الخميس، أغسطس 21

الاخبار العاجلة لاعلان الصحافية حياة قربوعة السياحة الثقافية مع الكتاب الاداعي عبر برامج اداعة قسنطينة لاسكات العاجزين عن العطلة الصيفية في قسنطينة ويدكر ان ركن تحويسة مع كتاب من اخر ابداعات الصحافية حياة قربوعة بقسنطينة بعد احتجاج سكان قسنطينة عن غياب المعالم السياحية بقسنطينة ماعدا السياحة الجنسية في الفنادق الفخمة وسياحة المتاجر وسياحة المراحيض العمومية ويدكر ان قسنطينة تفكر في تحويسة مجانية لكل مواطن الى جسر صالح باي وباب الجابية وسوق الرمبلي لاستعادة امجاد السياحة الجنسية في قسنطينة ايام بيوت الدعارة السعيدة في رحبة الجمال ويدكر ان اغلب سكان قسنطينة يجهلون السياحة الجنسية ويفضلون العلاقات العاطفية المجانية والاسباب مجهولة

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الاخبار العاجلة لتفضيل نساء الجزائر شواطئ عنابة الساحرة للسباحة عاريات في شواطئ البحر ويدكر ان النساء الجزائر يفضلن السباحة عاريات في الشواطئ الجزائرية بحثا عن عريس مجاني والاسباب مجهولة
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الاخبار العاجلة لاكتشاف حصة نسائية باداعة قسنطينة ان نساء الجزائر بقصدن ابائهن بعد الطلاق ورجال الجزائر يقصدن امهاتهن بعد الخلع والاسباب مجهولة 
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الاخبار العاجلة لاكتشاف المديعة حليمة غضب سكان قسنطينة من اشغال الترميم العمرانية ليلا ومساءا حيث عبرت مستمعات عن غضبهن وطالبن باصدار غرامات مالية ضد مقاةولات ترميم قسنطينة من اجل التهديم والاسباب  مجهولة 
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الاخبار العاجلة لاكتشاف المديعة حليمة ان اغلب المطلقات سعيدات بقسنطينة بسبب شرائهن السيارات الفخمة وحصولهن على سكنات عمومية ويدكر ان المطلقة تصنف كعاهرة في مجتمع قسنطينةوتعامل كبائعة شرفها الجنسي والغريب ان 
المطلقات الجزائريات يدخلن عالم الدعارة الجنسية من اجل النفقة على ابنائهن بينما يفضل رجال الجزائر مواصلة مغامراتهن العاتطفية مع النساء العاهرات المطلقات ةوالعازبات ارضاء لرغبات اعضائهن التناسلية الدكورية وشر البلية مايبكي بعدما اصبحت الاعضاء التناسلية تتحكم في مستقبل العائلة الجزائرية ويدكر ان رجال الجزائر يقومون بدورات تدريبية مع العاهرات في دروس العلاقات الجنسية تحضيرا ليلة الدخلة ثم يهاجمون زوجاتهم ليلة الدخلة كالحيوانات اللمفترسة ومادامت المجاعة الجنسية لغة الشعب الجزائري جنسيا وشر البلية مايبكي 
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 الاخبار العاجلة  لاعلان الصحافية حياة قربوعة  السياحة الثقافية مع الكتاب الاداعي عبر برامج اداعة قسنطينة لاسكات العاجزين عن العطلة الصيفية في قسنطينة ويدكر ان ركن تحويسة مع كتاب  من اخر ابداعات الصحافية حياة قربوعة بقسنطينة بعد احتجاج سكان قسنطينة عن غياب المعالم السياحية بقسنطينة ماعدا السياحة الجنسية في الفنادق الفخمة وسياحة المتاجر وسياحة المراحيض العمومية ويدكر ان قسنطينة تفكر في تحويسة مجانية لكل مواطن الى جسر صالح باي وباب الجابية وسوق الرمبلي لاستعادة امجاد السياحة الجنسية في قسنطينة ايام بيوت الدعارة السعيدة في رحبة الجمال ويدكر ان اغلب سكان قسنطينة يجهلون السياحة الجنسية ويفضلون العلاقات العاطفية المجانية والاسباب مجهولة



 http://www.algeriepyrenees.com/article-humour-pas-de-trop-pres-qui-que-ce-soit-61729738.html
Humour - Une lingerie très provocante...
joli fessier pas de culotte
 

Une femme entre dans un magasin de lingerie et demande au vendeur s'il lui serait possible de faire broder un message sur ses culottes et soutien-gorge.
- Pas de problème, dit le vendeur. Quel est le texte à faire broder ? Un petit nom, un poème.
- Non, un avertissement, répond la femme. "Si vous pouvez lire ceci, c'est que vous êtes trop près".
- Hum... d'accord. Vous le voulez en minuscules ou en majuscules ?
- Ni l'un, ni l'autre : en braille...
Le Pèlerin
 http://www.algeriepyrenees.com/article-algerie-maisons-closes-63181259.html
Algérie - Oran : Dans l’intimité d’une maison close
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C’est un secret bien gardé. En Algérie, il existe encore une vingtaine de maisons closes réglementées. Sous la vigilance de la police et l’autorité d’une mère maquerelle, les filles gagnent plutôt bien leur vie. El Watan Week-end a poussé la porte de la dernière maison de tolérance encore ouverte à Oran…
La démarche altière dans sa robe bustier parme, Malika, 50 ans, tourne en rond en écoutant cheb Hasni. Elle attend un client, et pour elle les journées sont devenues longues. Soudain, des pneus crissent. Une voiture emprunte le chemin caillouteux de la rue des Jasmins, ex-rue Lac Duc, dans le quartier de Derb, à Oran. La voiture s’arrête devant une bâtisse de trois étages qui a sûrement connu des jours meilleurs, dans un passé pas si lointain. Dans les années 90, tout le long de la ruelle, neuf maisons closes réglementées étaient, encore, ouvertes. Elles dataient toutes de la période coloniale.
A l’époque, c’étaient les seules à accepter des Algériens, alors que les autres maisons, plus huppées, situés dans le centre-ville d’Oran, étaient réservées aux Français. Rue des Jasmins, les maisons closes n’avaient pas de nom, juste un numéro qui permettait de les différencier et que les clients s’échangeaient entre eux. C’était l’époque où le sexe tarifé avait permis à toute une génération de connaître ses premiers émois sexuels. Cette époque, Khalti Fatma, qui travaillait dans l’une des maisons closes, l’a bien connue. Elle se rappelle cette folie joyeuse qui régnait dans le quartier. De ces habitués qu’on croisait si souvent, qu’on en venait à connaître leurs prénoms. Aujourd’hui, seule la «2» est encore ouverte, les autres ont dû fermer, laissées à l’abandon par des héritiers trop honteux de récupérer une activité que leur mère avait exercée et qui ont préféré se débarrasser, au plus vite, de la bâtisse en la revendant ou en l’abandonnant. Depuis, Khalti Fatma, 50 ans, s’est, elle aussi, reconvertie. Elle est devenue physionomiste.
Bas résille noirs
Visage émacié, un foulard autour de la tête et une longue tunique qui cache un corps qu’elle ne peut plus exposer au regard des hommes, elle reste assise sur un cageot, toute la journée. Elle filtre les entrées en faisant payer 50 DA à ceux qui sont admis à pénétrer à l’intérieur, et refuse les mineurs et ceux qui ne lui inspirent pas confiance. «C’est moi qui dis qui entre et qui reste dehors, affirme t-elle, ce n’est pas parce que c’est une maison close qu’on doit laisser entrer n’importe qui. Je dois rester vigilante parce que les filles ont parfois affaire à des hommes qui ont un comportement violent une fois à l’intérieur. Et puis, il y a ceux qui demandent aux filles de leur faire des choses contraires à la morale. Ceux-là, je leur interdis, pour toujours, l’accès à l’établissement.» A l’intérieur, une grande pièce à colonnades.
Au fond, un petit comptoir de bar où les hommes peuvent siroter une gazouz en attendant leur tour, tout en écoutant le raï que diffusent des haut-parleurs. Le long du mur, des chaises en plastique blanc. Deux femmes de 35 ans sont assises. Karima, cheveux peroxydés et rouge à lèvres intense, porte une nuisette rouge qui laisse deviner ses formes plantureuses et des bas résille noirs, tandis que sa copine Safia est juste vêtue d’un petit peignoir bleu clair, légèrement entrouvert sur la poitrine qui laisse apparaître un petit bout de sein. Toutes les deux sont chaussées de pantoufles, comme pour souligner le caractère familial de l’endroit. Elles papotent gaiement sans trop accorder d’attention aux deux hommes qui leur font face et qui les reluquent en silence. «Ce sont des habitués, confie Karima, ils attendent que les filles avec qui ils ont l’habitude d’aller, terminent avec un autre client.»
D’une prison à l’autre
Au «2», elles sont une quinzaine à travailler et à habiter sur place. Elles ont 35 ans de moyenne d’âge et ont toutes connu un passage par la prostitution clandestine avant de rejoindre une maison close réglementée. Elles en ont fait la demande auprès du commissariat de leur quartier de résidence qui, après enquête, n’autorise que les femmes divorcées et les mères célibataires à entrer dans une maison de tolérance. «Ici je suis bien, confie la brune et plantureuse Sabrina. Je suis en sécurité et je travaille avec préservatif, ce qui n’était pas le cas avant. Et puis, on mange bien ici. Il y a quelqu’un qui nous cuisine nos plats préférés ! L’ambiance est bonne, on s’entraide entre femmes.
Les seules fois où il y a eu des frictions, c’est à cause de l’argent. Certaines sont jalouses de celles qui ont plus de clients, donc qui gagnent plus.» Toutes les filles sont soumises à des règles drastiques. Elles ne peuvent quitter l’établissement sans une autorisation du commissariat. «On est soumises à un régime strict, révèle Hafida, la plus svelte des pensionnaires. On est fichées et on nous retire notre passeport dès qu’on entre dans une maison de tolérance. On n’a pas le droit de sortir de l’établissement sans être accompagnées par une personne et sans en informer le commissariat. De plus, on n’a pas le droit de fréquenter les endroits publics comme les discothèques ou les cabarets. Si une travailleuse du sexe est arrêtée, elle risque une lourde peine de prison.»  Toutes affirment que leurs parents ne sont pas au courant de leur activité, mais la réalité n’est pas aussi simple. «Les familles sont au courant, révèle une femme proche des filles. Il y a même des parents ou des enfants qui viennent à la maison close pour se faire remettre de l’argent.»
Chinois radins
Chacune occupe une chambre qu’elle aménage selon sa convenance. D’énormes posters de Britney Spears tapissent les murs, de celle de Safia, mère célibataire de deux petites filles placées en nourrice à Annaba. Des produits de beauté sont alignés sur une étagère. Une corbeille pleine de préservatifs est posée sur la commode, un bidon est placé près du lavabo dans lequel sont jetés ceux qui ont été utilisés. Un petit peignoir à motifs chinois est accroché à une patère. «C’est un client chinois qui me l’a offert, confie Safia, je le porte quand ils viennent nous rendre visite. Ils arrivent escortés par la police. Ils sont très gentils, en revanche, ils sont radins ; ils ne laissent jamais de pourboire.»
Une télévision reste en permanence allumée sur Canal Algérie, même en présence d’un client. «Je baisse le son, précise Safia, mais pas question de l’éteindre.» Aucune photo ni objet personnel n’est visible dans la chambre. «Pas question que des clients voient la photo de mes enfants quand ils rentrent dans la chambre, affirme Safia. Ils payent pour mon corps. Tout le reste est secret.»  A Oran, la maison de tolérance fonctionne selon le système du jeton. C’est une particularité des maisons closes oranaises, car ailleurs, la fille loue une chambre chez la propriétaire. Lorsqu’un client choisit l’une des filles, il achète un jeton pour 350 DA, qui lui garantit une prestation de cinq minutes. A partir de son bureau, la patronne surveille chaque prestation et actionne une sonnette qui retentit dans la chambre pour signaler que le temps est écoulé.
Pour pouvoir continuer, le client est tenu de payer un autre forfait. A la fin de la semaine, le nombre de jetons est comptabilisé et les gains partagés avec la propriétaire. Chaque travailleuse du sexe se fait entre 25 000 et 35 000 DA/mois, bien loin des sommes que gagnent les filles exerçant à Annaba ou Skikda dont les gains seraient de 150 000 DA/mois. Pour Malika, les temps sont durs. La doyenne des pensionnaires «ne rapporte plus», au grand désespoir de la patronne qui aimerait bien se débarrasser d’elle. Mais impossible de renvoyer une fille de la maison sans qu’elle ait commis une faute grave, seul argument valable aux yeux de la police. Un nouveau client fait son entrée. Après avoir déshabillé du regard la poignée de filles assises, il s’éloigne avec l’une d’elles. De la tristesse se lit dans le regard de Malika. On devine la jeune femme désirable qu’elle fut et qui souffre de ne plus l’être. Mais pour elle comme pour les autres, il y a rarement une vie après la maison close.
*Tous les prénoms ont été changés
Au service des autres
Kheira Batouche a décidé de consacrer sa vie au service des  plus démunis. Dans le centre de salubrité publique, situé dans le quartier populaire de Derb, à Oran, elle soigne et aide les habitants du quartier, ainsi que les travailleuse du sexe, à qui elle a imposé l’utilisation du préservatif avec l’aide de l’association AIDS Algérie.
Source El Watan Salim Mesbah
Le Pèlerin



 http://niarunblogfr.unblog.fr/a-propos/voyager-changer-de-vie/ou-passer-ses-vacances-dete/

Où passer ses vacances d’été?

Où passer ses vacances d'été?
 vacances.Algériens dans mer et soleil
**la saison estivale s’étalera du 1er juin  au 30 septembre
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Le littoral algérois se prépare au rush
Près de 6 millions d’estivants sont attendus sur les plages du littoral algérois durant la saison estivale qui s’étalera du 1er juin  au 30 septembre, a annoncé Salah Bouaâkmoum, directeur du tourisme de la wilaya d’Alger.
Le nombre des plages ouvertes à la baignade dans la wilaya d’Alger est de 67, 4 autres viendront s’ajouter après leur aménagement. Evoquant la propreté des plages, il a affirmé qu’«une vaste opération de nettoyage est actuellement menée sur plusieurs plages d’Alger, outre la campagne de nettoyage prévue dans les tout prochains jours sur les  plages Khelloufi 1 et 2, Bordj El Bahri et Sidi Fredj». Depuis janvier dernier, des analyses sont effectuées pour contrôler la qualité des eaux de baignade, analyses confiées à l’Agence de promotion et de protection du littoral, au bureau d’Alger, Herbal, et à l’Observatoire national de l’environnement et du développement durable. En prévision du Ramadhan, la wilaya d’Alger envisage d’intensifier les prestations touristiques en direction des familles à travers le renforcement des moyens de transport, d’éclairage public et des programmes culturels.*El Watan-16.05.2013.
**dans les 14 wilayas côtières de l’Algérie, on compte 511 plages dont  357 autorisées à la baignade.(année-2012)
Sur les 511 plages que comptent les 14 wilayas côtières du pays, 357 sont autorisées cette année à la baignade, apprend-on aujourd’hui samedi du commandement de la gendarmerie nationale. Cette dernière assure la sécurité sur 264 plages sur son territoire, soit un taux de couverture de 74 % du nombre global des plages autorisées.
En 2011, elles étaient 254 plages à être surveillées par ce même corps de sécurité. Ce qui représente en 2012 une augmentation de 10%. Cette disposition est effective à partir du 1 juin, date de l’ouverture officielle de la saison estivale. Pour mieux contrôler le flux des estivants, 154 postes de surveillance de la gendarmerie nationale sont ouverts et déployés sur l’ensemble des plages en territoire de compétence avec une mobilisation permanente des hommes verts de différentes unités pour la sécurisation des grands rassemblements et des plages afin de permettre aux familles de passer des vacances en toute sécurité. D’autant plus que la saison estivale pour la 3ème année consécutive coïncide avec le mois sacré du ramadhan. Ce qui drainera sans doute un flux important de citoyens vers les sites touristiques et générera des activités de loisirs nocturnes.*(El Watan-02.06.2012.)
**consulter par ailleurs: plages et côtes d’Algérie.1
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*Les plages font le plein
Nombreux sont ceux qui préfèrent passer les vacances en Algérie. D’autres, regardent vers des horizons extérieurs.
Les vacances des Algériens dans loisirs-voyages une_89556_465x348
Les touristes affluent de partout, proximité du mois de Ramadhan oblige. Il faut profiter de ces premiers jours de juillet avant le retour au bercail pour un mois sacré qui n’autorise pas grand-chose. Jamais, la ville de Béaïa et ses stations balnéaires des côtes Est et Ouest n’ont connu une telle affluence depuis des années. Tout le monde semble animé du simple plaisir de profiter de ces quelques jours qui nous séparent du grand événement religieux.
On ne se cache pas. On se baigne, on danse et on mange comme on peut. Il ne faut surtout pas laisser passer un moment sans bénéficier des plaisirs de la vie. Autant le jour, que la nuit, l’ambiance est de mise. Le jour, les plages sont bondées de monde. Des baigneurs de tout âge s’y prélassent comme s’ils vivent les derniers moments d’un plaisir de trempette. A la tombée de la nuit, c’est une autre forme de détente qui prend forme. La musique résonne partout. On danse et on chante avec autant de ferveur. Les discothèques installées en plein air pour la période estivale n’ont même pas besoin d’autorisation. Elles sont prises d’assaut par les estivants. On laisse même faire «le tapage nocturne» et personne ne rechigne. C’est le paradoxe que l’on note aisément à Tichy, une ville qui a été pourtant secouée par une contestation contre cette manière de faire. Mais apparemment, quand cela profite à tout le monde cela devient normal, acceptable et loin de toucher aux moeurs.
A Tichy, les nuits sont animées, les plages sont pleines à craquer, toute la journée les commerces travaillent. La ville retrouve sa vocation et tous les excès sont permis. Les estivants viennent de partout. Que de plaques d’immatriculation étrangères à la wilaya! Les vacanciers sont arrivés plutôt que prévu investissant les établissements hôteliers et autres structures d’hébergement. De Melbou jusqu’à Tichy, en passant par Aokas et Souk El Tenine, la saison bat son plein. Les prix de la location se sont envolés aussi. De 4000 à 7000 dinars la nuit pour les logements meublés. Exception faite des plages limitrophes aux hôteliers et qui sont régulièrement nettoyées, le reste se singularise par une insalubrité déconcertante et, pourtant, ce n’est pas faute d’argent.
Le jour, les plages sont bondées
Des enveloppes financières ont été débloquées à cet effet. Mais cela reste une autre histoire comme tant d’autres qui marquent le paradoxe local. Dans la ville de Béjaïa, c’est aussi le plein. Les émigrés sont là un peu plutôt que d’habitude. Les estivants, qui viennent des autres régions du pays, y sont aussi. Les sites enchanteurs de Béjaïa ne désemplissent pas. Yemma Gouraya, le Cap Carbon, pour ne citer que ces deux endroits, sont pris d’assaut par les «touristes» en quête de fraîcheur chaque après-midi. La nuit venue, quatre sites    offrent des spectacles gratuits entrant dans la cadre du traditionnel Festival de la chanson amazighe. La place Gueydon, qui domine le port, permet aux visiteurs de profiter d’une vue magnifique. Du coup, les embouteillages et la densité de la circulation se font plus contraignants.Les amas d’ordures ménagères s’entassent plus encore. Béjaïa a du mal à faire sa toilette quotidienne. Et les visiteurs le soulignent. «Vous avez une belle région mais elle est trop sale pour être appréciée à sa juste valeur», une sentence d’un émigré qui sonne comme un constat d’un laisser-aller inquiétant. Béjaïa rime avec vacances. C’est déjà un bon signe qui ne trompe pas sur ses capacités de pôle touristique à même d’engranger des richesses pour peu qu’on y
accorde plus de considération. (L’Expression-09.07.2012.)

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**Vacances à tout prix
Karim a loué une maison en bord de mer à Mostaganem
Le teint bronzé, Karim vient juste de rentrer de vacances. Grâce à l’une de ses connaissances, il a loué une maison en bord de mer à Mostaganem où il a pu avec sa petite famille passer une quinzaine de jours. ‘Il ne faut pas croire que c’est donné. J’ai du débourser 3 000 DA la nuit. Pour le séjour, il suffit de faire le compte. » Mais Karim ne semble pas regretter. Cet accro de la mer ne peut envisager un été sans vacances. Chaque année, il s’arrange pour trouver la formule qu’il lui permet d’offrir à ses enfants le minimum de vacances. Dans sa jeunesse, c’était un globe-trotter adepte du camping sauvage. ‘En ce temps-là, nous plantions nos tentes sur les plages où nous profitions à la fois des vertus de la mer et de celles de la forêt. Pendant quatre semaines, nous nous coupions de la réalité citadine pour ne faire qu’un avec la nature », se souvient avec nostalgie Karim, aujourd’hui quadragénaire. Hormis le camping organisé par les pouvoirs publics dans certaines plages de la côte, on ne retrouve nulle part le camping sauvage. Il est loin le temps où les jeunes s’adonnaient, l’espace d’un été au camping sauvage sur les plages. Aujourd’hui, même s’il arrive toujours à passer des vacances, Karim en a gros sur le c’ur. ‘C’est à chaque fois un parcours du combattant pour organiser ses vacances », s’insurge-t-il. En plus des finances, il faut également choisir l’endroit adéquat pour sa famille en termes de sécurité. Karim regrette l’absence de véritables campings familiaux en Algérie. ‘Il y a certes des camps de toile un peu partout. » Mais cela ne répond pas vraiment, selon lui, au standard que devrait exiger une famille. Pour finir, il nous dit être convaincu que ‘les attentes des citoyens en termes de vacances ne semble pas être la priorité des pouvoirs publics. La preuve : rien n’est fait pour soulager le citoyen dans sa vie de tous les jours ». (Liberté-11.07.2012.)
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vacances moins chères…Des opportunités sur la Toile
Une salle de jeux en ligne en Corée du Sud
Espace de libre expression, le Web offre également une planche de salut pour ceux qui n’ont pas les moyens de s’offrir des vacances dans un hôtel au bord de la mer.
Les prix hors de portée, faut-il pour autant mettre une croix sur ses projets de vacances ‘ Non, car il est toujours possible de dénicher des opportunités de vacances en rapport avec ses moyens financiers. Pour cela, il faut aller sur Internet et chercher les bonnes adresses, témoigne Karim, un salarié moyen dans une entreprise de service et père de 3 enfants, qui désespérait de pouvoir offrir des vacances à sa petite famille. ‘Lorsque certains de mes amis m’ont conseillé d’aller sur Internet, de taper l’adresse du site web ouedkniss.com et de voir du côté de la rubrique voyages, j’ai un peu rigolé car je n’y croyais pas tellement. J’ai quand même tenté l’expérience et je ne le regrette pas, puisque j’ai réussi à dénicher une petite annonce d’un particulier qui propose de louer un petit appartement (F2) équipé, pas loin de la mer à 20 000 DA pour une période de 10 jours. J’ai tout de suite sauté sur l’occasion. »
Cette heureuse expérience, Karim l’a vécue il y a trois ans, depuis il a pris l’habitude de préparer ses vacances sur le web. ‘Internet permet non seulement de trouver de bonnes occasions pour des séjours agréables, mais également de voir les photos de l’appartement proposé en location. Et si on pousse la recherche plus loin, on peut même découvrir l’endroit ou la région qu’on veut visiter », ajoutera-t-il. Bien sûr, les prix, depuis, ont évolués, mais les bonnes occasions, elles, sont toujours là pour ceux qui ont la patience de passer en revue les dizaines, voire les centaines d’annonces sur Internet. De la patience, Malika elle en a, grande utilisatrice d’Internet, cette jeune étudiante a été naturellement chargée par ses parents de trouver une occasion de séjour pas trop chère. À force de scruter les petites annonces sur le Web, elle a fini par mettre la main sur un bungalow au bord de la mer qui offre toutes les commodités pour passer des vacances agréables dans un endroit calme et entouré de forêt.
Prenant contact au téléphone avec le propriétaire, un particulier, elle a réussi à négocier un prix de 50 000 DA pour une période de 15 jours. Toute la famille a apprécié le séjour.
Les expériences vécues par Karim et Sarah ne sont pas rares, car avec le développement de l’Internet en Algérie, on est passé de 50.000 utilisateurs en 2.000 à 4,7 millions en 2010. Beaucoup de personnes ont recours à ce média des temps modernes pour s’informer (lire la presse et suivre l’actualité), communiquer (mail, messagerie instantanée, forums de discussion), se distraire (musique, vidéo, jeux), et… bien entendu, consulter les petites annonces (locations vacances, immobilier, emploi, etc.), selon la dernière étude Webdialn@ vague 3 effectuée en 2010 sur les usages et les perceptions des internautes du web algérien.
Premier à avoir investi le créneau des petites annonces en tous genres, le site web Ouedkniss figure aujourd’hui parmi les adresses web les plus populaires auprès des Algériens. Une anticipation sur les besoins qui lui vaut d’être classé par Alexa, une entreprise américaine réputée pour ses statistiques sur le trafic du web mondial, à la 19e position sur 500 sites web les plus consultés en Algérie.
Flairant le bon coup, d’autres sites web ont depuis investi le créneau des petites annonces, on citera entre autres DlalaOnline, FelBazar, Annonces-dz, Annonces.t-algerie, Kherdja, etc. Avec la multiplication des sites web dédiés aux petites annonces en tous genres, ce sont des centaines d’opportunités de séjours et des vacances, aussi bien en Algérie qu’à l’étranger, qui s’offrent aux internautes. Une heureuse évolution qui a l’avantage d’augmenter les chances de dénicher la bonne occasion. Le dernier né des sites web de petites annonces est Dzreduc, d’autres suivront certainement car le créneau est presque vierge et les perspectives de développement du marché s’annoncent prometteuses. Elles sont à la hauteur de l’évolution exponentielle du nombre d’utilisateurs de l’Internet en Algérie.Certes, le e-tourisme fait ses premiers pas en Algérie, mais il s’agit d’une tendance irréversible. En plus des particuliers qui proposent leurs maisons en location-vacances, de plus en plus d’opérateurs touristiques (voyagistes, hôteliers, etc.) n’hésitent pas à recourir à ces sites web pour vendre leurs produits et lancer des promotions.
Des séjours hôteliers très salés
Déjà qu’il est difficile de trouver une chambre d’hôtel de libre en cette période de haute saison estivale, il faut également avoir les moyens de se l’offrir. à titre d’exemple, la location d’une chambre standard pour 2 personnes, dans un hôtel de moyenne envergure, ne coûte pas moins de 8000 DA la nuitée. Un prix qu’il faut multiplier au moins par 2 s’agissant d’un couple avec 2 ou 3 enfants. à cela, il faut ajouter les autres dépenses (repas, location de parasol, spectacles, consommations diverses, etc.).
C’est dire qu’une journée de vacances passée au bord de la mer peut coûter jusqu’à 25 000 DA, voire 30 000 DA. Une somme énorme pour les petites bourses et même pour les moyennes, lorsqu’on sait que le salaire mensuel moyen en Algérie, tel que déterminé par une enquête réalisée en 2010 par l’Office national des statistiques (ONS), ne dépasse pas 27 000 DA. (Liberté-11.07.2012.)

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Certains ont déjà les pieds dans l’eau alors que d’autres viennent juste de commencer leur tournée chez les agences de voyages pour trouver la destination qui leur convient.
*Dix jours aux Andalouses-Oran = 100 000 DA
Des bungalows disponibles pour quatre à cinq personnes.
Au complexe les Andalouses d’Oran, des bungalows sont disponibles pour quatre à cinq personnes, famille ou amis. Les pieds dans l’eau (comme sur cette photo, la plage est à trois minutes à pied), ils sont loués à 100 000 DA les dix jours. Avec deux grandes chambres climatisées, deux salles de bains, une kitchinette avec cuisinière, un hall, une télévision et de la vaisselle. Si vous avez un enfant en bas âge, prévoir un petit lit. La restauration n’étant pas assurée, prévoyez un budget pour les repas. Pour vous rendre en ville, il vous coûtera 300 DA l’aller simple en taxi. Le complexe se trouve à environ 25 km du centre-ville et à 34 km de l’aéroport. Des soirées folkloriques sont généralement programmées par le complexe, mais elles ne sont pas incluses dans le forfait. Comptez donc en plus facilement 60 000 DA pour quatre personees.*source:El Watan-14juin2013- Renseignements. au 041 260 124 ou sur www.andalouses.com-   

* Dix jours à Istanbul = 140.500 DA, sans compter les billets d’avion 
Du 11 au 21 août, vous pouvez bénéficier d’un séjour à 140 500 DA par personne pour sillonner la magique Istanbul. Le séjour comprend un hébergement en hôtel 4 étoiles en demi-pension, le billet d’avion, un guide touristique lors des excursions -Bosphore, île de Princesse, Bursa avec déjeuner, Palais Topkapi, mosquée Bleue, Grand Bazar, forum Istanbul et Tall-Ares en bus climatisés. Le dîner de la journée de retour et le déjeuner de la journée d’excursion de Bursa ne sont pas inclus dans le forfait. Le départ se fera via la Tunisie où vous serez pris en charge pour l’hébergement et la restauration. Le lendemain, vous aurez le temps de visiter Tunis en attendant votre vol le soir vers Istanbul. Après les sept premiers jours d’excursion, il vous restera deux journées libres pour flâner dans la ville et faire du shopping. Le dixième jour, vous visiterez Tall Ares avant de reprendre l’avion le soir vers Tunis. Prévoir un budget complémentaire d’au moins 200 euros pour vos repas (la formule est en demi-pension). Si vous prévoyez d’inclure d’autres excursions, vous paierez 100 euros de plus sur place.*El Watan-14juin2013
*huit jours en Grèce en demi-pension= 160.500 DA
Hôtel Royal Palace 5 étoiles à Platamonas. Le départ est prévu à partir du 12 août pour un séjour de huit jours. L’agence annonce un forfait de base à 160 500 DA, mais tout dépend de la période à laquelle vous souhaitez partir. Sont inclus dans le prix : le billet d’avion Alger-Thessalonique-Alger, les frais de visa, l’hébergement en simple, double ou triple. La formule est en demi-pension, avec petit-déjeuner et dîner. Au programme des excursions : la visite d’Athènes, du mont Olympe, du Thessalonique, des croisières vers les îles, des soirées de sirtaki et Bouzouka, le mont Olympe…). Si vous faites partie des heureux nouveaux bacheliers ou si vous êtes en lune de miel, vous bénéficierez d’une réduction. A côté de ce budget, prévoir une somme pour les déjeuners, les déplacements et vos achats personnels. Comptez au moins 500 euros. Les taxis sont disponibles à l’hôtel.*El Watan-14juin2013
* un séjour de 8 jours et 7 nuits en Croatie = à partir de 120.000 DA par personne.
 Vous pouvez visiter la Croatie, en séjour de 8 jours et 7 nuits, à partir de 120 000 DA par personne. Le départ se fait à partir de juin, mais la date est fixée en fonction du nombre de clients (puisque c’est un voyage organisé). Dans ce forfait, sont inclus : les nuits d’hôtel, le petit-déjeuner, deux excursions (visite de l’énorme amphithéâtre romain, de la péninsule d’Istrie, des lacs de Plitvice avec tour en petit train et en bateau) et le transfert de l’aéroport à l’hôtel (aller- retour). Les billets d’avion ne sont pas inclus dans ce forfait, mais l’agence se charge de la réservation. Pour un vol Alger-Zagreb, sachez tout de même qu’il faudra prévoir une à deux escales. Il vous en coûtera au moins 40 000 DA l’aller-retour par personne . Pendant ce séjour, vous pourrez découvrir la province d’Istrie, à l’ouest. Vous séjournerez dans un hôtel 3 étoiles près du centre-ville, près de la plage. A partir de là, vous pourrez facilement rejoindre le parc forestier de Zlatni Rat et à seulement quelques minutes à pied de Rovinj où se trouvent des restaurants, des cafés, des magasins et les transports publics. A l’hôtel, seul le petit-déjeuner est inclus : prévoyez un budget pour la restauration et les déplacements pour la découverte du pays, hors excursion.  Un visa pour la Croatie est demandé si vous ne disposez pas de votre visa Shengen. * El Watan-14juin2013
* une semaine à Yasmine Hammamet-Tunisie= plus de 100.000 DA
Pour 800 euros (1596 DA tunisiens ou un peu plus de 100.000 DA), vous pouvez louer un appartement pour six personnes pendant une semaine à Yasmine Hammamet. Pour le même prix, vous aurez droit à une demi-pension. Vous pouvez choisir de dîner ou de déjeuner. Le restaurant se trouve à l’intérieur de la résidence Corail. Vous aurez droit également à la piscine, de vous promener dans les espaces verts de la résidence. Cette dernière n’est pas loin du port de plaisance et de la plage. Elle est également bien desservie pour vous rendre à l’esplanade, la médina, les deux parcours de golf, les restaurants et les boutiques. Il vous restera à payer le billet d’avion : 20 000 DA seulement avec une réduction de moins de 50% pour les enfants de moins de 2 ans. Si vous réservez cet appartement pour le 21 juin, vous bénéficiez d’une réduction de 10%. En septembre, elle est de 30%. Ce qui fera une semaine à quelque 100 000 DA si vous choisissez de prendre la route.
*dix jours au Maroc = 119.000 DA par personne en demi-pension
Un séjour de dix jours au Maroc ? Cela revient à 119 000 DA par personne pour visiter Casablanca, Marrakech et Agadir. Le départ se fera le 11 août et l’hébergement en hôtel 4 étoiles, demi-pension (petit-déjeuner et dîner). Le premier jour, un dîner est offert après l’installation à l’hôtel Oum Palace à Casablanca. 2e jour : visite de l’ancienne Medina, la Corniche, Anfa supérieure, le palais royal, tour au Habbous et la mosquée Hassen II. Dîner à l’hôtel. 3e jour : départ vers Marrakech, hôtel Ryad Mogador Gueliz. 4e jour : visite de Marrakech en incluant La Manaran, Koutoubia, souk Jamâ El Fna, Ourika. 6e jour : départ pour Agadir, hôtel Anezi. 7e jour : visite de Souk El Had et Dchira. Vous serez ensuite libre d’apprécier les plages d’Agadir ou d’aller faire du shopping. 9e jour : retour vers Casablanca pour une autre journée libre. Dans cette ville, le transport n’est pas cher, vous pouvez aussi prendre le tram. Pour les taxis, il faut choisir les rouges et surtout savoir marchander avec les chauffeurs. Prévoyez un budget complémentaire d’au moins 30 000 DA par personne pour vos achats et vos déjeuners. Pensez à goûter les spécialités (h’rira et tajines) que l’on trouve à des prix raisonnables. Au Maroc, vous pouvez ne pas faire le change, les commerçants acceptent l’euro. *source:El Watan-14juin2013
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***Tourisme: Quels choix s’offrent aux Algériens?
Au-delà du contexte conjoncturel, chaque fois que les périodes de vacances se présentent, les Algériens se demandent où aller, comment, et avec quels moyens y aller ‘ Une question aussi anodine nous renvoie nécessairement à des réponses complexes. D’abord, de quels Algériens s’agit-il ‘ Les couches moyennes et celles dites ‘aisées ». Oui, bien sûr, mais les autres, tous les autres, ceux pour qui la question n’effleure même pas l’esprit. Ceux du sud du pays qui n’ont jamais connu le Nord, la mer et ses plages, les montagnes du Djurdjura, ceux du Nord qui n’ont jamais connu la beauté féerique du sud de leur pays, parce que démunis qu’ils sont, leur priorité se situant ailleurs. Non, ça n’est pas naïf, c’est vrai, nos concitoyens aspirent réellement à se reposer après une année de dur labeur. Mais que leur offre-t-on ‘ Politique de tourisme, dites-vous ‘ Tous à Tunis, Ankara, Agadir, Charm El-Cheikh, Palma, Barcelone Benidorm… et je ne sais quelle autre contrée, parce que, tout simplement, ils ne trouvent rien chez eux. Pourtant, dans les années 1970, l’Algérie s’était engagée dans une politique volontariste de développement du tourisme essentiellement orientée vers la clientèle étrangère, sans complexes, y compris à travers des opérations de partenariat en relation avec Club Med mais aussi, pour le tourisme de masse, en grande partie supporté par les ‘uvres sociales des grandes entreprises publiques. Qui ne sait pas que les infrastructures touristiques de l’époque avaient été réalisées par le fameux architecte Pouillon. Les sites offerts par notre pays avaient attiré des milliers de touristes étrangers. L’activité touristique avait créé beaucoup d’emplois, de même que les instituts de formation de la ressource humaine permettaient d’offrir des prestations de qualité. C’était un début plein de promesses, sauf que la dynamique du secteur privé était carrément bloquée contrairement à nos voisins de l’est et de l’ouest. C’est ainsi qu’au fil des années, la situation s’est dégradée. Dans le même temps, l’amélioration relative du niveau de vie des Algériens a généré des besoins nouveaux en loisirs et dans le domaine touristique. Dès lors, la demande locale est allée en s’accroissant alors que l’offre nationale est restée inchangée. Pis encore, elle a régressé en termes d’infrastructures, de lits et de qualité de service. Hormis quelques réalisations privées, au demeurant loin de répondre aux standards internationaux, et qui sont inaccessibles pour la majorité des citoyens du fait des tarifs exorbitants pratiqués dans une situation de déficit d’accueil touristique. Ceux qui ont les moyens préfèrent recourir, à prix égal ou inférieur, et avec une meilleure qualité de service, aux prestations touristiques étrangères, souvent chez nos proches voisins. L’activité touristique de par le monde, non seulement constitue un facteur d’échanges et de connaissances des cultures universelles, mais également un puissant levier de croissance économique à travers, notamment, l’apport en devises et la création d’emplois. Des pays comme la Tunisie, le Maroc, l’Egypte, la Turquie, etc., ont bâti leur économie autour de l’activité touristique pace qu’ils ont su libérer l’initiative privée. Il est grand temps, au-delà des discours de conjoncture, de développer une stratégie touristique qui tienne à la fois compte de la demande locale et du nécessaire placement du ‘produit Algérie » sur le marché touristique international. La diversification de nos ressources hors hydrocarbures passe aussi par là. (Liberté-11.07.2012.)
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*Sur les traces de la reine des Zibans
L’atout bien-être à la porte du Sud
Biskra peut être à la fois une ville de repos, de découverte et de soins par le biais de stations thermales (hammam jerab) situé au pied du djebel Boughzel (10 km au nord-ouest), piscina du temps des romains, et le célèbre hammam Salhine.
Les formules de remise en forme permettent de prendre soin de soi, de se ressourcer, et leur succès est de plus en plus grand avec des cures qui s’adressent à toute la famille, des parents et grands-parents, aux enfants et adolescents souffrant de surpoids, de problèmes de peau, ou pour évacuer le stress des études et des examens. A la périphérie de la ville, on peut visiter les villages qui comptent d’innombrables palmeraies, comme M’lili, Mekhadma, Ourlel, Ouamech, Tolga, lichana où l’on trouve la meilleure datte du monde ! Biskra est aussi une ville paisible, où aiment se réfugier les poètes.
La reine des Zibans inspire.
La ville étonnera le voyageur dès le premier abord. Au lieu des dunes et des paysages de rocaille auxquels il s’attend, il découvrira de vastes étendues verdoyantes. Immenses palmeraies, larges surfaces irriguées, barrages, la ville a depuis sa fondation au XIe siècle par les Zibans tout mis en œuvre pour fertiliser ce bout de désert. Ecartelée entre ville moderne et médina préservée des influences occidentales, Biskra est aujourd’hui, avec ses vergers, ses 150.000 palmiers dattiers produisant la fameuse Deglet Nour une cité prospère. L’écrivain français, André Gide, y a séjourné quelques mois, durant lesquels il a commencé l’écriture de son livre Nourritures Terrestres où il célèbre la vie, la nature et le désir. Les genres y sont mêlés : notes de voyages, fragments de journal intime, rondes et balades, dictionnaire poétique et dialogues fictionnels. La compagnie aérienne Air Algérie propose en été des vols directs à destination de Biskra au départ de Paris et de Marseille.
La reine des Zibans va encore une fois dévoiler ses splendeurs. Biskra pourra constituer un excellent produit d’appel pour promouvoir le tourisme saharien et celui de soins, de santé et de bien-être. La route touristique des oasis s’étend en plus de la grande boucle sur les wilayas de Ouargla, El Oued, Biskra et de la région de Bou Saâda. Il est impératif de développer dans ce contexte une approche marketing et produits autour des trois R : «rupture, ressourcement et retrouvailles». A la diversité de ressources peut s’ajouter plus qu’ailleurs l’authenticité des sites (moins stéréotypés, plus simples, plus vrais), l’évasion qu’offre la diversité des paysages, la facilité d’accès (proximité relative des marchés européens) et le climat modéré.
Ça se visite :
Le marché et ses artisans   
Les échoppes dispersées un peu partout tentent de préserver leur ambiance ancestrale. Ces derniers attirent l’attention de tout visiteur qui ne manque pas d’y jeter un coup d’œil. Ces souks traduisent le mode de vie dominant dans cette région aux profondes racines historiques. La fréquentation de ces souks permet au visiteur de découvrir beaucoup de choses : artisanat original et belles étoffes.  
Le fort turc   
Ce fort, en terre séchée, s’écroula sous les obus français lors de la prise de Biskra en 1844. Mais, plus que la guerre, l’eau tombant là, en averses aussi violentes que rares, nivela ses murailles jusqu’à en faire le plateau de terre crevassée qu’il est de nos jours.Du haut du fort, on découvre le panorama admirable de la palmeraie et des vieux quartiers de la ville : M’Cid, Bab El Dar et Bab El Fatah.
La dégustation de la datte    
La datte algérienne dans la région de Biskra et Tolga est un terroir unique connu et reconnu pour la production de Deglet Nour, signifiant «doigt de lumière».Les amateurs reconnaîtront en elle le goût caractéristique de ce terroir légendaire qui a fait sa réputation. La culture de la datte dans cette région est une tradition vieille de 14 siècles. En effet, le microclimat (terre humide et air chaud) où elle est produite lui confère une composition typique (taux de sucre, d’humidité, richesse en minéraux et vitamines) et un goût authentique.
Tolga 
Située à 40 kilomètres à l’ouest de Biskra, l’oasis de Tolga, irriguée par des puits artésiens, produit également la Deglet Nour qui est conditionnée sur place avant d’être exportée. La wilaya de Biskra possède un patrimoine phoenicicole composé de 4,1 millions de palmiers dattiers, dont trois millions producteurs. Sa production devra atteindre, au terme de l’actuelle saison, 2,8 millions quintaux dont 1,7 million de la variété Deglet nour.  (El Watan-28.06.2012.)
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*La destination Algérie s’est nettement améliorée
**les infrastructures publiques ou privées dans les villes balnéaires affichent déjà complet.
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 *Journée nationale du tourisme, le 25 juin
La destination Algérie s’est nettement améliorée par rapport aux années précédentes, a déclaré le directeur de la communication et de la coopération au ministère du Tourisme à El Watan Week-end.
Défendant les efforts fournis par le département de Smaïl Mimoune dans ce sens, Abdelkader Gouti assure que toutes les infrastructures publiques ou privées dans les villes balnéaires affichent déjà complet. «Sans tomber dans l’autosatisfaction, les préparations entamées depuis le mois de septembre 2010 ont abouti à des résultats», affirme-t-il. Pourquoi l’Algérie n’a pas suffisamment profité de la conjoncture actuelle qui fait que plusieurs touristes se rabattent sur la destination locale en raison de l’insécurité en Tunisie ? Même si les touristes racontent le calvaire pour réserver une destination domestique Algérie, le ministère du Tourisme affirme le contraire. «Tous les efforts effectués ont été faits indépendamment de cette situation mais surtout dans le cadre de la vision globale de développement du tourisme domestique», répond-il.
Mieux encore, le même responsable affirme que des formules spéciales Ramadhan seront proposées aux touristes nationaux et à la communauté algérienne établie à l’étranger. Tout pour satisfaire la clientèle. Des efforts continuent d’être faits. D’ailleurs, à l’occasion de la Journée nationale du tourisme, qui coïncidera désormais avec le 25 juin, le ministère veut redorer la destination Algérie. Il vaut mieux tard que jamais, le département de Smaïl Mimoune organise, en coordination avec l’Office national du tourisme (ONT), depuis hier, une tournée touristique à l’est et à l’ouest du pays au profit de 50 journalistes pour s’enquérir des potentialités touristiques que recèlent les régions.(source: El Watan-24.06.2011.)
Réactions: «Nous sommes conscients des potentialités touristiques dans notre pays, mais les offres restent rares et les promotions inexistantes. Où, comment réserver ? De plus, à mon avis, ça coûterait moins cher si je choisissais le Maroc ou la Turquie. Je m’attendais à des efforts particuliers cet été, mais heureusement que j’ai eu d’autres choix», témoigne un père de famille, rencontré dans une agence de tourisme à Meissonier.
**Un groupe d’agences publiques se limite à proposer des chambres à près de 10 000 DA la nuitée sans aucune autre option. D’autres font des offres à près de 6000 DA la nuit avec «possibilité de disposer de la piscine dans un hôtel en voie d’inauguration».
Hassen Kaddache, président de la Fédération nationale des associations des agences de tourisme et de voyages ne remet aucunement les offres destination Algérie en cause. Au contraire, c’est la culture du tourisme qui manque chez les Algériens. «Il faut apprendre à réserver tôt», dit-il. (source: El Watan-24.06.2011.)
**11 plages concédées au privé à Chlef
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Le contrat de concession obéit à un cahier des charges qui doit être scrupuleusement respecté par les exploitants.
11 plages sur les 26 autorisées à la baignade, cette saison, ont été concédées à des privés. Les 15 autres seront, quant à elles, exploitées directement par les communes concernées. C’est ce qu’a annoncé, jeudi dernier, le nouveau directeur du tourisme lors d’un point de presse. Il a précisé que le contrat de concession obéit à un cahier des charges qui «doit être scrupuleusement respecté par les exploitants». «Des visites d’inspection inopinées seront effectuées durant toute la période estivale pour veiller justement à l’application des dispositions réglementaires», a-t-il souligné. Il en est de même pour les autres sites d’accueil, tels que les camps de toile, qui doivent, eux aussi, selon le même responsable, offrir un service de qualité aux vacanciers.
Rappelons que 18 camps de toile, d’une capacité d’accueil de 5 200 places, seront ouverts cet été sur le littoral de la wilaya. La plupart sont gérés par des agences de voyages de Blida et d’Alger et des entreprises et organismes nationaux, tels que la Sonatrach, Algérie Poste et Algérie Télécom, l’Enof et l’Enir. Pour cette année, la nouveauté réside dans l’aménagement de stands le long des plages pour la commercialisation de produits de l’artisanat. «Nous voulons, à travers cette opération, mettre en valeur la dimension culturelle de la région en offrant aux visiteurs des souvenirs du riche patrimoine local, souvent méconnus du public», a indiqué M.Kaici, chef de service à la direction du tourisme.
Les activités culturelles et artistiques ne sont pas en reste  puisque les différents exploitants des sites balnéaires ont été instruits par les pouvoirs publics à l’effet d’établir des programmes d’animation durant la saison estivale. De même, ils ont été saisis pour procéder à l’amenagement d’aires de jeux pour les enfants, en particulier au niveau des structures d’accueil. Par ailleurs, il est à signaler que le nombre de plages autorisées à la baignade est passé de 25 en 2010 à 26 en 2011.  (El Watan-20.06.2011.) 
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  * Lancement de la saison estivale algérienne
*Algériens cherchent place au soleil
 Elle prendra fin le 1er jour de Ramadhan, (1er août). En réalité, l’été algérien ne durera qu’un mois cette année. Un mois de juillet qui s’annonce plat pour les professionnels du tourisme autant que pour les Algériens en mal d’évasion, après un début d’année particulièrement houleux en Algérie, autant que dans les pays voisins. Le printemps arabe a justement changé la donne des flux touristiques dans le bassin méditerranéen. «L’Algérie n’a, à aucun moment, envisagé de tirer profit de la situation générée par les troubles en Tunisie et en Egypte»…
(…)  aucun espoir de récupérer les millions de touristes européens séduits par les paysages méditerranéens, qui n’iront ni en Egypte (baisse de 81%), ni en Tunisie (recul de 55%) cette année. Les Tunisiens sont bien conscients de cet enjeu. Leur ministre du Tourisme n’a d’ailleurs pas manqué de concéder d’importantes baisses des prix pour séduire les touristes européens et s’est même déplacé à Alger, pour «supplier» les Algériens de lui rester fidèles.(…) Le choix est très restreint. La Tunisie, habituellement première destination des touristes algériens durant l’été, a été évincée autant que l’Egypte qui avait d’abord souffert, l’an dernier, d’un boycott algérien dû à une certaine animosité sportive avant de finir par disparaître carrément cette année de la liste des propositions touristiques pour cause de révolution, évidemment incompatible avec le tourisme. Que propose-t-on à la place ? La Turquie, encore la Turquie suivie en  «troisième position» timidement par le Maroc. La Grèce, l’Espagne, Malte, les Seychelles, la Malaisie…des destinations qui se placent très loin derrière, parce que «trop  luxueuses» (visas difficilement accessibles et tarifs dispendieux).
*La Turquie ?
 Pourquoi cette destination ? «La vie n’est pas chère en Turquie, et les tarifs de leurs hôtels sont très accessibles pour les bourses algériennes. En vérité, on n’a pas d’autres destinations abordables à proposer», explique franchement Cherif Guettouche, gérant de l’agence de voyages Ikram, qui propose des séjours d’une semaine à Istanbul pour 54 000 dinars seulement.
D’une agence à une autre, les prix varient mais restent attrayants, ne dépassant pas les 60 000 dinars avec des séjours comprenant des excursions culturelles et une prise en charge en demi-pension. Sauf que ces tarifs n’incluent pas les prix des billets d’avion dissuasifs. «J’étais partante pour un séjour à 55 000 DA à Antalya mais le billet coûte plus cher que le séjour lui-même, 69 000 dinars», note une Algéroise au sortir d’une agence. Allant de 37 800 jusqu’à 97 000 DA, les prix des billets vers la Turquie ne sont pas fixes sur Air Algérie autant que sur Turkish Air Lines. «Cela dépend des dates, des quotas des tarifs promotionnels et des billets pleins tarifs», explique une employée de la Turkish Air Lines, en précisant que «c’est aussi la forte demande pour le mois de juillet qui perturbe ainsi les tarifications».
Les vols affichent complet mais la liste des réservations ne comprend pas que des touristes : voyageurs qui s’y rendent pour des activités commerciales, pèlerins en transit vers Djeddah ou Chinois d’Algérie vers Shanghai. «Air Algérie propose des horaires de vol décourageants, (départ à 20h pour une arrivée à 2h du matin, ou retour à 5h du matin).
«Les compagnies aériennes refusent d’assouplir leur position pour cette destination, par exemple, en programmant plus de vols pour baisser les prix», souligne Imène Leulmi, agent de voyage. Le prix des billets, éternel frein aux touristes algériens, toutes destinations
confondues : la loi obligeant les compagnies étrangères à s’aligner sur les tarifs prohibitifs d’Air Algérie. La destination Turquie charme quand on s’y prend assez tôt, mais elle est loin d’atteindre les records tunisiens en nombre de touristes algériens (près de 2 millions). Selon des sources proches de l’ambassade turque à Alger, ils étaient 40 000 à s’y rendre il y a 3 ans. Le nombre est censé doubler cette année, mais il ne dépasserait pas les 80 000. La raison ? La cherté du billet qui marque les limites de la destination.
Le Maroc ?

Le Maroc est l’autre destination sur laquelle misent beaucoup d’agences. Dima Voyage en fait partie. «On suit de très près les informations qui filtrent sur la possible réouverture des frontières entre l’Algérie et le Maroc», confiait, lundi dernier, Mourad Maoui le gérant.
L’agence est justement en stand-by pour finaliser les formules de cette destination. Des contacts ont déjà été établis avec des chauffeurs de taxi et de bus pour mettre en place plusieurs possibilités de transports routiers.
Le Maroc à des prix imbattables, ils y croient. Agadir, Casablanca, Fès, Marrakech, autant de villes qui ont fait leurs preuves en matière de qualité de service et de dépaysement assuré. L’attentat de Marrakech du 28 avril dernier a semé le doute sur la saison estivale marocaine, avec près de 22 000 réservations annulées au mois de mai. Mais le Maroc ne semble pas avoir dit son dernier mot.
Il multiplie les formules et les accords avec plusieurs tour-opérateurs européens pour défendre son tourisme.
… L’éventuelle ouverture des frontières terrestres, qui permettrait au touriste algérien d’économiser le prix du billet, là aussi prohibitif (30 000 DA), aurait pu changer la donne touristique d’un côté comme de l’autre. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia vient de trancher : «L’ouverture des frontières,  n’est pas à l’ordre du jour ! ». Les séjours d’une semaine au royaume chérifien continueront donc d’être proposés à près de 100 000 dinars, billet compris, ce qui est peu attractif pour les familles algériennes. Destination classée.    

Beaucoup préfèrent l’Algérie
Les propositions précises se font rares. Et d’ailleurs qui les ferait ? L’ONAT n’a toujours pas rendu publique son programme pour la saison estivale pour cause de «retard interne». Les agences de voyages, elles, veulent bien faire du sur mesure mais elles ont bien compris que le tourisme local n’est pas un créneau porteur en été.  Et pourtant «la demande dépasse largement l’offre», précise Rachid Djeribi, président du SNAV, Syndicat national des agences de voyages.
En plus du manque d’infrastructures et des prix trop élevés, les voyagistes montrent également du doigt la problématique des tarifs préférentiels.  «Nos hôtels refusent de jouer le jeu. Si le tarif d’une chambre est à 2000 DA la nuitée par exemple, elle restera à 2000 DA même si le voyagiste propose à l’hôtelier un groupe de 50 ou 100 personnes», explique Rachid Djeribi.  Résultat : le voyagiste fera payer cette chambre à plus de 2000 DA, pour prendre sa marge.Un frein incontestable pour la promotion de nos sites balnéaires. Les hôteliers ne s’en plaignent pas, et s’en sortent en traitant avec des sociétés, notamment publiques qui leur restent fidèles d’année en année.
C’est par exemple le cas à El Kala qui attire de moins en moins de vacanciers. «La région est de plus en plus boudée justement parce que les tarifs sont élevés alors que la ville ne cesse de se dégrader», avoue la gérante de l’hôtel El Manar, en soulignant que l’établissement affiche quand même complet grâce aux réservations faites par deux sociétés. Face à cette situation, de nombreux Algériens continuent de se rabattre sur le marché parallèle du tourisme.
Plusieurs familles trouvent leur compte dans des maisons en bord de mer proposées à la location. 1200 km de côtes, le choix est large. «Chaque été, je loue un appartement à Boulimat (Béjaia) avec mon frère pour 200 000 DA le mois, à deux familles, ça nous revient pas très cher !», témoigne un père de famille de l’Algérois. Une autre façade de l’informel qui ne crée aucun emploi et ne génère aucun impôt, ces locations sont proposées par des particuliers de bouche à oreille par des agences immobilières ou encore sur des sites Internet en Algérie ou à l’étranger.
Leurs prix : entre 150 000 et 400 000 dinars par mois. Que reste-t-il pour les toutes petites bourses ? Un bon ventilateur à 2000 DA et 400 DA pour flasher le démodulateur, en espérant que d’ici là les pirates auront de nouveau réussi à décrypter les chaînes Voyages découvertes et séjours. Au pire, Thalassa sur France 3 pour oublier… l’été algérien.  (source: El Watan-01.06.2011.)   

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*Turquie, Tunisie et Maroc se disputent les touristes algériens  
Les agences de voyages sont unanimes à dire que la saison estivale 2011 sera exceptionnelle sur tous les plans. Les révolutions arabes ont changé cette année les destinations des deux millions d’Algériens qui préféraient passer leurs vacances sur les plages des pays arabes pour plusieurs raisons. Il s’agit notamment de considérations de religion, de langue, de prix mais également de visas. En plus de cela, le mois de Ramadhan coïncidant cette année avec le mois d’août, ce qui encouragera ce qui s’appelle le « tourisme religieux ».
La Turquie interdit la mixité dans les hôtels… mais les prix sont inabordables
La destination touristique Turquie se substituera aux anciennes destinations touristiques des Algériens à savoir la Tunisie et l’Égypte. En effet, de plus en plus de touristes algériens veulent passer leurs vacances d’été dans ce très beau pays. Toutefois les prix font obstacles à beaucoup d’entre eux. Il n’est un secret pour personne que les prix des prestations proposées en Turquie dépassent de loin ceux proposés par la Tunisie. À titre d’exemple, un séjour d’une semaine dans un modeste hôtel à Istanbul coûte au moins 10 millions de centimes. Cependant, ce pays offre des prestations qui arrangent les traditions et les mœurs des familles algériennes. En effet, les hôtels interdisent la vente de l’alcool et la mixité pour accueillir des touristes musulmans venus des quatre coins du monde. Les centres de vacances d’Istanbul et d’Antalya affichent complets, et depuis peu la région de la mer Noire connaît un regain de popularité. Il y a une augmentation remarquable du nombre de touristes arabes en Turquie. Surtout depuis que les visas d’entrée ne sont plus obligatoires pour certains pays de la région. Ces populations arabes se sentent plus à l’aise en Turquie que dans n’importe quel pays européen ou aux États-Unis, en raison de nos similarités culturelles et religieuses
La Tunisie très attractive avec les réductions et le Maroc avec la rencontre des Verts
La révolution du Jasmin a soulevé les craintes des autorités tunisiennes qui  redoutent la dégringolade de leur économie avec la perte de plus de 1 600 000 touristes algériens qui passent chaque année leurs vacances dans ce pays frère. Pour attirer les Algériens, le ministre tunisien du Tourisme a promis des réductions très alléchantes et des facilitations en matière de contrôle à la frontière. En plus de cela, les autorités tunisiennes ont ouvert une ligne maritime pour le transport des touristes algériens qui veulent se rendre en Tunisie par voie maritime. S’agissant de l’autre pays frère, le Maroc, ses autorités officielles intensifient leur campagne médiatique pour la réouverture des frontières terrestres, d’autant plus que l’équipe nationale algérienne affrontera très prochainement la sélection marocaine. (Echorouk-29.05.2011.)
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 Une nouvelle ligne maritime entre Alger et Barcelone 
L’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (Entmv-Algérie Ferries) ouvrira le 28 juin prochain une nouvelle ligne maritime reliant Alger à Barcelone et Palma de Majorque ( îles Baléares ) , et ce jusqu’à la fin du mois de septembre prochain.S’agissant des raisons ayant suscité l’ouverture de cette nouvelle ligne maritime, les responsables de l’Entmv mettent en avant la nécessité d’alléger la pression sur les ports de Marseille et d’Alicante et de faciliter par la même la circulation des passagers vers et en provenance de ces régions d’Europe. La desserte vers Barcelone, nous a ainsi précisé M.Lamri, assistant du P-dg de l’Entmv, « permettra surtout de désengorger le trafic sur la ligne Alger- Marseille, qui constitue notre principale ligne ». Le directeur commercial du port de Barcelone, Juan Madrid Suberviola a dit à ce sujet : « L’Espagne accorde un intérêt particulier à l’intensification de ses échanges avec l’Algérie, d’où l’importance que revêt le développement du réseau de transports maritimes entre les deux pays. » Et d’ajouter : « l’ouverture de cette nouvelle ligne maritime de transport de voyageurs entre Alger et Barcelone boostera à coup sûr les échanges touristiques et culturels entre les deux pays ». Ouverte dans un premier temps jusqu’au mois de septembre prochain, notamment pour faire face à la forte demande coïncidant avec la saison estivale, cette nouvelle ligne devra être consolidée sur douze mois, escomptent aussi bien les autorités du port de Barcelone que les responsables de l’Entmv. Pour le court terme, nous a indiqué le directeur commercial de l’Entmv, Chérifi Iqbal, il est prévu au total 18 traversées via cette nouvelle ligne Alger-Barcelone, avec une capacité ciblée de quelque 20 000 passagers et une tarification établie à partir de 15 000 dinars au départ d’Alger.Il est à souligner que la Fédération européenne des associations algériennes  a contesté  les tarifs  exorbitants des billets chez l’Entmv. Cette dernière rétorque que c’est dû à la hausse  des prix du mazout. (Echorouk-30.05.2011.) 
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** les vacances au bord de l’eau ou les voyages à l’étranger, ne sont pas à la portée de tout le monde

*pour de nombreuses familles modestes, les vacances restent un mirage pour les enfants..
Soyons réalistes et admettons que, de nos jours, les vacances au bord de l’eau ne sont point à la portée de tout un chacun.
En effet, inflation oblige, elle est même parfois «hyper» pour certains produits et les salaires ne répondent plus aux besoins élémentaires du citoyen, de l’aveu même de certains responsables qui sont favorables à un Smig nettement supérieur à l’actuel. A ces maux principaux, faut-il ajouter le désarroi dans lequel sont plongés les candidats à des journées de détente au bord de la «Grande Bleue» faute de conditions de transport adéquates du point de vue horaires, tarification, sans parler du «confort», un qualificatif qui se fait hélas, désirer à bien des égards.
Ces mêmes citoyens sont du coup confrontés à la cherté des prestations, d’ailleurs à peine modestes et peu conformes aux règles élémentaires d’hygiène et de conservation, offertes sur les plages ou dans les agglomérations environnantes. Comment donc un salarié pourrait-il emmener sa smala à la plage au vu des dépenses qui le guettent? Il pourrait à la rigueur, y aller passer une journée peut-être, mais encore faudrait-il qu’il sache serrer sa ceinture encore d’un cran ou même de deux?
Mais que faire de tout son congé et des vacances scolaires de ses enfants? Et qu’en est-il aussi du repos bien mérité de l’épouse au foyer qui a trimé et réussi, parfois, çà économiser quelque peu durant toute l’année pour arriver à clore dignement une année sociale, couronnée cette année par le jeûne du mois sacré du Ramadhan? Autant de questions qui viennent à l’esprit sans trouver les réponses adéquates pour beaucoup de citoyens.
Certes, les hôtels, les bungalows, les quelques centres de camping…affichent complet mais à quels prix et avec quelle clientèle aussi, si ce n’est une catégorie aisée et au nombre limitée d’enfants en bas âge ou sans, auxquels il est «impératif» d’offrir ce quart d’évasion tant attendu, pour leur santé et une longue année scolaire qui les attend.
Si les vacances sont synonymes d’évasion et de détente pour le travailleur, il existe hélas, des citoyens aux moyens limités pour lesquels la saison estivale telle qu’elle devrait être envisagée, reste un rêve, ou pire, un mirage qui ne peut se réaliser.
Il est cependant clair que nos aînés non plus ne pouvaient s’offrir de vraies vacances en bord de mer du temps de la colonisation. Les circonstances étaient bien sûr tout autres, mais aujourd’hui, les conditions matérielles sont caractérisées par des possibilités plus grandes de déplacement (air-mer-terre) et l’évolution des mentalités. Le citoyen algérien aspire légitimement à des moments de farniente pour mieux «engager» la prochaine année sociale.
Comment s’y prendre avec des journées qui reviennent à plus de 1000 DA/par personne et par jour pour les endroits huppés non loin d’Alger comme Sidi Fredj, Azur Plage ou Zéralda. Pour une famille moyenne, le calcul est simple pour décourager de prétendants à de pareils moments. Ne restent plus pour les enfants intrépides, que les petites anses qui s’égrènent autour des villes côtières vers lesquelles ils se rabattent. Citons celles de l’ouest de la capitale comme Franco ou Miramar, El Kettani au centre-ville, dont les services sont très corrects et surtout abordables pour les quartiers populaires, notamment celui mitoyen de Bab El Oued. D’autres se situent près des villes de Mostaganem (Stidia, Salamandre et les Sablettes), Béjaïa (Les Aiguades et Tichy) ou encore «Jeanne d’Arc» à Skikda, le «Grand Phare» à Jijel, «Chapuis» à Annaba… et beaucoup d’autres qui ont fait, et font encore la joie des bambins. Les programmes de vacances à l’extérieur du pays sont pour leur part très aléatoires. Outre l’obtention de la clé du sésame qu’est le visa, même les habitués de vacances en Tunisie boudent cette destination au grand dam des autorités tunisiennes du tourisme.
A propos justement de ces vacances dans le pays frère, notre voisin, une baisse considérable des touristes algériens en Tunisie a été constatée malgré l’absence d’un visa de séjour dans ce pays où le permis de séjour est désormais de quatre mois au lieu de trois précédemment.
Une certaine appréhension sécuritaire infondée, s’est en effet emparée des éventuels touristes algériens en Tunisie. Ainsi, Choukri Arfaoui, commissaire de police tunisien au centre frontalier Mloula Oum Tbal, a indiqué que «toutes les mesures nécessaires ont été prises par les services du ministère de l’Intérieur de mon pays pour accueillir les touristes algériens dans de bonnes conditions». Selon lui, «le nombre de touristes algériens a régressé de 50% par rapport à la même période 2010» et que le taux des passagers algériens vers la Tunisie enregistre actuellement quelque «1000 passagers/jour contre 2500 en 2010.» (L’Expression-14.07.2011.)
 

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24 morts et 127 blessés dans plusieurs accidents de la circulation en une seule journée.
 L'Algérie est à la 4e place mondiale des routes les plus dangereuses.
En dépit du durcissement des sanctions à l’encontre des contrevenants au Code de la route, des accidents de la circulation demeurent très fréquents et meurtriers. Pas moins de 8 personnes ont trouvé la mort jeudi à Laghouat, sur le CW n°232 reliant la ville de Hassi Delaâ à la RN1. Cet accident dramatique a eu lieu vers 19h45. Le premier constat évalué sur place fait état de la crevaison d’une roue. Le conducteur perd le contrôle de son véhicule pour finir sa course contre un camion. La violence du choc a occasionné le décès tragique de 8 personnes et de lourds dégâts matériels. Durant cette même journée, les services de la Gendarmerie nationale ont comptabilisé plusieurs accidents de la route, à Medjbeur dans la wilaya de Médéa, à Aïn El Ibel dans la wilaya de Djelfa, à Boukadir et Sendjas dans la wilaya de Chlef, à Amirouche dans la wilaya de Tiaret, à Zelma et Mohammedia dans la wilaya de Mascara, à Oran, Relizane, Aïn Témouchent et à Annaba. Le bilan est très lourd:
24 décès et 127 blessés en cette journée du 14 juillet alors que 74 véhicules ont été endommagés. C’est dire que l’Algérie demeure au premier rang en matière d’accidents de la circulation. Un triste palmarès qui fait d’elle la premiere dans le Monde arabe et déjà 4e en 2010 à l’échelle mondiale. Des bilans «inquiétants» enregistrés chaque année par des accidents dus à 90% au facteur du non-respect du Code de la route. Cependant, la tragédie des accidents est aussi causée par l’état des routes souvent impraticables et dangereuses. En 2009, ce sont 4 282 personnes qui ont été fauchées, une hausse de 200 morts comparé à 2008 qui était de 4151, contre 3784 en 2007. Le nombre d’accidents mortels est en nette augmentation et l’on peut estimer que l’année 2011 sera des plus meurtrières. En moyenne, 11 personnes décèdent chaque heure sur les routes algériennes. Dans ses rapports, la Gendarmerie nationale place la responsabilité humaine comme première cause des accidents de la route. Perte de contrôle, excès de vitesse, dépassement dangereux, non-respect de la distance de sécurité. D’autres facteurs sont aussi à l’origine de nombreux accidents, comme cité plus haut, l’état des routes, la chaussée glissante, mais aussi, comme en témoignent les nombreux accidents, le phénomène de crevaison qui est de plus en plus fréquent. A priori, les pneus utilisés ne répondent pas aux normes et les frottements sur la chaussée, notamment durant la période des grosses chaleurs, sont la source d’éclatement qui engendre souvent l’irréparable. Il n’en demeure pas moins que les efforts consentis par l’Etat pour réduire les accidents de la route restent sans gros impact. Jusqu’au 30 mai dernier, 758 décès et 8412 blessés ont été enregistrés lors de 4906 accidents, alors que durant cette même période de l’année 2010, le nombre de décès était de 143. C’est dire que l’Algérie continue d’enregistrer chaque année l’un des taux les plus élevés au monde en matière d’accidents de la circulation avec pour corollaire, l’augmentation du nombre de victimes. A ce rythme, elle gardera certainement longtemps son palmarès funeste, celui de la 4e place mondiale des routes les plus dangereuses. (L’Expression-16.07.2011.)
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 Quelques conseils pour partir tranquille
- Pour éviter les mauvaises surprises au retour, voici quelques rappels utiles pour partir l’esprit tranquille…
 Ouverture estivale des plages de Marseille. La plage du Prado. Juin 2010.
Décourager les cambrioleurs
Comme toujours, on évite d’attirer les cambrioleurs! Petits conseils traditionnels pour que votre absence ne soit pas remarquée: demander à un gentil voisin de venir vider son courrier régulièrement,  bien fermer les fenêtres et les volets, et abuser de son gentil voisin en lui demandant de les ouvrir de temps en temps.  N’oubliez pas que vous pouvez faire suivre votre courrier à votre résidence de vacances en vous rendant dans votre bureau de poste. Il est aussi vivement recommandé de signaler votre départ à la Police Municipale de votre ville de résidence, l’opération «tranquillité vacances» du Ministère de l’Intérieur vous permet chaque année de bénéficier gratuitement d’une ronde de surveillance quotidienne.
On coupe tout
On coupe tous ses appareils électriques, surtout ce qui est sujet à attirer la foudre : téléphone, télévision, ordinateur, box internet… On économise ainsi 10 % de sa consommation et on fait un geste écolo pour la planète ! Selon la brochure  «les veilles, ça se paie» éditée par l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), les appareils en veille coûtent en moyenne 174 Euros par an à chaque foyer français.
On vide le frigo
On invite ses (bons) amis à dîner la veille du départ pour vider son frigo : rassemblez les restes et n’hésitez pas à donner, tout ce qui périssable doit disparaître !
On s’occupe des petites bêtes
On a pensé à maintenir ses animaux en vie, en prévenant la famille ou le gentil voisin de venir les nourrir.  Autre solution, il existe des distributeurs automatiques de nourriture très pratiques  quand on ne s’absente pas longtemps. Pour votre chien qui a besoin de se promener, n’hésitez pas à consulter le « Guide des vacances pas bêtes 2011 » (disponible gratuitement sur 30millionsdamis.fr) qui vous donnera toutes les infos utiles sur les baby doggers, les familles d’accueil ou encore les  hôtels canins… Après tout lui aussi à droit à un peu de vacances!
On pense aux plantes
On oublie pas que les plantes sont aussi des êtres vivants, et qu’elles ont besoin d’eau pour survivre, surtout durant l’été. Petite astuce si le gentil voisin ne peut pas venir les arroser: rassembler les plantes dans une salle d’eau, remplir le fond de la baignoire ou du bac à douche et les laisser à proximité. Elles pourront ainsi profiter de l’humidité de la pièce pendant quelques jours. (20Minutes-18.07.2011.)
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 Ces films qui influencent
les destinations de vacances

 Le Cap-Ferret enregistre une progression de sa fréquentation depuis la sortie en 2010 du film Les petits mouchoirs. Crédits photo : Séquence du film Les petits mouchoirs/Wikimedia
Le Cap-Ferret enregistre une progression de sa fréquentation depuis la sortie en 2010 du film Les petits mouchoirs. photo : Séquence du film Les petits mouchoirs/Wikimedia
Certaines destinations, comme Bergues de Bienvenue chez les Ch’tis, voient leur fréquentation doubler après avoir servi de décor dans un film à succès. Tour de France. 
«On fait la queue partout. A la boulangerie, au supermarché, au bureau de tabac. Tout Paris est là. J’ai même croisé Vanessa Paradis en prenant mon café», raconte Isabelle, retraitée ferretcapienne. «C’est l’effet Petits Mouchoirs», explique la responsable d’une agence immobilière de la presqu’île. «On a beaucoup plus de monde depuis la sortie du film.»
Les Petits Mouchoirs, film de Guillaume Canet sorti à l’automne 2010, met en scène un groupe d’amis en vacances au Cap-Ferret. Le film a fait 5 millions d’entrées. «Depuis, je reçois des demandes de réservations “dans une maison en bois, comme dans le film”. J’explique alors qu’au Cap-Ferret toutes les maisons sont en bois!», sourit la responsable de l’agence immobilière. Interrogée sur ce sujet dans Sud Ouest, la directrice de l’office de tourisme refuse de donner des chiffres. Elle estime que la hausse de fréquentation de cet été «est une connexion de plusieurs facteurs : les événements arabes, en Grèce, et le fait que les gens cherchent désormais l’authenticité.»
Isabelle, elle, juge le film seul responsable. Et ne le regarde pas d’un bon oeil : «Pourvu que l’année prochaine un nouveau film se passe ailleurs, qu’on nous laisse tranquille !»
Pourtant, l’effervescence apportée par un film ne se dissipe pas en une saison. Les Choristes est sorti en 2004 et les propriétaires du château de Ravel dans le Puy-de -Dôme s’en réjouissent encore. Le château, devenu pensionnat dans le film, a multiplié son nombre de visites par deux depuis la sortie du long métrage. Bergues, ville de Bienvenue chez les Ch’tis (2008), a également multiplié par deux le nombre de ses visiteurs et embauché trois personnes à l’office du tourisme.
Le Ch’ti tour
Sylvie y travaille depuis 5 ans. Elle constate quotidiennement un «effet Bienvenue chez les Ch’tis». «Tous les jours, quelqu’un me demande : “Où est la baraque à frites de la grande place ?”, raconte-t-elle. Alors qu’il n’y a pas de baraque à frites sur la place, en vrai. Ce qui est un peu dommage, c’est que personne ne vient pour s’intéresser au patrimoine de Bergues, qui est une très belle ville fortifiée et qui l’était bien avant le film.»
La ville a mis en place un Ch’ti tour, visite guidée sur les lieux du tournage à 6 euros par personne. «Nous avons toujours de la demande pour ce circuit, poursuit Sylvie. Le week-end dernier, j’ai même du refuser des gens, je ne prends pas plus de 60 personnes à la fois.»
Les Deux moulins, pris en photo «60 fois par jour»
Paris, décor de nombreux films, profite aussi des retombées de son apparition sur un grand écran. La ville attire chaque année 27 millions de touristes. «Bien sûr, quand Paris apparaît dans un film c’est un plus, comme cette année avec Midnight in Paris, explique l’office du tourisme de Paris. Mais ce n’est pas quantifiable.»
Les professionnels du tourisme parisien estiment qu’un seul film a eu un effet comparable à l’effet Petits Mouchoirs : Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain. Plus de 10 ans après sa sortie, le café des Deux Moulins, où Amélie travaille comme serveuse dans le film, «est toujours pris en photo 50 fois par jour». Marc, le patron, considère que son bistrot est devenu «un lieu de pèlerinage». L’homme fait attention à soigner sa clientèle d’habitués, agacés par le déferlement de touristes. «On n’en rajoute pas, je ne veux pas que mon café devienne une boutique de souvenirs. J’ai juste accroché l’affiche du film dédicacé par Jeunet». Interrogé sur l’augmentation de son chiffre d’affaires depuis le film, Marc répond : «Il ne faut pas voir les choses comme ça. Mon café a été choisi par Jeunet car il a une âme. Il avait déjà un succès fou avant. Demandez plutôt à Jeunet combien d’entrées il a gagné grâce à mon café !» (Le Figaro-22.07.2011.)
**Les Européens sont moins nombreux à partir en vacances cet été
 Les vacances victimes de la crise
À l’exception des Français, les Européens sont moins nombreux à avoir des projets de vacances pour cet été. Les heureux vacanciers ont par ailleurs prévu de réduire leurs dépenses.
Moins de trois Européens sur cinq prévoient de partir en vacances cet été.
La crise contraint les Européens à réduire leur budget dédié aux vacances d’été, voire à le couper. Moins de trois Européens sur cinq prévoient en effet de partir en vacances entre juin et septembre, soit le niveau le plus bas depuis 2005, selon le baromètre Ipsos-Europ Assistance.
Parmi les sept peuples interrogés (français, allemand, britannique, italien, espagnol, belge et autrichien), seuls 58% des sondés comptent partir en vacances entre début juin et fin septembre, soit 8 points de moins qu’en 2011. Par ailleurs, seuls 15% des Européens, contre 20% l’an dernier, envisagent de réaliser plusieurs voyages cette année. Sans surprise, le recul est particulièrement marqué pour les nations les plus touchées par la crise. «Cette année, le chiffre est tiré vers le bas par les Italiens, les Espagnols et les Anglais, qui ressentent fortement les effets de la crise», a déclaré le directeur général d’Europ Assistance, Martin Vial. La chute est forte «dans les pays où la situation économique et sociale est plus incertaine», Europe du Sud en tête, ajoute le responsable.
Le changement de comportement des Italiens est le plus spectaculaire avec une chute de 15 points de leurs intentions de départs en vacances cette année. Alors que les Italiens étaient traditionnellement ceux qui partaient le plus en vacances (78% en 2011), ils ne sont plus que 63% à déclarer partir cette année. Les Espagnols vont également se serrer la ceinture puisque seuls 51% ont des projets de vacances pour cette année, contre 65% l’an passé. Une courte majorité de Britanniques (51%) prévoient de s’aérer cette année, un chiffre en repli de 10 points.
45% des Européens vont faire des économies en vacances
Les Français se distinguent: ils seront plus nombreux à partir en vacances cette année. 70% ont des projets de vacances contre 68% l’an passé. Mais, comme leurs voisins européens, ils vont davantage surveiller leur budget vacances. «Les touristes français sont 46% à envisager de faire des économies cette année, soit en partant moins loin, soit sur les extras», affirme Martin Vial. Dans l’ensemble, «45% des Européens déclarent vouloir faire des économies ou sacrifier leurs vacances d’été», ajoute le dirigeant. Et la préférence des Européens ira aux courts séjours: plus d’un tiers partira une semaine tout au plus. Le climat n’est plus le critère prioritaire dans le choix des destinations, c’est le prix qui prime. Les Français devraient ainsi davantage partir en famille, et dans l’Hexagone. Et le poste vacances n’est pas le seul concerné par ces restrictions budgétaires. Selon les conclusions d’Europ Assistance, l’habillement, les produits culturels ou technologiques vont également subir des coupes budgétaires. (Le Figaro-24.05.2012.)
***Une enquête révèle que cet été, seuls 63% des Français comptent partir. Un chiffre en baisse depuis quatre ans.
Les Français étaient 78% en 2009, 73% en 2010, 69% en 2011. Cette année, ils ne sont plus que 63% à envisager de partir en vacances cet été. Depuis quatre ans que l’institut de sondage OpinionWay réalise cette étude pour VoyagerMoinsCher.com, le nombre de vacanciers n’a cessé de se réduire. À deux mois des premiers départs, ils sont 21% à ne pas savoir s’ils pourront prendre quelques jours. Un chiffre en augmentation de 31% par rapport à l’année dernière. Les jeunes sont les plus indécis, 32% d’entre eux hésitent à partir en vacances contre seulement 18% des personnes âgées de plus de 60 ans. Les plus jeunes (18-24 ans) ne sont que 49% à prévoir de partir cet été. Les ménages les plus aisés sont logiquement ceux qui hésitent le moins. Mais le budget moyen, s’il augmente un peu par rapport à 2011 (599 euros au lieu de 561 euros) reste inférieur aux 605 euros consacrés aux vacances avant la crise en 2008. Près d’un Français sur deux déclare d’ailleurs qu’il partira avec moins de 500 euros. Seuls 6% des 1010 personnes interrogées disposent d’un budget supérieur à 1500 euros. 48% des Français affirment d’ailleurs qu’ils feront des sacrifices pour réduire le budget comme modifier leur destination ou changer les dates de départ. Les offres de dernières minutes devraient d’ailleurs rencontrer un certain succès. L’étude confirme une hausse de 27% par rapport à 2011 du nombre de vacanciers qui réserveront moins de deux semaines à l’avance. L’augmentation est même de 46% sur l’année 2009. (Le Figaro-14.05.2012.)

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 http://niarunblogfr.unblog.fr/a-propos/voyager-changer-de-vie/ou-passer-ses-vacances-dete/


 http://www.lexpressiondz.com/img/article_medium/photos/P120709-09.jpg

 http://cache.20minutes.fr/img/photos/20mn/2011-07/2011-07-05/article_plage-1.jpg


 http://cache.20minutes.fr/img/photos/20mn/2011-10/2011-10-02/article_canicule.jpg

fille de annaba

 https://www.youtube.com/watch?v=fcym3cs1P3w

https://i.ytimg.com/vi/fcym3cs1P3w/hqdefault.jpg

http://www.jetaimemaman.net/2013/06/a-new-york-les-femmes-autorisees-se.html




À New York, les femmes autorisées à se balader seins nus
Tout comme les hommes torse nu en été, les femmes pourront aussi faire du topless, égalité oblige.


C'est une loi qui date de 1992 et qui dispose que les femmes ont le droit d'être torse nu partout où les hommes ont ce même droit. En pratique, les policiers du NYPD ne la respectaient pas et avaient plutôt tendance à arrêter les femmes torse nu. Mais ils ont récemment reçu une note dans laquelle il leur est rappelé que, s'ils tombent nez à nez avec une femme "topless", ils ne doivent en aucun cas l'arrêter, comme l'explique le New York Times.
"Même si se montrer seins nus attire beaucoup l'attention, les agents devront dans ce cas disperser la foule et adopter des mesures coercitives", détaille le journal.
L'idée est d'être à armes égales face à la chaleur, mais pour les féministes, c'est une façon de défendre et de revendiquer l'égalité des droits entre hommes et femmes.
En France, il est interdit de se dénuder de manière trop importante dans la rue, sous peine d'être arrêté pour "attentat à la pudeur". Considéré comme une agression sexuelle, ce délit relève du Code pénal et est passible d'une peine de 3 à 5 ans de prison.
source: Yahoo.fr
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À New York, les femmes autorisées à se balader seins nus

Tout comme les hommes torse nu en été, les femmes pourront aussi faire du topless, égalité oblige.


C'est une loi qui date de 1992 et qui dispose que les femmes ont le droit d'être torse nu partout où les hommes ont ce même droit. En pratique, les policiers du NYPD ne la respectaient pas et avaient plutôt tendance à arrêter les femmes torse nu. Mais ils ont récemment reçu une note dans laquelle il leur est rappelé que, s'ils tombent nez à nez avec une femme "topless", ils ne doivent en aucun cas l'arrêter, comme l'explique le New York Times.
"Même si se montrer seins nus attire beaucoup l'attention, les agents devront dans ce cas disperser la foule et adopter des mesures coercitives", détaille le journal.
L'idée est d'être à armes égales face à la chaleur, mais pour les féministes, c'est une façon de défendre et de revendiquer l'égalité des droits entre hommes et femmes.
En France, il est interdit de se dénuder de manière trop importante dans la rue, sous peine d'être arrêté pour "attentat à la pudeur". Considéré comme une agression sexuelle, ce délit relève du Code pénal et est passible d'une peine de 3 à 5 ans de prison.
source: Yahoo.fr
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بــقلـم :  محمد.قولال
يـــوم :   2014-08-21
استغلال الشواطئ بوهران بين الاستحسان والرفض
خدمة أفضل لمن يدفع أكثر
المصور : مرابط م

      لا يختلف إثنان في  أن ظاهرة   إستغلال الشواطئ بوهران على غرار باقي ولايات الوطن الساحلية  بدأت تعطئ ثمارها بالرغم من أن بداية هذا النشاط  كانت جد صعبة ولم يتم هضمها من قبل المصطاف الذي وجد نفسه بين عشية  وضحاها   مضطرا الى دفع  مبالغ مالية متفاوتة  قصد حجز مكان له بالشاطئ بعدما كان يصول  ويجول به بكل حرية
    وبعد دخول قرار حيز الخدمة منذ سنوات تغيّر وجه الشواطئ التي أخذت ديكورا موحدا تقريبا وأصبح  الأزرق والأبيض والأحمر   الألوان الرئيسية بكل الشواطئ تقريبا  ناهيك عن الإشكال الجميلة والمختلفة التي أخذتها الشمسيات  التي يتسابق لاقتنائها مستغلو الشواطئ بهذه التميّز عن نظرائهم  من أصحاب الطاولات  والهدف  الرئيسي هو جلب أكثر  عدد من المصطافين  إلى المكان الذي يستغلونه بالشواطئ
التنافس بين أصحاب المهنة من الايجابيات
     وانعكس التنافس بين المستغلين للشواطئ  إيجابيا على المصطاف  بتوفير في الوقت الخدمات التي يسعى هؤلاء الشباب إلى تقديمها بهدف الفوز بأكبر عدد من زوار الشواطئ الباحثين عن الراحة والاستجمام  هذا من جهة , و من جهة أخرى  أضحت الشواطئ نظيفة  كون  النظافة شرط من أهم شروط استمالة المصطافين الذين يؤمون إلى الشواطئ  جماعات وفرادى


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بــقلـم :  حكيمة.ق
يـــوم :   2014-08-21
خوفا من انتقال عدوى الحمى القلاعية من الولايات المجاورة
منع تسويق حليب البقر بالمحلات التجارية
المصور :

وجهت مديرية التجارة لولاية وهران تعليمة إلى أصحاب المحلات التجارية تقضي بضرورة الامتناع عن عملية بيع حليب الأبقار، لتفادي خطر الإصابة بآي مرض ناجم عن داء الحمى القلاعية ، لا سيما و  أن هذا النوع من الحليب يعرف إقبالا عليه من المواطنين  الذين غالبا ما يفضلون اقتناءه بدل حليب الأكياس، و يأتي هذا الإجراء ضمن مخطط الوقاية  الذي تعمل المديرية على تطبيقه  بالتنسيق  مع مصالح مفتشية البيطرة  بوهران بعدما   سجلت بؤر إصابات جديدة  بكل من الشلف، غليزان ، تيارت و مستغانم ، علما انه  لم يتم لحد الآن تسجيل أي إصابة بولاية وهران نتيجة  الإجراءات والتدابير الوقائية الصارمة التي تم اتخاذها في الوقت المناسب.
و تجدر الإشارة إلى أن   أغلب كميات الحليب بمختلف انواعها و  التي تباع بالأسواق  يتم اقتناؤها من وهران التي تنتج 100 ألف لتر من الحليب يوميا بينما تتدعم من ب200 ألف لترمن الحليب المبستر أو الطبيعي  من الولايات  المجاورة التي مستها الحمى القلاعية  و المعروفة بنشاط تربية الحيوانات وإنتاج الحليب الطبيعي و هذا لتغطية العجز  بعد أن أغلق مصنع إنتاج الحليب المعروف ب "الكلو" الأمر الذي بات يستدعي التدخل العاجل للهيئات المعنية لتطهير الأسواق من هذه المادة لتفادي أي أثار سلبية خاصة بالنسبة على الأطفال.
و في هذا الإطار خصصت مديرية التجارة فرقا متنقلة تعمل على مراقبة و متابعة عملية  امتثال أصحاب المحلات التجارية  للتعليمة و مدى تطبيقها  ناهيك عن تكفلها أيضا  باقتطاع عينات منها لفحصها مخبريا  والتأكد من سلامتها من الفيروس

بــقلـم :  آسيا ختو
يـــوم :   2014-08-21
"ربيع اللوحة والكلمة " شعار أمسية أدبية بقصر الثقافة لوهران
ذكرى "الهجوم القسنطيني" و"عدوان غزة" في أجندة الإبداع
المصور :

نظم  اتحاد الكتاب الجزائريين فرع وهران ظهيرة أمس أمسية شعرية أدبية وفنية بباحة قصر الثقافة تحت شعار ربيع اللوحة والكلمة بمشاركة مجموعة من الأدباء الشعراء  والمثقفين بالإضافة إلى فنانين تشكيليين
ويهدف هذا النشاط إلى نشر أدب الحب والسلام من خلال الكلمة ولا العنف وكذلك  تزامن مع  أحداث 20 أوت 1956 التي تعتبر مناسبة  لتفعيل تحرر الحركة الفكرية  والجهادية التي تكرس مفهوم المقاومة ضد المحتل الغاصب حسب ما صرحه لنا السيد ميلود عبد القادر رئيس فرع وهران
وشارك العديد من الشعراء والأدباء  من مختلف ولايات الوطن نذكر منهم  نكاف عيسى شاعر وقاص من ولاية الشلف، هارون أحمد بسام، نورة مسعودة والمبدعة الفتية ياقوتة والشاعر مقري احمد
كما عرض الفنان التشكيلي والكاتب هواري بومسلة لوحة عبارة عن كاريكاتير اسماها الإهانة  والتي يمثل معاناة ومقاومة الشعب الفلسطيني وإخواننا بغزة المحاصرة وأراد من خلالها الفنان إبراز التهديم والتدمير الممنهج والحصار والتجويع  والمؤامرة ضد الفلسطينيين العزل بالإضافة إلى قصيدة ذكر فيها اسم يهودا حاخام عدة مرات وكلمات أخرى عبرية وجهها إلى الصهاينة في ذات الأمسية
و عرفت مشاركة الفنان التشكيلي  خماري أحمد من باتنة الذي كان ضيف الأمسية   بمناسبة ذكرى الهجوم الشمال القسنطيني بلوحة زيتية تحمل في طياتها العديد من القراءات و هي لمزرعة بالمنطقة والتي كانت ذات خيرات ومارس فيها المستعمر الفرنسي التعذيب ضد الشعب الجزائري  واسترجعت هذه الأخيرة سنة 1969 ليعاد استغلالها وبعث الحياة فيها و تقطن فيها 60 عائلة الى غاية اليوم وأراد من خلالها الفنان المتواجد بالباهية في إطار إحياء الأسبوع الثقافي لباتنة جعل إرادة الاستمرارية والإصرار أهم شيء في الحياة من خلال مدلولات اللوحة الفنية الرائعة .



http://www.eldjoumhouria.dz/Images/Articles/2014-08-21/oumsia.jpg


وهران

بــقلـم : 
يـــوم :   2014-08-21
حرية مقيدة لمن يرفض الخدمات
المصور :

   رغم استحسان العديد من  قاصدي البحر للخدمات المتوفرة بالشواطئ  لا سيما الذين وجدوا في الطاولات والشمسيات راحتهم  وجنبتهم  مشقة جلب معهم مثل هذه اللوازم الضرورية للاستجمام  إلا أن البعض من المصطافين  امتعضوا  لمنح  استغلال  الشواطئ التي  أفقدتهم حرية التنقل و  نصب شمياتهم  أينما أرادوا ووقت ما شاءوا أضحوا مطاردين  من قبل هؤلاء الشباب الذين يفرضون عليهم كراء الطاولات وإلا مغادرة المكان حتى أن ظاهرة غريبة لاحظها المصطافين هذا الموسم هو المسافة التي تكاد تنعدم بين طاولة وأخرى  والهدف منها  هو منع المصطافين الذين يرفضون إستئجار  طاولة من نصب شمسياتهم بين الطاولات أو حتى قربها خاصة وأن البعض من ال مستغلين للشواطئ نصبوا طاولاتهم على بعد متر أو أكثر بقليل على مياه البحر إلى درجة أن الموج يصل قدم الجالس بهذه الطاولات وهذا كله لاستغلال أكبر حد من المساحة المستفاد منها وكذا منع الرافض كراء الطاولات المصفوفة على طول الشاطئ
نوعية الشاطئ  تحدد سلم اسعار الكراء
    للعلم فإن الأسعار كراء الطاولات تعرف ارتفاع موسم بعد موسم  حيث قفزت من 1800  دج منذ دخول قرار  استغلال الشواطئ حيز الخدمة الى2000 دج هذا الموسم   وقد تتباين من شواطئ لآخر حيث تراوحت  الأسعار  هذا الصيف  بشواطئ وهران من 500 دج  800دج   بشاطئ مرسى الحجاج  مثلا الى 800دج الى 1500 دج بشواطئ الأندلسيات ومداغ و فيما لم تتجاوز 700 دج للطاولة الواحدة بشاطئ البرج الأبيض



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Oued Z’hor (Jijel) : Elle a la «côte» d’or

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le 21.08.14 | 10h00 1 réaction

Oued Z’hor. Un bout de paradis est abandonné là-bas. A mille lieues de l’effervescence estivale d’ailleurs, cette petite bande côtière est en hibernation. Depuis exactement deux décennies, la plus sublime des plages de la wilaya de Jijel n’a pas renoué avec son effervescence d’antan. Tombée dans l’oubli, elle est la plus naturelle des plages qui se retrouve abandonnée.

Criant à tue-tête au massacre qui a ruiné la fameuse sablière de cette côte, des riverains affirment que la plage s’est nettement dégradée ces dernières années. «Un sérieux coup a été porté à l’environnement, la plage n’est plus ce qu’elle était», dénoncent ils. Coincée dans un bout de territoire entre Jijel et Skikda, Oued Z’hor appartient, en fait, à l’une comme à l’autre wilayas. A Jijel, elle est située à l’extrême nord-est. Du côté de Skikda, elle se trouve plutôt au fin fond des bourgades ouest de cette wilaya. Cette proximité n’a pas été sans créer un imbroglio pour la population des deux côtés des limites administratives.
Si la plage est intégrée dans le territoire de la commune d’El Milia, à une trentaine de kilomètres au nord-est, elle est encore plus loin, à quelque 90 kilomètres à l’extrême nord-est du chef-lieu de la wilaya de Jijel. Juste à côté, les localités limitrophes de l’autre partie de Oued Z’hor relèvent de la wilaya de Skikda. Qu’à cela ne tienne. Depuis l’épisode cruel du terrorisme qu’a vécu le pays, la plage de oued Z’hor est décrétée zone interdite à toute activité estivale.
Si la vie a repris prudemment ses droits de l’autre côté de Skikda, elle est encore à son état d’hibernation du côté des localités jouxtant la fameuse plage et qui font partie de la wilaya de Jijel. En dépit de l’absence de toute trace d’une vie proprement dit de ce côté-là, les mordus de la pêche et des amateurs de la nature forestière luxuriante de la région ont continué à fréquenter les lieux. Contre vents et marées, ils ont fait preuve d’un indéfectible attachement à l’amour qu’ils vouent à ce littoral, à son embouchure et aux eaux limpides de la rivière qui se jette en mer.
Le terrorisme, ses exactions et ses affres qui ont contraint les habitants à fuir dans la précipitation la mort et le sang n’ont pas tué la vie. «On est là depuis de longues années, on revient pour la pêche et on y passe même la nuit, on n’a jamais eu de problèmes», confesse un inconditionnel de cette plage. D’avant cette séquence cruelle du terrorisme, on ne retient que le souvenir d’une région tout à fait prospère. La côte de Oued Z’hor, ses pastèques et ses produits maraîchers frais font partie de ce souvenir. «On a profité de la vie là-bas, on a tout mangé, c’était de la nourriture saine, le poisson frais, les fruits en tous genres ne manquaient pas, c’était la belle époque du camping à Oued Z’hor», relate, avec une pointe de nostalgie, Ahmed, un ex-enseignant, aujourd’hui en retraite.
«C’était dans les années 1980, la paix et la tranquillité étaient les vertus absolues des lieux, la quiétude était totale, personne ne se souciait, d’ailleurs de sa sécurité», se rappelle-t-il encore. «Il y avait même des étrangers, des Européens surtout, qui venaient à bord de leurs motos et véhicules explorer la plage et la nature forestière de Oued Z’hor», témoigne à son tour Omar,  un chirurgien-dentiste natif de la région.
Son ami Salah, médecin et ancien joueur de football, se souvient : «Plus qu’une zone de baignade, Oued Z’hor était aussi un camp de base pour nos entraînements, notre équipe, le CRBEM, y avait loué des bungalows auprès d’une société où on avait préparé l’intersaison, c’était en 1990-1991.» Beaucoup de nostalgiques se rappellent de cette belle époque, où la mer dans toute sa splendeur du côté de Oued Z’hor était leur paradis.
Leur destination privilégiée. Les tentes étaient le seul décor de l’été sur cette plage. Les familles y trouvaient leur compte. Si aujourd’hui une certaine pression s’exerce de plus en plus sur les autorités pour relancer l’activité estivale dans cette zone, la sécurité est encore une obsession pour les uns et les autres. La crainte des attentats se fait toujours sentir. L’ouverture de la plage exige une grande logistique avec, notamment, la création d’un poste de sécurité de la gendarmerie et la mise en place de tout un dispositif estival qui englobe l’affectation de surveillants de baignade de la Protection civile.
«Si la route est aujourd’hui plus ou moins sûre, elle exige d’autres mesures de sécurité, ce qui fait dire que l’ouverture de cette plage n’est pas pour demain», chuchote-t-on. Cette appréhension n’a pas pour autant dissuadé certains fidèles à revenir sur les lieux pour se retremper dans le bain estival qu’ils avaient l’habitude de vivre. De nombreuses familles natives de la région ont fait leur premier baptême de retour il y a déjà quelques années. Des campeurs parmi les adeptes de cette plage ont également fait partie de cette cohorte de revenants. La plage est néanmoins loin de retrouver toute son ambiance d’il y a vingt ans. Le camping à Oued Z’hor dans toute sa magie n’est plus, hélas, qu’un souvenir !
Adam S.
Vos réactions 1
Redha+   le 21.08.14 | 12h28
Réda
Très bel endroit. NB: La commune appartient à la wilaya de Skikda et non pas à Jijel :)


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Une semaine de troubles à cause du CET de BenBadis (Constantine)

Quatre mesures urgentes préconisées

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le 21.08.14 | 10h00 Réagissez
 
 La population a souffert des nuisances
La population a souffert des nuisances

Le CET fonctionne depuis des années en l’absence d’équipements indispensables.

Lu sortir d’une réunion de crise du cabinet de la wilaya de Constantine,  imposée par les récents événements qu’a connue la commune de Benbadis, au sujet du centre d’enfouissement, le directeur de l’environnement de la wilaya, Seddik Benabdellah nous a déclaré que plusieurs mesures ont été prise pour rattraper les défaillance du CET.
En effet, conjointement avec les représentants du ministère, du secrétaire général de la wilaya et du chef de cabinet, il a été décidé de la réalisation d’un second casier à cause de la saturation du premier et ensuite le traitement du Lixiviats, (le jus produit par les déchets ménagers et qui est à l’origine de toutes ces nuisances dont la population se plaint, à juste raison), a expliqué le responsable.
Le troisième point concerne quant à lui la réalisation d’une station de tri d’une capacité de 600t/jour et enfin le renforcement des équipements, notamment les engins pour une meilleure gestion des déchets à leur arrivée au centre d’enfouissement technique, a-t-il ajouté. Reprenant ces explications, le directeur du CET, Mourad Labani, nous déclare pour sa part «Effectivement, ces mesures auraient du être prises bien avant, d’où la caducité des capacités de notre centre qui n’arrive plus à contenir tous ces déchets.» Cependant, M. Labani n’approuve pas la revendication de la population.
«Force est de constater que les revendications des citoyens à vouloir fermer ce centre est farfelue, voire irréalisable du fait que ce centre, de par sa situation géographique, rempli toutes les conditions requises en la matière; il reste qu’il soit conforme aux normes et c’est ce à quoi nous nous attelons. Nous avons eu les garanties nécessaires des gens du ministère qui présenteront les recommandations qui leurs ont été faites.»
En fait, nos deux interlocuteurs admettent le fait que les nuisances occasionnées par le centre n’ont jamais été traitées, faute d’équipement spécifique et qu’à ce titre, leur prise en charge, demeure, en plus d’une urgence, un impératif, sinon, le centre n’a plus de sens. Gouverner, c’est prévoir, car il nous a été mentionné, au même titre que le centre anti cancer, quand on n’anticipe pas sur la mise en place des équipements en temps voulu, les conséquences ne peuvent qu’être désastreuses et ce qui s’est passé à El Haria, en est la preuve édifiante d’une gestion, sujette à bien des interrogations.
Pour rappel, la localité de Benbadis a connu ses cinq derniers jours des émeutes qui ont coûté la bagatelle de plus de 35 milliards de dégâts au centre, ainsi que des heurts qui ont générés des blessures, tant aux forces de la gendarmerie qu’aux citoyens. Il ya eu même l’emploi de cocktail Molotov d’où une insécurité qui a fait craindre le pire. Selon les dernières informations qui nous sont parvenues, le calme semble revenir dans une localité où tout reste à faire.

Le centre de Aïn Smara opérationnel en septembre

Nous apprenons du directeur du centre d’enfouissement technique de Benbadis, Mourad Labani que le centre de transfert de Aïn Smara, situé au niveau du treizième kilomètre, sera opérationnel vers la mi septembre, pour recevoir les déchets du chef lieu de wilaya pour un premier tri en attente de le transférer au CET.
Une solution, tant attendue qui générera des gains en surcoût de l’enlèvement des ordures, mais aussi en temps du fait que les camions n’auront plus à faire plus de cent kilomètres pour y déverser leurs contenus.
Pour cela, selon, notre interlocuteur, il dispose de semi remorques appelés FMA, c’est-à-dire, des bennes à fond mobile pour un meilleur déversement, d’une capacité de 30 m3.

N. Benouar


Benbadis: Le CET reprend du service sous surveillance des gendarmes
par A.El Abci


Les cinq individus âgés entre 20 et 40 ans, arrêtés par les gendarmes suite à l'incendie du centre d'enfouissement technique (CET) Bougherb (Benbadis), ont été appelés à comparaître «en citation directe» lors de leur présentation hier devant le procureur de la République sous les chefs d'inculpation de destruction volontaire de biens publics et attroupement non autorisé, a-t-on appris du chargé de communication de la gendarmerie nationale, le capitaine Malik Yacine. Selon la même source de la gendarmerie, les cinq suspects sont passés dans l'après-midi d'hier devant le magistrat instructeur près le tribunal de Ziadia, dont la décision a été de les relâcher, mais ils seront appelés à comparaître en citation directe ultérieurement.

Parallèlement, la situation sur le site du centre d'enfouissement technique de Bougherb a changé complètement au lendemain de l'incendie et des actions de vandalisme et de destruction. Le CET a tout simplement repris du service dans la journée d'hier. En effet et selon le chargé d'assainissement et de l'environnement à l'APC de Constantine, Djamel Dabba, les déchargements des ordures et déchets ménagers ont repris au niveau du CET de Benbadis sous le contrôle bienveillant des unités de la gendarmerie. Et d'indiquer, dans ce cadre, que déjà 26 camions ont déchargé leurs cargaisons de déchets et ce, en coordination avec la wilaya et sous la protection particulière de la gendarmerie qui a déployé pour l'occasion des forces impressionnantes de ses unités antiémeutes. Et de poursuivre que 13 autres camions sont en train d'opérer leur déchargement, pendant qu'une vingtaine d'autres sont programmés pour le soir.

Ainsi le CET a bel et bien repris du service, dira-t-il, aidé en cela par la sécurité retrouvée, permettant l'ouverture de l'accès au centre d'enfouissement. Et les choses se poursuivront, ainsi, affirmera-t-il, jusqu'au retour au calme et au dégagement d'une solution satisfaisante pour tous. La commune de Benbadis et au lendemain des actions de destruction du CET, et de l'arrestation de 5 personnes, demeure marquée par une tension, surtout après que des informations ont circulé faisant état de l'entame par les services de sécurité d'une enquête et des investigations sur les personnes impliquées dans le déclenchement de l'incendie du centre. Hier, selon des témoignages, plusieurs habitants se sont massivement rassemblés au niveau de la commune pour revendiquer la libération de leurs concitoyens arrêtés la veille.

A rappeler que les rues et ruelles de la ville de Constantine croulent toujours sous le poids de véritables montagnes d'ordures et de déchets domestiques, qui continuent à joncher pour le huitième jour ses chaussées et trottoirs. Et le phénomène est quasi identique au niveau de la commune d'El Khroub, de Hamma Bouziane et d'autres encore. Il faut bien faire des rotations de plusieurs jours pour remonter une semaine de cumul des ordures ménagères.





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بن براهم ترد على اتهامات منظمة العفو الدولية: “إجبار المرأة على الزواج من مغتصبها أفضل حماية لها”

في رد على اتهام منظمة العفو الدولية للجزائر بأنها لا توفر الحماية لضحايا العنف الجنسي، أكدت المحامية والناشطة الحقوقية، فاطمة الزهراء بن براهم، أن القانون الجزائري يوفر الحماية الكاملة للنساء والفتيات الناجيات من العنف الجنسي، مضيفة أن “إجبار المرأة أو الفتاة على الزواج من مغتصبها أفضل حماية لها”.
أوضحت المحامية في حديث لـ” الجزيرة نت”، أن نظرتها مبنية على أساس أن المجتمع الجزائري “محافظ ويتعامل بحساسية مفرطة مع هذه القضايا”، وهنا تتساءل قائلة كيف سيكون مصير الفتاة أو المرأة المغتصبة إذا لم يتزوج بها المغتصب؟ وتجيب عن سؤالها بالقول “مصيرها سيكون حتما الشارع”. وفي تقدير فاطمة الزهراء، فإن الواقع في كثير من المرات يثبت أن المرأة هي التي تتحرش بالرجل، وهي التي تلجأ للعدالة وتطلب من القاضي أن يعقد بينها وبين الرجل المغتصب حفاظا على كرامتها وسمعتها، وخوفا من تشردها في الشارع. من جانبه، أكد رئيس شبكة ندى لحقوق الطفل بالجزائر عبد الرحمان عرعار، أن الحديث عن الإفلات من العقاب مبالغ فيه جدا، ولفت إلى أن قانون العقوبات الجزائري المعدل في فيفري الماضي شدد العقوبات على مرتكبي الجرائم الجنسية خاصة تلك المرتكبة في حق القصر، والتي تتجاوز سنويا -حسب تقديره- أكثر من تسعة آلاف حالة اعتداء جنسي؛ لكن “العيب” كما يقول ليس في غياب القوانين، وإنما في آليات تنفيذ الإجراءات القانونية التي تستمر في بعض الأحيان أكثر من سنتين، الأمر الذي يتسبب في تراكم القضايا
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مواطنون يحتجون ضد قرار بناء أبراج سكنية فوق مساحة خضراء في بئر مراد رايس

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مواطنون يحتجون ضد قرار بناء أبراج سكنية فوق مساحة خضراء في بئر مراد رايس
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 احتج، أمس، العشرات من سكان حي الينابيع ببلدية بئر مراد رايس بالعاصمة، على قرار إزالة المساحة الخضراء المحاذية لعماراتهم، وتحويلها إلى مساحة لبناء عمارة من 14 طابقا ومركزا تجاريا بحظيرتين تحت الأرض، مطالبين السلطات المعنية بضرورة فتح تحقيق شامل في رخصة البناء المعتمدة لبناء المشروع، التي اعتبروها غير قانونية حسبهم. وأعرب، أمس، السكان في حديثهم إلى «النهار»، عن تذمرهم الشديد من سياسة التعسف التي تمارسها ضدهم سلطات البلدية على حد تعبيرهم، من خلال منح صاحب المشروع الذي يعتبر مستوردا للّحوم الحمراء ببلدية القبة، رخصة لبناء عمارة بها 14 طابقا، بالإضافة إلى مركز تجاري وحظيرتين تحت الأرض، مشيرين إلى أن الأشغال بدأت منذ 3 أسابيع، الأمر الذي سيشكل خطرا عليهم من خلال علو البناية التي ستحجب عنهم أشعة الشمس. وأفاد ممثل عن السكان أن السلطات التي رخصت لصاحب المشروع بالبناء لم تحترم قوانين التعمير والبناء، مشيرا إلى أنه تم التقدم بطلب لإستغلال هذه القطعة من قبل شخصين من قبل إلا أنهما قوبلا بالرفض، الأمر الذي يشكل تناقضا بعد منحها لشخص آخر الآن، لأن القطعة الأرضية محاذية للطريق الرئيسي، الأمر الذي سيشكل ازدحاما مروريا كبيرا. وأضاف السكان أن صاحب المشروع قام بقطع أشجار فاق عمرها 40 سنة، مضيفين أن عملية الحفر نجم عنها كسر قناتين لصرف المياه، ما أدى إلى انقطاع المياه، ناهيك عن التصدعات والتشققات التي طالت العمارتين المحاذيتين لها جراء الحفر تحت الأرض من أجل بناء حظيرتين للسيارات، زيادة على التلوث الذي بات يعكر جو المنطقة حسبهم، نتيجة الأشغال المفتوحة بالحي، والتي منعت عنهم فتح النوافذ ما تسبب في معاناة كبيرة للسكان خصوصا المرضى المصابون بالحساسية. وأشار السكان إلى أن البلدية قامت بتوقيف الأشغال بصفة مؤقتة، مؤكدين أنهم يطالبون من والي العاصمة ووزارة السكن بفتح تحقيق عاجل في رخصة البناء، خصوصا في ظل ما يتردد من إشاعات بشأن وقوف المستشار لدى رئاسة الجمهورية السعيد بوتفليقة وراء المشروع، وهي نفس الإشاعات التي لاحقت نفس المسؤول قبل سنوات عندما شرعت مصالح ولاية الجزائر في تشييد مبنى بالحي الراقي سيدي يحيى بالعاصمة، قبل أن يتبين أن المشروع يتمثل في بناء حظيرة عمومية لا غير  .

رابط الموضوع : http://www.ennaharonline.com/ar/latestnews/219140-%D9%85%D9%88%D8%A7%D8%B7%D9%86%D9%88%D9%86-%D9%8A%D8%AD%D8%AA%D8%AC%D9%88%D9%86-%D8%B6%D8%AF-%D9%82%D8%B1%D8%A7%D8%B1-%D8%A8%D9%86%D8%A7%D8%A1-%D8%A3%D8%A8%D8%B1%D8%A7%D8%AC-%D8%B3%D9%83%D9%86%D9%8A%D8%A9-%D9%81%D9%88%D9%82-%D9%85%D8%B3%D8%A7%D8%AD%D8%A9-%D8%AE%D8%B6%D8%B1%D8%A7%D8%A1-%D9%81%D9%8A-%D8%A8%D8%A6%D8%B1-%D9%85%D8%B1%D8%A7%D8%AF-%D8%B1%D8%A7%D9%8A%D8%B3.html#.U_YcSqBq_t0#ixzz3B35BoP8N

لم أستفد من أي عقار خلال 15 سنة

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لم أستفد من أي عقار خلال 15 سنة
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 لم أحصل على متر مربع واحد.. ومن يروجون الإشاعات هدفهم تشويه سمعتي
    أتحدى أصحاب الإشاعات تقديم دليل واحد يبرر مزاعمهم الكاذبة
 في اتصال هاتفي معه، تفاجأ السعيد بوتفليقة، المستشار برئاسة الجمهورية، من إقحام اسمه في هذه القضية، واعتبر ذلك محاولة مقصودة للاساءة له وتشويه سمعته. وقال السعيد بوتفليقة الذي لم ينزعج من موضوع المكالمة الهاتفية ورد بإرتياح لافت، أن لا علم له بالقضية إلا من خلال ما ينشر في وسائل الإعلام، وتساءل عن خلفيات ذكر اسمه في قضية تخص العقار. وتحدى السعيد بوتفليقة من يروجون لمثل هذه «الإشاعات تقديم دليل واحد فقط»، وأكد أنه لم يستفد خلال الخمسة عشرة سنة التي عمل فيها كمستشار برئاسة الجمهورية من أي متر مربع عبر كل التراب الوطني، وقال إنه يتحدى «من يروجون لمثل هذه الأكاذيب تقديم دليل واحد». وكانت أوساط إعلامية رددت مثل هذه الأقاويل والمزاعم قبل خمس سنوات، عندما تم وضع سياج على قطعة أرض بالحي الراقي في منطقة سيدي يحي بالعاصمة، حيث ترددت إشاعات تفيد بأن هذه القطعة منحت للسعيد بوتفليقة، قبل أن يتبين لاحقا أنها حظيرة عمومية تابعة لولاية الجزائر تم بناؤها لتخفيف الحركة المرورية.


رابط الموضوع : http://www.ennaharonline.com/ar/latestnews/219139-%D9%84%D9%85-%D8%A3%D8%B3%D8%AA%D9%81%D8%AF-%D9%85%D9%86-%D8%A3%D9%8A-%D8%B9%D9%82%D8%A7%D8%B1-%D8%AE%D9%84%D8%A7%D9%84-15-%D8%B3%D9%86%D8%A9.html#.U_YcOKBq_t0#ixzz3B353cG35

زكية محمد تهاجم زملاءها الفنانين في مهرجان "جميلة"!

فتحت المغنية زكية محمد على هامش مشاركتها في السهرة السادسة لمهرجان "جميلة"
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آخر تحديث : 22:01 | 2014-08-20
الكاتب : ميساء. ص
زكية محمد
فتحت المغنية زكية محمد على هامش مشاركتها في السهرة السادسة لمهرجان "جميلة" في سطيف، النار على الفنانين الجزائريين الذين اعتبرتهم بأصحاب شكاوى فقط بدلا من المبادرة والعمل، الذي ترى أنه سمة بارزة لدى الفنانين المشارقة الذين خرجوا من رحم المعاناة وفرضوا وجودهم وأوصلوا أصواتهم إلى العالمية. واستثنت المغنية من هذا الانتقاد والهجوم بعض الوجوه أمثال "الشاب خالد" و"مامي". وقالت إن وزارة الثقافة بوجهها الجديد نادية لعبيدي، تحمل الكثير من البشارات وما على الفنان إلا العمل، معتبرة نفسها مقصرة ولا تزال "هاوية" رغم مسيرتها الغنائية التي تجاوز عمرها 31 سنة.


بسبب تعرض حياتهم وممتلكاتهم للخطر

سكان حي المعهد التكنولوجي بهراوة بالعاصمة يطالبون بالأمن

نادية.ب

ناشد سكان حي المعهد التكنولوجي الفلاحي المتوسط ببلدية هراوة السلطات الولائية، ضرورة التدخل من أجل تدعيم الأمن بالمنطقة، ووضع حد لمختلف الجرائم والاعتداءات التي عرفت ارتفاعا في الآونة الأخيرة، ما أصبح يعرض حياتهم للخطر وبطرق محترفة، ووضع حاجز أمني بالمنطقة.
وقال سكان الحي خلال حديثهم مع وقت الجزائر، إنهم يتعرضون بشكل دائم إلى مختلف عمليات السرقة والاعتداءات من طرف مجرمين لا يعرفون هويتهم، مؤكدين أنهم يأتون من البلديات والأحياء المجاورة، مشيرين إلى أنه لو كان أعوان الأمن متواجدين بالقرب من حيهم أو يوجد حاجز أمني على مستوى الطريق الرئيسي الرابط بين هراوة وعين طاية، سيتم فك لغز العديد من السرقات التي تقع من طرف مجهولين خصوصا بعد التوسع العمراني الكبير الذي شهدته المنطقة وتضاعف عدد السكان في الآونة الأخيرة .
وكشف محدثونا أنه يتم الاعتداء عليهم من طرف المجرمين بواسطة أسلحة بيضاء محظورة ك الساطور والسكاكين، التي تستعمل لذبح الماشية، مؤكدين أنهم في جميع المرات يكونون مرغمين على تقديم ما لديهم من أموال وهواتف نقالة ومجوهرات للمعتدين تحت التهديد بالقتل، خصوصا وأن هذه الظاهرة تكررت العديد من المرات، إلا أن السلطات المحلية والأمنية التابعة لبلدية هراوة لم تحرك ساكنا وتكتفي في كل مرة بتسجيل الشكاوى التي يرفعها المواطنون بدل أن تضع إجراءات سريعة رادعة تحد من تفاقم الظاهرة التي تتكرر مرتين في الأسبوع، حيث لم تسلم حتى فتيات المنطقة، حيث تعرضن للتهديد في العديد من المرات من طرف مجهولين، حيث يهددونهم بتشويه وجههن إن تم إبلاغ مصالح الدرك التابعة إقليميا لبلدية هراوة.
وأضاف سكان الحي أنهم لم يسلموا من مشكل السرقة حتى في شهر رمضان الكريم، أين تعرضت إحدى الفتيات بالمنطقة إلى اعتداء بواسطة سلاح أبيض، وهو ما جعلهم يخافون على أبنائهم خاصة خلال الدخول الاجتماعي، حيث سيضطرون إلى مرافقة أبنائهم لغاية مقاعد الدراسة خوفا على حياتهم.
وأكد سكان المنطقة، أن وجود جدار يحد بستان تلجأ إليه عصابات تروج للمخدرات باعتباره نقطة عبور إلى وسط بلدية هراوة يعد سببا رئيسيا في تفشي ظاهرة الاعتداءات بشكل كبير، وبالرغم من تبليغ مصالح الأمن والدرك بالأمر، إلا أن المسؤولين لم يتحركوا من أجل وضع حد وغلق المدخل، حيث تم الاكتفاء بإلقاء دوريات بالمنطقة فقط من طرف الدرك الوطني، وهو الأمر الذي لم يستسغه سكان الحي، مطالبين بضرورة تشكيل حاجز أمني بالمنطقة أو بالطريق الرئيسي من أجل حماية السكان وممتلكاتهم من جهة ويردع السائقين الذين يستعملون السرعة الفائقة من جهة أخرى.

انهيار جدران، سقوط أعمدة كهربائية، انقطاع شبكة الهاتف

10 دقائق أمطار كانت كافية لعزل أدرار

م.رياض

شهدت مدينة أدرار خلال 24 ساعة ما قبل الماضية، اضطرابات جوية قوية تمثلت في هبوب رياح قوية متبوعة بأمطار ورعود، تسببت في انهيار العديد من الجدران والأعمدة الكهربائية في عديد الأحياء، ما أدى إلى انقطاع التيــــار الكهربائي بها لعدة ساعات.
كما أدى الاضطراب الجوي إلى انهيار جدار مسجد بحي رحبة الخنافسة ببلدية أدرار الذي انهار على أربعة فتيات، ما أدى إلى إصابتهن بجروح متفاوتة تم نقلهن إلى مستشفى أدرار وترقد إحداهن في العناية المركزة، كما تسببت الأمطار كذلك في إصابة العديد من المواطنين بجروح جراء تساقط الجدران الطوبية وغلق الكثير من الطرق التي غمرتها المياه والأشجار التي تساقطتبفعل الرياح القوية والتي اتبعت بأمطار قوية لمدة عشر دقائق كانت كافية لتغمر المياه الطرق الكبرى خاصة منها حديثة النشأة، لتكشف عيوب الإنجازات والتجاوزات الحاصلة في المشاريع التنموية بهذه الولاية الجنوبية التي خصصت لها الدولة مبالغ ضخمة لتحسين حياة المواطن والرفع من وضعية المعيشة. التقلبات الجوية الأخيرة، كشفت سوء الإنجازات في كل الميادين
الحيوية والتي منها الهاتف الثابت الذي تعطل لليوم الثاني على التوالي بفعل الأمطار والانقطاع في شبكة الانترنيت والكهرباء، ما يتطلب التدخل من طرف السلطـــــــات العليا لوضع حد لهذه المهازل المتكررة في سوء تجسيـــد المشاريع التنموية الحيوية التي لا غنى للمواطن عنها.

تناولوا وجبة من الأرز والتونة المعلّبة

تسمــــم أزيـــد مـــــن 30 شرطيــــــا بأدرار

م. رياض

أصيب، صباح أول أمس الثلاثاء، أزيد من 30 شرطيا بتسمم غذائي بعد تناولهم لوجبة الغذاء بمقر الوحدة العاملين بها، وكانت الوجبة عبارة عن أرز وتونة معلبة، حيث تم نقل المصابين إلى مصلحة الاستعجالات الطبية بمستشفى أدرار، أين تلقوا العلاج لعدة ساعات ومنهم من قضى الليلة كاملة هناك، ما أحدث حالة استنفار قصوى لدى مصلحة الاستعجالات التي استقبلت المصابين من رجال الشرطة على دفعات.
وقد غادر معظم المصابين المستشفى بعد تلقيهم العلاج والإسعافات الضرورية، في حين تبقى أسباب هذا التسمم مجهولة حسب مصدر طبي، الذي قال بأنه لا يمكن تأكيد السبب الرئيسي وراء هذا التسمم الغذائي، إلا بعد ظهور نتائج التحاليل المخبرية للمواد التي قد تناولها الأشخاص المصابون .

قصدوا منزلها للسرقة وأجبروها على إحضار كامل مصوغاتها

أشـــــرار يهـــدّدون سيـــــدة بذبـــحها ورضيعــتها بسطيـــف

و.لعموري

باتت السرقة مهنة من لا مهنة له في زمن طغت عليه المادة، وأصبحت شوارعنا تعج بشباب مراهق لا يكلف نفسه عناء البحث عن عمل ويبتز المارة، ليسلبهم ما استطاع، في الوقت الذي يتكتل المسبوقون قضائيا في جماعات أشرار للاستيلاء على البيوت، البنوك ومحلات المجوهرات تحت طائل التهديد.

لم تتردد مجموعة من الشبان من المسبوقين قضائيا من مدينة عين الكبيرة بسطيف في تهديد سيدة بذبحها رفقة رضيعتها ذات الشهرين من عمرها، إن لم تزودهما بكامل ما تملك من مجوهرات بعد أن قصدوا بيتها لغاية السرقة.
وتعود القضية إلى مساء أول أمس، بعد أن تمكنت مصالح الدرك الوطني بعين الكبيرة من القبض على ثلاثة أشخاص تتراوح أعمارهم بين 27-36 سنة، بتهمة تكوين جمعية أشرار من أجل السرقة باستعمال العنف والتهديد بالقتل واستعمال مركبة، وذلك بناءا على معلومات واردة من سكان أحد الأحياء، مفادها وجود سرقة تحت طائلة التهديد بالقتل في منزل أحد المواطنين بالمدينة، أين قام المتهمون باقتحام منزل الضحية يحملان سكين وصاعق كهربائي قاما بتهديد المسماة (ز.ن) بذبحها هي وابنتها الرضيعة البالغة من العمر شهرين إن لم تبلغهم عن مكان تواجد المصوغات، فرضخت إلى مطالبهم ودلّتهم على مكان تواجدها إضافة إلى بعض الأموال، قبل أن يقدم المجرمون على تكبيل الضحية وابنتها الرضيعة، وتكميم أفواههما ولاذا بالفرار، بعد أن أخذوا عائدات السرقة، أين تمكنت الضحية من فك وثاقها وبدأت بالصراخ، مما ساعد أفراد الحي على توقيف أحدهم، في حين تمكن أفراد الدرك الوطني بعين الكبيرة من توقيف الشخص الثاني على بعد 04 كلم من موقع الجريمة بعد المقاومة الشديدة التي أبداها باستعمال الصاعق الكهربائي.
واستغلالا للشخصين الموقوفين، تبين وجود شريك ثالث في الجريمة الذي كان ينتظر أصدقاءه على متن سيارة من نوع فولسفاكن (جيطا) والذي تم توقيفه بوسط المدينة، ليتم استرجاع مبلغ مالي قدره 34 مليون سنتيم ومصوغات ذهبية قيمتها 54 مليون سنتيم متمثلة في سلسلتين ذهبيتين، أقراط، حزام ذهبي، وخواتم. وبناء على المحضر الذي حرر في حق المتهمين، تم تقديمهم أمام وكيل الجمهورية لدى محكمة عين الكبيرة، الذي أمر بإيداعهم الحبس بمؤسسة إعادة التربية بسطيف، في انتظار محاكمتهم أمام ذات الجهة القضائية.

..ومنتهك حرمة منزل في قبضة الأمن
تمكن عناصر فرقة الشرطة القضائية بأمن دائرة عين أرنات بسطيف، من توقيف مقترف عملية سرقة بالكسر والتي استهدفت منذ أسابيع مسكن أحد المواطنين المقيم وسط مدينة عين أرنات، حيث تمكن الفاعل من الاستيلاء على هاتفين نقالين ذوي جودة عالية بقيمة مالية تفوق الـ 11مليون سنتيم.
مباشرة بعد إيداع المعني لشكوى رسمية بشأن عملية السرقة التي طالت ممتلكاته، تم فتح تحقيق معمّق في ملابسات القضية من قبل الضبطية القضائية بالمصلحة المذكورة، والتي عمدت إلى جمع أكبر قدر ممكن من الدلائل والقرائن، بالإضافة إلى استغلال تصريحات الضحية التي تمكن من رؤية ملامح المشتبه به، كونه كان نائما بالمنزل لحظة سماعه حركة غريبة بإحدى الغرف المجاورة لغرفة نومه، هذا الأمر دفعه إلى النهوض والتوجه إلى مصدر الصوت، أين تفاجأ بوجود شخص غريب بالداخل الذي لاذ بالفرار عبر الفناء إلى خارج المنزل بعد تسلقه للجدار، ليتأكد بعدها بأن الفاعل قام بسرقة هاتفين محمولين.
الضبطية القضائية ومن خلال تحرياتها الميدانية التي كانت نتائجها إيجابية، حيث أثمرت بتوقيف الشخص المشتبه به الذي اعترف بالجرم المنسوب إليه بعد تحويله إلى المصلحة الأمنية، وعليه تم إنجاز ضده ملفا جزائيا بتهمة السرقة بالتسلق والكسر، أحيل بموجبه أمام وكيل الجمهورية لدى محكمة سطيف الذي أمر بوضعه رهن الحبس المؤقت.

التلفزيون لقصف الوفاء..!

قالت مصادر أفالانية، إن الأمين العام للحزب، عمار سعداني، أجرى اتصالا هاتفيا من مقر إقامته بالعاصمة الفرنسية باريس مع أحد الصحافيين العاملين في إحدى القنوات التلفزيونية الجزائرية الخاصة الثلاثاء الماضي، طالبا منه الاتفاق على موعد لقصفلجنة الوفاء بالثقيل. وأضافت اللجنة في صفحتها على الفيسبوك أن سعداني توصل إلى اتفاق مع ذات الصحفي العامل لصالح هذه القناة المعروفة بولائها ومساندتها له على موعد المقابلة، لكن دون أن تذكر اسم القناة، فماذا يحمله سعداني في جعبته ضد خصومه يا ترى؟


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inscription Romaine sur une plaque en marbre fixe actuellement à l'angle de la rue Bab Azoun et la rus du caftan qui prouve la présence Romaine a Alger qui portait le nom de "Icosium"

"A Publius Sittius Placamianus

L'Ordre des icositains Fils de Marcus, de la tribu Quirina

Marcus Sittius Coecilianus, fils de PubliusPour son fils trés pieux"

Cet honneur étant reçu, a remis la dépense.

Cette pièce trés importante aux yeux des archéologues, était considérée comme étant la carte d'identité d'Alger "la romaine" , car le mot "icosium" figure en bonne place.

De nombreux objets et des textes épigraphiques attestent de la présence Romaine dans les alentours << d'Alger >>.
Cependant, les renseignements relatifs à la ville sont très sommaires.
Les tribus Maghraoua, de la confédération Berbère des Zenata, étaient très nombreuses dans les environs << d'Icosium >><< d'Icosium >>.
Ptolémée de la Maurétanie Romaine devait les maîtriser : Il fera transférer une partie des Maghraoua vers Chlef.
Il a présenté un combat contre la résistance berbère soulevée par Tacfarinas, dans cette même période.

Après la révolte de Tacfarinas, au IVème siècle Firmus, Général Berbère, détruit Icosium en mettant le feu avec l'aide de toutes les tribus berbères, non romanisées, qui vivaient dans les montagnes des environs.
C'est au Vème siècle que le christianisme s'introduit à << Icosium >>.

Article: Plaque épigraphique d'Icosium voilée !

Publié par Lamine B dans El Watan le 30 - 05 - 2005

La plaque épigraphique gravée en caractères latins datant de l'époque romaine a été badigeonnée par des peintres en bâtiment. Ignorant à la fois sa valeur inestimable ainsi que son contenu, ces ouvriers ont dissimulé l'épigraphe à coups de badigeon.
Fixée sur une des colonnes supportant un immeuble de la rue Bab Azzoun, la pierre est désormais voilée sous une couche d'enduit. Toutefois, les passants avertis arrivent difficilement à distinguer quelques lettres à peine visibles. D'après un document remis par M. Ben Medour, cadre à l'Agence nationale de l'archéologie (ANA), la pierre est relative à l'époque romaine icositaire.

En cette période antique, l'artère (Bab Azzoun) constituait le premier boulevard d'Icosium (le Cardo-Domanus). Ce boulevard était situé alors entre la porte de Bab El Oued (Zenquet El Hamra ou Zoudj Ayoun) et celle de Bab Azzoun, à côté de l'ancienne caserne des janissaires (l'actuel mess des officiers, face au TNA). Le même document précise que cette stèle funéraire tribale est cependant l'unique pièce identitaire de l'ancienne ville côtière Icosium (Alger). Cette ville intégrait alors le quartier de la marine (l'Amirauté) et le plateau de Ketchaoua qui limitait la cité. Cette stèle, mentionne encore le document de l'ANA, a été trouvée au hasard par un cloutier en 1844 au milieu des décombres de maisons (douira) de la basse médina. Celles-ci, doit-on le rappeler, furent détruites par ordre émanant du génie militaire français. Par la suite, l'artisan précité, qui disposait alors d'un atelier, utilisait la même pièce en guise d'enclume. Après sa mort, la pierre fut remise au chantier de construction des immeubles de la rue Bab Azzoun.

En se référant aux mêmes informations, la pierre gravée fut en 1850 récupérée par les responsables du chantier. Connaissant sa valeur archéologique, les conducteurs des travaux ont recommandé aux ouvriers de placer la pièce sur une colonne d'un immeuble situé dans une rue baptisée par la suite rue Caftan. Ils ont dû procéder ainsi pour préserver la pièce d'une éventuelle perte et également de toute dégradation. Mais pour mieux la conserver, le comité communal du vieil Alger a décidé en 1905 d'encadrer la célèbre pierre par une moulure en céramique. Depuis lors, la plaque épigraphique a constitué une référence irréfutable attribuant le nom d'Icosium à Alger. Toutefois, la mention inscrite sur cette plaque relevait du Conseil municipal romain d'alors. Il s'agit en effet de l'ordre des decurions (magistrats municipaux) institué par l'empereur Vespasien, vers l'an 75 ap. J.-C. Ainsi, le même ordre a érigé dans cette ancienne ville romaine un monument en l'honneur d'un personnage important, dont les dépenses furent couvertes par le père de celui-ci.

La mention inscrite sur la plaque ainsi que sa traduction méritent d'être reproduites conformément au document de l'ANA :
A Publius Sittius Plocamianus, fils de Marcus, de la tribu Quirina, L'ordre des Icositains. Marcus Sittius Cœcilianus, fils de Publius, pour son fils très pieux, cet honneur étant reçu, a remis la dépense. Mais en établissant une comparaison, il s'avère que le conseil communal de la période coloniale accordait plus d'intérêt à la préservation du patrimoine. Par contre, l'actuel conseil communal devant un fait, qui paraît banal pour certains, affiche une indifférence à la préservation du patrimoine. En agissant ainsi, ne favorise-t-on pas une amnésie générale ?


شرطيات لأجل المصطافات

أوضحت مصالح أمن ولاية الجزائر، أنه تم تعزيز التشكيلات الأمنية التابعة لأمن الولاية المكلفة بعملية تأمين وحماية الشواطئ بعناصر شرطة إناث وزعن على جميع مراكز المراقبة المتواجدة بإقليم ولاية الجزائر، وأوضحت ذات المصالح، أن هذا الإجراءيدخل في إطار التكفل الفعلي بجميع شرائح المجتمع، إذ كثيرا ما يجد رجال الشرطة أنفسهم محرجين في تعاملهم مع مصطافات، فرصة قد لا يفوتها المجرمون، فيستغلون إناثا لتنفيذ مخططاتهم الإجرامية في الشواطئ أو في غيرها، من هنا تأتي أهمية وجود العنصر النسوي في صفوف الشرطة عامة.

تدفع ثمن الباركينغ أو تسرق سيارتك من أمام منزلك

هدد، أمس، قائم على موقف سيارات عشوائي بالبليدة بالضبط في منطقة موزاية إحدى القاطنات بحي 375 مسكن وهي صيدلية، بسرقة سيارتها من أمام منزلها، في حال ترفض دفع له مال بشكل شهري، مقابل وضع سيارتها أمام منزلها، وهو الأمر الذي استغربته الصيدلية قائلة إن أصحاب الباركينغ هو السراق ولما توجهت إلى مصالح البلدية لوضع حد للظاهرة لم يستقبلها أحد، وقوبلت باستهزاء أثار استغرابها.

نجا بأعجوبة من حادث مأساوي أودى بحياة كل أسرته

سليــــمان يناجـــي قلوب المحسنــين

فلة زخروف

سليمان قادة شاب في الثلاثين من عمره من سيدي بلعباس، متزوج وأب لبنتين فراح ونهال، شاءت الأقدار أن يفقد أسرته في يوم واحد، بسبب حادث مميت أدى إلى وفاة الأسرة بكاملها في يوم واحد من أواخر أيام شهر رمضان الفارط، وكان هو الناجي الوحيد منه بأعجوبة.

سليمان اليوم يعاني الأمرين، يعاني قسوة فراق الزوجة وكذا فلذات أكباده، بالإضافة إلى إصابته وحاجته الماسة للعلاج، إذ أن إصابته على مستوى الرجل تستلزم شراء آلة خاصة، من شأنها أن تشفيه وترجعه لحالته الطبيعية، لكنه وكونه عاطل عن العمل، لم يتمكن من شراء هذه الآلة بسبب غلاء سعرها.
سليمان وفي حديثه لـوقت الجزائر، أكد أنه عانى كثيرا من أجل إعانة عائلته، خاصة وأن ابنتيه كانتا تحت المراقبة الطبية، حيث عانت البنت الصغرى من حساسية مفرطة للحليب، ما استلزم توفيره من الخارج، إلا أنه وبفضل القلوب الرحيمة تم ذلك، وشفيت البنت التي كانت ترقد بمستشفى مصطفى باشا الجامعي بالعاصمة، أما نهال ذات الثلاث سنوات فكانت تعاني من فقر الدم وهي الأخرى كانت ترقد بمستشفى محمد لمين دباغينمايو بالعاصمة كذلك، ما اضطره للبقاء بالعاصمة هو والأم التي كانت تمكث مع ابنتيها بالمستشفى، أما هو فكان يبيت في الحمام، وبعد أن شفيت البنتان قررا العودة إلى ديارهما بسيدي بلعباس في أواخر شهر رمضان المبارك الماضي.
وفي طريق العودة حدثت الفاجعة، إذ انقلبت السيارة التي كانت تقلهم بالقرب من واد الفضة، ونجم عن الحادث وفاة كل الأسرة وكذا سائق السيارة ونجا هو بأعجوبة.
إصابة سليمان استلزمت نقله للمستشفى، وكانت إصابته في رجله الأكثر خطورة ما جعل الحل في علاجها، حسب الأطباء، هو شراء آلة خاصة ذات صنع محلي وهي متوفرة بمستشفى بن عكنون، تثب على رجله مدة عام ليعود العضم إلى مكانه، ومنه يسترجع سليمان صحته وتعود رجله للحالة الطبيعية، إلا أن ثمنها باهض إذ يقدر بـ 13 مليون سنتيم، ما جعله يعجز عن اقتنائها خاصة وأنه بسبب حالته النفسية عاطل عن العمل وكذا غير مؤمّن اجتماعيا، حيث كان عاملا حرا في السابق. سليمان بتأثر كبير وبدموع تنهمر من عيونه، بحرقة كبيرة وألم شديد، روي قصته المؤلمة لـوقت الجزائر، مؤكدا على أنه ورغم كل هذه المعاناة التي يتخبط فيها، إلا أنه راض بقضاء الله وقدره، ولم يفقد الأمل في أبناء وطنه مناجيا في ذات السياق، قلوب المحسنين أن يساعدوه ويعينوه في اقتناء هذه الآلة التي تعتبر الحل لمشكلته الصحية.سليمان ولحد الآن، لا يزال متواجدا بأحدحمامات العاصمة ينتظر التفاتة ذوي القلوب الرحيمة لمساعدته وكله أمل في ذلك.


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Brahim Mihoubi C était l époque de l élégance et de l authenticité,
El hachema et les valeurs... Ya Hassrah, les femmes d aujourd'hui avec une palette de peinture sur le visage sans aucun charme


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نصف عدد الجزائريات فوق الثلاثين من غير أزواج

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سيئجيد 
"لقب الضرة أفضل من لقب العانس"

يعتبر الزواج من أقدس العلاقات التي شرعها الدين الإسلامي، لما فيها من مودة ورحمة بين الزوجين وحفاظا على استمرارية  الأنساب، لذلك حلل الله تعالى للرجل جواز الزواج من أربعة نساء شريطة أن يعدل بينهن، ولكن الأمر يعتبر من المستحيلات السبع على المرأة ولا توجد أي واحدة في العالم ترضى أن يكون لزوجها الثانية وتكون لها (ضرة)، ومن الجهة الأخرى لا تقبل العديد من النساء الزواج من رجل متزوج مسبقا وأن تكون الثانية أو الثالثة، ولكن شبح العنوسة أباح لقب الضرة عند العديد من الجزائريات·

عتيقة مغوفل

الفشل هو مصير أي محاولة يقوم بها الرجل من أجل إقناع زوجته بالقبول بزوجة ثانية أو بـ(الضرة) كما يهوى المجتمع الجزائري تسميتها، فخوض أي حديث في هذه الصدد يعتبر استفزازا للمرأة رغم أنها من الأمور التي شرعها الله عزوجل·

51 بالمائة نسبة العنوسة في الجزائر
فكثيرا ما أصبحنا نسمع أصوات أئمة المساجد في خطب الجمعة ينادون بتعدد الزوجات باعتباره حلا لمشكل العنوسة، خاصة وأن عددها في ارتفاع في الجزائر فقد أحصت أحد المعاهد الهولندية التي قامت بإنجاز دراسة حول نسبة العنوسة في الوطن العربي، إن نسبتها بلغت في الجزائر 51 بالمائة سنة 2013، هذا يعني أن نصف الجزائريات دون أزواج خصوصا تلك اللائي فاق سنهن 30 ربيعا، وهذا راجع لجملة من الظروف الاجتماعية والاقتصادية، لذلك أصبحت بعض النسوة يرضين أن يكن زوجة ثانية ويحملن لقب الضرة حتى يقين أنفسهن من هذا الشبح·

زوجات يرضين بالضرة لكن بشروط
قد تختلف وجهات النظر في الموضوع حسب الظروف الاجتماعية والنفسية المحيطة بكل فرد، إلا أن أغلب إجابات المستجوبات من النساء أجمعت على ضرورة وجود سبب شرعي لذلك، وإلا فإنها لن تقبل بأن يدخل عليها زوجها ضرة إلى البيت، وهذا ما حاولت شرحه لنا السيدة (فريدة) في العقد الرابع من العمر التقيناها بعيادة الديبيسي للأمراض السرطانية تعاني من سرطان في الثدي في مستوى متقدم ما أدى بالأطباء إلى استئصال ثديها، بقيت السيدة (فريدة مدة الثمانية أشهر في العيادة، كما أن جلسات العلاج الكيميائية أفقدتها شعرها وجمالها وهو الأمر الذي دفع بها أن تسمح لزوجها بأن يعيد الزواج مرة أخرى، ويأت بامرأة إلى البيت تربي الأولاد·
أما أحلام شابة في 32 سنة من العمر إطار بإحدى المؤسسات العمومية مضى على زواجها ما يقارب الأربع سنوات إلا أنها لم ترزق بالأطفال، وبما أنها تحب زوجها بدر الدين كثيرا لم ترد أن تكون أنانية وفضلت أن تسمح له بأن يعيد الزواج عليها مرة أخرى حتى يرزق بالأولاد من  امرأة أخرى على أن يبقى دون أطفال طول العمر·
أما السيدة (لطيفة) متزوجة منذ 15 سنة وأم لثلاثة أبناء ماكثة بالبيت سمحت لزوجها بالزواج مرة أخرى والسبب بسيط جدا، أنها تعاني من ضعف جنسي لأنها تشعر دوما بالتعب والإنهاك، إلا أن زوجها عكسها تماما فهو شخص ذو رغبة جنسية كبيرة، وبما أن السيدة (لطيفة) لا تستطيع أن تلبي رغبته دوما سمحت له بالزواج، وحسب تعبيرها (أن تكون له امرأة في الحلال وأكون على دراية أحسن من أن تكون له عشيقة في الحرام وأكون كالأطرش في الزفة)·

لقب "الضرّة" أهون من "عانس"
من جهة أخرى اعتبرت الكثير من النساء لقب (الضرة) أهون بكثير من لقب العانس وإن كان المجتمع الجزائري ينظر إلى الزوجة الثانية أنها خاطفة الرجال وهدامة البيوت، ومع ذلك تختار فتيحة عزباء في36 سنة أن تكون زوجة ثانية على أن تكون عانسا، وعلى الزوجة الأولى أن تتقبل الأمر وتتفهمه لأنه لا عيب ولا حرام بل فيه ستر لغيرها من النساء، كما أنها أن تكون ضرة قد تكون لها الفرصة في الحصول على طفل يكون لها أنيسا ومعيلا في الكبر، أحسن من أن تكون عانسا وحين تكبر وتهرم تكون نهايتها في دار العجزة، لأنه في زماننا هذا تلاشت كل أواصل الرحمة بين الأشقاء وأصبح كل واحد يهتم بنفسه و عياله فقط·

رجال يحبذون التعداد ولكن···
التقت (أخبار اليوم) ببعض الشبان منهم المتزوجون وآخرون خاطبون كنا ننتظر أن تكون إجاباتهم مؤيدة للزوجة الثانية، ولكن بالعكس تماما فقد أجابنا معظمهم أن الظروف الاقتصادية لا تسمح حتى الظفر بزوجة واحدة فما بالك باثنتين، وهو ما أكده حسين شاب في 33سنة من العمر عون أمن بإحدى الدوائر الإدارية بالعاصمة، خاطب منذ سنة ونصف لم يستطع حتى جمع تكاليف زواجه التي أصبحت تقسم ظهره دون الحديث عن المهيبة التي يجب أن يقدمها للخطيبة في كل مناسبة·
أما سليمان تاجر في 37 سنة فقد كانت وجهة نظره مختلفة تماما إذ أكد أنه يحب زوجته ويحترمها كثيرا ولولا ذلك لأعاد الزواج مرة ثانية لا لشيء فقط من أجل أن يستر أرملة أو مطلقة فهو يريد كسب ثواب الدنيا والآخرة·

الوطني محليات
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السكان يحتجون ويرفضون الاعتداء على حرمة موتاهم

جدار عازل بين قبور المسلمين والصينيين في مغنية

آمال عماري

صورة:(الأرشيف)
لا تزال حتى الآن فضيحة دفن الرعايا الصينيين بمقبرة سيدي لحبيب بمغنية الحدودية تثير الجدل والاستنكار وسط السكان، بالرّغم من مرور أكثر من سنة على الحادثة، التي صدمت سكان مدينة مغنية وقتها وخلفت سخطا واستنكارا كبيرين وجعلتهم يثورون رفقة جمعيات ومنظمات المجتمع المدني بالمنطقة لمقاضاة المتسببين فيها.
لم تتبين وإلى حد كتابة هذه الأسطر النتائج التي توصلت إليها لجنة التحقيق الوزارية التي حلت مباشرة عقب نشر هذه الفضيحة في صفحات جريدة "الشروق"، ومن هو  المسؤول المباشر الذي رخص لعملية دفن 8 رعايا صينيين جنبا إلى جنب مع الموتى المسلمين من دون مراعاة قدسية المكان ولا حرمته.
وكشفت مصادر "الشروق" أن القضية  أصبحت تستلزم فتح تحقيق ثان بعدما تسربت معلومات إلى السكان، تشير إلى أن مسؤولين ببلدية مغنية قاموا بتمزيق وثيقة من الدفتر بمصلحة التسجيلات للبلدية.
هذه الوثيقة، حسب ما كشفت مصادرنا، تعد دليلا يكشف المسؤول الذي أمضى على رخصة الدفن، وقد تم تمزيقها  لعرقلة عمل اللجنة التي حلت من الجزائر العاصمة، حسب ما كشفت عنه مصادر "الشروق"، حيث أكدت ذات المصادر أن اللجنة المكونة من 4 موظفين في وزارة الشؤون الدينية جاءت في مهمة إلى مغنية للوقوف ميدانيا على  المقبرة، كما وجهوا استفسارا إلى مير مغنية السابق عن الواقعة، قبل أن يصطدموا بتصريحات أحد المسؤولين بالبلدية، الذي صرّح بأن عملية الدفن تمت من دون طلب بالترخيص من البلدية، أي أن الشركة الصينية قامت باستغلال مقبرة المسلمين من دون إذن من البلدية ولا من وكيل الجمهورية لجهلها أن الدين الإسلامي يحرم ذلك!!! لتبقى القضية تراوح مكانها ولم يتم الكشف عن المتسببين فيها.
والغريب في الأمر هو أن تصريحات المسؤولين جاءت كلها متناقضة، فمن جهة هون كل من رئيس بلدية مغنية السابق الواقعة معتبرا أن الرعايا الصينيين كانوا معتنقين للاسلام، فيما رمى منتخب آخر المسؤولية على بلدية صبرة، باعتبارها احتضنت الشركة الصينية ومشروع الطريق السيار شرق غرب.. كل هذا ولا تزال وعود السلطات بنقل رفات الصينيين إلى مكان معزول حبرا على ورق، ولم يتم إلى حد الآن عزلهم عن الموتى المسلمين، ما جعل أهالي الموتى المدفونين بهذه المقبرة يتحركون من جديد للمطالبة بعزلهم عن مقبرة المسلمين. هذا، واتصلت "الشروق" ببلدية مغنية للاستفسار عن حقيقة هذه التسريبات، حيث كشف نائب رئيس البلدية أن اللجنة قدمت واستفسرت المجلس السابق، مشيرا أنه يجهل نتائج التحقيق ولا من قام بالترخيص للشركة الصينية، مشيرا إلى أن الموتى الصينيين تم عزلهم بواسطة جدار عن ضريح الولي الصالح سيدي لحبيب والأضرحة الأخرى، وأن محركي هذه القضية في وسائل الإعلام هدفهم هو استغلال المقبرة في مشاريع استثمارية  لا علاقة لها بالمصلحة العامة.

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