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الاخبار العاجلة  لمطالبة  سكان قسنطينة بتنظيم  تظاهرة قسنطينة عاصمة  الدعارة العربية في قرص مضغوظ  بدل اقامة المهرجانات الخرافية وولاية قسنطينة تقرر توزيع سكنات فقراء قسنطينة في قرص مضغوظ  اقتداء بوزيرة التربية الالمكترونية  بن قوفريط والاسباب مجهولة الاخبار العاجلة  لمطالبة  سكان قسنطينة بتنظيم  تظاهرة قسنطينة عاصمة  الدعارة العربية في قرص مضغوظ  بدل اقامة المهرجانات الخرافية وولاية قسنطينة تقرر توزيع سكنات فقراء قسنطينة في قرص مضغوظ  اقتداء بوزيرة التربية الالمكترونية  بن قوفريط والاسباب مجهولة

 

حلاق متهم بالتحريض على التجمهر بسيدي الهواري

طالب ممثل الحق العام لدى محكمة الجنح بحي جمال الدين نهار أمس توقيع عقوبة سنة حبسا نافذا في حق حلاق على خلفية تورطه في ارتكاب جنحة التحريض على التجمهر، يتعلق الأمر بالمتهم �ح- و� البالغ من العمر 40 سنة، والذي ضبطت بحوزته لافتات تحريضية، بالإضافة إلى قيامهم بغلق الطريق الذي خصص لمنافسة في سباق الدراجات الهوائية بسيدي الهواري. القضية تعود إلى يوم 9 من الشهر الجاري، إذ كان من المرتقب انطلاق سباق خاص بالدراجات الهوائية على المسلك المؤدي من حي سيدي الهواري إلى منطقة سونتاكروز، إلا أن المتسابقين فوجئوا بغلق الطريق أمامهم بالحجارة، ليتم إخطار عناصر الأمن التي تنقلت إلى عين المكان،

حيث قامت بتفريق المحتجين الذين كانوا يرفعون لافتات تندد بالعنصرية والمحسوبية، وتطالب بالسكن، بيد أن الموقوف ظل يحرض المحتجين ويطالبهم بالبقاء، كون أن المادة 20 من الدستور تشرّع الاحتجاج- بحسب رأيه-، ليتم توقيفه من طرف عناصر الأمن وتحويله إلى مركز الأمن، أين قيّدت ضده محاضر ضبطية أحيل بموجبها على وكيل الجمهورية الذي أمر بإيداعه رهن الحبس المؤقت. وأثناء جلسة المحاكمة، أنكر المتهم كل ما نسب إليه من أفعال بحجة أنه يملك سكنا خاصا به، ويدير محلا للحلاقة، ليلتمس في حقه ممثل النيابة العامة العقوبة السالفة الذكر. إسماعيل بن

Constantine, capitale de la culture arabe 2015 : des artistes kabyles décident de boycotter l’événement

le 17.03.15 | 10h00 16 réactions

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Le poète et chanteur Lounis Aï Menguellet

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Plusieurs chanteurs algériens d’expression kabyle ont emboîté le pas à Idir et Lounis Aït Menguellet, qui ont décidé de tourner le dos au rendez-vous de l’antique Cirta.

La manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe 2015», dont le coup de starter est prévu pour le 15 avril prochain, accueillera plus de 750 artistes et jeunes talents. Mais, elle se déroulera en l’absence de plusieurs chanteurs d’expression kabyle, qui ont, d’ores et déjà, décidé de tourner le dos à cet événement. Ainsi, deux grandes figures du monde artistique, à la notoriété bien établie aussi bien en Algérie qu’à l’étranger, ont déjà annoncé la couleur, il y a quelques semaines, sur leur boycott du rendez-vous de l’antique Cirta.
Il s’agit, en plus d’Idir, de Lounis Aït Menguellet, en période de convalescence, après avoir subi une intervention à cœur ouvert, ils ont décidé de ne pas prendre part à cette manifestation. Plusieurs autres artistes leur ont emboîté le pas, à l’image de Hacene Ahres, qui estime que ce genre de rencontres ne l’intéresse ni de près ou de loin. «Quand on est invité à ce genre d’activité, c’est pour nous piéger.
Je pense, donc, qu’il n’y a pas lieu d’y participer carrément», nous a-t-il confié. De son côté, Ali Amrane partage carrément le même sentiment, surtout après des informations faisant état que son nom figure sur la liste des chanteurs établie par le commissariat de la manifestation.
«Je viens d’apprendre par des amis et fans que mon nom figure sur une liste de chanteurs, qui auraient donné leur accord pour participer à la manifestation ‘‘Constantine, capitale de la culture arabe 2015’’. Me concernant, je n’ai eu aucun contact avec les organisateurs de cette manifestation et encore moins donné un quelconque accord quant à ma participation», a-t-il souligné. Il en est de même pour la star de la chanson rythmée, Mohamed Allaoua, qui apporte un démenti clair sur les rumeurs qui ont circulé sur son éventuelle participation à ladite manifestation.
Sur ce, il précise : «Tout d’abord, je vous confirme que je ne participerai pas à la manifestation ‘‘Constantine capitale de la culture arabe 2015’’, malgré la rumeur qui prétendait le contraire.» Et d’ajouter : «Il y a un journal qui souhaite semer la discorde et qui n’en est pas à son coup d’essai : il a déjà fait de même à l’encontre des deux piliers de la chanson kabyle, Lounis Aït Menguellet et Idir. Aujourd’hui, il s’attaque à ma chanson Dden dden en extrapolant les paroles du titre et en prétendant que je considère Aït Ahmed et Saïd Sadi comme de ‘‘faux opposants’’ au pouvoir, ce qui est une pure invention. Bien au contraire, à mes yeux, Aït Ahmed est l’un des pères de la Révolution et mérite le plus grand respect, je profite d’ailleurs de cet espace pour lui souhaiter un prompt rétablissement.
Quant à Saïd Sadi, c’est un militant exemplaire pour son combat pour la démocratie. Je ne souhaite pas entrer dans le cercle vicieux des fausses rumeurs qui n’en finissent plus, d’autant plus que je suis en préparation de mon nouvel album. Certains journalistes devraient se rappeler de la consistance de leur métier, à savoir diffuser des informations vérifiées et non en inventer.» Pour sa part, Rabah Asma, dont le nom a également été donné pour participant à l’événement, n’y est pas allé avec le dos de la cuillère pour y réagir.
«En ce qui concerne la manifestation ‘‘Constantine capitale de la culture arabe 2015’’, il est bien évident que je ne participerai pas…», a-t-il écrit sur sa page facebook, précisant que les propos qu’il a tenus lors de sa dernière conférence de presse ont été déformés par «certains journalistes qui ont rapporté des paroles qui ne sont pas les miennes», alors que, a-t-il ajouté, «lors de cette rencontre, je n’ai parlé que de mon nouvel album».
Par ailleurs, en dépit des déclarations de la ministre de la Culture, qui précise que «les différentes activités prévues dans le cadre de cette manifestation mettront en exergue les dimensions amazighe et arabe de Constantine», plusieurs artistes algériens d’expression kabyle tournent le dos à cette manifestation.

Hafid Azzouzi

 

 

Vos réactions 16

chaoui ou zien   le 17.03.15 | 22h00

Esperons

Esperons que les artistes d'expression chaoui (et les autres qui se croient encore algeriens et pas venus d'ailleurs) se sentiront aussi concernes et diront non au nom scandaleux de ce festival. Mais c'est vrai que dans une ecole qui n'a desormais d'ecole que le nom on n'apprend plus a nos enfants qui leurs veritables ancetres sont. J'entends d'ici Massinissa se retourner dans sa tombe se demandant ce qu'on a fait de sa capitale.Et ceux qui se sentent morveux, qu'ils aillent se moucher du cote de l'arabie. Ils leur feront decouvrir leur fausse arabite.

 

azariw   le 17.03.15 | 19h57

Les ancêtres redoublent de férocité.

L'Algérie offre le spectacle d'un pays subjugué par la mythologie de la nation arabe,car au nom de l'arabisation on réprime Tamazight.Les fossoyeurs de l'unité nous parlent d'unité,le voleur crie au voleur.L'unité de la nation ne peut se faire que sur une base positive.Je me suis demandé si le paysan kabyle aurait dû parler l'arabe,ou si au contraire,j'aurais dû parler Tamazight,la première langue du pays depuis les temps préhistoriques.Les envahisseurs étrangers n'ont cessé de la refouler.Il y a eu des siècles de domination romaine,arabo-islamique,turque enfin française.Tous ces envahisseurs ont voulu imposer leur langue au détriment de Tamazight.
Kateb Yacine:Préface du livre Aït Menguellet chante..
On ne peut pas mieux dire que Kateb Yacine.
Cirta,Constantine est la capitale de Massinissa,qui n'est pas arabe.
C'est là une agression,une dépersonnalisation de gens qui oeuvrent contre l'Algérie,surtout qu'il n'y a rien du mythe arabe dont parle Yacine:coutumes,moeurs,vêtements,cuisine poterie,bijoux,couscous,timehremt,amendil,yennayer,anzar,laanesla,la fête des labours...L'aliénation la plus profonde pour Kateb Yacine est de se croire Arabe.Il y en a même qui font dériver les Berbères du Yemen,pourtant docteurs, oubliant "les preuves historiques", car rien de cela au Yemen, oubliant l'archéologie, les peintures rupestres, les basinas, les tombes où on était enterré en position fœtale...
Pour Kateb Yacine,l'Algérie française a duré cent trente ans. L'arabo-islamique dure depuis treize siècles.
Revenons à nos racines pour l’unité.
Dans le respect,chacun chez- soi

 

moh62   le 17.03.15 | 19h39

Arabe!

S'il y'avait au moins de quoi être fier en se disant arabe! Où en sont les arabes?? Dans tous les domaines?? C les pays les plus riches du monde( en dollars et pétrole seulement) mais qu'en font ils??? Qu'ont ils inventé depuis des siècles? Que produisent ils? Il y'a ce qu'on appelle la ligue arabe: y'a pas 2 pays arabes qui s'entendent! Y'a le Maghreb dit arabe y'a pas 2 pays qui s'entendent! Alors?? Qui a dit que:" les arabes se sont entendus pour ne jamais s'entendre"??? Sans chauvinisme,ni régionalisme les algériens ont intérêt à se dire algérien,maghrébin,travailler,se développer,ça serait largement suffisant!!

 

diass   le 17.03.15 | 18h49

Amazigh et fiére de l'etre

La non participation des artistes Kabyles au festival arabe de Constantine est une grande preuve que l’Algérie possède des femmes et des hommes qui aiment ce pays...Grand BRAVO à Da IDIR, Da lounes, Ali Amrane, Ahress...et j’espère que cette fois-ci la liste sera très grande. Nous aimons et nous chérissons notre culture Berbère, nous ne sommes pas concernés par ce qui va se passer dans cette ville.Je suis Algérien Amazigh et je suis très fière de l’être (on ne répond pas aux cons aux idiots...qu'on se le dise Fatiminou!!!) Longue vie à nos Géants Grands artistes que DIEU vous protégent tous.

 

Loukan   le 17.03.15 | 17h19

Hé hé hé

Il y avait déjà les constantinois "pur jus" qui ne voulaient que d'autres viennent se produite dans leur ville ... utilisée juste pour ses "noms" millénaires (Cirta, Constantine), voila maintenant que d'autres boycottent par ce qu'elle ne mentionne pas assez l'amazighité. Il est vrai que parler juste d'une dimension régionale n'est pas juste ni même respectueux. Si on prend la dimension "culturelle arabe", alors il est vrai qu'il y a problème, il aurait fallu trouver un autre sachant qu'il faut voir la ville comme appartenant à la sphère (la Ligue) arabe ce qui est vrai même si les habitants de l'Algérie (arabophones ou non) ne parlent que très peu l'arabe du Moyen-Orient mais beaucoup le parler maghrébin. Concernant les rumeurs, il y a eu celle de la venue de Feirouz (la chrétienne libanaise). Malheureusement pas de Souad Massi prévue, ni d'autres qui chantent à l'étranger.

 

vincennes   le 17.03.15 | 16h48

envahisseurs

FATIMOU,parfois il vaut mieux se taire,de quel droit vous pouver juger les gens,un artiste est libre de participer ou non a une manifestation,ces artistes sont bien plus algerien que vous nous avons exister en algerie avant votre envahissement,car les arabes sont des envahisseurs au meme titre que les turc ou Français ou autres,pourquoi vouler vous que tout le monde sois d'accord avec vos idees,je mange du porc,mais je vous oblige pas de boire de l'alcol,manger du porc et je vous empeche pas d'aller a la mosquee,rester la liberte de chacun

 

bandou1   le 17.03.15 | 15h39

Sage décision

Un chanteur d'expression Amazighe n'a rien à faire dans une manifestation qui fête la culture arabe, sinon pourquoi ne pas inviter les musiques africaines, américaines, françaises et anglo-saxonnes tant que vous y êtes. Si cela devait être fait alors Constantine ne serait plus la capitale de la culture arabe, mais celle de la culture universelle, ce qui lui irait beaucoup mieux. Certains commentaires sautent sur l'occasion pour traiter les chanteurs kabyles de racistes, alors que les vrais racistes sont ceux qui veulent faire de Cirta une capitale de la culture arabe. Matoub Lounès disait : "Le greffon ne veut pas prendre, et les bougeons éclosent plus bas avec la hargne et la boulimie de la vie étouffe".

 

mohoukavach   le 17.03.15 | 15h34

a fatiminou (Idiot comme réponse)

Ton expression est par contre universelle c'est celle des racistes et de régionalistes de base.Ils doivent dégager de chez-eux parce qu'ils refusent de participer à un carnaval fi dechera !! sachant qu'ils ont chanté dans tous les coins d'Algérie dans diverses occasions. Les temps ont changés sache qu'ils n'ont pas besoin de prouver leurs Algerienéte. Leurs talents et leurs renommés dépassent largement ta mentalité purement régionale

 

axxam15   le 17.03.15 | 15h23

Qu'ils dégagent ?

D'où ? c'est peut être dans votre maison qu'ils habitent, où peut être qu'ils mangent dans votre main, je ne sais pas quand est ce que on apprendra à respecter les grands hommes de ce pays, car sachez le, eux qui sont comme vous le dites "d'expression régionale!!!", ont donné une visibilité internationale à la culture algérienne, et vous qui n'êtes certainement pas idiot, lorsque vous aurez donné à ce pays ce qu'on donné Ait Menguelette et Idir, ce jour là, vous vous permettrai de les traiter d'idiots, quand à dire qu'ils dégagent, cela relève de quelque chose qui de loin est plus grave que l'idiotie, car c'est peut être le plus grand problème, des algériens qui dises à d'autres algériens de dégager, comme si le pays appartenait à leur...
En tout état de cause, quand quelqu'un utilise les termes "d'expression régionale" pour parler de la culture de son pays, tout est dit !!!

 

s@ber.1968   le 17.03.15 | 14h00

Il temps de retourner aux sources.

Constantine capitale de la culture maghrébine c'est plus approprié qui peut réunir les berbérophones et arabophones de l'Afrique du nord. (Mauritanie, Maroc, Algérie, Tunisie et Libye)
Je suis tout a fait d'accord avec les artistes kabyles et j'espère aussi que d'autres artistes chaouis, m'zabes, targuais et berbères du Maroc tourneront le dos à cette manifestation. Sauf la religion, on a rien a partager avec ces contrées lointaines du moyen orient, on a déjà assez avec le salafisme et le wahhabisme venus de la bas qui ont détruit nos traditions et notre culture.

 

Vos réactions 16

mohand111   le 17.03.15 | 13h56

Exclusion volontaire et désirée.

Tout d'abord je réponds à FATIMINOU, lorsque tu parles d'artistes d'expression régionale, ces derniers n'attendent pas ton approbatio, ils sont déja des artistes de renommée mondiale Et secondo, ils sont Algériens bien avant que tu le sois toi. Il sont issu du peuple natif de cette Algérie, ils sont l'origine même de cette Algérie, et je ne te dis pas "dégage" parce que je respecte tous les Algériens dans leurs diversités, C'est une richesse que peu de monde comprenne. Et moi, de par leurs décisions, et en étant berbère, donc non arabe, ce festival ne me concerne pas, je ne suis pas interpellé. Je ne crois pas que les organisateurs l'ont fait délibéremment, sinon, on ne devrait pas leur attribuer des évènements pareils. Ils ont bien choisis les mots: Festival de la Culture arabe. Et en plus, au moment ou le pétrole se vend à rabais, les responsables de ce pays, trouve les moyens de gaspiller de l'argent dont beaucoup d'Algériens ont un grand besoin. A cette Algérie...Si elle était une personne, elle pleura de chagrin....

 

Esaü   le 17.03.15 | 12h48

à mini fatiminou

Ces artistes donc vous parlez sont d'abord et avant tout algériens. Quant à ceux qui se considèrent plus arabes qu'algériens ils devraient se rappeler qu'à quelques milliers de kilomètres à l'est de l'Algérie, il y a un pays qui s'appelle l'ARABIE, et qu'ils peuvent toujours essayer de s'y rendre.Je dis essayer car,à coup sûr,ils n'y seront pas les bienvenus.

 

ourzik   le 17.03.15 | 12h04

Pour FATIMATOU

C'est parce qu'ils se sentent totalement algeriens (et ile le sont à part entiere) qu'ils ont certainement boycotté l'appellation trompeuse et insidieuse de l'evenement .

 

ourzik   le 17.03.15 | 11h33

Cirta !

Il ne faut pas jouer sur les mots . Le titre du festival est trompeur en lui meme, donc celui ou celle qui a incrusté le mot "arabe" prend toute la responsabilité de diviser les enfants d'un meme peuple, d'une meme grande nation . Il fallait peut etre dire "Cirta , ville de grande culture algerienne" , ce que partageraient tous les algeriens (chaoui, kabyle, arabophone, mzab, chenoui..)

 

FATIMINOU   le 17.03.15 | 11h24

IDIOT COMME DEMARCHE !

pourquoi ces artistes d'expression régionale ne veulent - ils pas participer à cette fête ?! S'ils ne se sentent pas d'abord algériens qu'ils dégagent !

 

To n'air   le 17.03.15 | 11h00

Répugnante propagande d'Echourouk !

Vraie cabale contre les chanteurs Kabyles !! Si c'est comme cela que certains croient faire de la publicité a cette MANIF pour rien et intéresser les gens,c'est rate !! En attendant tout se meurt dans ce pays trahi !!

 

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فيما تشن�أوندا� حربا على أقراص مضغوطة تشيد بالإرهاب

أفلام الخليعة تباع علانية بأسواق وهران

في عملية نوعية قام بها أعوان الديوان الوطني لحقوق المؤلف �أوندا� بوهران بالتنسيق مع مصالح الأمن، تمكنت أول أمس من وضع يدها على أخطر شبكة تقوم بنسخ الأقراص المضغوطة وإعادة بيعها بسوق المدينة الجديدة، ومن هناك بيعها بسعر الجملة لنقاط بيع مختلفة داخل وهران وخارجها، وقد انتهت العملية بحجز أكثر من 10 آلاف نسخة مقلدة، لا يملك أصحابها تراخيص للبيع، حيث تم توقيف المتهم الرئيسي وحجز السلعة التي كانت معروضة للبيع بأرصفة سوق المدينة الجديدة.

وما يثير الاستغراب في هاته العملية أن تلك الأفلام المحجوزة تسيء للأخلاق وتدعو لفسادها من خلال مضامين تلك الأشرطة التي تشرح بالتفصيل طرق الإجهاض، والزنا من دون حمل يروج لها أخصائيون بالصوت والصورة. كما أن خطر الإرهاب وجد حصته من تلك الأقراص، حيث يتم الإشادة بأعماله البربرية التي يرتكبها عناصر التنظيم المدعو داعش من خلال تصوير لقطات تقشعر لها الأبدان وتشمئز منها النفوس بإظهار عمليات تصفية على المباشر وطرق تدريب المتطرفين، وهي كلها أخطار تهدد عقول الشباب الذي قد ينجرف وراء تلك الدعايات المغرضة التي يبقى الهدف منها هو الانضمام لصفوف التنظيم الإرهابي تحت غطاء نصرة الدين الإسلامي الحنيف، والتي يكون ضحاياها الرئيسيين هؤلاء الشباب الذين يتم التغرير بهم عن طريق تلك الأفلام والأشرطة المزيفة. وقد أكد مصدر مسؤول من ديوان �أوندا� أن العملية ستتواصل لغاية تطهير السوق من هؤلاء الباعة غير الشرعيين الذين أغرقوا السوق بأقراص مقلدة مضرين بسمعة الفن والفنانين، مشيرا إلى أنهم مقبلين على تحدي أكبر عند حلول فصل الصيف الذي يعرف انتعاشا ملحوظا لهاته التجارة غير الشرعية، مما يتوجب تشديد الخناق على أباطرة القرصنة لإفشال مخططاتهم. صادق.ف

 
 


 فكك العائلات يهدد الأسر
الخلع والطلاق في صدارة القضايا بورقلة
مقداد سعد 18/03/2015 09:33:00
الخلع والطلاق في صدارة القضايا بورقلة
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أضحت قضايا الخلع والطلاق تحتل المرتبة الأولى على مستوى محاكم ولاية ورقلة والمجلس القضائي حيث أن الأرقام التي كشفت عنها جمعية الزهراء لترقية الأسرة خلال مناقشتها الموضوع والتي تترأسها السيدة عائشة ميهوبي الناشطة الجمعوية،

دفع المختصين في هذا المجال لدق ناقوس الخطر المحدق بمنطقة الجنوب والذي يهدد العائلات بشبح التفكك. حيث أكدت الأرقام التي نشرت منذ بداية سنة 2015 أن مدينة تقرت احتلت الصدارة ونالت حصة الأسد في حالات الطلاق والخلع بـ 76 حالة، أما عن العنف داخل الأسر فقد أكد المختصون أن حالاته صارت كثيرة وشبه يومية في قاعات المحاكم، خصوصا الضرب والجرح وحتى القضايا المتعلقة بالاعتداء  الجنسي والذي يعرف أرقاما رهيبة للاعتداء على الأصول، وكذا التعنيف الجسدي، هاته الأخيرة التي انتشرت بشكل كبير جدا وخطير داخل مجتمع صحراوي ميزته المحافظة والحياء، أما إحصائيات سنة 2014 كما أكد عدد من المختصين فقد عرفت أكثر من 12 ألف حالة طلاق وخلع  بين ولايات الوادي، ورقلة وغرداية وهو رقم رهيب جدا، بالمقارنة بولايات الشمال، ولذلك دقت الجمعيات الناشطة في هذا المجال خصوصا ترقية المرأة وترقية الأسرة وغيرها من المجالات ناقوس الخطر من أجل الحفاظ على العائلات وتثبيت مقومات المجتمع الصحراوي المحافظ.
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Tissemsilt Après le lancement d’un projet au site d’Ain El H’djar Quel sort pour la famille qui y habite toujours ? Plus de quatre années se sont écoulées après l’opération de relogement de 21 familles qui habitaient le bidonville de Ain El H’djar, mais à voir encore le paysage qu’offre quotidiennement la famille de F.A. qui n’a visiblement pas bénéficié d’un logement et qui est restée toute cette durée au même site sous une bâche entourée de tôles en zinc. Tout un chacun s’interroge sur le sort de cette famille notamment avec le lancement récent d’un projet d’équipement public sur ce site, aucune solution n’est venue rassurer cette famille oubliée, dont nous avons déjà traité le cas dans une de nos éditions précédentes. Le malheureux père d’une famille composée de sept membres, dont un malade mental, crie haut et fort qu’elle habitait cette maison depuis plus de 15 ans, Abdelkader jure, documents à l’appui, que sa famille a été victime d’une omission lors de l’opération de recensement et qu’aucun responsable n’a voulu à l’époque prendre sa situation en considération, des années se sont écoulées depuis la démolition de sa maison et il est toujours au même site sous une bâche entourée de tôles en zinc. Les responsables à qui des correspondances ont été adressées, n’ont encore pas bougé le petit doigt, ne serait-ce que pour vérifier de nouveau et refaire une enquête, déclare-t-il avec regret, ajoutant que toutes ses tentatives pour se faire entendre sont restées vaines. Au même moment, ce citoyen jure que sa maison était parmi les premières à être construites, maintenant que le projet a été lancé, que sera le sort de cette famille si l’administration persiste encore dans cette position notamment avec l’absence du rôle de la DAS, du Croissant-Rouge algérien et des associations, qui sont restées indifférentes et n’ont apporté aucun soutien à cette famille qui endure l’enfer depuis que les autorités avaient décidé de démolir sa modeste demeure. L’initiative qu’avait entreprise le maire de la commune de Sidi Boutouchent à l’extrême nord-est de Tissemsilt qui, pour rappel, avait pris la décision de reloger deux familles nécessiteuses, pourra servir d’exemple à celui de la commune de Tissemsilt et à ceux qui s’occupent et décident dans le domaine du logement. A.Nadour Tlemce Le Carex a drainé plus de 100.000 visiteurs en une année Le centre des arts et des expositions de Tlemcen (Carex) a attiré plus de 100.000 visiteurs durant l’année 2014 et le premier trimestre de l’année en cours, a-t-on appris de son directeur général, Amine Boudelfa. Cette importante fréquentation de la part du public reflète la place qu’occupe dans la vie tlemcénienne cette infrastructure, réalisée dans le cadre de la manifestation «Tlemcen 2011, capitale de la culture islamique», tant sur le plan culturel qu’économique. L’année dernière, le Carex a organisé cinq salons dédiés au divertissement, à l’automobile, aux voitures de collection, au patrimoine et à la production nationale. Il a également abrité une résidence artistique autour des portraits de Tlemcen, des expositions comme celles intitulées «Regards croisés sur la révolution algérienne», «Aspects iconographiques de la défense de l’Algérie entre le 16ème et le 19ème siècle», «Au cœur des années 60 «, une rencontre entre le cinéaste-critique Ahmed Bejaoui et le peintre algérien Denis Martinez, autour d’un ouvrage commun. Une prochaine exposition d’art contemporain «Printemps A5»figure sur l’agenda de ce centre, indique-t-on. Des conférences-débats ont été également tenues autour de la thématique de la guerre de libération nationale, à l’occasion du 60ème anniversaire de la Révolution du 1er novembre 1954. Cette infrastructure est venue au point nommé pour combler un vide constaté en matière d’activités culturelles et artistiques de qualité. La wilaya de Tlemcen qui s’est dotée de cette grandiose structure culturelle et commerciale n’a jamais auparavant abrité d’événements de cette taille, a-t-on fait remarquer à l’exception des activités organisées à l’occasion de la manifestation «Tlemcen 2011, capitale de la culture islamique». «C’est ce qui explique l’engouement particulier du public et l’importante fréquentation enregistrée en une seule année», souligne le directeur du Carex. Couvrant une superficie globale de plus de 10.000 m2, cet établissement offre des espaces répondant aux normes internationales pour l’organisation d’expositions et de salons divers. Dans cette optique, Amine Boudelfa, a déclaré que la stratégie du Carex «favorise, d’une part, le développement des ressources artistiques et culturelles et susciter des retombées culturelles, sociales et économiques d’autre part». Le centre permet, selon le même responsable, «de développer, renforcer et pérenniser une offre artistique et culturelle diversifiée et d’excellence comme il contribue à l’amélioration de la communication et la concertation entre les intervenants culturels, entre eux d’abord, et avec les citoyens en facilitant les rencontres et les échanges». «Nous contribuons à donner une meilleure visibilité aux artistes et nous ambitionnons de contribuer à la formation dans les différents domaines de la culture», a-t-il ajouté. Les responsables du Carex comptent poursuivre, cette année, la même lancée, en programmant plusieurs manifestations dont des salons du livre, de la production nationale, de l’automobile, du bâtiment, du patrimoine, en plus d’un festival «Nuits Zianides du shopping» et bien d’autres évènements populaires et à succès. Le Carex, implanté à la sortie Nord de la ville de Tlemcen, constitue pour tous les artistes et intellectuels de Tlemcen et des autres régions du pays un cadre idéal leur permettant d’aller à la rencontre du public et de faire découvrir tout leur talent et esprit créatif. Sans nul doute, cet établissement est appelé à contribuer davantage au renforcement du mouvement culturel, artistique dans son ensemble dans la capitale des Zianides, estiment les professionnels du domaine.

 

Douar Belgaid L’université Mohamed Benahmed bloquée hier Les étudiants en LMD s’inquiètent de leur avenir Des étudiants de l’université Mohamed Benahmed ont bloqué hier l’accès à l’université, en réponse à l’appel national de l’UNEA, pour dénoncer la politique de deux poids deux meures, «qui est pratiquée entre le système classique et le LMD, en matière de concours d’embauche», ont affirmé les protestataires. Ce mouvement de grève intervient suite aux propos ambigus à propos des conditions de participation aux concours d’embauche des enseignants. En effet, d’après des déclarations de la ministre de l’Education Mme Benghebrit, lors du prochain concours, la priorité sera donnée aux diplômés universitaires du système classique. Il faut dire que dix années après son introduction, la réforme universitaire LMD (Licence, Master, Doctorat), censée apporter plus de droits aux acteurs de l’enseignement supérieur, de la qualité et de nouvelles perspectives, affiche un constat inquiétant. Le mouvement de grève d’hier a relancé la question sur les chances des étudiants pour accéder au monde de l’emploi. Et ils ont bien raison, car d’après l’institution centrale des statistiques, la répartition des chômeurs ayant déjà travaillé indique un taux de 18,6% pour les détenteurs de niveau supérieur et 17% pour les diplômés de l’université, sachant qu’en moyenne, sur le même indicateur, il est dit que le tiers des mises en chômage est dû à la fin du contrat de travail, devant ces chiffres préoccupants. Pour revenir à l’université Mohamed Benahmed (Belgaïd), rappelons que constamment des mouvements de grève sont organisés afin d’inciter les responsables à intervenir et pour l’amélioration du cadre de vie estudiantin au sein de cette université. Les étudiants soulèvent plusieurs points qui touchent directement à la vie quotidienne des étudiants, qui ne sont pas à leur première action de protestation. Une multitude de problèmes relevant du côté de la gestion technique de leur université mais aussi les aspects sanitaire, sécuritaire et des services, sont vivement contestés. Les étudiants déplorent notamment l’isolement de l’université qui se situe dans une zone dépourvue de toute forme d’aménagement et de commerce. S. Messaoudi Des voitures réceptionnées après plusieurs mois d’attente Les concessionnaires automobiles pointés du doigt Les nombreux concessionnaires automobiles qui exercent actuellement à El Bahia, ont donné plus d’alternatives aux Oranais pour acquérir une voiture neuve à des prix raisonnables. Cependant force est de constater que plusieurs anomalies entachent cette procédure, notamment le délai de la livraison. En effet, les clients ont souvent l’amer constat d’apprendre que le concessionnaire ne va pas livrer lé véhicule immédiatement ou même au bout de quelques semaines, comme ils le souhaitent. Ces clients qui se sentent floués pointent du doigt les concessionnaires automobiles. Oran qui reste un marché très attractif pour les vendeurs de voitures notamment les marques asiatiques, nombreux sont les citoyens qui ont sollicité ces showrooms pour choisir une voiture, selon les capacités financières, quoique, ces clients ne soient pas tout à fait satisfaits, puisque plusieurs d’entre eux, nous ont fait part de leur mécontentement vis-à-vis de la qualité de service après-vente (SAV). Pour un automobiliste qui vient d’acheter une voiture chez l’un des labels Asiatiques: «Les pièces de rechange ne sont pas toujours disponibles. Quand j’ai sollicité la dernière fois mon concessionnaire pour une pièce de rechange, il m’a demandé d’attendre quelques jours, le temps que la pièce soit disponible en provenance du pays d’origine». Plusieurs clients à l’instar de notre interlocuteur accusent ces concessionnaires de ne pas respecter certaines règles en matière de commercialisation. L’option de commande du véhicule, à titre d’exemple agace beaucoup d’entre eux, car commander une voiture, ne veut pas dire forcément que le véhicule sera livré à temps, puisque des retards flagrants sont enregistrés dans de pareils cas, et le client ne peut que prendre son mal en patience et attendre. Les voitures fabriquées avant mars 2014 interdites Selon des spécialistes du domaine, il s’agit en grande partie pour certains concessionnaires de la non-application du décret 07-390 du 12 décembre 2007 qui régit les principes fondamentaux de l’exercice de la vente des véhicules neufs et les conditions requises en matière de garantie pour ce qui est de la pièce détachée ou durant le service après-vente. Selon eux, l’éventuel acheteur doit être bien informé avant de procéder à la transaction. Un client informé évitera d’être confronté à des tracas, soutiennent nos sources. Cela est notamment le cas des clients des véhicules utilitaires et des bus de transport public qui sont les plus demandés, mais dont le délai de livraison dépasse un an, ainsi que ceux des salons internationaux d’automobiles, où une affluence record est enregistrée, avec à la clé un grand nombre de voitures vendues. Ces voitures ne seront délivrées à leurs propriétaires qu’après plusieurs mois. L’autre souci pour ces clients réside dans la qualité de la pièce, qui est généralement de mauvaise qualité, ce qui aggrave les peines des propriétaires. De ce fait, ces derniers préfèrent recourir à la pièce usée, mais reste toujours en bon état, plutôt que d’aller acheter une neuve, qui ne résistera finalement qu’une dizaine de jours. Par ailleurs, le ministère du Commerce vient d’élaborer une série de lois censées réguler le marché de l’automobile, on citera entre autres, l’interdiction d’importation des voitures produites avant mars 2014, ce qui, manifestement, n’a pas été du goût de certains concessionnaires qui ont demandé la révision de cette loi. Jalil Mehnane

 

 
 Des squatteurs de caves manifestent pour annuler une décision d’évacuation
Un sit-in et des bouchons à l’USTO
Plusieurs familles ont protesté hier au quartier de l’USTO, à proximité de la 21ème sûreté urbaine. Cette action de protestation a été déclenchée, apprend-on de bonne source, suite à une décision sommant ces derniers d’évacuer les caves de plusieurs immeubles qu’ils ont squattées dans ce quartier.
Les forces de l’ordre ont réussi à maîtriser la foule venue manifester sa colère suscitée par cette opération. Cependant, la situation a failli dégénérer après qu’un jeune citoyen ait essayé de s’immoler par le feu, apprend-on de certains témoins présents sur les lieux. Cela n’a pas empêché la tenue d’un mouvement de protestation par les citoyens délogés qui ont organisé un rassemblement devant le commissariat du quartier, avant de bloquer la route pour faire entendre leur voix et dénoncer ce qu’ils ont estimé de décision injuste et arbitraire à leur encontre». Ces derniers qui ont affirmé vivre une crise du logement, ont, depuis plusieurs années pour certains depuis plus de quinze ans, décidé de squatter les caves des immeubles pour les réaménager en logements ou commerces. Il y a lieu de souligner que les occupants de ces caves ont été à plusieurs reprises mis en demeure pour l’évacuation des lieux.
Toutefois, les choses ont traîné jusqu’à ce que la décision de l’évacuation par la force soit devenue inévitable. A noter qu’une centaine d’ordres d’évacuation ont été adressés à des squatteurs de caves d’immeubles. En effet, d’après des sources proches de l’Office public de gestion immobilière (OPGI), la transformation des caves en appartements est un phénomène qui est devenu courant à la commune d’Oran. A cet effet, les services de l’OPGI viennent de recenser plus de 550 squatteurs qui occupent des caves considérées par la loi comme des parties communes.
D’après les mêmes sources, l’OPGI compte saisir la justice pour déloger les habitants qui se trouvent dans une situation irrégulière. Il est à noter qu’une commission spéciale a fait état de 900 logis érigés sur les terrasses des immeubles. Toutefois, signalons qu’aucun quota de logements n’a été réservé aux occupants des caves et des terrasses, avait affirmé le directeur de l’OPGI, une décision qui a déçu les habitants des caves et terrasses qui attendaient d’être absorbés dans le programme de résorption de l’habitat précaire.
S. Ourabah

 

قضاة يدعون إلى احترام سرية التحقيق و يؤكدون: الصحافة تسبّبت في أضرار يصعب جبرها للمتقاضين

التفاصيل

نشر بتاريخ: الأربعاء، 18 مارس 2015 03:23

دعا قضاة بمجلس قضاء الجزائر، أمس، الصحافة لاحترام سرية التحقيقات القضائية،حفاظا على حقوق المتهمين و أسرهم .
و في ندوة متبوعة بنقاش حول حرية التعبير والرأي، ألح قضاة و مستشارون بالمجلس على ضرورة تحلي الصحافة الجزائرية بالمسؤولية في نشر الأخبار المتعلقة بالتحقيقات القضائية نظرا لحساسيتها.
وأفاد رئيس غرفة الأحوال الشخصية ونائب رئيس مجلس قضاء الجزائر العاصمة  القاضي بوبترة عبد المالك بوجود حالات انتحار و خراب عائلات و إدمان بعض أقارب المتهمين على المخدرات بعد نشر التحقيقات  التي تعنيهم في الصحف، وقال  «وقفت خلال تجربتي في قسم الأحوال الشخصية على النتائج الخطيرة لهذه التسريبات». و أضاف»نريد صحافة تنور الطريق للمجتمع «.
وتساءل قاضي تحقيق عن مصلحة الصحف في نشر نتائج التحقيقات قبل انتهاء الإجراءات ، موضحا « تلك الممارسات تؤثر على سير القضايا»، وفي نفس التوجه أشار قاض آخر إلى ضرورة احترام قرينة البراءة ، باعتبار أن كل متهم بريء حتى تثبت إدانته ،لافتا  إلى ظاهرة تشوّه سمعة المتهمين بعد نشر التحقيقات ولو صدرت أحكام في صالحهم.
و دعا قاض لأخذ العبرة من التجربة الفرنسية،فقاضي التحقيق بمحكمة باريس طلب من الصحافة أن تكون مسؤولة في متابعة قضية الهجوم على الأسبوعية الساخرة شارلي ايبدو والمتجر اليهودي في السابع من جانفي الماضي، وكان هناك تعاون بين السلطات والصحافة في تلك الأزمة، في إشارة إلى  التوجيه و التعتيم الإعلامي الذي رافق القضية.
واعتبرت المستشارة بالمجلس بن علي فوزية أن سرية التحقيق «خط احمر  يمنع تجاوزه»، و دعت الصحفيين لاحترام الضوابط المنصوص عليها في القانون الجزائري بخصوص هذه المسألة، لأن تجاوزها يجعلهم تحت طائلة المتابعة الجزائية ، إلى جانب العقوبات الإدارية الأخرى، و أكدت في تدخلها أن الدستور الجزائري و القوانين سارية المفعول في الجزائر توفر إطارا متكاملا لحرية الرأي و التعبير بشكل أفضل مما هو موجود في دول غربية.
ج ع ع