الأربعاء، يونيو 26

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Cinéma Retour vers le bordel ce soir en avant-première


« Souvenirs de la maison close », Paris, début du XXe siècle : en avant-première ce soir au Colisée. DR
« Souvenirs de la maison close », Paris, début du XXe siècle : en avant-première ce soir au Colisée. DR

Le cinéma Colisée projette ce soir en avant-première le film de Bertrand Bonello, « L’Apollonide — Souvenirs de la maison close ». Ce n’est pas portes ouvertes, mais c’est Ciné cool, tarif avantageux.

Le film de Bertrand Bonello, remarqué au dernier Festival de Cannes bien qu’il n’ait pas été primé, n’est pas une œuvre historique, ni politique, ni sociale. Il raconte le quotidien des pensionnaires d’un bordel à Paris, à l’aube du XXe siècle. L’histoire tourne autour d’une prostituée qui a le visage marqué d’une cicatrice qui lui dessine un sourire tragique. Autour de la femme qui rit, la vie des autres filles s’organise, leurs rivalités, leurs craintes, leurs joies, leurs douleurs… Du monde extérieur, on ne sait rien. La maison est close.
C’est la deuxième fois que le réalisateur était en compétition à Cannes. En 2008, De la guerre, avec Mathieu Amalric, Asia Argento et Guillaume Depardieu, était présenté à la Quinzaine des réalisateurs. Bertrand Bonello n’est pas cinéaste de formation, mais musicien. Après avoir accompagné plusieurs artistes comme Françoise Hardy ou De Palmas et réalisé plusieurs courts-métrages, il a décidé, fin des années quatre-vingt-dix, de se consacrer entièrement à cette passion. En 1998, son premier long métrage, Quelque chose d’organique, a été présenté au festival de Berlin.
VOIR « L’Apollonide — Souvenirs de maison close » de Bertrand Bonello (2 h 05 min), avec Adèle Haenel, Hafsia Herzi, Jasmine Trinca, Noémie Lvovsky, Céline Sallette, Alice Barnole, Iliana Zabeth, en avant-première ce jeudi à 20 h 15 au Colisée, 23, rue du Rempart à Colmar ; tarif Ciné cool, 4 € la passe, pardon la place.

 http://www.lalsace.fr/loisirs/2011/09/01/retour-vers-le-bordel-ce-soir-en-avant-premiere



Les islamistes s'attaquent aux maisons closes

Les islamistes s'attaquent aux maisons closes

La révolution tunisienne n'a pas exorcisé toutes les peurs. Les prostituées de la capitale tunisienne se sentent menacées. Des extrémistes religieux ont mené une marche pour réclamer la fermeture des maisons closes.

Par Imed BENSAIED (texte)
 
Le 18 févier dernier, quelque 2 000 personnes ont attaqué la maison close située impasse Sidi Abdallah Guech, dans la vieille ville de Tunis, la capitale tunisienne.
Dans les villes de Médenine, Sfax, Kairouan et Sousse, des prostituées ont également été violemment chassées par des manifestants après la fermeture forcée de leurs maisons closes.
Ces agressions systématiques contre les prostituées s'inscrivent dans le cadre d'une campagne menée par des fondamentalistes religieux dans les mosquées et sur Internet exploitant à leur manière le vent de liberté qui souffle sur la Tunisie après la chute du régime de Ben Ali.
PHOTOS PRISES DANS LE BORDEL DE TUNIS
Photo de l'une des chambres de la maison close. (Crédit : Imed Bensaied)
Haro sur la débauche

Il faut dire que ce vent de liberté a surpris la majorité des Tunisiens qui étaient habitués, sous le régime du président Ben Ali, à un contrôle très strict des libertés d’expression et de manifestation. Ce n'est plus le cas. Et lLes excès et les abus ont été nombreux, selon Najwa, une prostituée rencontrée à Tunis. Depuis le début de la vague de violence, elle vit dans la crainte et l’angoisse, a-t-elle confié à FRANCE 24.
Pour les islamistes, les maisons closes sont des lieux de débauche et de vice. Dans un tract largement diffusé, les salafistes ont réclamé la fermeture pure et simple de l'établissement sis dans le vieux Tunis. Le 18 février, plusieurs centaines personnes ont donc répondu à cet appel en essayant de prendre d’assaut la maison close en criant des slogans religieux.
La majorité des manifestants portaient des barbes et étaient revêtus d'un habit traditionnel islamiste, précise Najwa. Il y avait aussi des femmes voilées. Terrorisant avec force coups et insultes les prostituées et les clients présents ce jour-là, ils ont essayé de mettre le feu à la ruelle et à un employé .
Une maison close en plein centre de Tunis
Pour Salem, l'un des participants à la marche pour la fermeture des maisons closes, ce lieu, qui existe légalement depuis 1942, est "un des symboles de la honte qui entache la Tunisie. Mais surtout, il répand la débauche et le vice."
Salem réclame la fermeture immédiate de ce genre de lieu d’autant plus virulemment qu’il se situe selon lui sur un carrefour stratégique de la vieille ville de Tunis, à quelques centaines de mètres de la grande mosquée Ezzeytouna. Il se trouve aussi non loin de l'avenue Habib Bourguiba, et à quelques pas des célèbres souks de la vieille ville, très fréquentés par les touristes et les Tunisiens.

D’après Najwa, l’opération a été minutieusement préparée par les assaillants.
Des islamistes salafistes mis en cause
Prises de panique, les prostituées se sont enfuies en laissant tout derrière elles. Sans l’intervention de l’armée, la maison close, qui se trouve dans une impasse, aurait été incendiée avec ses occupants.
Latifa, 26 ans, une autre pensionnaire, confirme les propos de Najwa et dénonce, elle aussi, le rôle des islamistes radicaux responsables, selon elle, des ces débordements de haine.
Latifa redoute que des incidents ne se reproduisent, en particulier après la prière du vendredi, tant que l'établissement restera ouvert. Depuis la révolution, les forces de l’ordre ont déserté les lieux en le laissant sous la protection de quelques militaires qui semblent peu enclins à s’intéresser de près à la sécurité des pensionnaires.

Latifa ajoute qu’en cas de fermeture, les prostituées seraient obligées d’exercer leur métier clandestinement, dans des conditions à la fois difficiles et dangereuses.
Une activité jusqu'ici contrôlée par l'État
En Tunisie, les maisons closes sont placées sous le contrôle des services du ministère de la Santé. Les prostituées sont de ce fait suivies quotidiennement par les services concernés. A Tunis, le centre de santé reçoit chaque jour près de 50 prostituées sur un total de 238 prostituées officiellement déclarées.

Pour Oum Ziad, la directrice de la maison close, la fermeture des maisons closes pourrait créer de graves problèmes sociaux, liés au développement de la prostitution illégale. Une telle décision pourrait également être lourde de conséquences pour les clients habitués à fréquenter les bordels. Oum Ziad redoute l'augmentation des cas d'agressions sexuelles, d'incestes, voire de meurtres, étant donné "l’état de frustration sexuelle de la population".
"Nous payons des sommes importantes aux impôts qui peuvent atteindre les 60 000 dinars tunisiens par an (30 000 euros), ajoute Oum Ziad. Nous payons aussi des loyers très élevés. Dans mon cas, je paie 2 500 dinars tunisiens de loyer pour les différentes chambres."
Depuis cette agression de la part des islamistes, les affaires sont moins bonneshttp://www.algerie-focus.com/blog/2013/05/28/sexualite-en-algerie-des-non-dits-a-la-maladie/, déplore-t-elle. Et la baisse des tarifs des prostituées n'a pas fait revenir des clients qui craignent d'être la cible des islamistes.

 http://www.france24.com/fr/20110318-prostituees-tunis-tunisie-prostitution-bordel-avenue-bourguiba-mosquee-islamistes

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BORDEL (TUNISIE 1910)






Que savent les Algériens de la sexualité et surtout de la prévention ? Encore trop peu de choses. Si la sexualité évolue, les maladies aussi, les connaissances des Algériens en la matière restent encore trop figées, et accentuent les risques de transmission de MST.
Mieux vaut prévenir que guérir, ce fameux adage n’est pas le plus appliqué en Algérie. La sexualité, qui a une place importante dans cette société, reste éternellement un tabou. On fait, mais on n’en parle pas en Algérie, malgré les risques que la méconnaissance et le silence induisent. Ils sont pourtant nombreux à avoir des relations sexuelles hors mariage, mais la gêne et la religion empêchent d’évoquer ce sujet en public, même si l’enjeu est sanitaire.
En 2011, une enquête réalisée en milieu universitaire par des médecins chercheurs et appuyée par Aids Algérie, avait prouvé que les Algériens en dépit de leur niveau d’instruction, avaient peu ou prou de connaissances en termes de prévention sexuelle. En effet, cette étude révélait alors qu’à peine 42,8% des étudiants déclaraient avoir utilisé des préservatifs lors de leurs dernières relations sexuelles. Et pourtant, au moment de l’étude, ils étaient nombreux à confier prendre des risques dans leur sexualité, au moins « 50,5% de jeunes universitaires ont des relations sexuelles à risque, c’est-à-dire qu’ils pratiquent l’acte sexuel avec différents partenaires ou ne se protègent pas lors de leurs rapports sexuels ».
Et depuis deux ans quel est le constat ? La situation a peu évolué. Certes l’information a tendance à être plus diffusée par le biais de campagnes menées par des associations, les spots de prévention sur les chaînes de télévision étrangères ou encore les journées mondiales contre le SIDA. Toutefois, rien n’assure que les Algériens appliquent les conseils pour se prémunir de risques dans leurs pratiques. C’est ce que regrette Aids Algerie, qui est la principale association qui milite pour informer les personnes les plus exposées au risque de contamination par le VIH. Les membres de cette structure travaillent sur tout le territoire algérien, à travers plusieurs antennes relais. Ses bureaux principaux se trouvent à Alger, Oran et Tamanrasset, où les cas d’infection au virus du Sida sont les plus courants. Les acteurs d’Aids Algérie interviennent au moins une fois par mois dans une ville algérienne pour diffuser les consignes à appliquer lorsque l’on a une sexualité active. Leur expérience dans tout le pays leur permet d’avoir un panorama de la prise de conscience des Algériens. Zahra Benyahia, coordinatrice des programmes chez Aids Algérie, explique que « ça s’améliore, mais il y a encore un défi à relever, nous avons remarqué qu’ils entendent l’information, mais on ne sait pas s’ils l’assimilent. Le problème est encore là ». Savoir, n’est pas faire pour la société algérienne, qui même consciente des risques certains, préfère parfois ignorer les précautions car elle reste prisonnière de la gêne. « On ne sait pas par exemple s’ils vont se faire dépister, et surtout si l’information a bien été comprise », ajoute Zahra Benyahia.
Protection inexistante
En effet, la menace que représente une sexualité à risque est encore trop sous-estimée, notamment chez les plus jeunes et les travailleuses du sexe. La multiplication des partenaires, et surtout le manque de protection sont les principales sources d’infection. Une grande partie de la population rencontrée par Aids ne connaît même pas les modes de transmission du VIH. « Beaucoup pensent encore que le sida est contagieux », nous affirme Zahra Benyahia. Toutefois de nombreuses personnes informées persistent à ne pas recourir à l’utilisation de préservatifs, pour de multiples raisons. Tout d’abord parce qu’il est difficile de s’en procurer dans certaines régions, où seules les associations luttant contre les MST fournissent régulièrement des préservatifs. Seules les grandes villes disposent de nombreux espaces où les acheter, comme les pharmacies. Mais là encore, la gêne l’emporte. «Ils ont honte de rentrer dans une pharmacie pour acheter des préservatifs. Même à l’association ils viennent et osent à peine en demander. Nous comprenons vite en les voyant », raconte la coordinatrice d’Aids.
Malheureusement, parfois d’autres critères sociaux entrent en jeu. Chez les jeunes, sous la pression, les filles acceptent les relations sexuelles sans protection. Dans le milieu de la prostitution, l’argument monétaire peut les dissuader. « Les travailleuses du sexe ont tendance à se protéger de plus en plus mais parfois elles peuvent accepter d’enlever le préservatifs pour 1000 ou 2000 dinars de plus », déplore Zahia Benyahia.
Parler pour mieux se protéger
Quelques dinars, le jugement, les codes sociaux valent-ils une vie humaine ? Il semblerait que ce soir encore le cas en Algérie. « Le problème résulte des adultes, reconnaît Zahia Benyahia, ce ne sont pas les jeunes qui sont réticents, ils n’ont pas de tabous, ils ont une sexualité active et s’assument.» Alors que faut-il changer pour espérer une prise de conscience générale ? « Il faudra appuyer des associations, et mettre en place des partenariats multi-sectoriels, une association ne peut pas tout faire ! La mobilisation de ressources est indispensable. Si on investit beaucoup dans l’accès au soin, l’Etat ne pense par au côté préventif, il n’y pas de réel appui sur la prévention. »
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Un prédicateur bahreïni veut remettre les prostituées tunisiennes dans le droit chemin

Un prédicateur bahreïni veut remettre les prostituées tunisiennes dans le droit chemin
© Imed Bensaied

En Tunisie, un prédicateur bahreïni a proposé de créer un fonds pour aider les prostituées à cesser leur activité. Une initiative qui a suscité de vives réactions dans un pays où d'autres religieux du Golfe ont déjà prêché la bonne parole.

Par Imed BENSAIED , envoyé spécial à Tunis (texte)
 
Depuis plusieurs semaines, les internautes tunisiens font circuler sur les réseaux sociaux une vidéo, intitulée "une pécheresse m’a fait pleurer", où l'on voit le prédicateur bahreïni Hassan al-Husseini s’adresser à des prostituées dans une maison close de Sousse, dans l'est de la Tunisie, sur un fond sonore de chants religieux musulmans.
En à peine trois jours, plus de 3 millions de personnes avaient visionné l’enregistrement sur la plateforme de partage YouTube. L’initiative du religieux Bahreïni a
La prostitution, un phénomène présent au Bahreïn également
Nombre d’internautes tunisiens ont ainsi voulu rappeler à Hassan al-Husseini ce statut privilégié de la femme tunisienne en laissant des commentaires sur la page Facebook du prédicateur. Ils ont également posté des liens vers des articles faisant état de scandales de prostitution avérés au Bahreïn, invitant le religieux à se consacrer d’abord à sauver l’âme des femmes de son pays avant de s’intéresser aux Tunisiennes. Indignés de l’intrusion du prédicateur du Golfe chez eux, de jeunes tunisiens ont même créé une page Facebook intitulée "Sauvons les femmes du Bahreïn de la prostitution".

 
en effet suscité un vif étonnement chez les Tunisiens. En témoigne les avis postés sur Facebook notamment. Nombreux sont ceux qui voient dans le geste du prédicateur un manque de respect envers les femmes, d’autant que ce dernier n’a pas hésité à créer un fonds pour "sauver les femmes libres de Tunisie". Il compte ainsi récolter des dons pour sortir ces femmes de la prostitution. Interrogé par FRANCE 24, le ministère tunisien des Affaires religieuses s’est refusé à tout commentaire, se bornant à souligner que Hassan al-Husseini n’avait enfreint aucune loi en Tunisie.
L’appel du prédicateur a eu lieu quelques semaines seulement après qu’un journaliste a affirmé, sur la chaîne qatarie Al-Jazira, que les infrastructures de la Tunisie avaient été bâties grâce à l’argent de la prostitution et la vente d'alcool sous l’ère des présidents Bourguiba et Ben Ali. Une affirmation qui a été abondamment relayée sur les réseaux sociaux, certains y voyant une atteinte aux droits des femmes tunisiennes, qui jouissaient de plus de liberté qu'ailleurs dans le monde arabe. Du moins jusqu’à l’arrivée des islamistes au pouvoir. Certains intellectuels ont également réagi : l’écrivaine tunisienne Olfa Youssef a ainsi publié sur sa page Facebook une note intitulée "Je suis prostituée et j’en suis fière", en guise de réponse à Hassan al-Husseini. Mais que pensent les premières concernées, les prostituées, de l’initiative du prédicateur bahreïni ?
Dans une maison close tunisienne, on dénonce l’initiative du prêcheur bahreïni
Dans une maison close de Tunis, les propos de Hassan al-Husseini, loin de convaincre, suscitent les moqueries des prostituées. Dalinda, qui dirige le lieu, estime que recourir à un fonds pour aider ces femmes à quitter la prostitution est ridicule car, selon elle, la plupart d'entre elles préfèrent travailler dans ce lieu qui, depuis dix ans, leur assure un revenu stable, ce qu’aucun fonds ne peut garantir.
Dalinda souligne également que ce type d’endroit propose un service non négligeable à la société car il offre aux clients un cadre sain. Les maisons closes existent en Tunisie depuis environ 80 ans et participent d’un certain équilibre dans la société. "Nous refusons totalement l’appel du prédicateur de laisser tomber notre métier. Toute tentative de dédommagement ne serait de toutes façons que temporaire et ne nous garantira pas de trouver un emploi stable. Nous demandons à ces gens de nous laisser tranquilles", affirme la femme.
Siham, prostituée depuis trois ans
Imed Bensaied/France 24
Agée d’une vingtaine d’années, Siham travaille dans cette maison close depuis trois ans. "J’aimerais vraiment qu’on nous laisse tranquilles", affirme-t-elle. "J’invite les prédicateurs et autres islamistes à nous laisser dans notre misère vu que l’État ne nous a pas laissées le choix. Nous n’avons pas choisi ce métier de plein gré, et nous faisons l’objet aujourd’hui de menaces de la part des salafistes", déplore la jeune femme. "Ces prédicateurs parlent mais agissent d’une manière différente. Ils cherchent à se faire de la publicité et nous ne croyons pas un mot de leurs promesses", lance encore Siham.*
Parmi les clients, des prédicateurs également
Pour Malika, une autre prostituée âgée d’une trentaine d’années, les salafistes et les prédicateurs islamistes ne sont pas légitimes, c’est pourquoi elle ne peut leur faire confiance. Selon elle, le fonds est un projet irréaliste. Depuis la chute de Ben Ali, la fréquentation des maisons closes a beaucoup diminué. "Nos revenus ont baissé de plus de 80 %, sans compter que le regard de la société envers nous est plus sévère", raconte Malika. "On nous traite de mécréantes et de pécheresses. Pourtant on a décidé de ne pas travailler pendant le ramadan et les vendredis pour ménager les croyants, que veulent-ils de plus", s’indigne-t-elle. "Nous n’avons pas de diplômes qui nous permettraient de prendre un nouveau départ. Nous vivons notre religion en accord avec notre société. Nous n’avons pas besoin de quelqu’un pour nous sermonner ou nous faire la leçon", insiste la jeune femme.
Certaines prostituées n’ont pas hésité à pointer du doigt le gouvernement, notamment
Malika, prostituée dans une maison close de Tunis
le parti Ennahda au pouvoir. C’est le cas d’une autre femme qui dirige également une maison close. Elle accuse les autorités d’être complices du prédicateur pour influencer l’opinion publique sur les prostituées et inciter les violences à leur encontre. "Ce genre d’initiative ne fait qu’augmenter les menaces qui pèsent sur nous. Nous tenons pour responsable le Premier ministre Ali Larayedh et Ennahda de ce qui pourrait nous arriver après la diffusion de la vidéo de Hassan al-Husseini", affirme-t-elle.
Samira, une autre prostituée, se demande quant à elle comment des prédicateurs peuvent lancer des appels pour sauver les prostituées du péché alors qu’ils en sont eux-mêmes des clients réguliers. Elle y voit une stratégie du gouvernement tunisien qui, en autorisant les agissements de ces religieux étrangers, veut semer la discorde dans la société tunisienne.












 http://www.france24.com/fr/20130320-tunisie-prostitution-islam-predicateur-bahrein-maison-close

 http://art-maniac.over-blog.com/article-31408926.html



     
 
Le Bordel Philosophique
 
Juillet 1907, Picasso qui est dans sa vingt-sixième année achève sa célèbre peinture : “Les Demoiselles d’Avignon”.
 
Pour pouvoir apprécier l’œuvre à sa juste valeur, il est bon de se replonger dans l’ambiance de cette année-là.

Les chansons populaires sont souvent un bon critère pour juger d’une époque.
En 1907 on chante “Ma Tonkinoise” (Ma tonkiki, ma tonkiki etc.), “Les mains de femmes (Les mains des p’tites femmm’s sont admirables- Et tout semblables- A des oiseaux- Ell’s agitent leurs doigts mignons et frêles- Comme des ailes- etc…)
Et aussi cette inoubliable chanson de la grande vedette  qui nous a quitté récemment, Dranem : Le trou de mon quai”.
 
  Armand Ménard dit Dranem
 
Afin de parfaire vos connaissances dans ce domaine et pour le cas où vous douteriez de sa haute portée philosophique en voici quelques extraits :

De ma fenêtre tout en fumant des pipes,
Je regarde les équipes
Dont les hommes sont occupés
À faire un trou dans mon quai.
…………

Y a un quai dans ma rue
Y a un trou dans mon quai
Vous pourrez donc contempler
Le quai de ma rue et le trou de mon quai.

 
Si vous voulez l’intégrale y’ a qu’à demander.

-    Le cycliste français Lucien Petit-Breton remporte le tour de France.

 
- Emile Moselly (?) reçoit le prix Goncourt pour son “fameux ouvrage”     Terres Lorraines”  (édition Plon).


Comme vous pouvez le constater 1907 est une année extrêmement riche en événements intellectuels…

Et dire qu’il y aura toujours quelques vieux schnoks pour dire : C’était mieux avant”.

- Et pour vous mettre définitivement dans l’ambiance, voici le genre d’automobiles sorties cette année-là.

   
Serpollet 1907
C’est souvent le propre du peintre et à plus forte raison celle du génie que d’être en avance sur son temps.

Imaginez Dranem chantant “Le trou de mon quai” devant la toile de
Picasso . C’est  ce genre de décalage qui peut nous donner une idée du génie de l’espagnol (Picasso n’aurait pas du tout aimé, on peut comprendre).

Pour vous parler de Picasso, je pourrais faire du misérabilisme à la Zola, décrire le bateau-lavoir en 1907, le poêle à charbon qui ne chauffe pas, la paillasse crevée, la nourriture qui manque, etc.
Dans ce domaine, tout a été dit, et redit, probablement avec quelques exagérations. Picasso, que je sache a toujours eu de l’argent pour acheter de la peinture. Ce qui n’a pas été le cas pour d’autres peintres. Dont acte.
 
Depuis 1936, Picasso songe à ce grand tableau, il pense d’abord l’appeler : “Le Bordel d’Avignon” en souvenir de la rue d’Avignon à Barcelone où se trouvait le fameux bordel. Par la suite il le nommera “Le Bordel Philosophique”, ce n’est qu’en 1916 que le poète André Salmon baptisera  définitivement la toile “Les Demoiselles d’Avignon“

Avant son exécution (j’aime pas ce mot-là), Picasso va réaliser dans ses carnets d’études près de 700 dessins, c’est dire à quel point son œuvre avait pour lui de l’importance. Comme il a toujours été un visionnaire, il comprend à quel point ses demoiselles vont être comme une charnière qui permettra de tourner une des pages les plus importantes de l’art moderne.


À partir de maintenant, il y aura la peinture d’avant “Les Demoiselles” et celle d’après.

Le format : il est presque carré, format rarement utilisé par les peintres, qui préfèrent généralement utiliser des proportions en rapport avec le nombre d’or (1,618). Picasso l’a-t-il voulu ainsi, ou est-ce le hasard qui en aurait décidé autrement. Personnellement j’imagine assez mal Picasso se faisant fabriquer un châssis de 243,9 cm.sur 233,7 cm.

Pour la composition de son tableau Picasso s’inspire du “Jugement de Paris” de Raphaël.
 
Il envisage d’abord sept personnages dont deux hommes, deux “clients”, un carabin tenant un crâne et un “intellectuel” tenant un livre. Comme dans ce genre d’endroit, il est préférable de rester discret, nos deux visiteurs disparaîtront. Très vite. Ils seront remplacés : “Mesdemoiselles au salon !”, et voilà nos cinq demoiselles installées pour les siècles à venir. Sans doute difficile pour elles d’imaginer qu’elles se retrouveront quelques années plus tard dans une salle du célèbre MOMA ( Museum Of Modern Art de New York) et que des milliers de visiteurs viendront les voir.

Mais n’anticipons pas.
 
Les scènes de bordel avaient jusque-là été représentées de façon plus hypocrite.“Le Bain Turc” d’Ingres était la représentation d’un harem.
 
 
 Ingres – Le Bain Turc
 
Delacroix, de façon plus sournoise, ce qui n’était pourtant pas son genre avait peint “Les Femmes d’Alger dans leur appartement”, tableau qui sera d’ailleurs repris par Picasso.


 
Delacroix – Femmes d’Alger dans leur appartement
 
Lorsqu’il peint sa toile Picasso n’a qu’un but, trouver une nouvelle figuration, rompre avec le passé, toujours se remettre en question. Telle pourrait être sa devise.

En juin 1907, “les Demoiselles” sont déjà bien avancées. Picasso visite l’expo d’art africain. Il est très marqué par cette découverte qui va se répercuter sur son travail. Les deux “demoiselles” à droite du tableau semblent porter des masques, ce n’est certes pas du à un quelconque hasard.
 
Dans cette œuvre, ce n’est pas le sujet qui choque, car enfin, si je ne vous avais pas dit qu’il s’agissait d’une maison close, vous auriez pu imaginer n’importe quoi. Non ce qui choque c’est la façon dont sont traités les personnages ; ces figures semblent taillées à la hache, pour ne pas dire à la tronçonneuse (elle n’a pas encore été inventée). Si le peintre s’est remis en question, maintenant c’est le spectateur qui s’y colle. Avec l’Art Moderne, le rapport entre l’œuvre et le spectateur est remis constamment en question.
 
Certains critiques prétendront que l’artiste aurait voulu exorciser à l’aide de ces visages déformés sa peur des maladies vénériennes, malheureusement très courantes en ce temps-là. Personnellement, j’ai beaucoup de mal à le croire, sa recherche, si elle n’est pas encore à proprement parler cubiste, n’est certainement pas expressionniste.
 
Et maintenant parlons un peu des réactions de ceux qui vont  êtres confrontés à l’œuvre.
 
Georges Braque disait : “C’est comme si tu voulais nous donner à boire du pétrole pour cracher du feu”.
Apollinaire, qui soit dit en passant était un très mauvais critique d’art (ce qui cependant lui permettait de gagner sa vie), et heureusement un très grand poète, rejeta le tableau, pour ensuite revenir sur son jugement. Il faut dire qu’en 1907 être confronté à une telle œuvre devait certainement provoquer un choc. Certains iront jusqu’à parler de terrorisme pictural.

Kahnweiler toujours aussi perspicace comprend tout de suite qu’il s’agit là d’une œuvre majeure. Derain qui avait vu le tableau avant lui, lui aurait dit :Un jour, nous apprendrons que Picasso s’est pendu derrière sa grande toile”.
 
Quitte à radoter. Je ne résiste pas à l’envie de vous rappeler la célèbre phrase du Douanier Rousseau S’adressant  à Picasso  :“Finalement nous sommes les deux plus grands peintres, toi dans le genre égyptien et moi dans le genre moderne”.
Picasso tenait beaucoup à ce tableau. Il l’aura jalousement gardé dans ses ateliers pendant neuf ans avant de consentir à l’exposer en 1916.

Le collectionneur Jacques Doucet sur les conseils d’André Breton acheta la toile en 1923. À sa mort le tableau transitant par une galerie new yorkaise se retrouvera à son lieu de destination le MOMA.
En 1924, André Breton appelait le moment où :“ on les promènerait, comme autrefois la Vierge de Cimabue à travers les rues de la capitale”.

Trente ans après “Les Demoiselles d’Avignon”, Picasso a cinquante-six ans, il peint un autre chef-d’œuvre : “Guernica”, mais c’est une autre histoire.
 

 






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Une recette un peu spéciale

15 novembre 2008
Un authentique tarif de bordel du XIXème siècle (ou ciel ?) :
Tarif bordel


 

lundi 19 mars 2012

Bars, bordel et boulitique

Dans ma prime jeunesse, l'Algérie ne ressemblait pratiquement en rien à celle d'aujourd'hui, et pourtant je ne parle que des années 70, evidement, s'il faille se la jouer nostalgique, je dirais que tout etait mieux avant, c'est d'une banalité affligeante mais en l'occurence, c'etait on ne peut plus vrai, ou alors trouvez moi un seul algerien qui ne regrette pas cette décenie, meme les militants politiques d'antan, traités par le regime de Boumedienne comme des ennemis à abattre regretteront le changement des intellectuels dz de l'époque disaient pourtant des choses pertinentes, bien trop intelligentes et meme prémonitoires, mais personne ne les écoutait, et pour cause ! le choix laissé aux Jeunes algeriens par le vrai faux pouvoir stalinien, mais vrai islamiste avant l'heure, etait seulement entre fréquenter la mosquée et/ou le...bar du coin ! oui oui vous avez bien lu, il y'avait autant de bars que de mosquées sinon plus, mais le régime avait d'autres préoccupations, plans et prévisions en tete, donc surtout pas de bibliothèques, encore moins des salles de théatre ni tout autres loisirs culturels ou meme loisirs tout court, comme ça, avec l'ignorance, le hitisme et l'obscurentisme aidant,le temps joue naturellement contre la "culture des bars" et du reste toute culture qui aura de toute façon disparue d'elle meme, au point ou meme un parti politique s'est approprié La Culture puisque les autres partis ont eux déja couvé leur "créneaux"; bien joué de la part du systeme. dites moi comment peux on fréquenter un bar si on est pas un tant soi peu, cultivé sinon intellectuel ? mais si c'est pour boire du vin afin de s'enivrer, ça n'a aucun rapport avec la fréquentation d'un bar, d'ailleurs dans les pays ou l'alcool est prohibé, on en a juste augmenté les chiffres dus à l'insécurité, du commerce de l'informel, de l'incivisme et autres "maux sociaux",l'exemple algerien est criard de vérité. certains parmi vous s'offusquent de cet "obscène" plaidoyer pour l'alcool et la mauvaise vie ? tenez, et si je vous dit que perso je n'aime boire ni alcool ni vin, vous me croyez ? pas meme du coca cola ou du Hamoud, rien, que d'eau, et c'est pour cela que ce que j'ecris la pourrait avoir du sens, pour rester dans les obscénités, aujourd'hui, cette photo glanée sur le web, m'a fait flashé sur ma jeunesse, j'ai spontanément associé cette image à une parodie de chanson qu'un adulte un peu trop nostalgique d'une autre époque revolue m'avait chantonné quand j' etais enfant, elle m'est restée gravée en tete, malgré l'impossibilité de la chansonner à tout va et pour cause : ki rahna el boufarik, wa alguina el guemh frik khayer ezzebi wesh tnik men lebnette echabbine ya diwane assalihine la chanson en question relatait en fait l'aventure d'un journalier fellah, probablement cueilleur d'oranges et d'agrumes travaillait à Blida et Boufarik (la mitidja désormais bétonnée ) et à la fin de la besogne, se payait une gaterie chez les filles de joie, le bordel comme on a coutume d'appeller vulgairement, maisons closes en bon français,le paradis pour certains, et l'enfer pour d'autres..
 
 http://lolalgerie.blogspot.com/2012/03/bars-bordel-et-boulitique.html
 
 

Malika Sorel ou la zemmourette b.

 

 Une étoile est née. (Dans un caniveau médiatique il est vrai…). On la surnomme déjà la zemmourette bougnoule. Elle brise tous les tabous. Atomise le politiquement correcte. Explose la langue de bois. Elle connaît, en bon singe savant, tout les mots clé, ceux qui mènent loin : « victimisation », « repentance », « ethno-masochisme », « auto-dénigrement», « pages glorieuses de l’Histoire du peuple français »(*)… Elle a pondu un livre où elle les aligne soigneusement : «Le Puzzle de l'intégration ». C’est le pauvre Sayad qui doit se retourner dans sa tombe. Elle sert la soupe au souchien de base (ils aiment, ils adorent, ils en reprennent...). Elle vous en ressert à profusion avant que vous n’en redemandiez. Quelle prévenance. Quel professionnalisme dans le larbinisme (« La France, la patrie dont je ne saurais déraciner mon cœur. J'y suis né, j'ai bu aux sources de sa culture…» ). On la croirait tout droit sortie d’un bordel d'Alger des années ’30, un bordel glamour pour coloniaux en gogette. Elle l’ouvre fort contre ses congénères, hargneuse vis-à-vis d’eux et docile envers ses maîtres (de « culture gréco-latine »): « Ces gens ne sont pas Français... ». Le « mimile » n’en revient pas, pour lui c’est l’orgasme, l’extase, l’apothéose, il en fait dans son pantalon... Tout ce travail fastidieux de haine de soi n’a pas été si inutile. Qu'Amine soit rassuré. Elle a décroché la timbale, la timbale des timbales, puisque elle est membre du Haut conseil à l’intégration (depuis ce 4 septembre), oui, oui, vous ne rêvez pas à l'intégration.... Elle est adulée par « François de souche », « bivouac ID », « forumpatriote.org »... Elle est potesse comme cochon avec Finky la fouine. Toute la galaxie laïciste (de Riposte laïque à L'Observatoire du communautarisme) devant elle tombe en pâmoison. Comment s’appelle-t-elle ? Comment s'appelle ce bijou de scélératesse ? Cet oiseau rare de la veulerie « postcoloniale » ? Malika Sorel. Soyez en sûr, cette starlette du pire, la télécratie se l’arrachera bientôt, elle ira loin…

7 commentaires:

Anonyme a dit…
Consternant et effrayant à la fois. Obscène à souhait. Malika retourne dans ton pays ta naturalisation est une erreur, on a besoin d’intellectuelle comme toi en Algérie. Nous ici on n’a pas besoin de p… comme toi, on a déjà Fadela qui au moins n’a pas fait d’études, ce qui les jours de bonne humeur me permets de lui excuser sa connerie. Cette Malika ira loin si elle travaille son accent guttural que ses défenseurs lui reprocheront plus vite qu’elle ne pense. L’arabe de service est à la mode aujourd’hui mais ça passera et Malika se découvrira plus arabe que moi (c’est pas difficile). Entre compromis et compromission le pas vient d’être franchi. Ce qui me donne la nausée ad nauseam (ne t’en déplaise mon grand). Malika qui n’aime pas qu’on se réfère à la colonisation comme modèle explicatif de la condition des enfants d’immigrés en France a l’esprit complètement colonisé.
vincent a dit…
Elle ira loin oui,jusqu'au moment où à force d'être ressemblante on lui dira qu'elle est différente.Et on va en promotionner d'autres comme elle,car c'est la preuve de l'intégration qu'il faut à certains: quand les enfants d'immigrés produisent leurs propres beaufs,qui parlent le langage beauf bien de chez nous.Rester cool.
M.M. a dit…
Malika Soral: bougnoulette! zemmourette! Cacahuète!

Malika Soral une cousine cachée à l'autre tête de noeud identitaire-pensante? Non! On me dit à l'oreillette qu'il s'agit de Malika Sorel pardon, a-t-elle des liens de sang avec le Julien Sorel de Stendhal? Ce qui expliquerait peut-être sa surenchère dans le larbinisme putassier. Mais elle n’est pas la seule morfale à l'appétit insatiable, « certains intellectuels Algériens » et « Marocains » le sont tout autant, et les statistiques, et les traces de moursures sont là. Toute cette engeance de « Tortilleuses du croupion emplumées de saloon » traîne des casseroles de complexes de nainisme, et n’aspire qu’au décapage au savon de Marseille, aux câlineries et au pelotage qui les sortiraient grandis (Sous-hommes et femmes à la Georges Frêche)). Bâtards et mendigots carriéristes à la fois, qui ne broutent que là où l’herbe est verte et tendre, et peu leur chaut qu’ils broutent les les asperges ou les moquettes à quatre pattes ou qu’on les prenne en délit de broutage en levrette ! M.M.
Anonyme a dit…
Les larbins se reproduisent-ils plus vite que les résistants ? Chaque fois qu’MM dénonce les putasseries de ces gastéropodes, je me dis là il a tapé trop fort, mais en fait pas du tout c’est jamais assez fort pour des mollusques. Hé puis quand je regarde autour de moi, je vois bien que les plus putes d’entre nous sont les mieux placés (toujours plus vite et plus haut que les autres). Donc, puisque je ne fais plus rien de mes journées, j’ai décidé d’entreprendre une formation, oui oui une formation de putain, quoique putain des campagnes …
BLAZ a dit…
AH lala gringo, je crois que l'ennemi va faire le grand shelem cette année..

Bref, cette poufiasse brusqué au bled n'est que le dindon de la farce..

J'te parie qu'ils l'ont payé..

D'ailleurs je reconnais la réthorique de Fonky Finky à qui j'accorde une qualité, une équipe qui gagne à la Prod.
Avec ce qu'elle balance et la masse qui bave de l'entendre, c'est le jackpot assuré.
Comme les jeux olympiques, toute la France attend sa première médaille...

Punaise, comme dirait Villepin
"je suis ici par la volonté d'un homme, je suis ici par l'acharnement d'un homme" -
Fonky Finky..
D'ailleurs j sais pas si tu sais gringo c Finky qui a organise le prochain match de Mohamed Ali au Congo..
Pathétique, cynique, burlesque et quelle pauvrté ces palabres..Germinal quoi..

Bien sur que je lui pisse à la raie la France!
Y a peut-être même des bonnes raisons!

Mais le plus vicieux, c'est le clin d'oeil à Kessous.

Or que nous dit Kessous et qu'en pense Finky?

En définitive le fait Kessous est une banalité..Un rabsa qui parle de sa vie de rabsa dans le rail sémantique destiné au rabsa..
..Quoi Kessous dir autre dans le monde, a bar que lui immigri mim avec cart d bress..

Seulement voilà, voici un Kessous qui fait dans la spécialité alarmisme antisémité..De plus lui sa plainte se fonde sur un postulat réel: sa vie d'merde qu'ils partagent avec les têtes marons, beiges et noirs..

Or la gérémiade antisémite est arrivé à haut degré de sofistication, de sorte qu'un tir groupé d'Arte, Adler, Allia éditions, Pollanski et Arthur fasse de l'Iran la menace nucléaire et Israël la bienfaisance nucléaire..

Eh bien dorénavant, la technique est singé et les larmes de crocodile partagés..
Aussi, une telle consistance de l'appareil idéologique contre antisémite est lié à l'inexistence d'Israel..
Voilà un pays né dans le viol, anhistorique et sans cohésion sociale qui doit compenser son absence d'existence interne par une surexistence externe..
Ce seront l'effroi et l'obssession de la persécution qui seront les gardiens de cette tâche..Dès lors, qu'un peuple qui n'a rien de commun se rassemble dans la peur de disparaîte, le sentiment nécessaire à l'imposture crée l'imposture...
Pareto nous enseignait que "la société ne tient que sur des sentiments faux mais efficaces".

Enfin, très personnelement je ne suis pas adepte du marketing larmoyant, que je retrouve dans Indigènes, Au-delà de Gibralar ou Kessous Sopiquet..C'est pas nous çà...Je préfère le bon vieux

"donne tes baskets toi" celle de Finkelkrout pourquoi pas.

Big up gringo
Fitzcarraldo a dit…
Pute ET soumise !
Anonyme a dit…
Encore une qui voudrait passer pour ce qu'elle n'est pas... c'est-à-dire une française de souche. Bien essayé Malika ! A t elle pensé à faire un procès à ses parents pour son prénom ? Lorsqu'elle parle des immigrés qui renvoient une image épouvantable, c'est sa propre image qu'ils lui renvoient ; c'est probablement de son image dont elle a horreur. Schizophrénie ? Complexe d'infériorité ? allez savoir...

 





































































































































































هناك تعليق واحد:

غير معرف يقول...

السلام عليكم و رحمته تعالى و بركاته
كل من يعرف الصحفي عبد الله عمر نجم صاحب الرقم الهاتفي 0661531657 او 00213661531657 تتغير حياته و يعرف الطريق الى السعادة انا كنت فاقدة لعذريتي و لا احد تقدم لخطبتي و كنت اعمل و لكنني كنت متعاقدة بعقود مؤقتة سبحان الله و الله اكبر ما ان نويت استعمال العلاج جاؤوا الخطاب استشرت اخي الصحفي عبد الله في الامر فقال وافقي و ثقي في الله سبحان الله قبل الشفاء تم تعييني كموظفة دائمة الحمد لله شفيت و تزوجت و اليوم علي دين و هو نشر قصتي و سوف اساعد اي فتاة باي شيء استطيع و اقول لكم شيء مهم جدا الذين يقولون عكس كلامي صدقوني اشخاص من العالم الافتراضي الصحافي عبد الله يملك كل الادلة و البراهين و من يقول لكم العكس اطلبوا منه الكشف عن هويته ادعوكم الى الاستمتاع بالقليل من اعمال الصحافي عبد الله عمر نجم تصفحوا هذه الصفحة
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