الجمعة، أغسطس 29

الاخبار العاجلة لتوقيف سائح شاب قسنطيني امام محطة الطراماوي بجانب مبني محطة قسنطينة الجهوية للتلفزيون بتهمة التصوير السياحي لمدينة قسنطينة ويدكر ان شركة الطارماوي اغلقت طريق السيلوك ونظرا لفضول اصدقاء الانترنيت استغالوا يوم الجمعة السياحي لالتقاط صور قسنطينة السياحية ويدكر ان شرطة قسنطينةاكثر الناس عداءا للمصورين والسينمائين في قسنطينة نظرا لقدومهم من ارياف قسنطينة ويدكر انالشرطي القسنطيني الريفي يبحث لك عن قضية وجنحة بدل تشجيعك على كشف فضائح مسيري دشرة قسنطينة والاسباب مجهولة

اخر خبر

 الاخبار العاجلة لتوقيف سائح شاب قسنطيني امام محطة الطراماوي بجانب مبني محطة قسنطينة الجهوية للتلفزيون  بتهمة التصوير السياحي لمدينة قسنطينة ويدكر ان شركة الطارماوي اغلقت طريق السيلوك ونظرا لفضول اصدقاء الانترنيت 
 استغالوا يوم الجمعة السياحي لالتقاط صور قسنطينة السياحية ويدكر ان شرطة قسنطينةاكثر الناس عداءا للمصورين والسينمائين في قسنطينة نظرا لقدومهم من ارياف قسنطينة ويدكر انالشرطي القسنطيني الريفي يبحث لك عن قضية وجنحة بدل تشجيعك على كشف فضائح مسيري دشرة قسنطينة والاسباب مجهولة
اخر خبر
الاخبار العاجلة لقيام المديعة نادية شوف والنائبة البرلمانية نادية لوجرتلني بزيارة عمل وتفقد الى وسط مدينة قسنطينة لاكتشاف عيوب قسنطينة عاصمة الفضائح العمرانية ويدكر ان المديعة والبرلمانية استمتعتا بغبار شوارع سان جان وروائح مطاعم حمص دوبل زيت بشارع بودرالة عبد الرحمان كما اندهشتا لدرجة التدميرلا العمراني من طرف جماعات المقاولات المجانية لترميم عمارات قسنطينة  ويدكر ان المديعة والنائبة قررتا ارسال رسالة عاجلة الى الرئيس بوتفليقة لانقاد قسنطينة من المافيا التدميرية علما ان المديعة نادية شوف لحصة ثراثية حول الامثال الشعبية لتدمير مدينة قسنطينة باسم الثقافة والاسباب مجهولة 
 اخر خبر
الاخبار العاجلة لمطالبة الامهات العازبات بحصولهن على النفقة الغدائية كغيرهن من النساء المطلقات ويدكر ان الامهات العازبات ينجن ابناء من العلاقات الجنسية الفجائية واغلب الامهات العازبات العازبات يتحولن الى عاهرات فيالفنادق الرسمية وبيوت الدعارة الجزائرية ويدكر ان صندوق المطلقات تجاهل حقوق ابناء الامهات العازبات والاسباب مجهولة 
اخر خبر
الاخبار العاجلة لاستيلاء مقاول مجاني من اصحاب الترميمات العمرانية علةى موقف السيارات لمتحف قسنطينة وتحويله الى ملكية خاصة علما ان المقاول المجاني وضع سيارته الخاصة واغلق الموقف ليصبح مالك شخصي لاحد شوارع الكدية علما ان المقاول لايملك وثائق رسمية لترميم مباني وسط مدينة قسنطينة كما ان سكان الكدية قررورا رفع دعوي قضائية ضد المقااول الوهمي مالم يحرر الشارع امام سيارات عمارات الكدية وسيارات متحف قسنطينة والاسباب مجهولة 


http://www.elwatan.com/images/2014/08/08/constantine_2329614.jpg




Espace public squatté au coudiat

Y a-t-il une loi dans cette ville ?

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 09.08.14 | 10h00 2 réactions
 

Il y a près de deux mois, une clôture métallique d’environ 12 mètres, ceinturant un espace de stationnement de cinq voitures, a été érigée juste en face de l’entrée principale du Musée national Cirta. Un fait qui a fait réagir des habitants du Coudiat.

Ces derniers se sont insurgés contre le squat de cet espace, et qui en plus bloque la vue sur la place de la Brèche et déforme complètement le paysage, juste devant un musée qui demeure une destination très prisée par les touristes. Pour en savoir plus sur cette affaire nous avons mené nos propres investigations. Interrogée en premier, la directrice du musée Cirta, Keltoum Daho nous dira à ce propos : «J’ai été sollicitée par les services de la commune de Constantine, le maire en personne, pour leur céder cet espace réservé au stationnement des véhicules du musée, et qui devra être exploité pour des travaux dont j’ignore la nature».
Contacté à son tour, le chargé de communication de l’APC de Constantine, Farid Djouamaâ, nous a indiqué que les services de la mairie n’ont reçu aucune instruction concernant l’installation de cette clôture. Il nous a orienté par contre vers la DUC où un chef de service nous fera savoir que cet espace a été réservé pour le dépôt du matériel et des équipements de la direction du logement (DL) qui opère actuellement au centre-ville de Constantine pour la restauration des immeubles.
Malheureusement, lors de notre passage, hier, par les lieux, nous avons remarqué que deux voitures étaient garées à l’intérieur et point de matériel. Relevons que ces clôtures anarchiquement placées ont donné un aspect hideux à cet espace. Un véritable gâchis. Les habitants du Coudiat se posent la question : pourquoi on a choisi un tel espace pour le squatter et le transformer en dépôt, alors que les dépôts ne manquent pas dans la ville, notamment parmi le patrimoine de la commune. A-t-on vraiment pensé aux conséquences de cette décision prise au mépris des habitants, du bon sens et de la loi. Enfin y a-t-il vraiment une loi dans cette ville ?
O. -S. Merrouche
 
 
Vos réactions 2
aliamloisirs2000   le 09.08.14 | 12h40
Galou laareb galou!
Comme ça,on la sollicite pour céder le parking du musée qu'elle dirige,elle exécute et elle ignore pourquoi.
On est vraiment dans la série:mort programmée du pays des 1500000 chahids.
Je pense que je suis dans l'obligation de dire:
Quand j'entends le mot"responsable"en Algerie,je sors mon révolver.
Et oui,n'est pas goebbels qui veut.
Quant aux responsables de la mairie,ils n'ont rien à craindre puisqu'ils vivent dans le pays de l'impunité,en l'occurrence l'algiré et non pas en Algerie.
 
L'échotier   le 09.08.14 | 10h40
Quel pays?
En Algérie, le beau, le bien-être, la détente, l'esthétique sont morts. Ils n'ont aucune signification pour la majorité de la population, ni même pour ceux que l'on appelle des élus, des directeurs Théodule. En fait, cette dernière catégorie est une mafia d'imposteurs qui jouit de l'impunité car le pays est livré à lui-même. Dans cette petite affaire, chacun a son explication et au bout du compte, on s'aperçoit que ce sont tous des menteurs. Comment une directrice du musée cède cet espace sans même s'inquiéter de la nature des travaux que la commune veut entreprendre. Un monde de fous dans un pays de vauriens.
اخر خبر
الاخبار العاجلة لمنع ابناء الاسرة الثورية من تهديم اكشاك  شارع عواطي مصطفي ويدكر ان تحطيم الحجارة الزرقاء بسلالم الكدية يجوز لكن تهديم محلات ابناء الاسرة الثورية وقيادات الشرطة الجزائرية لايجوز في شارع عواطي مصطفي وشر البلية مايبكي

اخر خبر
الاخبار العاجلة لاكتشاف تجار شارع بودربالة عبد الرحمان المعاينة الفجائية لشاب يحمل خريطة جغرافية للشارع بودربالة رفقة مقاول او معماري حيث سجل الملاحظات العمرانية ليقف عاجزا بين التناقض بين مضمون الخريطة العمرانية والفيلا الفجائية بشارع بودربالة يدكر ان سكان وتجار قسنطينة قرروا اعلان وقفة احتجاجية امام شارع عبان رمضان احتجاجا على التجاهل الانساني لسكان قسنطينة امام المشاريع العمرانية الفجائية لترميم قسنطينة حيث يعامل سكان قسنطينة كموتي من طرف مسيري قسنطينة وشر البلية مايبكي

اخر خبر
 الاخبار العاجلة لتوقيف سائح شاب قسنطيني امام محطة الطراماوي بجانب مبني محطة قسنطينة الجهوية للتلفزيون  بتهمة التصوير السياحي لمدينة قسنطينة ويدكر ان شركة الطارماوي اغلقت طريق السيلوك ونظرا لفضول اصدقاء الانترنيت 


































Le Rhumel entièrement calibré en 2016

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 04.08.14 | 10h00 1 réaction
 

Désormais la rivière de l’Oued Rhumel sera en entièrement calibré vers la fin de l’année 2016. Cette décision a été confirmée récemment lors de la visite à Constantine du Premier ministre Abdelmalek Sellal.

Le projet coûtera pas moins de 15 milliards de dinars, apprend-on auprès de Bouaziz Horchi, chef de service d’assainissement à la direction de wilaya des ressources en eaux. Il est à préciser que le projet est divisé en trois lots. Le premier qui a atteint un taux d’avancement de 65 % se trouve entre le pont du Diable et la gare routière ouest, il s’étale sur 1.2 km.
Cette partie a été léguée à deux entreprises nationales. Pour ce qui est de la deuxième partie, celle-ci est longue de 1.6 km. Cette zone de confluence des oueds, comporte 800 mètres de Oued Rhumel et 800 autres provenant de Oued Boumerzoug. Elle est située entre la gare routière et la zone industrielle Palma.
Dans ces lieux, les travaux sont à 35 % d’avancement, nous apprend le même responsable. Long de 11.72 km, le dernier lot demeure l’investissement le plus constant à mener dans la ville des ponts. Il convient de rappeler que le projet de calibrage de l’Oued Rhumel a vu, grâce à la manifestation culturelle de 2015, une accélération en matière d’octroi du budget et la désignation selon le mode du gré à gré des entreprises de réalisation et également le lancement des travaux.
Ceci dit, le calibrage des 11.72 km et l’aménagement en verdure de 20 mètres de l’espace se trouvant sur les deux rives du oued consommera les 15 milliards de dinars. Notons que le délai de réalisation de ce même lot est estimé à  20 mois. Il a été confié par le gré à  gré à un groupement Algéro-Coréen. L’installation du chantier a eu lieu lors du passage du Premier ministre à Constantine.
O.-S. M.
 
 
Vos réactions 1
L'échotier   le 04.08.14 | 19h01
Dans
dix serait plus juste si l'on considère la lenteur avec laquelle sont réalisés les travaux...

Faits historiques. 7 août 1956 à la prison de la Casbah

Mohamed Belkheiria, premier condamné à mort exécuté

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 09.08.14 | 10h00 8 réactions
 
	Belkheiria à sa sortie du tribunal des forces armées
Belkheiria à sa sortie du tribunal des forces armées

Après avoir déserté le bataillon des tirailleurs algériens, Belkheiria rejoint un groupe
du commando du FLN au maquis de Djebel Ouahch.

Le mardi 7 août 1956, fut exécuté pour la première fois un condamné à mort par le tribunal permanent des forces armées de Constantine. Mohamed Belkheiria ben Ali, âgé de 23 ans, a été guillotiné à 5h du matin dans l’enceinte de la prison militaire de la Casbah. Né le 12 juillet 1933 au douar Sfahi, commune mixte de Séfia à Souk Ahras, Mohamed Belkheiria séjournera dans la ville de Guelma, avant de rejoindre avec sa famille Constantine où il obtiendra son certificat des études primaires.
Après avoir exercé dans le commerce, il sera engagé de force dans l’armée française en dépit de sa santé fragile. Selon ses supérieurs, sa conduite fut correcte. Il fera partie du 15ème bataillon des tirailleurs algériens (BTA) en garnison au camp Fray, au Mansourah. Selon les informations relatées par La Dépêche de Constantine de l’époque, Belkheiria, qualifié de déserteur, avait quitté son unité au début du mois de mars 1956 pour rejoindre un groupe de moudjahidine à Djebel Ouahch.
Avec ce groupe, commandé par le chef Salah Boubnider, plus connu par Saout El Arab, il a exécuté plusieurs sorties au cours desquelles il participera à de nombreux attentats contre des fermes coloniales. Le 26 avril 1956 à 19h, une série d’attentats ont été commis dans la ville de Constantine, par un groupe de membres du réseau FLN de Constantine, descendus du maquis de Djebel Ouahch.
Au bar Chazot, situé derrière la Grande poste, plus connu après l’indépendance par le café Bosphore, transformé actuellement en bazar, de nombreux consommateurs, dont des militaires et des policiers, étaient accoudés au comptoir. Selon les faits rapportés par le journal La Dépêche de Constantine, certains d’entre eux virent un individu ouvrir la porte et jeter une grenade à l’intérieur. L’auteur poursuivi sera arrêté, alors que son complice réussit à prendre la fuite à travers la rue Bienfait (actuelle Abdelmalek Kitouni).
Mohamed Belkheiria sera identifié par les clients du bar Chazot comme étant l’auteur de l’attentat. Il avait été arrêté en possession d’un revolver à barillet de 8mm, selon les services de la police française. Selon les mêmes services, Belkheiria a nié les faits, expliquant qu’il avait pour mission de couvrir son complice, qui a réussi à prendre la fuite.
Des révélations qu’ils avaient confirmées lors de sa présentation devant le tribunal, après avoir été terrassé par la maladie en prison. Mais les juges finiront par retenir contre lui les faits de tentative d’assassinat, association de malfaiteurs et port d’armes. Il sera condamné à mort le 18 mai 1956.
Arslan Selmane
 
 
Vos réactions 8
mors83   le 20.08.14 | 08h53
execution
je crois savoir que les exécutions de militants algériens(je refuse de dire FLN a cause de la spoliation de sigle) en commencé a Alger avec le chahid Zabana puis ailleurs.pour constantine ils ont commencé d’après le journal par le chaid Belkheira.
 
amarseille1313   le 18.08.14 | 10h32
y a chouhadda..
Vous qui avez fait le sacrifice et le don de votre vie pour que l’Algérie vive libre et dans la dignité,aujourd'hui vous devez être entrain de vous retournez dans vos tombes.A la vue d'un Sellal qui essaye de se faire transparent,caché parmi les rois nègres ébahis qui viennent faire allégeance à un jambon court sur patte ,qui s'agite et vocifère sur le pont du Charles de Gaulle en demandant de l'aide pour le sauver du grand coup de pied au cul qu'il va recevoir de la part du peuple Français en 2017.
Monsieur Hollande qui a 18% d'avis favorable d’après les derniers sondages , a certainement peur du sort que lui réservent les Français,le sort qui a été réservé a Louis XVI,la guillotine.
Pourtant Louis XVI avait un métier,il était serrurier,François Hollande son métier c'est menteur et notre pauvre premier ministre le croit.Rappelons nous ce qu'il a dit « Mon ennemi c'est la finance»
Plus ultra libéral,ça ne c'était jamais vu en France...
C'est vrai que les promesses rendent les enfants sages.
N'oublions jamais nos chouhadda.
 
azel0505   le 17.08.14 | 18h32
Lui et ceux qui sont lui.
Lui comme ceux qui sont lui mort au champs d'honneur pour notre patrie les traitres au sommet de l'état Algérien ne les honores pas dans leur pays.

En revanche pour faire plaisir à ceux qui ont fusillés, violés, assassinés nous combattants pour la libertés de notre pays et de notre peuple, ils se précipitent avec l'emblème qui a été souillé par ceux qui le combattaient qui le brulés, lui refusait le droit sur son propre sol, c'est dans ces gestes à la fois symbolique et historique que nous reconnaissons les vrais compatriotes et les vrais Algériens qui ont le sens de l'honneur et du nif comme ont dit chez nous, mais c'est vrai, nous ne sommes qu'un peuple d'ignare, qui cour après quelques billets de monnaie de singe.
 
amarseille1313   le 15.08.14 | 21h51
peux t-on nous renseigner
J'ai toujours pensé que c’était feu Mohamed Zahana le premier révolutionnaire du FLN guillotiné le 19 juin 1956, dans la prison de Barberousse à Alger.
Rabbi ya rham chouhadda.
 
sahli47   le 15.08.14 | 07h21
LE CHAHID SLIMANE BELMOKHTAR
IL est important de rappeler que le dernier prisonnier de Barbarousse Algerien éxécuté par l'armée Française a la prison Barbarousse (Sarkadji)fut SLIMANE BELMOKHTAR en décembre 1960, est un chaambi natif de Metlili , allah yarham echouhadas de l’algérie .
 
mhno   le 14.08.14 | 16h24
RAHIMAHOU ALLAAH
WAALLAH la yarham nass li rajo3 Franca lyoum par la grande porte.ou hadrou fe 14 juillet oua Sellal li yahdhar fi la commémoration de la deuxième guerre mondiale.
Chouhada ont déserté les rang de la France lyoum des responsables Algériens payent la France pour rejoindre ses rangs.
Goumias ou Harkas 2014
 
sahli47   le 14.08.14 | 15h04
SLIMANE BELMOKHTAR
IL est important de rappeler que le dernier prisonnier de Barbarousse Algerien éxécuté par l'armée Française a la prison Barbarousse (Sarkadji)fut SLIMANE BELMOKHTAR en décembre 1960, est un chaambi natif de Metlili
 
koceila13   le 10.08.14 | 21h12
voila l'undependance
des hommes ce sont sacrifier comme on le constate pour que said et Chakib Khalil venant de Tlemcen wilaya historique qui a donner les meilleurs de ces fils a l'algerie independante avec 600 000 mort .
 

http://www.elwatan.com/images/2014/08/08/belkheiria_2329613_465x348p.jpg

مقتل إيبوسي يعيد النقاش حول كارثة المنشآت الرياضية
مقابر وليست ملاعب!
الجمعة 29 أوت 2014 إعداد: عابد خليل
Enlarge font Decrease font

يسارع القائمون على الرياضة الجزائرية، هذه الساعات، لإيجاد حل عاجل لدفن “الكارثة” التي ألمّت بالكرة في بلادنا، بعد مقتل الرعية الكاميروني ألبير إيبوسي لاعب شبيبة القبائل، بعد أن تعرض لرشق بمقذوف حاد، بعد نهاية مباراة فريقه أمام اتحاد العاصمة، برسم بطولة “الانحراف”.

 أصحاب الحل والربط وجدوا أنفسهم في مأزق، لأن الحادثة كشفت مرة أخرى المستور، وكشفت أيضا أن الملاعب الجزائرية أصبحت حقا مقابر للاعبين، بعد أن كانت في وقت سابق مقبرة للأنصار. وعليه لم يجدوا حلا مناسبا إلا تأجيل المنافسة لإشعار آخر، في محاولة لذر الرماد بالأعين، لأن الإشكالية ستبقى قائمة مادامت ملاعبنا لا تستجيب لأدنى شروط ممارسة الكرة، رغم أن القوانين موجودة، لكن تطبيقها سيؤجل لإشعار آخر.
الغريب في الأمر أن وزارة الشباب والرياضة خصصت، منذ سنة 2010 عند إقرار مشروع الاحتراف في الجزائر، فصلا كاملا في دفتر الشروط خاصا بالمنشآت الرياضية، وذلك من خلال التأكيد على أن الملاعب التي تحتضن مباريات القسمين الأول والثاني المحترفين يجب ألا تقل سعة استيعابها عن عشرة آلاف مناصر. والأكثر من ذلك، فإن القانون في مادته التاسعة حدد المعايير التي يجب الموافقة عليها، حيث ومن أهم الشروط المطلوبة: اكتتاب عقود التأمين الإلزامية للمنشآت الرياضية المستقبلة للجمهور، وثاني الشروط توفر المنشأة الرياضية على نظام إنارة ملائم يسمح بإجراء اللقاءات الليلية وبثها التلفزي، ويشترط أيضا توفير المراحيض والمحلات في هذه المنشآت لصالح الأنصار.
صحيح أن القوانين كانت واضحة، لكن ومن خلال إلقاء نظرة بسيطة على الملاعب الجزائرية، فإننا نجد بأن الغالبية منها يعود تاريخ بنائها إلى العهد الاستعماري الفرنسي، وليست مطابقة تماما للشروط الموضوعة، وإضافة إلى ذلك فإنها لا تتوفر على معايير السلامة والأمن، سواء للاعبين أو الحكام أو الأنصار، وهو ما يكون سببا في تسجيل كثير من حالات العنف الناجمة أساسا من غياب وسائل اللعب النظيف.

كاميرات المراقبة مشترطة في جميع الملاعب
من الشروط الرئيسية التي وضعتها وزارة الشباب والرياضة، عند تطبيق قانون الاحتراف، هو وضع كاميرات المراقبة في الملاعب، ففي المادة 250 من قانون الأنشطة البدنية والرياضية نص بالحرف الواحد: “تستعمل تسجيلات كاميرات الفيديو والأنظمة الأخرى للمراقبة المنصبة في المنشآت الرياضية لأسباب أمنية وحفظ النظام”. والأكثر من ذلك، فإن وزارة الشباب والرياضة، في القرار المؤرخ بتاريخ 21 جويلية 2010، من توقيع الوزير السابق الهاشمي جيار، الخاص بدفتر الأعباء الواجب اكتتابه من قِبل الشركات والنوادي الرياضية المحترفة، يشير في الفصل الثالث المعنون بالشروط والالتزامات في مجال المنشآت الرياضية والتكوين وبالضبط في المادة التاسعة: “الملاعب يجب أن تتوفر على جهاز مراقبة على طريقة الفيديو وفق كيفيات يتم إعدادها مع الاتحادية الرياضية الوطنية المعنية”، ولكن الحقيقة هي أن الغالبية العظمى من الملاعب التي تحتضن مباريات القسمين المحترفين تفتقد لوجود كاميرات المراقبة، ما عدا ملعب أو ملعبين على الأكثر، حيث تبقى بنود الاحتراف حبرا على ورق، باعتراف المسؤول الأول عن الكرة الجزائرية رئيس الاتحادية محمد رواروة.

الرابطة لا تطبّق القوانين
وبعد النظر في القوانين الخاصة بالهياكل والمنشآت الرياضية المشترطة في الفرق المحترفة، يمكن القول بأن الرابطة، بقيادة الرئيس محفوظ قرباج، اعتمدت ملاعب لا تشترط فيها أبسط المعايير المطلوبة، وعلى رأسها ملعب أول نوفمبر في المحمدية بالحراش بالعاصمة، حيث وبالرغم من عدم توفره على إنارة جيدة لبرمجة المباريات في الفترة الليلية، مع الخطورة التي باتت تشكلها المدرجات على حياة المناصرين، غير أن هذه الهيئة وافقت على احتضانه للمواجهات الرسمية، والسبب في ذلك يعود إلى تخوف قرباج وبقية أعضائه في مكتب الرابطة من أطراف تبدو فاعلة في الحقل الكروي الجزائري، ودائما ما تجد الرابطة نفسها عاجزة أمامها لأنها تهاب من أي مصادمات مباشرة معها.

عقوبة “الفيميجان”.. الحبس من ستة أشهر إلى سنة
وأقر رئيس الجمهورية، عبد العزيز بوتفليقة، في العدد 39 من الجريدة الرسمية الصادرة يوم الأربعاء 22 رمضان 1434 ه الموافق لـ 31 يوليو 2013، القانون المتعلق بالأنشطة، وبالضبط في الفصل الرابع عشر الخاص بالأحكام الجزائية الكثير من المواد الخاصة بالعقوبات من أجل الحد من أعمال العنف في مختلف المنشآت الرياضية، حيث وضع المشرّع الكثير من العقوبات المشددة من أجل ضمان السير الحسن لجميع النشاطات الرياضية، لاسيما المتعلقة بالممنوعات التي يحاول الأنصار إدخالها إلى المنشآت الرياضية، وأبسط دليل على هذا المواد نجد المادة 236 تقول: “يعاقب بالحبس من ستة أشهر إلى سنة وبغرامة من 500.000 إلى 100.000 دينار جزائري، أو بإحدى هاتين العقوبتين، كل شخص أدخل إلى المنشأة الرياضية بمناسبة أو أثناء تظاهرة رياضية أو تم ضبطه وبحوزته ألعاب نارية أو شهب أو مفرقعات، وكذا كل مادة أخرى من الطبيعة نفسها من شأنها المساس بأمن الجمهور أو تنظيم التظاهرة الرياضية أو سيرها. وتضاعف العقوبة عندما ترتكب المخالفة من قِبل كل مستخدم في التأطير الرياضي أو رياضي أو عون مكلف بتنظيم أو مراقبة مداخل المنشآت الرياضية أو حفظ النظام أدخل أو شارك في تسهيل دخول أشخاص بحوزتهم المواد والأشياء المنصوص عليها في الفقرة الأولى”.
 ولم يغفل المشرّع الجزائري أيضا وضع عقوبات خاصة بمن يدخلون إلى الملاعب المشروبات الكحولية والمخدرات والمؤثرات العقلية، من خلال تسليط عقوبة من سنة إلى ثلاث سنوات حبس مع غرامات مالية قد تصل إلى سقف 100.000 دينار جزائري، حيث وبالرغم من هذه العقوبات المنصوص عليها قانونا من قِبل المشرّع، إلا أن الملاعب الجزائرية دون استثناء تحوّلت إلى مخمرات.

تفعيل قوانين العقوبات للحدّ من أعمال العنف
الملاحظ في القوانين الجزائية هو تشديد العقوبات في حق كل من يساهم في إحداث الفوضى في المنشآت الرياضية، حيث تؤكد المادة 239 بمعاقبة الحبس من ستة أشهر إلى سنة واحدة وبغرامة من 100.000 إلى 200.000 دينار جزائري كل من رمى مقذوفات أو أشياء صلبة أو منقولة في المنشأة الرياضية، وتتضاعف هذه العقوبة في حال استهداف الرمي أو الرشق وسائل تدخل المصالح المكلفة بالأمن والإسعاف والحماية المدنية. وتشير المادة 244 إلى تسليط غرامة مالية قدرها 5000 إلى 100.000 دينار جزائري على كل من يقوم ببيع تذاكر الدخول إلى منشأة رياضية دون الحصول على ترخيص رسمي، وهذا للحد من الظاهرة المتفشية المتمثلة في بيع التذاكر بالسوق السوداء. وتؤكد المادة الموالية 245 على أن كل شخص ألقي القبض عليه متلبسا بتزوير التذاكر فإنه يطبق في حقه قانون العقوبات.

مسؤولية مقتل إيبوسي
وتشير المادة 246 من الأحكام الجزائية المتعلقة بتنظيم الأنشطة البدنية والرياضية وتطويرها إلى أن ما حصل في ملعب أول نوفمبر بتيزي وزو، بعد مقتل اللاعب الكاميروني ألبير إيبوسي، تتحمل مسؤوليته كل من الرابطة المحترفة لكرة القدم ونادي شبيبة القبائل وليس جهة أخرى، حيث تقول هذه المادة: “يعاقب بغرامة من 50.000 إلى 500.000 دينار جزائري منظمو التظاهرات الرياضية الذين لم يتخذوا التدابير في مجال الوقاية من العنف ومكافحته المنصوص عليها في التشريع والتنظيم المعمول بهما، وفي تنظيمات هياكل التنظيم والتنشيط الرياضيين في حالة حدوث أعمال عنف في المنشآت الرياضية بسبب تهاونهم”. وأهم فقرة في هذه المادة تقول: “ويتحمل النادي الرياضي تعويض الأضرار التي طالت المنشآت الرياضية إذا ثبت أن أعمال العنف والتحطيم ارتكبها تأطيره التقني أو الإداري أو لاعبوه أو مناصروه، ما لم يتخذ هذا النادي التدابير المنصوص عليها في الفقرة الأولى أعلاه”، حيث تؤكد هذه المادة بأن المأساة التي حصلت في ملعب أول نوفمبر تتحملها إدارة “جياسكا” مناصفة مع المشرفة على الدوري الجزائري وهي الرابطة المحترفة لكرة القدم.

الأمن والعدالة عاجزتان عن تطبيق القوانين
والنقطة التي وجب تأكيدها بأن المشرّع الجزائري وضع كثيرا من القوانين الخاصة بالعقوبات التي تطال الأشخاص المرتكبين لأعمال العنف في المنشآت الرياضية، والدليل على ذلك جملة من القوانين التي أشرنا إليها في الفقرات السابقة، ولكن لم يتم تطبيق هذه القوانين طيلة الإعلان عنها عند تطبيق الاحتراف في الدوري الجزائري، والسبب في ذلك يعود إلى عجز الشرطة المكلفة بتأمين المباريات وحتى العدالة في تطبيق أقصى العقوبات في حق المخالفين، حيث يفسر هذا العجز بغياب دولة القانون ونجاح “المشاغبين” في فرض منطقهم على الجميع. وكثيرا ما تقبض الشرطة على عدد من مثيري الشغب وتقدمهم لمصالح العدالة التي تأمر بإطلاق سراحهم سريعا خوفا من ثورة الشارع، ودائما ما تشهد المحاكم عند إلقاء القبض على المشاغبين حضورا قويا من قِبل أهالي الجناة من أجل محاصرتها وفرض ضغوط على ممثلي العدالة الذين يضطرون في النهاية للرضوخ لهم. والأكثر من هذا كله، فإننا نجد في كثير من المرات تدخل رؤساء الأندية من أجل إطلاق سراح الموقوفين، وذلك من أجل الفوز برضا “الشارع” الذي يبقى المتحكم الرئيسي في اللعبة، وهو ما يعني بأنه من أسباب تفشي ظاهرة العنف في الملاعب الرياضية هو عدم تطبيق القوانين من قِبل العدالة.
وبين القوانين وحقيقة الواقع، تعيش الكرة الجزائرية في كل مرة مآس، آخرها مقتل المهاجم إيبوسي.  
-



http://www.elkhabar.com/ar/img/article_large_img/jjj_219281365.jpg

Constantine. Réhabilitation des escaliers

La mobilisation citoyenne a eu raison des choix destructeurs

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 20.08.14 | 10h00 Réagissez
 
	La DUAC a reconnu son erreur
La DUAC a reconnu son erreur

Les solutions capables de préserver le patrimoine existent, il suffit de les chercher.

Du nouveau dans l’affaire dite des escaliers du Coudiat. En effet, le maître de l’ouvrage, la DUAC, en l’occurrence, vient d’opérer un virage à 180° en optant pour le maintient de la pierre naturelle. Cette décision intervient après le tollé citoyen soulevé samedi dernier suite à ce qu’on a qualifié de massacre au grand jour, lorsqu’une partie des escaliers reliant Abane Ramdane au Coudiat a été détruite au marteau piqueur en début de semaine.
Les citoyens qui ont intervenu ont pu sensibiliser les responsables purs arrêter les travaux et les convaincre de renoncer à un choix fortuit qui allait concerner tous les escaliers de la ville, au nombre de 80. La presse a repris cette affaire à bras le corps, suivie par les réseaux sociaux, et une pétition circule actuellement pour dénoncer la démarche du maitre d’ouvrage et protéger l’originalité des escaliers en question.
Un spécialiste en matériaux, détenteur d’une mine de granit et dont les références professionnelles ne sont pas négligeables, nous explique le danger que représente ce choix : «Les responsables, sur la base des recommandations d’un bureau d’études étrangers, plus prompts à la théorie, ont proposé un matériau composite d’une épaisseur de quatre centimètres, moyennant un prix de 22 000 dinars le M2, seulement, ce qui est incompréhensible, c’est que ce matériau supporte mal les effets de l’érosion, notamment par sa capacité d’absorption d’eau qui dépasse les 0.6%, contrairement à la pierre naturelle, moins onéreuse, se trouvant dans la wilaya de Constantine à profusion, mais surtout, de par, ses capacités physico-chimiques, sa durabilité est nettement plus élevée, quant à l’esthétique, il n’y a pas photo».
Les responsables de la DUAC, semblent rectifier le tir sur un projet qui concerne plus de quatre vingt escaliers et dont le montant initial est de l’ordre de huit milliards de dinars ; une coquette somme dans un projet global de plus de six mille milliards de dinars pour une manifestation culturelle sujette à plusieurs contradictions.
Actuellement, d’autres projets confiés, pour la plupart, à des sociétés étrangères sont en cours de réalisation et concernent en particulier le ravalement des façades d’immeubles, l’aménagement des allées piétonnes et des trottoirs, la réhabilitation de neuf jardins publics, la création d’espaces verts à travers l’ensemble des quartiers de la ville, aux côtés de l’aménagement des ronds-points et l’embellissement des placettes publiques.
N. Benouar


http://www.elwatan.com/images/2014/08/19/constantine_2349708_465x348p.jpg

Routes défoncées à la cité Emir Abdelkader

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 27.08.14 | 10h00 Réagissez

Il est pratiquement difficile de circuler depuis quelques jours à travers les rues de la partie supérieure de la cité Emir Abdelkader.

Les chaussées de cette dernière étant depuis des années en très mauvais état, et n’ayant jamais bénéficié d’aucune opération de réhabilitation, bien que les lieux sont devenus un passage obligé pour les nombreux automobilistes qui préfèrent contourner les longs embouteillages du rond-point où sont menés les travaux de la trémie inscrite dans la deuxième phase du projet du pont Salah Bey.
Depuis quelques encore, les tranchées creusées dans les rues de cette cité pour différents travaux ont encore rendu les choses plus compliquées, notamment pour les habitants qui ne trouvent plus ou stationner leurs voitures en plus de la réduction de la largeur de la chaussée qui ne permet que le passage d’une seule voiture.

S. A.

Anarchie sur les axes routiers de Ali Mendjeli

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 28.08.14 | 10h00 Réagissez


Depuis la réalisation des premières unités de voisinage à Ali Mendjeli, il y a douze ans, on n’a jamais pensé organiser la circulation automobile sur les artères de cette mégacité. Avec le nombre impressionnant de voitures et de bus qui traversent ses axes chaque jour, c’est l’anarchie totale, en l’absence des moindres panneaux de signalisations ou autre plaques d’indication. Il faut dire que circuler dans cette ville, notamment dans les intersections est un véritable cauchemar, surtout aux heures de pointe où il n’existe aucune notion de priorité de passage.

S. A.

Réhabilitation du parc immobilier

Un maquillage, sans plus

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 27.08.14 | 10h00 Réagissez

Depuis la fin du mois sacrée de Ramadhan, nous avons constaté le montage de grands échafaudages sur les immeubles du centre-ville, principalement du côté de la rue Abane Ramdane et de la rue Benmeliek. Les entreprises en charge de cette opération sont étrangères et plusieurs interrogations sont émises par les citoyens qui n’arrivent toujours pas à saisir le sens de toute cette agitation.

Agitation tous azimuts en ce sens que la ville est défoncée de partout, notamment les trottoirs, les chaussées, les immeubles et tous ces édifices qui font l’objet de travaux, dont la cadence et certains arrêts font craindre le pire. Il y a matière à s’interroger sur une précipitation qui ne peut que susciter des doutes quant aux motivations des décideurs.
Sur ce point, nous avons contacté un ingénieur en construction civile, travaillant pour le compte d’un bureau d’études espagnol, Aquidos-Algérie, en charge de la réhabilitation avec l’entreprise italienne Futura Costruzioni, de plus de 57 bâtisses et pour un montant initial de 305 millions de dinars. Ce dernier nous avoue que la mission est extrêmement difficile, voire impossible du fait de plusieurs paramètres.
Il nous cite, entre autres, l’absence d’un bureau de suivi ainsi que d’un comité de pilotage pour une coordination efficiente et de nous expliquer une situation ubuesque qui renseigne sur la capacité des décideurs à gérer ces projets. «Ce qui est inadmissible et absurde, c’est que c’est maintenant que l’on est en train de préparer les consultations pour choisir les bureaux de suivi, un non sens du fait que, nous, bureau d’études et entreprise de réalisation retenues ne savons quoi faire ; ceci d’une part, d’autre part, nous faisons face à une absence de coordination qui doit être chapeautée par, soit le commissariat chargé de ces projets ou de la wilaya».
En effet, les projets inscrits émanent de plusieurs maîtres d’ouvrage et le manque de coordination pose un problème de taille. Entre la direction de la culture qui chapeaute les salles de cinéma et le dossier de la restauration du vieux bâti, la direction des équipements publics, la DTP ou encore celle du logement à l’instar de ceux de l’APC, les chantiers ouverts sont pratiquement livrés à eux-mêmes et le chantier de la place Ahmed Bey en est l’exemple par excellence.
Notons toutefois, que la réhabilitation des immeubles obéit à un cahier des charges très pointilleux, mais, comme nous l’indique notre interlocuteur, la main d’œuvre qualifiée posera un sérieux problème, il nous dit à ce sujet : «Nous allons intervenir dans la boiserie, entre portes et fenêtres, sans oublier le fer forgé des anciens balcons et les artisans dans ces domaines n’existent pratiquement plus, et c’est notre souci premier».
En fait, les études qui ne sont toujours pas finalisées, outre qu’elles ont été faites dans la précipitation, n’augurent rien de bon, car en réalité, il ne s’agira que d’un maquillage, de la poudre aux yeux pour des montants faramineux. Question à deux sous : la présence en force des bureaux d’études espagnols qui brillent par une absence sur les lieux de leurs chantiers, à quoi rime-t-elle ?

Naima Benouaret

http://www.elwatan.com/images/2014/08/26/rehabilitation-immeubles_2362654.jpg



Cauchemar au quotidien sur l’avenue Zaâmouche

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 28.08.14 | 10h00 Réagissez
 

La multiplication des chantiers ouverts simultanément sur l’avenue Zaâmouche, a rendu la circulation cauchemardesque sur ce tronçon très fréquenté de la ville, surtout qu’il relie les sorties sud et est de la ville à la sortie nord, menant vers les wilayas de Skikda et de Annaba.

La situation s’est empirée encore après le feu vert donné aux poids lourds pour traverser cette route, pour approvisionner les chantiers. Avec les tranchées encore creusées sur la chaussée, il faudra beaucoup de patience aux automobilistes pour rejoindre le centre-ville à partir de la RN3 et la Corniche en passant par Bab El Kantara. Traversée à longueur de journée, la chaussée est devenue impraticable par endroits.

S. A.

Avenue Kitouni Abdelmalek : Le désordre organisé

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 27.08.14 | 10h00 Réagissez
 
	Une anarchie qui a atteint son comble
Une anarchie qui a atteint son comble

La situation est devenue intolérable avec ces embouteillages au quotidien, et ces nuisances qui ont rendu la vie impossible aux riverains.

Rien ne semble changer sur cet axe névralgique au centre-ville qu’est l’avenue Kitouni Abdelmalek, traversant une bonne partie de la ville pour la relier à la banlieue ouest et la RN27. Malgré les innombrables protestations et plaintes, le laisser-aller qui dure depuis des années dans ces lieux a généré une anarchie vécue comme un cauchemar au quotidien aussi bien par les riverains que par les usagers de cette avenue.
Une situation qui n’est autre que la conséquence de la démission totale des autorités et des services chargés de réguler la circulation dans un tronçon complètement saturé, notamment sur le coté supérieur, près de la place des Martyrs. «Depuis la fermeture de la station Boumezzou et le transfert des bus vers cette partie de la ville, il est devenu impossible de circuler, surtout que ces bus stationnent pour une longue durée sur les lieux, occupant d’une manière anarchique la chaussée et  créant des embouteillages énormes durant les heures de pointe», déplore un automobiliste.
De leur coté, les chauffeurs de taxis, aussi bien réguliers que fraudeurs, et bien qu’il n’y a pas une station bien réglementée dans cette avenue, viennent à longueur de journée rendre les choses encore plus compliquées. En plus des stationnements anarchiques sur une chaussée déjà exiguë, ces derniers se permettent de squatter une grande partie de la chaussée alors que d’autres n’hésitent pas à faire des manœuvres et des demi-tours gênant énormément la circulation, au vu et au su des agents de l’ordre qui ne branchent pas.
«Nous avons l’impression que ces fraudeurs jouissent d’une impunité totale, alors que les chauffeurs de taxis disposent déjà d’une station à la rue Abdelhamid Bouderbala (ex-Petit), près de l’ancien tribunal du boulevard Belouizdad, mais ils continuent de la bouder», s’insurge un automobiliste.
Anarchie à El Hattabia
Il faut voir les embouteillages enregistrés en fin d’après-midi sur cette partie de l’avenue Kitouni Abdelmalek où les bus qui prennent la descente ne peuvent même pas y accéder. Les nombreux bus qui viennent stationner dans un arrêt qui ne suffit même pas pour quatre engins créent une cacophonie générale.
Par ailleurs et sur la partie basse de cet axe, on constate la multiplication exagérée de ralentisseurs. «Il est vrai qu’en raison des accidents causés par les bus dans certains point noirs, surtout à proximité de la mosquée Bachir El Ibrahimi, a imposé la pose de ralentisseurs, mais il s’avère que cette opération a pris des proportions démesurées, avec ces «véritables montagnes», placées tous les vingt mètres», protestent certains automobilistes.
Le comble est qu’un ralentisseur situé à quelques encablures de l’accès vers la rue Bensihamdi Brahim, sert d’arrêt de bus. Les chauffeurs de ces derniers n’hésitent pas à prendre des passagers sans se soucier du danger qu’ils peuvent engendrer. Aux alentours de la cité Hattabia, c’est un autre décor fait de voitures stationnées anarchiquement sur les deux bords de la chaussée, à proximité des ateliers de mécaniciens à ciel ouvert, ce qui donne à la circulation un véritable exercice d’acrobatie au volant.
«On ne peut qualifier autrement cette débandade qui règne dans cette partie de la ville, surtout avec les véhicules venant de la cité de Martyrs et ceux des chauffeurs de taxis assurant la liaison avec le centre-ville, ce qui crée des bouchons à longueur de journée, ajoutez à cela le danger qui guette les écoliers qui fréquentent un établissement situé à quelques dizaines de mètres des lieux», déplore un habitant.
Les riverains déplorent surtout le silence étrange des autorités face à ce chaos qui a pris de l’ampleur ces dernières années avec la multiplication du nombre des véhicules et surtout celui des bus, desservant plusieurs cités populeuses comme Benchergui, El Ghorab, et Boudraâ Salah.
L’avenue Kitouni Abdelmalek qui demeure un passage stratégique entre le centre-ville et la RN27, connaît aussi depuis plusieurs années une sérieuse dégradation de la chaussée, notamment sur le tronçon de la cité Boudraâ Salah où les infiltrations des eaux souterraines ont causé d’énormes dégâts sur une voie devenue impraticable.
Toutefois rien n’a été fait pour y remédier, en dépit des nombreuses promesses des responsables qui se sont succédés à l’hôtel de ville. «Il semble que cette partie de la ville ne figure pas sur la liste des priorités des autorités, pourtant ces dernières sont bien au fait des conditions déplorables dans lesquelles nous vivons depuis des décennies», s’indignent des résidents de la cité Boudraâ Salah.
Arslan Selmane


http://www.elwatan.com/images/2014/08/26/constantine-ville_2362653.jpg

Ibn Ziad : Un incendie ravage un cimetière

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 28.08.14 | 10h00 Réagissez

C’est la consternation parmi les habitants de la commune d’Ibn Ziad, notamment parmi ceux de la localité d’El Ferroudj, après l’incendie qui a ravagé, ce mardi, le cimetière de cette dernière et qui sert également pour l’enterrement des morts de l’autre localité d’El Melha.

Selon des sources locales, l’incendie a pris au début dans des champs avoisinants, avant de s’étendre au cimetière, attisé par les vents qui ont soufflé sur la région. Des habitants, que nous avons contactés accusent directement l’APC d’Ibn Ziad, d’être la première responsable de la situation de dégradation qui règne dans ce cimetière, surtout que tous les responsables qui s’y sont succédés ont été avisés, et même sollicités pour la construction d’une clôture pour protéger les lieux, exposés à toutes les agressions. Une demande à ce sujet, ainsi que plusieurs autres correspondances ont été adressées à la commune depuis des années, mais sans résultats. Et dire que même les morts ne sont plus tranquilles dans leurs dernières demeures.

S. A.


A quelques mois de l’évènement de 2015

Un grand dépotoir à ciel ouvert sous le pont Sidi Rached

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 28.08.14 | 10h00 Réagissez

Malgré les opérations de nettoyage effectuées depuis un certain temps au lieudit le Remblai, situé juste au dessous du pont Sidi Rached, les saletés et les déchets en tous genres continuent de s’accumuler donnant un décor honteux pour une ville qui s’apprête à accueillir dans quelques mois l’évènement de la culture arabe.

Que dire de l’image, que des touristes, de passage cet été à Constantine, ont été choqués de voir, lors de leur visite à la vieille ville. Hier, nous avons fait le tour de cet espace, jadis connu pour être un haut lieu historique qui a fait les beaux jours des fidaynes durant la guerre de libération.
Cependant, ce qui préoccupe la population constantinoise, c’est toute cette crasse qui inonde les lieux, malgré que les services communaux aient entrepris plusieurs opérations d’enlèvement d’ordures, amassées durant des mois, voire des années. La dernière en date remonte à deux mois avant les dernières élections présidentielles où des tonnes d’ordures ont été enlevées, bien sur en usant de moyens colossaux, notamment de gros engins, au regard de la topographie des lieux.
Depuis, les mauvaises habitudes ont repris par ceux qui commercent dans ces lieux, y compris une partie des habitants pour voir les mêmes images désolantes de ces détritus qui ternissent l’image même de la ville. «Le comble, c’est qu’après l’opération de nettoyage entreprise récemment, les services communaux ont installé une grande benne à ordures et tout le monde y jetait ses déchets, mais comme par enchantement, les mêmes services ont repris la benne, laissant tout ce beau monde déverser les déchets dans la nature», nous dira un commerçant, activant dans la brocante.
Pourtant, au beau milieu de cet espace, un café, faisant office de lieu de rendez-vous, est tenu par un ancien habitant de la vieille ville. Ce dernier nous avoue : «C’est la première fois que les touristes ne sont pas venus visiter cet endroit ; les années précédentes, je les recevais, ici dans ce petit café et ils étaient ravis de découvrir la beauté du site et quand, je leur racontait quelques anecdotes, ils étaient encore plus avides d’en savoir plus».
Effectivement, le triptyque du aassas (gardien), du kennass (balayeur) et du mekkass (percepteur de la commune) n’était pas fortuit. Les trois métiers s’y référent, permettaient une gestion efficiente des lieux, malgré le peu de moyens de l’époque, car, en réalité, ces lieux permettent à beaucoup de gens, indigents pour bon nombre d’entre eux de survivre à partir de rebuts de la société.
L’un d’eux nous dira : «Si les services communaux s’y mettent, notamment pour l’aménagement du site qui ne nécessite pas de gros moyens, l’endroit serait davantage accueillant pour beaucoup de gens et à la faveur de la manifestation culturelle que l’on prépare à coups de milliards, il serait plus sage de commencer à nettoyer ce qui se trouve en plein centre de la ville, serait-ce la carte de visite d’une des plus grandes villes d’Algérie, la saleté en l’occurrence ?». A y regarder de très prêt, on n’est vraiment pas loin de cette pertinente remarque.
N. B.


http://www.elwatan.com/images/2014/08/27/decharge_2364184.jpg





 http://www




.annasronline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=71392:2014-08-27-21-23-26&catid=34:2009-04-06-12-59-04&Itemid=27

 http://www.annasronline.com/images/stories/28-08-14/a43.jpg

 http://www.annasronline.com/images/stories/28-08-14/a18.jpg

 http://www.annasronline.com/images/stories/28-08-14/a10.jpg

  
 http://www.annasronline.com/images/stories/28-08-14/a11.jpgال

 http://www.elwatan.com/images/2014/08/19/constantine_2349708_465x348p.jpg

Constantine. Réhabilitation des escaliers

La mobilisation citoyenne a eu raison des choix destructeurs

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 20.08.14 | 10h00 Réagissez
 
	La DUAC a reconnu son erreur
La DUAC a reconnu son erreur
 

Les solutions capables de préserver le patrimoine existent, il suffit de les chercher.

Du nouveau dans l’affaire dite des escaliers du Coudiat. En effet, le maître de l’ouvrage, la DUAC, en l’occurrence, vient d’opérer un virage à 180° en optant pour le maintient de la pierre naturelle. Cette décision intervient après le tollé citoyen soulevé samedi dernier suite à ce qu’on a qualifié de massacre au grand jour, lorsqu’une partie des escaliers reliant Abane Ramdane au Coudiat a été détruite au marteau piqueur en début de semaine.
Les citoyens qui ont intervenu ont pu sensibiliser les responsables purs arrêter les travaux et les convaincre de renoncer à un choix fortuit qui allait concerner tous les escaliers de la ville, au nombre de 80. La presse a repris cette affaire à bras le corps, suivie par les réseaux sociaux, et une pétition circule actuellement pour dénoncer la démarche du maitre d’ouvrage et protéger l’originalité des escaliers en question.
Un spécialiste en matériaux, détenteur d’une mine de granit et dont les références professionnelles ne sont pas négligeables, nous explique le danger que représente ce choix : «Les responsables, sur la base des recommandations d’un bureau d’études étrangers, plus prompts à la théorie, ont proposé un matériau composite d’une épaisseur de quatre centimètres, moyennant un prix de 22 000 dinars le M2, seulement, ce qui est incompréhensible, c’est que ce matériau supporte mal les effets de l’érosion, notamment par sa capacité d’absorption d’eau qui dépasse les 0.6%, contrairement à la pierre naturelle, moins onéreuse, se trouvant dans la wilaya de Constantine à profusion, mais surtout, de par, ses capacités physico-chimiques, sa durabilité est nettement plus élevée, quant à l’esthétique, il n’y a pas photo».
Les responsables de la DUAC, semblent rectifier le tir sur un projet qui concerne plus de quatre vingt escaliers et dont le montant initial est de l’ordre de huit milliards de dinars ; une coquette somme dans un projet global de plus de six mille milliards de dinars pour une manifestation culturelle sujette à plusieurs contradictions.
Actuellement, d’autres projets confiés, pour la plupart, à des sociétés étrangères sont en cours de réalisation et concernent en particulier le ravalement des façades d’immeubles, l’aménagement des allées piétonnes et des trottoirs, la réhabilitation de neuf jardins publics, la création d’espaces verts à travers l’ensemble des quartiers de la ville, aux côtés de l’aménagement des ronds-points et l’embellissement des placettes publiques.
N. Benouar

Direction de distribution de Gué de Constantine

Des plaintes pour agression des réseaux d’électricité et de gaz

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 21.08.14 | 10h00 Réagissez
 
	La direction de distribution de Gué de Constantine  fait face aux agressions
La direction de distribution de Gué de Constantine  fait face...

Depuis le début de l’année, la filiale de Sonelgaz a enregistrées 55 agressions sur les installations électriques et 34 autres sur les réseaux de gaz.

Les agressions sur les réseaux font subir des pertes énormes à la Direction de distribution de Gué de Constantine, entreprise du groupe Sonelgaz. En dépit de l’investissement consenti par cette direction, les cas d’agression sur les installations d’électricité et de gaz causent une perte financière importante pour l’entreprise et des désagréments à ses clients.
«La direction, qui couvre 11 communes de la périphérie, a lancé depuis deux ans un plan d’urgence qui a permis de mise en service de 170 postes comprenant 239 transformateurs de 630 KVA chacun. Cet investissement nous a permis d’éliminer les problèmes de chute de tension électrique et les incidents qui en découlent. Mais malgré cet effort, nous faisons face au problème des agressions sur ces installations que nous considérons comme un cancer qu’il faudra combattre.
Les abonnés croient que c’est de la faute de la société si les coupures interviennent. Nous les assurons que l’énergie est disponible, mais que les atteintes sur nos équipements font que des coupures incontrôlées interviennent», explique le directeur de distribution, Lakhal
Loucif, joint au téléphone par El Watan.Depuis le début de l’année, la direction a enregistrées 55 agressions sur les installations électriques, et 34 autres sur les réseaux de gaz.
Les premiers mis en cause sont les entreprises publiques et privées qui interviennent sur la voie publique (AEP, téléphonie, assainissement, etc.). «Des concessionnaires travaillent sans demander une cartographie des lieux à notre société. Une ligne électrique moyenne tension (MT) de 10 à 30 KW touchée lors des travaux d’installation de buses, par exemple, c’est quelque 5000 abonnés qui sont privés d’électricité. Aux coupures subies par nos abonnés, s’ajoutent les pertes financières. L’énergie perdue est importante et la réparation nous coûte entre 200 000 et 500 000 DA», précise M. Lakehal.
La difficulté pour localiser la panne est mise en avant. «Il y a ce que j’appelle des agressions sincères. Le concerné appelle l’entreprise et nos agents interviennent, car la panne est localisée. Mais, quelquefois, des intervenants ne nous appellent pas et nos agents trouvent des difficultés pour identifier l’endroit de l’agression. Tout ce retard se répercute sur le service en direction de nos clients», se désole le directeur. Autre problème subi par la direction : les constructions situées dans les servitudes des installations.
Des particuliers, en possession de permis de construire, ont bâti sous des lignes électriques et sur des réseaux de gaz. «Les gens poussent les câbles électriques avec des tuyaux en PVC qui cèdent sous la chaleur et conduisent à la chute du conducteur. A la coopérative Emir Abdelkader, à Gué de Constantine, un citoyen a utilisé ce procédé et a provoqué la chute d’un câble, qui a causé une coupure d’électricité qui a duré toute la matinée», se désole M. Lakehal.
Des poursuites en justice sont engagées à l’encontre d’une centaine d’intervenants. «98 plaintes ont été déposées depuis le début de l’année contre des entreprises et des particuliers coupables de ces actes dommageables. Les affaires sont toujours pendantes, mais la justice finira par trancher», relève-t-il, et il souhaite la «coopération» des autorités locales (APC), qui octroient à tout-va des permis et des concessions.
Nadir Iddir
 

Centre d’enfouissement technique de Benbadis (Constantine)

Le jour d’après

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 25.08.14 | 10h00 2 réactions
 
	Le lixiviat est deversé dans la nature
Le lixiviat est deversé dans la nature

Gestion hasardeuse, décisions intempestives, incompétences : ingrédients d’une catastrophe écologique et de la révolte de la population.

Après les heurts qui l’ont secoué fortement la semaine passée, la commune de Benbadis semblait hier relativement calme. Sur place et sur le site même du centre d’enfouissement technique (CET), principale source du mécontentement populaire, nous avons constaté que rien n’a été entrepris pour remettre sur pied ce centre et c’est une image de grande désolation qui s’offre à nous.
Trois travailleurs étaient présents, le reste étant mutés vers l’ancienne décharge, située à quelques kilomètres pour recevoir tous les déchets de la ville de Constantine et de ses environs, une solution palliative. Le traitement des déchets ménagers obéit à des normes, dont cette décharge n’en dispose pas. Nous avons appris auprès de ces travailleurs que ce qui s’est passé, était prévisible du fait d’une gestion du centre des plus hasardeuses, l’un d’eux nous confie : «Comme vous pouvez le constater, c’est lorsque il y a eu la visite des représentants du ministère que l’on nous a doté de tenues de travail.
Les masques de protection, on ne nous les jamais remit. Nous sommes les premiers à être exposés aux nuisances du centre, pire encore, l’injection que nous devrions faire accuse un retard de deux mois et c’est dire tous les risques sanitaires que nous pourrons connaître, c’est criminel !».
Son collègue, un autre agent nous révèle pour sa part un fait majeur: «C’est extraordinaire, nous venons de découvrir qu’il existe un produit «TGV 999- Stabe Bleaching powder» qui élimine toutes ces odeurs mais qui n’a jamais été utilisé, sauf quand il y a eu ces heurts et comme vous pouvez vous rendre compte, nous sommes sur le site même des déchets et aucune odeur n’est perceptible».
En effet, point d’odeur malgré la fumée qui se dégage du monticule faisant office de dépotoir d’ordures ménagères. Ce n’est pas tout, puisque d’autres paramètres viennent se greffer sur la gestion du site, notamment les trois lagunes qui, après décantation du lixiviat (jus des ordures) sont traitées pour éliminer toute la dangerosité de cette eau marâtre.
Les rapports occultés du bureau d’hygiène
A noter que le chef de centre, Tahar Selmane n’a pas voulu nous recevoir, préférant à partir d’un camion, instruire le personnel présent de ne point discuter avec nous et encore moins divulguer la moindre information, Y-avait-il quelque chose à cacher ? Certainement, puisque selon quelques indiscrétions, les représentants du ministère de l’environnement étaient très mécontents de la situation et l’un d’eux avait menacé le directeur de l’environnement, l’accusant de négligences. Pire, les données transmises au ministère étaient erronées, notamment, l’utilisation du produit devant dissiper les odeurs, avait-il souligné.
Voulant en savoir plus auprès de la commune de Benbadis, nous avons appris que le P/APC était en congé, et que son intérimaire avait d’autres occupations et c’est le bureau d’hygiène communal qui nous a livré quelques indications se rapportant au CET, pour cela, l’un des agents de ce service nous montre un épais document, d’une centaine de pages, faisant ressortir toutes les démarches entreprises pour alerter les responsables, au niveau de la wilaya, la direction de l’environnement et même le ministère. En vain, rien n’a été entrepris malgré de nombreuses délégations, venues sur place, composées de représentants de diverses institutions, notamment les services de sécurité, de la direction de l’environnement.
Les photos prises sur le site montrant la gravité de la situation, particulièrement le déversement du lixiviat à partir du centre et allant vers l’oued, n’ont semble-t-il pas convaincu les responsables qui ont péché par un laxisme inexplicable. Selon notre interlocuteur, la catastrophe écologique est un fait avéré, car la commune dispose de 176 puits individuels, 3 puits collectifs et 3 autres agricoles, exposés au poison dégagé par le CET.
Pire encore, le lixiviat qui se déverse a atteint le barrage Bouhamdan de Guelma, affirme notre source du bureau d’hygiène, d’où une inquiétude grandissante de la population qui voit sa source de vie menacée. Plus grave encore, le même agent, bien renseigné sur la situation explique que la nappe phréatique, l’une des plus importantes du pays, risque d’être contaminée, si des mesures urgentes ne sont pas prises.
Le pompier pyromane
Fort de toutes ces données à force de détails, nous avons approché quelques citoyens pour en connaître les raisons d’un tel déchaînement qui a engendré les destructions du site, notamment ce chiffre de 35 milliards et c’est Abdelouahab qui nous dit : « C’est la faute au chef de Daïra qui s’est comporté comme un irresponsable dans la gestion de cette crise, en déclarant au lieutenant-colonel de la gendarmerie et devant nous que la commune de Benbadis était une saleté et que ses habitants en sont encore plus sales.
Il avait ordonné aux éléments de la gendarmerie de nous arroser avec de l’eau, ce qui a mis le feu aux poudres. Pourtant, au début, notre manifestation était pacifique».
Entre temps, la situation au niveau du chef-lieu de la wilaya a atteint un seuil intolérable à cause des ordures ménagères non enlevées durant plusieurs jours faisant monter la tension et faisant apparaître l’inconséquence des autorités locales dans la gestion de ce dossier.
A Benbadis, la population ne veut plus entendre parler de ce CET et tiens à préserver l’environnement de ce village agricole qui n’a rien demandé à la ville. «Notre commune, connue pour sa vocation agricole, donc pour la pureté de son climat a subit, à cause du centre une altération de l’atmosphère qui a envahi même nos maisons, notre quotidien est synonyme de crasse ce qui a généré des pathologies graves au sein de nos familles, particulièrement les enfants, d’où une psychose qui a mis en émoi toute la population. Selon le médecin chef de l’hôpital de la commune, il y a eu 74 décès, rien que pour cette année, dus au cancer.
Les tumeurs cérébrales chez des enfants de moins de quatre ans ont semé une vraie panique et cela ne peut que s’expliquer par la présence de ce centre qui devait accueillir tous les déchets d’une grande wilaya». Malgré une relative accalmie à Benbadis, l’un des habitants nous révèle, d’un ton menaçant et déterminé : «Nous vous donnons rendez-vous dans deux semaines, il va y avoir une grande mobilisation citoyenne, puisque nous allons camper en famille pour en finir avec ce centre».
N. Benouar
 
 
Vos réactions 2
verru amazigh   le 26.08.14 | 14h13
la gangrène....
à 5h du matin sur presque tous nos axes routiers des odeurs à vous couper le souffle et vous obliger à remonter toutes les vitres au risque de vomir les tripes. La faillite se voit au grand jour et partout la faillite du système est très proche et ce dans tous les domaine: environnement, sécurité, éducation,valeurs sociales etc... L'argent prime sur tout, partout il est grand temps que le système abdique et laisse la gestion du pays à ses vrais enfants.
 
Midou   le 25.08.14 | 11h03
Faillite
C'est la faillite générale d'un système pourri érigé en système de gouvernance. Cela pouvait tenir un temps, mais c'est fini, le système s'écroule et toutes ses faillites se révèlent au grand jour: incompétence généralisée, mensonges, trahisons, mise à mort de notre cadre de vie, dilapidation des finances publiques, corruption. Un système pourri qui a dépassé, les fissures, en voie d'éclatement. Enfin, on va pouvoir chasser légitimement les imposteurs.
 
 

Décès de l’ancien pasteur de l’église méthodiste de Constantine

Gerhard Schreck, la rue Benmliek s’en souvient

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 25.08.14 | 10h00 Réagissez

L’ancien pasteur de l’Eglise méthodiste de Constantine, Gerhard Schreck, est décédé le 7 aout dernier à Pirmasens en Allemagne. Selon, son fils Michael, les obsèques ont eu lieu le 14 août à Pirmasens. Le défunt né le 4 janvier 1925 dans la même localité souffrait d’une longue maladie.

Gerhard Schreck a quitté l’Algérie en 1988 pour prendre sa retraite et a depuis vécu dans sa ville natale, après 30 ans de service en Afrique du Nord. Mais c’est à Constantine où il a passé le plus grand de son temps et a fait partie intégrante auprès des habitants du quartier de la rue Benmliek (ex Pinget) durant les années 1960 et 1970. Tous les anciens du quartier gardent une image d’un homme qui, au-delà des différences religieuses ou culturelles, a su entrer dans le cœur de toutes les familles.
Même les femmes gardent un souvenir indélébile de lui, grâce à sa générosité et cette présence hautement significative quand il partageait, avec sa défunte femme, les fêtes de mariage. Mieux encore, il a, à plusieurs reprises mis à la disposition de ses voisins, les locaux de l’église pour la célébration de leurs fêtes.Sans hésitations, plusieurs de ses anciens voisins de quartiers que nous avons sollicités ont donné leurs impressions au sujet du décès de Monsieur Schreck.
Pour Malik, c’était un homme affable, «le fait qu’il nous ouvrait grande la porte de son église et nous permettait de jouer du piano ou faire des petits matchs de ballon, était pour nous exceptionnel.» Malik nous dit : «J’ai toujours, ce goût si particulier de ses sardines qu’il nous offrait ainsi que ce jus dont je n’ai jamais trouvé pareil, mais encore ces projections cinématographiques avec quoi il nous gratifiait, notamment, ces instants rares des épisodes de Tintin et dont il nous faisait la narration.
C’était un grand père pour nous tous, dommage que nos enfants n’ont pas connu pareil». Noureddine, lui, plein d’émotion dira : «Avec du recul, je m’aperçois que nos parents, bien qu’ils étaient limités dans leurs connaissances, étaient tolérants pour nous permettre de fréquenter une église, ils savaient qu’il y avait des enseignements à prendre et cela n’offusquait personne, le vivre ensemble était une réalité avec ce Monsieur qui nous a tant donné et que nous regretterons du fond du cœur».
N. B.

Abdelaziz Rahabi à propos de la brutale éviction de Belkhadem

«Le Président prend l’Etat pour le parti»

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 28.08.14 | 10h00 12 réactions
 
	Abdelaziz Rahabi
Abdelaziz Rahabi
 

Au lendemain de l’annonce de la décision prise à son encontre, les commentaires sur cette réaction violente à l’égard de ce pilier du régime Bouteflika sont nombreux.

La brutale éviction de Abdelaziz Belkhadem de son poste de ministre d’Etat, conseiller spécial à la présidence de la République, continue de susciter des interrogations. Au lendemain de l’annonce de la décision prise à son encontre, les commentaires sur cette réaction violente à l’égard de ce pilier du régime Bouteflika sont nombreux.
Ce ne sont plus les raisons de ce limogeage qui captent le plus l’intérêt des observateurs, mais le procédé utilisé pour signer… la mort politique d’un homme jugé trop ambitieux. Les termes utilisés dans la dépêche de l’agence officielle APS traduisent, selon le diplomate et ancien ministre de la Communication, Abdelaziz Rahabi, une situation de fin de règne.
Un scénario à la Bourguiba (ancien président tunisien). «C’est un indice très sérieux de l’incapacité du Président à diriger le pays. Nous sommes, je pense, entrés dans le scénario Bourguiba, lorsqu’il a été affaibli et atteint par la maladie. En général, dans des situations comme celle-là, le Président crée l’actualité par la crise.
Ce sont des crises successives qui n’ont absolument rien à voir avec l’action du gouvernement. Elles ne portent pas sur des dossiers, des objectifs ou sur des problèmes économiques et sociaux, mais sur des individus, sur des luttes d’appareils, sur des crises du système», explique-t-il. C’est l’ère des règlements de comptes personnels et de luttes d’appareils. «Nous ne sommes pas dans la sanction de l’action d’un membre du gouvernement, mais dans des luttes et des positionnements d’appareils pour l’après-Bouteflika», ajoute-t-il.
Bannissement et confusion
Le rapprochement avec le scénario Bourguiba se traduit aussi, selon lui, par la création de mini-crises pour occuper la scène politique. «Ce sont des crises qui n’apportent absolument rien au pays. Parce que l’homme politique en Algérie, ou le dirigeant, n’est pas évalué en fonction de la gestion de son secteur, mais il est perçu en fonction de son groupe, de son clan et de ses ambitions. A la fin de sa vie, Bourguiba ne permettait aucune expression de velléité de succession.
Et nous sommes dans le même scénario de fin de règne marqué par des crises de cette nature», souligne-t-il. Selon Abdelaziz Rahabi, l’annonce de la décision, telle qu’elle a été faite via l’APS, «est une synthèse du pouvoir de Bouteflika». «Il y a confusion entre l’Etat et le parti. Il (Bouteflika, ndlr) veut dire que je suis le chef de l’Etat, je suis le chef du parti et rien ne se fait sans moi. Même la dépêche de l’agence d’Etat introduit la confusion entre l’Etat et le parti.
Il montre qu’il est le chef réel du FLN. Mais l’Algérie est dirigée par un gouvernement et non pas par un parti. Et Bouteflika en se comportant ainsi n’est plus le symbole de l’union de l’Etat et l’unité de ses institutions», estime-t-il. Le contenu de la dépêche de l’APS, ajoute-t-il, comporte même «un préjugé sur l’avenir de Abdelaziz Belkhadem.
Tel qu’est rédigé ce communiqué — il est très mal rédigé —   n’est pas un limogeage, c’est un bannissement», souligne-t-il. Pour l’ancien diplomate, ce comportement est celui d’un Président qui n’a pas de contre-pouvoir et qui est seul. «C’est cela le pouvoir personnel et l’expression de fin de règne. Il (Bouteflika) n’est pas en train d’instaurer son règne, il est en train de l’achever», conclut-il. 
 
 
Vos réactions 12
aziz66   le 29.08.14 | 06h55
Après moi, le déluge !
Après moi, le déluge ! Sans plus de commentaires...
 
Papponi   le 29.08.14 | 02h25
PAS ETONNANT SAID N'A PAS D'AMIS!!
Pour ceux qui croient que Bouteflika a limogé Belkhadem .Alors je vous dit d'avance que vous êtes dans l’erreur. Boutef n'a pas d'amis ,ni d’ennemis .il vit de jour en jour avec des medicaments et le suivi des medecins. Ce coup est venu de Said Boutef, c'est lui qui manipule le système en développant des relations d'obligation obeissance en direction de tout les cadres supérieurs de la nations .massakin !!
 
népourêtrelibre   le 29.08.14 | 00h17
J'adresse
ce commentaire à ceux qui ne cessent d'écrire sur le petit homme âgé et malade pardessus le marché, mais au fond ne font rien. De Rahabi, de Said Saadi, de Benflis, de Benbitour et du reste... Comme on dit, vouloir c'est pouvoir, je pense qu'il est temps d'agir en force, ce n'est pas Bouteflika avec ses acolytes de nous imposer quoi que ce soit. Actuellement, il fait, refait, méfait et défait ce qu'il lui semble mauvais à ses yeux. Moi personnellement, j'en ai plein la tête à lire vos conneries. Ce dont veut le peuple mature un changement radical et ne veux plus entendre parler des gens qui ont rendu le pays là ou il se trouve aujourd'hui. Le pays, l'Algérie, vit plusieurs crises en particulier morale.
 
setif1947   le 28.08.14 | 19h47
Pilier de quoi ou de qui
Je suis ébahi de lire ce qualificatif De toutes les marionnettes entre les mains de fakhamatouhou le Belkhadem a une particularité : celle d'avoir été acteur dans tous les régimes qui se sont succédés depuis la mort du Rais Boumédiène : C'est un champion: Etre acteur du pouvoir sur cinq décennies mérite de figurer dans les records des records de Guiness! qui dit mieux
 
Toufik20   le 28.08.14 | 16h41
Apres moi ,le deluge
Boutef vit son dernier quart d'heure .Qu'il agisse ainsi ,montre bien qu'il est fini .Quand a Mr Belkhadem ,il reapparaitra bientot libere' de ses serments qui ne lui ont valu que soumission et malediction.Boutef a vendu la peau de l'ours avant de l'avoir tue'.Et l'ours reapparaitra plutot que prevu ,le temps de se ressaisir car presentement un peu groggi.Le combat merite d'etre suivi
 
BOUMELLAduMCA   le 28.08.14 | 16h33
Une bourde de la momie.
qu elle est belle cette histoire de renvoi de BELKHADEM du fln et du gouvernement tant mieux , c est toujours un integriste de moins dans les rouages du gouvernement. il veut etre president a la place de la momie c est ce qui l a genee.
 
den haag(nl)   le 28.08.14 | 15h24
il fait confiance à personne maintenent
fin de règne =paranoïa !!!! il fait confiance à personne il se méfier de tout le monde = le malade imaginaire et c est le début de la fin et bientôt il se rendras compte qu il est déteste par tous seule sans amis parceque tout Sont clans ce n est que des charognards importunistes (cheyatines) juste pour s enrichire sur son dos voilà la réalité monsieur bouteflika tu te croix malin ????
 
Midou   le 28.08.14 | 15h00
Plus encore
Ce président prend l'Algérie comme sa propriété privée, comme une sa société et use et abuse de prérogatives néfastes pour le peuple et pour l'avenir du pays. Ceci étant dit, je n'ai aucune sympathie pour Belkhadem que je soupçonne d'avoir diligenté l'assassinat de mon frère, cadre au MAE en 1993.
 
azeid   le 28.08.14 | 13h08
belkhadem cache une forêt de voyous!!
c'est le pays qui nous intéresse,il est entre les griffes de rapaces pires que belkadem !!!si boumerde et sa famille ont un tant soit peu de respect pour l'Algérie et son peuple ils auraient commencer par eux mêmes "à foutre le camp !!! " enlever une goutte d'eau d'une bouteille d'un litre est insignifiant !!!
 
cheik   le 28.08.14 | 11h46
entorse ambigüe
Je félicite,cette approche combien pertinente de la part de son excellence ancien Rahabi dont je respecte ses positions.Car,je trouve vraiment une comparaisons identiques avec les praiques utilisées par Bourguiba qui limoge s'est ministre sur simple communiqué de presse(victimes,Ahmed Bensalah,Bahi Ladgram,hédi Nouira Med Mezali ect..).ET,enfin de compte il a été éléminé par un de ses sbires,les conséquences d'une dictaru finira toujours mal voir le cas de Khadafi illustration dramatique.
 
Régions Centre Alger
 

Le déplacement des niches réclamé par les résidants à Aïn Naâdja

La cité En Nassim asphyxiée par les odeurs nauséabondes

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 27.08.14 | 10h00 Réagissez
 
	La niche de la cité En Nassim complètement dégradée
La niche de la cité En Nassim complètement...
 

Rats, odeurs pestilentielles, moustiques, etc, les résidants de la cité En Nassim (274 Logts), à Aïn Naâdja (Gué de Constantine), se plaignent de la dégradation de leur environnement immédiat. Dans le viseur des habitants, la niche installée aux abords immédiats des barres d’immeubles. «La niche, ou ce qui en tient lieu, s’est complètement dégradée.

Celle réalisée par les services de la voirie n’arrive plus à contenir toutes les ordures ménagères qui s’accumulent à vue d’œil», se plaignent les habitants du rez-de-chaussée et des premiers étages, qui sont incommodés directement par ces odeurs. Ils sont les premiers à souffrir des odeurs et même des petites bêtes en tous genres. «Un voisin a surpris un rat roder dans sa maison. D’ailleurs, les services de dératisation sont venus dans la cité, mais qui se soucie de notre santé ?», s’interroge un quadragénaire, l’un des premiers habitants de la cité il y a presque une trentaine d’années.
Ces citoyens réclament l’installation de bacs à ordures galvanisés en quantités suffisantes. «Tout le monde est au courant de cette situation. De l’APC, aux service de l’OPGI et même d’ExtraNet. Nous voulons des bacs à ordures aux normes, sans plus. Et qu’on les éloigne de nos fenêtres afin de nous éviter tous les désagréments que nous subissons depuis plusieurs années», suggère un résidant, qui affirme que ses voisins ont adressé des courriers aux différentes administrations, mais à ce jour... peine perdue.
L’Epic de la wilaya, lancé en début d’année, ne semble pas être capable de prendre en charge tous les quartiers populaires de la proche ou lointaine banlieue de la capitale. Les rares bacs à ordures installés s’avèrent insuffisants ou de mauvaise qualité. Acquis à grands frais, ces bacs en galvanisé se dégradent sitôt mis en service.
Livrée en 1984, la cité, gérée par l’OPGI, a vu presque la totalité de ses occupants devenir propriétaires. Conséquence de la cession de ces biens : l’Office s’est presque complètement désengagé, sans que les résidants ne s’organisent pour prendre vraiment en main la situation de leur cité. Parmi les problèmes récurrents auxquels font face les habitants, figure l’absence d’équipements de proximité. La cité, comme presque la totalité des cités de Aïn Naâdja, ne dispose pas d’espaces de loisirs et de jeux. Pourtant, un terrain situé aux abords de l’ensemble des habitations pourrait faire office, suggère la population, d’espace vert.
«Il existe une assiette que les autorités locales auraient pu aménager et transformer en jardin. Tout le monde y trouvera son compte. Les personnes âgées et les enfants auront un espace de jeux et la pression baissera, car les résidants se contentent des espaces en bas des immeubles», ajoute un sexagénaire, qui se réunit avec ses amis sur un amas de terrz, à quelques mètres de sa maison. Autre problème mis en avant par les habitants : l’absence de marché de proximité, obligeant la population à faire ses emplettes dans les quartiers limitrophes.  
Nadir Iddir
 http://www.elwatan.com/images/2014/08/27/_2362826.jpg


السلطات تعد بتغيير وجه المدينة والمواطنون ينتقدون فتح جميع الورشات دفعة واحدة طباعة إرسال إلى صديق
الأربعاء, 27 أغسطس 2014
عدد القراءات: 462
تقييم المستخدمين: / 2
سيئجيد 
مشاريع عاصمة الثقافة العربية تربك القسنطينيين

أثارت الأشغال المتعلقة بإعادة الاعتبار لمدينة قسنطينة جدلا كبيرا في أوساط المواطنين الذين انتقدوا فتح هذا الكم من  الورشات في نفس الوقت كما شككوا في إمكانية إنهاء الأشغال في الموعد المطلوب، وشكل الموضوع حديث الشارع بعد أن واجه سكان الأحياء والعمارات المعنية بالأشغال صعوبات في التأقلم مع  ضجيج الورشات و الأتربة المتطايرة في كل مكان، وعاش المواطنون حالة ارتباك غير مسبوقة في مدينة ضيقة تحولت فجأة إلى ورشة مفتوحة لتعم الفوضى ويتولد معها شعور بالتذمر تعدى حد رفض الأشغال إلى الانتقاد والتشكيك.
السلطات المتهمة بالعشوائية من طرف التجار والسكان تطالب المواطنين بشيء من الصبر وتعد بأن وجه قسنطينة سيتغير إلى الأجمل وتجزم بأن كل شيء سيكون في الموعد بينما يحذر مقاولون من تبعات التسرع ويطالب المجتمع المدني بتدارك أخطاء البداية، أما  هيئة المهندسين فتتحدث عن الإخلال بالطابع العمراني باستعمال مواد غير ملائمة..  الجدل يبقى قائما حول طبيعة الأشغال و احتمالات عدم إنهائها إلى غاية اقتراب موعد التظاهرة،  وفي انتظار ذلك تواصل الجهات المشرفة على المشاريع سباقها مع الزمن للإيفاء بالتزامات تراهن عليها وزارة الثقافة لإنجاح التظاهرة بمدينة طالها الإهمال لسنوات.

وسط مدينة قسنطينة يتحول إلى ورشة مفتوحة
فـــوضــى و المــواطنــون  يتســاءلــون عــن مــدة الأشغــال
يشهد وسط مدينة قسنطينة منذ عدة أسابيع أشغال إعادة تهيئة واسعة، شملت معظم المحاور الكبرى به و حولته إلى ما يشبه الورشة المفتوحة على الهواء، ما أدخل الشوارع في فوضى و ازدحام و أوساخ، و ولد انزعاجا و ضغطا كبيرين لدى المواطنين و سكان الأحياء المعنية بالأشغال، خاصة أن العملية جاءت بصورة مفاجئة، و بشكل يوصف بأنه مبالغ فيه مع وجود إختلالات في بعض الورشات.
زرنا وسط المدينة و مررنا بجميع شوارعها و أحيائها، و بالأخص تلك التي تخضع لأشغال إعادة التهيئة، و لاحظنا أن الأشغال مست شوارع بأكملها من طرقات و عمارات و أرصفة و إنارة عمومية و قنوات نقل و صرف المياه، و كل الورشات مفتوحة في نفس الوقت، وقد تحدثنا إلى المواطنين و السكان و أصحاب المحلات لنقل أرائهم حول الوضعية التي يعيشونها يوميا.  البداية من شارعي بلوزداد و بوجريو،أين امتدت أشغال الحفر بهما على طول الأرصفة، التي أصبحت ترابية بعد أن أزيل البلاط الذي كان يغطيها بالكامل، و يتواصل الحفر بها حيث تمت إزالة كميات كبيرة من التراب، بالإضافة إلى الأعمدة الكهربائية، و بدل رفع الركام مباشرة يتم تركه على حافة الطريق، حيث أن أكواما من الأتربة و بقايا البلاط و الاسمنت مكدسة على جانب الطريق، فيما أصبح الدخول إلى المحلات التجارية و العمارات و الإدارات الرسمية المنتشرة على طول الشارعين مهمة عسيرة على السكان و المواطنين، حيث يضطر البعض لوضع ألواح خشبية لاستعمالها كمعابر، تفاديا للنزول داخل الحفر، و صار المارة يتشاركون الطريق مع السيارات، ما خلف ازدحاما مروريا، و استياء لدى المشاة و السائقين، أما الغبار المتصاعد من عملية الحفر فهو مشكل آخر يزعج المارة و أصحاب المحلات و يخنق السكان، فيما تدوي أصوات مطارق الحفر، و الآليات المتوقفة بجانب الطريق، و تصنع ضوضاء عالية يصعب تحملها لوقت طويل، و قد تم خلال اليومين الأخيرين بذات الشارع منع توقف السيارات على جانب الطريق، بعد أن بدأت عملية جمع الركام و الأتربة.
نفس المشهد تقريبا يتكرر بشارع عواطي مصطفى فبعد إزالة الأرصفة بالكامل و حفرها، تركت على حالها منذ قرابة شهر، حيث أن الأشغال متوقفة بالشارع، فيما تتكدس الأتربة و بقايا البلاط على جانبي الطريق، ما جعل عبور الشارع يشكل خطرا على المارة، خاصة أن الأشغال استؤنفت منذ أيام قليلة فقط . شارع فرنسا بشطريه، 19 جوان و ديدوش مراد تحول بالكامل إلى أرضية ترابية، بعد أن أزيلت به الطريق و الأرصفة بالكامل، لكن لم تنطلق به الأشغال بعد، رغم مرور قرابة شهر على هذه العملية، التي تمت في بداية شهر رمضان الماضي، حيث أن الشارع المعروف بكثرة مرتاديه خاصة من النساء، باعتباره منطقة تجارية بامتياز، أصبح يسبب الشعور بالاختناق لمرتاديه و للسكان و التجار الذين أصبحوا يعيشون يومياتهم وسط الأتربة و الغبار، فيما كشفت عمليات الحفر عن أقبية بعض المحلات التجارية، بحيث يمكن الدخول إليها من الشارع بسهولة.
و فيما يخص ترميم واجهات العمارات، فإن العملية انطلقت قبل شهرين بعدة شوارع و أحياء من وسط المدينة، حيث نصبت المنصات أمام العديد من المباني، لكنها شكلت عائقا أمام الحركة المرورية ببعض الشوارع، وقد لاحظنا انسداد بعض الأرصفة بأماكن أخرى أمام المشاة، و الملاحظ أن وتيرة الترميم بواجهات العمارات تسير ببطء، حيث أن عدد العاملين بها قليل جدا، و في بعض المباني وقفنا على وجود عامل واحد أو اثنين يشرفان على العملية.
ساحة دنيا الطرائف التي يطل عليها فندقا "إيبيس" و "نوفوتيل"، أصبحت عبارة عن أتربة و حجارة، حيث أن منظرها يوحي بأنها واقعة في أحد المناطق البعيدة عن وسط المدينة، و هي الأخرى لا توجد بها أي حركة تدل على انطلاق الأشغال ، كما أصبحت مصدرا لانتشار الغبار و الأتربة، خاصة عندما تكون حركة الرياح قوية بعض الشيء.
بعض الأماكن المرتبطة في أذهان القسنطيين بالعراقة ، مثل السلالم التي تؤدي من حي الكدية إلى شارع عبان رمضان، و المصنوعة من "الحجر الأزرق" النادر ، خلفت إزالتها  حالة من التذمر . فيما تتواصل أشغال مد مختلف شبكات المياه و الصرف الصحي و كذا قنوات الغاز و الكهرباء بالشوارع المذكورة.  و قد لاحظنا من خلال حديثنا مع بعض العمال الذين يقومون بالأشغال على مستوى شارعي بلوزداد و بوجريو بأنهم يجهلون طبيعة العمل الذي سيتم انجازه، و اكتفوا بالقول بأنهم كلفوا بإزالة البلاط و حفر الأرصفة، مع جهلهم بأي تفاصيل أخرى.

أصحاب المحلات مستاؤون من عدم إبلاغهم و من تأخر الأشغال
عبر العديد من أصحاب المحلات التجارية الواقعة بالشوارع التي مستها الأشغال عن استيائهم و امتعاضهم من انطلاق الأشغال دون إعلامهم من قبل، و قال بعض أصحاب المحلات أنهم فوجئوا بانطلاق الأشغال و حفر الأرصفة بشكل مفاجىء، حيث قال أحد التجار بشارع بلوزداد أنه غادر محله في ساعة متأخرة من المساء دون أن يكون هناك أي أثر للأشغال، ليصطدم في صباح اليوم الموالي عندما شاهد منظر الرصيف أمام محله، فيما أكد صاحب محل لبيع المثلجات بنفس الشارع بأنه تضرر كثيرا من هذه الأشغال، و اضطر إلى إغلاق محله بسبب الغبار و الأتربة لعدة أيام، وأكد لنا تجار آخرون بشارع "فرنسا" بأن حركة الزبائن قلت كثيرا بعد أن تم حفر الشارع، و هو ما عرض سلعهم للكساد سواء في فترة عيد الفطر أو الفترة الحالية أي قبل الدخول الاجتماعي و التي تعرف عادة انتعاشا في الحركة التجارية، لكن عددا من التجار أكدوا لنا بأن حجم البيع ضئيل جدا، و بأنهم تضرروا كثيرا من هذه الوضعية، فيما عبر بعض أصحاب المحلات عن تخوفهم من تعرضهم للسرقات بعد أن كشفت أشغال الحفر، أقبية محلاتهم التي يخزنون بها السلع. و أكدت فئة أخرى من أصحاب المحلات بأن أشغال التحسين الحضري ستعود بالفائدة عليهم، لأن وسط المدينة يشهد تدهورا واضحا في السنوات الأخيرة، لكنهم طالبوا بالتسريع في وتيرة الأشغال، خاصة أن طول المدة يعرض مصالحهم للضرر.
المواطنون يشتكون من تأخر الأشغال
و خلفت الأشغال استياء لدى الكثير من سكان وسط المدينة، فقد عبر قاطنو العمارات عن استيائهم من الأتربة و الغبار المتصاعد من الأشغال و الذي لا يفارق المشهد اليومي لديكور بيوتهم، و ذكروا بأن الغبار يسبب لهم صعوبة في التنفس، و قال عدد آخر من السكان أنهم أصبحوا يخشون مغادرة بيوتهم خشية تعرضهم للسرقة، حيث أن المنصات المنصوبة على واجهات العمارات، يمكن تسلقها بسهولة للوصول إلى الشقق، و ذكر السكان أيضا بأن الأشغال عرقلت تنقلاتهم و دخولهم و خروجهم من بيوتهم، ضف إلى ذلك الضوضاء الكبيرة التي تخلفها أصوات الحفر، و على حسب تعبيرهم فإن الوضع أصبح لا يطاق، متسائلين عن المدة المحددة لانتهاء الأشغال، فيما تساءل البعض الآخر عن سبب توقف الأشغال بشارع "فرنسا" مند قرابة الشهرين.  و قال بعض المواطنين بأنهم يتساءلون فيما إذا كانت الأشغال ستنتهي في الوقت المحدد لها قبل انطلاق تظاهرة قسنطينة عاصمة الثقافة العربية، خاصة أنهم أكدوا لنا بأن الأشغال تسير بوتيرة جد بطيئة، كما يلاحظون ذلك يوميا حيث أن منهم من جزموا باستحالة إتمام ما تم بدؤه في  ظرف أشهر.  الكثير ممن تحدثنا إليهم أكدوا لنا أن أشغال إعادة تهيئة وسط مدينة قسنطينة، جاءت بطريقة فاجأت المواطنين و السكان و أدخلتهم في حالة من الارتباك، بسبب ضخامة الأشغال و الإزعاج و الفوضى الذي سببته لهم، فيما قال البعض أنه كان جديرا بالسلطات أن تبدأ هذه الأشغال قبل مدة طويلة، مع عدم فتح جميع الورشات في وقت واحد و اتخاذ إجراءات أكثر تنظيما لحماية الورشات وفي نفس الوقت السماح لسكان وسط المدينة بممارسة حياتهم بشكل طبيعي. ما يجري بقسنطينة من أشغال صنع مادة دسمة في مواقع التوصل الاجتماعي حيث انتشرت صور الطرق التي تمت تعريتها والشوارع التي إقتلع بلاط أرصفتها بشكل كبير وعبر المواطنون عبر تلك القنوات الافتراضية  عن تذمرهم مما أسموه بالعشوائية في العمل و انتقدوا ريتم الأشغال ونوعيتها متأسفين لما تعرضت له المدينة من " خراب" وهناك أصوات طالبت بتدخل جمعيات متخصصة لوقف ما أسموه بالتعدي على خصوصية المدينة.               عبد الرزاق مشاطي
صنصري عبد النور ممثل كنفدرالية أرباب العمل  وعضو المجلس الاستشاري لترقية المؤسسات الصغيرة والمتوسطة
الأشغــال بمعـدلهـا الحـالـي لـن تكتـمـل قبـل سنــة
ينتقد مسؤول بكنفدرالية أرباب العمل ما يجري من أشغال بقسنطينة تحضيرا لتظاهرة قسنطينة عاصمة الثقافة ويرى أن عامل السرعة جعل الجهات المشرفة تسقط عنصر الاستشارة  معتبرا فتح هذا العدد الكبير من المشاريع خطأ تنظيميا مقدرا مهلة انتهاء الأشغال التي شرع فيها بسنة في حال الاستمرار بالعمل بالمعدل الحالي للإنجاز. يرى السيد صنصري عبد النور أن العمل لم يكن مبنيا على استشارة مسبقة للأخصائيين  حول ما يجب فعله وتكوين نظرة صحيحة لأن الأموال وحدها لا تكفي  دون منهجية عمل،   مضيفا أنه من غير المنطقي فتح كل الجبهات في وقت واحد، كان يفترض تحديد أولويات و الاعتماد  على عامل التنسيق،  ففي حالة حفر الطرقات  وإزالة الأرصفة كان  لابد في رأيه من إطلاع جهات لها علاقة بالشبكات، حتى يكون العمل متكاملا، وعن ريتم الأشغال وما يقال عن استحالة إتمامها وفق الآجال المحددة قال ممثل الكنفدرالية أنه وفي حال تمديد العمل إلى الفترة الليلية والعمل بنظام 8/3 يمكن تدارك التأخر لكنه يطرح مشكلة عدم وجود عمالة ليلية في الجزائر.
المتحدث  قال أن قسنطينة مدينة لها خصوصية وعمران يتحدث عن تاريخها وأي عملية تغيير للمواد والبحث عن بدائل لما هو موجد تعد، في تصوره، إخلالا بالنسق العام للعمران وروح قسنطينة،  مؤكدا بأن ما تمت إزالته من مواد لا بديل له في السوق  ومشيرا بأن الترميم عملية لها إطار خاص يتطلب يدا عاملة متخصصة غير متوفرة في الجزائر وعلق المقاول قائلا" أن أغلفة مالية مفتوحة أمر جيد لكنه لا يحل المشكلة"  لأن عمليات إعادة التأهيل تكون مبنية على النقاش وعلى إشراك المجتمع المدني.
السيد صنصري  أفاد أن   العمل بسرعة  أمر جيد لكن التسرع تترتب عنه أخطاء وهو ما أظهرته تجارب سابقة لمشاريع مرتبطة بزيارات مهمة،  مؤكدا أن النتائج تظهر فيما بعد مشيرا إلى ضرورة الابتعاد عن تسييس الأمور في هكذا مشاريع.
محدثنا وإن تحاشى الحكم على ما يجري إنجازه حاليا لكنه قال بأن ما هو موجود لا يعد أشغالا بل "ردوم" وقدر الأجل المطلوب لإتمام ما تمت بدايته  و بالريتم الحالي بسنة، و قال أنه وقبل سنة لا يمكن للأشغال أن تكتمل إن تواصل العمل بنفس الوتيرة، لكنه في نفس الوقت يرى أن الأمر لا يتطلب معجزة بل جدية في العمل لأن المشاريع لا تنجز بالنوايا الحسنة بل بالمتابعة والصرامة . نرجس.ك

مدير التجهيزات العمومية
الآجـــال خــط أحمــــر
أكد مدير التجهيزات العمومية لولاية قسنطينة أن المشاريع الكبرى المخصصة لتظاهرة قسنطينة عاصمة للثقافة العربية سيتم استلامها قبل 31 ديسمبر المقبل مفيدا أن تجاوز التوقيت يعتبر خطا أحمر، مبرزا إلى تخصيص الفترة ما بين شهر جانفي و أفريل من العام المقبل، كمرحلة لوضع آخر اللمسات التقنية و الفنية بالتنسيق مع مصالح وزارة وديوان الثقافة. وعن وتيرة سير الأشغال فقد وصفها المتحدث بأنها تسير بوتيرة جيدة ، مفيدا أن الدور الثقافية الستة التي سيتم انجازها، سيتم استلام 3 منها قبل انطلاق الفعاليات الرسمية، مشيرا إلى الانتهاء من مرحلة الدراسة  في مشروع انجاز المكتبة الحضرية، ومؤكدا أن المؤسسة المكلفة بالإنجاز قد انطلقت في أشغال الإنجاز أما فيما يخص متحف الفن و التاريخ الذي سيشيد فوق الصخر العتيق، فقد أكد المتحدث أن مجمع الدراسة والإنجاز قد التزم بتسليمه خلال سنة 2015 .  واعتبر المتحدث قاعة العروض الكبرى  3000 مقعد، من أهم المرافق التي ستحتضن إحياء فعاليات التظاهرة، مفيدا أن نسبة الأشغال "بالزينيت" قد فاقت 70 بالمائة، وأضاف أنه لم يتبق سوى إنجاز التهيئة الخارجية، إضافة إلى وضع أنظمة التكييف واقتناء التجهيزات الداخلية، وأبرز ذات المتحدث أن الشركة الصينية المكلفة بالإنجاز قد التزمت بتسليم المنشأة قبل جانفي 2015، أما فيما يخص قصر المعارض، فقد أرجع المسؤول عملية تأخر الأشغال به إلى بعض المشاكل و العراقيل الإدارية والتي تم حلها تدريجيا من طرف السلطات المحلية والمركزية، واصفا عملية التأخر بالخارجة عن نطاق الهيئات الإدارية ونطاق المؤسسة المكلفة بالإنجاز، مفيدا أن تاريخ استلامها سيكون تزامنا مع انطلاق فعاليات التظاهرة.  ووصف المسؤول طبيعة أشغال إعادة تهيئة وترميم قصر الثقافة الخليفة، بالمعقدة و الدقيقة والتي تحتاج إلى مؤسسات ذات خبرة، مؤكدا أن الأمين العام للولاية وخلال خرجته الميدانية قد حدد لجميع المؤسسات المكلفة بإنجاز أشغال التكييف والكهرباء و الأشغال الكبرى، 31 ديسمبر من العام الجاري، كآخر أجل لاستلام المرفق الثقافي، وأشار أن الأشغال قد بلغت مرحلة كبيرة من التقدم في وتيرة الإنجاز وأن عملية تهيئة الواجهة الخارجية قد انطلقت، وعن نسبة تقدم الأشغال بقصر الثقافة مالك حداد،  فقد صرح المتحدث أن الأشغال تسير بوتيرة جيدة، مفيدا أن عملية تفريش الأرضية قد انتهت، إضافة إلى أشغال التكييف، و الكهرباء، أما فيما يخص تهيئة  الواجهة الخارجية فقد تم إسنادها إلى مديرية التعمير يضيف ذات المتحدث. وأوضح المتحدث أن مركز الفنون المنجز مكان مقر الولاية السابق بحي القصبة، يتولى متابعته مهندسون متخصصون، كما أن مدرسة حي الطريق الجديدة المحولة إلى متحف للوجه التاريخية، من المفروض أن تستلم في الفترة مابين 31 ديسمبر 2014و شهر فيفري من سنة ،2015 وأضاف أن المسرح الجهوي لقسنطينة ومتحف أحمد باي سيكونان جاهزين، بنسبة 100 بالمائة قبل انطلاق التظاهرة، مشيرا أن مديرية التجهيزات العمومية، تتكفل بمتابعة وانجاز مشروع إعادة تأهيل و التهيئة الخارجية لمسجد الأمير عبد القادر، إضافة إلى انجاز و تجهيز قاعة التشريفات لمطار محمد بوضياف واللذان سيستلمان قبل انطلاق التظاهرة.                      قوادري لقمان
مدير التعمير
أشغال التحسين تحت إشراف مكتب إسباني و لن تدوم أكثر من ستة أشهر
طمأن مدير التعمير و البناء لولاية قسنطينة بأن أشغال التحسين الحضري لوسط المدينة ستنتهي في الآجال القانونية المحددة لها مبرزا أن مصالحه شكلت خلية تتولى مراقبة سير ووتيرة انجاز المشروع.
وقال المتحدث  للنصر أن العملية انطلقت في الآجال المحددة لها بناء على أوامر الخدمة المسلمة لمقاولات الأشغال  بتاريخ 1 جوان 2014، وبعد استيفاء جميع الإجراءات القانونية، التي يفرضها قانون الصفقات العمومية، مبرزا أن أشغال التهيئة  لن تدوم أكثر من ستة أشهر، باعتبار أن آجال انتهاء جميع أشغال التحسين الحضري لجميع أحياء وسط المدينة، قد حددت  قبل حلول شهر جانفي من السنة المقبلة.
واعتبر المتحدث فتح جميع الورشات دفعة واحدة أمرا عاديا وضروريا، وقال أنها تخضع إلى جميع معايير الحماية والأمان المعمول بها، متحدثا عن عراقيل صادفت مقاولات الأشغال من طرف عدد من المواطنين رفضوا إبعاد سياراتهم، تم تجاوزها بعد تدخل مصالح الأمن، المتحدث أفاد أن الأشغال تشرف عليها خلية مراقبة شكلتها مديرية التعمير، تتكون من مهندسين وتقنيين بالإضافة إلى مكتب الدراسات الإسباني "أكيدوك" الذي يتولى متابعة أشغال مقاولات الإنجاز الثلاثة.
المتحدث أوضح أن عمليات التحسين الحضري و التي تقوم مصالحه بمراقبتها و الإشراف عليها، ستشمل أحياء عواطي مصطفى طريق سطيف، ومحمد بلوزداد سان جون، وحي 19 جوان "شارع فرنسا"، كما سيتم إعادة الاعتبار للسلالم القديمة الموجودة عبر جميع أحياء قلب المدينة، من خلال وضع أحجار ذات نوعية ممتازة، من شأنها أن تضفي جمالية على المكان، وأضاف أن عمليات التهيئة الخارجية ستشمل الشبكات المختلفة إضافة إلى التطهير و تهيئة الأرصفة والطرقات، مؤكدا أن نوعية الأرصفة و الطرقات ستكون ذات نوعية جيدة و ستغير الصورة النمطية لمدينة قسنطينة المتواجدة في أذهان سكانها وزوارها.  قوادري لقمان
مدير السكن
وجه المدينة سيتغير والمواطن مطالب بالصبر
بدوره دعا مدير السكن لولاية قسنطينة، مواطني المدينة إلى التحلي بالصبر وإعطاء دعم معنوي لمقاولات الأشغال وعدم عرقلة السير الحسن لأشغال الترميم، مبرزا أن واجهة المدينة ستتغير بشكل أفضل وأنها ستعطي منظرا جماليا لعمارات وسط المدينة بعد الانتهاء من الأشغال.
المتحدث أوضح للنصر أن ثلاثة مجمعات إضافة إلى مؤسسات فرنسية إيطالية إسبانية متخصصة في ترميم العمارات، تتولى الإشراف على مقاولات إنجاز أشغال الترميم لأحياء محمد بلوزداد، شارع فرنسا، شارع عبان رمضان، طريق جديدة و عمارات حي السيلوك، الكدية، مفيدا عن تخصيص مبلغ مالي للعملية يقدر ب3 مليار دينار.
المسؤول أكد أن مصالحه حددت مدة انتهاء أشغال ترميم العمارات لجميع المؤسسات ب5 أشهر، مفيدا أن العملية ستشمل إصلاح وطلاء الواجهات بمواد ذات نوعية جيدة، مشيرا أن مصالحه تقوم بدورها الرقابي لضمان استلام الأشغال قبل حلول السنة القادمة.  قوادري لقمان

رئيسة هيئة المهندسين المعماريين بقسنطينة
"بعض المواد المستعملة في المشاريع لا تنسجم والطابع العمراني للمدينة"
كشفت رئيسة هيئة المهندسين المعماريين بقسنطينة لامية جرادي أن بعض مشاريع تظاهرة قسنطينة عاصمة الثقافة العربية 2015 لا تعكس الطابع العمراني للمدينة العريق، والذي يتميز بهندسة خاصة، ومواد بناء معينة.
وانتقدت رئيسة هيئة المهندسين المعماريين بالولاية استخدام مادة الألمنيوم في واجهة مكتبة باب القنطرة، على اعتبار أنها مادة دخيلة لم تستعمل أبدا في تشييد مدينة قسنطينة ومبانيها، معتبرة أن استعمال واجهات الألمنيوم في حد ذاته يعتبر أمرا دخيلا على النسيج العمراني المتميز، في حين أن استعمال هذه المواد في تشييد مشاريع عاصمة الثقافة العربية يفقد هذه المنشآت ما ينتظر منها كإرث حضاري للأجيال القادمة.
وكشفت ذات المتحدثة أنه ومن خلال ما تم ملاحظته في هذا المشروع، فضلا على طغيان هذه المواد على الكثير من الواجهات بقلب المدينة القديمة، تعتزم هيئة المهندسين المعماريين لناحية قسنطينة بالتنسيق مع المكتب الوطني لتفعيل ما يسمى "دفاتر الأعباء الخاصة" والتي تعنى وضع شروط معينة للبناء بالمدن التاريخية والمتميزة بطالع عمراني خاص، حيث ستمكن هذه الدفاتر في حال تفعيلها من منع استخدام بعض المواد التي تنقص من القيمة العمرانية لبعض المدن كقسنطينة.
واعتبرت جرادي أن استثناء الهيئة من متابعة المشاريع في مرحلة الدراسة والانطلاق أثر سلبا على نجاعة المتابعة وتقديم الملاحظات والنصائح في أوانها، وهو ما اعتبرته إقصاء لفئة من ذوي الخبرة، والتي كان بإمكانها تقديم يد المساعدة في الكثير من المشاريع، خصوصا وأن الهيئة تزخر بعدد من الإطارات المتمكنة.
وبخصوص الأشغال المتعلقة بالتحسين الحضري المبرمجة بمباني وسط المدينة أو كما أطلق عليها بالمناطق التشريفية، عبرت محدثة النصر عن تخوفها من ضيق الوقت المتبقي لإتمام مثل هذه العمليات والتي تتطلب نوعا خاصا من الأشغال، حتى تعود المباني إلى حالتها الأصلية، سيما وأن أغلبها يعود للحقبة الاستعمارية، معتبرة أن كل أشغال التحسين الحضري التي لم تنطلق بعد يمكن أن يتأخر تسليمها لما بعد انطلاق التظاهرة، وإن تم انجازها فسيكون ذلك على حساب نوعية الأشغال.
وأضافت، أن عدم انجاز مشاريع تخص التحسين الحضري من قبل بمدينة قسنطينة، يعتبر عاملا سلبيا زاد من الورشات المنتشرة في كل مكان، حيث كان بالإمكان تقليص عددها اليوم، والتي تشكل بعددها الكبير عائقا مهما في المتابعة، عدى تأثيرها على الحياة العادية للمواطنين.
وعن ما تم انجازه لحد الساعة، اعتبرت هيئة المهندسين المعماريين بقسنطينة أن عدم إشراكها وزملائها في متابعة مشاريع عاصمة الثقافة العربية منذ البداية، جعل من إمكانية الحكم على نوعية المشاريع أمرا صعبا، في حين أوضحت أن عددا من الدراسات لم تكن بالعمق المطلوب، وذلك لأن أغلب المشاريع أسندت عن طريق الدراسة والانجاز، وبالتالي فإن النتائج الحقيقية لا يمكن التنبؤ بها إلا بعد إنهاء الأشغال.  عبد الله بودبابة
أحمد بن يحيى رئيس جمعية الدفاع  عن الصخر العتيق
البداية كانت خاطئة ويجب إنقاذ  ما يمكن
قال الفنان بن يحيى الذي يعد من أشد المدافعين عن خصوصية قسنطينة أنه نبه منذ 17 شهرا أن 2015 تاريخ قريب ويرى أن ما يجب فعله حاليا هو إنقاذ ما يمكن إنقاذه والخروج بأقل الأضرار لمحو آثار بداية خاطئة.
السيد بن يحيى يرى أن العمل على قسنطينة لمنحها هوية يتطلب عملا يمتد من عشر سنوات إلى 15 سنة ولذلك يجب الاكتفاء بما توفر لاحتضان التظاهرات وتكون 2015 انطلاقة لمرحلة جديدة يؤسس لها بإعادة هيكلة المدينة المعروفة بتاريخها وموقعها الطبيعي الفريد من نوعه والتي لا تحتاج برأيه أكثر من إعادة الاعتبار وذلك لا يكون دون استشارة أهل الدار، مشيرا بأنه يقصد بأهل الدار كل من يقطنون  قسنطينة دون تفرقة، معتبرا موعد التظاهرة لا يسمح بتحقيق ما هو مسطر لأن 2015 في نظره أجل قريب جدا.
المتحدث يرى أن المشكلة في كون البداية كانت خاطئة وتمت دون استشارة لأهل المدينة والمجتمع المدني والفاعلين،  كما يعتبر عنصر الاستعجال والتواريخ الرمزية  من أسباب ما أسماه بالارتجالية داعيا إلى القيام بتشخيص سريع لتدارك ما يمكن مع تثمينه للمجهودات الجارية لمحو آثار ما قال عنه بداية عشوائية .
نرجس.ك

Décès de l’ancien pasteur de l’église méthodiste de Constantine

Gerhard Schreck, la rue Benmliek s’en souvient

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 25.08.14 | 10h00 Réagissez

L’ancien pasteur de l’Eglise méthodiste de Constantine, Gerhard Schreck, est décédé le 7 aout dernier à Pirmasens en Allemagne. Selon, son fils Michael, les obsèques ont eu lieu le 14 août à Pirmasens. Le défunt né le 4 janvier 1925 dans la même localité souffrait d’une longue maladie.

Gerhard Schreck a quitté l’Algérie en 1988 pour prendre sa retraite et a depuis vécu dans sa ville natale, après 30 ans de service en Afrique du Nord. Mais c’est à Constantine où il a passé le plus grand de son temps et a fait partie intégrante auprès des habitants du quartier de la rue Benmliek (ex Pinget) durant les années 1960 et 1970. Tous les anciens du quartier gardent une image d’un homme qui, au-delà des différences religieuses ou culturelles, a su entrer dans le cœur de toutes les familles.
Même les femmes gardent un souvenir indélébile de lui, grâce à sa générosité et cette présence hautement significative quand il partageait, avec sa défunte femme, les fêtes de mariage. Mieux encore, il a, à plusieurs reprises mis à la disposition de ses voisins, les locaux de l’église pour la célébration de leurs fêtes.Sans hésitations, plusieurs de ses anciens voisins de quartiers que nous avons sollicités ont donné leurs impressions au sujet du décès de Monsieur Schreck.
Pour Malik, c’était un homme affable, «le fait qu’il nous ouvrait grande la porte de son église et nous permettait de jouer du piano ou faire des petits matchs de ballon, était pour nous exceptionnel.» Malik nous dit : «J’ai toujours, ce goût si particulier de ses sardines qu’il nous offrait ainsi que ce jus dont je n’ai jamais trouvé pareil, mais encore ces projections cinématographiques avec quoi il nous gratifiait, notamment, ces instants rares des épisodes de Tintin et dont il nous faisait la narration.
C’était un grand père pour nous tous, dommage que nos enfants n’ont pas connu pareil». Noureddine, lui, plein d’émotion dira : «Avec du recul, je m’aperçois que nos parents, bien qu’ils étaient limités dans leurs connaissances, étaient tolérants pour nous permettre de fréquenter une église, ils savaient qu’il y avait des enseignements à prendre et cela n’offusquait personne, le vivre ensemble était une réalité avec ce Monsieur qui nous a tant donné et que nous regretterons du fond du cœur».
N. B.

Centre d’enfouissement technique de Benbadis (Constantine)

Le jour d’après

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 25.08.14 | 10h00 2 réactions
 
	Le lixiviat est deversé dans la nature
Le lixiviat est deversé dans la nature
 

Gestion hasardeuse, décisions intempestives, incompétences : ingrédients d’une catastrophe écologique et de la révolte de la population.

Après les heurts qui l’ont secoué fortement la semaine passée, la commune de Benbadis semblait hier relativement calme. Sur place et sur le site même du centre d’enfouissement technique (CET), principale source du mécontentement populaire, nous avons constaté que rien n’a été entrepris pour remettre sur pied ce centre et c’est une image de grande désolation qui s’offre à nous.
Trois travailleurs étaient présents, le reste étant mutés vers l’ancienne décharge, située à quelques kilomètres pour recevoir tous les déchets de la ville de Constantine et de ses environs, une solution palliative. Le traitement des déchets ménagers obéit à des normes, dont cette décharge n’en dispose pas. Nous avons appris auprès de ces travailleurs que ce qui s’est passé, était prévisible du fait d’une gestion du centre des plus hasardeuses, l’un d’eux nous confie : «Comme vous pouvez le constater, c’est lorsque il y a eu la visite des représentants du ministère que l’on nous a doté de tenues de travail.
Les masques de protection, on ne nous les jamais remit. Nous sommes les premiers à être exposés aux nuisances du centre, pire encore, l’injection que nous devrions faire accuse un retard de deux mois et c’est dire tous les risques sanitaires que nous pourrons connaître, c’est criminel !».
Son collègue, un autre agent nous révèle pour sa part un fait majeur: «C’est extraordinaire, nous venons de découvrir qu’il existe un produit «TGV 999- Stabe Bleaching powder» qui élimine toutes ces odeurs mais qui n’a jamais été utilisé, sauf quand il y a eu ces heurts et comme vous pouvez vous rendre compte, nous sommes sur le site même des déchets et aucune odeur n’est perceptible».
En effet, point d’odeur malgré la fumée qui se dégage du monticule faisant office de dépotoir d’ordures ménagères. Ce n’est pas tout, puisque d’autres paramètres viennent se greffer sur la gestion du site, notamment les trois lagunes qui, après décantation du lixiviat (jus des ordures) sont traitées pour éliminer toute la dangerosité de cette eau marâtre.
Les rapports occultés du bureau d’hygiène
A noter que le chef de centre, Tahar Selmane n’a pas voulu nous recevoir, préférant à partir d’un camion, instruire le personnel présent de ne point discuter avec nous et encore moins divulguer la moindre information, Y-avait-il quelque chose à cacher ? Certainement, puisque selon quelques indiscrétions, les représentants du ministère de l’environnement étaient très mécontents de la situation et l’un d’eux avait menacé le directeur de l’environnement, l’accusant de négligences. Pire, les données transmises au ministère étaient erronées, notamment, l’utilisation du produit devant dissiper les odeurs, avait-il souligné.
Voulant en savoir plus auprès de la commune de Benbadis, nous avons appris que le P/APC était en congé, et que son intérimaire avait d’autres occupations et c’est le bureau d’hygiène communal qui nous a livré quelques indications se rapportant au CET, pour cela, l’un des agents de ce service nous montre un épais document, d’une centaine de pages, faisant ressortir toutes les démarches entreprises pour alerter les responsables, au niveau de la wilaya, la direction de l’environnement et même le ministère. En vain, rien n’a été entrepris malgré de nombreuses délégations, venues sur place, composées de représentants de diverses institutions, notamment les services de sécurité, de la direction de l’environnement.
Les photos prises sur le site montrant la gravité de la situation, particulièrement le déversement du lixiviat à partir du centre et allant vers l’oued, n’ont semble-t-il pas convaincu les responsables qui ont péché par un laxisme inexplicable. Selon notre interlocuteur, la catastrophe écologique est un fait avéré, car la commune dispose de 176 puits individuels, 3 puits collectifs et 3 autres agricoles, exposés au poison dégagé par le CET.
Pire encore, le lixiviat qui se déverse a atteint le barrage Bouhamdan de Guelma, affirme notre source du bureau d’hygiène, d’où une inquiétude grandissante de la population qui voit sa source de vie menacée. Plus grave encore, le même agent, bien renseigné sur la situation explique que la nappe phréatique, l’une des plus importantes du pays, risque d’être contaminée, si des mesures urgentes ne sont pas prises.
Le pompier pyromane
Fort de toutes ces données à force de détails, nous avons approché quelques citoyens pour en connaître les raisons d’un tel déchaînement qui a engendré les destructions du site, notamment ce chiffre de 35 milliards et c’est Abdelouahab qui nous dit : « C’est la faute au chef de Daïra qui s’est comporté comme un irresponsable dans la gestion de cette crise, en déclarant au lieutenant-colonel de la gendarmerie et devant nous que la commune de Benbadis était une saleté et que ses habitants en sont encore plus sales.
Il avait ordonné aux éléments de la gendarmerie de nous arroser avec de l’eau, ce qui a mis le feu aux poudres. Pourtant, au début, notre manifestation était pacifique».
Entre temps, la situation au niveau du chef-lieu de la wilaya a atteint un seuil intolérable à cause des ordures ménagères non enlevées durant plusieurs jours faisant monter la tension et faisant apparaître l’inconséquence des autorités locales dans la gestion de ce dossier.
A Benbadis, la population ne veut plus entendre parler de ce CET et tiens à préserver l’environnement de ce village agricole qui n’a rien demandé à la ville. «Notre commune, connue pour sa vocation agricole, donc pour la pureté de son climat a subit, à cause du centre une altération de l’atmosphère qui a envahi même nos maisons, notre quotidien est synonyme de crasse ce qui a généré des pathologies graves au sein de nos familles, particulièrement les enfants, d’où une psychose qui a mis en émoi toute la population. Selon le médecin chef de l’hôpital de la commune, il y a eu 74 décès, rien que pour cette année, dus au cancer.
Les tumeurs cérébrales chez des enfants de moins de quatre ans ont semé une vraie panique et cela ne peut que s’expliquer par la présence de ce centre qui devait accueillir tous les déchets d’une grande wilaya». Malgré une relative accalmie à Benbadis, l’un des habitants nous révèle, d’un ton menaçant et déterminé : «Nous vous donnons rendez-vous dans deux semaines, il va y avoir une grande mobilisation citoyenne, puisque nous allons camper en famille pour en finir avec ce centre».
N. Benouar
 
 
Vos réactions 2
verru amazigh   le 26.08.14 | 14h13
la gangrène....
à 5h du matin sur presque tous nos axes routiers des odeurs à vous couper le souffle et vous obliger à remonter toutes les vitres au risque de vomir les tripes. La faillite se voit au grand jour et partout la faillite du système est très proche et ce dans tous les domaine: environnement, sécurité, éducation,valeurs sociales etc... L'argent prime sur tout, partout il est grand temps que le système abdique et laisse la gestion du pays à ses vrais enfants.
 
Midou   le 25.08.14 | 11h03
Faillite
C'est la faillite générale d'un système pourri érigé en système de gouvernance. Cela pouvait tenir un temps, mais c'est fini, le système s'écroule et toutes ses faillites se révèlent au grand jour: incompétence généralisée, mensonges, trahisons, mise à mort de notre cadre de vie, dilapidation des finances publiques, corruption. Un système pourri qui a dépassé, les fissures, en voie d'éclatement. Enfin, on va pouvoir chasser légitimement les imposteurs.
 
 مير” منتخب ولا يحكم
الجمعة 29 أوت 2014 elkhabar
Enlarge font Decrease font

 يوجد رئيس بلدية بولاية خنشلة في وضعية لا يحسد عليها، والسبب قيام مواطنين ذوي نفوذ بالاستيلاء على العقار، ويتصرفون كيفما شاءوا، في الوقت الذي لم يحرك ”المير” ساكنا، بل كاد يتعرض للاعتداء حين تساءل عن الذي يحدث، ما جعل كل من علم بالأمر يقول ”إن ذوي النفوذ لا يقف أمامهم لا القانون ولا الشرع ولا أي شيء، إما أن تكون معهم لتأخذ نصيبك من الريع أو تخرج كما دخلت أول مرة”.
-
مسؤولون منشغلون ومنتخبون نائمون
الجمعة 29 أوت 2014 elkhabar
Enlarge font Decrease font

 تكفل أحد السكان ببلدية طامزة بخنشلة بصناعة لافتة حديدية كتب عليها الاتجاه نحو بلدية بوحمامة، وثبتها في الطريق لإرشاد المارة الذين يضيعون عادة دون إيجاد المسلك الذي يجب المضي معه، في الوقت الذي لم يكلف مسؤولو مديرية الأشغال العمومية والمنتخبون أنفسهم عناء أخذ الأمر على عاتقهم وتثبيت لافتة تحدد الاتجاهات. فهل الأمر مهمة السكان أو المسؤولين، وهل يعيّن الوزير عبد القادر قاضي المواطن الذي تكفل بالأمر في مديريته بخنشلة؟
-
 بلخادم يغادر الاجتماع بسبب غضب بوتفليقة
الجمعة 29 أوت 2014 elkhabar
Enlarge font Decrease font

 قال مقرّبون من عبد العزيز بلخادم إنه تلقى مكالمة عاجلة مساء الاثنين الماضي، عندما كان بصدد متابعة أشغال افتتاح الجامعة الصيفية لـ«جبهة التغيير”، في بومرداس، تطلب منه مغادرة التظاهرة بسرعة لأن الرئيس بوتفليقة غاضب منه. وقد كان بلخادم يعتزم متابعة كل الخطابات التي كان سيلقيها أحمد بن بيتور وسيد أحمد غزالي وعلي بن فليس، بخصوص الانتقال الديمقراطي وتغيير نظام الحكم، لولا أن الرئاسة لم يعجبها تواجده مع ألدّ الخصوم، وقد أنزل الرئيس أشدّ العقاب ببلخادم بسبب ذلك.
-


الظفر بمنصب الوالي وراء المبادرات
الجمعة 29 أوت 2014 elkhabar
Enlarge font Decrease font

 تناقلت بعض المصادر المقربة من مبنى ولاية وهران ظهور خلافات بين الوالي والأمين العام حول تسيير ملف الترحيل، ورجحت بعض المصادر سبب المبادرات التي أخذها الأمين العام، في غياب الوالي، إلى رغبته في إثارة انتباه وزارة الداخلية للظفر بمنصب على رأس إحدى الولايات التي بقيت دون وال منذ التعديل الحكومي الأخير.
-

 ”الجوية الجزائرية” تختنق بقسنطينة
الجمعة 29 أوت 2014 elkhabar
Enlarge font Decrease font

 يبدو أن أزمة الخطوط الجوية الجزائرية تعرف أبعادا متشعبة، فبعد حوادث سقوط الطائرات وانحرافها، والتحقيق في مناصب وهمية، يعيش عمال وإطارات الشركة بقسنطينة في أزمة خانقة، عقب عجز الشركة عن توفير مقر لائق للمديرية الجهوية، بعد تحويلها من مبنى دار الثقافة محمد العيد آل خليفة، حيث لم تجد سوى شقق ضيقة لإيواء كل مصالحها، ما جعل البعض يقول ساخرا ”سنطلب إشارات ضوئية لتسيير حركة المرور داخل المكاتب”.
-


 http://www.elkhabar.com/ar/img/article_large_img/lakta_911033131.jpg

Protection des femmes contre les violences conjugales : «Des mesures insuffisantes»

Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte
le 28.08.14 | 10h00 10 réactions
 

Une injure, des intimidations, le viol. Face à un code pénal jugé permissif, la femme est devenue la cible privilégiée des violences en Algérie. Près de 12 000 Algériennes osent s’en plaindre chaque année. Beaucoup d’autres en souffrent en silence. Le projet de loi pour renforcer la lutte contre les violences faite aux femmes, adopté en Conseil des ministres, mardi, introduit quelques amendements «coercitifs» mais ne permet toujours pas de couper le mal à la racine.

Coups, brimades, viols… Dans 60% des cas, elles subissent la violence dans le cercle familial. Le projet de loi portant amendement du code pénal pour renforcer la lutte contre la violence à l’égard des femmes, examiné et adopté mardi par le Conseil des ministres, prévoit des sanctions envers l’époux coupable de violence, d’abandon, ou d’intimidations visant à priver l’épouse de ses biens.
Ce qui peut constituer une belle avancée. Mais, le texte prévoit, toutefois, que «dans toutes les situations évoquées ci-dessus, les poursuites sont abandonnées, si la victime décide de pardonner à son conjoint». C’est justement là que le bât blesse. Des membres du mouvement associatif dénoncent une clause «dangereuse», voire «vicieuse», qui banalise la violence conjugale et ne protège pas la femme contre toutes les pressions sociales et familiales qui l’empêchent souvent de porter plainte contre son mari.
«Ce projet de loi est un acquis, une avancée sur laquelle nous n’aimerions pas rechigner, mais cette clause pose un sérieux problème», explique Nouria Hafsi, secrétaire générale de l’Union des femmes algériennes (UNFA). «Déjà que la femme ne dépose pas plainte facilement contre son époux, elle attend que les violences atteignent leur paroxysme pour oser se plaindre par peur des représailles de la famille et du regard des gens dans la société.
Cette clause vient encourager la femme à pardonner alors que ça devrait être le contraire», ajoute-t-elle. Pour cette dernière, «si l’on veut réellement stopper les violences conjugales, la justice doit maintenir les poursuites même lorsque la femme pardonne». Elle est loin d’être la seule à le penser.
La justice ne doit pas pardonner !
Dans le domaine associatif, où les militantes sont quotidiennement confrontées à des femmes en situation de détresse, cette clause pose un problème de fond. La pression sociale qui normalise souvent la violence conjugale se trouve confortée par ce texte. «Le principe même du pardon en cas de violence conjugale me dérange», tranche Cherifa Kheddar, présidente de l’association Djazairouna et porte-parole de l’Observatoire des violences faites aux femmes (OVIF). «Je trouve cette clause vicieuse, c’est comme si on faisait un clin d’œil aux institutions de l’Etat pour leur dire de pousser les femmes à pardonner», dit-elle.
Elle note une avancée à travers l’adoption de ce projet de loi, mais ne manque pas de rappeler qu’il faut plus. «Le fait que la violence à l’égard des femmes soit devenue un débat public pris en charge par le gouvernement est une très bonne chose, mais il faut aller vers une loi-cadre pour lutter efficacement contre ce problème», explique-t-elle encore. L’adoption d’un arsenal juridique qui puisse protéger la victime et l’accompagner dans toutes ses démarches constitue la véritable attente de ces militantes.
Mais pas seulement. Il y a également la question de l’application de toutes les mesures adoptées. «Si cette loi est adoptée par le Parlement, il faut ensuite penser à des mesures d’application concrètes d’accès à la justice» note, pour sa part, Dalila Djerbal, membre du réseau Wassila de lutte contre la violence faite aux femmes et aux enfants. Pour elle, ce n’est pas qu’une affaire de loi. «Toutes les institutions de l’Etat doivent jouer le jeu pour que ces lois ne restent pas lettre morte», plaide-t-elle en citant de nombreux témoignages de femmes battues par leur mari et dissuadées de porter plainte dans des commissariats ou de se présenter dans les bureaux des médecins légistes.
Un constat partagé par Cherifa Kheddar, qui condamne le fait que «la violence conjugale soit acceptée dans notre société». Pour Nouria Hafsi, secrétaire générale de l’UNFA, l’école joue un rôle primordial puisque c’est aussi «une question de culture». Peut-être, est-ce le seul espace où l’on peut traiter le mal à la racine.  

Bouredji Fella
 
Vos réactions 10
sigli120   le 29.08.14 | 07h46
Mouloud
Nos mères, nos femmes, nos filles sont maltraitées, humiliées, violentées, voire violées même dans le milieu familiale et la police et la justice ignorent celles qui osent se plaindre.
Nous sommes un pays machiste depuis des siècles alors ...............
 
momo34000   le 29.08.14 | 06h19
algerie algerienne
ce qui gouvernent, et très loin du peuple et de sa philosophie quotidienne.ils ont l’audace de projeter des loi concernant la personne sans aucun débat ni recherches profondes pour maîtriser les problèmes .cette pratique on la trouve dans tout les niveaux .souvent ils translatent en Algérie des lois française ou allemande ou je ne sais quel pays. chaque peuple a sa philosophie et sa vision des choses, l’Algérie ne pourras jamais être autre que l’Algérie, responsables fainéants, réveillez vous ça suffit.
 
TNT3646   le 28.08.14 | 23h38
Et moi! Et moi! Et moi!
Des millions de jeunes âgés entre trente et quarante ans, tous sexes confondus sont encore célibataires! Pour une des raisons très simples: les clauses du divorce qui pendent telle une épée de Damoclès sur les époux! Les jeunes savent que si divorce il y a, ils perdent tout! Et surtout le logement! Un logement acquis après de longues années de privation! Un logement qui pourrait coûter entre 1 000 000 de DA et 1 500 000 DA si ce n'est plus! Les problèmes entre couples existent et existeront car ils ont toujours existé! Mais, se voir à la suite d'un malentendu exacerbé, peut-être par la famille de sa femme, redevenir mendiant du jour au lendemain en cas divorce, cela a fait réfléchir beaucoup de jeunes qui s’obstinent à rester célibataires! Un ami a vécu ce terrible drame lorsqu’il s’est vu obligé de se séparer de sa femme, une femme capricieuse, irrévérencieuse et dépensière qui s’évertuait à le ridiculiser à chaque moment, qui sortait sans avertir , qui s’absentait sans prévenir ! Il a vécu un enfer de cinq ans et ses parents se sont rendus compte que leur fils était non seulement la risée de tout le quartier mais qu’en plus il perdait pied : il devenait dingue! Moi, en toute franchise, je l’ai encouragé à divorcer car je ne voyais pas d’autre solution : sa femme était trop délurée et trop libertine pour se ranger ! Il avait peur de perdre sa villa qui lui a coûté la bagatelle de 3 500 000 ! Je ne pouvais, décemment pas, le laisser dépérir mais en même temps je ne voulais pas que mon ami d ‘enfance perde son Château comme il appelait sa maison ! Alors, je lui proposais, machiavéliquement, de s’acheter une autre maison plus modeste ; un F3 quelque part dans une des cités hideuses de Annaba et de faire de sa maman la propriétaire de son Château ! Il ne voulait pas, au début ; mais, lorsque j’en parlais avec son père et ses frères, ils étaient d’accord avec moi : ainsi, au cas où il choisirait de divorcer, et c’est ce qui lui restait à faire, sa femme hériterait du F3 et sa villa resterait sa propriété. Une chose rendait ce divorce plus faisable : ils n’avaient pas eu d’enfants au bout de cinq années de mariage. Je lui avançai l’argent pour l’acquisition d’un F3 dans un village des environs de Annaba qui ne lui coûta que 400 000 DA ! Il l’arrangea du mieux qu’il put ! Le transfert de la propriété de sa villa en faveur de sa mère se fit très normalement ! Sa femme, cependant, continuait à faire des siennes et un jour elle commit l’erreur de trop : ...
 
slimdank2004   le 28.08.14 | 23h14
Une femme n'est jamais satisfaite
Mes arrêtez de nous faire croire qu'ils n'y a que les hommes qui sont violent et que la femme est toujours la victime...il faut des fois connaitre la raison de cette violence masculine, et si la femme en est la cause, et souvent le cas Je ne suis pas partisan de la violence et je respect les femmes, mes toutes les femmes ne sont pas des anges.
Et si, avec cette loi, la femme abusera et profite de cette loi en créant un scénario, ou qu'elle soit la fautive, ou encore qu'elle veut se débarrasser de son mari...
Les femmes d'aujourd'hui sont instruites peut être, après ce qu'on dit, mais ça ne voudrait pas dire qu'elle possède la sagesse pour qu'elle situe son statu dans une famille,il faut qu'elle assume ses obligations, ensuite elle cherche ses droits.
 
TNT3646   le 28.08.14 | 22h55
Pas de commentaires !!!
Pas de commentaires? Cela prouve que ce "phénomène" n'est pas vu sous cette forme-la! Que ceci n'est pas le "problème" des Algériens! Ni des Algériennes, d'ailleurs qui veulenttout sans se soucier de le demander! Elles attendent que les hommes fassent tout le travail!
 
setif1947   le 28.08.14 | 19h58
misogyne
Qui protégera l'homme en Algérie des dépassements des femmes qui sont sorties de la mylla ?
 
Fafa1433   le 28.08.14 | 18h01
a voir
la protection contre la violence oui il le faut culture ou tradition la femme doit etre respecté comme l'homme dans chaque couple il y'a des dispute sinon y'a problème?? les époux en chacun un devoir le respect et la fidélité sans sa mieux chacun prend sa route c la meilleur solution taper une femme c injuste et lache ce que je tiens a préciser certaine femme profite du laisser aller de certaine lois qui les autorise a faire ce quelle veule sa aussi il faut le dire en na trop donner de liberté a la femme dans notre pays et certaine ne respecte pas l'époux je ne généralise pas toute les femme mais nos femme en changer question de respect ex ex certaine oublié quelle sont musulmanes
 
slimfast-2007   le 28.08.14 | 17h18
L'état complice!
hez les musulmans, frapper ou corriger sa femme est naturel!
Et si elle porte plainte, elle est mise au ban de la société!
Ches les occidentaux ( apres vérification et confirmation) non seulement c'est un grave délit, mais les maris violents sont éloignés du domicile conjugal en urgence, mis sous contrôle judiciaire ( pointent au commissariat tous les jours, pas de passeport),avec interdiction de trainer en ville de sa femme et doivent se soumettre a une thérapie, etcc...
ma pauvre mere a connu ce sort pendant des années et je la voyais souffrir souvent......
 
posteur   le 28.08.14 | 15h37
Protection des femmes face aux hommes...
Si le Coran était bien fait,il or
donnerait que celui qui agresse une
femme n'est pas digne d'être père.
.Et le castrerait...A Lyon,il y a
un triste précédent:un père,un "ma ri" que "sa" femme avait quitté en
vue du divorce,est revenu armé et
l'a poignardée à plusieurs repri ses.
Elle eut la vie sauve parce qu'un commerçant a vu la scène et a sec
couru la malheureuse qui revenait d'emmener ses enfants à l'école to ute proche.
Interdit de séjour là où elle rési
dait,il a -néanmoins-réussi à en
freindre l'interdiction(le commis
sariat est situé à 200m de là)quel ques années après pour récidiver
sans y parvenir toutefois,alors qu
'elle sortait avec ses enfants...
Dans certains pays,il aurait-a mini
ma-eu la main coupée...Que n'appr
end-on aux femmes cet adage:"Mieux
vaut être le boucher que le veau".
Ce qui pourrait "freiner" les vio lences faites aux femmes,c'est de
punir l'homme violent par là où il
a péché...A moins qu'il ne préfère
la prison à vie,dans le cas où il a tué ou a voulu attenter à l'inté
grité physique de la mère de ses
enfants...en lui laissant la possi
bilité de se suicider...
 
Azar ackic   le 28.08.14 | 13h57
C'est religieux
A ces courageuses dames qui critiquent ce projet de lois, et que je salut chaleureusement, je rajoute que c'est un problème profondément religieux. En effet si le Coran permet cette violence aussi bien sur la femme que sur l'enfant, la loi restera faible. C'est un problème de référence. D'ailleurs il est stipulé que la loi doit s'inspirer du Coran, de la Sunna et de la Charia. Comme aussi il est clairement dit dans la constitution que l'islam est la religion de l'état. Il y a donc là un énorme paradoxe qui entrave l'application de la loi. Dans tous les pays évolués c'est la constitution qui est la référence principale et unique de la loi. Chez nous c'est pas le cas. Et encore l'implication de la religion va inévitablement renforcer la culture très ancienne de cette violence. Car il faut reconnaître que cette violence existe depuis des siècles, et le comble c'est qu'elle est justifiée par l'islam. Le pardon existe même dans des cas extra conjugaux car l'accusé de violence est acquitté si la victime lui pardonne. Cela se fait par l'absurde réfèrent religieux qui dit que" et si vous pardonnez cela est mieux pour vous", et ce fait religieux devient une culture généralisée qui empêche l'application de la loi. En Amérique dans tous les hôpitaux il est écrit en plusieurs langues que " rien ne justifie la violence conjugale", et c'est cette culture donnée même là où la violence corporelle est soignée qui renforce le droit constitutionnel. La violence est naturellement contre la liberté. Chaque acte violent fait dans des rapports de force inégaux diminue le sentiment de liberté et conduit vers l'avilissement et ce dernier affaiblit terriblement la nation. L'état algérien lui même pratique la violence et l'utilise pour renforcer son pouvoir, mais...la violence des états islamiques avaient conduit vers la colonisation. L'empire ottoman pratiquait beaucoup de violence justifiée par l'islam et le résultat a été la colonisation française en Algérie et il a fallu que le colonialiste devienne plus violent et très injuste pour que le peuple se soulève pour une glorieuse révolution. Malheureusement ce phénomène continue même aujourd'hui après l'indépendance. L'idée religieuse que" Dieu a fait que les hommes sont plus justes que les femmes" est une sordide aberration et ceci fait que l'instituteur ne peut pas être positif en classe s'il pratique la violence sur ses propres enfants à la maison. Il ne peut pas donner efficacement une éducation contraire à ses convictions.
 


 http://www.elwatan.com/images/2014/08/28/violences_2364667.jpg

هناك تعليق واحد:

ganymed يقول...

والله ما فهمت والوووووو في الـ BLOG ديالك يا بوكعباش يا مثقف يا قسنطيني يا محقور يا ولد المدينة.