l’État sont durement touchées par la baisse
drastique des importations de véhicules. Plusieurs appels d’offres
lancés par des ministères, la Banque d’Algérie, le MDN ont été boudés
par les soumissionnaires, faute de véhicules chez les concessionnaires
automobiles.
ENTRETIEN
Les vérités du promoteur M’hamed Sahraoui sur le renversement d’un immeuble à Alger
M'hamed Sahraoui ©TSA
Architecte et promoteur
immobilier, M’hamed Sahraoui est également président de l’Organisation
syndicale nationale des promoteurs immobiliers. Dans cet entretien, il
assène ses vérités sur l’affaire du renversement d’une bâtisse au sein de sa promotion immobilière, Urba 2 000 à El Achour sur les hauteurs d’Alger.
Pourquoi un bâtiment de deux étages s’est-il renversé vendredi dernier à Urba 2 000 ?
D’abord, il s’agit d’une petite bâtisse
(R+2) qui était achevée à 90% (et non un immeuble de plusieurs étages).
Vendredi 14 octobre, vers midi, les ouvriers chinois qui étaient sur le
terrain du voisin sont partis déjeuner. À ce moment-là, la bâtisse a
commencé à craqueler avant de se renverser. En fait, ce voisin
promoteur, Eliès Hattou, s’est récemment installé et n’a rien à voir
avec le projet d’Urba 2 000. Il a commencé à faire des terrassements
inconsidérés derrière notre bâtisse avec une profondeur de douze mètres
au pied de la construction. C’est comme quand vous faites un croche-pied
à quelqu’un, il tombe.
Vous n’avez rien constaté durant les travaux de terrassement ?
Nous avons évidemment déposé plainte au
niveau de l’APC (d’El Achour, NDLR). Le promoteur a été mis en demeure.
Après une pause de plusieurs semaines, il reprend les travaux mais
durant la nuit avec un poclain. Je vous signale que la capacité
d’intervention d’une pelle mécanique est très importante. Il suffit de
plonger la pelle et vous avez l’équivalent du chargement d’un camion.
Donc il a complètement déshabillé mes fondations. Quand nous avons porté
plainte, il n’avait pas encore atteint cette profondeur. Nous nous
sommes rendu compte quand la bâtisse est tombée.
Comment cela se fait-il que les travaux de terrassement soient effectués au pied de la bâtisse ?
La bâtisse en elle-même constitue la clôture (d’Urba 2000, NDLR) et la limite du terrain.
Pourquoi le ministère de l’Habitat vous a-t-il donc retiré l’agrément ?
Le ministère de l’Habitant ne m’a rien
retiré et il n’y a rien d’officiel là-dessus. En tout cas, je n’ai
toujours pas été notifié. Comment enlever l’agrément à quelqu’un qui
cumule 50 ans d’activité et qui est connu en Algérie et ailleurs.
Quelqu’un qui a travaillé sur plus de 900 projets depuis 1968 sur
lesquels il n’a eu aucun problème. Et puis, le retrait d’un agrément
obéit à des règles et je suis bien placé pour le savoir. La suppression
de l’agrément vient comme la finalité de l’enquête qui débouche sur un
constat qui donne éventuellement lieu à des sanctions graduées qui vont
du simple gel provisoire jusqu’à la suppression définitive de
l’agrément. Elle ne peut pas être un préalable. Et il n’y a pas eu
d’enquête.
L’enquête n’est-elle pas en cours ?
Pour le moment, il n’y a rien. Personne
ne m’a contacté. D’ailleurs, ils ont peur de m’interroger parce qu’ils
savent que je vais dire les quatre vérités. En fait, j’ai préparé le
dossier avec le permis de construire et tous les autres documents dont
les contrats avec le CTC (organisme national de contrôle des
constructions). Pensez-vous que ce soit possible de poursuivre sur dix
années un programme (sans autorisation) ? Et puis pourquoi dit-on qu’on
va vérifier tous les projets de Sahraoui ? L’objet est la bâtisse qui
s’est renversée ! Je vous rappelle aussi que quand la bâtisse s’est
renversée, elle ne s’est pas désintégrée. Ce qui prouve qu’elle était
solide !
Comptez-vous déposer plainte et contre qui ?
Oui, je déposerai plainte demain contre le personnage (le promoteur) qui s’est enfui.
Pourquoi avez-vous été pointé du doigt dans cette affaire ?
Il y a une malveillance claire. Vous
savez la jalousie et la méchanceté des gens sont exceptionnelles. Les
médias ont tout fait aussi pour entretenir ce sens au lieu de dire la
vérité.
Cet incident a suscité le débat autour des normes des logements haut standing en Algérie. Pourquoi le taux de densité reste élevé dans ce genre de cités ?
Chez nous, le taux de densité est
faible : sur 15 hectares, il y a 1 150 logements. Donc, il n’y a même
pas 100 logements à l’hectare. Chez nous, il y a des espaces verts et
des parkings. Dans le social, vous trouverez 150 logements dans un
hectare.
Dans le social, le mètre carré ne coûte pas entre 250 000 et 300 000 DA…
Je n’ai jamais vendu le mètre carré à
300 000 DA. Même pas à 250 000 DA. Nous sommes parmi ceux qui ont les
prix les plus bas en matière de promotionnel de qualité. Les Emiratis
vendent à 520 000 DA le mètre carré à Sidi Fredj. D’autres le proposent à
400 000 DA. Nous, on est entre 150 000 et 160 000 DA. Les logements que
nous avons vendus étaient entre neuf et onze millions de dinars.
ENTRETIEN
Mohcine Belabbas : « La justice devait se saisir après les accusations de Saâdani contre le général Toufik »
Mohcine Belabbes, Président du RCD (Photo : H.G.)
Mohcine Belabbas est le président
du RCD. Dans cet entretien, il revient sur la décision de son parti de
prendre part aux élections législatives et explique pourquoi l’option du
boycott n’était pas tenable.
À quoi sert-il de participer à des élections alors que vous êtes convaincus qu’elles seront truquées ?
Au RCD et au niveau de l’ensemble des
partis politiques algériens, on dénonce les fraudes électorales depuis
l’avènement du multipartisme. Même des responsables politiques en place
ont dénoncé les fraudes électorales. On se souvient du chef de l’État
qui avait déclaré, à l’occasion d’un discours à la nation en 2011, que
toutes les élections organisées en Algérie étaient des élections à la
Naegelen. Par le passé, on a essayé (en participant) de peser pour
réduire l’ampleur de la fraude et d’avoir le maximum de garanties. C’est
ce qui explique le fait que la loi électorale ait été révisée à
plusieurs reprises. Le pouvoir a cédé sur un certain nombre de demandes
même si cela reste insuffisant. Je vous rappelle aussi qu’il est connu
qu’un parti politique est fait pour participer à des compétitions
électorales. Il arrive qu’un parti décide de boycotter. Mais c’est une
exception et non pas la règle. À chaque fois qu’on a boycotté une
élection, il y avait une conjoncture particulière.
Vous avez justement boycotté les élections de 2012. Qu’est ce qui a changé depuis quatre ans ?
En 2012 par exemple, nous avons essayé
d’exploiter une conjoncture politique faite de révolte populaire et de
mobilisation de la société civile. L’objectif était de peser en vue d’un
changement profond. Cela n’a pas été le cas d’autant plus que les
acteurs de l’opposition de l’époque n’ont pas joué le jeu. Cette
mobilisation de 2011 et 2012 a contraint le pouvoir à opérer un certain
nombre de réformes et de promettre une révision de la Constitution.
Comme on l’avait prédit, ces réformes n’ont finalement pas répondu aux
attentes des Algériens et ont même consacré des régressions. Mais depuis
2012, il y a eu une évolution. Le RCD a essayé de rallier à ses
positions le maximum d’acteurs politiques de l’opposition sur des
propositions concrètes notamment sur l’idée d’une instance nationale
pour la gestion des élections qui est devenue une revendication
essentielle de l’ensemble de l’opposition.
Le problème de manque de transparence demeure-t-il entier pour vous ?
Certes, la transparence n’est pas encore
garantie. Cependant, nous n’avons jamais boycotté une élection juste
pour une question de transparence des élections. Nous savons
pertinemment que les élections ne seront pas transparentes à court terme
parce qu’on a des étapes à passer pour faire avancer le combat. Et je
pense que nous avons déjà fait avancer le combat sur beaucoup de
questions. Un parti politique essaie d’exploiter une conjoncture
politique pour peser sur le cours des événements. Ça ne sert à rien de
rester sur une position en sachant qu’elle n’est pas rentable sur le
plan politique. Au RCD, il y a un capital militant très important qui
s’est renforcé depuis 2012 notamment à travers une aile jeunesse et une
aile féminine. Ces militants sont très présents sur le terrain et sont
déjà opérationnels. Ils veulent aller vers des compétitions et se battre
contre les fraudes électorales et les dérapages de l’administration. Il
y a eu un débat permanent au sein du RCD autour des élections. C’est ce
qui a facilité la prise de décision lors du dernier conseil national.
Ce n’était pas une décision par consensus et elle n’a pas été prise à
l’unanimité. Il y a eu un vote.
Un boycott de toute l’opposition ne pouvait-il pas être très rentable sur le plan politique ?
Évidemment, un boycott de toute
l’opposition pouvait peser sur le cours des événements. D’ailleurs,
c’est ce que nous avons préconisé dès le mois de mai dernier en disant
que la meilleure position pour l’opposition est un boycott collectif
afin de contraindre le pouvoir à revoir sa démarche et donner un peu
plus de garanties, voire engager des discussions avec l’opposition. Car
c’est vraiment difficile de se permettre une élection qui est boycottée
par l’ensemble de l’opposition. Et quand je parle de l’opposition, je ne
cible pas seulement les partis politiques qui sont dans l’Instance de
concertation et de suivi (Icso), il y a aussi les autres. Il se trouve
que ce consensus n’a pas été construit.
Pourquoi ?
Chaque parti politique, et c’est de son
droit, avait sa propre analyse de la situation et sa propre projection
sur la base d’une réelle étude de terrain. À présent, il est confirmé
que le pouvoir veut aller vers un système bipartite. C’est ce que nous
avons compris à travers la nouvelle loi électorale qui complique
davantage le travail de l’opposition. C’est la première fois que le
pouvoir met en place une loi qui encourage les partis politiques à
boycotter. Auparavant, on n’exigeait pas d’un parti politique d’avoir 4%
(lors de la précédente élection) ou dix élus pour participer aux
élections en prenant comme référence la dernière élection.
Ne constitue-t-elle pas une bonne mesure qui permettrait d’écarter les partis qui n’ont finalement aucune base militante ?
Le problème qui se pose avec la nouvelle
loi est de prendre comme référence des élections truquées. S’il
s’agissait d’une élection transparente organisée par une instance
indépendante, le problème ne se poserait pas. Ils n’ont même pas fait
l’effort de prendre comme référence les trois dernières élections comme
cela a été le cas de la loi de Noureddine Zerhouni en 2007. En tout cas,
il est clair qu’ils encouragent les partis politiques à boycotter. Nous
sommes dans une tentative de concrétisation d’une démarche voulue par
le chef de l’État depuis le début des années 2000 quand il avait dit
qu’il faut aller vers un système bipartite (FLN-RND).
À quoi sert encore l’Icso si elle est incapable de permettre ce genre de consensus sur une question aussi importante ?
D’abord, l’Instance est formée d’un
ensemble de partis politiques qui a boycotté l’élection présidentielle
et d’un autre ensemble qui a participé à ces élections. Dès le départ,
l’enjeu ce n’était pas d’avoir la même position par rapport aux
élections. L’enjeu était se mettre d’accord autour d’un projet, de faire
la promotion de sa plateforme et d’essayer de construire un rapport de
force. En partie, les objectifs tracés pour cette instance ont été
atteints. La plateforme existe. Nous ne sommes pas parvenus à construire
ce rapport de force qui nous permette de peser pour contraindre le
pouvoir à venir discuter, cela aussi est un fait. Cela ne veut pas dire
qu’on n’a pas essayé de le faire.
Et puis, je ne crois pas que l’élection
législative est un événement extraordinaire dans la vie d’une nation.
Certes, c’est une compétition électorale à travers laquelle on élit les
représentants du peuple. Sauf que dans notre pays, ce vote n’est pas
transparent. Je rappelle aussi que nous ne sommes pas dans une situation
où la majorité pèse dans le choix du Premier ministre. Chez nous,
l’Assemblée populaire nationale valide des lois venues d’en haut. La
majorité qui sera issue de l’élection ne pourra pas gérer avec son
propre programme puisque la constitution dispose que le Premier ministre
présente un plan d’action du programme du chef de l’État. Donc ce n’est
pas vraiment une élection importante. Et puis, l’approche diffère d’un
parti à un autre. Pour certains, une élection est toujours une occasion
pour aller à la rencontre du citoyen puisque nous sommes dans un pays où
quand un parti boycott, il n’a pas le droit de réserver des salles.
D’autres estiment qu’il y a toujours possibilité d’exploiter la campagne
et puis notre présence à l’assemblée pour faire la promotion du projet
de la transition démocratique.
Le cabinet du président de la République a envoyé un courrier pour des consultations en vue de désigner Abdelwahab Derbal à la tête de l’Instance de surveillance des élections. Quelle a été votre réponse ?
Notre réponse est connue par le pouvoir
et l’opinion publique puisqu’elle se trouve dans nos propositions. Notre
parti a fait une offre politique très claire pour une nouvelle gestion
électorale. Il s’agissait d’institutionnaliser une instance indépendante
de gestion des élections et une instance d’observation des élections
pilotée par des acteurs de la société civile. Cela n’a pas été le cas.
L’instance de surveillance des élections n’est pas une nouveauté. Elle
est même moins importante que celle qui existait dans le passé et qui
était formée par des représentants de partis politiques
Ensuite, je ne vois pas comment on peut
donner de la crédibilité à une instance dont le chef désigné est un
ancien membre de l’exécutif et ancien conseiller du chef de l’État. Même
si le choix de la personnalité n’est pas très important en soi. Des
personnalités crédibles ont été désignées par le passé à la tête de
l’instance et certaines ont même dénoncé la fraude électorale sans être
entendues par la justice ou par le conseil constitutionnel. Aujourd’hui,
tous les membres de l’instance sont désignés dans cette instance qui ne
jouit d’aucune autonomie financière. En termes de délais, nous sommes
déjà en retard.
Amar Saâdani a formulé de graves accusations contre le général Toufik notamment en ce qui concerne les émeutes à Ghardaïa où des militants du parti sont toujours détenus…
De tout temps, les hommes du système
algérien se sont affrontés par un discours violent et même très violent.
Ces dernières années, ces discours sont plus médiatiques puisqu’il y a
des chaînes de télévision privées et les réseaux sociaux. La nouveauté
est que les institutions notamment la justice ne se saisissent pas parce
qu’il y a des propos graves avancés par ce responsable politique. La
justice devait se saisir de ce dossier parce qu’il y a des citoyens et
des militants emprisonnés dans la wilaya de Ghardaïa. Nous avons le
droit de penser que ces militants ont été utilisés comme des boucs
émissaires et c’est le cas. Ils croupissent dans des prisons depuis plus
de deux ans. À ce jour, il n’y a pas eu de jugement.
Louisa Hanoune : « Le gouvernement est en train de préparer les conditions pour une explosion populaire »
©sidali djarboub/NewPress
Louisa Hanoune
dénonce la politique d’austérité du gouvernement et prévient contre les
conséquences de sa « logique suicidaire » sur la stabilité sociale.
| LIRE AUSSI : Police, hôpitaux, cantines scolaires, subventions… Le détail des dépenses de l’État prévues en 2017
Dans un discours prononcé à l’ouverture
des travaux de la commission nationale des étudiants de l’Organisation
des Jeunes pour la Révolution du parti, la secrétaire générale du PT est
revenue en détail sur le texte et les coupes programmés dans les
budgets de chaque département ministériel notamment celui de l’Intérieur
et de la DGSN.
« Au moment où on enregistre une
augmentation des fléaux dont ceux liés à la drogue, la sûreté nationale
perd près de 11 milliards de dinars de son budget ! La protection civile
voit son budget diminuer. Le budget consacré à la lutte contre les
incendies de forêts a également été revu à la baisse », a-t-il lâché en
estimant que ces départements sont touchés par la « politique
d’austérité et de façon violente ! ».
Louisa Hanoune pense que le pays se dirige vers « la récession » et donc vers « le chômage.
La patronne du PT cite des rapports
américains qui indiquent que l’Algérie est jusqu’à maintenant immunisé
contre Daech et que le nombre des Algériens ayant rejoint les rangs de
l’organisation terroriste reste infime. Sauf que les choses ne vont pas
rester ainsi si « cette politique barbare est appliquée »,
prévient-elle. Louisa Hanoune rappelle au gouvernement le printemps
arabe et comment l’Algérie a pu en être épargnée notamment grâce à la
politique sociale menée à l’époque.
« Quelle est donc cette logique
suicidaire ? (…) La politique du gouvernement (aujourd’hui) est plus
violente que les ordres du FMI dans les années 1990. Le gouvernement
vient pour vider les poches de la majorité pour protéger les intérêts
d’une minorité », dénonce-t-elle avant d’ajouter : « le gouvernement est
en train de préparer les conditions d’une explosion populaire ». Pour
elle, la chute du prix du pétrole a mis à nu la politique « du système
qui nous gouverne ».
Mais « aucune politique destructive ne
peut être une fatalité ! On peut changer le cours des choses »,
soutient-elle. La secrétaire générale du PT rappelle également le
contexte dans lequel l’Algérie célébrera cette année le 62e anniversaire
du déclenchement de la guerre de Libération. « Les étudiants ne peuvent
permettre la destruction des principes de l’indépendance. Ils
trouveront les formes pour organiser la mobilisation pour défendre leur
avenir les principes de la révolution », conclut-elle.
المفتش الجهوي لناحية الجنوب الشرقي للشرطة من بسكرة:
"سلبيات" التكنولوجيا ضاعفت الإجرام
مراد. ب
L’exemple du ministère de la Santé est
aussi si éloquent. Aucun nouveau projet de réalisation d’un hôpital,
d’un CHU ou d’un centre anti-cancer n’est à l’ordre du jour malgré le
déficit enregistré en la matière. Le plus important projet inscrit sur
la liste est relatif à l’acquisition d’équipements médicaux au profit de
13 polycliniques, sept hôpitaux et un service d’hémodialyse et un
laboratoire d’hygiène » et s’élève à 3,65 milliards de dinars.
Au chapitre des réévaluations proposées
en 2017, on note notamment une étude et la réalisation de sept hôpitaux à
2,27 milliards de dinars.
Même constat pour le ministère des
Travaux publics et des Transports. Dans le programme des projets
inscrits pour 2017 figure notamment la réalisation d’une piste Hass
Tguert-Tiririne sur 495 Km (deuxième tranche) à cinq milliards de dinars
et une autre piste relisant Tamanrasset à Azzaoua sur 292 Km (deuxième
tranche) évaluée également à cinq milliards de dinars. Pour ce
département, les réévaluations proposées sont importantes. Il s’agit
entre autres de cinq milliards pour le tramway de Ouargla, 4,1
milliards pour celui de Bel Abbès, et à cinq milliards pour l’étude et
la réalisation du viaduc Trans-Rhumel de Constantine.
Pour le ministère des Ressources en eau
et de l’environnement, aucun grand projet de construction de barrage n’a
été inscrit au programme où on note des travaux de confortement de
barrages à l’image de celui de Cheurfa II à 1,5 milliard de dinars.
Parmi les projets en cours inscrit au chapitre des réévaluations, on
peut citer notamment la construction du barrage de Tabbelout à Jijel à
11,4 milliards de dinars et la réalisation du transfert Tabellout-Draa
Diss à sept milliards de dinars.
Pour le ministère de l’Industrie et des
Mines, même constat. Aucun grand projet n’a été inscrit au programme.
Même chose pour le département de la Jeunesse et des Sports qui a
toutefois enregistré le projet d’étude, de suivi, de réalisation et
d’équipement du stade OMS de Beraki à Alger au chapitre des
réévaluations pour 7 milliards de dinars. Pour 2017, le département de
Mohamed Aïssa n’a visiblement proposé aucun projet. On enregistre
cependant l’inscription au chapitre des réévaluations du projet de
suivi, de réalisation et d’équipement d’une mosquée pôle à Laghouat à
500 millions de dinars et le projet relatif à une autre mosquée pôle à
Mascara à 710 millions de dinars. Mais le ministre des Affaires a
déclaré le 8 octobre que les projets des mosquées pôles ont été gelés, faute d’argent.
المفتش الجهوي لناحية الجنوب الشرقي للشرطة من بسكرة:
"سلبيات" التكنولوجيا ضاعفت الإجرام
كشف مراقب الشرطة، المفتش الجهوي لناحية الجنوب الشرقي للشرطة بورقلة، مساء الخميس، العلمي عبد السلام، في ندوة صحفية على هامش اختتام الأيام الإعلامية الوطنية لجهاز الشرطة ببسكرة، أن إنجاز مشاريع المراكز الأمنية المسجلة على مستوى الناحية عبر كل من ولايات ورقلة، بسكرة، الأغواط، إليزي، الوادي، غرداية، لم يمسها إلى حد الساعة ما يصطلح عليه بالتقشف.
وقال إن المراكز الأمنية المسجلة للإنجاز
تسير وفق برنامجها المحدد من المديرية العامة للأمن الوطني، ضمن توسيع
دائرة التغطية الأمنية المطلوبة والعادية، فيما أوضح بخصوص تحليله لتفشي
أنواع الجرائم في الناحية الجنوبية الشرقية المعروفة سابقا بهدوئها، أن ذلك
واقع خطير ساهمت في تفشيه بشكل أكبر الوسائط التكنولوجية وسلبيات الحضارة
الحالية المشجعة على العنف، حيث اعتبر التصدي لهذا الواقع من الإجرام بوجوب
تقوية جهاز المناعة الوطني من خلال معادلة الأسرة والمدرسة والتربية
الاجتماعية، موضحا في ذات الإطار أن جهاز الشرطة في مرحلة تحضير لتوسيع
العمل الأمني الوقائي عن طريق كاميرات المراقبة الحضرية التي يمكنها جعل
حضور رجال الأمن والتغطية الأمنية فيما يتعلق بتفكيك قضائيا الجرائم
المرورية وغيرها تحت السيطرة مستقبلا.
وكان
مراقب الشرطة المفتش الجهوي إلى جانب مراقب الشرطة رئيس أمن ولاية بسكرة
والسلطات أشرفوا على اختتام التظاهرة الإعلامية الوطنية في طبعتها 66 التي
أقامتها المديرية العامة للأمن الوطني بمنطقة الزيبان ووصفت من الفاعلين
بالناجحة لما حققته من تقارب واحتكاك بين المواطن ورجال الأمن.
التعليقات
8
الشيء الذي ضاعف الإجرام هو سياسة اللاعقاب لهذا وجب مضاعفة الغرامات المالية وزيادة العقوبات الجزائية
yacine - alger2016/10/21 على 00:56
4
c'est
incroyable je crois qu'on vit dans une jungle je me demande comment de
simple voyous delinqaunt ont pu avoir devenir une force le citoyen
honnrable eduqué respetueux des lois est devnu faible idiot meme un con
meme un cadre de letat et meme un officier d'un corps constitué ne peut
pas se defendre contre une agression meme un policier en serviec ou
civil ne peut pas aider un autre citoyen en difficulté wallah c'est pas
normal memela legitime defense n'a plus de sens un policier doit fuir un
الغريب - الجزائر2016/10/21 على 00:59
5
ليست التكنولوجية هي السبب و لكن السبب الرئيسي هو قعودكم
علي قلوبنا بالقوة و النار وانتم و عائلتكم و من يدود في فلكم عيشين في
بحبوحة اعطيني شيئ واحد صنعته الجزائر من سنة 1962 الي هذه الحظة حتي نفتخر
به اما جيراننا برم ان كل الامكانيات متوفرة من الادمغة و الثروات.
observateur - خنشلة الجزائر2016/10/21 على 06:57
6
سكت دهرا ونطق كفرا...لا يا سي العلمي لو طبق الإعدام وكانت
العقوبة قاسية وسميتم السجن سجنا بدل من نزل سترون النتيجة ...أصمت ودع
التكنولوجيا لأهلها ....أنشري يا شروق كلمة حق
jc2016/10/20 على 17:11
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