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 Les lieux sont complètement clochardisés



Troubles à Djenan ezzitoun : Les sequelles de la gestion RND

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le 16.02.15 | 10h00 Réagissez

Des dizaines de personnes propriétaires de stands commerciaux, sis en face de Souk El fellah,à la cité Kouhil Lakhdar (Djenan ezzitoun) ont fermé hier, pour au moins cinq heures, le boulevard de la Soummam, ce qui a créé un bouchon monstre et contraint, entre autres, les autorités locales à revoir l’itinéraire de la visite du ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville.

Les protestataires revendiquent l’ouverture de «ce marché» qui est fermé depuis des années. «Ce marché a été construit pour 67 personnes au chômage en 1999, et avec leurs propres argent.
Chacun de nous a versé plus de 70 000 DA afin de bénéficier d’un stand sur les lieux», a déclaré Adel Ghaney, représentant des revendicateurs. Selon ces dires, après la dégradation des lieux, l’APC a fermé définitivement le marché en question, en février 2013, dans le but de le réhabiliter «Que des promesses non tenues, nous avons saisi toutes les autorités locales afin de trouver une solution mais nos requêtes n’ont pas abouti.
Toutes les APC qui se sont succédées depuis 15 ans n’ont pas réglé le problème, et aucun projet de réhabilitation de ce marché n’a été lancé jusqu’à maintenant», précisera-t-il. Vers 14 h, le blocage est levé et selon les dires de notre interlocuteur, un délégué de l’APC leur a promis de régler le problème dans les jours qui viennent.   

 
Yousra Salem




Affaire du lotissement El Fedj 2 à Constantine : Promoteurs et responsables locaux poursuivis en justice

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le 16.02.15 | 10h00 Réagissez
 
 L’un des promoteurs n’ a de cesse de s’attaquer au talus
L’un des promoteurs n’ a de cesse de s’attaquer au...

Suite aux plaintes adressées aux autorités locales, et restées sans réponse, les habitants du lotissement El Fedj 2 confrontés à un sérieux problème de glissement de terrain qui met en danger leurs habitations, ont préféré saisir la justice. Il s’agit d’une trentaine de maisons construites sur un talus d’une hauteur d’environ 80 m.

Les habitants affirment occuper les lieux sans problème depuis 1990, jusqu’à l’arrivée de trois promoteurs immobiliers qui ont lancé des chantiers de construction au pied de la colline.
Les travaux de creusement, en bas des maisons en question, ont vite commencé à provoquer des fissures dans les murs des villas en haut avant que la situation ne vire au glissement de terrains emportant des pans entiers des jardins. La justice saisie en octobre dernier, a jugé que les travaux lancés par ces promoteurs sur le site, menacent effectivement les habitants.
Cependant,deux promoteurs ont fourni des preuves pour dégager leur responsabilité. Mais le problème s’aggrave davantage à cause de la persistance de travaux jugés anarchiques par les riverains de la part d’un promoteur, qui n’a de cesse de s’attaquer au talus, en dépit desréserves de la protection civile et surtout, du CTC.
Il s’agit de la SARL Khalfellah, laquelle et malgré les correspondances qui lui ont été adressées par le contrôle technique de la construction (CTC) et dont nous détenons des copies, continue de soustraire, chaque jour, un peu plus le sol sous les fondations des habitants d’El fedj 2. Sollicitée, l’APC de Constantine a saisi le promoteur en cause, en date du 1er décembre dernier lui intimant l’ordre de suspendre les travaux et prendre des mesures nécessaires pour protéger les habitations touchées. Le promoteur s’exécute mais de manière inadéquate.
Dans un rapport du CTC, daté du 8 janvier 2015, il est écrit que «les mesures prises par le promoteur concernant le talus ont été faites de façon unilatérale et sans aucun avis du CTC / Est, et le problème d’affouillement des terres sous les fondations de la clôture de la maison mitoyenne se trouvant en haut du talus persiste toujours si les précautions et les mesures nécessaires ne sont pas prises en considération dans les plus brefs délais». Il faut savoir que le terrain destiné aux nouvelles promotions immobilières est classé dans une zone instable non constructible (selon le permis de lotir délivré aux propriétaires terriens, les héritiers Benabdelkader, en 2007 et dont nous avons une copie).
Les habitants nous ont affirmé que la situation devient davantage périlleuse après les dernières intempéries. Les dégâts ont même touché d’autres maisons. «Maintenant il ne s’agit plus de dégâts matériels, c’est une question de vie ou de mort», a déclaré l’un des citoyens concernés. Notre interlocuteur a ajouté que les riverains ont déposé une plainte contre le maire et le directeur de l’urbanisme et de construction (DUC), respectivement le 11 janvier et le 9 février de l’année en cours. Pour lui, «il s’agit de complicité».
 
Yousra Salem



 
 L’un des promoteurs n’ a de cesse de s’attaquer au talus


Commissariat de la manifestation de 2015 de 2015 : Une démission et des accusations

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le 17.02.15 | 10h00 4 réactions


Le Chef de département communication et Porte-parole officiel de Constantine capitale de la culture arabe 2015, vient de claquer la porte du commissariat de l’évènement. Mme Faouzia Souici a démissionné dimanche de son poste en adressant une longue lettre à la ministre de la culture, Mme Nadia Labidi, sous forme de déballage où il est question de dysfonctionnements et de prédateurs qui auraient réussi à détourner les fonds de la manifestation. Des pratiques que dénoncent Mme Souici qui avoue cependant, avoir cru à l’impact positif que pourrait avoir la manifestation sur Constantine.
«Cet événement pouvait apporter un plus à ma ville, par la création de nouvelles traditions de vie culturelle dans une cité au bord de l’implosion. Je voulais faire de l’événement une plus-value en termes d’apport économique, de créations d’emplois dans le secteur de la culture, de création de partenariat «productif» entre tous les acteurs du secteur culturels en hibernation et les pouvoirs publics, afin de fructifier un tant soit peu l’investissement colossal de l’état et, éviter de faire de ses réalisations des opéras ou ne rodent que des fantômes sans vie.» Selon la désormais ex responsable de la communication, cette volonté s’est heurtée à des clans aux intentions pernicieuses : «A la tête du département communication je n’ai pu réaliser cette tache … et pour cause mon opposition au clan de prédateurs, qui  ont voulu confiner ma mission de chef de département, et porte-parole officielle de l’événement a un rôle de faire-valoir».
Dans la lettre dont El Watan détient une copie exclusive, la rédactrice explique avec force d’exemples les pratiques qui régneraient au sein du commissariat. Elle écrit: «Cette méthode de travail m’a valu une campagne orchestrée, dont l’objectif est de me pousser à partir, car j’ai touché aux intérêts directs de ce groupe qui a pris en otage le commissariat avec au départ un silence, inexpliqué  puis  complice… puis un franc appui du commissaire de l’événement. Ce groupe formé  à cette occasion est recruté sous forme de conseillers particuliers, dépêché d’Alger, (fils d’un haut cadre du ministère des affaires étrangères) ou, recrutés directement à Constantine parmi ceux connus pour avoir trempé dans des affaires scabreuses dans le monde du spectacle, ou encore ceux qui à l’heure actuelle se trouvent sous enquête judiciaire pour escroquerie». 
 
Nouri Nesrouche
 
 
VOS RÉACTIONS 4
meghoufel   le 18.02.15 | 04h53
 Mobilisons-nous!
Tout d'abord, il faut féliciter Mme SOUISSI pour sa prise de position citoyenne honorable. Ensuite, je souhaite que les constantinois réagissent sur le terrain, par un seat-in et des manifestation afin que la Présidence de la République jette un oeil sur ce dossier, car Mme Labidi n'est qu'une photocopie de Mme Toumi, qui se prélasse actuellement dans une retraite française, à la charge du peuple algérien. Enfin, je souhaiterais que la justice s'auto-saisisse ainsi qu'elle l'a fait pour Said Sadi...
Citoyens constantinois, ne vous taisez pas!
 
OAZ   le 17.02.15 | 16h34
 C'est de l'Action
Cette démission est de l'action. Les arguments sont clairs. Nous sommes donc, Constantinoises, Constantinois, tenus, non pas d'espérer que Madame Faouzia SOUISSI soit entendue - Et elle vient de prouver que Wlad Ben Badis et Wlad Sidi Rached ont le Savoir, la Culture et les Valeurs, les notre d'Algérie et les universelles- Mais nous sommes tenus d'exiger le fonctionnement transparent auquel elle a aspiré. Elle est par conséquent, pour les citoyens, la mieux placée pour ce poste. A la charge de notre ministre, ou en interministérielle, de lever de leurs fonctions tous ceux qui évitent cette transparence.
En attendant, toute personne qui accepte le poste vacant (qui doit revenir à Madame SOUISSI pour les raisons de compétence dont elle fait preuve)aura basculé en faveur de ce que nous appelons "occulte" avec les conséquences de clientélisme, de dilapidation des biens publiques et de l'acculturation.
Nous devons observer d'une façon diligente l'action du gouvernement, la transparence et... La traçabilité... pour les besoins de l'avenir à court terme, au 31 Décembre 2015.
Avec tous les engagements pour mon centre du monde, Constantine,
OAZ
 
25bidou   le 17.02.15 | 13h20
 un commissaire aux ordres
cette démission confirme la main mise d'un groupe n'ayant aucune relation avec la culture arabe mais brille par une culture du détournement de biens publics, de maquillage d'une cité.le choix du commissaire ayant déserté la ville de Constantine depuis plusieurs années a ouvert l’appétit aux "notables" des relations qui ont envahi les différents cercles culturels,économiques, sportifs etc de cette cité.
 
muloudia   le 17.02.15 | 11h31
 Encore une affaire de passe droit
en sus de dépenses inutiles ou exorbitantes.Normalement,il doit y avoir un suivi des dépenses avec des justificatifs.Pourquoi ces magouilleurs? à mon avis c'est dû au manque de préparation de ces activités.Et on retrouve le bricolage qui coute plus cher qu'une simulation ou organisation bien maturée





Louiza et Mustapha Aknouche, SAFRANIERS : La belle aventure des pionniers de l’or rouge

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le 17.02.15 | 10h00 Réagissez
Louiza et Mustapha Aknouche, SAFRANIERS  : La belle aventure des pionniers de l’or rouge


L’histoire retiendra qu’ils ont réussi le grand défi d’introduire pour la première fois la culture du safran en Algérie, et particulièrement dans la commune de Benbadis, située à 40 km de Constantine.

Louiza et Mustapha Aknouche, pionniers en Algérie de ce qu’on appelle aujourd’hui l’or rouge, ont du se battre pour concrétiser un rêve. Une belle aventure qui a commencé en 2010, et dont ils parlent toujours avec passion et fierté. Le couple, qui a suivi une formation de safranier, et géré une exploitation à Cuers, dans le département français du Var, décide de mener une expérience à Constantine.
«Nous venons souvent à Constantine chez la famille de mon épouse, et nous avons constaté que le climat et l’altitude sont très favorables à ce type de culture, alors on s’est dit pourquoi ne pas tenter l’expérience de la culture du safran à Constantine», lance Mustapha. Mais il fallait trouver d’abord une parcelle de terrain pour les essais. La rencontre avec Abdelatif Benhamadi, un céréaliculteur de la région qui s’est intéressé à leur projet, leur permettra de faire ce premier pas.
Commenceront alors les préparatifs de la pépinière et la plantation des premiers bulbes au mois d’août 2010. Les premières fleurs seront récoltées dès le début du mois de novembre. «Ce fut une agréable surprise pour nous, car les bulbes se sont adaptés à la nature du sol, et le résultat a été très encourageant», dira Louiza avec satisfaction.
La grande surprise sera connue quelques jours plus tard, avec les résultats des analyses d’un laboratoire français sur des échantillons de la première cueillette. «Le laboratoire nous a certifié que ce type de safran cultivé à Constantine est le meilleur au monde du point de vue arome, goût et odeur, chose à laquelle on ne s’attendait pas», déclare Mustapha. Encouragé, le couple décide de lancer une seconde expérience l’année suivante.
Les succès se suivent, et le couple exposera les résultats de son expérience baptisée Safran Tariki (Safran, ma route) en novembre 2012, au salon de l’agriculture Expofilaha organisé à Alger. «Nous avons été surpris aussi par la réaction du nombreux public qui a visité notre stand et qui s’est dit impressionné par ce qu’il venait de découvrir», révèle Louiza.
Plus de quatre ans après, le couple ambitionne d’avoir une superficie plus importante pour développer encore cette activité, surtout qu’elle a permis de recruter et de former une dizaine de jeunes et promet de générer d’importantes ressources financières. «Notre ambition est d’avoir une superficie plus grande, surtout, que la safranière installée depuis 2010 a donné de meilleurs résultats ; et nous attendons toujours une aide de la part du wali qui a montré son intérêt pour cette activité, et pourquoi ne pas faire de la wilaya une pionnière dans la culture du safran en Algérie», nous confie le couple  Aknouche.
Arslan Selmane








Selon le ministre de l’Habitat « L’essentiel est que la salle du Zénith soit prête pour le 15 avril »

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le 17.02.15 | 10h00 2 réactions

Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelmadjid Tebboune, a montré, hier, une satisfaction beaucoup plus mesurée au sujet des projets de l’évènement culturel de 2015, en particulier celui du Pavillon des expositions.

Là il a bien fallu se rendre à l’évidence que le projet en souffrance depuis des mois, en raison du litige sur le montant de la caution de garantie opposant les autorités locales et l’entreprise en charge des travaux, exigeait un arbitrage du ministre.
Celui-ci s’est montré étrangement conciliant avec l’entreprise de réalisation, contrairement au wali, qui soutenait mordicus, que cette dernière avait failli à ses engagements, notamment pour ce qui concerne les délais de réalisation et la livraison de la charpente métallique nécessaire à la réalisation de la structure.
Tebboune est allé même jusqu’à désavouer le directeur des équipements publics et le wali de Constantine. Etrange retournement de situation, sachant que le wali de Constantine avait déclaré à plusieurs reprises que le projet devait être retiré aux Espagnols. Pour ce qui est des autres projets, celui de la salle Zenith a constitué le point d’orgue de sa visite puisque celui-ci a déclaré que pour lui «l’essentiel est que cette salle soit prête le jour «J» soit le 15 avril prochain» pour accueillir les prestigieux invités de la ville, laissant entendre que les autres projets pouvaient attendre.
Comme si la manifestation devait se limiter à la soirée inaugurale du 15 avril. Par ailleurs et lors de la première journée de sa visite, dimanche dernier, Tebboune s’est dit particulièrement satisfait de la cadence des chantiers du logement dans la wilaya. «Au vu des programmes déjà réalisés ou en cours par des entreprises chinoises et turques notamment, nous pouvons dire  que la crise du logement dans cette wilaya ne sera plus qu’un mauvais souvenir à l’horizon 2019», a-t-il affirmé. Le ministre faisait référence aux projets inspectés, notamment ceux de réalisation de 4000 logements sociaux locatifs lancé à Aïn Abid mais également au projet des 620 logements promotionnels publics de Massinissa à El Khroub et celui de 4000 logements participatifs à l’UV 20 à Ali Mendjeli, en plus du projet de 6000 logements AADL de Retba dans la commune de Didouche Mourad. 
F. Raoui
 
 
VOS RÉACTIONS 2
L'échotier   le 20.02.15 | 12h09
 Triste
On le sait depuis longtemps qu'une hirondelle ne fait pas le printemps. Et voilà qu'un ministre s'accroche à un seul équipement pour tenter de sauver du naufrage une manifestation préparée à la va vite et sans aucune prospective. Droit devant et même le mur qui fait face, ne fait pas peur.
 
muloudia   le 17.02.15 | 17h20
 L'arret du chantier espagnol à
+ou- 1 mois de l'échéance est trop couteux et meme inutile;donc Mr Tebboune redonne de l'élan à ce projet et aussi à cette entreprise.
 







TRONÇON DE DJEBEL OUAHCH : Ouverture à la circulation en avril prochain ?

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le 17.02.15 | 10h00 2 réactions
 
 Le contournement de 13 km coûtera 5 milliards de dinars
Le contournement de 13 km coûtera 5 milliards de dinars

Le tronçon de Djebel Ouahch sera ouvert à la circulation en avril 2015, a déclaré le ministre des Travaux publics, Abdelkader Kadi, lors de son passage, le 10 février à l’émission «L’invité de la rédaction» de la Chaine III de la radio nationale.

Un tronçon qui a pénalisé l’avancement de l’autoroute Est-Ouest en matière de temps et de coût en raison d’un éboulement survenu en janvier 2014 au niveau du tunnel.
Car, pour surmonter notamment la paralysie du trafic routier sur l’axe reliant Constantine à Skikda, le ministère des Travaux publics a débloqué une rallonge de 5 milliards de dinars pour réaliser un contournement. Un projet d’une rocade près du tunnel sur 13 kilomètres. «Sur les 13 km, il y a déjà 8 km d’ouverture de piste», a précisé Kadi. Lors de précédentes interventions radiophoniques ou de déclarations à la presse,  le ministre a spécifié la date de juin 2015 comme celle de la réception du tronçon en question et dont l’ouverture à la circulation est attendue impatiemment par des milliers d’automobilistes et routiers.
L’avancement de deux mois de la livraison de ce projet de haute facture est indéniablement lié à l’événement culturel que la ville s’apprête à abriter à partir du mois d’avril prochain. Ainsi, l’ouverture à la circulation du tronçon de Djebel Ouahch viendra à point nommé accompagner le lancement des festivités de la manifestation, «Constantne, capitale de la culture arabe». Il faudra rappeler que suite à l’éboulement en question, le consortium japonais COJAAL chargé de la réalisation des 84 km restant du tronçon Est de l’autoroute Est-Ouest s’est vu retirer son chantier et son contrat résilié.
Il sera remplacé par deux groupements d’entreprises qui prendront la suite des travaux pour un coût financier moindre, a-t-on prétendu. D’ailleurs une commission a été alors instruite par le prédécesseur d’Abdelkader Kadi au département des Travaux publics, en l’occurrence Farouk Chiali, pour apporter toute la lumière sur cet incident. Les résultats de cette enquête n’ont jamais été rendus publics.
Au niveau de la direction des Travaux publics (DTP) de Constantine, on n’a pas souhaité commenter l’information. Mais si la tutelle a fixé les délais de la réception du projet, il faudra  s’y conformer, serions-nous tentés d’en conclure. A rappeler que le coût global de réalisation des 1200 km de l’autoroute Est-Ouest ne dépassera pas les 11 milliards de dollars. «Mais si on ajoute les pénétrantes et les rocades cela va dépasser les 11 milliards de dollars», a précisé  le ministre. Le péage sur l’autoroute sera lancé avant la fin de l’année 2015, a-t-il promis.  
Naïma Djekhar
 
 
VOS RÉACTIONS 2
Jamal B   le 17.02.15 | 18h03
 Tout à fait alain 48 !
En plus de ça le tronçon centre-ouest mis à la circulation est déjà abîmé sur plusieurs de ses endroits! Je suis tout à fait d'accord avec vous monsieur alain 48 sur le fait que les gens de l'est algérien et particulièrement les gens des villes de Constantine, de Annaba et de Skikda n'aient pu bénéficier autant que les autres de l'extraordinaire gain de mobilité et de fluidité du trafic. Hier à mon retour de Annaba vers Constantine tout était impeccable au niveau de l'autoroute qui soit dit en passant a été construite avec une qualité remarquable. Mais il y a eu cette bifurcation à quelques encablures d'El Harrouche qui nous plongea de nouveau dans l'enceinte de la fameuse route d'El Kentour et la conséquence était plus qu'évidente: une perte de temps terrible. Cela m'a donc pris au total un peu plus de cinq heures et demi de route. Soit presque deux fois le temps qu'on met pour effectuer le trajet Constantine-Alger qui pourtant lui est construit sur une distance comptant plus que le double du kilométrage de l'axe Constantine-Annaba!
 
alain48   le 17.02.15 | 11h55
 injuste
si le péage sera effectivement lancé fin 2015 , cela veut dire que les usagers de l'autoroute des wilayas de l'est algérien ne bénéficieront de 4 ans de gratuité comme ceux du centre et de l'ouest notamment .
le péage devrait être différé pour cette région .



SOCIÉTÉ DE MAINTENANCE DES CIMENTERIES DE L’EST : Les travailleurs en grève ouverte

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le 18.02.15 | 10h00 Réagissez

Près de 400 travailleurs des cimenteries de Hamma Bouziane à Constantine, Aïn Touta dans la wilaya de Batna, H’djar Essoud à Skikda, Aïn Kebira à Sétif  et El Ma Labiod de Tébessa, relevant de la société de maintenance de l’est (SME), une filiale du groupe industriel des cimenteries d’Algérie (GICA) sont en grève ouverte depuis trois jours.

Ce mouvement de protestation est motivé selon un courrier adressé au directeur de la SME, dont nous avons pu avoir hier une copie auprès des travailleurs grévistes à la cimenterie de Hamma Bouziane, dans la wilaya de Constantine, par le non-respect de la réglementation et des dispositions conventionnelles par l’administration de la SME.
Selon le document en question, la plate-forme des revendications du personnel SME comporte, entre autres, la revalorisation de la prime de performance, la dissolution de l’actuelle section syndicale et l’organisation d’une assemblée générale pour l’élection d’une nouvelle section, ainsi que le départ du chef du personnel et du directeur des affaires financières (DAF). Le porte-parole des travailleurs grévistes, Redouane Boutoumou, nous a déclaré à ce propos que des négociations ont été engagées par téléphone avec le directeur général de GICA, lequel s’est engagé à étudier leurs revendications.
Des promesses que les travailleurs de la SME estiment insuffisantes, tant qu’aucun engagement écrit ne leur a été transmis. Quoiqu’il en soit, les travailleurs en colère de la SME se disent déterminés à poursuivre leur mouvement, tant qu’aucune négociation sérieuse n’a été engagée par la tutelle.  
F. Raoui




ÉVÈNEMENT CULTUREL DE 2015 : Un riche programme théâtral au menu

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le 18.02.15 | 10h00 1 réaction

Plus de 30 nouvelles productions théâtrales sont au menu du programme des activités culturelles de l’évènement de 2015, selon Mohamed Yahiaoui, directeur du théâtre national algérien, et chef du département théâtre au commissariat de Constantine capitale de la culture arabe. Lors d’une conférence de presse animée lundi au siège du commissariat situé boulevard Zighoud Youcef, le même responsable a annoncé la production de sept pièces inspirées des œuvres célèbres d’auteurs très connus à l’instar de Redha Houhou, Abdelkader Alloula, Kateb Yacine, Abdelhamid Benhadouga, Ould Abderrahmene Kaki, Tahar Ouetar et Malek Haddad.
Des coproductions théâtrales sont également prévues avec  l’Egypte, l’Irak, la Tunisie et la Palestine, en sus des jumelages avec les théâtres des autres pays étrangers. «Le programme prévoit également des pièces produites par des handicapés et des spectacles dans les espaces publics», a ajouté le conférencier, qui a précisé que toutes les pièces produites seront jouées dans plusieurs wilayas. Notons qu’en marge de cette conférence, le commissariat de l’évènement culturel a signé des conventions de partenariat avec plusieurs théâtres régionaux.
Yousra Salem
 
 
VOS RÉACTIONS 1
castors25   le 18.02.15 | 17h53
 la pièce théâtrale ,on l'a déjà vu ??
les Constantinois ont vus plus que du théâtre et je dirais même vécu l’événement avant même l’Inauguration

un Théâtre à ciel ouvert ,le massacre des façades des habitations ,des trottoirs,les rues,les détournements de l'Argent publique en plein jour.

le gaspillage pour la préparation de cette Année de la culture à Constantine,

sera insignifiant par rapport à l'Argent qui va être déversé pour inviter tous ces artistes.





MALGRÉ UNE DÉCISION DE JUSTICE EN SA FAVEUR : Un propriétaire victime d’un abus de pouvoir de la commune

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le 19.02.15 | 10h00 Réagissez

L’affaire, qui a trainé pendant des années, et a été relatée par plusieurs journaux, a porté un sérieux préjudice au propriétaire d’un local commercial à l’avenue de la Liberté dans le quartier du Coudiat.

Abdelouahab Khellassi a vécu un long calvaire, qui a aussi eu raison de sa santé, mais n’a pas ébranlé sa volonté de recouvrer ses droits, face à une farouche obstination de la part de la commune de Constantine de ne pas vouloir appliquer les décisions de la justice de l’Etat algérien.
Pour l’histoire, tout a commencé en 2000 quand l’APC de l’époque à majorité RND décide d’ériger une fresque en hommage aux maîtres du malouf à Constantine, sur un mur située sur l’avenue de la Liberté, juste en face de la mosquée El Istiqlal. Si l’idée est louable, sa concrétisation s’est faite au dépens d’un propriétaire, qui s’est vu empiéter le mur de son jardin.
Malgré un dépôt de plainte du concerné, la commune de Constantine n’a pas attendu la décision de la justice pour imposer sa propre loi et achever la fresque. Commencera alors un long parcours du combattant pour Abdelouahab Khellassi, qui usera de tous les moyens légaux pour recouvrer son droit, contre la mauvaise volonté et le mépris affiché par la commune de Constantine.
Khellassi a fini par obtenir un jugement définitif et exécutoire de la justice, lui reconnaissant le droit de jouir de la partie du mur d’une longueur de 7,95m, incluse dans sa propriété. «Cela fait des années que je n’arrive pas à faire appliquer cette décision de justice, malgré toutes les démarches entreprises auprès des services de la communes, mais à chaque fois on trouve des prétextes fallacieux pour rejeter ma demande pour l’obtention d’un permis de démolir», déclare-t-il.
Offusqué par le comportement des responsables, Khellassi ira jusqu’à saisir toutes les autorités judiciaires du pays. «Pourquoi la commune de Constantine refuse-t-elle d’appliquer une décision de la justice algérienne ; dans ce cas vers qui dois-je m’adresser ? est-ce que je devrais saisir les instances internationales ?» s’interroge-t-il. Des questions somme toutes légitimes, surtout que le concerné a usé toutes les voies de recours, mais sans résultat.
Suite à une demande de permis de démolir adressée  par Khellassi à la commune de Constantine le 11 mai 2014, cette dernière répond par une lettre datée du 1er juin de la même année signée par le vice-APC chargé de l’urbanisme, où elle reconnaît implicitement qu’une partie du mur en question est une propriété de Abdelouahab Khellassi, ce que ce dernier a toujours réclamé. «Malheureusement on me refuse toujours le permis de démolir pour engager des travaux dans ma propriété», dénonce-t-il.
La réponse aux questions de Khellassi réside en fait dans cette fameuse fresque hideuse, dont une partie se trouve sur le mur qui lui appartient, et dont aucun maire ne veut accorder l’autorisation de démolir, quitte à s’en ficher des décisions de la justice. Dans ce cas l’on est en droit de s’interroger: la commune de Constantine est-elle au dessus de la loi ? 
Arslan Selmane


Association Numidi-art : Les zinzins font leur rentrée littéraire

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le 19.02.15 | 10h00 1 réaction
 
 L’association n’est pas à son premier « délit » culturel
L’association n’est pas à son premier «...

Je lis donc j’existe. Ça pourrait être le credo des zinzins de la lecture, un club créé et «imposé» par l’association Numidi-art. Zinzins par ce qu’ils le sont.

Il faut être amoureux du livre et de la littérature pour oser le pas au temps des textos. On ne le dira jamais assez, Constantine a mal de ces espaces d’expression et d’échange intellectuel. La deuxième encontre tenue samedi au siège de l’Odej à Bel air a réuni une vingtaine de participants dans une ambiance fort sympathique.
Une rencontre riche et fructueuse à plus d’un titre, affirme LounisYaou, président de l’association. «Un moment fort en émotion, un après-midi d’échange et de débat entre des passionnés de lecture et de littératures rehaussé par la présence d’amoureux d’arts et de littératures qui ont donné à la rencontre toute sa beauté.
C’était aussi une conjonction de plusieurs passions : la littérature - objet de la rencontre- la musique avec la voix suave de notre Sara et ses musiciens Djallil, Kiki et Khaled qui ont apporté une touche de douceur à la rencontre, et puis il y avait Ayoub le dessinateur, l’artiste qui a matérialisé l’instant.» a-t-il ajouté.
Pour cette fois, le roman de Yasmina Khadra «Ce que le jour doit à la nuit» a été le fil conducteur des discussions. L’expérience de lecture racontée par un jeune membre du club a suscitée bien des réactions et des interventions dans les limites de l’ouvrage ou au-delà, puisqu’il est inévitable de parler d’un roman sans échapper à la tentation de le situer dans son contexte historique et politique et le soumettre à des jugements.
Les jeunes présents, encore timides ou intimidés, hésitent encore à intervenir, commente l’enseignant Ahmed Meliani. Mais certains d’entre eux l’ont fait et ceux qui ne l’ont pas fait ont beaucoup aimé. Le métier viendra inexorablement avec la pratique, comme on dit. L’après-midi littéraire a été agrémentée, en outre, par des pauses musicales assurées par la voix étonnante de la Jeune Sara Bouznada et les jeunes musiciens qui l’accompagnaient. Comme quoi, musique et littérature, font toujours bon ménage.
L’association Numidi-art n’est pas à son premier « délit » culturel et social. En plus de multiplier les initiatives vouées à l’art et d’être une pépinière de jeunes talents, elle se consacrer aussi à apporter aide et solidarité avec les enfants malades hospitalisés et vis-à-vis des SDF hébergés à Diar Er Rahma. Une rencontre baptisée «les zinzins de la musique» est prévue prochainement. Bon vent les zinzins.
Nouri Nesrouche




MALGRÉ UNE DÉCISION DE JUSTICE EN SA FAVEUR : Un propriétaire victime d’un abus de pouvoir de la commune

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le 19.02.15 | 10h00 Réagissez

L’affaire, qui a trainé pendant des années, et a été relatée par plusieurs journaux, a porté un sérieux préjudice au propriétaire d’un local commercial à l’avenue de la Liberté dans le quartier du Coudiat.

Abdelouahab Khellassi a vécu un long calvaire, qui a aussi eu raison de sa santé, mais n’a pas ébranlé sa volonté de recouvrer ses droits, face à une farouche obstination de la part de la commune de Constantine de ne pas vouloir appliquer les décisions de la justice de l’Etat algérien.
Pour l’histoire, tout a commencé en 2000 quand l’APC de l’époque à majorité RND décide d’ériger une fresque en hommage aux maîtres du malouf à Constantine, sur un mur située sur l’avenue de la Liberté, juste en face de la mosquée El Istiqlal. Si l’idée est louable, sa concrétisation s’est faite au dépens d’un propriétaire, qui s’est vu empiéter le mur de son jardin.
Malgré un dépôt de plainte du concerné, la commune de Constantine n’a pas attendu la décision de la justice pour imposer sa propre loi et achever la fresque. Commencera alors un long parcours du combattant pour Abdelouahab Khellassi, qui usera de tous les moyens légaux pour recouvrer son droit, contre la mauvaise volonté et le mépris affiché par la commune de Constantine.
Khellassi a fini par obtenir un jugement définitif et exécutoire de la justice, lui reconnaissant le droit de jouir de la partie du mur d’une longueur de 7,95m, incluse dans sa propriété. «Cela fait des années que je n’arrive pas à faire appliquer cette décision de justice, malgré toutes les démarches entreprises auprès des services de la communes, mais à chaque fois on trouve des prétextes fallacieux pour rejeter ma demande pour l’obtention d’un permis de démolir», déclare-t-il.
Offusqué par le comportement des responsables, Khellassi ira jusqu’à saisir toutes les autorités judiciaires du pays. «Pourquoi la commune de Constantine refuse-t-elle d’appliquer une décision de la justice algérienne ; dans ce cas vers qui dois-je m’adresser ? est-ce que je devrais saisir les instances internationales ?» s’interroge-t-il. Des questions somme toutes légitimes, surtout que le concerné a usé toutes les voies de recours, mais sans résultat.
Suite à une demande de permis de démolir adressée  par Khellassi à la commune de Constantine le 11 mai 2014, cette dernière répond par une lettre datée du 1er juin de la même année signée par le vice-APC chargé de l’urbanisme, où elle reconnaît implicitement qu’une partie du mur en question est une propriété de Abdelouahab Khellassi, ce que ce dernier a toujours réclamé. «Malheureusement on me refuse toujours le permis de démolir pour engager des travaux dans ma propriété», dénonce-t-il.
La réponse aux questions de Khellassi réside en fait dans cette fameuse fresque hideuse, dont une partie se trouve sur le mur qui lui appartient, et dont aucun maire ne veut accorder l’autorisation de démolir, quitte à s’en ficher des décisions de la justice. Dans ce cas l’on est en droit de s’interroger: la commune de Constantine est-elle au dessus de la loi ? 
Arslan Selmane





Tribunal criminel de Constantine : 12 ans de prison ferme pour homicide

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le 23.02.15 | 10h00 Réagissez

Le tribunal criminel de Constantine a condamné, hier, Ziane Gharbi, âgé de 45 ans, à douze années de prison ferme pour coups et blessures ayant entraîné la mort sans l’intention de la donner. Selon l’arrêt de renvoi, les faits de cette affaire remontent au 1er août dernier à Oued Endja dans la wilaya de Mila.

 Cette nuit là, vers 22h, l’un des membres de la famille de l’accusé a construit une marche en ciment à l’entrée de la rue, pénalisant ainsi la circulation. La victime Tahar Ouchen, âgé de 77 ans, a tenté de détruire cette marche, ce qui a donné lieu à une forte dispute qui finira par dégénérer. Dans la mêlée, l’accusé donna un coup à la tête du défunt avec une barre de fer, lui causant une fracture au crâne.
Après quelques jours passés dans le coma, et en dépit d’une intervention chirurgicale, la victime succombera à ses blessures. Présenté, hier, à la barre, l’accusé a déclaré : «j’avais seulement poussé la victime, qui a tenté de m’agresser avec un marteau. Alors, cette dernière est tombée sur la marche et s’est fracturée le crane. Je n’avais pas l’intention de lui faire du mal.» L’avocat de l’accusé a plaidé la légitime défense de son client et à demander sa relaxe. Dans son réquisitoire, le Procureur général a demandé la perpétuité soutenant qu’il s’agissait d’un meurtre prémédité. Après délibération, le tribunal a requalifié les faits en coups et blessures volontaires ayant entrainé la mort sans intention de la donner, condamnant l’accusé à douze ans de prison. 
Yousra Salem
 



Quartier de Oued El Had : Un marché encombrant aux abords d’une école

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le 23.02.15 | 10h00 1 réaction
Quartier de Oued El Had : Un marché encombrant  aux abords d’une école


L’anarchie est à son comble au niveau de la rue Bouchaïr Mohamed dans le quartier populaire des frères Abbes, plus connu par Oued El Had, où un marché informel de fruits et légumes s’installe tous les jours.

Une situation que les parents d’élèves de l’école Ahmed Boussouf, située dans cette rue, affirment avoir dénoncé à maintes reprises. Ces derniers évoquent à ce propos le manque d’hygiène et de sécurité à proximité de l’établissement en question, ainsi que les désagréments subis au quotidien par les écoliers à cause de ces vendeurs. Ces derniers encouragés, semble-t-il, par le laxisme évident des services compétents qui consiste à fermer les yeux sur ce genre de dépassements, se sont tout bonnement accaparés avec leurs échoppes de fortune les trottoirs longeant l’école et une bonne partie de la chaussée.
Le même constat est valable également du côté de l’école Rabéa El Adaouia, située dans la même rue, selon nos interlocuteurs. «C’est devenu insupportable, aussi bien pour nous que pour nos enfants, surtout que ces nuisances ont tendance à s’intensifier en début d’après-midi, à l’heure de la sortie de l’école», nous dira un parent d’élève, avant d’ajouter: «Les enfants sont obligés d’enjamber toutes sortes de détritus pour rejoindre leurs écoles, sans parler du fait qu’ils soient contraints de marcher sur la chaussée, au milieu des voitures, en raison de l’occupation anarchique des trottoirs par ces camelots avec tous les risques d’accidents que cela suppose».
Les parents ne manqueront pas de souligner d’autre part les autres nuisances, notamment celles sonores, causées aux écoliers les empêchant de se concentrer pendant les cours. Interrogée à ce propos, la directrice de l’école Ahmed Boussouf, Mme Habiba Khiroumia, nous a déclaré avoir signalé depuis cinq ans et à plusieurs reprises l’anarchie qui règne aux abords de son établissement aux autorités concernées, à savoir les services de la mairie, mais aucune suite n’a été donnée à ses doléances.
Devant ce manque de réaction, celle-ci nous avoue avoir dû user de psychologie avec ces vendeurs informels, en tentant de les gagner à sa cause. Ces derniers qu’elle a appris à connaître, nous a-t-elle affirmé, protègent dorénavant les enfants des agressions et assurent même la protection durant les heures de fermeture de l’établissement, lequel ne dispose que d’un seul gardien, dont la vacation se termine à 12h30. La directrice de l’école Mohamed Boussouf, tout en convenant que cette situation paraît peu ordinaire, nous a précisé qu’elle a dû s’accommoder de ces vendeurs.
Elle affirme qu’elle a tenté de les sensibiliser également sur le respect des règles d’hygiène, en convenant avec eux de ne pas laisser de détritus derrière eux après les heures de marché et de nettoyer quotidiennement l’espace qu’ils occupent à proximité de l’école. F.Raoui
 
F. Raoui
 
 
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naouri2001   le 24.02.15 | 00h18
 DES ECOLES QUI PREEXISTAIENT
Devant l'école primaire il existait un grand espace d'attente pour les enfants .Un beau jour il fut cédé à des proches de l'administration ou du parti unique ; l'espace fut construit par le bénéficiaire en locaux à louer: cafés,friperies,plastics ménagers,alimentation...
A côté la ferme dite de la "SAS" fut attribuée dans sa quasi-totalité , à l'exception d'un appartement annexé au service de l'état-civil de O.H., puis affreusement remodelée en deux niveaux de locaux à louer obstruant le carrefour de la poste de Daksi.
De l'autre côté du carrefour un projet de crèche associée à la cité Daksi a été détourné en cour de route en marché semi-couvert.
Au carrefour supérieur de O.H , l'affaire fût jouée dès que l'espace d'arrêt des autobus a été cédé à un promoteur épaulé pour en faire des locaux commerciaux dont les activités débordent sur la voie.
Et tout a été ainsi amorcé dans l'anarchie et le mauvais goût urbanistique sous l'égide d'un parti unique qui a fait école depuis.
A noter que le mur du CEM ,mitoyen de la poste de Daksi , est en train de se déchausser et de pencher dangereusement pour ces jeunes scolaires qui viennent s’asseoir contre par l'extérieur très souvent.
MAIS TOUT LE MONDE LE VOIT AU QUOTIDIEN,LE COMMISSARIAT A CÔTE,LES FONCTIONNAIRES DE L'APC ET DE LA WILAYA,LA GENDARMERIE QUI PASSE ,LES OFFICIERS DES NOMBREUSES CASERNES AUTOUR...ET LES PARENTS D’ÉLÈVES BIEN SÛR.....






Un patrimoine communal non réhabilité : Le conservatoire en quête de …conservation

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le 24.02.15 | 10h00 Réagissez
 
 Une troupe artistique en répétition
Une troupe artistique en répétition

Début janvier, le directeur du logement a déclaré que le conservatoire communal de musique Abdelmoumen Bentobal, baptisé au nom d’un des maîtres du Malouf constantinois, «sera fin prêt pour la manifestation de 2015». Il a fait l’objet d’une opération de ravalement de façade dans le cadre d’un programme ayant ciblé près de 500 immeubles de la ville pour un budget de 3 milliards de DA. Mais, contrairement aux bâtisses dont l’étanchéité et les toitures ont été refaites, le conservatoire de Constantine, ex- école Léon Bourgeois, n’a eu droit qu’à une simple couche de peinture.

Extérieurement il est flambant neuf, mais à l’intérieur il est dans un piteux état. Murs lézardés, étanchéité défectueuse induisant de sérieuses infiltrations à la moindre goutte de pluie et équipements vétustes. Il s’apprête à accueillir des artistes et des délégations étrangères à l’occasion de la manifestation de 2015, mais il n’a pas été retapé pour faire bonne figure. « Le conservatoire ne figure pas, effectivement, sur la liste des structures à réhabiliter. D’ailleurs c’est le cas pour la majorité du patrimoine de la commune.
Je ne détiens malheureusement pas toutes les informations à ce sujet», nous a affirmé l’élu responsable des affaires culturelles de l’APC de Constantine, nous invitant à nous rapprocher de la direction du conservatoire pour connaître les raisons de l’exclusion de la structure du programme de réaménagement et de rénovation initié par les autorités.
Contacté à ce sujet, le directeur du conservatoire, M. Hassan Blikaz a exprimé son profond regret de voir cette infrastructure, délaissée par les autorités concernées, ne bénéficiant d’aucune rénovation vu l’état de dégradation dans laquelle elle se trouve. «Quand les  ouvriers sont venus pour peindre l’extérieur de la structure, j’ai demandé à ce que certains travaux soient opérés à l’intérieur, mais l’intervention des équipes chargées du ravalement n’a ciblé que les murs externes, parce que c’est tout ce qui a été préalablement prévu. J’ai alors saisi l’APC de Constantine par écrit, mais il n’y a rien de nouveau pour le moment et le conservatoire est vraiment dans un piteux état.
Sa rénovation est assurément nécessaire. A défaut d’interlocuteurs, nous avons néanmoins procédé au nettoyage de la cour et envisageons d’implanter un chapiteau où des concerts seront donnés par les élèves du conservatoire dans le cadre de la manifestation de 2015», soutien notre interlocuteur. Interrogée également, à ce propos, une source proche de l’APW n’a pas manqué de manifester son étonnement, estimant que «le conservatoire aurait dû normalement bénéficier de travaux de réhabilitation au même titre que les autres infrastructures faisant partie du patrimoine culturel et historique de la ville».
Comment expliquer cet oubli ? Comment expliquer aussi que le centre culturel Abdelhamid Benbadis (ex-UP) et le centre Rachid Ksentini de la cité Daksi, dépendant tous deux de la municipalité de Constantine, vont être finalement réhabilités, à part le conservatoire ? Le conservatoire de musique de Constantine dispense des cours de solfège, de guitare, de piano, de violon, de luth, de mandoline, en plus de l’art dramatique en direction des enfants à partir de 6 ans, mais aussi des adultes. Des milliards de DA sont investis pour la préservation et la réhabilitation du patrimoine de la ville de Constantine, le conservatoire de musique, dont l’existence remonte aux années 1940, n’en fait-il donc pas  partie ?
 
Lydia Rahmani


Affaire de l’enlèvement du bébé laïth kaoua : Des sages-femmes et des parents des détenus reviennent à la charge

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le 24.02.15 | 10h00 Réagissez

Des dizaines de personnes, ont tenu hier matin un sit-in devant le cabinet  du wali, pour revendiquer la libération de Asma L., sage-femme stagiaire, âgée de 24 ans, détenue dans l’affaire de l’enlèvement du bébé Laïth Kaoua.

Des employés au sein du service de la maternité du CHU Dr Benbadis, des ex-détenus dans la même affaire et des parents de la stagiaire demandent, à travers ce mouvement de solidarité, «plus de rigueur» dans l’étude des preuves recueillies durant l’enquête. «Nous ne contestons pas les décisions de la justice, mais jusqu’à maintenant, les preuves présentées sont insuffisantes pour décider l’incarcération de la jeune Asma.
Cette dernière qui a travaillé seulement 18 mois au CHU, a vu sa vie complètement bouleversée ainsi que sa carrière professionnelle», a déclaré une représentante des sages-femmes rencontrée sur les lieux. Notre interlocutrice a ajouté que la jeune sage-femme est incarcérée au centre pénitentiaire du Coudiat depuis le 13 juin 2014, à cause d’une photocopie du certificat d’accouchement. «Quand nous avons demandé de faire une analyse d’ADN sur les empreintes, on nous a dit que la photocopie n’est pas fiable et les éléments de la police n’ont pas les originaux. Alors pourquoi décider l’emprisonnement d’Asma, après avoir trouvé la griffe sur la photocopie, étant donné que la copie n’est pas fiable.
Cherche-t-on un bouc émissaire ?» a expliqué notre interlocutrice. A propos de l’identification de la signature apposée sur la photocopie du certificat d’accouchement, le père de l’accusée, Abderrahmane L., et dans une requête adressée aux plus hautes autorités du pays, a soulevé «le problème du refus des services de la police scientifique de faire l’expertise d’écriture sur la signature du certificat d’accouchement pour identifier le vrai auteur, en dépit des capacités de ces services à accomplir cette opération».
Dans la même correspondance, le père d’Asma explique : «Ma fille n’était pas présente à la maternité le jour de l’incident ; par ailleurs, le bébé a été enlevé de la nurserie, alors que ma fille accomplissait son stage au service d’accouchement depuis 6 mois». Le père ne manquera pas de rappeler que sa fille est en grève de la faim depuis le 17 février dernier.
De son coté, la représentante des sages femmes protestataires nous a affirmé aussi que l’état déplorable de la maternité du CHU persiste encore, particulièrement après le lancement des travaux de réhabilitation. Selon elle, le personnel de la maternité, qui n’est plus en sécurité après cette affaire, est montré du doigt, insulté par les parents des parturientes et à n’importe quel moment il risque d’être poursuivi en justice.
«Nous sommes soumis à une forte pression et nous travaillons dans des conditions pénibles. Certes il y a eu une légère amélioration, avec une diminution du nombre d’accouchements, mais la situation reste toujours critique. Nous faisons au minimum 70 consultations par jour, dont la majorité sont des cas qui viennent des autres wilayas et ne sont pas vraiment graves et peuvent être pris en charge localement», a-t-elle conclu.
Yousra Salem
 


Assemblée populaire de constantine : Sévère réquisitoire du wali à l’endroit des élus

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le 24.02.15 | 10h00 2 réactions
 
 Le siège de l’APC de Constantine
Le siège de l’APC de Constantine

C’est une véritable mise au point que celle émise, dimanche dernier, par le wali devant les élus de l’APC de Constantine. A quelques semaines du lancement de l’événement culturel majeur, «Constantine 2015», le chef de l’exécutif a reconnu à demi mot l’inaction de la municipalité tant les opérations de déblaiement et de nettoyage, entre autres, ne sont visibles pour personne.

De l’avis même du premier magistrat de la wilaya, il est évident que l’APC du vieux rocher n’affiche aucune célérité dans la gestion des programmes arrêtés pour la circonstance. Tantôt incisif, tantôt conciliant, il égrènera un chapelet de carences et défaillances dont l’urgence d’aplanir ne souffre plus aucune discussion.
Une mise en demeure informelle à l’endroit des élus vient à point nommer mettre le holà à une navigation à vue. Il leur est, désormais, imposé la mise en place d’un agenda pour le suivi des programmes et la répartition des tâches et des responsabilités. L’exacerbation du citoyen en raison de ces chantiers de réhabilitation, de carrelage et de l’amoncellement de gravats et ordures, n’est donc ni un caprice ni une exagération. Quoique ce dernier n’est pas épargné par les foudres du wali. Hocine Ouadah a vraisemblablement saisi cette rencontre pour adresser un message à tous les détracteurs de la manifestation, «Constantine capitale de la culture arabe». Et ils sont fort nombreux.
Les détracteurs pointés du doigt
Sans nommer aucune partie, il pointera du doigt ceux qui affiche un scepticisme face la réception des projets charnières dans les délais, autant que ceux dubitatifs quant à la réussite de l’événement. Ces détracteurs se trouvent en premier lieu parmi la population mais dans les rangs du mouvement associatif et les cercles culturels et universitaires, outre la presse. Peut-il y avoir consensus  autour d’une telle manifestation qui, bon gré mal gré, a été imposée à toute une population ?
Le chef de l’exécutif en conviendra tacitement tout en flattant l’égo des constantinois : «le choix de leur ville est celui du Président de la République et à laquelle, il voue une attention particulière». Pour preuve, «les déplacements multiples, plus de seize, qu’il y a effectué». Et de rappeler la dimension et la portée de cette décision dont les retombées politiques, économiques et touristiques seront positives sur Constantine qui aura plus de «visibilité» après l’événement culturel en question. Le parallèle est vite fait avec Tlemcen, capitale de la culture islamique en 2011. Il y aurait donc un avant et un après, Constantine capitale 2015 ? C’est presque un affront fait à Cirta, la Numide, qui célèbre ses 2500 années d’existence !!!
D’un aveu à l’autre, le wali dans son allocution face au collège élu, l’administration et les organes de presse, a laissé entendre que Constantine ne sera pas tout à fait prête pour le rendez- vous du 15 avril prochain. Une lapalissade !! Mais dans cet exercice verbal qu’il manie avec aisance, il tentera de reprendre avantage sur les «convaincus du désastre» en affirmant qu’une ville en construction est la preuve d’une synergie de développement. «Un développement multisectoriel et dont les acquis profiteront à long terme à la ville des ponts». Constantine ne va pas se débarrasser de sitôt de tous ces chantiers ouverts à travers plusieurs points. Certains se prolongeront jusqu’en 2016, voire 2020.

 
Naïma Djekhar
 
 
VOS RÉACTIONS 2
elhadj   le 24.02.15 | 11h50
 optimisme béat
comment peut on organiser dans un mois un tel événement international alors que tout est en chantier et la nature des dépensées déja effectuées a été dénoncée par une ancienne responsable de la commission préparatoire.selon l'opinion des citoyens peu convaincus de l'utilité de ce festival c'est une véritable gabegie des deniers publics pour des opérations précipitées alors des priorités se font sentir dans d'autres domaines utiles pour les citoyens de cette ville :éclairage public, réhabilitation du vieux bâti pour lesquels des taxes sont prélevées depuis des années,réseau routier urbain, réfection des trottoirs,aménagements des espaces verts et jardins publics,réalisation de marchés de quartiers, transport urbain, collecte régulière des ordures ménagères,réfection du réseau AEP et téléphonique, amélioration des structures d'accueil au niveau des administrations et centres sanitaires. le citoyen entend être satisfait pour ce genre de choses et n'a nullement envie d'écouter des fables ou des poésies qui ne lui remplissent pas le ventre et n'améliorent pas les conditions de sa vie quotidienne .ne dit on pas que ventre affamé n'a point d'oreilles.qu'on laisse ces chantiers en cours et on a pas besoin ni de feux d'artifice à coups de millions ni de chanteurs ou poètes que rien n'incite à entendre.
 
huron   le 24.02.15 | 10h22
 HUMILIÉE D’ÊTRE HONORÉE.
Ça ferait un bon titre de roman de gare. Mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit. C’est de Constantine, proposée par l’Algérie pour être capitale de la culture arabe en 2015. Elle s’en trouve HONORÉE. Mais voici qu’elle devra se présenter dans un état déplorable. Elle en est profondément HUMILIÉE, elle l’héritière de Cirta !
Jusqu’à présent, on s’est surtout préoccupé d’améliorer à grands projets ses équipements culturels et ses capacités d’accueil. Ça n’a pas marché aussi bien qu’on pensait. Ça a créé des polémiques. C’est le sort de toute ville lancée dans cette gageure de « vitrine mondiale de la culture ». A Constantine, finalement, les réalisations ne seront pas à la hauteur des annonces. Et il reste à emporter l’indispensable consensus d’une population encore sur sa réserve. On ne s’en est pas soucié. Erreur !
COMMENT A-T-ON PU LAISSER TOMBER SI BAS UNE VILLE PROMUE CAPITALE MONDIALE DE LA CULTURE ? Accepter qu’elle ait à se présenter dans un cadre de vie si délabré, un état aussi nul ? Qu’elle apparaisse si sale et si décadente, malgré son ascendance exceptionnelle et ses atouts touristiques hautement reconnus ?
C’est politiquement incorrect : quelle image donne-t-on du pays ? Incorrect diplomatiquement : accueillir ses invités dans de si piètres conditions n’est-ce pas leur faire injure ? Pourquoi est-ce incorrect, insensé, inacceptable ? Pour non application du code des collectivités locales, tolérée pendant des années ! Car le P/APC et l’APC sont en charge du cadre de vie (article 124), de l’hygiène et de la salubrité (article 123), de la culture et du tourisme (article 122). L’état actuel de la ville prouve qu'ils y ont failli, laissant se dégrader tout ce qui fait la renommée d’une ville. Celle de Constantine par rapport à Alger et Oran. Mais, par-dessus tout, celle de Constantine héritière de Cirta !
Début 2013, le wali avait tiré le signal d’alarme. Des citoyens avaient publié « Constantine riposte », dont voici un extrait : « Toute la ville est otage de ce nivellement par le bas. Vidée de sa sève, Constantine est promue à être une capitale culturelle alors qu’elle a du mal à être une ville tout court, parce que blessée, trahie et abandonnée. » L'actuel wali vient d’intervenir.
HUMILIÉE, c’est insoutenable pour une ville, ses enfants et ses habitants ! Que la cause en soit une profonde inculture de la ville, et de ses nuisances sur les lieux et sur les gens, quel comble pour une « capitale mondiale de la culture » !
 



SESSION DE L’APC DE CONSTANTINE : Tirs croisés sur le soldat Rihani

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le 25.02.15 | 10h00 6 réactions

Le P/APC de Constantine Seif-Eddine Rihani a subi, hier, une véritable épreuve de tirs croisés à l’occasion de la session «très peu ordinaire» de l’APC dans une salle transformée pour la circonstance en un terrain de manœuvres.

Les principaux acteurs de cette opération ne sont autres que les plus farouches détracteurs du P/APC, qui redoublent encore de férocité à chaque session. Le maire a été ouvertement accusé par certains élus, dont l’un de ses opposants Moudir Barka, de dilapidation de l’argent public, de mauvaise gestion et de non-respect des lois de l’assemblée.
Ces accusations surviennent suite à l’approbation des différents marchés de collecte des ordures. Moudir Barka élu du FLN a contesté le choix de l’entreprise EPE-SPA-SOPT (ex. EPCPTC). Cette dernière a bénéficié d’un marché de gré à gré pour la collecte des différents déchets au niveau de 29 secteurs. Selon lui, cette entreprise utilise encore des moyens inappropriés et classiques pour la rotation.
Il a affirmé qu’elle est incapable de rendre la ville propre. Des accusations lourdes contre le maire ont généré ne dispute entre lui et les élus opposants, où l’un d’entre eux l’a accusé de dictature car le maire refuse de prendre en considération leurs propositions.
Moudir Barka n’a cesse d’accuser le P/APC d’avoir gaspillé l’argent public, car avec 60 milliards de centimes, d’après ses dires, l’APC peut faire des miracles mais malheureusement elle a consacré une telle somme pour l’évacuation des déchets qui séjournent depuis longtemps dans la ville. «Il y a un mauvais choix de la qualité des bacs à ordures. On place des petits bacs faciles à voler dans les quartiers les plus habités.
Pourquoi nous ne faisons pas recours aux micro-entreprises ?» a-t-il déclaré. Toujours à propos de la collecte de déchets, Abdelwahab Souici, qui a demandé au maire de rendre le tablier, a révélé que l’APC est défaillante et absente sur terrain. «Le problème date depuis deux ans et jusqu’à maintenant il n’a pas été réglé, en dépit du budget énorme de la commune», a-t-il fulminé.
En réponse à ces accusations, le maire a dit ceci : «il faut prendre en considération les différents obstacles qui entravent la bonne collecte des déchets. Nous notons à titre d’exemple les travaux au niveau de la ville et les voyages que font les camions chaque jour pour jeter les déchets au CET, c’est pourquoi nous sommes en train d’attendre l’ouverture de la station de transfert du 13ème Km afin de pouvoir faire d’autres rotations par jour».
Yousra Salem
 
 
VOS RÉACTIONS 6
lelouj   le 28.02.15 | 10h04
 la médiocrité qui règne
Constantine se noie dans l’obscurité totale à cause d'une gestion désastreuse des élus à leur tête le PAPC. Tous.Tous les problèmes que vit cette ville :ordures ménagères,dégradation du réseau routier,constructions illicites ,commerces informels,banditisme,dégradation du cadre de vie...prouvent encore une de plus la nonchalance de ce responsable .En management , quand ça ne tourne pas , ce n'est pas les citoyens qui ne valent pas mais plutôt le premier responsable qui est défaillant.Donc de grâce Monsieur le maire rendre à CESAR ce qui appartient à CESAR, comme ça vous allez rendre un énorme service à Constantine.
 
lelouj   le 28.02.15 | 09h11
 L'ère de la médiocrité
Depuis l'installation de cette assemblée , Constantine a connu une dégradation sans précédent sur tous les plans .Cet état de fait est dû à l'incapacité des élus à leur tête le PAPC . Constantine se trouve dans la tourmente, elle se noie dans les ordures;la dégradation du cadre de vie, la dégradation du réseau routier,les embouteillages , le banditisme,les constructions illicites , le commerce informel...au vu et au su de ce responsable élu.Face à cette situation que peut on dire?en management quand ça ne tourne pas en rond ce n'est pas un problème des citoyens mais plutôt celui du responsable est est défaillant.
 
louai25000   le 26.02.15 | 14h05
 le responssable
mettre un jeune dans un poste de responsabilité magnifique mais le responsable doit avoir un parcoure dans n importe quelle domaine et petit a petit devient grand mais le malheurs le président de l apc de la pauvre Constantine n est petit agent de courusse dans l ets de l’ex mouhafid du fln et d’un seul coup président apc qu est ce qu on attend de responsable ..............
 
eflam   le 26.02.15 | 10h12
 infectes
Franchement! mettre quelqu'un qui a juste 29ans a ce poste de responsabilité qui demande beaucoups de connaissance de terrain et de diplomatie celà relève de l'incompétence de ses dirigeant et les intérêts privés dépasse ceux du publics marre decette peste du FLN de ce Maghraoui et compagnie qui n'ont fait que détruire notre cité! ses étrangers à la cité doivent absolument rendre des comptes.
 
walizou   le 25.02.15 | 17h06
 L'homme qu'il faut .......
Ce maire depuis son intronisation ou plutot son imposition ne fait que dans les scandales et la médiocrité au vu et au su des autorités locales sans que personne de daigne bouger le petit doigt pour le chasser. Est-il si puissant que ca ou bien ceux qui sont derrière lui qui le sont qu point de défier toute la population de Constantine. Et on parle encore de Cne " Capitale de la culture arabe". Arretez SVP cette mascarade!
 
L'échotier   le 25.02.15 | 12h10
 Un soldat
c'est synonyme de courage, d'abnégation, de patriotisme, d'éthique et de loyauté. Ce sieur Rihani n'a aucune de ses qualités et de ses valeurs. C'est un imposteur imposé par un FLN moribond. Il a décidé de faire de notre belle cité sa chose. Les scandales se multiplient, la ville est en état de décomposition. Il ne reste qu'une solution, dissoudre cette APC de corrompus et et donner à notre commune une équipe capable de lui redonner un avenir, de l'espoir,sa beauté et son rayonnement d'antan.
 



Marché couvert de Saint-jean : Dix commerces ravagés par le feu

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le 28.02.15 | 10h00 1 réaction

I

Un grave incendie s’est déclenché au marché «Abdellah Bettou», ex-Ferrondo, situé au boulevard Belouizdad (ex-Saint-jean) dans la nuit de jeudi dernier aux environ de minuit.

Des dégâts matériels importants ont été enregistrés suite à ce sinistre, a-t-on constaté de visu. Selon les éléments de la Protection civile, le feu est parti du magasin de cosmétiques, sis à l’entrée du marché pour se propager ensuite à l’intérieur où 300 m² du toit ont été carbonisés.
Le bilan de cette catastrophe fait état de 10 commerces ravagés dont  4 stands de fruits et  légumes, des boucheries, et une parfumerie. A déplorer toutefois un blessé, photographe de son état qui fut rapidement évacué vers le CHU pour recevoir les premiers soins. Les éléments de la Protection civile n’ont pu circonscrire l’incendie que vers 4h du matin. Hier, les commerçants furieux et abattus étaient sur les lieux, voulant récupérer à tout prix le reste de la marchandise. épargnée par les flammes. Ils ont été empêchés par les services de la sûreté et de Protection civile qui ont dressé un dispositif de sécurité autour du périmètre du sinistre. Une certaine quantité de viandes (rouge et blanche) a toutefois été récupérée pour être écoulée ailleurs. Les premières informations collectées sur les lieux avancent que l’incendie est dû à une étincelle électrique, mais rien n’est sûr encore puisque l’enquête vient à peine de commencer.     
Yousra Salem
 
 
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L'échotier   le 02.03.15 | 08h48
 Une occasion
de rénover et moderniser ce marché qui en a tant besoin. La saleté des allées et de certains commerces ne donnaient pas vraiment envie d'y acheter quoi que ce soit.
 





Eboulement à l’avenue Aouati Mostefa : aucune victime à déplorer

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le 28.02.15 | 10h00 1 réaction


L’avenue Aouati Mostefa a été fermée à la circulation toute la matinée de jeudi dernier. Un éboulement du talus surplombant ladite avenue s’est produit jeudi vers 7 H30 juste en face de l’hôtel  Le Panoramic.

Des ouvriers à l’aide d’engins de travaux publics se sont afférés, comme nous avons pu le constater, une bonne partie de la matinée pour dégager la chaussée et le trottoir des blocs de pierres et de la terre qui dans leur chute ont détruit une dizaine de mètres de la clôture et du mur de soutènement longeant cette avenue. L’incident ayant eu lieu tôt dans la matinée à l’heure où il n’y avait, heureusement, que très peu de trafic routier et de passants, n’a pas causé, selon des témoins oculaires, de victimes. Il serait utile de rappeler que cet éboulement n’est pas le premier du genre à ce niveau.
Des incidents similaires   s’y  sont en effet produits au cours des dernières années en raison du phénomène des glissements de terrain qui touche, il est vrai, une bonne partie de la ville mais aussi à cause des dizaines d’arbres déracinés particulièrement du côté surplombant ladite avenue dans les années quatre-vingt- dix. Les autorités de la ville avaient justifié à l’époque l’abatage de ces arbres par des raisons sécuritaires.    
F. Raoui
 
 
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L'échotier   le 01.03.15 | 13h34
 Gérer, c'est prévoir
Mais que font les services techniques de la 3e ville du pays? Inexistants car la cité, par sa complexité, tombe en ruines. Là où l'ont met les pieds, c'est la catastrophe. C'est triste pour notre pays de voir un patrimoine magnifique, que nous sommes incapables de reproduire, partir sans aucune forme de protection.






Travaux publics à Constantine : 3,9 milliards da pour 7 opérations de réhabilitation

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le 28.02.15 | 10h00 2 réactions

Selon le directeur des travaux publics, Djamel Bouhamed, l’axe routier reliant le Chalet des pins à la Corniche, actuellement en travaux, sera livré au mois de mars prochain.

 Il est prévu «un dédoublement de la section Sidi Rached vers le giratoire chemin de fer pour aérer et fluidifier la circulation»; un vrai problème pour l’instant.
En plus, il est prévu l’installation d’un nombre important d’abris bus, et la construction d’un muret de 1,5 m autour de la gare ferroviaire à la place du mur actuel, pour permettre une vision du train qui apportera un charme supplémentaire à la ville, a expliqué le DTP. Dans le même axe, le projet de réhabilitation du tronçon Constantine-Hamma Bouziane, dont l’état d’avancement est de 40%, a été présenté hier au ministre, Abdelkader Kadi, en visite d’inspection à Constantine.
La deuxième partie sur laquelle le DTP s’est exprimé concerne le nouveau tronçon Zouaghi-Nouvelle ville, censé apporter fluidité à la circulation. Il a expliqué que ce tronçon a bénéficié d’un soin particulier. «On a repris toutes les déformations, et tous les dévers qui étaient à l’extérieur pour les intérioriser, évitant ainsi les accidents liés à ce défaut, qui existait avant même les travaux ; après quoi nous n’avons relevé aucun accident depuis plus de 2 mois». S’ajoute à cette réhabilitation du bitume, un éclairage en cours de réalisation, des séparations en béton et tout un programme de signalisation. La signalisation verticale est déjà mise en place, reste celle horizontale.
La réhabilitation de ces deux tronçons entre dans le cadre de 7 opérations de réhabilitation, prévus pour la manifestation Constantine capitale de la culture arabe. Cette action est estimée à 3,9 milliards de dinars. Ces sept opérations concernent principalement les tronçons suivants : Aéroport-Djnane Zitoune, Boussouf-Aïn Smara, Chalet des pins-Corniche et l’axe Menia-RN 27.
La réhabilitation sera totale, à savoir : bitume, éclairage et séparation en béton. La ville de Constantine a également bénéficié de 3 opérations relatives aux ouvrages d’art, entre autres, le fameux «Pont des étudiants». Ces actions porteront sur la réhabilitation et l’éclairage artistique. «Malgré un léger retard dans certains délais de livraison causé par les intempéries, ces projets sont un acquis pour la ville de Constantine, dont nous sommes fières», conclut-il. A l’instar de son ministre de tutelle, le DTP a exprimé son satisfecit de l’état des projets dirigés par son secteur.
Des bémols, cependant, méritent d’être placés, à bien considérer le management de ces projets et les conséquences parfois négatives. C’est le cas du nouveau tronçon Zouaghi-Nouvelle ville qui cumule une année et demie de retard et dont la qualité laisse à désirer. 
Ilhem Chenafi
 
 
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ahbasse   le 28.02.15 | 19h39
 pour qui
de la poudre aux yeux pour epater ceux qui viennent en visiteurs a constantine les acces principaux sont bien bichonnes les arteres essentielles seront elles aussi arrangees; tout le reste n est que des reves pour le contantinois qui souffre depuis tres longtemps de l etat de cette ville qui s est degradéé sur tout les points ;la circulation l etat des routes les affaissements les degradations la puanteur les ordures les gasppillages la negligence la mauvaise gestion de la ville reste le noyau de tout les soucis ; quelle strategie de vouloir tout faire pour une rencontre culturelle va t elle chasser les problemes va t elle concourir au mieux vivre va t elle etre la baguette magique pour faire oublier les menaces de glissements de terrains qui pesent sur certains quartiers va t elle nous resoudre les graves problemes des banlieues non ; tout le fric gaspillé pouvait attenuer l hemoragie qui existe a constantine
 
piong   le 28.02.15 | 17h18
 investisser
on manque a Constantine centre d'un très grand centre commerciale nous attendons toujours des actionnaires où la création d'un groupe d'affaire capable de construire un centre de 7 étage sur un terrain de 75 hectar.
 





Une bijouterie dévalisée en plein jour à Sidi Mabrouk

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le 01.03.15 | 10h00 1 réaction
I


Une bijouterie située à la rue Horchi Slimane, à Sidi Mabrouk supérieur, a été dévalisée, hier vers 8h30, par trois malfaiteurs
qui ont utilisé un procédé pour le moins singulier. Selon des témoignages recueillis sur place, les voleurs ont brisé la vitrine
du magasin en utilisant des projectiles, probablement des pierres, avant de la vider de son contenu et de prendre la poudre d’escampette, sans laisser le temps au propriétaire des lieux qui se trouvait pourtant à l’intérieur de réagir. Dans leur précipitation, les voleurs n’ont pu s’emparer que d’une quantité de bijoux en argent, précisent des témoins de la scène. Le propriétaire n’ayant pas eu le temps d’exposer toute sa marchandise, notamment les bijoux en or, sur la devanture de son magasin.
 
F. Raoui
 
 
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ahbasse   le 02.03.15 | 14h11
 ex rue livingstone
un ami d enfance le proprietaire j espere qu il n a pas tout perdu in challah je lui souhaite du courage et du moral le reste rabi kayane kamel wald sidi mabrouk rabi yastar el houma


Incendie du marché Abdellah Bettou : Le maire décide de réunir les commerçants

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le 01.03.15 | 10h00 Réagissez

Après l’incendie qui s’est déclenché, dans la nuit de jeudi à vendredi derniers, au marché Abdellah Bettou (ex-Ferrando), situé au boulevard Belouizdad (ex-Saint-jean), l’APC de Constantine a décidé de réunir aujourd’hui les commerçants.

 Un avis (bizarrement non signé, et ne portant aucun cachet), a été affiché hier sur les portails du marché, pour annoncer cette rencontre, sans préciser ni l’organisateur, ni le lieu de la rencontre.  Selon le délégué du secteur urbain de Sidi Rached, que nous avons contacté par téléphone, c’est le maire qui a décidé de cette rencontre prévue vers 10h soit au siège du secteur de Sidi Rached ou à l’hôtel de ville. La rencontre, qui regroupera aussi le directeur du patrimoine de la commune aura pour principal point l’étude de la fermeture du marché et les solutions à prendre face à cette situation.
Certains commerçants dont les magasins ont été entièrement brûlés, nous ont affirmé hier qu’ils ont tout perdu. Les autres commerçants dont les locaux ont été épargnés, se disent pénalisés par la décision de fermeture du marché. C’est une situation très délicate face à laquelle se trouve confrontée la commune, surtout que le nombre des commerçants du marché Bettou est très important. Une décision de fermeture impose aussi des solutions rapides et efficaces, mais qui devront aussi avoir l’accord des concernés, surtout que les travaux de réhabilitation annoncés par les responsables de la commune prendront du temps. Notons que l’enquête diligentée par les services de la police, pour déterminer la cause exacte de l’incendie, est toujours en cours. 
Yousra Salem






Absence de plan de ramassage à constantine

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le 02.03.15 | 10h00 3 réactions
 
 Les ordures ne sont pas levées régulièrement à travers plusieurs quartiers
Les ordures ne sont pas levées régulièrement...

Face aux déchets qui s’accumulent dans les quartiers de la ville, l’APC de Constantine a décidé finalement de reprendre le programme des 6 000 bacs à ordures, gelé depuis deux ans, apprend-on auprès d’une source proche du dossier.

«Ce projet a été lancé à la fin de 2012, c’est-à-dire, il s’est décidé au moment de l’installation d’une nouvelle APC qui avait une autre vision, et c’était déjà le premier obstacle à la concrétisation de ce projet», a précisé notre source.
Pourtant, la commune a consacré pour cette initiative un budget de 32 millions DA depuis deux ans pour nettoyer les quartiers où les déchets  s’accumulent régulièrement et enlaidissent le paysage.
Mais rien ne fut puisque ce budget restera gelé au niveau du Trésor public, d’autant que d’autres problèmes administratifs viendront s’y greffer et retarder davantage son application.
Le problème de la collecte persiste
«En réalité, il ne s’agit pas seulement du programme des bacs à ordure, mais le vrai problème réside au niveau du système de la rotation. Il est facile à réaliser mais c’est difficile à entretenir. Actuellement, la commune va agir de telle sorte que ces déchets soient ramassés, mais il faut prendre en considération que la commune de Constantine fait 400 tonnes de déchets/J, et les capacités de nos moyens peuvent seulement en collecter 300.
C’est la raison pour laquelle nous allons relancer ce projet, en attendant l’ouverture de la station du transfert au 13ème Km Aïn Smara, afin de conteneuriser les déchets, et diminuer la gravité de la situation», a expliqué notre interlocuteur.
Il a jouté que pour le ramassage des déchets il faut tout un système, car il y a un manque de moyens : «Même avec le travail des différentes micro-entreprises, les 1500 bacs à ordure que le CET va livrer à notre commune, le nouveau projet des bornes enterrées et tous les efforts fournis par les services de la commune, nous enregistrerons toujours une insuffisance et beaucoup de nuisances parce qu’il n’y avait pas un plan pour le ramassage. Nous avons proposé dernièrement un schéma et il est en cours de révision…», Conclut-il.
 
Yousra Salem
 
 
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L'échotier   le 02.03.15 | 19h24
 Comment
peut-on accepter qu'une ville de la taille de Constantine n'a toujours pas un service de ramassage des ordures au niveau de notre cité? Comment, après 50 ans d'indépendance, on est toujours à chercher des solutions introuvables.Il faut s'inspirer des expériences de villes comparables dans l'Europe voisine... C'est simple.Mais il faut avoir la volonté et le courage de dire on ne sait pas et on a envie de savoir pour bien faire. Mais un corrompu ne peut tenir ce langage.
 
ahbasse   le 02.03.15 | 14h04
 constantine
pas de probleme tout va etre reglé les decisions sont prises et en attendant les dechets s amassent et les conflits a la mairie prends une grande dimension et le citoyen spectateur ne peut que regarder la degradation de cette belle ville; j entends parler d un centre de transferts a ain smara cela me fait rire a en aller et retour avec une circulation vous aurez minimun 15O minuttes ; le mieux de revoir cette strategie et de trouver un autre lieu en periphérie pour un depot provisoire et dont l enlevement se fera rapidement avec des camions plus grands et dont le tonnage et superieur la les tournéés seront efficaces et les dechets seront rares sur notre ville cette organisation doit pour une reussite etre accompagner par la creation de quelques dechetteries pour recuperer d autres matieres et proceder au tris pour la selection de tout ce qui peut etre transformer ; je suis pret apportter mes petites connaissances dans ce domaine
 
karita   le 02.03.15 | 10h42
 capitale de la poubelle ?
Les services de l'environnement doivent accompagnés l'APC pour une gestion adéquate. Constantine croule sous la saleté.. LES élus sont d'une passivité qui frôle L'indescendance INCOMPÉTENCE QUAND TU NOUS TIENS....


CLÔTURE DE LA PÉRIODE DES SOLDES : L’heure est au bilan

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le 03.03.15 | 10h00 Réagissez

Fixée par la législation à huit semaines, la période des soldes qui a débuté le 18 janvier s’est clôturée en date du 28 février.

A Constantine, depuis deux jours, les affiches portant mention «soldes» ou «réductions» ont été retirées de la majorité des vitrines, particulièrement dans les rues commerçantes où les réductions alléchantes ont plafonné parfois à 60%.
L’heure maintenant est au bilan. Cette opération commerciale soumise à autorisation représente une aubaine pour l’activité du fait qu’elle booste les ventes et permet d’écouler des stocks. Mais dans la pratique, certains commerces arrivent à tirer leur épingle du jeu tandis que d’autres s’en sortent moins bien. Une virée à Saint-Jean renseigne à plus d’un titre sur la recette de ce mois et demi d’offres commerciales au rabais. Des déclarations de certains  commerçants dont les boutiques ayant pignon sur rue, il en ressort que le rayon «habillement pour homme» a affiché une embellie financière non négligeable. Il faut noter que les conditions climatiques se sont avérées un allier de taille pour cette saison.
Les intempéries, froid, neige et pluie, qui ont accompagné les mois de Janvier et Février sans interruption, ont favorisé l’achat de vêtements chauds, dont les blousons, les manteaux et les pulls en laine… «On a même épuisé en entier notre stock de gants et bonnets», nous avouera un vendeur d’un magasin d’articles sportifs où ces deux produits sont cédés à 1500 et 2500 DA, voire un peu plus. De quoi voir son chiffre d’affaires grimper d’une manière sensible.
Or, les profits engrangés sont variables d’un commerce à un autre et tous n’ont pas réalisé une augmentation à deux chiffres. Comme c’est le cas des boutiques, spécialisées dans l’habillement féminin qui n’ont pas réussi à optimiser leurs ventes durant cette période «Nous avons appliqué des réductions allant jusqu’à la moitié du prix de vente mais ca n’a pas donné grand-chose.
Même à 1000 DA, pantalons, blouses et trench- coat ne se sont pas envolés», reconnaitra un vendeur qui, pour rentrer dans ses frais, pratiquera des «petits prix» durant toute l’année. La raison du peu d’engouement de la gente féminine sur les soldes réside peut –être dans le fait qu’elle s’est déjà équipée en ce genre d’articles pendant l’automne.
Aussi, l’absence de nouveauté en matière de textile et de modèles freinent la fièvre acheteuse qui, habituellement, s’empare de toutes en pareille occasion. La période des soldes demeure une période fructueuse pour les commerçants en dépit de la fluctuation du pouvoir d’achat. Les chiffres d’affaires qui y sont enregistrés peuvent atteindre 20 à 25 %. Et c’est des commerçants qui l’affirment, sinon pourquoi ils demanderaient une autorisation chaque année.
 
Naïma Djekhar
 



Marché Abdellah Bettou : Les commerçants en grogne

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le 02.03.15 | 10h00 Réagissez

Les commerçants du marché Abdellah Bettou (ex-Ferrando) ont tenu un sit-in, hier matin, devant le cabinet du wali, pour demander son intervention  concernant leur délocalisation.

 Ils contestent la fermeture entière du marché pour le lancement des travaux de réhabilitation et leur affectation vers d’autres lieux. Selon eux, il n’y aurait pas de raison pour que les locaux, épargnés par le feu, ne restent pas ouverts. Malgré la décision de la commune de les réunir, hier, ces derniers ont préféré saisir le wali.
Car, d’après certains d’entre eux, seul le wali peut régler le problème car l’APC n’est pas «fiable» et manque de rigueur dans ce genre de situations. «Nous nous sommes réunis d’abord devant le marché et puis nous nous sommes dirigés vers le siège de l’APC et personne n’est au courant du lieu de la réunion !», a déclaré l’un des concernés.
Et d’ajouter que «le maire les a informé qu’ils seront affectés vers d’autres marchés et probablement vers Massinissa ou Ali Mendjeli. Et les travaux vont durer en minimum 5 à 6 mois». Ils demandent d’ailleurs à être indemnisés concernant les marchandises brûlées. Certains d’entre eux ont même proposé de participer financièrement à la réhabilitation de ce marché à condition qu’il ne soit pas fermé et qu’ils ne seront pas affectés vers d’autres lieux. A contrario, d’autres commerçants ont approuvé l’idée de la fermeture pour la réhabilitation. Les représentants des protestataires ont été reçus par le chef du cabinet du wali, en présence du P/APC, le directeur du patrimoine et le délégué du secteur urbain Sidi Rached, afin de trouver une solution à ce problème.
À ce propos, Abdelhakim Lafouala, délégué du secteur urbain de Sidi Rached, a nié l’affectation des commerçants vers Ali Mendjeli. Selon ses dires, il leur a été proposé de s’installer temporairement au marché de la cité Meziane, mais les concernés ont refusé cette option. «Le marché sera fermé définitivement et l’APC va donner ce projet à 3 promoteurs pour qu’il soit entièrement réhabilité et dans une courte période. Tout sera refait même les magasins qui ne sont pas touchés par l’incendie, c’est une sorte de modernisation du marché. Et lundi prochain, il va y avoir une réunion avec les commerçants pour déterminer la date du lancement des travaux et pour leur présenter le devis de l’équipe technique de la commune», a-t-il expliqué.
Et d’indiquer que «ces commerçants seront dispensés de payer les loyers durant toute la durée de la réhabilitation». En ce qui concerne les indemnisations, notre interlocuteur a déclaré que «la commune ne va indemniser personne, c’est l’assurance qui s’occupe de tout». Pour Rachid Dekkari, directeur du patrimoine, une commission, au niveau de ses services, va se charger de l’étude des dossiers des commerçants sinistrés, mais qu’il n’y a rien à espérer pour ceux qui ont acheté les magasins en «deuxième main» et qui ne disposent pas de dossiers justificatifs. «Il y avait un projet de réhabilitation des deux marchés Boumezou et Bettou, avec un budget de 12 milliards de centimes avant cet incident. Mais actuellement nous allons commencer par le marché sinistré», a-t-il précisé. 
Yousra Salem


PROJETS DE L’ÉVÈNEMENT CULTUREL DE 2015 : La pression monte sur les chantiers

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le 04.03.15 | 10h00 1 réaction
PROJETS DE L’ÉVÈNEMENT CULTUREL DE 2015 : La pression monte sur les chantiers


A J-43 jours de la date fatidique, la pression semble monter d’un cran sur les chantiers de la manifestation de la culture arabe.  Cela s’est vérifié hier lors de la visite du SG de la wilaya, Aziz Benyoucef, qui a piqué une colère noire envers certaines entreprises défaillantes.

Il s’agit particulièrement de celles chargées des travaux d’aménagement extérieur de la salle Zenith, de la mosquée Emir Abdelkader et du palais de la culture Malek Haddad. «Vous avez décroché des projets en gré à gré et personne parmi vous n’a respecté ses engagements», a-t-il déclaré au responsable de l’entreprise qui s’est vue confier l’aménagement de l’esplanade de la mosquée Emir Abdelkader.
Pourtant, le même responsable  a expliqué au wali jeudi dernier que les intempéries ont été la principale contrainte qui freine l’avancement des travaux. «Dorénavant, je ne veux plus entendre parler d’intempéries, il ne reste plus de temps», s’est écrié le SG. Ce dernier a affirmé qu’il y aura une application stricte des pénalités de retard contre les entreprises qui ne respecteront pas les délais de réalisation.
Le même responsable a instruit les entreprises concernées de renforcer les équipes dans les chantiers. Et pour les forcer à faire plus vite, il a déclaré qu’il y aura à partir de la semaine prochaine des sorties nocturnes et tous les retards seront sanctionnés.  
Yousra Salem
 
 
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L'échotier   le 04.03.15 | 18h21
 Lorsque
l'on confie des chantiers à des entreprises sans vérifier leur capacité de faire et leur compétence, on se retrouve face à de telles situations. Les entreprises amies ne seront jamais à la hauteur. Ce sont des impostures auxquelles nous assistons et le coup de gueule du secrétaire général de la wilaya n'y changera rien. Tout cela n'est que de la comédie de boulevard. C'est le boulevard du crépuscule pour Constantine et cette manifestation digne du grand Guignol...

Embouteillages aux Castors

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le 03.03.15 | 10h00 1 réaction


La situation est devenue infernalenà la cité des Castors, où les embouteillages sont le lot quotidien des automobilistes qui empruntent cet axe névralgique situé entre la partie supérieure de Bab El Kantara et le plateau du Mansourah, alors que de nombreux automobilistes venant de Ziadia, Djebel Ouahch,et la cité Sakiet Sidi Youcef, l’empruntent pour rallier le centre-ville ou la route vers Boussouf, pour éviter de passer par le point noir de la gare ferroviaire, où la chaussée est devenue impraticable.
Aux heures de pointe, notamment en fin d’après-midi, il est très difficile de se frayer un chemin, devant la désorganisation totale qui y règne. «Malgré nos écrits adressés aux autorités, rien n’est venu changer la donne, surtout que l’entreprise chargée du projet de l’extension du pont Salah Bey vers le rond-point situé près de la station du téléphérique de l’Emir Abdelkader, n’a guère pensé à trouver une solution à ce problème qui nous cause des désagréments indescriptibles», s’indigne un riverain. Sur les lieux, qui ressemblent beaucoup plus à un entonnoir, l’état de la chaussée s’est dégradé, ce qui ralentit considérablement la circulation et favorise les embouteillages.
En attendant un dénouement à cette situation, c’est le calvaire qui perdure.   
Arslan Selmane
 
 
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castors25   le 03.03.15 | 12h11
 les castors sont agressés ??
Nous Habitants de la cité des castors,

sommes agressés depuis (03 ans de ça)le début des travaux de la trémie (pont géant ,les castors ).

maintenant notre quartier est devenu infernal .un calvaire pour les Habitants

tout le monde passe par les castors ,pour accéder au pont géant :
1-les claxons à longueur de journée
2-les disputes ,vulgarité,les bagares,entre Automobilistes.
3-la chaussée est trés dégradée
4-les habitations fissurées par le passage d'engins ,camions ,..du chantier

et le comble dans tout ça

la route les castors -ziadia passe trop prés du quartier et va fermer automatiquement les accés ,isolant ainsi le quartier.

des questions restent posées ,entre autre
1-pourquoi le bureau d'étude libanais et la DTP N'ont pas associés les Habitants

2-comment la protection civile interviendra en cas d'incendie,séisme,..

On lance un appel à Mr le Ministre Mr Kadi pour intervenir ,pour ouvrir les accés de la cité des castors .




CHANTIER DE LA TRÉMIE DE ZIADIA : Un calvaire pour les usagers de la route

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le 03.03.15 | 10h00 2 réactions
CHANTIER DE LA TRÉMIE DE ZIADIA : Un calvaire pour les  usagers de la route



La route menant vers Ziadia et Djebel Ouahche est devenue un véritable calvaire au quotidien pour ses usagers, surtout pendant les heures de pointe, à cause des travaux de la réalisation d’une trémie au rond-point situé non loin de la station du téléphérique de la cité Emir Abdelkader, et faisant partie de la dernière tranche du projet du viaduc Salah Bey, reliant Ziadia à la place de l’ONU. Au fur et à mesure de l’avancement des travaux, la circulation devient de plus en plus difficile sur cet axe névralgique.
Selon le directeur des travaux publics de la wilaya de Constantine, Djamel Bouhamed, la livraison définitive de ce projet est prévue pour le mois de juin 2016. Ce délai est jugé raisonnable et justifié par le même responsable, du fait que le projet, sera «une trémie longue de 200 mètres coulée sur place, et sur pieux suivant une technique utilisée pour les grands projets».
Le DTP explique par ailleurs que «tout le travail sera fait en  extra muros,  chose qui n’est pas facile, surtout que la zone est fortement fréquentée». L’on saura que cette trémie sera réalisée par un groupement de deux entreprises, l’une nationale (Sero-Est) et l’autre Brésilienne (Andrade Gutierrez), en collaboration avec le groupement EPTP de Constantine.
La même source évoque également un inconvénient majeur rencontré sur place. «Il s’agit du démontage du pilon, situé près du terrain de l’ancienne ferme Halbedel, une opération jugée à haut risque et qui nécessite l’intervention d’une entreprise spécialisée et qualifiée», ajoute le DTP. Pour ce qui est de l’état des déviations qui seront décidées ultérieurement, le directeur rassure que l’amélioration sera faite graduellement, pour fluidifier la circulation. Mais la question qui se pose est de savoir si ces déviations seront-elles suffisantes pour ne pas perturber encore la circulation et permettre l’avancement des travaux ? La réponse sera connue dans quelques semaines.  
Ilhem Chenafi
 
 
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ahbasse   le 03.03.15 | 13h31
 patience
c est incroyable des chantiers ouverts sans délais de realisations ou a chaque occasions les délais sont renvoyés a d autres dates; les motifs sont multiples la méteo,les maladies les conges squivage les heures non accomplies les pannes les plans les greves ramdhan la circulation les approts les compétences et surtout les salaires ; voila qulques justifications pour les retards et le pauvres citoyens en souffrent surtout ce carrefour ; quelle misére ces travaux alors que des solutions sont possibles telle que le travail de nuit pour ces chantiers nous autres l on prefere dormir la nuit et rever le jour lah yastare ;
 
karita   le 03.03.15 | 11h33
 bla bla
les travaux avancent a pas de fourmis l'entreprise n'a même procéder au goudronnage des déviations ce qui engendre des bouchons immenses la commune la même chose DES TROUS DES TROUS ... EN PLUS MÊME PAS UN POLICIER POUR METTRE FIN A L'ANARCHIE CRÉER PAR LES FRAUDEURS MEME CHOSE PARTOUT A CNE?????
 


CHANTIER DE LA TRÉMIE DE ZIADIA : Un calvaire pour les  usagers de la route








GRÈVE DES ÉTUDIANTS DE L’INATAA DE CONSTANTINE : Le rectorat recourt à l’intimidation pour briser le mouvement

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le 04.03.15 | 10h00 2 réactions

Les étudiants de l’institut de la nutrition, de l’alimentation et des technologies agro-alimentaires (INATAA), situé au 7ème Km, en grève depuis le 10 janvier dernier, poursuivent leur mouvement en dépit des intimidations et autres pressions exercées par le rectorat à leur encontre.

Ces derniers exigent à l’instar des étudiants des autres instituts, ayant observé récemment des actions similaires, la reconnaissance de leur diplôme et leur intégration dans la Fonction publique. Les représentants des étudiants frondeurs de l’INATAA qui se sont déplacés, hier, à notre rédaction affirment que leurs revendications ont été portées à la connaissance de la tutelle depuis des années.
Nos interlocuteurs soulignent que plusieurs réunions ont eu lieu au cours du mois de janvier avec le directeur de l’institut et les vice-recteurs chargés de la scolarité. Réunions sanctionnés par des procès-verbaux transmis à la tutelle, où il a été stipulé que leurs revendications étaient légitimes avec la mention que leur problème dépassait les compétences des responsables de leur institut.
Mais les choses ont évolué cette dernière semaine, selon leurs propos, puisque le recteur de l’université Constantine I a assigné quatorze parmi eux, considérés comme les meneurs de la grève, devant le tribunal administratif lequel a ordonné que ces étudiants devaient cesser leur mouvement et évacuer les lieux qu’ils occupent à l’INATAA et au campus Mentouri, où ils ont organisé plusieurs sit-in, sous peine d’amendes.
Des actions d’intimidation qui interviennent, selon les étudiants grévistes, suite au déplacement de leurs délégués, le 5 février dernier au ministère de l’Enseignement supérieur à Alger où ils ont été reçus par trois directeurs centraux. «Au cours de cette réunion, nos délégués ont obtenu encore une fois de vagues promesses de la part des  responsables, alors qu’ils étaient censés rencontrer le secrétaire général du ministère», précisent-ils.
Quoi qu’il en soit les représentants des étudiants de l’INATAA affirment qu’ils ne se laisseront pas intimider et restent déterminés à poursuivre leur mouvement jusqu’à ce que leurs revendications soient prises en compte par la tutelle.
 
F. Raoui
 
 
VOS RÉACTIONS 2
Blamengoul   le 05.03.15 | 20h15
 Motifs de la grève?
Pourquoi les étudiants de l'INATAA sont en grève?Quelles sont leurs revendications non satisfaites?
 
ahmed25   le 05.03.15 | 08h21
 qui ne reconnait pas le diplôme ?
En fait il manque des infos: qui ne reconnait pas le ou les diplômes délivrés par l'INATAA et quel (s) diplômes (technicien? ingénieur?) ? S'agit-il de diplôme(s) classique ou LMD ?
Est-ce l'Etat qui ne reconnait pas le diplôme ou le secteur privé?
On aurait besoin de plus de précisions pour comprendre la situation. Cordialement,




Immeuble Bel Air à Constantine : Les travaux de ravalement causent des dégâts

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le 01.03.15 | 10h00 5 réactions
Immeuble Bel Air à Constantine : Les travaux de ravalement causent des dégâts


Les habitants de l’immeuble Bel Air, dans le secteur de Bellevue, ne sont pas encore au bout de leurs peines. Les travaux du soi-disant ravalement de l’immeuble, qui ne sont que du replâtrage, n’ont pas fini de causer des ennuis et des désagréments aux propriétaires depuis leur entame, il y a quelques mois.

Le dernier en date nous a été soulevé par Hamza Rachi, syndic de la première cour de l’immeuble et qui englobe les blocs A1 et B1. «Les travaux nous ont causé beaucoup de dommages dans l’immeuble, surtout que les ouvriers de l’entreprise chargée des travaux de peinture agissent sans même nous consulter», dira-t-il, citant les dégâts causés dans les vitrages des balcons, et sur les voitures stationnées dans la cour.
Notre interlocuteur évoque une situation préoccupante qu’il a découverte subitement lors d’une visite de la terrasse du bâtiment. «Nous avons été surpris de constater que les couvercles des conduites d’évacuation des gaz brûlés ont été enlevés pour servir de contrepoids aux nacelles utilisés pour les travaux de peinture ; c’est un agissement inadmissible surtout en cette période hivernale où les conduites sont ouvertes et exposées à tous les objets qui viendraient obstruer les cheminées, et ce sera un véritable risque pour les habitants», dénonce le syndic du bâtiment.
Ce dernier ne manquera pas de révéler les conséquences de la non-sécurisation d’un chantier ouvert à tous les vents. Il regrette que le responsable de l’entreprise n’ait pas pris en considération les appels des riverains. Il cite surtout l’incident survenu il y a deux jours, suite à la chute d’un madrier du 8ème étage, et qui n’a malheureusement pas causé de dégâts humains, car il n’y avait personne en ce moment dans la cour.  
Arslan Selmane
 
 
VOS RÉACTIONS 5
Jamal B   le 02.03.15 | 00h22
 Tel un sphinx Bel-Air restera haut !
Je vis à Alger mais mon cœur bat toujours au rythme de Constantine. Bel-Air est mon quartier de toujours. J'y ai passé toute mon enfance et ma jeunesse en côtoyant des familles chaleureuses et des amis très attachants à l'image des Rachi. Hamza Rachi que je salue de passage est justement un aîné que je respecte beaucoup. Je suis très peiné d'apprendre ce genre de problème et Bel-Air et ses résidents ne méritent pas un tel sort. Bel-Air est un quartier de rêve. Nous y avons vécu plein d'histoires, plein d'aventures fantastiques et plein de bonnes choses. Bel-Air restera éternel quel que soient les épreuves qu'il endure de temps à autres à l'image de cette échancrure de ses trois cours à cause du tramway qui l'a complètement atteint. Bisou tout de même à la maman et aux amis! Djamel Boulmaâli.
 
elhadj   le 01.03.15 | 18h29
 un gachis
ces travaux improvisés à la hussarde ne reflètent guère le sérieux ni leur efficacité.entrepris à la va vite c'est une véritable gabegie qui a rendu l'image de la ville ses chaussées et ses trottoirs comme un grand bidonville et ce n'est pas en un si laps de temps qu'on va réussir à en faire une ville d(un festival international si ce n'est que qu'une humiliation qui sera portée à ses habitants nullement intéréssés ou convaincus .
 
ahbasse   le 01.03.15 | 13h27
 et encore
l imcompétence des entreprises le manque de materiels adéquats l abence de securité le personnel non qualifié dans cette situation c est immédiatement la résiliation des contrats; mais les organismes de controles elles sont ou les cahiers de charges servent a quoi; voila la situation de constantine et de ses administrations qui sont bien arrosés par les patrons d entreprises qui trouvent leurs comptes dans l anarchie d une ville tenue par delais de realisations d une fete culturelle ou chacun joue son role; la manifestation en fonds de toile mais la surface ne retiendra pas le badigeonnage a eau aussi longtemps notre vision et notre espoir sera de courte dureéé
 
rdhakim   le 01.03.15 | 11h25
 Heureusement ...
je dirais : et qui, forte heureusement, n'a causé aucuns dégâts humains, car il n'y avait personne en ce moment dans la cours
et non : et qui n’a malheureusement pas causé de dégâts humains, car il n’y avait personne en ce moment dans la cours.
 
Loukan   le 01.03.15 | 11h18
 La négation de tout
"et qui n’a malheureusement pas causé de dégâts humains, car il n’y avait personne en ce moment dans la cour. "

Vous auriez voulu qu'il causât des dégâts peut-être ?
Je ne le pense pas, heureusement !




Immeuble Bel Air à Constantine : Les travaux de ravalement causent des dégâts

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