الجمعة، يناير 12

الاخبار العااجلة لاعلان تجار الجملة لقسنطينة عن رفع اسعار مشثقات القهوة لتضاف 30دج عن نيس كافي و20دج للقهوة المستوردة ويدكر ان الاسعار تحدده تداكر النقل العمومي ومحطات البنزبن ومن غريب الصدف ان اسعار الجملة اصبحت تنافس اسعار التجزئة وشر البلية مايبكي



























































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































































Route d’ali Mendjeli

Des embouteillages à cause d’un trou

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le 26.12.17 | 12h00 Réagissez


C’est la mésaventure que des milliers d’habitants de la nouvelle ville Ali Mendjeli sont en train de vivre depuis plusieurs jours, notamment durant les heures de pointe. «Un trou béant s’est formé sur la chaussée, il y a une quinzaine de jours, suite à un effondrement du sol, juste à proximité de l’unité des brigades d’intervention de la police, à l’entrée de la ville d’Ali Mendjeli, ce qui oblige les véhicules à ralentir, et vu la densité de la circulation en début de matinée et en fin d’après-midi, ce sont des files interminables qui se forment sur la route», révèle Ahcène, employé dans une entreprise privée.
La situation est devenue insoutenable durant les journées pluvieuses, où la circulation  ralentit considérablement. «Chaque jour, je suis confronté à ce cauchemar, des files se prolongent sur plusieurs kilomètres jusqu’au lieudit Ferme Belekhouane, où il nous faut près d’une heure pour parcourir quatre kilomètres», déplore notre interlocuteur.
Etant le seul accès pour une mégacité qui continue d’accueillir des milliers d’habitants, la route principale d’Ali Mendjeli est devenue aussi un terrible goulot d’étranglement après le lancement des travaux d’extension de la ligne du tramway à partir du terminus de la cité Zouaghi.
«Même les contournements que certains conducteurs empruntent sur la RN79, en direction de Aïn M’lila pour éviter ce canular ne suffisent plus en raison du flux impressionnant des véhicules», affirment certains habitants. Il revient aux services de la commune d’El Khroub et à ceux des travaux publics d’intervenir pour trouver une solution à cet énorme point noir, qui rend le quotidien très sombre pour les milliers d’usagers de cet axe névralgique.                              
S. A.




Aéroport Mohamed Boudiaf de Constantine

Des passagers d’Air Algérie victimes de vols de bagages

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le 26.12.17 | 12h00 Réagissez
 
	La qualité de service semble encore être le dernier des soucis d’Air Algérie
La qualité de service semble encore être le dernier des soucis d’Air Algérie

Dénoncée à plusieurs reprises, cette situation donne une très mauvaise image de la compagnie nationale qui accumule toujours les défaillances ces dernières années.

Des passagers du vol AH 1461 de la compagnie Air Algérie en provenance, samedi passé, de la ville de Lyon, vol prévu à 17h 10 et retardé jusqu’aux environs de 19 h30, rapportent avoir eu la mauvaise surprise de constater à l’arrivée des bagages à l’aéroport Mohamed Boudiaf de Constantine que certaines de leurs valises ont été ouvertes.
Samir, enseignant à Lyon, en visite familiale pour quelques jours à Constantine, témoigne à ce propos: «On a dû patienter, après avoir été soumis aux différents contrôles de la police des airs et des frontières et des Douanes, près de deux heures dans la zone de débarquement, avant de pouvoir récupérer nos bagages. En plus des lenteurs dans la livraison des bagages, je me suis rendu compte avec plusieurs autres que ma valise, que j’avais pourtant pris le soin de fermer avec un cadenas, a été ouverte.
Je ne sais pas s’ils ont pris des choses. Je verrai ça en arrivant à la maison. J’ai bien fait en tout cas de mettre mes objets de valeur dans mon bagage à main, mais d’autres passagers n’ont pas eu cette chance. Certains se sont plaints à la police de s’être fait subtiliser certains de leurs effets, dont des objets de valeur.»
Notre interlocuteur souligne d’autre part que le vol en question a été marqué par un autre incident, survenu celui-ci lors de l’embarquement à l’aéroport de Lyon. Un passager, ressortissant tunisien, accompagné de son épouse algérienne, a eu en effet la désagréable surprise de trouver du vomi sur le siège qui lui avait été désigné.
Ce qu’il n’a pas manqué, comme on peut aisément le comprendre, de signaler au personnel de cabine en lui demandant de trouver une solution. Mais comme il n’y avait plus aucune place libre, il a dû se résoudre à prendre ce siège après qu’une hôtesse de l’air l’a nettoyé de manière très sommaire et avec beaucoup de mauvaise grâce, rapporte notre témoin, ajoutant que le passager en question avait ensuite pris des photos du siège encore souillé de vomi, en menaçant le personnel de cabine de les poster sur les réseaux sociaux.
Ce qui s’est avéré une très mauvaise idée, puisqu’il s’est fait embarquer par la police des airs et des frontières, probablement alertée de l’incident par l’équipage, dès sa descente de l’avion.                                            
F. Raoui

Extension de la maternité de Sidi Mabrouk

A quand la reprise des travaux ?

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le 02.01.18 | 12h00 Réagissez
 
	Les parturientes continuent de mettre au monde leurs bébés dans des conditions inhumaines
Les parturientes continuent de mettre au monde leurs bébés...


Le projet d’extension de la maternité de Sidi Mabrouk connaît un retard considérable. Les travaux lancés en mars 2014, pour un délai de réalisation de 6 mois, cumulent ainsi un retard de plus de trois ans. L’entreprise en charge du projet a pourtant achevé depuis près d’une année la partie dite des «gros œuvres».
Celle-ci devait être logiquement suivie des travaux de réalisation des corps d’état secondaire (CES), mais ceux-ci n’ont toujours pas été entamés. Un retard qui serait dû, indiquent des sources généralement bien informées, au fait que le projet en question n’a pas fait l’objet jusqu’à ce jour d’un crédit budgétaire, et ce, précise notre source, en dépit de son caractère prioritaire (la priorité du gouvernement pour ce qui concerne les équipements publics ayant été donnée aux infrastructures des secteurs de la santé et de l’éducation).   
Rappelons, d’autre part, que les travaux en cours à la maternité de Sidi Mabrouk portent sur la réalisation d’une extension comprenant un pavillon des urgences, un autre pour les consultations, une aile d’une capacité d’accueil de 68 lits en plus de 4 blocs opératoires. Une réalisation qui, une fois achevée, serait d’un apport certain à la maternité de Sidi Mabrouk, laquelle est, comme chacun le sait, totalement submergée et croule sous la pression, en raison du flux important qu’elle connaît des parturientes de toute la région. D’une capacité d’accueil de 64 lits, celle-ci prend en charge, en effet, selon ses responsables, 200 parturientes par jour dans des conditions à la limite du supportable. Certaines parturientes admises dans cette structure, témoigne son personnel, sont réduites à dormir à même le sol, alors que d’autres dorment à deux, voire à trois, sur le même lit.   
F. Raoui



Le magazine USA Today invite à visiter Constantine

Enthousiasme mondial, inconséquence algérienne

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le 08.01.18 | 12h00 Réagissez

Un journal américain classe «Constantine parmi les villes à visiter» et l’information fait naturellement le buzz.

Faut-il s’en réjouir ou en pleurer ? Car si le charme naturel et les vestiges de Constantine ne font aucun doute, ce n’est pas là non plus une question émanant d’un esprit chagrin, car il n’est pas plus dangereux que de dormir sur ses lauriers quand l’envers du décor est à deux doigts de basculer au premier plan.
Ainsi donc, le répertoire publié par USA Today le 5 janvier dernier cite Constantine parmi onze villes du monde qui se trouvent «hors radar» mais qui sont fort agréables à visiter. La capitale de l’Est algérien se retrouve ainsi aux côtés de Beyrouth, Abu Dhabi, Kigali, Mendoza, ou encore la capitale de l’Azerbaïdjan, Baku.
Le rédacteur de l’article se base, entre autres, sur les conseils de Sal Lavallo, un Américain de 27 ans, connu pour avoir fait le tour du monde pour «promouvoir le côté positif des places les moins connues et celles négativement perçues», comme il définit son ambition sur son compte Instagram où il publie les photos de ses voyages et ses coups de cœur.
«La deuxième ville que j’ai visitée en Algérie était Constantine. Je suis resté quatre jours dans cette magnifique ville des Ponts. La ville est construite sur et autour de deux montagnes principales qui sont reliées par 8 ponts renversants, celui-ci étant le plus récent. Constantine abrite également la plus belle mosquée algérienne — Emir Abdelkader — dont les minarets dominent la ville», écrit Lavallo pour décrire le site de l’ancienne Cirta en légende d’une photo montrant le pont Salah Bey, ou Transrhumel. En guise de présentation culturelle, l’explorateur explique que le bâti constantinois est «une combinaison de la culture nord-africaine, berbère et française».
Les réactions des internautes sont aussi enthousiastes devant les photos partagées par Lavallo et traduisent l’élan naturel qui vous emporte devant la beauté exceptionnelle de Constantine et ses paysages imprenables. Quoi de plus normal que la réaction des nombreux internautes qui expriment leur désir de faire leurs valises sur-le-champ pour prendre la destination constantinoise.
Et cela ne peut que titiller la fierté locale et mettre du baume au cœur en ce début de 2018. Mais encore faut-il que cette beauté ne soit pas défigurée, car le processus de dégradation s’est accéléré ces derniers temps au risque de détruire définitivement ce potentiel.
Dégradation
C’est l’envers du décor. Car ces «panoramiques à couper le souffle» sont chaque jour défigurés par le béton. L’autoconstruction est en train de dévorer à une allure folle les sites qui entourent le Rocher.
La vallée d’El Menia est le dernier site tombé. Aujourd’hui, le touriste qui vient admirer la vue depuis la corniche, le pont Sidi M’cid ou la colline du même nom se heurte inexorablement à cette urbanisation galopante et agressive qui s’abat sur la vallée après avoir totalement remplacé le charme naturel de la colline de Bekira et celle de Benchergui par des milliers de constructions éternellement inachevées. Au lieu de préserver cette vallée comme partie indivisible du potentiel touristique lié directement à cette vue, l’Etat a choisi de livrer ces terrains au lotissement.
Et quel lotissement ? Hocine Ouadah, un ex-wali qui détestait incompréhensiblement Constantine, a défendu le projet.
Moins de deux années après son départ, le site est à moitié défiguré, irréversiblement, et le reste va l’être dans très peu de temps. C’est dire l’incapacité de l’Etat à mener une politique urbanistique cohérente et à céder aux solutions faciles devant les situations d’urgence.
C’est dire aussi les contradictions qui minent la démarche du gouvernement qui un jour casse sa tirelire pour éradiquer les milliers de bidonvilles sous le pont Sidi Rached, et le lendemain signe des décisions d’attribution de lots ou de régularisation de constructions anarchiques sous le pont Sidi M’cid !
Si l’APC FIS a été la première à attenter au site en favorisant l’érection d’un village hideux sur la colline Benchergui en face du Rocher, l’Etat n’en fait pas moins en poursuivant une démarche incohérente qui change d’un gouvernement à un autre, d’un wali à un autre, et qui dans tous les cas tourne le dos à la vocation touristique de Constantine. Bien entendu, les touristes américains et tous nos amis du monde restent les bienvenus pour admirer la beauté de cette ville, ou ce qu’il en reste.

 
Nouri Nesrouche


Plan anti-froid à Constantine

Prise en charge de 400 sans-abri ou démunis

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le 06.01.18 | 12h00 Réagissez
 
	Ils sont nombreux à vivre dans la rue dans les grandes villes
Ils sont nombreux à vivre dans la rue dans les grandes villes

Une semaine après le déclenchement du plan anti-froid, un premier bilan est déjà dressé par les autorités locales.

Selon un communiqué émanant des services de la communication de la wilaya, l’action menée conjointement par différentes parties s’est soldée par la prise en charge de près de 400 personnes, sans domicile fixe (SDF) ou nécessiteux, dont trois ont été évacuées vers Diar Errahma.
En effet, dès la fin du mois de décembre dernier, la wilaya, et de concert avec plusieurs secteurs, a mis en place un dispositif anti-froid pour assister les SDF et les démunis.
C’est sous le slogan «Pour un hiver doux» que cette action sociale a ciblé les personnes vulnérables, celles qui n’ont pas de toit pour se protéger durant la saison froide. Pour ce faire, la commission de wilaya pour la solidarité, composée de la direction de l’action sociale, de celle de la santé et la population, l’APC, la Protection civile,  les services de sécurité, le Croissant- Rouge algérien, ainsi que deux associations caritatives, en l’occurrence Siradj El Kheir et El Yad El Mabssouta, a été actionnée. Depuis, des brigades effectuent des tournées nocturnes à travers les territoires des communes pour fournir aux sans-abri un repas chaud, une assistance médicale et/ou psychologique et une évacuation en cas de nécessité.
Les statistiques, publiées à l’issue de cette première semaine  couvrant la période du 25 décembre au 2 janvier, révèlent la prise en charge dans la ville de Constantine de 54 sans-abri, dont 7 femmes.  Soit une moyenne de six personnes secourues par jour.
Les brigades qui assurent ces maraudes sont intervenues au niveau du quartier du Coudiat, la rue Abbane Ramdane, la place du 1er Novembre, les gares routières est et ouest, la cité Filali, le pont Sidi Rached et le CHU, selon toujours le même communiqué, qui précise que  313 personnes démunies, dont 17 femmes, ont été assistées et ont bénéficié de 367 repas chauds et 6 couvertures.
Dans la commune du Khroub, les tournées effectuées dans le cadre de ce même plan au niveau de la nouvelle ville Ali Mendjeli, Massinissa, la gare routière et les cités des 1600 et des 1039 Logements, ont abouti à la prise en charge de 37 SDF, dont 5 femmes, la distribution de repas chauds et de couvertures.
Cette mission sera généralisée progressivement à tout le territoire de la wilaya et se poursuivra jusqu’au mois de mai 2018, est-il annoncé. Un numéro vert, le 1527, est d’ailleurs mis à la disposition des citoyens pour informer sur les éventuels cas de détresse, nécessitant l’intervention du SAMU social. 
Naïma Djekhar


L’entreprise de transport urbain renforce son parc

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le 03.01.18 | 12h00 Réagissez

Le parc de l’Entreprise publique de transport urbain de Constantine (ETUC) sera renforcé dès le début d’année par huit nouveaux bus, selon son directeur général, Abdelhakim Kharchi, a rapporté l’APS.

Ce quota de bus fait partie d’un lot global composé de 50 bus produits par l’Entreprise nationale de véhicules industriels (SNVI) «devant être mis en service progressivement», a fait savoir le même responsable, faisant part de l’impact de ces nouveaux acquis dans l’amélioration des services et l’allègement de la pression, notamment sur certaines lignes de transport urbain.
L’entrée en exploitation de ces véhicules de transport en commun contribuera à la création de nouveaux postes de travail pour les conducteurs et les agents de maintenance, entre autres, a encore souligné la même source. De nouvelles lignes, desservant les communes notamment, seront ouvertes «une fois les études techniques de faisabilité en cours parachevées», a encore souligné le même responsable, précisant que durant l’année 2017 plus de 5 millions de voyageurs avaient transité par les lignes urbaines et suburbaines de l’ETUC.
Depuis sa création en 2005, l’ETUC a desservi 11 lignes dans les communes de Constantine et El Khroub, de la station Khemisti, au centre-ville, vers la cité Boussouf, Djebel El Ouahch, Zouaghi Slimane, Ali Mendjeli (El Khroub) et l’aéroport international Mohamed Boudiaf, a rappelé le même responsable.
D’autres lignes reliant la station Zaâmouche à Bab El Kantra (centre-ville) vers Massinissa (El Khroub) et la cité El Gamas, Zouaghi Slimane et l’université Constantine 3 sont également assurées par l’ETUC, a-t-on rappelé. La mise en service en octobre 2016 de la carte d’abonnement entre l’ETUC et la Société d’exploitation des tramways (Setram) a permis l’augmentation du nombre de voyageurs, a fait savoir M. Kharchi.



Ultimatum pour relancer les chantiers LPA et LSP

La commission d’enquête ira-t-elle jusqu’au bout ?

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le 07.01.18 | 12h00 Réagissez
 
	Abdessamie Saïdoun lors d’une des réunions avec les promoteurs
Abdessamie Saïdoun lors d’une des réunions avec les...

Combien de fois ces promoteurs-voyous ont été menacés par «Seif el Hadjadj» de la part des walis successifs avant de se tirer d’affaire sans la moindre égratignure ?

Combien de promoteurs ont abandonné des projets de logements après en avoir tiré profit, et combien ont escroqué impunément les souscripteurs en les obligeant à payer des redevances non réglementaires ? Et combien de fois ces promoteurs-voyous ont été menacés par «Seif el Hadjadj» de la part des walis successifs avant de se tirer d’affaire sans la moindre égratignure ?
Beaucoup, diront des milliers de malheureux souscripteurs à Constantine ayant fait l’amère expérience. Et cette population pénalisée est désormais vaccinée contre les promesses officielles et les menaces proférées contre «les bourreaux». Des menaces justement rééditées par Abdessamie Saïdoun, wali de Constantine, qui a ordonné aux directeurs de l’exécutif chargés de l’habitat et des équipements publics de ne plus accorder de projets de réalisation de logements ou autres établissements d’accompagnement aux promoteurs «défaillants».
Rappelons que ces instructions ont été données lors de deux réunions successives tenues mardi et mercredi derniers, au cabinet du wali avec les différents promoteurs chargés de projets de logements participatifs et les représentants des souscripteurs. Lors de ces deux réunions, les représentants des citoyens inscrits dans les différents programmes ont dévoilé tous les dépassements menés par les réalisateurs.
Ce qui a poussé le chef de l’exécutif à annoncer que «des mesures coercitives seront prises à l’encontre de toute entreprise défaillante». Cette réunion donne un nouvel espoir à certains souscripteurs que nous avons approchés. Surtout que le wali leur a promis d’appliquer la loi. Ces derniers nous ont confirmé que le wali a ordonné également l’établissement d’une nouvelle commission d’enquête sur ces promoteurs ayant pris les souscripteurs en otages pendant des années.
Cette commission aura pour rôle d’inspecter toutes les procédures administratives menées par les promoteurs, les frais payés par les souscripteurs (s’ils répondent favorablement ou non à ce que stipule la loi régissant la promotion immobilière) et la régularisation des contrats VSP fournis aux inscrits.
A l’issue de la réunion, le wali a donné un ultimatum jusqu’au mois de mars prochain pour relancer les chantiers en retard des logements sociaux participatif (LSP). Satisfaits, mais avec plus de réserves, les souscripteurs se demandent si cette commission va dévoiler tous les dépassements des réalisateurs chargés de certains projets, particulièrement ceux qui ne détiennent pas d’agrément de la promotion immobilière. L’enquête diligentée par les services de la wilaya ira-t-elle jusqu’au bout ?                                              
Yousra Salem




Houna Qassantina célèbre Yennayer

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le 10.01.18 | 12h00 Réagissez


Programme festif au «Café Riche» ce samedi 13 janvier pour une édition «spéciale Yennayer» des Zinzins. C’est dans un décor conçu et réalisé par la plasticienne Narimane Daksi, aux couleurs des objets quotidiens de l’amazighité, que seront reçus Khaled Boumediène et Saïd Chemakh, venus de l’université de Tizi Ouzou pour débattre du patrimoine amazigh et de la symbolique de Yennayer. Tempo musical exceptionnel aussi, puisqu’il sera assuré par le talentueux Hocine Berrahma de retour dans sa ville natale. Connu surtout pour sa belle carrière dans les musiques citadines constantinoises, Hocine Berrahma sait aussi retrouver avec émotion une mémoire musicale familiale enracinée en Grande Kabylie. Rendez-vous est pris pour samedi 13 janvier à compter de 16 heures avec les «Zinzins du ‘‘Café Riche’’».
 

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