الجمعة، فبراير 27

الاخبار العاجلة لاسيقاظ سكان قسنطينة على خبر حريق سوق بطو بسان جان والصحافية حسينة بوالودنين تحرك شوارع قسنطينة بعد اعلانها خبر احتراق سوق بطو ويدكر ان عائلة بطو طلبت باسترجاع سوق بطو مند سنوات ولكن بلدية قسنطينة رفضت فهل تتحصل عائلة بطو من الاقدام السوداء على السوق العائلي بعد الحريق السياسي حسب سكان قسنطينة علما ان صاحب محل الروائح قام بوضع سلعة قيمتها 3ملايير ليلة الحريق السياسي فهل للحريق حرب عائلية بين عائلات تجار سوق بطو ام ان مقاولات الترميم تريد الحصول مجانا على سوق بطو لترميمهمن اجل الملايير والاسباب مجهولة




































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الاخبار العاجلة لاسيقاظ سكان قسنطينة على خبر حريق  سوق بطو بسان جان  والصحافية حسينة بوالودنين  تحرك  شوارع قسنطينة بعد اعلانها خبر احتراق سوق بطو  ويدكر ان  عائلة بطو  طلبت باسترجاع سوق بطو مند سنوات  ولكن بلدية قسنطينة رفضت فهل تتحصل عائلة بطو من الاقدام السوداء على السوق العائلي بعد الحريق السياسي  حسب سكان قسنطينة علما ان صاحب محل الروائح قام بوضع سلعة قيمتها  3ملايير ليلة الحريق السياسي فهل للحريق حرب عائلية بين عائلات تجار سوق بطو ام ان  مقاولات الترميم تريد  الحصول مجانا على سوق بطو لترميمهمن اجل الملايير والاسباب مجهولة 



صورة مباشرة للحريق المهول سوق بطو عبد الله سانجو Férondo







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‎لن ننساكم ، إبراهيم و هارون رحمهم الله .. :)‎



حريق وسط سوق بطو عبد الله saint jean ليلة لبارحة حوالي الساعة 22 سا30




حريق وسط سوق بطو عبد الله saint jean ليلة لبارحة حوالي الساعة 22 سا30



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HISTOIRE DE BEJAIA ET DE SA REGION

Posté par algeriedemocratie le 19 juillet 2009

bougie18331.jpg
Photo d’avant 1830
HISTOIRE DE BEJAIA
ET DE SA REGION
depuis l’antiquité jusqu’à 1954
Edition MIMOUNI 1976.
La région dont nous nous proposons de rappeler l’histoire, se limite approximativement: à l’Ouest par babbahr.jpgles crêtes du Djurdjura; à l’Est par les Babors auxquels se soudent les Bibans qui s’étendent jusqu’au Sud-Est dominant les plaines de la Médjana et de Bordj Bou-Arrirédj. Une vallée, où serpente la Soummam, séparant les Babor-Biban du Djurdjura, débouche vers le Sud à Ighrem, El Asnam, en une riche plaine plantée d’oliviers, d’arbres fruitiers, de vignobles et d’autres cultures.Le golfe de Béjaia, sur le bord duquel la ville s’élève en amphithéâtre, offre l’aspect d’un vaste lac entouré d’un rideau de montagnes aux profils capricieux: d’abord la crête de Gouraya qui domine la ville; à sa droite le pic de Toudja ; en face et suivant l’ellipse du littoral, viennent la cime de Bou-Andas, les dentelures rocheuses de Béni-Tizi, du Djebel Takoucht, d’Adrar-Amellal, Tizi-ou-Zerzour, la large croupe des Babors à côté du pic du Tababort ; enfin, au dernier plan, la silhouette bleuâtre du pays de Jijel.
Lorsqu’on s’éloigne de la ville pour se diriger vers Ziama, les gorges de Chaabet-EI-Akhra, on suit, sur un parcours de plus de trente kilomètres, le demi-cercle formé par le golfe. La route qui suit parallèlement le rivage traverse une plaine fertile dominée par des sites pittoresques verdoyants avec une végétation épaisse et drue.
Les bords de la Soummam que l’on traverse sont couverts d’ajoncs et de lauriers-roses séparant ses rives de beaux jardins où figuiers, oliviers, orangers, abricotiers, et tant d’autres se coudoient, tout atteste, en ces lieux, une impulsion intelligente, beaucoup d’esprit d’initiative, du goût et du sérieux dans le travail. Après Souk-el-Khemis et sa douce plaine, la bande qui s’étend le long du rivage se rétrécit peu à peu pour aboutir, vers le Sud-Ouest en suivant la rivière, à la route menant aux gorges. La végétation, en certains endroits du bord de la route, constitue un véritable fouillis de plantes sauvages, de lierre, de vigne vierge, de lianes épineuses, de ronces; sur les pentes douces ou abruptes des frênes, des pins, des chênes-verts, des chênes-lièges, des eucalyptus émergent des gros buissons de genêts et de lentisques au milieu desquels, souvent une eau limpide, trace des sillons de fraÎcheur et de vie.
Les gorges offrent un décor grandiose et titanesque par sa beauté et ses proportions. L’âpreté des roches en surplomb, la sévérité des montagnes s’élevant à pic sur les deux rives du canon qui murmure au fond de l’abîme, la route constamment suspendue sur l’abîme, tantôt creusée dans le flanc de la montagne, tantôt établie sur des arches de maçonnerie aux endroits durs de la paroi, des oiseaux ville.jpgde toutes sortes, points noirs là-haut, très haut, tellement hauts qu’ils semblent planer près du toit du monde, font ressentir au milieu de ce paysage, la fragilité de l’homme, et nul parmi ceux qui traversent ne peut se défendre d’un sentiment d’inquiétude ; c’est sans doute pour cette raison qu’on l’appelle « Chaabet-el-Akhra ». Lorsqu’on escalade les pentes de Gouraya et qu’on aboutit au mausolée, on jouit d’un panorama incomparable. Au bas, la ville apparaît comme un petit village de lilliputiens. Dans la buée opaline du matin disparaît la ligne d’horizon et le ciel semble se confondre avec la mer. Vers le Sud-Ouest, sur le flanc de cette montagne, apparaît Toudja noyée dans la verdure où coulent intarissables des sources arborant au milieu d’orangeraies séculaires, et, en face les massifs imposants des Babor et des Bibans jonchés d’une multitude de villages, points blancs à peine visibles. Lorsque le soleil, disparaissant à l’horizon, laisse derrière lui des nuages étincelants d’or, toutes ces montagnes sont diaprées des plus vives couleurs et se réfléchissent avec une netteté sur la nappe transparente et mobile; ce spectacle grandiose se ternit ensuite progressivement, sous l’influence des vapeurs humides de la mer, en passant par des nuances des plus variées. A ce spectacle enchanteur, la rade offre un havre aux navires et barques de pêche que peu de côtes de la Méditerranée possèdent. C’est sans aucun doute, pour ces raisons que les Phéniciens avaient choisi ce lieu pour l’un de leurs comptoirs-colonies, que les Romains conservèrent et que En Nacer Ben Hammad ( Dynastie Berbère ) y édifia sa capitale.
La population et ses origines
A l’époque romaine, les populations qui occupaient la région étaient connues sous le nom de Banioures, de Kedamouziens (Ketama) et des Babares (desquels vient le nom Babor donné à la montagne) dans les massifs des Babors et de Tababort. Sur les deux rives de la Soummam, en amont, vivaient les Nababes et les Masinissences (Imsisen) concentrés sur les pentes occidentales des Bibans, et en face sur les pentes du mont Ferratus (Djurdjura) ; plus bas, et sur l’autre versant du Djurdjura dominaient les Quinquegentiens dans l’espace compris entre Bougie et Dellys. Ibn Kheldoun les rattache à la tribu des Sanhadja dont ils constituent les deux branches : Zouaoua à l’Ouest, Ketama à l’Est. Les Zouaoua occupaient les territoires s’étendant entre EI Djazair bled Mezghena (Alger) au golfe occidental de Bougie. Ils «habitent au milieu des précipices formés par des montagnes tellement élevées que la vue en est éblouie, et tellement boisées qu’un voyageur ne saurait y trouver son chemin. C’est ainsi que les Béni-Ghobrin habitent le Ziri, montagne appelée aussi Djebel – Zan, à cause de la grande quantité de chênes-zen dont elle est couverte, « et que les Béni-Feraoucen et les Béni-Iraten occupent celle qui est « située entre Bougie et Tedellis (versant Ouest). Les Fenaïa, la vallée et les pentes orientales du Djurdjura. Cette dernière montagne est une de leurs retraites les plus difficiles à aborder et les plus faciles « à défendre; de là ils bravent la puissance des gouvernements, et « ils ne paient l’impôt qu’autant que cela leur convient … »
« Les Ketama occupaient les territoires s’étendant entre El Coll et Bougie le long du littoral, et les plaines du Midi jusqu’au massif des Aurès. Leurs principales villes étaient: Igudjan, (près d’Ain El Kebira), Sétif, Baghaïa, Negaous, Bélezma, Mila, Kessentina, Skikda, El Coll, Djidjel … »
Dans la région qui nous préoccupe, la fusion entre Ketama et Zouaoua si proches les uns des autres, s’enrichit de nombreux apports extérieurs. A l’époque phénicienne et carthaginoise, des éléments orientaux et maghrébins de l’Est s’étaient déjà fondus dans la masse au moment de l’établissement des Romains. Les Berbères romanisés au service de l’Empire venus des localités voisines ou des provinces lointaines en qualité de fonctionnaires se sont intégrés eux aussi à la masse des indigènes.
C.L. Féraud raconte qu’en 1848, il fit connaissance à Béjaïa de Cheikh Hassen Ben Ouareth qui lui apprit que certaines tribus locales descendraient de « Roumain » : « Les Aït Ali ou-Rouma, dans la tribu des Ouled Abdel Djebar, sur la rive droite de l’oued Soummam; tous les habitants de fraction qui se compose de trois villages : Ighil Ibezerad, Tiachafen, Aït Allaoua sont très fiers et très jaloux d’une origine qui les fait descendre, assurent-ils, des anciens possesseurs de Bougie (Saldae) envahie par des conquérants et refoulés dans l’intérieur des terres. Ils appuient leurs prétentions sur l’analogie même du nom de leur fraction. Le village d’lghzer el Kobla, dans la fraction des Aït Ferguane chez les Béni-Immel, ses habitants affirment aussi descendre des chrétiens chassés de Tiklat (ancienne Tubusuptus).
Il faut dire que le mot « Rouman » désignait sans distinction, Romains, Vandales, Grecs (Byzantins) et tous ceux qui n’étaient pas d’origine berbère, et que le mot « Afariq » désignait les Berbères romanisés. L’intégration de tous ces éléments à la société indigène ne se fit que lentement et progressivement en raison des dispositions consenties aux non-musulmans aux débuts de l’Islam. Les Emirs de l’Ifriqia les utilisèrent à leur service dans l’armée et dans l’administration. Les Romains désignaient par Quinquegentiens les cinq tribus les plus importantes de la Kabylie qui les avaient continuellement combattus et ne s’étaient jamais soumises. C’étaient: ifenaïen, Imsissen (sur le versant oriental), Ait Irthèn, Ait Feraoucen, Ait Ghobrini (sur le versant occidental). (Recueil des notices et mémoires de la Province Constantine)
Ibn Khaldoun. Histoire des Berbères T.I pp 257-7
Idem, p. 291
Les Français prétendaient que la tribu d’Idjissen descendait de Carthaginois en raison de leurs mœurs et du type de tatouages portés par leurs femmes. (C.L.Feraud. Revue africaine, 1857, n° 12.)
Ziadat Allah (817- 838) s’en servit pour combattre les troubles fomentés par les Milices arabes, son général se nommait Ben Abdellah El Ifriqi (ce qui atteste son origine) ;
Abou Mohamed Ziadat Allah II (863-
864) avait pour chef de sa garde Foutouh El Massihi (sans doute en raison de la religion qu’il continuait à pratiquer) ;
Abou Ishaq Ibrahim Ben Ahmed (Ibrahim II) (875-902) avait comme chef de bureau de l’impôt foncier, Sawada d’origine chrétienne.
L’historien El Yacoubi contemporain de l’Emir Ibrahim II, visitant l’Ifriqia écrivait: « les populations de l’Ifriqia se composent: d’Arabes, de Perses et d’Autochtones composés de Berbères, Roum et Afriq. Les Berbères constituent la grande majorité de la population et parlent leur langue; ils sont groupés en tribus indépendantes les unes des autres. Les descendants de Byzantins constituent des îlots aux flancs des Aurès et dans la plaine de l’Ifriqia. Les Afariq reste des Berbères romanisés, qui n’avaient pas encore embrassé l’Islam, résident dans les anciennes places fortes byzantines souvent aux côtés des Roums, et parlent un « berbère latinisé … »
pise.jpg
Un siècle après, El Bekri faisant le même voyage, mentionne l’existence de Rouman mais point d’Afariq, ce qui laisse supposer que les Berbères romanisés se sont réintégrés dans leurs tribus d’origine ou avaient constitué des communautés spécifiques. Les descendants des immigrés d’origine grecque qui se fondirent par métissage dans la masse des habitants locaux et les descendants des Berbères romanisés ou des colons Romains n’étaient pas, du reste, également répartis dans tout le territoire ; ils étaient plus nombreux dans le royaume des Aghlabides plus tolérants sans doute que leurs voisins les Ibadides de Tahert, démocratiques dans leurs institutions, mais très actifs et convainquant dans leur action prosélytique.
Depuis le XIème siècle la région de Béjaïa, théâtre de nombreux événements à partir de la deuxième moitié du XIème siècle, sa population dans ses conditions de vie comme dans sa composition ethnique en connut des répercussions importantes. Les époques les plus saillantes de ces bouleversements furent ; la transformation de Béjaïa en capitale par les Béni-Hammad - l’occupation de cette ville par les Espagnols – la domination de la région par les Français. En l’an 460 (1067-68), écrit Ibn Khaldoun. En-Nacer Ben Alennas (des Bénou-Hammad) s’empara de la montagne de Bougie. A Béjaïa, localité habitée par une tribu du même nom, il fonda une ville à laquelle il donna le nom d’En Nacéria mais tout le bougie1911.jpgmonde l’appelle Begaïa, du nom de la tribu» (l’altération du g en j a donné Béjaïa, mais les Kabyles l’appellent Begaït. En Nacer fit venir de la Kelâa des Béni-Hammad et des environs des milliers d’ouvriers pour construire en quelques mois l’immense mur d’enceinte flanqué de bastions qui part des rives de la mer et s’élève jusqu’au mont Gouraya où il se perd dans les rochers abrupts. L’enceinte terminée, il encouragea ces ouvriers à construire leur propre maison et, afin que le manque de matériaux ne devint pas un obstacle à leur réalisation rapide, il obligea tout individu qui voudrait pénétrer dans la cité, quelle qu’en soit la raison, à apporter au moins une pierre sous peine d’une amende égale à un « Naceri ». Ce moyen réussit fort bien tant auprès des grands que des humbles. La ville prit forme en peu de temps avec ses rues, ses boutiques, ses mosquées, ses fandouks et caravansérails, ses écoles, ses quais, etc … Les environs de la ville, convertis en jardins, furent ornés de nombreuses villas, de norias, de bassins d’irrigation, créant ainsi un climat de paix et de prospérité. Pour lui et sa famille, En Nacer fit construire un palais d’une grande beauté dont les colonnes en marbre rose furent importées de Gênes; les meilleurs artisans et artistes italiens, tunisiens, andalous furent engagés à la finition de l’œuvre. Il l’appela Ksar-Louloua (Le château de la perle).
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Palais Hammadite
Le goût des créations rapporte la légende, devint chez Moulay En-Nacer une passion qui l’absorba complètement, il ne songeait plus à de nouvelles conquêtes, négligeait même l’administration importante du reste de son empire, consacrant ainsi tout son temps à surveiller l’exécution des travaux qu’il a conçus et ordonnés. Suivis des grands de la cour et de nombreux musiciens, il montait chaque soir en bateau et se rendait au milieu de la rade pour mieux contempler de là les progrès de son œuvre civilisatrice». Il parvient, un jour à tirer de ses méditations, Sidi-Mohamed Touati personnage vivant dans l’ascétisme, vénéré de tous, et l’emmena dans sa promenade au milieu du golfe. “Admire, lui dit Moulay En-Nacer, les progrès de mon entreprise et la splendeur dont brille aujourd’hui notre capitale du sein de laquelle s’élèvent majestueusement les minarets de plus de cent mosquées. El Yacoubi ( Abou El Abbas Ahmed Ibn Yacoub ) d’une famille de hauts fonctionnaires de l’empire abbasside, fut lui même homme de gouvernement auprès de plusieurs souverains orientaux plus ou moins dépendants de Baghdad. Pour le service de ses maitres ou pour sa propre satisfaction, il voyagea beaucoup, séjournant dans les pays et y menant des enquêtes. Agent au pouvoir, et moins géographe qu’historien, il se montre avant tout curieux des populations et des revenus que l’Etat en tire. Il a écrit le résultat de ses investigations dans le « Kitab el Buldan ». Il mourut en 284 (897. J.C).
Les Afariq sont les Béni-Fergan (Berbères roma






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النيران تتلف 10 محلات بسوق الإخوة بطو في قسنطينة

    27/02/2015
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النيران تتلف 10 محلات بسوق الإخوة بطو في قسنطينة
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إق
    27/02/2015
    النيران تقضي على 10 محلات بسوق الإخوة بطو بقسنطينة
    النيران تقضي على 10 محلات بسوق الإخوة بطو بقسنطينة
    27/02/2015

 أتلفت ألسنة اللهب ليلة الخميس إلى الجمعة 10 محلات تجارية بالكامل وذلك بسوق"الإخوة بطو" بوسط مدينة قسنطينة حسبما علم اليوم. وقد اندلع الحريق الذي وقع حوالي منتصف الليل بمحل لبيع مواد التجميل يقع خارج السوق قبل أن تنتشر ألسنة اللهب لتأتي على 6 محلات أخرى لبيع الخضر والفواكه والمواد الغذائية كما أوضحه ل"وأج" النقيب ياسين قشي من مديرية الحماية المدنية.   وامتدت النيران أيضا لتمس محلات تجارية أخرى بداخل سوق"الإخوة بطو" حيث أتلفت 3 محلات كما أضاف ذات المصدر موضحا بأن 300 متر مربع من سقف السوق التي  تغطي 39 محلا بهذا الجزء من السوق دمرت جراء الحريق. وتطلب إخماد هذا الحريق الذي تسبب كذلك في إصابة مصور صحفي بحروق هلى مستوى الرجلين تسخير 70 عنصر من الحماية المدنية و12 شاحنة بصهريج وشاحنتين 2 بسلم وذلك طيلة 4 ساعات من الجهد لإخماد هذا الحريق حسب النقيب قشي. وقد خلف هذا الحريق خوفا وذعرا وسط العائلات التي تقطن بجوار السوق فيما لا تزال عناصر الحماية المدنية اليوم الجمعة بعين المكان رفقة مسؤولي القطاع الحضري لسيدي راشد.   وقد فتحت المصالح المختصة إقليميا تحقيقا لتحديد أسباب هذا الحريق كما تمت الإشارة إليه. يذكر أن سوق "الإخوة بطو"(مرآب فيراندو سابقا) تم إنشاؤها العام 1980 على مساحة 3000 متر مربع ويضم 112 محلا تجاريا.







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لآن مباشرة من وسط مدينة قسنطينة
احــتراق ســوق بطــو عبــد الله في حي san jeant
نعم قسنطينة تحترق . . . و ربي يستّر




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Constantine :Le 27 / 02 / 2015 - Un incendie s’est déclaré, dans la nuit de jeudi à vendredi, au marché Ferrando, situé au quartier populaire Messaoud Boujeriou, en plein centre ville de Constantine, la capitale de l’est algérien située à plus de 400 Km à l’est d’Alger. Des flammes atteignant une hauteur d’environ une dizaine de mètres ont ravagés plusieurs magasins,
©Fethi Khaled / New Press




















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